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#prière pour faire revenir ma fille
christophe76460 · 6 months
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Bonjour, aujourd’hui je voudrais vous raconter une nouvelle histoire. Elle raconte une phase importante de ma vie, j’avais alors 21 ans quand j’ai découvert le Seigneur Jésus. Je suis certain que cela va vous parler et toucher votre cœur !
Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. Quelques de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. Lorsqu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla se mettre au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses champs garder les pourceaux. Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait. Etant rentré en lui-même, il se dit : Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite-moi comme l’un de tes mercenaires.
Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa.
Le fils lui dit : Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Mais le père dit à ses serviteurs : Apportez vite la plus belle robe, et l’en revêtez ; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds. Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous ;car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.
Cette merveilleuse histoire que nous trouvons dans la Parole de Dieu, résume notre vie ou l’ont désire être libre et faire ce qui nous plait sans écouter notre Père terrestre mais encore plus grave, sans nous confier à Dieu notre créateur, le Dieu du ciel et de la terre. Cela nous conduit très souvent au découragement, à la catastrophe puis à la mort éternelle.
Mais j’ai pour vous une bonne nouvelle : Crois au Seigneur et tu seras sauvé !
C’est Lui le Père admirable, qui vous aime et veut se faire connaître à nous !
C’est Lui qui veut pardonner nos péchés et nous donner une vie nouvelle. C’est pourquoi, il a envoyé son fils unique Jésus-Christ afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais qui ait la vie éternelle !
Ouvrez votre cœur, parlez à Dieu, dites-lui : je suis tombé bien bas mais, je te remets ma vie entre tes mains. Viens te révéler à moi, pardonne mes péchés, change ma vie car aujourd’hui je veux te suivre et marcher avec toi. Je veux être ton fils ou ta fille afin que je marche dans ton chemin. Merci Seigneur Jésus ! Si vous faites cette prière sincèrement de tout votre cœur. Dieu va entendre et Dieu va répondre. Attendez-vous à Lui, Il va se manifester à nous pour cela on a sa Parole : le Nouveau Testament qui nous raconte l’histoire de Jésus et de son amour pour chacun d’entre nous. Il nous aime et il vous aime ! Venez à Lui. A bientôt.
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darkpalmor · 9 months
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20 DECEMBRE 2023
Programme festif.
Échauffement en cinq minutes : 20 décembre = Sainte Enveloppe du 13ème mois.  On écrira une petite prière à cette Sainte, dans l’espoir qu’elle saura toucher votre très cher employeur.
Bonne Enveloppe, ma belle bien enveloppée, développe-toi devant mon portefeuille, et dévoile-moi ce que le Grand Père Patron m’a offert cette année, hors comptabilité officielle. Bonne Enveloppe, Sainte Enveloppe, chère Enveloppe, pourrais-tu revenir au premier mois de l’année prochaine, s’il te plaît ?
1°) Écriture longue (10-15 minutes) : Discours de circonstance. Vous écrirez le discours adressé au couple qui a invité une vingtaine de personnes pour fêter son divorce récemment prononcé. N.B. Parmi les invités figure le juge aux affaires familiales. Il s’agira d’identifier le discoureur, bien entendu !
Chers amis, Monsieur le Juge, mes chers petits-enfants, et toi ma très très chère fille, je voudrais profiter de cette circonstance exceptionnelle – et qui ne se renouvellera pas de sitôt – pour vous exprimer mon ressenti, comme on dit aujourd’hui. Tout était absolument parfait, merci, du papier glacé d’invitation à la fête jusqu’à la table garnie, des entrées froides au champagne tiède, des amuse-gueules-d’enterrement au café froid. Tout n’était qu’harmonie bien simulée et réelle élégance des tenues, jusqu’à ta nouvelle robe, Caroline : une robe de divorcée, ça en jette ! J’ai admiré votre courage, Monsieur le Juge, puisque vous avez dû trancher entre le droit strict et les sentiments, entre l’équité et l’amour pour ma fille. J’espère d’ailleurs que je ne dévoile pas de secret honteux ou inavouable, mon cher ex-gendre ? Votre courage, Jean-Marc, c’est d’avoir supporté Caroline si longtemps et de lui avoir fait ces trois merveilles écroulées dans le fond du parc et qui se fichent complètement de ce que peut bien raconter un grand-père gâteux après les pousse-cafés. Ce que je voudrais surtout bien faire entendre, Caroline, et devant témoins, c’est que je t’avais payé ton mariage avec joie, toi tu payes aujourd’hui ton divorce, alors ne compte pas sur moi pour financer ton prochain remariage. Monsieur le Juge a les moyens d’y faire face. Quant à vous, les amis, les collègues, profitez bien de ce grand moment festif. En effet, peu importe de quel côté vous soyez, à partir de demain vous n’aurez plus que 50% d’invitations ! Sur ce, je vous souhaite le bonsoir. Et je ne vous dis pas à bientôt.
2°) Je me souviens thématique (5 minutes) : Brèves de mémoire, orientées. On écrira quelques « Je me souviens », très brefs, réels ou imaginaires, sur le thème et/ou le vocabulaire du pont. N.B. Un pont peut être quantité de réalités différentes.
Je me souviens du Pont d’Avignon. Je me souviens qu’au pont de l’Ascension beaucoup d’élèves s’absentaient alors que je devais faire cours. Je me souviens du moulin et du meunier-boulanger du Pont des Vents à Montfleur. Je me souviens qu’avec mes frères on crachait du haut du pont et qu’on traversait vite la petite route pour voir ressortir notre crachat avant qu’il ne se dissolve. Je me souviens que dans Le Bon, la Brute et le Truand, Clint Eastwood fait sauter un pont à la dynamite. Je me souviens de la chanson de Brassens « Il suffit de passer le pont » Je me souviens que les marins du Potemkine portaient des pantalons à pont. Je me souviens de pont pont petit patapon. Je me souviens de la blague pont pied bon œil. Je me souviens qu’il ne faut pas pousser le car à fond car le car casse et le pont pète. Je me souviens de Moulin-des-Ponts où j’allais pêcher le goujon et le vairon. Je me souviens qu’on me menaçait de finir sous les ponts si je ratais mes études. Je me souviens d’avoir coupé les ponts avec de vieilles habitudes et d’en avoir repris de nouvelles. Je me souviens d’avoir été surpris la première fois que j’ai entendu parler d’un pont aérien.
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365histoires · 4 years
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(Jean-Louis Gaillard)  Elle a semé dans les larmeshttps://soundcloud.com/jlgaillard/elle-a-seme-dans-les-larmesAugustin est né il y a très longtemps, au 4èmesiècle après Jésus Christ. Il est né dans ce qui est l’actuel Algérie mais qui était autrefois l’Empire Romain. Sa mère s’appelait Monique. C'était une femme pieuse, qui aimait le Seigneur. Elle avait passé beaucoup de temps à l’éduquer et à l’enseigner dans les voies du Seigneur. Non seulement elle l’instruisait dans la Parole de Dieu mais aussi par son exemple de vie livrée, sobre et remplie de douceur et de sobriété, elle espérait l’attirer au Seigneur. Sans doute priait-elle pour qu’il devînt un serviteur de Dieu.Mais Augustin était un garçon difficile, rebelle et n’acceptant pas les choses comme allant de soi. Même si nous n’étions pas là, nous pouvons facilement imaginer qu’il devait étourdir sa mère de questions. Peut-être même la provoquer et encore pire se moquer d’elle. Il ressemblerait à beaucoup de jeunes de notre époque. Il faut aussi se rappeler que l’Empire Romain ressemblait beaucoup à notre époque. Rome était en pleine décadence et la société était en pleine déliquescence.Mais revenons à Augustin. Vous ne serez pas surpris d’apprendre qu’il avait finalement quitté la foi. Comme beaucoup de jeunes chrétiens qui ont connu le Seigneur et qui l'ont quitté du jour au lendemain. Non seulement il abandonna Jésus, mais il devint carrément hérétique, c’est-à-dire qu’il avait commencé à croire à de fausses doctrines, loin de la saine doctrine de Christ. Comme Augustin était un être entier il ne faisait rien à moitié. Il était premier à l’école, il devînt le premier dans l’immoralité. Il se donna à cœur joie dans la débauche. Sa vie ne fut qu’une suite de fêtes et de beuveries…Voilà ce qu’il écrivit bien des années plus tard :« Je ne faisais aucune distinction entre la lumière de l'affection et les ténèbres de la luxure. [...]. Je ne pouvais demeurer dans le royaume de lumière, où l'amitié unit les âmes [...]. Aussi, ai-je pollué le ruisseau de l'amitié avec les souillures de la luxure.      Je suis devenu sourd à force d'entendre le bruit de la chaîne de la mortalité, le châtiment de l'orgueil de mon âme, et je me suis éloigné davantage de Toi, et Tu m'as abandonné, et j'ai été ballotté, et décharné, et déréglé, et tout cela a débouché sur la fornication, et Tu as gardé le silence, Ô Toi ma joie tardive ! [...] »Nous pêchons tous, d’une manière ou d’une autre. Parfois nous déclarons que notre péché est socialement acceptable, « ce n’est pas bien grave après tout ». Parfois nos péchés sont plus graves et Nous en subirons les conséquences toute notre vie parce que ce péché n’est pas acceptable par la société. Peut-être même que nous perdrons nos amis, ou que nous serons rejetés par nos familles. C’est pour cela que nous pouvons nous identifier à son histoire :« Il y a toujours une perte de la foi quand les sens s'éveillent. A ce stade critique, quand la nature nous réclame à son service, la conscience des choses spirituelles est, dans la plupart des cas, soit éclipsée soit totalement détruite. Ce n'est pas la raison qui détourne le jeune homme de Dieu : c'est la chair. Le scepticisme ne fait que lui fournir les excuses pour la nouvelle vie qu'il mène. »Pendant ce temps, Monique continuait à prier. Pendant qu’Augustin menait sa vie débridée, Monique priait. Pendant qu’il s’enfonçait toujours davantage dans l’hérésie, Monique priait. Pendant qu’Augustin luttait avec Dieu, Monique priait. Augustin le savait.      « Il s'est écoulé près de neuf ans, au cours desquels je me suis vautré dans la fange de cette fosse profonde, et les ténèbres du mensonge [...]. Pendant tout ce temps, cette veuve chaste, pieuse et sobre [...] ne cessait pendant toute la durée de ses cultes de pleurer pour moi devant Toi. Et ses prières sont entrées en Ta présence ; et pourtant Tu [as permis que] je m'enfonce encore davantage dans ces ténèbres. »Durant toutes ces années, la vie de Monique était dure. C’est la même chose pour toutes les mères qui ont des enfants qui sont perdus dans les ténèbres, séduits par les pièges du monde. Monique souffrait.Un jour n’en pouvant plus, elle alla voir l’évêque. C’était un homme pieux, versé dans la Parole de Dieu. Monique lui demanda de parler à Augustin et de réfuter ses erreurs. L’évêque lui dit non. Augustin avait la réputation de quelqu’un qui savait parler, qui savait argumenter et aucun raisonnement ne pouvait tenir devant lui. L’évêque se contenta de consoler Monique en lui disant qu’un esprit aussi brillant qu’Augustin finirait bien par comprendre qu’il s’était trompé. L’évêque lui rappela sa propre expérience. Il avait été manichéen. Le manichéisme est une religion du IIIème siècle après Jésus qui a des doctrines particulières.Malheureusement les paroles de l’évêque ne consolèrent pas Monique. Elle le supplia encore et encore d’aller parler à son fils. Finalement l’évêque se fatigua, et lui dit : « Allez-vous-en, je ne peux rien faire. Continuez de prier et de pleurer, Dieu vous entend et il ne vous laissera pas tomber. »     Pendant que Monique priait et pleurait, son fils s’enfonçait de plus en plus dans les ténèbres. Et il fuyait sa mère, et ce pendant des années.Un jour Augustin rencontra Ambroise, l’évêque de Milan. Un homme connu pour sa foi et sa connaissance de la Parole. Augustin était épuisé, après tant d’années de fuite, et de lutte avec Dieu. Devant la prédication, Augustin fut convaincu de péché. Brisé et dégouté par sa vie de péché, il plia le genou devant Jésus et se donna à Lui corps, âme et esprit.Augustin était devenu l'homme de foi. Augustin... C’est un des hommes qui a le plus influencé, non seulement l’histoire de l’Occident mais aussi la pensée de l’Occident. Il a été lu, et étudié plus que tout autre écrivain chrétien.     Aujourd’hui encore il nous parle. Il parle encore aux jeunes. Parce qu’il a vécu à une époque qui ressemble à la nôtre. Parce qu’un jeune reste un jeune et que l’appel de la chair est tellement puissante dans cette période de la vie. La jeunesse est aussi la période des questionnements, des doutes, des révoltes contre ceux qui sont établis.La réponse à la prière de cette mère éplorée est allée au-delà de la conversion d’un homme. Certains pensent que les écrits d’Augustin ont été utilisés par Dieu pour continuer à faire briller la lumière de l’Evangile dans le monde Romain. Dieu a répondu au-delà de la prière de cette mère. Si elle a prié que son fils devienne un serviteur de Dieu, elle ne pensait pas qu’il influencerait le monde. Et jusqu’à nos jours ses écrits provoquent la réflexion.Quand son fils prodigue rentra à la maison, sa mère lui dit qu’elle n’avait plus de raison de vivre. Elle avait accompli ce pour quoi elle avait été appelée. Et maintenant elle voulait rentrer à la maison auprès de son Père. Neuf jours après elle mourut.Le père du fils prodigue dans l’Evangile de Luc avait les yeux fixés sur l’horizon. Tous les jours il espéra de voir son fils revenir. Et un jour, alors « qu’il était encore loin, » il le vit. Pour Monique c’était la même chose. Elle l’avait suivi là où il fuyait, elle le reprenait dans sa rébellion. Elle a « vraiment semé dans les larmes »A cause de cette prière incessante, Augustin, comme tant de fils et de filles prodigues a appris que « La seule façon de se perdre, c'est de te (le Père) quitter ; et si on te quitte, où va-t-on ? On ne peut que fuir ton plaisir pour ta colère. ».Dieu ne veut pas que nous soyons sous le coup de sa colère. Il veut que nous venions à Lui parce qu’il nous aime. Le Père du fils prodigue a organisé une fête en l’honneur de son fils. De même quand un pêcheur revient c’est une joie dans le ciel.C’est difficile de voir un fils ou une fille chercher sa propre voie, mais c’est le seul moyen pour lui de choisir réellement le Seigneur. Il nous faut espérer, et prier pour eux et même pleurer pour eux et attendre, en regardant la route. Et un jour ce fils ou cette fille reviendra. Et ce qu’on aura semé dans les larmes, nous le récolteront dans l’allégresse
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lily-yvonne · 4 years
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MESSAGE DE MARIE AU 30 04 2013
« Mon enfant bien-aimé, c'est moi aujourd'hui, Miriâm, ta Maman du Ciel, qui vient te parler, chose que je n'avais pas faite depuis ta présence à San Damiano. Si je viens te parler aujourd'hui, c'est pour te dire que je suis triste, parce que ton Cœur est triste, ainsi que celui du Divin Cœur de Mon Fils Jésus ou Yeshouah. Il y a tant et tant de choses qui ne vont pas dans ce monde malade et décadent. Il en est arrivé à tel point qu'il touche le fond, surtout la France : ma fille, je n'en peux plus de la voir dans cet état de déchéance et, vous les hommes, les chrétiens catholiques, je vous demande de réagir tout de suite, dans la Prière intense et l'Action charitable, car elle ne pourra plus se relever si vous la laissez dans la fange où elle s'est enlisée. Le gouvernement socialiste actuel n'a pas été voulu par Dieu le Père, mais Il a laissé faire Satan, à cause de Ses créatures désobéissantes et immorales. Combien de fois, mon Fils Yeshouah et moi-même, sommes intervenus pour vous avertir ? Mais aucun changement ne s'est produit. Au contraire, plus nous vous avons avertis et plus vous avez fait fi de nos Recommandations. Pire, beaucoup d'entre-vous nous ont rejeté et ont rejeté la Sainte Trinité, afin de garder votre liberté, vos habitudes et votre confort exécrable. Alors votre Père céleste a laissé faire Satan, qui a pris les commandes du monde en général et de la France en particulier. Toi, mon enfant bien-aimé, tu as été envoyé ici-bas, pour tenter de remettre chaque chose à sa place, de préparer le terrain des deux Élus de Dieu : le Saint Pontife et le Grand Monarque, ainsi que de faire édifier la Merveille des merveilles, l'Œuvre des œuvres : Le Temple-Abbaye du Divin Cœur. Je ne parle pas du grand Film que mon Fils Jésus voulait pour évangéliser toutes les âmes, car cette désobéissance des catholiques, du plus haut degré aux plus petits laïcs leur coûteront très cher. De toute évidence, tu n'es toujours pas écouté et ta souffrance me fait mal, à Moi, ta Mère du Ciel. Tu me dis dans tes prières quotidiennes être indigne d'être appelé mon fils, mais aucun humain n'est digne d'être appelé mon fils ou ma fille, car vous avez tous péchés. Crois-tu que les premiers Apôtres étaient dignes d'être appelé mes enfants ? Non, mis à part Jean, qui était jeune et n'a commis que de petits péchés, lui en était digne. C'est pourquoi, mon Fils Yeshouah me l'a confié, parce qu'il le méritait. Mais toi, si tu as commis des fautes dans cette vie, Dieu t'a pardonné. Il t'a également choisi, en tant que porteur de l'âme d'Elie, et donc "Porteur de la Lumière Divine", pour accomplir une Mission multiple et extrêmement difficile. Alors, par ta souffrance et le Prix qu'a payé Jésus ou Yeshouah pour toi, en versant Son Précieux Sang, cela fait de toi mon fils bien-aimé. Ta souffrance n'est pas terminée, puisqu'elle en est un peu plus de la mi-temps de ta vie terrestre, mais elle se poursuivra en s'accentuant jusqu'à ton martyre. Tu le sais, tu ne souffres pas seulement pour sauver ton âme et gagner le Ciel, mais pour sauver beaucoup d'autres âmes. Dieu a besoin de prières, de sacrifices, de jeûnes et de la souffrance de certaines âmes pour en sauver d'autres. C'est ainsi, c'est la Loi du Père qui est immuable. Mon Fils Yeshouah a sauvé une multitude d'âmes, par Son Sacrifice Suprême, mais Il n'a pas sauvé toutes les âmes. Il n'a pas sauvé les âmes qui Le rejettent, qui L'insultent, qui Le méprisent, qui L'outragent et pire, outragent la Sainte Trinité. Non, ces âmes-là ne sont pas sauvées, et nombreuses sont celles qui vont en enfer. Les protestants disent que le Sang de Jésus a sauvé le monde entier, mais c'est une erreur grave, et il ne faut pas écouter ces gens-là qui se fourvoient et ne pourront jamais connaître le Ciel. C'est pourtant écrit dans les Évangiles que mon Fils ne sauve que les âmes qui veulent l'être. Les âmes qui refusent le Corps et le Sang du Christ sont perdues. Voilà pourquoi Dieu a besoin de victimes humaines, afin que leurs souffrances et leurs prières puissent sauver des âmes malgré elles. Néanmoins, si des âmes ne reconnaissent pas Jésus-Christ comme leur Sauveur et n'ont pas reçu la Sainte Communion par l'Église catholique, elles ne peuvent être sauvées. Il faut que le monde comprenne qu'il ne peut pas agir à sa guise, faire tout ce qu'il veut, sans jamais rendre des comptes. Le monde doit savoir que le Jugement dernier existe et que la Justice de Dieu est parfaite. Il ne faut pas se cacher derrière la Miséricorde de Dieu pour faire son bon vouloir, en pensant que toutes les âmes seront pardonnées. Ceci est un raisonnement faux des protestants et de la mouvance moderniste de l'Église catholique actuelle. D'ailleurs, mon Fils Yeshouah te l'a dit, la Miséricorde n'est plus, c'est maintenant l'heure de la Justice. C'est