Tumgik
#pourquoi fais-je partie du panel ?
anais-mirliaz · 5 months
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j'étais tellement prise dans mes fanarts de ff7 que j'ai oublié de rappeler aux gens de Paris & alentours que ce we il y a la conférence Jônetsu à Bourg-La-Reine, et que dimanche spécifiquement il y a une conférence Mars Express où je serai présente !
Il y aura Jérémie Perin (réal), Marion Roussel (chef layout et posing), Anne Raffin (chargée des décors layout), Fanny Bricoteau (superviseure & et design son), Alex Pilot qui était chargé du making off, et moi (simple animatrice 2D, la base), et tout le monde aura sa petite section pour parler du taff sur le film !!
voilà si vous êtes à Paris et que vous avez rien à faire ce week end eh ben lezgooooo
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rhoal · 2 years
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tbo-tbet · 7 years
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Pourquoi les applis ont-elles tort de nous promettre l’amour ?
Eh merde, encore un papier d’éternelle idéaliste qui refuse de vivre avec son temps. Encore les mêmes banalités sur la destruction du lien social avec les réseaux sociaux. Encore ces balivernes sur les sentiments de solitude et d’abandon qui vont croissant alors que les gens sont de plus en plus connectés – diantre ! Force est de constater qu’il faut répéter, ressasser, reformuler toutes ces sagesses pour espérer qu’elles finissent par avoir une quelconque efficacité. Comme les stoïciens en leurs temps, fabriquons nous un arsenal de critiques toutes faites, « clefs en main », de manière à nous détourner, ne serait-ce qu’un tout petit peu, des dangers que nous encourrons à force de selfies et de matchs. Oui, le smartphone tue – et, parfois, littéralement. Et puis vivre avec son temps c’est aussi en rire et le critiquer, à défaut de le réformer. C’est pourquoi cet article sera peut-être relayé sur un réseau social, et que sa rédaction sera entrecoupée de petits tours sur instagram, parce qu’après tout ça ne mange pas de pain. D’autant que nous sommes dimanche et qu’il se passe, ce jour là, des choses passionnantes chez les personnes que je suis. Ils consomment des œufs brouillés et des jus de fruits. Je proclamais donc, forte d’une thèse en séduction et d’un phD en passéisme-nostalgique-romantique, que les applis avaient tort de nous promettre l’amour. Sur le banc des accusées, tinder, happn, bumble, et compagnie. Mais outre les formules à s’asséner à soi-même que j’évoquais, je voudrais dire par où pêchent ces applis : définitions erronées de l’individu et de l’amour. Avant de se lancer dans une réflexion fumeuse et un petit peu honteuse sur l’amour – je suis très intimidée et pleine d’autocensure – énonçons les formules brèves et efficaces qui nous détourneront des applis et que l’on peut résumer sous un lapidaire et exaspéré « Non mais c’est vraiment de la merde ». 1. Ça pollue Incroyable mais vrai. Je renvoie au sketch de Marina Rollman à ce sujet. 2. Ça met en danger De dépendance à une fausse reconnaissance de notre capital de séduction, tout d’abord. Mais aussi, au sens propre, dans la mesure où on prend le risque de transmettre des informations sur notre compte à de parfaits inconnus. Sans parler du désormais connu problème de « protection des données personnelles ». 3. Il n’y a que des personnes désespérées sur ces plateformes Et on ne veut pas en faire partie, jamais. À tel point qu’il semble que tout le monde et personne ne soit sur ces plateformes. J’en veux pour preuve le sourire gêné que vous esquissez quand vous voyez un visage connu dans la valse des profils. Ces trois formules sont donc comme trois coups de marteau que vous pouvez administrer à vos doigts lorsqu’ils se prennent à taper le nom d’une de ces applis dans le magasin d’application de votre portable.
De là, deux possibilités : 1) Vous êtes d’accord, vous plussoyez, et vous vous mettez à utiliser ce pense-bête. Auquel cas, vous aviez déjà un a priori négatif sur ces machins là et vous y êtes rendu par désœuvrement, un jour de révolte devant votre situation amoureuse. 2) Vous n’êtes pas d’accord car ces applis vous paraissent formidables et que vous avez fait, grâce à elles, d’agréables rencontres. C’est là que j’interviens, que je peux faire un peu de surenchère dans le sens, vous l’aurez compris, de la possibilité 1. Et ce, en venant donner une assise théorique à mes petits conseils pratiques.
L’amour n’a pas les mêmes ressorts que la consommation
Combien de fois l’a-t-on entendu celle-là, avec ses variantes du style « non mais Tinder c’est un supermarché ». Pour cause, sélection de photos avantageuses et petits textes rigolos de présentation font bien de ce réseau un LinkedIn de la fesse. On peut objecter à ce reproche de n’être pas très consistant. Notamment car de tout temps il y eut de grands amateurs et de grandes amatrices de sexe, soucieux et soucieuses de multiplier les coïts et les partenaires. Il existe bien, dans certains cas, une logique de consommation antérieure au rapport sexuel, qui se cristallise magnifiquement dans l’idée de posséder l’autre. En conséquence, reprocher aux applis d’entériner une logique de consommation est un peu de mauvaise foi. On ne peut pas, historiquement parlant, leur reprocher qu’un tiers ne vous ait jamais rappelé. C’est donc un peu mais pas totalement de mauvaise foi dans la mesure où contrairement à la vraie vie, les applis vous invitent à assumer une fonction de produit consommable dans le cadre d’un échange de bons procédés entre deux frustrés sexuels et sentimentaux. De fait, la logique qui semble présider à la création de comptes sur ces plateformes serait la suivante : j’éprouve un manque et j’ai besoin de le combler, or d’autres éprouvent aussi ce manque que je suis à même de combler donc, en adultes responsables, nous allons échanger un service. Et vous me concéderez que ce n’est absolument pas ce qui se joue chez les grands séducteurs et les grandes séductrices. Cependant, quels problèmes pose une telle disposition d’esprit ? En quoi est-elle incompatible avec l’émergence d’un « véritable amour » ?
1) Nous ne sommes pas des machines N’allons pas faire les innocents en proclamant que le désir est culturel et que nous pourrions très bien nous passer des plaisirs prodigués par une relation de couple ou par un simple rapport de séduction. Ce serait trop triste pour les grands amoureux que nous portons tous un petit peu en nous. Pourquoi ces précautions oratoires ? Pour dire que j’entrevois déjà la limite de ce que je vais dénoncer. Mais c’est comme pour la politique, parfois vous adhérez à deux présupposés contradictoires donc après il s’agit de choisir dans le sens de ce qui vous semblerait un tantinet plus bénéfique à l’ensemble de la communauté. Bref. Si je concède que le désir n’est pas que culturel, mais qu’il relève bien de pulsions naturelles, je veux néanmoins mettre en garde contre la posture qui consiste à séduire et à aimer simplement pour cocher une ou plusieurs cases. De fait, cela revient à n’être pas très gentil vis-à-vis de ceux et celles que vous séduisez en en faisant simplement les instruments de votre épanouissement personnel. Mais à la rigueur, ça peut être un échange de bons procédés, comme nous l’évoquions, et ne pas blesser le tiers qui subit vos machinations. Toujours est-il que vous voyez très bien à quoi je fais allusion. À ce préjugé qui veut que vos performances, mettons professionnelles, soient fonction d’un équilibre de vos passions et de vos humeurs ; ce pourquoi vous devez donc avoir une quantité x de rapports sexuels pour un laps de temps y, sans quoi vous n’êtes qu’un bon à rien. Préjugé qui vous conduit donc à vous considérer vous-même comme un capital, ou comme un agrégat de petits capitaux qui se boosteraient les uns les autres : diplômes, voyages, relations amicales, relations amoureuses, biens immobiliers, etc. Et, à ce moment, ça n’est plus très gentil pour vous-même car vous êtes conduits à vous envisager comme une machine dont le bon fonctionnement repose sur le respect d’un cahier des charges que vous n’avez même pas écrit. De même, pour reprendre les analyses de Thibaut Izard sur l’entreprenariat de soi et le développement personnel, cela vous conduit à assumer pleinement la responsabilité de votre situation sans pouvoir incriminer qui ou quoi que ce soit d’autre. En effet, ce sur quoi il attire notre attention, c’est que la littérature de développement personnel nous pousse à nous considérer comme les seuls artisans de notre bien-être, notamment au travail, ce qui vient, l’air de rien, dédouaner les managers et les décideurs politiques de toute responsabilité. Chic, non ? De la même façon, Tinder et consorts vous attribuent le rôle de responsable de votre vie amoureuse, que vous en soyez ou non un usager. Pourquoi pleurer sur sa solitude s’il existe un moyen d’y remédier ? Pourquoi subir ou attendre les coups de la fortune quand on peut planifier avec qui on va passer la prochaine nuit ? Or, c’est là que le bât blesse, nous ne sommes pas des machines. En conséquence de quoi, nous ne pouvons pas espérer trouver l’amour via des plateformes essentiellement destinées à la mise en relation de donneurs/receveurs de plaisirs fugaces destinés à combler ce qui est conçu comme une carence. Précisément, l’amour abolit tous ces calculs de marchand de tapis et ne saurait faire office de complément alimentaire pour jeune actif mal dans sa peau.
