L’inattendu
Ce qui nous émerveille, ce qui nous surprend de la vie est, toujours à nos yeux, improbable, mais possible. Mais, pour cela, il ne faut pas être certain d’avoir tout compris, d’avoir tout appris et d’être en contrôle.
L’inattendu ne ressemble en rien à ce que nous avons anticipé, c’est la fenêtre de vie qui démontre que rien n’est acquis, que tant qu’il est possible, nous pouvons apprendre. Je…
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« Pour qu’une élite se dégage véritablement, il faut donc qu’il y ait une lutte. Cette lutte doit être assez égale pour que l’issue n’en soit pas prévisible d’abord, assez longue pour qu’elle exige de lourds sacrifices, assez âpre pour qu’elle engage de gros tonnages d’énergie, assez dramatique pour qu’elle soit une occasion d’héroïsme. »
Maurice Bardèche. Sparte et les Sudistes.
🐀 @gudparis
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Pourquoi l’immigration est-elle encouragée par nos gouvernements ?
Il est une question lancinante qui rend perplexe plus d’un observateur avisé du chaos généralisé dans lequel la France et le monde occidental sont plongés : pourquoi ? Pourquoi ceux qui nous gouvernent ont-ils à ce point promu et facilité l’immigration extra-européenne de masse ? Pourquoi cette politique folle, alors même que les effets néfastes de cette décision étaient prévisibles ? Dans le…
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Je lis assez bien. En ce moment, c'est mon loisir principal, avec les cours de langues. En tout cas le rythme me plaît bien.
Aujourd'hui, après 8h passées à fendre des bûches, déplacer des bûches et réorganiser des bûches (oui j'en ai un peu marre j'avoue, ça fait une semaine que je coupe du bois plusieurs heures par jours, j'ai envie qu'il pleuve demain pour m'offrir un petit congé et pouvoir bosser pour mon vrai boulot qui n'est pas bûcheronne), j'ai réchauffé le repas, rangé la cuisine, vidé et rempli le lave-vaisselle, mis sécher une machine et puis enfin j'ai pu continuer ma lecture, un chat sur les genoux, ce qui est le meilleur argument pour demander aux autres de faire des trucs à ma place.
Mais bon tout était déjà fait.
Et du coup je termine aujourd'hui un livre que j'ai commencé la nuit dernière, genre 220 pages, j'avais envie d'un rapide roman d'horreur. C'est "10000 litres d'horreur pure" (modeste contribution à une sous-culture) de Thomas Gunzig.
Alors c'est un slasher, il faut aimer le style. Ça commence comme un slasher tout à fait normal, des personnages hyper stéréotypés, la bimbo blonde, l'intello, le moche bizarre, le BG un peu con, ils vont passer un chouette weekend dans la cabane qui appartient à la tante de l'un d'eux et leur weekend va être plus agité que prévu et ils vont prendre un tas de mauvaises décisions pour s'en sortir. Ça se termine comme un slasher normal avec un seul personnage qui s'en sort voilà voilà
Sauf que c'est Thomas Gunzig, et donc on le sait dès le départ, que ça ne va pas être un énième slasher sans suspens. Les pages se suivent avec des détails horribles, sanglants, c'est gore, c'est bizarre, avec un fond de chimie, de manipulations génétiques, de paranormal qui flirte presque avec le normal et d'histoire familiale.
Hum j'ai bien aimé !
⭐⭐⭐⭐⭐
J'ai vraiment du mal à mettre moins de 5 étoiles, à être nuancée sur ce que j'aime et n'aime pas. Du coup je suis allée voir sur Babelio ce que disent les lecteurs qui mettent moins d'étoiles et ils disent pareil que moi, en gros ils expliquent le pitch sans argumenter davantage à propos de leur avis. L'un a juste trouvé l'histoire trop prévisible mais je ne suis pas d'accord avec lui, même si de la situation initiale au dénouement, la trame du slasher est respectée, les "monstres" et leur origine n'étaient pas si prévisibles, des fausses pistes étaient amenées plusieurs fois pour que la surprise soit gardée jusqu'à la révélation.
Je reste sur mes 5 étoiles du coup.