maintenant l'heure ou la trinité satanique, avec ses milliards de démons, ont pris la Terre en otage et ils font ce qu'ils veulent des créatures humaines. Nombreuses sont celles qui sont prisent dans le filet et croient être encore libres. Mais ce n'est pas vrai, car elles ne font plus leur volonté : elles font, sans le savoir, la volonté du prince de ce monde. Lucifer, le fils de Satan est très fort, parce qu'il a reçu tous les pouvoirs. Des pouvoirs illusoires, car ils sont limités dans le temps. Mais, en attendant, ces forces du mal placent dans la plus totale confusion une multitude d'âmes. Même les catholiques se laissent berner par tous ces faux messagers ou faux prophètes qui disent n'importe quoi, afin de troubler les esprits et semer la confusion. Pour tout dire, cela fait des années que : ni la Sainte Trinité, ni personne du Ciel, ni moi-même avons adressé un Message à une créature terrestre. Sauf à toi, bien sûr, puisque tu es le premier et le dernier des Prophètes : l'un des deux derniers Témoins de l'Apocalypse de Jean. Et nous pouvons te parler directement, par un Don que Dieu t'a fait Grâce en t'ouvrant un canal spirituel dès l'âge de six ans. Mon Fils Yeshouah peut aussi parler à ton autre compagnon de route : Enoch ou Moïse, qui ignore encore qu'il doit t'accompagner. Aussi, tous ceux qui disent avoir reçu des "messages" ces derniers temps, ne les croyez pas, car c'est Satan ou un démon qui leur font dire des choses fausses. Il en est de même pour des apparitions, comme Medjugorje par exemple. Ce n'est pas moi qui apparaît, mais le Diable qui se fait passer pour moi, car je ne parle jamais pour ne rien dire. Il suffit de comparer avec mes Apparitions à Fatima, à la Salette, Kérizinen ou encore à Garabandal notamment. Non, jamais je ne parle pour dire des banalités, mais pour avertir des dangers qui menacent le monde en général et la France en particulier, si les Paroles et les Lois de Dieu ne sont pas respectées, et si les âmes ne se convertissent pas en Jésus-Christ. Tu as déjà apporté cette précision et cela t'a valu d'être rejeté. Mais moi, votre Mère du Ciel, je vous le dis, ne vous fiez pas aux apparences, car celles-ci sont trompeuses, surtout en ces temps de confusion. De même pour ce pontife qui n'était pas prévu, comme te l'a précisé Yeshouah. C'est ce pape François, élu par une loge franc-maçonnique installée au Vatican, qui va entraîner l'Église dans sa chute. Oui, cette Église chutera, parce qu'elle a été rejetée par le Divin Cœur de mon Fils. Elle se relèvera, car l'Église du Christ ne peut pas mourir, mais elle se relèvera uniquement par la Volonté de Dieu et avec l'aide indispensable de Pierre le Romain, qui sera le prochain Saint Pontife. Tu es dans la peine, parce que beaucoup d'âmes te rejettent, du fait qu'elles ne te comprennent pas. Un Prêtre t'a même écrit récemment pour te préciser que tu disais des "choses étranges" et tu lui as répondu judicieusement, par l'Esprit Saint : " Vous écrivez que je dis des choses "étranges", n'est-ce pas ? Mais ne serait-ce pas plutôt des choses qui dérangent ?" Oui, c'est bien là le problème majeur de la société en général et française en particulier qui n'aime pas être dérangée dans son confort illusoire et ses mauvaises habitudes. Ce Prêtre qui t'a écrit est un bon Prêtre, mais comme tous ceux qui appartiennent à la tradition, ils sont instinctivement dans le rejet de tout ce qui n'entre pas dans le cadre de leur formation au séminaire. On ne leur a pas dit qu'à la fin des Temps doit survenir le premier et le dernier des Prophètes pour apporter un conseil avisé, afin de remettre un peu d'Ordre notamment dans l'Église catholique. Ils ne savent pas, ou n'ont pas retenu, qu'Elie doit revenir, alors que c'est mentionné dans les Écritures. De plus ils sont trop occupés pour passer leur temps à la prière et dans l'écoute de l'Esprit Saint, car cela prend de longues heures qu'ils n'ont pas. Mais les Prêtres, les Évêques et le monde doivent savoir que celui qui te rejette, c'est Dieu LUI-même qu'ils rejettent, parce que tu as été envoyé par Dieu le Père, afin de faire SA Volonté et non la tienne. Ton devoir est d'être comme le Prophète Ezéchiel. Puisque le monde a durci sa face, tu dois aussi durcir ta face, afin de ne pas te laisser envahir par la méchanceté des hommes. Tu n'es pas seulement le "Veilleur" pour Israël, mais pour le monde entier.1 Toutefois, ton durcissement doit être charitable, humble et patient. Tes saintes Actions doivent être sans agressivité ni violence, tout en gardant un esprit de droiture et de fermeté. Ton cœur est également dans la peine parce que G. t'a rejeté par orgueil. Oui, c'est vraiment par orgueil qu'il t'a rejeté, parce qu'il n'accepte pas non plus d'obéir à l'Ordre que Dieu lui a fait la Grâce de lui transmettre par ton intermédiaire. Il refuse de quitter son confort et son emploi pour s'installer en Vendée. Ainsi, à cause de son crime, même si tu lui as déjà répété, je confirme dans ce Message que c'est en vain qu'il m'adresse des prières, car je ne l'écoute pas et lui ai tourné le dos. De toute façon, il en est ainsi pour toutes les créatures qui, non seulement te rejettent, mais outragent la Sainte Trinité quotidiennement. Je suis obligé, avec grande tristesse dans mon Cœur Immaculé, de confirmer que c'est toute la Famille céleste qui a quitté la Terre. La Terre est complètement livrée aux facéties de Satan. Oui, c'est terrible car, mon Fils Yeshouah et moi-même, nous versons des Larmes de Sang. Mais c'est l'heure de la Justice du Père, c'est l'heure du Jour de Yahweh. Alors, je vous le dis encore, pour la dernière fois et par le biais de mon enfant bien-aimé, si vous ne faites rien aujourd'hui pour réagir, demain il sera trop tard. Il faut absolument vous réveiller et relever cette France que j'aime tant, dans le cas contraire, elle va être victime, tout comme le monde entier, d'évènements particulièrement horribles et atroces. C'est un déferlement de catastrophes épouvantables qui va s'abattre sous peu sur la Terre et il sera trop tard alors pour regretter. La machine infernale est déjà lancée depuis quelques années et elle s'accentuera de mois en mois. Je vous en prie, ne vous chamaillez plus pour des choses inutiles, ne vous laissez plus influencer par l'Anté-Christ, mais réagissez immédiatement, et intelligemment, comme vous l'a suggéré Frère Elyôn, mon enfant bien-aimé. C'est dans cette souffrance, partagée avec toi, que je dois te quitter. C'est la première fois que je te donne un Message aussi long, mais c'est aussi pour te dire que si je ne te parle pas souvent, c'est pour laisser la place prioritaire à l'Esprit de Dieu. Mais tu le sais, je suis toujours avec toi, car mon Cœur Immaculé est dans le Divin Cœur de Yeshouah, et ce Divin Cœur bat dans le tien, depuis que tu as eu la Grâce de Le recevoir lorsque ton âme est montée au Ciel en cette vie. Le Père éternel, mon Fils Yeshouah et moi-même, ne faisons qu'UN avec ton âme. Courage, mon enfant bien-aimé. Mon Amour, mes Prières et ma Protection t'accompagnent. Ta Mère céleste qui t'aime. MIRIÂM. »
EXTRAIT DE L’OUVRAGE SACRÉ : “ APPEL À L'UNIFICATION DES ÉGLISES ET DES CHRÉTIENS AUTOUR DE PIERRE II “ 
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/appel-a-l_unification-des-eglises-autour-de-pierre-ii.pdf
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/
https://www.youtube.com/channel/UCYX3DMJ6JMaEb1vQgJM2jUg
https://www.change.org/p/emmanuel-macron-dieu-ne-veut-pas-de-fl%C3%A8che-sur-notre-dame-098097a0-f72c-4021-9b66-cc9c78ecb8a8?lang=fr-FR
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**Baby Snatcher** - Partie 1 -
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Débarquement à Sydney, Australie, Février 2011. J’ai dû quitter la Nouvelle-Zélande. Plus de visa valide.
Ma pote Jo, vient me récupérer à l’aéroport avec l’un de ses amis. Elle m’avait manqué durant ce dernier mois. Il s’est passé tellement de choses. On a un millier de ‘’meeting café’’ à rattraper. J’ai booké un lit dans une auberge de jeunesse proche de la place ou elle squatte histoire de ne pas être seule. Quartier de Surry Hills. Kangaroo Backpack. J’envisage de rester seulement une semaine. Dans ma tête. Mes plans ne se passent définitivement JAMAIS comme prévu. 
Je vous raconte ? Ok c’est parti !
On arrive au backpacker avec Jo, l’un de ses amis, et mes 30 kilos de bagages. Je suis excitée de retrouver ma Jojo, mais le départ de la NZ a été des plus durs, des plus trashs, des plus intenses. Cette partie-là ira à un autre chapitre… Bref, en gros, je suis écœurée des mecs ! La première chose que je dis à Jo d’ailleurs est la suivante : - C’est bon, plus de mecs, je fais un BREAK, je veux être célibataire, je ne veux PLUS d’histoires de merde pour longtemps ! Je veux qu’on me foute la paix ! je fais une désintoxe !!! - Oh ma Mimi !! ne sois pas pessimiste et mauvaise de même ! t’arrives seulement ! Un break de cons d’accord ! mais un break de sexe et de hot night. Que nenni ! Sydney baby ! c’est la fiesta ! - Ouais ben je t’assure que je ne veux plus entendre parler de mec pour un long moment ! qu’ils aillent tous au diable ! tous les mêmes ! Le premier qui s’aventure à venir me jouer de son violon, j’y casse sur la tête, et lui fais bouffer l’archer et les cordes ! Jo s’esclaffe, et acquiesce pour ne pas me contrarier plus encore. - Bon en tout cas, pose tes bagages, prends la clef de ta chambre, et je t’embarque. On sort !! - Yep, j’arrive ma Jojo. J’arrive !
Ma première soirée de mise en bouche fut des plus arrosées. On ne change pas une équipe qui gagne. Jo et moi, c’est un cocktail explosif. La blonde et la brune. Le Ying et le Yang. Le feu et la Glace. Nous deux ensembles dans un même périmètre, c’est le chaos à coup sûr ! Pour la énième fois, je rentrerai complètement H.S, mon corps remplit de 98 % de vodka…Quelle belle entrée en matière pour ce nouveau départ australien.