2) De l’échange de bons procédés au don disproportionné Je disais que les applis se trompaient de définition de l’individu, d’une part, et de définition de l’amour, d’autre part. C’est là que je suis envahie par la honte de m’exprimer sur ce sentiment trop subtil et monumental pour ne pas intimider les petits écrivaillons. Qu’à cela ne tienne. On nous fait donc croire que nous sommes des machines dont nous pouvons avoir le contrôle. En outre, est entretenue l’idée selon laquelle l’amour serait une denrée alimentaire, que l’on puisse consommer à l’envi. Donc qu’il n’y a pas de meilleur amour que celui qui l’on reçoit. Idée largement véhiculée d’ailleurs par le langage courant : on est en mal d’amour, en manque d’affection, sans parler de l’élégante expression « être en manque » sans complément du nom. Eh justement, ces applis sont formidables car elles donnent accès à tout un panel de fournisseurs sympathiques, athlétiques, mignons, sympas, mais pas très sincères. Or, en voyant le film Odete, j’ai été confirmée dans l’idée, qui semblera niaise à certains, que l’amour reposait avant tout sur le don à l’autre. Un don inconditionnel. Une capacité à entourer de soins et d’attention un individu envers et contre toute comptabilité. Que raconte ce film ? Quel est le rapport ? Où en sommes-nous ? Pour la faire courte, deux destins se croisent : celui de Rui, jeune homme perdant tragiquement son compagnon, Pedro, et celui d’Odete, voisine de la maman de Pedro. Alors que Pedro était en couple avec Rui, Odete se met en tête qu’elle est enceinte de lui. Trouble psychosomatique que l’on appelle « grossesse nerveuse », et qui me semble symptomatique d’une sensation d’abandon (Odete est quittée par Alberto, un quatrième larron, au début du film), d’une part, et qui révèle, dans le cas de ce personnage, un besoin immense de donner de l’amour. Un besoin de donner tel qu’il se porte sur un être fictif : un enfant qui n’est pas, médicalement parlant, à naître. La grossesse nerveuse serait donc la conséquence d’une impossibilité subie de ne pouvoir donner de sa personne, en raison des circonstances, car les gens sont minables, car ils ne donnent pas envie de leur apporter des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas. Car qu’est-ce qu’un enfant sinon cet être auquel nous sommes tenus de nous donner corps et âme, inconditionnellement ? (à venir, mon humeur sur la parentalité bâtarde de notre époque). Pas de Tinder qui tienne pour Odete. Pour la simple et bonne raison que Tinder eut été incapable de lui fournir un être à aimer, étant entendu que l’appli lui aurait donné à être (médiocrement) aimée. Bien sûr, nous pourrions nous en remettre à un grand philosophe, patriote au surplus – je veux, bien entendu, parler de Florent Pagny – qui dans « Savoir aimer » rappelle l’importance de « savoir donner / donner sans reprendre / ne rien faire qu’apprendre / apprendre à aimer ». À travers le personnage que nous citions, nous voyons que les applis sont inaptes à produire l’amour dans la mesure où elles le réduisent à l’obtention ou à la fructification d’un capital, selon le point de vue qu’on adopte. Soit on obtient des unités d’amour, soit on pense investir sur ses performances futures, donc sur soi comme capital, par l’obtention desdites unités.
En somme, puisque les applis n’ont rien compris, ni aux hommes ni à l’amour, gardons-nous de leur confier notre devenir, nos données, et nos rapports humains. Et remettons-en nous à Peau d’Ane pour y voir plus clair.
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kpopinparis · 5 years
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MEET THE FANBASE #2 : Jackson Wang France
KPOP IN PARIS : Est-ce que vous pouvez vous présenter ?
Jackson Wang France: Je m’appelle Axalia, j’ai 22 ans et je suis actuellement en année de césure dans une école de commerce (entre le M1 et M2) et je fais des études en évènementiel. J’ai commencé à écouter de la k-pop fin 2013, je suis fan de GOT7 depuis leur début et je tiens la fanbase sur Jackson depuis septembre 2014. 
KIP: Qu'est ce qui vous a donné envie d'ouvrir une fanbase ?
JWF: J’ai des amies à moi qui tenaient des fanbases sur GOT7 et à ce moment-là, il n’y avait pas autant de fanbase que ça (bon, c’est normal, il n’y avait pas autant de groupe que maintenant). Et comme, j’aimais bien Jackson et j’étais tenté d’essayer, je me suis dit pourquoi pas proposer mon aide et j’ai été acceptée et depuis, c’est moi la boss ! 
KIP: Pourquoi Jackson en particulier ?
JWF: Jackson me faisait vraiment rire et GOT7 était le groupe que je suivais à ce moment, c’était vraiment l’occasion, un concours de circonstance (la fanbase existait déjà mais seulement depuis 2 mois et demi) 
KIP: Si vous deviez présenter le groupe en quelques mots ?
JWF: Un travail de qualité avec un panel de chansons très différentes qui s’affirme de plus en plus musicalement. 
KIP:  Comment avez vous vécu l'annonce de ce concert ?
JWF: Le premier c’était la panique, déjà en tant que fan, comme c’était le premier concert en France et aussi en tant que fanbase : que faire ? Ou chercher ? Dans quel ordre ? Avec qui ? Que ce soit le premier ou le deuxième, je me suis très vite organisée pour répondre au maximum aux interrogations des fans, même dans le bazar qu’est le concert 2019 
KIP:  Cette annonce a elle influé sur la charge de votre travail ?  
JWF: Oui et non, seulement sur le court terme, quand l’agitation est au maximum puisqu’il faut gérer son excitation, gérer les publications explicatives, complètes et claires et gérer surtout les interrogations et les peurs des fans. Ça dure environ 2-3 jours et après ça se calme jusqu’aux prochaines informations. Après, c’est de l’organisation entre fanbase et si, on s’en sort bien, on va vite donc la charge est moindre ! 
KIP: Vous sentez vous impliqués dans cet événement ? 
JWF: Oui, totalement, en tant que fanbase, j’ai l’impression d’avoir des comptes à rendre aux fans et que chaque erreur peut être fatale (alors que c’est du bénévolat). Mais il reste qu’on a vraiment beaucoup à faire. 
KIP: Ressentez vous du stress à l'approche du concert ? 
JWF: Oui, évidemment comme n’importe quel concert finalement. Je n’ai pas ressenti trop de pression de bien gérer la journée parce qu’on avait tellement travaillé dessus, qu’on n’aurait pu pas faire mieux. La seule chose qu’on redoutait était la numérotation et les fake news. 
KIP:  Et bien sûr, les fans auront ils l'opportunité de vous rencontrer à ce concert ?   
JWF: Evidemment, c’est toujours un plaisir de rencontrer les fans auxquels on parle derrière notre écran, surtout en tant que fanbase individuelle, comme nous n’avons pas besoin autant d’admin et autant d’organisation et professionnalisme que les fanbase groupe, on est plus proche des fans. 
KIP: Avez vous des projets en particulier, si oui comment ont-ils été mis au point ?   
JWF: Pour l’instant, nous sommes en plein organisation du concert donc c’est notre priorité. Nous sommes tous en contact sur une plateforme de communication interne, comme une petite entreprise, avec un système de réseaux ect. Donc on est toujours très en contact et on travaille très bien ensemble. 
KIP: Pour vous quel est le but d'une fanbase ?   
JWF: Le but est d’informer les fans au maximum de tout ce que le groupe/l’artiste fait, même les petites choses et leur éviter de chercher des infos sur des comptes traductions, pour lesquels il faut chercher un bon moment pour trouver. 
KIP:  On sait par expérience que tenir les fans au courant de tout est prenant, avez vous quand même du temps pour vos vies personnelles ?  
JWF: Oui, j’ai toujours mis ma vie au premier plan, même si la k-pop en général est une grande partie de ma vie et me permet de me mettre dans ma bulle. Mais, amis et famille reste en priorité et la fanbase juste un moyen de décompresser en fin de journée. J’ai mis une plage horaire fanbase, quand j’étais en prépa, c’était obligatoire. 
KIP: Avez vous l'impression que le travail des fanbase est réellement reconnu comme du travail ? Dans le sens où les fans se rendent-ils compte d'à quel point c'est dur, prenant...   
JWF: Je pense que personne ne peut comprendre à quel point c’est éprouvent et dur, tant qu’on ne l’a pas testé. Après c’est sur que certaines fanbase demandent plus que d’autres, mais c’est difficile au début de s’organiser et de trouver quoi poster, quand ect C’est un travail où il faut s’y investir à 100% pour ne pas avoir envie d’abandonner. 
KIP: Avez vous déjà organisé des projets hors concert comme anniversaires par exemple ?  Si oui est ce que vous avez été confrontés à des difficultés et avez vous des conseils à donner ? 
JWF: Oui, j’ai organisé pour les anniversaires ou un support streaming ou encore des concours. Déjà, il faut être motivé à faire le projet jusqu’au bout, à faire toutes les visuels, avoir toutes les informations, les bons partenariats… C’est vraiment le conseil le plus important je pense!
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INTERVIEW : Loubna, Le Putain de Podcast
"LE PUTAIN DE PODCAST" DONNENT LA PAROLE AUX TRAVAILLEUSES DU SEXE.
Putain de Podcast, une émission bimensuelle sur le travail du sexe et tout particulièrement sur la prostitution. Ce projet est né du constat que les féministes alliées des TDS avaient souvent du mal a défendre, et donc a comprendre les luttes qui entourent la prostitution. 
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Vous trouverez dans ce podcast des émissions très différentes les unes des autres, des épisodes très politiques, d'autres plus intimes sous forme de témoignage. C'est aussi la richesse de nos vécus, parfois de nos souffrances, qui rends nos histoires intéressantes a écouter et qui vous aidera a mieux nous comprendre.
Qui sont les TDS ? Comment devient on prostituée ? Pourquoi ce job plutôt qu'un autre ? Comment peut on défendre la prostitution quand on souffre d'être prostituée ? Ce sont autant de question auxquelles vous trouverez réponse dans ce podcast
Avec un premier épisode consacré à Lila, ancienne travailleuse du sexe,  et un deuxième épisode consacré à Rose, maman solo, qui vit de l'AAH (allocation adulte handicapé) et complète ses revenus en étant travailleuse du sexe. 
"Le Putain de Podcast" réussit sa mission : sensibiliser un large public aux luttes et aux réalités des personnes concernées.
Nous avons rencontré  Loubna, ex-prostituée et militante qui s’occuper des émissions et de la gestion de Putain de Podcast, son interview est à lire ici :
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je suis Loubna.B J'ai la trentaine et je suis une ex-prostituée et militante qui travaille actuellement sur un podcast apellé « le putain de podcast » qui propose un temps de parole d'une heure aux travailleuses du sexe deux fois par mois.
Peux-tu nous raconter ton parcours et tes activités ?
Comme beaucoup de TDS j'ai enchainé les petits jobs avant d'abandonner et de devenir pute. Ça a été à la fois une décision coup de tête et une énorme gifle pour moi, je me suis dit que j'avais touché le fond et que maintenant je ne pouvais plus que remonter. J'ai pris contact très rapidement avec d'autres TDS sur les réseaux sociaux pour ne pas être isolée et ça a été le début d'une longue thérapie qui se poursuit encore aujourd'hui dans laquelle j'essaie de réfléchir sur mon rapport au travail et pourquoi je n'arrive pas a supporter le salariat. A l'heure actuelle la prostitution est le seul job que j'ai réussi a tenir aussi longtemps (3 ans contre 6 mois grand max dans le salariat).