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La seule personne qui devrait prendre des nouvelles de moi, s'intéresser à moi, ne le fait pas. En un sens, je ne suis pas blessée, même pas surprise, je me demande juste à quoi il pense. À quoi pense les gens qui ne pensent pas aux autres ? Si ce n'est à eux. Pourquoi certaines personnes éprouvent tant de difficultés à avoir de l'intérêt pour les autres. Je sais que c'est pas inné. Mais j'ai du mal à me dire qu'il faille faire des efforts exceptionnels pour s'intéresser à des gens qu'on apprécie. Enfin, qu'on est censé apprécier tout du moins. On vivait mieux sans nouvelle technologie, ça nous prenait plus de temps de comprendre qu'on n'est pas le centre de la terre. Ça nous laissait le temps de se faire des films. Là les issues sont facilement prévisibles. La seule réelle chose que je ressens c'est de l'impatience, pourquoi faire durer le suspens quand une relation ne fonctionne pas. Pourquoi on est pas tous assez bienveillants pour avouer que ça ne nous convient pas. À force d'avoir trop attendu, je n'attends plus vraiment grand chose, je constate seulement. Je regarde les gens se désintéresser de moi, ne pas m'apprécier comme je le mérite et le pire c'est que j'arrive pas à me dire qu'ils ont raison. J'ai hâte du jour où ce sera moi qui perdra quelque chose dans la cassure d'une relation, autre que du temps j'entends.
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Amateurisme et changement de pied
''L'homme propose, dit le proverbe, mais Dieu dispose''... encore que dans le cas présent, ce ne soit sûrement pas Dieu qui fait joujou au ''maître des horloges'', mais l'Elysée, dont le locataire adore se prendre pour un démiurge-en-chef platonicien : reconnaissons à Dieu cet immense mérite que, s'Il nous a laissés dire que nous, hommes, étions ''faits à Son image'', II n'a jamais sous entendu que Lui pourrait être bâti à l'image de l'homme.... Le ''Plan A'' était que nous survolions la situation internationale avant d'en tirer une nouvelle rafale de vœux. Ce sera pour demain, plan B exige !
Car même si, comme l'écrasante majorité des français , vous vous foutez comme l'an '40 des petits jeux infantiles qui occupent à plein temps notre bobosphère journalistique et notre microcosme politique (qui n'a vraiment rien qui lui permette de mériter ce qualificatif aujourd'hui dévalué), vous ne pouvez pas ne pas savoir que la borne a été dépassée –je dirais même ''déplacée''-, puis ''déposée''- et que nous avons mérité de ''toucher'' (enfin... dans le sens de ''avoir droit à'', pas ''de palper'') un nouveau premier ministre qui me pardonnera sûrement de ne pas me précipiter pour lui mettre des majuscules. Et que l'on soit passionné, ému aux larmes ou simplement bouleversé par cette grandiose nouvelle... on est bien obligé d'en tenir compte et d'en dire quelques mots.
La France, une fois encore prise en otage –puisque pas un seul des problèmes qui l'assaillent et des soucis qui la rongent n'est abordé par ceux qui devraient résoudre les premiers et éviter les seconds-- s'est retrouvée au cœur d'un de ces Opéra-bouffe (bouffon, plutôt) qui resteront comme la marque du drame qu'aura été le macronisme dans notre histoire récente.... la bonne nouvelle étant que, assez rapidement, il n'en restera rien et que, comme le hollandisme qui lui a ouvert la voie, il sera oublié… ou ramené à un second chapitre de la saga de nos ''Rois fainéants''.
En résumé : une nulle pas sympathique, techno de gauche, ne cochant donc aucune des cases de la ''description de fonction'', a été chassée de Matignon où on l'avait envoyée se planter la gueule, sans ''feuille de route'', avec un ordre de mission à la fois ''ni... ni...'' et ''en même temps'' et, au fond, sans trop savoir pourquoi –sinon que quelques petits marquis gauchophiles refusaient le premier choix –trop à doite-sic !-- du maître des horloges qui avait cédé ''quoi qu'il en coûte''. C'est une seconde nature. Ce ''Dehors !'' résume la totalité de la non-doctrine du moment appliquée à un cas concret. Et certains s'étonnent que ça n'ait pas marché ! Pour rattraper ce méga-ratage, on va mettre sur le trône un charmant bambin, poupin à souhait et ex-socialiste, qui ne coche donc pas davantage les cases de la ''job description''. Pour ou avec quel résultat prévisible ? Devinez !