Le lendemain matin, j’analyse ma chambre que j’avais rapidement entrevu la veille au soir. Un dortoir de 3 lits superposés, soit 6 personnes. Great !...
La clim tourne à fond, c’est l’été à Sydney, il fait 46 degrés dehors. Je n’exagère pas. C’est la vraie température ambiante, un four à pizza le bordel, t’as l’impression d’être une calzone à chaque seconde de ta vie.
Être hangover en Australie, équivaut à une activité sportive de haut niveau. Avec les conditions climatiques, je ne vous ferai pas un speech sur la difficulté de récupération, je pense que vous êtes assez malins pour vous faire une idée du calvaire. Calvaire que j’endurais tant bien que mal à ce premier réveil. Putain de shooter de vodka et de téquila. Ark.
Les cinq premiers jours défilent à la vitesse de la lumière. Visites, plages, terrasses, chilling. Je commence à me détendre et à apprécier mes nouveaux quartiers. Surry-Hills est vraiment chouette, cute et proche de tout. Jo est pas mal occupée à faire du babysitting pour l’une de ses amies. De ce fait, je commence à faire connaissance avec les gens vivants à l’auberge. Il n’y a AUCUN français ! C’est juste INCROYABLE ! Je suis ravie. Enfin dépaysée, c’est tellement rare…
Je m’incruste alors à la table du jardin, ou certains commencent à préparer l’apéro et un BBQ. Ni une ni deux, je rentre dans les conversations, me présente, allume une cigarette histoire de me sentir à l’aise. La soirée est des plus agréables, les gens sont vraiment cools pour la plupart et un petit groupe décide d’aller prendre une bière et de jouer au billard dans un établissement voisin. On me propose de les suivre : Yes ! avec grand plaisir ! enfin de la nouveauté ! J’avoue qu’être française, à l’étranger, ça aide à faciliter les approches ‘’masculines’’. On reste une espèce de fantasme les filles, dans l’esprit coquin de ces jeunes voyageurs. On attise leur curiosité. On a une sacrée force magnétique sans rien faire. 
Croix de bois croix de fer, si je mens…je vais en enfer !
Rentre alors en scène, le deuxième Black-out de ma vie…. Billard….paf Téquila…paf Rires…paf Bagarre….paf Police….paf Insultes..paf Rires…paf Noir complet…paf
Ishhh, ma tête… Bruit de la clim en fond sonore qui tourne à plein régime. J’arrive à attraper mon cell qui juche le sol. 11h30…Fuck… Me faut de l’aspir….oh mon dieu je vais vomir. Je cours aux toilettes, je n’ai pas les idées claires, mon corps vacille. Je me jure de ne plus jamais boire pour la millième fois de ma vie. Je repars me coucher. Je suis dead.
13h30. Je me meurs. Il me faut quelque chose qui décape toutes ces mauvaises choses dans mon estomac. Besoin de boire de quoi de frais et médicamenteux : du Coca-Cola. J’arrive à m’extirper du lit, fonce sous la douche. Ahhhh ! mon reflet dans le miroir est misérable. J’ai le teint vert et blanc. Texto de Jo rentrant : ‘’Coucou, j’espère que tu as passé une belle soirée. On m’a proposé de faire un shift ce soir à l’ancienne place ou je bossais. J’ai besoin de thunes, j’ai accepté. On se capte demain. Brunch ?’’ J’avoue que cela faisait clairement mes affaires. Aucune envie de bouger dans l’état pitoyable que j’étais. ‘’ Parfait ma Jojo, je suis au plus mal, soirée d’alcoolique, besoin de dodo et d’eau…on se voit demain, courage pour le job’’
Je sors de la douche, les cheveux mouillés qui dégoulinent sur mes épaules. J’enfile un sarouel, un t-shirt et boum direction ma survie : le 7/Eleven pour un Coca frais. Il fait 45 degrés dehors, j’ai l’impression de faire une épreuve de survie, digne de Koh-Lanta. J’ai mal au cœur et au foie. J’ai des nausées, j’ai chaud, mes cheveux humides se mettent à friser et gonfler, je ne ressemble strictement à rien…‘’j’ai la tête qui éclateeeee, je voudrais seulement dormirrrrrr, m’étendre sur l’asphalteeeeee, et me laisser mourirrrrrr…je suis STOOOONNNNEEEE !’’ J’arrive tant bien que mal à revenir debout et entière de ma mission commando. Je décide d’aller ingurgiter la boisson remède de tous mes maux devant la télévision, histoire de laisser mon corps la digérer correctement.
Un mec est dans le canapé avachi, fixant l’écran. Je ne l’ai jamais vu celui-là, peut-être un nouveau ? Il me dévisage. Vu la tête que j’ai, j’aurai fait pareil. Je dois faire flipper. Je m’en moque. Je le fixe, lui dis ‘’Hi’’ poliment et me pose à côté de lui. Il est blond-roux vénitien, il a des yeux noisette, il porte un veston orange des gens de la voierie. Il tape nerveusement sur son clavier de cell. On ne se dit pas un mot, on est chacun dans notre bulle. C’est vraiment bizarre, mais en même temps je n’ai tellement pas la force pour faire jasette. Son téléphone se met à sonner. Il décroche. Il parle vite, je ne comprends pas un mot de ce qu’il dit, je mets mon incompréhension sur le dos de ma gueule de bois. Il parle fort, il me tape sur les nerfs, je retourne dans mon lit…en l’insultant de connard dans ma tête. 
Après une longue sieste réparatrice, je décide de me sociabiliser un minimum, puis je suis curieuse d’avoir les retours de notre soirée car je n’ai vraiment pas beaucoup de souvenirs. Je me fais deux toasts de pâte à tartiner, histoire de manger quelque chose…et m’en vais tranquillement sur la terrasse de la cour arrière ou il y a déjà du monde en mode apéro. 
La vie en backpacker n’est qu’un vaste gros apéro à plein temps, tout devient une bonne occasion pour boire. Il fait beau, tu bois ! Une nouvelle personne dans ta chambre, tu bois ! Tu as assez de cash pour te payer de la nourriture autre que des noodles, tu bois ! Bon, t’as compris le principe quoi…
Une chaise est libre et me tends les bras. Je m’installe, tourne la tête et qui je retrouve à ma grande surprise ? Mon roux qui parle fort !! Je ne sais pas si c’est la sieste, mais bizarrement, en l’observant de plus près, je le trouve pas mal cute. Un petit air de Prince Harry…mais en mieux ! Qu’est-ce que je dis-moi… ‘’Fini les mecs !! ‘’ Tu te rappelles déjà plus ce que tu as décrété il y a une semaine ? Je suis définitivement irrécupérable. C’est le moment de sortir cette formule qu’on aime à dire pour justifier le fait qu’on ne tient pas ses engagements : ‘’CARPE DIEM’’. Le fameux joker ultime qui te déculpabilise de presque tout ! Bon…je vais juste le regarder sans rien dire. Si c’est lui qui entame la discussion, et bien…CARPE DIEM !
L’esprit d’Horace m’a entendu, et à exaucer ma prière. Le beau roux vénitien, pose son regard sur moi, me fixe et décide de me parler. Ce que j’avais oublié, c’est que l’après-midi même, je n’avais rien compris de ce qu’il avait dit au téléphone, en pensant que c’était la faute de ma gueule de bois et que mon cerveau avait refoulé l’anglais…mais il n’en était rien. En vrai, son accent était juste INCOMPRÉHENSIBLE !! Tous les mots prononcés sont dénués d’articulation, et pour moi petite frenchie qui maintenant se débrouillait pas mal en anglais, j’avais l’impression de rétrograder dans mon bilinguisme. Je ne comprenais rien… Je n’avais donc qu’une seule solution qui s’offrait à moi pour faciliter l’échange cordial entre nous : me servir un verre d’alcool ! Ah oui, j’avais oublié, en backpacker, si tu veux communiquer sans inhibition et sociabiliser dans une autre langue que la tienne : TU BOIS ! tu peux rajouter cela à la liste établie plus haut.
Il s’appelle Zack, il vient d’une petite ville proche de Liverpool au Royaume-Uni. Une pure laine d’anglais celui-là, avec un accent à couper au couteau. Le genre d’accent qui fait que tu sembles parler avec une patate chaude dans la bouche. Mais qui te rend pas mal sexy, et te donne un côté Bad boy…et il ne m’en faut pas plus que cela pour me voir rejouer le film Hooligans avec lui. Imagination quand tu nous tiens !
Au fur et à mesure de notre discussion, il me fait part que je suis la première Française qu’il rencontre de sa vie toute entière. Il me demande si c’est vrai que nous mangeons des cuisses de grenouilles, me dit qu’en UK, on nous surnomme Frogs à cause de cette légende urbaine, il veut savoir comment c’est la France, pourquoi je suis en Australie et au final me demande si je me suis remise de ma soirée d’hier… humm pourquoi ? Comment sait-il que je suis sortie hier ? et que je n’étais pas du tout à mon avantage au réveil ce matin? Je décide de le questionner à mon tour.
Zack se met à rire, et m’explique calmement le sens de sa question. En effet, la veille, lorsque je suis rentrée ‘’mal en point’’, il était dans le salon de l’Auberge avec une coupe d’amis. Apparemment, je suis arrivée avec deux autres filles, en riant très fort et en simulant ce que j’aurai fait aux policiers s’ils avaient décidé de ne pas nous laisser passer au coin de la rue…bref une belle aventure de pocharde ! Mon Dieu ce que je me sens stupide… et Zack me déblaie cela avec le sourire au coin des lèvres en me confiant qu’il n’aurait jamais miser un sou sur le fait que je sois française. Il ne devait pas penser que les françaises pouvaient être de vraies sauvages. Il croyait certainement qu’on était toutes des petites parisiennes Bobos chics hautaines et coincées. Une légende de plus que je viens de briser !