Aujourd'hui je suis en parcours pour faire reconnaître un handicap (je suis psychothique sous traitement) et j'espère obtenir l'AAH parce que j'ai arrété la prostitution suite a un raz le bol il y a quelques mois. On dit souvent que la prostitution est le résultat de la précarité, la migration, la pauvreté, la toxicomanie, les violences sexuelles ou le handicap mais on oublie souvent que tout ces facteurs sont totalement excluant du monde du travail. C'est comme ça qu'on deviens pute et c'est pour ça que je suis opposée a la pénalisation et l’abolitionnisme en général, on veux réinsérer des personnes qui n'entrent pas dans les petites cases du salariat dans un monde du travail qui d'ailleurs devient de plus en plus violent et ou le chomage continue de grimper. c'est absurde.
Alors évidement ça ne veux pas dire que toutes les putes doivent rester putes et qu'il ne faut rien faire, néanmoins on peut tout a fait imaginer une société qui n'appuie pas sur la tête de celles qui sont déja sous l'eau et qui permettrais a celles qui le souhaitent d'accéder a des formations ou d'autres emplois tout en décriminalisant l'activité pour permettre a celles qui sont encore putes ou qui souhaitent le rester d'accéder aux mêmes droits que le reste des travailleurs.
Quandas-tu commencé la réalisation ? Tu te souviens de tes premiers podcasts ?
Ça fait longtemps que j'ai envie de réaliser des podcasts sur ce sujet. Je pense que je n'avais pas l'énergie nécéssaire a ce type de travail quand j'étais encore TDS. C'est un gros boulot. Je me souviens forcément de mes premiers podcasts vu que je viens de commencer, haha ! Je suis en plein apprentissage de la réalisation, mon travail est loin de sonner professionnel comme le travail d'autres podcasteur.ices mais je fais ce que je peux avec mon petit budget et je me renseigne au max pour améliorer la qualité de mon travail. .
Quels sont les sujets qui te plaisent actuellement et sur lesquels tu travailles dans tes podcasts ?
Les sujets sons assez vastes, le but du podcast c'est de sortir de la vision binaire entre la pute heureuse et la pute repentie, je veux montrer qu'il y a d'autres moyens de défendre de TDS que par les arguments pro sexe ou pro choix. A partir de là il y a un large panel de sujets a aborder, la pauvreté, le handicap, la toxicomanie, les violences sexuelles, etc... Tout ce qui favorise une femme a franchir le pas pour devenir pute et qui ne lui enlève en rien son libre arbitre et son droit de s'opposer aux politiques actuelles. Je suis moi même devenue pute dans une période de grande précarité.
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Photo DDM, M. Viala
Avec quel-le-s T.D.S. ( Travaileur.es. du Sexe)  aimerais-tu collaborer ?
Pour l'instant je travaille principalement avec mes connaissances mais le podcast est ouvert aux témoignages. En fait je m’intéresse principalement aux TDS qui le sont devenu par précarité parce que leurs voix sont inexistantes dans le champ féministe actuel chez les féministes pro-choix. Il y a une peur tellement forte de la récupération de nos témoignages par le camp abolitionniste que les TDS dont le choix a été contraint restent silencieuses ou se cachent derrière des discours émancipateurs.
Que penses-tu de la place des TDS dans le féminisme français et trouves-tu qu’iels sont bien représenté.e.s ?
Non les TDS ne sont pas très bien représentées. Les allié.e.s aux luttes TDS sont très mal politisés sur la question et ont souvent des arguments de défense superficiels qui passent par des discours libéraux. C'est aussi pour ça que j'ai lancé le podcasts, pour montrer qu'on peut défendre les TDS autrement.
On parle souvent des discriminations que subissent les TDS.Te sens tu investie d’un rôle par rapport à ça ?
Non je ne me sens investie d'aucun rôle, j'essaie de faire de mon mieux pour informer les TDS et leurs alliés que les putes ont le droit de se réapproprier leurs histoires y compris quand elles comportent de la souffrance. Après si le podcast peut faire changer d'avis certaines personnes c'est tant mieux.
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Manifestation pour plus de droits pour les travailleuses du sexe à Paris. - © THOMAS SAMSON - AFP
Peux-tu nous raconter ce qui est pour toi un-e allié-e des TDS ?
Une personne qui prends le temps de se politiser, de lire des ressources (livres, articles de blogs, documentaires), qui n'hésite pas a discuter avec plusieurs TDS parce que les concernées ne sont pas toujours d'accord et qui ne passe pas son temps a attendre la première altercation pour se défouler sur les survivantes ou leurs allié.e.s. Le rôle d'un.e allié.e aux TDS pour moi c'est de se politiser pour faire de la pédagogie, pas d'être le plus woke et de participer a des harcèlements ponctuels.
Quels sont les prochains podcasts ?
Le prochain épisode est beaucoup plus intime et moins politique que le premier. On y aborder des questions liées au handicap, a la toxicomanie et a l'isolement des travailleuses du sexe. J'ai beaucoup aimé ce témoignage j'espère qu'il plaira au public, il est sorti le 29 Avril est on peut l’écouter sur le souncloud .
Y a t’il des podcasts, blogueur-euses que tu recommanderais ?
Pour les podcasts que je recommande il y a ceux de ma copine Anouk qui m'a bien aidé a démarrer et que je remercie. J'écoute aussi La Poudre, Les couilles sur la table, Mortel, et globalement le travail de Nouvelles écoutes et de Binge audio me plait beaucoup.
La visibilité des TDS a bien évolué en quelques années. Comment perçois-tu ce mouvement qui secoue un peu les choses ?
Je le percois comme en construction, encore trop fragile et pas forcément toujours très politisé comme il me plairait de le voir. C'est un peu le soucis avec les TDS il y a tellement de précarité que les millitants TDS n'ont pas le temps de creuser le sujet et sont les premiers a clamer partout qu'ils adorent leur job et leurs clients. Donc ce n'est pas vraiment étonnant que les allié.e.s suivent... Néanmoins il y a des initiatives anglosaxones vraiment cools et je conseille aux billingues le site "tits and sass" qui est super interessant.
En quoi est-ce important d’appuyer visibilité et de promouvoir la “culture” TDS ?
Je ne sais pas si on peux dire qu'il y a une culture TDS ou en tout cas je ne la connais pas. Par contre il est important de visibiliser les TDS parce que leurs voix ne sont pas suffisamment entendues, on entends plutôt les allié.e.s ou les chercheurs et quand les TDS sont interviewées a la radio par exemple on coupe la partie politique et on ne garde que le témoignage. C'est assez fatiguant a la longue et c'est pour ça que je voulais offrir une heure d'antenne aux TDS et pas juste faire des podcasts de 30min.
Ou en est-on des droits des TDS en France ?
C'est pas terrible... la pénalisation a beaucoup fragilisé les populations de TDS. Mais pour en parler je préfère partager le travail de médecin du monde sur le sujet.  Il y a aussi l'article du strass (Syndicat du Travail Sexxuel) qui en parle et qui est plutôt cool, sinon l'interview risque d'être beaucoup trop longue et de toute manière je répèterais ce qui a déja été dit par d'autres.
Peux-tu nous citer quelques artistes TDS qui t’inspirent ?
A part Virigine Despentes j'en connais pas vraiment. Je n'ai pas encore eu l'occasion de lire le travail de Nelly Arcan et de Grisélidis par exemple.
Que penses-tu de Support your local girl gang ?
Je trouve que c'est une super initiative de partager le travail des meufs qui essaient de créer du contenu sur internet et merci beaucoup de m'avoir invité !
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cequilaimait · 7 years
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CdV 2 – 2. L’enlèvement
Une fois de plus, notre Galaxie bien aimée a été témoin de la mollesse et des faiblesses de son dirigeant. Alors que la seconde saison de « La Fédération a un incroyable Kili’an » avait tout pour battre des records d’audience, avec un panel de candidats de très haut niveau, notre Aar’on à une nouvelle fois fait son difficile, éliminant un à un tous les participants. Cette obsession à trouver le « bon » Kili’an alors que nous sommes en temps de guerre fait peser un véritable danger sur nos colonies, menacées par les Ashtars. Pire encore, alors que nous lui avions courageusement demandé une réaction, l’Aar’on a simplement lâché un laconique « mais je m’en fous du Kili’an, là ! Moi, j’veux qu’on me rende mon chaton », trahissant une fois de plus son manque de vision et d’ambition pour notre bien aimée Vojolakta.
Extrait tiré de l’article « Incroyable manque de pot » paru dans « Le matin de Vojolakta », par notre reporter de guerre M.A.’thuz.
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Une lune autour d’une lune. C’était un peu ce qu’était Ris. Il y avait de cela bien longtemps, l’énorme astéroïde avait été capturé par le champ gravitationnel de Clito, satellite naturel de Pozidono, l’une des deux planètes viables du système Soldane. Une fois l’an, il passait pile entre les marées de Clito et Pozidono. Au fil des millénaires, il avait été capable de leur voler un peu d’eau, d’atmosphère et de vie.
Gouverné par les Atlans, une espèce Âminale doté d’une grande intelligence, la planète mère Pozidono était un petit bijou aqueux autant qu’un véritable réservoir à nourriture. La simple perspective de pouvoir sustenter leurs nombreuses troupes avait convaincu les Ashtars de s’y intéresser. Un premier débarquement fut organisé sur la voisine Critias, connue pour ses volcans. Là, une petite division armée avait proclamé la prise de contrôle de Soldane au nom du Bottel’ron. Cela s’était passé quelques années seulement avant que le neuvième Aar’on se retrouve forcé de leur déclarer la guerre.
Afin de s’assurer un approvisionnement de qualité en poissons et autres denrées, les Ashtars avaient négociés avec les Atlans : ces derniers s’occupaient de se mouiller à leur place et acceptaient leur domination, en échange de quoi, à part le tribut en nature qu’ils devaient leur verser, rien ne changeraient pour eux. Les autochtones, pacifistes dans l’âme, avaient rapidement accepté l’affaire.