Car nous voilà, une fois de plus (sera-ce la fois de trop?) confronté à la prophétie de l'Ecclésiaste : ''Malheur à la Cite dont le roi est un enfant''. C'est curieux, comme les gens qui se hissent aux firmaments des prébendes et des pouvoirs sans objet semblent ne rien apprendre de leurs échecs ! Tout était pourtant très prévisible : un simple petit blogueur de quartier, qui se cache pour ne pas être vu ni connu, et qui n'a comme seule arme qu'un vieux bon sens autrefois dit ''paysan'' a annoncé tout –je veux bien dire : tout-- ce qui s'est passé, depuis avant-même la première élection du maître des horloges (pauvres horloges !), avec comme seule boule ce cristal quelques vieux proverbes, une confiance dans les fondamentaux de notre civilisation, un mini esprit mini critique et un refus hyper-méfiant de toute idée soit à la mode, soit venant de gauche (ce sont les mêmes !), soit qui paraît complètement farfelue (idem)...
Eh ! bien, malgré la présence à mes côtés de ces armes pluri-séculaires qui, ne s'étant jamais trompées, sont fiables... le maître des horloges a réussi à me surprendre ! Dans les 43 années de ma vie professionnelle, Dieu sait si j'en ai viré, des gens : des nuls, des ''encore plus nuls'', des malfaisants, des déviants, des fourbes, des mal-embouchés, des tricheurs, des périmés, des menteurs, et tellement d'autres (chacun de ces renvois m'a rendu malade et je n'en ai oublié aucun ! Mérités, mais douloureux). Mais à chaque fois, il y avait une préparation et jamais je me suis trouvé devant le drame de la chaise vide. Or c'est ce qui se passe, en macronie, à chaque changement de premier ministre... ce qui est fou, quand on y pense !
Macron a viré Borne sans ''plan B'' soigneusement préparé, et il a fallu des jours pour qu'un nom émerge, choisi de toute évidence selon les règles du célèbre principe de Peter : ''Tu prends un type qui vient de ''toucher'' un nouveau job où il réussit pas trop mal, contre toute attente rationnelle... et tu le promeus à un étage plus élevé où il a ''toutes les chances d'atteindre son niveau d'incompétence'' , le tout avec un seul justificatif et une seule ''bonne raison'', très mauvaise : il est le plus jeune jamais osé à ce poste, comme si le seul fait de ne pas savoir de quoi on parle était une chance de succès !
Mais dites, les gars, souvenez-vous... : le truc du ''le plus jeune'', on l'a déjà essayé avec Giscard (résultat : le regroupement familial et le défilé du 14 juillet sur les grands boulevards), avec Fabius (résultat : ''mangez des carottes rapées'', et le début de la chute irrémédiable de la France), et avec Macron lui-même (résultat : le cassage de gueule généralisé sans espoir de redressement, et notre suicide dans une Europe anthropophage... causes actuelles de notre désespoir !). On a tous oublié que Saint-Just, le boucher de la Terreur, a été, en son temps, le plus jeune député, aussi. Rien que d'y penser...
Comme la saison est aux vœux et aux souhaits, on va tempérer la cruauté de cette analyse factuelle en se disant qu'un miracle est toujours possible (Attention : sans commettre d'attentat contre leur ''laïcité'' --entre temps détournée de ses justifications éventuelles, alors que, au fond, tous les autres pays vivent, sans elle, heureux et plus démocratiquement que nous). En souvenir de ce qu'était la France que nous avons tant aimée, nous souhaitons tous un beau succès à notre jeune PM. Qu'on soit plus que réservé sur ses chances réelles est un autre problème... comme l'est notre souffrance devant un tel gâchis répété tous les 18 ou 20 mois...! Bonne année à lui... et à nous !
H-Cl.
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