Cette belle représentation théâtrale de la veille, me vaut donc une invitation à sortir après le 5 à 7 qui se déroule dans la cour de l’auberge. Plusieurs personnes vont se rendre dans le centre de Sydney pour aller dans un bar de nuit faire la fête, et Zack suggère de me joindre à eux. Il insiste sur le fait qu��il aimerait vraiment que je fasse don de ma présence : à cet instant, je ne sais pas si c’est pour amuser la galerie, ou si c’est simplement parce que je commence à lui plaire. Mon état physique étant plus proche de ‘’Feel as shit’’ que de ‘’I’m a fucking bomb’’…je décline gentiment l’invitation en prétextant la fatigue et la nausée persistante. Une moue boudeuse apparaît sur sa baby face, et vient me faire culpabiliser. Ce n’est pas vrai qu’il va réussir à me faire sentir mal celui-là, au bout de quoi… 40 minutes de conversation ! Je ne le connaissais même pas encore ce matin. Non, non et non, Marine tu t’étais juré de faire un break de mec, c’est le moment de te prouver que tu n’as définitivement pas besoin de ce genre d’histoires pour être bien ! 
Du balai, Jeune Rosbeef, Froggie reste au calme ce soir et c’est tout !
Nous continuons donc à papoter de tout et de rien jusqu’à l’appel final des troupes pour la suite de la bataille. Je finis ma cigarette et mon verre tranquillement en me délectant de ma soirée cocooning qui s’en vient, au calme le plus total puisque presque toute ma chambrée s’encanaille ce soir en ville. Une autre chose à savoir sur la vie en backpacker, c’est que lorsque tu dois partager ton espace intime avec 5 autres personnes qui t’étaient encore inconnues il y a peu, tu sais apprécier à sa juste valeur les moments de solitude rarissimes lorsque la vie t’en octroie un ! Seulement, ce ne sera encore pas pour moi ce soir, puisqu’au moment où je rentre dans ma chambre dans l’optique de mater un épisode de ‘’How i met your Mother’’, tranquille posée, on m’attrape par la taille, me tire en dehors, me jette sur une épaule et me porte jusque dans la rue comme un vulgaire sac de patates. Je me fais embarquer dans un taxi, sans avoir le temps de dire ‘’ouf’’, en pyjama / claquettes, les cheveux en vrac sans mon sac à main...donc sans le sou ! PUTAIN!! JE ME SENS COMME UNE VOITURE QU’ON VIENT DE CAR-JACKER, JE N’AI RIEN COMPRIS !
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santiagotrip · 5 years
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Interlude : jour 11
Samedi 20 avril
Bon, on en était où ? 
A l’avertissement : “si je vous embête, vous pouvez retourner à votre Sudoku, je vous appellerai quand j’aurai fini”
Et aux rencontres avec les bonnes Soeurs, que je prenais pour des ballottes illuminées (Au passage, quelques unes d’entre elles me suivent, et le portrait de Soeur Marie-Thérèse des Batignolles les a bien fait marrer. C’est pour ceux qui pensent qu’elles savent pas rigoler ...).
Donc, j’en étais à “Elles, elles sont idiotes, moi, j’ai tout compris”. Et, pendant quelques jours, semaines, mois, j’ai tenté d’étayer cette théorie. 
Il y a quand même un truc qui me titillait, c’est un des points forts de la religion Catholique : l’inversion des valeurs. “Les derniers seront les premiers”, e tutti quanti.
Un autre truc me gênait : Certaines, incontestablement, réfléchissaient plus vite que moi. Beaucoup plus vite. Certaines avaient une culture et une ouverture d’esprit qui mettaient les miennes au niveau “Picsou Magazine”. Certaines auraient fait des “executive women” hors pair, des mamans géniales, des femmes qui auraient rayonné dans la société “normale”.
D’où la question : Qu’est-ce qu’elles foutent là ?
D’autant qu’elles semblent parfaitement épanouies, parfaitement à leur place ... sachant que (j’en ai connu) si elles veulent s’en aller, personne ne les retient. Dans les 5 minutes, elles chopent le jean et le t-shirt dans le placard et salut la compagnie.
J’en connais qui ont fait ce choix (peut-être pas aussi caricatural, mais bon ...). Non seulement le monastère n’a rien fait pour les retenir, mais en plus il les a aidées à se réinsérer dans la société civile, en faisant jouer ses réseaux, en aidant financièrement, etc.
Je rappelle quand même qu’entre le moment où une gamine (ou pas) entre pour la première fois dans un monastère, après avoir prouvé qu’elle a un métier (ou un vrai diplôme) dans le civil, et le moment où elle prononce ses voeux (où elle devient une vraie bonne soeur cloîtrée), il y a pas loin d’une dizaine d’années. Alors si sa motivation, c’est le chagrin d’amour, ou le coup de tête post-adolescence, c’est pathologique. Le remède, c’est pas le monastère, c’est l’hôpital psychiatrique !
J’ai entendu aussi que parfois, les parents se débarrassaient d’une fille encombrante en la mettant au couvent. Sûrement. En même temps, on brûlait les sorcières, on saignait les malades, et on payait la gabelle au Seigneur.
J’ai un scoop : Dans quelques monastères, aujourd’hui, il y a le téléphone ! Sisi ! C’est une Soeur agrégée en informatique qui me l’a dit !
Sans rire, à ce qu’elles m’ont dit, quand une fille annonce à sa famille qu’elle veut entrer dans les ordres, c’est toujours un drame. Un déchirement.
Pire que si elle annonçait qu’elle vote Mélenchon.
Mais je m’égare.
Résumé des hypothèses :
1. Elles sont stupides, je suis un génie
2. Il y en a un paquet qui sont clairement plus fufutes que moi.
3. Inversion des valeurs.
Et à partir de là, tout a commencé pour moi.
Supposons, je dis bien supposons, que ce ne soit pas moi qui vois clair, et elles qui sont bornées, mais le contraire.
Et, partant, si, au lieu de chercher à convaincre, j’essayais de me laisser convaincre ? Si je partais du principe qu’elles ont compris quelque chose que moi, je n’ai pas compris ?
J’ai fait ce choix-là. Ca fait pas de moi un catho, peut-être pas encore, mais ça a tout changé dans ma façon de voir les choses.
Et petit à petit, j’ai décidé que cette famille (disons plutôt “cette Communauté”) était la mienne. Je vais à la messe avec plaisir. J’aime l’idée de “Communion”, j’aime l’idée de faire corps avec les autres. J’aime ce que raconte le petit Jésus, même si je comprends pas tout.
“Tendre l’autre joue” Une fois, pas deux. Surtout si c’est moi qui tiens la kalashnikov !
“La parabole du jeune homme riche” me semble une aberration sans nom
Saint Martin qui partage son manteau avec les pauvres, comme ça tout le monde a un timbre-poste sur le dos et tout le monde caille ...
L’immaculée Conception, à d’autres !
Quant aux miracles, j’en rigole encore.
Mais bon, je n’en suis qu’au tout début du chemin. Peut-être ça va s’éclairer.
Ou pas.
Toujours est-il que la Communauté Catholique, avec tous ses travers, elle me va plutôt bien.
Quand un catho se conduit mal, ca me blesse. Plus que si c’est quelqu’un d’extérieur. Comme si quelqu’un de ma famille ou de mes amis avait fait une saloperie. Comme si j’avais une petite part de responsabilité.
Je me sens concerné par les scandales dans l’église, et, comme la quasi-totalité des Catholiques, j’ai besoin qu’on lave ça au plus vite (même si je trouve qu’on attaque drôlement plus fort ceux qui ne se défendent pas, ou qui se défendent mal).
Comme la quasi-totalité des Catholiques, j’ai été outré par ce que j’ai vu dans le reportage d’Arte sur les exactions commises par des prêtres sur des religieuses.
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Comme la quasi-totalité des Catholiques, je sais que ça va faire mal, que je vais apprendre des tas d’horreurs sur mes “frères en Christ”, mais que c’est nécessaire, et que ça ira mieux après.
Je ne cache pas que je me marre en voyant les cathos purs et durs, calvitie, mal rasés, les dents sales et l’haleine qui va avec, pull qui gratte, froc en velours côtelé, pieds nus dans des sandales par -5°C, les ongles sales et pas coupés (bon appétit !), qui sont à toutes les réunions cathos, toutes les veillées de prière, qui chantent fort (et faux) pendant la messe, et qui vous collent des Bénédicités avant l’apéro.
Mais je suis heureux que les seules actions terroristes que mes “frères en Christ” commettent devant “Golgotha Picnic” est une veillée de prière devant le théâtre du Rond Point, et une plainte au Tribunal contre “Piss Christ”. On peut ne pas être d’accord, on peut trouver ça ridicule (je suis pas loin d’en être), mais enfin, ils n’ont fait de mal à personne.
Ca me rend fier.
Allez, pour finir, je ne cache pas que j’aime bien les vannes, y compris méchantes, sur la religion.
Celle que je préfère, je crois, c’est celle-là
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Mais je trouve rigolote celle-là aussi :
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ou çelle-là :
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Celle-là n’est pas mal non plus :
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Allez, juste une petite dernière :
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Ca y est, vous pouvez revenir. Je dis pas que j’y reviendrai pas, au petit Jésus, mais je préviendrai.
Bonne nuit
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shalomelohim · 3 years
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- Boker Tov / Bonne Journée -
Voit-on Elohim avec toi ?
“Nous voyons que l’Éternel est avec toi.” (Genèse 26.28)
Quelque temps après avoir été renvoyé du territoire de Guérar par le roi Abimélec, Isaac est surpris de voir cet homme revenir vers lui. Et lorsqu’il pose la question : “Pourquoi venez-vous vers moi ?” C’est alors qu’Abimélec lui dit : “Nous voyons que l’Éternel est avec toi”.
Les ennemis d’Isaac sont amenés à déclarer qu’ils voient que Dieu est avec lui ! Quel beau témoignage !
C’est une chose de déclarer que Dieu est avec nous, c’en est une autre lorsque nos opposants, nos adversaires, et même nos ennemis déclarent : “Nous voyons que Dieu est avec toi”.
Pour Isaac cela ne s’est pas fait en un jour. Il a dû passer par la case rejet, mépris. Il a dû accepter l’exil et persévérer dans la foi… Mais un jour, ceux qui l’avaient persécuté, reconnaissent enfin que Dieu est avec lui.
Un jour un officier supérieur racontait comment il était devenu chrétien. 