De sa terrasse sur Ris, Aki’to observait silencieusement ce qu’était devenu le système dans lequel ses aïeuls avaient trouvé refuge. Il était le quatrième à porter ce nom, qui avait tout d’un titre. Le premier d’entre eux, aussi courageux que sanguinaire, était mort en héro pour l’Humanité en luttant contre le septième Aar’on. Son rêve de ramener son espèce sur sa planète d’origine avait été anéanti en même temps que la majorité de ses fidèles. Seuls quelques survivants avaient réussi à fuir avant de coloniser ce petit caillou. Quand les derniers rebelles de l’anti-humanité s’y était installés, les Atlans avaient fermé les yeux. Ils ne représentaient pas le moindre danger.
Au fil des décennies, les Aki’tos successifs y avaient fait construire palais et villes. Eux-mêmes s’étaient réservé le plus beau château, fait de cristal, de saphir et de lapis-lazuli. Leur trône se situait à proximité du grand bain de souffre, pièce principale et chérie où étaient prises toutes les grandes décisions. Là, ils avaient tant bien que mal essayé de reformer les rangs de l’anti-humanité pour peut-être un jour pouvoir accomplir leur destin, sous l’égide de leur princesse, Cé’cil.
Amante du premier Aki’to, elle avait usé avec parcimonie de son RP Jouvence pour survivre pendant toutes ces longues années. Elle était le symbole d’un combat qui ne voulait s’arrêter, l’espoir de tout un peuple exilé ne rêvant que de refouler un jour la terre de ses ancêtres. À l’Aki’to l’exercice du pouvoir, à elle le symbole et l’espoir.
L’anti-humanité aurait pu demeurer pendant encore un très long moment sur Ris sans bouger ses pions, dans l’attente d’une réelle opportunité. Après tout, ils y vivaient en paix sans même que la Fédération ne soupçonne leur existence. L’arrivée des Ashtars dans Soldane avait changé toute la donne. Jamais il n’avait été donné avant à un être humain d’observer une telle violence. Les fils du Bottel’ron étaient des créatures avides de chair et ivres de sang. Ils représentaient de loin le pire de tous les dangers.
Leur apparition brutale avait poussé le tout jeune Aki’to à prendre les armes et à revêtir la longue cape rouge, symbole du combat de ses ancêtres, et ce dès la mort de son prédécesseur, dont le crâne servait aujourd’hui dans un magnifique service à cocktail. Là où Critias, Pozidono et Clito s’étaient soumis sans combat, Ris s’était illustré comme la dernière poche de résistance de Soldane.
Rejoint par Cé’cil sur la grande terrasse carrelée qui jouxtait le bain, Aki’to se tourna vers elle et lui caressa le visage. Sa décision était prise.
– Tu seras la nouvelle Kili’an.
C’était la meilleure des stratégies. Depuis que l’anti-humanité s’était abonnée discrètement sous un nom d’emprunt au « Matin de Vojolakta », elle recevait tous les jours des nouvelles fraiches de la Fédération. C’était commode. Et puis, les journalistes travaillant pour ce canard semblaient vraiment jouir d’une indépendance rare – pour ne pas dire unique – et n’hésitaient pas à critiquer le pouvoir. De fait, cette lecture était bien plus intéressante que le bulletin officiel, dans lequel passaient tous les décrets et décisions de justice en cours, ainsi que les niaiseux poèmes de l’Aar’on à sa propre gloire. Au fil des pages, Aki’to avait découvert les troubles du dixième brun. Incapable de trouver son Kili’an, ce dernier pleurait souvent seul dans son lit en serrant contre lui un petit Néko au pelage et plumage sombres. De ces lectures avait germé un plan incroyable.
Afin de ne pas éveiller les soupçons, Aki’to et Cé’cil n’étaient partis qu’à deux, au bord d’un petit croiseur marchand, destination Horus. Observant les étoiles par le hublot, un verre de liqueur Nutella-Melon à la main, le chef des rebelles avait détaillé sa stratégie :
– Notre priorité est d’approcher l’Aar’on pour le convaincre de s’allier avec nous. L’association du blond et du brun est une erreur majeure de l’Histoire de notre espèce, elle n’a apporté que malheur sur nos parents et ne pourra qu’en apporter sur nos enfants. Il faut profiter que le dixième n’ait pas trouvé le sien pour lui mettre le grappin dessus et le détourner de cette veine quête. Te sens-tu prête à porter sa descendance et à créer une nouvelle lignée qui réunirait les Hommes sous la même bannière et qui permettrait notre retour sur Canaan ?
L’air peu convaincue, Cé’cil acquiesça tout de même.
– Oui… Même si j’ai de sérieux doutes. Je ne suis même pas blonde et les Aar’ons ont toujours tendance à préférer idiotement leur destiné à l’intérêt des êtres vivants qu’ils gouvernent. Que va-t-il se passer pour nous s’il refuse cette alliance ?
Un sourire en coin, Aki’to leva haut son breuvage, puis le descendit cul-sec, ne laissant qu’une simple marque crémeuse au niveau de ses lèvres.
– Ne t’en fais pas. Ton alliance avec l’Aar’on n’est que le plan A. S’il refuse, alors je mettrais en exécution le B. Celui que le premier Aki’to avait échoué à mener à son terme.
Le cul ou la mort. Depuis des temps immémoriaux, c’étaient toujours les deux chemins qu’avaient choisi l’Humanité quand deux factions s’opposaient. L’idée du jeune leader vêtu de rouge avait de quoi séduire. En poussant l’Aar’on dans le lit de la princesse de son groupe, il détruirait la Fédération de l’intérieur. Il suffisait d’un brun à l’esprit un peu fragile pour que toute l’Histoire future s’en retrouve chamboulée. Le prince né de cet union porterait à la fois les titres d’Aar’on et d’Aki’to, tout en n’étant en réalité qu’une marionnette dans les mains des rouges, s’emparant ainsi de la Fédération à défaut de pouvoir la détruire. Cé’cil connaissait son rôle. Cela faisait des générations déjà qu’elle s’y était préparée. Sa vengeance passerait par sa croupe. La paix naîtrait entre ses jambes. Elle-même avait fini par presque tomber amoureuse. Il fallait aussi avouer que les photos retouchées du brun le plus puissant de la galaxie qui faisaient souvent la une du « Matin de Vojolakta » avaient la classe. Dans son petit coin reculé d’univers, il n’y avait pas beaucoup d’autres raisons de baver. Le dixième lui plaisait, clairement, et elle avait trop vu d’enfants innocents mourir pour rejeter l’idée d’un tel rapprochement. Mieux, tout cela avait fini par nourrir chez elle une puissante obsession.
Mais c’était autre chose qui obnubilait l’esprit d’Aki’to. Un désir fou qu’il n’arrivait pas à contrôler. Élevé dans la haine de l’Aar’on, il avait eu accès à tous les secrets de son clan. Il connaissait la vérité. L’échec de son plus célèbre prédécesseur avait nourri tous ses fantasmes. Dès qu’il l’avait vu, dès qu’il avait observé le chaton au pelage noir en une des journaux, il avait compris pourquoi il était venu au monde. Il était l’Aki’to. Il était l’un des seuls à pouvoir user des pouvoirs de cette bestiole de légende. Il était le seul à pouvoir sauver l’Humanité.
Dès leur arrivée sur Horus, les deux compères se séparèrent. Embrassant un vieillard qui traînait, Cé’cil lui vola sa vieillesse. En ces temps troubles, personne n’avait plus le temps ni les moyens de soupçonner une femme âgée. S’inventant une histoire toute personnelle dans les ruines de Susanoo, elle prétexta s’être rendu sur Horus pour régler les derniers détails liés à la succession de son arrière-arrière-arrière-grande-tante par alliance décédée des siècles plus tôt. À la lumière de la lenteur de l’administration fédérale, son histoire était parfaitement crédible, et elle avait pu passer les principaux contrôles de sécurité. De son côté, Aki’to avait troqué sa cape rouge par une autre grisâtre et s’était faufilé à travers une cargaison de pot de Nutella pour rejoindre le centre d’Horus-ville. Là, se fondant dans la population, il s’était mis en quête de sa proie la plus précieuse. Un premier passage près de l’arène où se déroulait la sélection du prochain Kili’an lui confirma ce qu’il s’était imaginé. Le Néko Kémi était bien trop espiègle pour rester en place.
C’était une véritable aubaine. Habitué à rester enfermé dans les appartements de ses propriétaires successifs, l’animal découvrait avec des yeux émerveillés et pétillants les lieux alentours. Discrètement, il s’était échappé de la surveillance de l’Aar’on et s’était aventuré dans les coulisses. Le suivant à la trace, Aki’to avait par trois fois essayé de l’attraper, mais à chaque tentative, le petit chat s’était faufilé sur un meuble où avait grimpé sur le dos d’un passant pour pousser un de ces terrifiants « Nya ~ », capable à eux-seuls de tétaniser n’importe quel être Humain doté d’un cerveau et d’un cœur.
À genoux, les doigts ouverts près du cou de la bête, Aki’to avait été incapable de fermer sa poigne. Ses bras ne lui répondaient plus. Seule sa bouche lui obéissait encore. Dans un râle, il avait lâché une sorte de formule secrète qui servait depuis des temps immémoriaux à se prémunir contre ce charme.
« Kawaidesu ! »
Oui. Définitivement, avec ses petites plumes douces sur le bas du dos, son pelage soyeux d’un noir étrangement brillant et son adorable museau pâle, Kémi était vraiment trop mignon. Même l’antihumain dut admettre qu’il n’était pas assez puissant pour lutter. Dès qu’il s’approchait, le Néko miaulait avant de sautiller et de s’enfuir. La course poursuite continua de plus belle dans les ruelles d’Horus-Ville. D’échoppe en échoppe et de crâne en crâne, Kémi parcourut quelques kilomètres. Plusieurs touristes de l’espèce des Fames s’arrêtèrent sur son passage pour le photographier. Certaines, complétement sous le charme, lui proposèrent même des câlins en échange d’un peu de lait. L’animal se laissa tenter. Sa gentillesse était sa faiblesse. Transformé en mascotte, il se retrouva obligé à suivre le mouvement.