Voici ce qu’il dit : “Il y avait, dans notre compagnie, un soldat de deuxième classe qui s’était converti récemment. Tous sans exception nous nous moquions de lui. Un soir, après avoir monté la garde pendant des heures sous la pluie, il revint de son poste fatigué et trempé jusqu’aux os. Avant de se coucher, il se mit à genoux au pied de son lit pour prier. Pendant qu’il priait, je lui jetais à la tête mes deux bottes. Il continua de prier sans réagir. Le lendemain matin en me réveillant, je vis mes bottes au pied de mon lit, nettoyées et lustrées. Sa réponse à mon inconduite m’a profondément marqué, au point que je lui demandais de me faire connaître le Dieu qu’il servait. J’ai accepté Yahshua et suis devenu chrétien. J’avais vu que Dieu était avec lui !”
Le témoignage le plus efficace n’est pas toujours dans ce que nous disons, mais dans notre manière de vivre.
 C’est ce que rappelle Yahshua : 
“ À ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres. ” (Jean 13.35)
Francis Schaeffer a dit : “Si nous ne montrons pas la beauté par la façon dont nous nous traitons l’un l’autre, alors aux yeux du monde et aux yeux de nos propres enfants, nous détruisons la vérité que nous proclamons.”
Nos enfants, notre conjoint, nos collègues, nos voisins voient-ils qu’Elohim est avec nous ?
A plusieurs reprises il est dit au sujet du patriarche Joseph : “Dieu était avec lui”.
“ On fit descendre Joseph en Egypte; et Potiphar, officier de Pharaon, chef des gardes, Egyptien, l'acheta des Ismaélites qui l'y avaient fait descendre. L'Eternel fut avec lui, et la prospérité l'accompagna; il habitait dans la maison de son maître, l'Egyptien. Son maître vit que l'Eternel était avec lui, et que l'Eternel faisait prospérer entre ses mains tout ce qu'il entreprenait. “ (Genèse 39:1-3)
Et comme Dieu était avec lui, cela se voyait. Et parce que cela se voyait il a été présenté au Pharaon. Si Dieu est avec nous, cela sera vu et impactera notre entourage.
Ma prière en ce jour :
“ Que ma vie, mes attitudes, mes comportements, mes paroles rendent témoignage que tu es avec moi et que cela touche mon entourage. Amen ! “
Source : Lueurs du matin
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Si on voit quand Elohim est avec quelqu’un, alors on voit aussi quand le diable est avec une personne.
Tout est spirituel et va au-delà des apparences.
Des pratiques sont utilisées par certains frères et sœurs comme :
la Kundalini,
le yoga,
l’hypnose,
l’astrologie,
le Ouija,
l’horoscope,
l’acupuncture,
la numérologie,
le Feng Shui,
la voyance,
le voyage astral,
la lecture de la paume,
la prière au rosaire,
l’ouverture des chakras,
la prière aux défunts,
les rites maçonniques,
Halloween,
etc...
C’est de la sorcellerie.
“ Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l'a dit : J'habiterai et je marcherai au milieu d'eux; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. C'est pourquoi, Sortez du milieu d'eux, et séparez-vous, dit le Seigneur; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, Et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant. “ (2 Corinthiens 6:16-18)
Repentez-vous !
“ Yahshua, prenant la parole, leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler à la repentance des justes, mais des pécheurs. “ (Luc 5:31-32)
“ Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s'humilie, prie, et cherche ma face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies, -je l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays. Mes yeux seront ouverts désormais, et mes oreilles seront attentives à la prière faite en ce lieu. “ (2 Chroniques 7:14-15)
“ Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. “ (2 Pierre 3:9)
Abandonnez ces pratiques et revenez auprès de Père Céleste !
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entropea-me · 7 years
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Un an de traitement hormonal
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Enchantée,
Je m’appelle Agathe. Je suis une femme de 23 ans, je vis à Montreuil depuis un an après avoir passé une bonne partie de ma vie aux alentours de Marseille.
Je suis designer. Je conçois des interfaces interactives pour le web et pour des applications mobiles, avec en priorité l’expérience de l’utilisateur. C’est un métier que j’ai mis du temps à assumer, parce qu’il ne me semblait pas suffisamment noble. Mais je n’ai jamais été aussi épanouie dans mon travail.
J’ai une sœur et une mère que j’aime de tout mon cœur. Un compagnon dont je suis éperdument amoureuse et des amis extraordinaires, qui ont tous ce quelque chose qui les rendent indispensable à mon équilibre.
J’aime les jeux de rôle sur table, les films de science-fiction, je suis engagée dans les luttes contre les oppressions systémiques.
Je mange souvent des muffins. J’aime les pizzas à l’ananas et le jus de carotte. Le soir parfois, je prends une soupe chaude aux légumes et ça suffit à me donner le sourire.
Je ne trie pas mes déchets parce qu’il n’y a aucun service dédié propre de chez moi, mais quand je rentre chez ma mère, j’essaie de prendre de bonnes habitudes.
Je suis trans. 
Je suis une femme à qui on a dit à la naissance : “ce bébé sera un homme”. Dès mes 12 ans, je savais qu’il y avait un problème. à 14 ans, j’ai réussi à mettre un mot dessus : “transexualisme, syndrome de Benjamin”. Cette promesse faites à ma naissance me torturait, comme une mauvaise prophétie.
J’ai mis du temps à trouver le moment pour me lancer à l’assaut de cette prophétie. Mon super pouvoir pour en venir à bout ? Je savais qu’elle n’était pas vraie. RIen ne peut l’expliquer. Ni la médecine, ni les sciences sociales. Mais moi, je savais ; je savais que je n’étais pas un homme, que je n’en avais jamais été un.
Le combat, il a été dur. La prophétie avait une arme tranchante, invisible : la dysphorie de genre. Dysphorie était une lame qui vivait en moi. Lorsque j’ai compris où elle se logeait depuis tout ce temps, elle a du sortir, et j’ai commencé à la voir, tous les jours. Parfois le matin sans prévenir, je me retrouvais en larme parce que je ne m’étais pas changée en fille pendant la nuit, malgré mes prières. Je passais dans la salle de bain sans pouvoir regarder mon reflet.
à 22 ans, après plusieurs chocs de réalité, j’ai compris qu’on ne pouvait pas échapper à cette arme dévastatrice en se cachant. La dys-faux-rie, elle vous trouve toujours, même si vous vous enfoncez très loin dans le pays du déni. 
Alors j’ai décidé de m’équiper. J’ai pris note tous les jours sur mon journal intime des manières de vaincre cette Dysphorie. Connais ton ennemi, dit le proverbe. J’avais appris à l’esquiver durant toutes ces années, j’étais prête à l’affronter de front.
Sessions de laser. De psy. Prises de sang. J’ai récupéré une à une toutes les armes qui m’aideraient à la combattre. Revêtue de mon armure et de l’amour de mes proches, j’ai commencé  la longue odyssée que représente la transition de genre.
C’est là que j’ai trouvé Euphorie. L’euphorie de genre, c’est cette fée qui se présente à vous dans ces moments de grâce où vous vous reconnaissez enfin dans le miroir. Quand votre famille commence à vous appeler par le prénom que vous vous êtes donné. Quand mes seins ont commencé à pousser, Euphorie célébra avec moi cette victoire. 
Au terme d’une guerre d’une décennie, Dysphorie tu as été vaincue. Tu n'as pas disparue mais je n'ai plus peur de toi. Tu es devenue inoffensive. 
Tu pourrais revenir un jour mais je serai là à t’attendre, avec mes proches et Euphorie pour te botter les fesses. Alors ne t’avise pas de t’approcher de nous. 
Euphorie se fait de moins en moins lumineuse ces temps-ci. Ces moments de grâce surgissent moins souvent. Mais ça ne m’effraie pas, je sais ce qu’il se passe : elle devient nous. Toutes les deux, Euphorie et moi, on fusionne. Je ne la vois plus, parce qu’elle est à l’intérieur à présent. Elle fait partie de mon quotidien. Elle a remplacé Dysphorie à ce poste.
***
En janvier dernier je me disais : “dans un an, je posterai un avant/après, parce que je serai super fière du résultat”. Un an plus tard, je poste cet avant/après pour des raisons différentes. Je me suis assagie et je regarde plus loin. Aujourd'hui je poste cet avant/après parce que je souhaite me joindre aux milliers d'autres voix qui comme moi vous hurlent :
“C'est possible ! C'est possible !! C'est dur, parfois encore plus pour certains et certaines, mais c'est possible ! On peut s'en sortir ! Vous avez le droit de vous en sortir.
Avoir été ou être heureux ou heureuse dans son placard n'est pas une raison en soi de ne pas faire une transition.
Être trop grande, trop petit, avec des épaules trop larges, des hanches trop féminines, trop poilue, pas assez, avec un début de calvitie, trop vieux ou vieille... tout ça ne sont pas des raisons en soi de ne pas faire une transition.
Trouvez-vous d'autres excuses.
Votre vie est unique. Vous êtes une expérience. Faites-en sorte que ce soit une bonne expérience.
Pour une fois jouez-la perso. Entourez-vous de gens bienveillants et compréhensifs. Prenez le temps de faire les choses proprement, mais ne traînez pas. Utilisez tous les leviers à votre disposition. La peur elle-même sera votre pire ennemie. Continuez à avancer vers votre lumière et ça vaudra peut-être le coup.”
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Je vous souhaite une excellente année !
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Anne Tyler: ‘de près, vous verrez toujours des choses à être optimiste à propos de’
Quand Anne Tyler’s UK tournée pour son dernier roman est devenue une des premières victimes de la coronavirus, et son éditeur a annoncé que le 78-year-old serait de mener à bien toutes les entrevues avec les médias par téléphone à partir de la sécurité de son domicile de Baltimore, Tyler ressenti un certain soulagement, mais surtout, elle se sentait coupable. Elle est l’un des les plus célèbres au monde moderne romanciers, remporté un prix Pulitzer (pour la Respiration des Leçons, 1988) et le National Book Critics Circle award (pour Le Touriste Accidentel, 1995, qui a été transformé en un gagnant d’un Oscar du film) et finaliste du Man Booker (Une Bobine de Fil Bleu, 2015) et les Femmes prix pour la fiction (Échelle de Ans à partir de 1995, et Une Bobine de Fil Bleu). Mais jusqu’en 2012, elle a maintenu un silence aussi assidue que celui de Thomas Pynchon ou de JD Salinger. Elle n’a jamais aimé et ne fonctionne toujours pas, mais que les besoins dans le monde d’aujourd’hui – parler de comment elle fait ce qu’elle fait, parce que qui mène à la conscience de soi, qui n’est jamais bon pour la créativité.