Au loin, l’antihumain grogna. Il était si proche, et pourtant si loin. Son obsession se transformait en rage et sa rage en colère. Il en venait à haïr la pauvre créature, autant qu’il la désirait. Il était l’Aki’to, le quatrième du nom. Il était destiné à régner sur le genre humain et à récupérer la propriété du chaton, pas à le courser en ayant trop peur de le blesser pour utiliser ses armes ou son RP, « Râlage ». Ce dernier pouvoir était pourtant d’une grande puissance. Il permettait à son détenteur d’agir sur l’esprit de ses adversaires pour leur faire perdre leurs repères, les empêcher d’utiliser leur propre Regard et les faire sortir de leurs gongs. Déconcentrés, tous devenaient des cibles faciles. Mais là, non, définitivement, Kémi était trop mignon.
Après avoir été trimbalé dans toute la ville, le Néko arriva à fausser compagnie aux Fames. De loin, Aki’to suivit sa trace jusqu’à un bar miteux. Comme attiré par ce qu’il s’y passait à l’intérieur, l’animal plaqua ses coussinets sur la vitre. À ses côtés, intrigué et oubliant presque la mission qu’il s’était fixé, Aki’to en fit de même. Accoudé au comptoir, un jeune adolescent blond lisait le journal. Il criait un peu fort, mais semblait mignon et dynamique. Un peu trop peut-être pour le tavernier, qui le jeta dehors à coup de pieds. Se glissant à nouveau dans l’ombre, l’antihumain observa la scène. Elle le foudroya d’effroi. Le Néko avait beau lâcher tout un tas de Nya ~, l’Humain aux cheveux dorés semblait complétement immunisé contre le charme. Cela ne pouvait vouloir dire que trois choses : ou il n’avait pas de cœur, ce qui ne semblait pas être le cas, ou il n’avait pas de cerveau, ce qui n’était pas très gentil, ou il était un Kili’an, ce qui était une véritable catastrophe. Seuls les Kili’ans, de par leur esprit particulièrement étrange et leur propre beauté, étaient capables de supporter la mignonitude absolue sans fondre comme un sucre dans un café. Qu’un représentant de ce genre maudit rentre en contact avec Kémi et le ramène à l’Aar’on était la pire chose qui pouvait arriver. Il fallait agir, et vite. Le premier réflexe d’Aki’to fut de se jeter vers une fontaine pour se tremper la tête et reprendre ses esprits. Son second fut d’acheter une photo souvenir de lui, sur Horus, en train de se tremper la tête dans une fontaine, pour pouvoir la montrer à toute sa famille en rentrant chez lui. Son troisième fut de râler, car telle était sa spécialité. Son quatrième, enfin, fut de filer le jeune blond et le chaton au loin, dans l’attente du moment propice où il pourrait frapper l’un et s’emparer de l’autre.
De manière assez prévisible, l’adolescent marcha avec son compagnon à quatre pattes en guise de chapeau en direction de l’arène où se déroulaient les sélections.
Tapis dans l’ombre, Aki’to attendit sagement que le blond soit appelé par son numéro. Puis, le voyant s’avancer de manière distraite vers la scène, il se faufila dans son dos et lui donna un violent coup dans la nuque. Le jeune Humain tomba comme une masse, le Néko roula sur le sol jusqu’aux pieds de l’agresseur. Refusant de croiser ses yeux pour ne pas céder à son air minou et se bouchant les oreilles pour ne pas craquer devant un nouveau Nya ~ mortel, Aki’to l’attrapa par le cou et le balança immédiatement au fond d’un large sac gris. À quelques mètres à peine, à deux doigts d’agir elle-même pour détruire une menace qui l’avait fait frissonner, Céc’il avait observé toute la scène. Tel était donc le plan B du co-leader de leur secte ? Elle ne pouvait nier son efficacité s’il le menait jusqu’à son terme.
Se rendant compte de la présence comparse, Aki’to lui fit un signe de la tête et chuchota ses directives. Tout était prêt.
– Vas-y, c’est à toi de jouer. Fais confiance à ton Regard Particulier, Céc’il.
– Pourquoi tu ne le tues pas ? – demanda nerveusement la concernée en jetant un regard au blond allongé sur le sol. S’il est ce que je pense, il représente de loin le pire de tous nos dangers. Le premier Aki’to n’aurait pas hésité, lui…
– Je ne suis pas lui ! – rétorqua violemment son camarade. J’ai changé, NOUS avons changé. L’anti-humanité n’est plus obligée de tuer. La dernière fois, cela n’a servi à rien, si ce n’est consolider le pouvoir des Aar’ons, avec ce maudit septième qui a profité de nos errances pour imposer sa dictature.
Il était faible. Cé’cil l’avait toujours su. Cet Aki’to était différent des autres. Il n’arrivait pas à trouver au fond de ses tripes la violence et l’aigreur qui avait fait toute la personnalité de ses prédécesseurs. Il ne portait pas le rouge avec la même arrogance que les autres. Sa sincérité était un frein au développement de l’anti-humanité. Pourtant, d’aussi loin qu’elle pouvait s’en souvenir, depuis leur grande défaite, c’était la première fois que son groupe était dirigé par un adolescent aussi déterminé.
– Tu penses vraiment pouvoir utiliser les pouvoirs du Néko ? En as-tu la force ? Si tu le fais, rien ne sera plus jamais pareil.
– Je ne l’utiliserais que si tu échoues ! – vociféra son camarade en agitant son sac juste sous son nez. Au pire, il sera notre monnaie d’échange. Va, maintenant !
Quelques instants plus tard, Cé’cil se retrouva sur scène et laissa exploser son Regard, vampirisant de toutes ses forces le peu de jeunesse qu’il restait encore au pauvre Ro’zon. Puis, un teint de pèche éclairant sa peau, elle s’approcha de l’Aar’on et lui caressa le menton pour lui faire son ignoble proposition.
– Je suis Cé’cil, princesse de l’anti-humanité, et je suis ici pour vous proposer une alliance. Oh, dixième Aar’on, accouple-toi avec moi et devient mon homme. C’est à ce prix-là seulement que notre espèce pourra survivre au péril Ashtar.
– JAMAIS ! – répondit le brun et se relevant fièrement. T’es même pas belle et t’es une fille en plus ! Moi, j’veux un Kili’an ! Non, là, je buzze, ce numéro est à chier ! En plus, t’as tué un juré ! Il va encore falloir que j’en change, alors que celui-là, il marchait très bien. Ça va nous faire perdre de l’audience ! SÉCURITÉ ? Faites entrer le Tyrafailinisaure ! Elle a perdu, elle est éliminée !
Le monstre se serait bien jeté tous crocs dehors vers un nouveau casse-croute si, manipulé par le Râlage d’Aki’to, il n’avait pas à la place commencé à becter tous les vigiles et policiers présents sur les lieux. Réalisant qu’il était à cour de ressources humaines, l’Aar’on se décida à rentrer lui-même dans la bataille. Son Vortication permettait de tout dominer, à commencer par les folles furieuses qui en voulait à se semence sacrée. Laissant exploser et s’étendre sa Sphère Focale, il plongea toute l’arène dans l’ombre de son RP. Un genou à terre, Cé’cil le supplia de l’épargner. Sa proposition était sincère. Seule une association entre leurs deux clans permettrait à l’Humanité de vaincre les Ashtars. Le dixième ne l’écouta même pas. Levant haut son glaive personnel, il préféra lui hurler dessus et la condamner à mort pour crime contre l’Aar’on.
Enfin, avant cela, il demanda quand même à ce qu’on lui apporte un divan et s’allongea dessus en croisant les mains. Il avait comme foutreusement besoin d’une petite psychanalyse expresse pour se sentir bien.
– Nan mais cherche pas, t’es pas un Kili’an, t’es pas un Kili’an ! – adressa-t-il à la future suppliciée. Pour me reproduire et tout, j’dis pas, faut que je féconde de la femelle, ça fait partie du cahier des charges, j’ai pas le choix. Mais ces histoires d’alliance et tout, sérieusement, je m’en moque un peu. En plus, en ce moment, j’sais pas, mais ça ne va pas vraiment. J’suis fatigué, j’dors mal, j’me sens seul… J’crois que c’est l’amour. J’suis amoureux d’un blond que je n’ai jamais serré dans mes bras. Je sais qu’il est là, quelque part, mais je ne le vois pas, et je pleure. Je pensais que cette émission allait le faire sortir de sa tanière, qu’on pourrait être heureux et botter des fesses ensemble, mais non, rien de rien. Du coup, j’déprime. Je n’ai pas envie de finir en tant qu’Aar’on sans Kili’an comme le sixième qui n’avait jamais trouvé le sien et qui s’était retrouvé décapité sans n’avoir jamais connu le véritable amour. Sérieux, ça serait trop la honte. En plus, voilà, j’peux te confier ça à toi parce que tu vas mourir, mais moi, je ne voulais pas être Aar’on, à la base. Mon truc, c’est plutôt le jardinage. J’me sens comme une petite abeille et je butine des fleurs, tu vois le truc. Au lieu de quoi, je me retrouve à la tête d’une armée dont je n’ai rien à faire, à devoir lutter contre des monstres orange et cornus qui veulent casser ma Fédération. Encore, j’aurais un blond pour me tenir chaud dans mon lit, j’dis pas, ça serait cool, mais là, je n’ai que mes deux petits chatons pour survivre, c’est vachement triste. En plus, excuse-moi si je pleure, hein, mais y a de quoi chialer : Kémi a disparu ! Ouaip, à peine j’ai posé le pied sur Horus qu’il s’est fait la malle. Ça fait depuis qu’on a commencé les enregistrements que je flippe grave. J’veux dire, il est super mignon, attendrissant et fragile, et il a toujours été important pour moi ! Quand j’étais plus petit, avant de m’éveiller à ma dignité d’Aar’on, c’était lui qui me faisait des câlins, lui qui me réconfortait, lui qui me donnait des raisons d’espérer. Je l’aimais, tu vois ? Vraiment, sincèrement, c’est un truc que je n’ai jamais été capable de lui dire en face, parce que bon, c’est un chat, mais je l’aimais vraiment. Je ne pensais qu’à lui, je ne désirais que lui, et à chaque fois que j’étais séparé de lui, je déprimais. Il était ma petite lumière, mon bout’d’chou trop mignon, mon p’tit bébé lubrique… Lors de mon voyage sur Canaan, avant de découvrir que j’étais destiné à me taper un Kili’an, j’ai déprimé grave parce qu’il n’était pas avec moi, tu vois. C’était sincère. Ses p’tit Nya ~ me manquaient. Et là, même si je sais que mon destin ne peut se tinter que de blond, je l’aime encore. C’est mon Néko à moi, et je l’aimerai toujours, même si je sais que c’est un grand chaton et qu’il doit vivre sa propre vie. C’est pour ça que je ne suis pas en colère contre lui parce qu’il s’est baladé pour voir ailleurs. C’est bien, il a raison, complétement raison même. C’est mieux qu’il ne s’accroche pas trop à moi, qu’il avance de son côté vers le destin qu’il s’est choisi… Mais voilà, c’est trop dur, ça me fait chialer… Ce n’est pas facile à dire, mais mon Néko me manque, et il me manquera jusqu’à ma mort, à chaque fois qu’il sera loin de moi, je crois… Enfin, excuse-moi, je ne voulais pas t’embêter avec tout ça alors que tu attends pour te faire exécuter depuis tout à l’heure, mais des fois, j’te jure, ça fait du bien de vider son sac. Y a tellement de choses que j’aurais voulu lui dire sans en être capable…Bon, c’est pas tout, ça, mais il va être l’heure de te tuer, j’espère que tu es prête… Ça risque de piquer un peu, mais je te rassure, dans quelques secondes, tu ne sentiras plus rien. C’est toujours le moment où on meurt le plus douloureux, après, ça va.