Donc elle était “une sorte de soulagement lorsque la tournée a été annulée. “Mais je me souviens que j’ai utilisé à la prière de l’école brûle avant un test de mathématiques de la prochaine journée. Pourtant, si elle avait effectivement brûlé je me serais senti tellement coupable. Alors maintenant, je suis de la pensée, ‘Oh, attention à ce que vous souhaitez!’” dit-elle.
Les entrevues téléphoniques sont généralement frustrant, un désordre de correspondances manquées et maladroit interruptions. Mais Tyler a une manière que d’ouvrir et de s’engager comme sa prose, sa conversation ponctuée par des anachronismes tels que “bestir” et “hélas”, et bientôt il se sent comme si je la connais aussi bien que je sais que son brio des personnages dessinés. Comme moi aussi, je suis maintenant à travailler de la maison, je commence par présenter ses excuses pour le bruit de fond des enfants et des chiens. “Oh j’aime entendre les enfants et les chiens! Qui sonne bien pour moi. J’aime la vie normale,” dit-elle.
Depuis plus d’un demi-siècle, Tyler a été l’éminent romancier de la vie normale. Elle est notoirement bon à résumer un caractère dans une ligne précise (“Elle n’avait pas grandi plus complète ou plus doux avec l’âge. Elle était comme certains supermarchés légumes qui passent du vert à l’flétri sans jamais maturation” – à partir de Dîner au Restaurant le Mal du pays, 1982), mais deux fois, elle me dit qu’elle est “pas bonne intrigue, comme je suis sûr que vous avez remarqué”. Il est vrai que nul n’aurait l’erreur aTyler roman de John Grisham, mais aucun ne peut égaler son évocation des moments qui construisent une vie: l’ennui, les repas en famille, le jour de votre conjoint semble soudain comme un étranger, en essayant de donner un sens à la façon dont vous êtes devenu l’adulte que vous êtes aujourd’hui, le conflit des gestes de nous rendre à essayer d’être bon. “Le temps qui passe est un complot. Vous ne pouvez pas avoir quelque chose de se produire si les années passent,” dit-elle.
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Comme un enfant, Tyler son livre préféré était le classique Américain à La Petite Maison de Virginia Lee Burton, sur une maison en regardant une ville germer autour d’elle. Ses fans, qui ont varié de John Updike de Jacqueline Wilson de Nick Hornby – va reconnaître son mémoire en espérant l’école brûle comme un classique Tyler: ses romans sont cloutés avec des adultes personnages évoquant l’enfance, les sensations, les plis du temps, révélant la vérité de l’adulte par l’enfant qu’ils étaient. En 2018, l’ Horloge de la Danse, une veuve compare la récupération de l’affliction à la “les jours de pluie dans son enfance, lorsqu’elle se résigne à rester dans le, de lire ou de regarder la TÉLÉVISION pendant la journée, et puis dans l’après-midi, le soleil percer de façon inattendue et qu’elle pense, Oh. Je suppose que je peux aller à l’extérieur maintenant. N’est-ce pas … une bonne chose, je suppose.” Dans Le Touriste Accidentel, Macon Leary avec empathie imagine son jeune fils Ethan derniers instants avant il a été tué dans un crime violent: “sans broncher de passer à la cuisine avec les autres, posant ses mains à plat contre le mur, comme il a été commandé et sans doute de rebondir légèrement sur les boules de son pieds”.
“Je suis plus en contact avec mes émotions et les viscérale sensorielle de l’enfance que toute autre partie de la vie. Je ne sais pas si elle contribue à la créativité, mais je sais que quand j’en parle à d’autres écrivains, ils parlent de leur enfance dans le détail,” Tyler dit. (Elle aussi a encore des résidus de cette enfantine la croyance que l’on peut faire quelque chose en pensant à elle. Tout comme elle avait l’habitude de s’inquiéter, elle serait la cause de l’école à brûler vers le bas à travers le souhaitant, quand je lui demande comment elle a pu supporter d’écrire la scène de Ethan meurtre de La Touriste Accidentel, elle dit qu’elle a délibérément fait de lui plus jeune que ses deux filles ont ensuite été“, donc je ne pense pas qu’ils sont venus jusqu’à cet âge,  » Oh non, qu’ai-je mis en mouvement?’”)
Je suis très à l’aise pour écrire comme un homme, et je pense que c’est parce que j’avais vraiment des hommes de bien dans ma vie
Son nouveau roman, la Rousse par le Côté de la Route, son 23e, de nombreuses caractéristiques de l’habituel Tyler tropes. Son protagoniste, Michée, est un homme, comme beaucoup de Tyler plus grands personnages sont, qui est en partie pourquoi elle a beaucoup de fans masculins. L’écriture dans ce document, en 2012, Mark Lawson mettre sa croix-genre d’appel vers le bas à la manière“, elle traite avec bienveillance et redemptively avec les hommes, en manque d’efficacité et d’impuissance”. Tyler a grandi avec trois frères et a été heureusement marié depuis 34 ans à Mohammad Taghi Modarressi, un psychiatre Iranien, jusqu’à sa mort en 1997. “Je suis très à l’aise pour écrire comme un homme, et je pense que c’est parce que j’avais vraiment bon d’hommes dans ma vie. Ils m’ont fait sentir à l’aise et j’ai pensé  » OK, ils ne sont pas si différents de moi,” dit-elle.
Comme beaucoup de Tyler personnages masculins – Ian dans Saint, Peut-être, Barnaby dans Un Patchwork Planète, Jesse dans la Respiration des Leçons, d’Esdras, de Dîner au Restaurant le Mal du pays – Michée a laissé sa vie défilent devant lui après un jeune regret. Comme Macon dans La Touriste Accidentel, il tente de contrer la perte de contrôle sur sa vie, en respectant l’auto-inventé les règles sur le moment où il nettoie la cuisine, comment il fait le lit, la façon dont il conduit. “Micah” même des sons comme “Macon”, mais quand je demande à Tyler si l’écho a été délibéré, elle a dit non. “Mais je fais souvent avoir des fantasmes sur mes personnages se retrouvent dans la même petite partie de la ville et de l’exécution de l’une à l’autre, afin que je puisse l’image de Micah et de Macon le faire.”
Comme tous Tyler personnages, Micah vit à Baltimore, Tyler a elle-même fait depuis plus de 50 ans. Elle a dit qu’elle est un écrivain afin qu’elle puisse vivre une vie différente, mais il semble que quelle que soit la vie qu’elle imagine, elle en veut toujours à vivre dans à Baltimore. “Oui, c’est probablement vrai. C’est une ville de caractère, mais c’est aussi de la paresse de ma part, en définissant le livre ici je n’ai pas à faire beaucoup de recherche,” dit-elle avec une autodérision. Je ne peux pas laisser passer: ses livres sont pleins de recherches méticuleuses, comme le précise la période de détails dans ses décennies-découpage de la famille des sagas, L’Amateur de Mariage et Une Bobine de Fil Bleu. Elle méticuleusement à l’écriture de ses livres à la main plusieurs fois, puis les lit dans un enregistreur et à l’écoute de dos, s’assurer que le dialogue costumes de chaque personnage et il n’y a pas clangers. L’idée que Tyler valeurs par défaut de quoi que ce soit dans ses livres de la paresse est un non – sens- elle aime juste sa ville.
“C’est vrai, je ne l’aime”, dit-elle. “C’est drôle, c’était un accident, que je suis venu à la ville, c’était juste pour mon mari à son travail. Pour les deux premières années, nous l’avons dit, ‘Nous faisons une erreur, nous allons revenir en arrière.’ Mais alors vous vous enfoncez dans, peu à peu”.
À la différence de ses autres romans, Rousse par le Côté de la Route dispose de multiples références à des événements actuels. Micah évite de regarder les nouvelles, parce que c’est trop “déprimant”, mais il ne peut pas bloquer le “indiciblement triste” bulletins de son radio-réveil: “une fusillade meurtrière dans une synagogue; des familles entières sont en train de mourir au Yémen, les enfants arrachés à leurs parents ne seront jamais, jamais être la même, même si, par improbable chance, ils sont réunis demain.”
Rousse par le Côté de la Route par Anne Tyler examen tranquillement profonde
“J’ai écrit le livre déjà par le temps Trump était dans le bureau et tout ce qui se passait. J’ai donc consciemment d’avis qu’il serait immoral de faire semblant de vie était juste la la la. Je ne veux pas être une de ces personnes qui lie leur roman à l’actualité de sorte qu’il est pratiquement hors d’un journal, mais en même temps, je sentais que je devrais mentionner que c’est un malheureux temps,” dit-elle. Ses livres sont souvent optimiste, montrant la bonté humaine. Mais est-elle avoir des difficultés à maintenir l’optimisme à propos de l’humanité dans le climat politique actuel? Elle hésite une seconde. “Pas de près, si vous savez ce que je veux dire. De près, vous verrez toujours des choses à être optimistes.”
Tyler a grandi dans Quaker les communautés à travers le sud et le midwest, l’aîné de quatre enfants. Elle n’a pas assisté à l’école ordinaire jusqu’à ce qu’elle était de 11, et un thème commun dans ses livres est un personnage qui regarde le monde “normal” et d’essayer de comprendre comment il fonctionne, comme Michée sentir perdus par les couples heureux qu’il voit sur son matin, le jogging, ou Aaron déconcerté par le mariage de La du Débutant au Revoir: “Il nous semblait juste jamais pris le coup, étant un couple de la façon dont d’autres gens. Nous devrions avoir pris de cours ou de quelque chose; c’est ce que je me dis.”