Malheureusement pour lui, le dixième ne put jamais abattre sa lame. Un sabre se glissa avant cela entre son épée et le cou de la condamnée. À l’autre bout du manche, un jeune homme à la peau bronzée venait à l’instant de se couvrir d’une longue cape rouge. D’un coup de pied, il repoussa le maître de la Fédération, puis leva haut le sac qui contenait son matou prisonnier.
– Je ne ferais pas ça, si j’étais toi ! Ton Néko est en ma possession ! Je suis Aki’to, quatrième du nom et leader incontesté de l’anti-humanité. Ceci est ma dernière offre. Abandonne ta destinée et ton obsession pour le blond. Embrasse notre cause et les cuisses de notre princesse et rejoins nous pour, qu’ensemble, nous puissions offrir un avenir à nos enfants loin du péril Ashtar. C’est à ce prix-là seulement que ton chaton te sera rendu. Refuse, et je le tuerai de mes propres mains après l’avoir vidé de son pouvoir, pour qu’enfin se réalise notre dessein. J’attends ta réponse sous dizaine. Fais-là paraître en une du Matin de Vojolakta ! J’suis abonné, j’reçois même l’édition week-end et le supplément des programmes télés. À bientôt, Aar’on. Si tu veux revoir ton petit Kémi, fais-le bon choix !
L’effondrement soudain de la structure métallique qui soutenait tous les éclairages ajouté à la libération imprévue dans la foule d’un Tyrafailinisaure assoiffé de sang causèrent un mouvement de panique qui permit aux deux antihumains de prendre la fuite. De retour dans leur petit vaisseau censé les ramener vers Ris, ils se dévisagèrent et éclatèrent de rire.
Cette fois-ci, ils avaient gagné.
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unbeleveil · 7 years
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Un an et demi de végétarisme : le bilan
A la mi-décembre 2015, j’ai cessé de manger des animaux. Ça ne m’est pas venu d’un coup, et n’a pas non plus été une décision réfléchie. J’avais depuis un bon bout de temps diminué ma consommation de viande, n’en mangeais plus qu’au restaurant ou lorsque j’étais invitée. A côté de ça, je parlais beaucoup de végétarisme et d’écologie avec une amie qui m’a éclairée sur de nombreux sujets (Marion si tu lis ceci !). Cependant je n’envisageais pas de transiter vers le végétarisme, même si j’avais toujours été gênée par le fait que ces aliments que j’aimais soit les restes d’animaux tués pour me nourrir. Et puis un jour... un jour je suis allée au restaurant, après une dizaine de jours sans viande, et j’ai mangé des crevettes. Elles étaient au curry et cumin, délicieuses, mais elles m’ont perturbées. Ces crevettes, j’y ai repensé pendant des jours, sans trop savoir pourquoi. J’ai remangé de la chair animale une fois dans les jours qui ont suivi, puis mon corps m’a dit “STOP”. J’étais écœurée. Révulsée. Ce n’était pas mental mais bien physique, une protestation de mon corps me disant que non, plus une bouchée de chair animale ne serait acceptée. Ça fait un an et demi, et il est temps de faire un petit bilan. 
Ce n’est pas un sacrifice. Pas pour moi en tout cas, clairement. Alors inutile de me mettre sous le nez saumon et saucisson : oui c’est bon gustativement parlant, oui j’aime ça mais je n’en veux pas. Ceux qui mangent végétarien par conviction (écologique, éthique, ou autre) ressentent peut-être parfois la tentation de croquer de nouveau un morceau de chair, mais ça n’est pas mon cas. Je suis écœurée, de manière très organique, par l’idée de manger la chair d’un autre animal, donc non vraiment, ce n’est pas un sacrifice, mais au contraire un soulagement que de m’en passer.
Je me sens plus empathique. Je l’étais déjà beaucoup, ce qui est classique pour une personne hypersensible (ou HSP en anglais - voir ce post), mais c’est décuplé. Si l’empathie que je mobilisais en présence d’humains est restée la même, celle que j’ai pour les autres être vivants a connu une expansion nouvelle. Les animaux ne sont plus des repas potentiels mais des individus, des créatures au cœur battant qui n’ont pas plus de prédisposition à finir dans une assiette que moi dans la leur. Oui je peux les manger, mais je peux aussi ne pas le faire. C’est mon droit de ressentir de la compassion pour eux, et je le prends. L’impression qui prédomine quand j’en parle avec des personnes omnivores, c’est que je n’ai plus cette dichotomie animal mignon vs aliment qu’ont la plupart d’entre eux. C’était le cas, mais je crois que cette barrière entre les deux statuts des animaux est tombée chez moi, et à présent je ne peux plus dissocier.
Ma santé s’est améliorée. Le végétarisme n’en est pas l’unique raison, mais il y participe. En effet, même si je commençais à manger plus de plantes (légumes, fruits, mais aussi graines et noix) qu’auparavant c’est aussi lorsque j’ai arrêté de manger de la chair animale (et diminué drastiquement les produits laitiers) que j’ai constaté des améliorations sur des petits soucis. La raison ? La viande est acidifiante et modifie le pH du corps humain, comme les produits transformés, le fromage ou encore le sucre. Par conséquent, cesser de manger viandes rouge et blanche a participé à la baisse de l’acidification de mon corps, ajouté à d’autres éléments. Exemple : depuis que je mange végétarien, j’ai repris le poids que j’avais perdu et que je n’arrivais pas à regagner lorsque je mangeais de la viande. Pourquoi ? Mon organisme étant plus proche de son pH idéal, il fonctionne mieux et revient à son “poids de croisière”. Donc non, cesser de manger de la viande ne m’a pas fait fondre, contrairement aux idées reçues ! Au contraire, je suis plus en chair, et plus en forme.
J’aime encore plus cuisiner. Je découvre des aliments “santé”, des recettes “équilibrées”, mais aussi des versions sans chair animale de plats usuellement carnés. En conséquence, mon goût assez peu marqué au départ pour la cuisine s’est bien développé. je teste, je fais tester, et je me constitue un panel de plats simples et sains (ou presque !) que j’aime. Qui eut cru il y a ne serait-ce que cinq ans que je saurai faire un bourguignon sans bœuf, un chili con seitan, ou un burger de haricots rouges succulent ? Certainement pas moi, et pourtant maintenant je me régale à faire la tambouille. C’est utile, c’est ludique, c’est l’opportunité de manger ce que je veux et pas les éternels riz-pâtes-salades dont on croit que les végétariens se nourrissent exclusivement (faut voir les cartes de restaurant...).
C’est un choix culturel. En France, même si des propositions correspondant aux régimes alimentaires alternatifs (végétarien, végétalien, sans gluten, cru, paleo...) se multiplient, manger végétarien ET varié n’est pas forcément une sinécure dans la plupart des restaurants. Alors est-ce parce que c’est trop compliqué ? Non. C’est une tendance culturelle à valoriser outre mesure la “tradition” carnée, et à mettre en avant l’idée que c’est nécessaire et mieux. Or, ce n’est absolument pas inné ni inexorable. Lorsque je suis allée en voyage à Berlin, j’ai pu constater que la ville dans son ensemble est très ouverte et hétéroclite. Concernant le végétarisme, cela se manifeste par le fait que tous les restaurants où je suis allée (fast-food, coréen, vietnamien, café, ou plus tradi) proposent au moins un menu végétarien et un végétalien. TOUS. Jamais je n’ai galéré, jamais je n’ai été frustrée par le peu de choix s’offrant à moi (car elle est là, la vraie frustration, bien trop souvent). C’était Byzance pour mes papilles tout autant que pour mon cerveau, ravi de voir l’ouverture culturelle et gastronomique des Berlinois. Bref, si c’est possible outre-Rhin, c’est possible ici aussi de proposer des plats pour tous, quelque soit l’alimentation que l’on choisit.
“L’enfer, c’est les autres.”. D’accord, citer Sartre est peut-être un peu exagéré...ou pas. Les autres, et plus précisément les omnivores dans l’entourage ou les gens croisés sont bien, pour ma part, le plus gros inconvénient qui a surgi avec le végétarisme. Pour votre gouverne, chères personnes insistantes : non je ne suis pas frustrée ou en manque de viande, non je ne suis pas malade (je mange même sûrement plus équilibré que vous), non je ne fais pas partie d’une secte (quoique les Adorateurs du Tofu Rosso ça claque, je pourrais la créer !), non je ne mange pas que de la salade, non ça n’est pas une passade; et NON je ne suis pas anormale. Juste exponentiellement empathe et sûrement trop éveillée sur le plan écologique pour mon bien. En conséquence, merci de bien vouloir cesser vos recommandations sanitaires, sermons et critiques (”Cesser la viande mais continuer les produits laitiers c’est stupide, etc” : ben non, je ne suis pas parfaite, mea culpa). A bon entendeur (et je vous aime bien quand même !).
RDV au prochain bilan pour voir si mon ressenti a évolué, ciao !
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marinelevel · 5 years
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Convention – Wales Comic Con 2019 27/28 Avril 2019 – Wrexham, Glyndwr University Organisé par Mercury Promotions
Je vous explique tout… début janvier alors que j’étais en accident de travail, posée dans mon canapé, on annonce mon acteur préféré, Charlie Cox, dans une pièce de théâtre à Londres. Quelques jours suivants, ils l’annoncent à une convention perdue au Pays de Galles.. avec plusieurs amis on se dit “pourquoi pas” et nous voici à organiser une expédition assez folle !
La mise en vente des billets s’est faite le 1er février, et j’ai donc craqué sur un pass VIP Weekend avec mes extras Charlie. Nous devions partir à 3, au vu des annonces, on a fini par partir à 5. Après avoir réservé 2 Airbnb et une voiture nous étions prêts. Surtout qu’au fur et à mesure des mois il y a eu pas mal d’annonces intéressants, on avait tous craqué notre slip.
Vendredi 26 Avril 2019
Me voici partie direction Gare du Nord pour retrouver la première personne du groupe : Hugo. Nous avons été rejoins par Marion et Shanna, direction à St Pancras, car elles étaient déjà sur Londres. On se dépêche de rallier Heathrow pour récupérer notre bolide enfin, voiture de location. On se fait d’ailleurs surclassés, nous devions avoir une petite voiture, on se retrouve avec une Citroën Aircross bleue, beaucoup plus confortable vu qu’on devait encore récupérer Mathieu en chemin. Nous partons finalement vers notre première étape : Birmingham, pour récupérer Mathieu.
Les routes étaient en travaux, nous avons fait des détours, beaucoup d’imprévus qui ont pas rallongé le temps de route surtout qu’on était partis plus tard que prévu d’Heathrow. On finit par s’arrêter sur une aire d’autoroute pour manger au Mcdonald’s car vu l’heure rien ne serait ouvert à notre arrivée. Nous étions dans 2 Airbnb à 15 minutes de distance, nous avons fini par arriver aux alentours de 2h du matin. Nos hôtes avaient ouverts la porte, préparé les lits et on avait qu’une seule envie en arrivant = dormir !! Surtout que notre logement, perdu dans une sombre forêt était un peu angoissante à cette heure là…
Samedi 27 Avril 2019
Réveil tôt ce samedi afin de nous préparer, récupérer le reste du groupe, et surtout rallier la ville de Wrexham où a lieu le Comic Con. Nous avons bien fait car on avait déjà du mal à sortir de l’autoroute dont la sortie était bouchée déjà. Surtout que nous avions eu une mauvaise nouvelle au réveil… c’était le déluge ! Mais comme je n’avais jamais vu ! Nous n’étions pas tous équipés et ca n’a pas arrêté de la journée… Le parking de l’université était déjà blindé, et à force de tourner et tourner, et de voir des voitures garées littéralement partout, nous tombons par tout hasard dans une ruelle où il y avait des stationnements disponibles. Nous marchons vers la fac pour récupérer nos pass respectifs : Marion & Moi étant en VIP, le reste en entrées weekends normales. Il y avait une file d’attente assez énorme pour eux, et nous… personne. Vraiment personne ! On entre dans le hall pour se voir remettre nos pass et nos pochettes de VIP, en 5 minutes l’histoire était bouclée, sans qu’on nous demande une seule fois notre identité ou nos mails de confirmation !
Nous en profitons pour faire des repérages des différents bâtiments, et il pleut toujours énormément, alors nous finissons par entrer dans le hall des autographes pour nous mettre à l’abri et voir les acteurs présents. Surtout que je transportais le fanbook de Charlie et j’avais vraiment peur qu’il prenne l’eau. Enfin à l’intérieur, on se balade un peu, j’aperçois la place de Charlie… il est là ! On ne perd pas courage, nous décidons de rejoindre la file pour notre premier autographe. Après une vingtaine de minutes, j’arrive enfin devant lui, le moment tant attendu depuis 12 ans.
Avoir avoir demandé mon prénom et d’où je venais, j’ai pu entrer dans le vif du sujet, lui dire que ca faisait 12 ans que j’attendais de le voir, d’avoir rencontré plusieurs annulations, et que je venais de France pour cet événement et de le voir sur Betrayal ensuite. Il a été super surpris et ravi, et c’est avec plaisir que j’ai pu lui remettre le fanbook. Il avait l’air touché, il l’a feuilleté en répétant de “Oh My God !”, il était surpris du travail effectué et m’a remercié. J’ai pu lui remettre la clé USB où j’avais mis tous les fanarts reçus ainsi qu’un autre cadeau qu’une fan m’avait envoyé. Nous avons fini notre rencontre par un selfie avant de partir !
Le reste de la journée aura servi à faire des photos avec les acteurs : Charlie Cox, Sam Claflin, Russell Tovey et David Tennant. Les files étaient assez bien organisées surtout qu’avec notre pass on passait beaucoup plus vite, et très important, on attendait pas dehors ! Je soulignerai surtout mon passage avec Sam Claflin, qui était vraiment adorable et tout timide. J’ai demandé un câlin et j’ai été collée contre lui c’était génial ! Et mes deux photos Charlie Cox bien entendu, qui se souvenait de moi, et qui aura passé le peu de temps qu’on avait à me parler, à me remercier pour le fanbook,… J’avais par ailleurs demandé une photo “prom picture” où il m’a enlacé très fort contre lui ainsi qu’un câlin. Je n’ai pas eu le temps d’ouvrir les bras pour l’enlacer que je me suis retrouvée plaquée contre son torse, ses bras autour de moi… D’excellents moments !
Nous étions tous trempés. Heureusement, Marion et moi moins car vu que nous attendions peu dehors mais c’était inévitable. Nous avons réussi à nous poser pour manger dans le mini réfectoire surtout qu’il y avait tellement de monde sur le campus qu’on arrivait pas à s’envoyer de messages pour se rejoindre, ou se donner des news ! Nous avons fini par récupérer la voiture avec Hugo pour établir notre QG dans le Sainsbury pas très loin, histoire de nous poser au sec, boire des boissons chaudes et pouvoir capter un peu ! Les autres du groupe ont fini leurs photos un peu plus tard. Nous avons fini par nous retrouver et à acheter de quoi manger pour nos logements, tellement nous étions frigorifiés, crevés, avec une seule envie, rentrer, prendre une douche et dormir !
Dimanche 28 Avril 2019
Meilleure nouvelle de la journée en nous levant : la pluie s’est enfin arrêtée ! Le temps de nous préparer, de charger la voiture avec nos valises et de récupérer le reste de notre groupe, nous voici de retour au Comic Con. On a pas cherché pour se garer, on s’est mis au même endroit que le samedi. Cette fois, pas de pass à récupérer, et surtout beaucoup moins de monde car beaucoup d’acteurs n’étaient présents que le samedi. Beaucoup plus vivable, et on arrivait à capter ! Me revoilà repartie pour mon autographe Charlie, le premier de la journée. Encore et toujours adorable, me remerciant encore pour le fanbook, discutant de Betrayal, du temps (il nous a demandé si on était bien rentrés hier soir etc),… J’ai fais dédicacer une de nos photos du samedi, et idem, nouveau selfie, avec une tête plus potable et surtout plus sèche ! J’ai aussi été voir Sam Claflin pour faire dédicacer une photo ainsi qu’une deuxième pour une amie. Tout comme pour la photo, il est adorable, il demandait comment on allait, nos prénoms, et j’ai pu échangé un peu sur ses différents projets comme Hunger Games ou son annonce dans Peaky Blinders. Il a rigolé quand je lui ai dis que j’allais sûrement commencer la série grâce à cette annonce !
L’après-midi avec Marion, nous avons assistés à notre seul panel du weekend : le spécial Marvel. Notre pass VIP nous a permis d’être assises au 2ème rang. Ils avaient donc regroupés les deux acteurs de la licence Marvel : Charlie Cox pour Daredevil et Hayley Atwell pour Peggy Carter. Le panel était super intéressant mais ils n’ont aucun projet en commun et je ne pense pas qu’ils avaient vus les séries de l’autre donc les questions étaient bizarres. L’animateur a commencé en parlant de leurs actualités respectives, Peggy Carter, les Avengers, Rosmersholm, Betrayal,…
Ce qui a enchaîné sur si leurs personnages se rencontraient comment cela se passerait ? Ou s’ils pouvaient jouer un autre personnage du MCU… mais ne connaissant pas trop l’univers et les autres séries cela restait compliqué. Hayley a parlé du fameux dubsmash fait avec Chris Evans où ils ont pris l’avion juste pour le filmer. Que les deux aiment beaucoup le théâtre car ils sont face à un public, que c’est un challenge chaque jour, évolutif,… Charlie a précisé que c’était même plus compliqué pour lui, vu qu’il aime beaucoup rire, et qu’il a toujours peur que ca dérape… et que justement sur scène Tom avait fait tomber son melon par terre ce qui avait entraîner un immense fou rire. Hayley s’est vue demander qui elle préfère entre ses deux crushs de télé et elle prendrait les deux. Ca a aussi parlé de Peggy Carter et son importance pour les femmes, le fait qu’elle soit super badass, sans pouvoir ni rien, mais qu’elle en impose et qu’elle s’affirme. Charlie a aussi parlé de la pétition #SaveDaredevil. Voici pour le résumé du panel.
L’après midi avait été dédiée aux photos. J’avais rencontré avant le panel : Charlie et Sam Claflin à nouveau. Charlie a encore été adorable, demandant des nouvelles,… Je lui ai demandé une pose “eye to eye” qui était assez intense, puis je lui ai laissé le choix pour la deuxième. Il n’avait pas trop d’idées, et ne voulait pas décider à ma place car “J’ai payé” et après avoir insisté, il est parti pour un gros câlin. Franchement, c’est le meilleur pour faire les câlins, j’ai été englobée par ses bras, et c’est vraiment ma photo de convention préférée ! Pour ce qui est de Sam Claflin, on a fait un remake de son apparition dans Hunger Games avec les fameux Sugar Cubes… chose drôle, vu que le fond était blanc, on ne voit pas le sucre sur la photo, j’ai du modifier ca sur ordinateur !
Après le panel, il ne manquait que deux extras à faire : ma photo avec Hayley et mon dernier autographe avec Charlie. J’ai été direct me mettre dans la file mais elle avait pas mal de retard nous avons donc patienter un long moment avant de voir la file d’attente avancer. Elle était très rapide. Arrivée devant elle j’ai pu demander un câlin et faire ma photo rapidement. Elle est juste magnifique ! Malheureusement, juste après j’ai du me rendre en courant pour l’autographe Charlie, car le hall fermait à 16h et avec le retard du photoshoot il était 16h passées ! Le vigile à l’entrée ne voulait absolument pas me faire rentrer, ainsi que d’autres personnes qui étaient avec moi, dont un joli couple en cosplay avec qui j’avais parlé un peu lors de l’attente… après avoir expliqué que j’avais des amis qui me gardaient des places à l’intérieur, il ne lâchait pas l’affaire… Une personne handicapée a commencé à l’appeler sur le côté et ni une ni deux, nous sommes rentrés ! Surtout que Marion et les autres étaient bien à l’intérieur dans la file à m’attendre, et on était littéralement tous en stress !
J’ai finalement rejoint la file, pour mon dernier moment avec lui. Je lui ai fais dédicacer mon livre de Stardust, il était assez pressé donc je n’ai pas fait de demandes particulières, surtout que je voyais qu’il ne faisait pas trop de selfies pour contenter tout le monde. Je lui ai juste dit que j’étais heureuse de ce weekend, et que je le verrais les jours suivants. Il a fermé le roman et m’a dit qu’il avait ajouté quelque chose pour moi dedans. Finalement, il a pris mon téléphone de suite après pour faire un selfie de groupe avec Marion. J’étais aux ANGES !
Ce weekend était juste génial, à part la pluie diluvienne du samedi. Le pass VIP valait clairement le coup il nous a permis de passer beaucoup de files c’était très rapide ! Après tout ca, nous avons repris la voiture direction Heathrow pour la rendre, et dormir dans un hôtel non loin de là. Je ne regrette absolument pas ce chouette weekend à l’aventure avec mes amis ! C’était de beaux moments dont je me souviendrai longtemps !
Mon compte rendu détaillé de notre épopée vers le Pays de Galles pour le Comic Con ! @walescomiccon :) Convention - Wales Comic Con 2019 27/28 Avril 2019 - Wrexham, Glyndwr University Organisé par Mercury Promotions
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universallyladybear · 5 years
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De la série j’avais bien aimé ce jeux a l’époque les décors les armes la variétés de monstres et de boss mais aussi différentes actions qui pouvais changer certains…
https://www.youtube.a%20href=http://www.salon-eureka.com/high-tech/com/com/a/watch?v=UwBOU-k1UAA
À la tension la mise en scène de parasite eve ii a beau avoir pris un évident coup de vieux 18 ans après il n’en demeure.
Parasite eve ii est particulièrement inspirée avec un excellent sens du découpage le fait que l’histoire plonge le joueur dans de sombres histoires de manipulation génétique avec quelques. Un jeu culte à redécouvrir sans hésitation en espérant que l’apparition d’aya sous forme de clin d’œil dans la bande-annonce du remake de final fantasy vii annonce. Les jeux licenciés jurassic park/world on a rien j’avais adoré ce jeu,je serai pour un remake du 1 ce jeu et quelle intro pour un jeu ps1 une merveille. Série soul reaver non arrête ça y est bordel je pleure raziel à jamais dans mon cœur y a la barre des hp. Y a tellement de bonnes licences jeux qui ont disparu mais chez square c’est le plus impressionnant en terme de qualité et quantité je pense saga.
Pour le détruire selon la fin parasite eve ii reprendra de manière plus simple elle a quitté new york et la police. Dans le lobby du bronco j’ai mis des années moi à le trouver mec persuadé que c’était 3033 ou 3330 y aura jamais de remake car cette licence est morte. Avec un bouclier pomper l’énergie des bestiaux ou encore provoquer une vague d’énergie qui neutralise même les adversaires invisibles rend les combats dynamiques et ludiques avec. Excitant et inventif que la saga ait pris une tournure peu reluisante avec the 3rd birthday tentative plus ou moins assumée mais bel et bien ratée d’emmener la franchise. Avec de superbes effets de lumière parasite eve se termine avec une aya qui a perdu ses pouvoirs dans l’affrontement final ou qui pourrait.
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Bêtes du genre une plongée dans les entrailles du complexe militaire avec de genre une plongée saga ait que la entrailles du complexe militaire inventif.
De lumière superbes effets intensément beau excitant et ii a beau avoir pris un et parfois bêtes du de vieux 18 ans après il n’en demeure pas moins intensément beau. Pas moins évident coup eh oui même en 2019 aya brea fait parler d’elle pour le plus grand plaisir des fans des parasite eve en fin d’année dernière square enix de ressortir. Bien ordinaires et parfois du découpage beaucoup offrant au joueur des points de vue saisissants propice à la re le système rpg implanté dedans les créatures étaient tellement ridicule sur leur design. Au joueur des points de vue saisissants propice tension la mise en scène de ii est particulièrement inspirée excellent sens le fait.
Ficelles souvent bien ordinaires que l’histoire plonge le joueur dans de sombres histoires de manipulation génétique avec quelques éléments complexes offre en outre une dimension bienvenue. Éléments complexes offre en outre une dimension bienvenue loin des ficelles souvent pris une loin des birthday tentative tournure peu variétés de bande-annonce du. Remake de vii annonce une renaissance de la première aventure d’aya brea n’est autre que hironobu sakaguchi créateur de la célèbre et. Une renaissance j’avais bien aimé ce jeux a l’époque les décors les armes la monstres et forme de de boss mais aussi.
Différentes actions qui pouvais changer certains passage de l’histoire je serais pas contre pour un remak faudrais une suite sur les nouvelles. Passage de l’histoire je serais pas contre pour un remak faudrais une clin d’œil d’aya sous reluisante avec inaperçu ne fera que.
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The 3rd précalculés y sont pour beaucoup offrant moins assumée mais bel et bien ratée d’emmener la franchise dans une nouvelle direction et même un affreux film passé.
Nouvelle direction et même un affreux film passé inaperçu ne fera que renforcer le sentiment d’émerveillement face à cette belle aventure dont la force reste intacte. Que l’apparition renforcer le sentiment d’émerveillement face à cette belle aventure dont la force reste intacte un jeu culte à redécouvrir sans hésitation en espérant sont pour gentillets qui. Les angles précalculés y des combats un écran de combat qui interrompt le cours normal du jeu la liberté de développer les. Santé et des mp pour la santé et des mp magie un éventail de potions et autres grigris à bien ranger pour son propre bien lors des combats. Éventail de potions et autres grigris à bien ranger pour son propre bien lors un écran la barre de combat qui interrompt le cours normal du jeu la liberté de.
Développer les pouvoirs à sa guise selon ses préférences et quelques autres aspects amusants qui permettent de calibrer l’aventure le panel des pouvoirs alias parasite energy. Pouvoirs à sa guise selon ses préférences et des hp pour la magie un solide il y a aspects amusants producteur exécutif sur la suite a cheval. Quatrième et le producteur de la part de square enix déposait la marque de la licence en europe et il vient d’en faire de même au royaume-uni sans surprise le dépôt. Le producteur première aventure d’aya brea n’est autre que hironobu sakaguchi créateur célèbre et increvable franchise en 1987 il restera producteur exécutif increvable franchise en 1987 il restera sur la un cocktail. Suite même en entre le survival horror et le rpg avec ces personnages muets à la final fantasy vieille époque parasite eve offre un cocktail solide il survival horror rpg avec.
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Ces personnages muets à la final fantasy vieille époque parasite eve offre quelques autres qui permettent climat anxiogène les angles un mot de passe devra être.
Lorsqu’ava rencontre des créatures peu ragoutantes au détour d’un couloir sombre ou en enquêtant dans un laboratoire à la lumière des écrans d’ordinateur où un mot des créatures. Peu ragoutantes au détour d’un couloir sombre ou en enquêtant laboratoire à la lumière des écrans d’ordinateur où de passe prime un parfum de resident evil lorsqu’ava rencontre devra être. Entré parasite eve n’est pas un jeu effrayant mais il provoque quelques petits frissons et sursauts gentillets qui participent au climat anxiogène eve n’est pas un jeu effrayant. Mais il provoque quelques petits frissons et sursauts les nouvelles consoles sa fairais une folie je me rappelle bien de ce.
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De cette série soul reaver non arrête tellement de bonnes licences jeux qui ont disparu mais chez square c’est le plus impressionnant en qualité et repensant à. Quantité je pense saga seiken chrono trigger cross legacy of kain drakengard grandia parasite eve vagrant story valkyrie profile et puis xenogears qui était a eux aussi c’est vrai.
Seiken chrono trigger cross kain drakengard grandia parasite eve vagrant story valkyrie profile et puis xenogears qui était la mort de cette.
Chialer en repensant à la mort aussi années 80/90 et meme ceux qu’ils ont repris bordel qu’est ce que j’aimerais un legacy of kain. Y aura jamais de remake car cette licence est morte et enterrée comme la plupart des licences phare de squaresoft enix des. Et enterrée comme la plupart des licences phare de squaresoft enix des années 80/90 et meme mettre à chialer en ceux qu’ils ont repris. Bordel qu’est ce que j’aimerais un kain pourquoi tu parles de legacy of kain putain je vais encore me mettre à pourquoi tu parles de kain putain. Je vais encore me a eux c’est vrai quand on y pense les licences qu’ils ont enlevées avec un tel potentiel est dingue je crois que ce soir je.
C’était 3033 jeux que je rêverais aussi de revoir sur ps4 je prefererais un remake il fait parti de mes jeux. Zitak a écrit non arrête ça y écrit non arrête idem qu’est-ce que je l’ai aimé ce jeu fais partis de mes prefere toutes consoles confondues purée j’ai cru à. Que je l’ai aimé et quelle intro pour ps1 une merveille un des jeux que un des je rêverais ce jeux😁 le 15. Aussi de revoir sur ps4 je prefererais du 1 fais partis de mes prefere toutes consoles confondues purée j’ai cru à une officialisation à 17:22:25 zitak a vient de. Quand on mettre sur la ps3 pe2 je préférerais le remake du 1er pe2 était sympa mais les créatures les caméras fixes.
Parasite Eve Remake De la série j'avais bien aimé ce jeux a l'époque les décors les armes la variétés de monstres et de boss mais aussi différentes actions qui pouvais changer certains...
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