“L’une des premières choses qui s’est passé lorsque j’ai rejoint l’école a été, j’ai été entouré par ces filles et elles ont été de me poser toutes ces questions. On l’a dit,  » avez-vous un petit ami?’ Et j’ai dit, ‘Oh, je ne suis qu’à 11.’ Et elle a dit,  » je sais, vous avez un petit ami?’ Et j’ai pensé, ‘Oh, je suis dans un autre monde ici.’ C’était très difficile à comprendre, et je m’en souviens très clairement,” Tyler dit. À l’université, elle a commencé à écrire des histoires courtes, puis publie son premier roman, La boîte de l’Arbre, quand elle était de 23. Côté de un à cinq ans d’interruption pour élever ses filles, elle a écrit de façon constante depuis.
J’ai été un meilleur écrivain quand j’étais plus jeune. J’ai pris plus de temps. C’est pas comme si je suis dans un rush maintenant, mais j’espère que le lecteur plus
“Je sais que le monde n’a pas besoin d’un autre livre de moi, mais je n’ai rien d’autre à faire avec moi-même. Je n’ai pas de passe-temps. Alors je me sens coupable quand je dis à mon agent, ‘me semble que j’ai un autre livre prêt si vous voulez prendre un coup d’oeil …’”, dit-elle. Sa journée idéale entraînerait plusieurs heures de “bonne écriture impliquée, la nature lorsque soudainement, vous regardez vers le haut et trois heures”.
Bien que goût de Tyler livres est aussi indiscutable que goût de chocolat, il y a eu quelques critiques au fil des ans, certains plus que d’autres. Ceux qui rejettent son que sentimentale (“notre premier NutraSweet romancier”, un critique Américain a écrit) donnent sur la piqûre de l’humour dans son travail. “Répétitif” est plus un mérite, bien que le familier parcelles sont des coquillages pour son élégante écriture et la caractérisation, qui ne sont jamais ennuyeuses. Pourtant, j’ai trouvé certains de ses plus récents romans moins satisfaisant que de son milieu de carrière pic de Dîner au Restaurant le Mal du pays, Le Touriste Accidentel et la Respiration des Leçons. Le New York Times, l’ancien critique littéraire Michiko Kakutani mettre plus fortement en 2012, où elle se plaint du fait que, au lieu de la “connaissance intime de ses personnages, la vie intérieure”, nous recevons dans de Tyler livres précédents, les personnages Du Débutant au Revoir sont des “irritants chiffres de bâton”.
Mais Tyler est son meilleur porte-parole. Elle vient de relire Le Touriste Accidentel pour la première fois depuis de nombreuses années. “Et l’une des choses que je pensais, je pense que j’ai été un meilleur écrivain quand j’étais plus jeune.’” Ce qui fait d’elle le pensent? “J’ai été plus détaillé, j’ai pris plus de temps. C’est pas comme si je suis dans un rush maintenant, mais j’espère que le lecteur plus. Je n’ai pas envie j’ai à dire sur le caractère de sentiments intérieurs. Mais alors, comme j’ai lu Le Touriste Accidentel j’ai pensé, eh Bien, il est agréable de voir toutes les Macon sentiments profonds de là.’” Justement, pour l’écrivain, qui voit toujours le meilleur de ses personnages, Tyler l’erreur était peut-être la confiance de certains de ses lecteurs trop.
Ses filles vivent dans Philadelphie et San Francisco, et Tyler sait qu’elle a une tendance à l’auto-isolement, s’il y a une pandémie mondiale ou pas, et je ne pense pas que ce soit toujours en bonne santé”. Donc, “pour amener le monde en moi”, elle a quand la vie est normale, régulière, de nuits à la maison avec des amis, y compris un hebdomadaire du groupe d’amitié qu’elle appelle la “Thérapie de Vins”. Elle travaille déjà sur son prochain livre, “et encore une fois, c’est à propos d’une famille et à Baltimore”, dit-elle dans un ton de la pure auto-dérision. Puis, avec la grâce qui vient d’une durée de vie de la connaissance de soi, s’enfonçant peu à peu, ajoute-t-elle, “Et je les aime tous ça.”
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Témoignage, Expérience Avec Voyant MAITRE Marabout PAPA GBEMAVO +229 62 01 78 96Témoignage, Expérience Avec Voyant MAITRE Marabout PAPA GBEMAVO +229 62 01 78 96 Voyant PAPA GBEMAVO c'est un grand voyant Fils d'un Roi, Guérisseur traditionnel. Si vous voulez vous faire aimer ou si votre ami vous a quitté elle peut le ou la faire revenir dans 3 jours . Il , elle va courir derrière vous comme un chien derrière son maître . amour durable. chance au jeux, désenvoûtement , fidélité, impuissance sexuelle, maladie inconnue, même cas désespérés. Pas de fausses promesses , travail efficace et rapide. 100% de réussite garanti. Ne restez pas dans l'angoisse, pas de problème sans solution. Est réputé pour trouver une solution à tous vos problème qui vous empêchent de dormir, même les cas désespérés. Car cette dame Voyante a fait de ma vie, une vie comme je l'ai toujours souhaiter.N'hésitez pas à le contacter  MAITRE PAPA GBEMAVO TEMOIGNAGE DE PHILIPE :FRANCETEMOIGNAGE DE PHILIPPE :FRANCE GRAND MAÎTRE MARABOUT PAPA GBEMAVO Bonjour maitre PAPA GBEMAVOJ'ai longtemps réfléchi à ce que je pouvais écrire pour votre bien que vous m'aviez faire. Vous m'avez tellement aidé que j'ai du mal à trouver les mots pour vous dire à quel point je suis reconnaissante... je profite pour vous souhaité que de bonnes choses et surtout longévité grace a vous que je suis très riche dans ma vie plus de souffrance ,tout ceci grace a vos conseils vraiment merci. TEMOIGNAGE DE EMELINE : FRANCE Bonjour Medium MAITRE PAPA GBEMAVOJe souffrais d'un cancer du sein, j'ai suivi beaucoup de traitements pour calmer cela. en 2 ans j 'ai perdu 30 kg et j étais devenue mince, très mince, mon mari à cause de la maladie m'a abandonné, à mon age il est difficile d 'espérer quoique ce soit dans cet état,puisque les docteurs disaient que je mes jours étaient comptés.Un jour j étais dans le parc en train respirer l'air pur, dans le parc que j avais vu un monsieur noir, qui avait l'habitude de de me voir assise à la même place, il s est rapproche de moi et m'a demander de quoi je souffrais, je lui ai expliqué tout en détails, il m a suggéré de rentrer en contact avec un marabout guérisseur, féticheur du nom de MAITRE PAPA GBEMAVO , on est rentrer en contact lui, et je lui ai tout expliqué, il m'a dit que ma maladie n’était pas naturel, qu'il allait faire des prières et rituel,il me faisait boire un breuvage à base de plantes. Apres cela, aujourd'hui je me sens mieux j'ai retrouvé ma forme ( je suis plus comme un flèche). j'ai fait les analyses le cancer a complètement disparu j'ai repris une vie relativement normal C'est pour cela je tenais à faire profiter des autres de mon témoignage, il est doué aussi d'autres maladie (impuissance sexuelle, Ejaculation précoce, infertilité, troubles oculaires, asthme) pour les problèmes de cœur (amour perdu,.....), envoûtement et dés-envoûtement s'ils y en ont qui ont des problèmes n hésiter pas à lui écrire il me répondait au +229 62 01 78 96 au passage après mon cancer je lui ai parler de mon problème de mon mari qui m a abandonne à qui je tenais encore, il m'a fait des prières à distance pour conjurer le mauvais sors et m' a juré que mon mari allait revenir dans les une semaine, mon mari repris contact avec moi (mais après 3 semaines environs) aujourd’hui nous sommes de nouveaux ensemble. TEMOIGNAGE DE ROSALINE je suis Mme ROSALINE de nationalité Française, étant à la recherche d,un marabout depuis plus de 3 mois, j'ai été beaucoup de fois dupée sur des site chez plusieurs marabout Mais chaque fois je me suis faire avoir par des faux marabout, et au finish je ne reçois rien comme satisfation ,Mais heureusement je suis tombé sur maitre MAITRE PAPA GBEMAVO  vraiment c'est une Homme simple et aimable qui m'a aider. Des feticheurs j'en ai rencontrer dans ma vie mais pas comme le feticheur Grand Marabout MAITRE PAPA GBEMAVO voyant qui a su me redonner un sens a ma vie. , j'avais une vie très misérable et très soucieux , qui a totalement changé ma vie. Aujourd'hui j'ai un bon travail, mon fiancé qui m'avait quitté est revenu, mes enfants sont devenus très brillants a l'école et ce qui m'a plus motivé chez lui, il a fait une porte monnaie magique à mon mari, je vous assure que depuis ce temps, on ne s'est plus pleigné de l'argent, nous avons une vie très heureuse. je vous prie de prendre contact avec ce féticheur si vous voulez vraiment finir avec la pauvreté et tous sortes de problème. Voici ci dessous de quoi il est capable. Retour de l'être aimé/ Retour d'affection en trois jours/ Porte feuille magique/ -bague magique-/ Se rendre invisible / devenir star-/ gagner aux jeux de hasard-/parfum ou savon qui donne le montant voulue par jours/-BIC magique pour réussir a sont examen-/ -Avancement au bureau-/envoûtements -/ affaire, crise conjugale- /dés-envoûtement -/ protection contre les esprits maléfices/- protection contre les mauvais sorts /-chance au boulot évolution de poste au boulot / ,chance en amour / - chance partout / - la puissance sexuelle. abandon de l'alcool / .- prendre sont sperme après ou avant avoir enfanté pour se faire richesse./.miroir magique/ -amulette contre accident /poudre amaigrissement /devenir champion.Résultat très efficaces.Travail très rapide et double efficacité. voici son contact mail: [email protected] le et vous allez revenir témoigner, je vous le promet. Merci pour la très bonne compréhension et cordialement a vous TEMOIGNAGE DE LEE DE LONDRES Bonjour, Il y a de cela deux ans, j'avais une vie très misérable et très soucieux , après mes recherches sur le net je suis tombé sur un GRAND CHEF MARABOUT MAITRE PAPA GBEMAVO qui a totalement changé ma vie. Aujourd'hui j'ai un bon travail, mon fiancé qui m'avait quitté est revenu, mes enfants sont devenus très brillants a l'école et ce qui m'a plus motivé chez lui, il a fait une porte monnaie magique à mon mari, je vous assure que depuis ce temps, on ne s'est plus pleigné de l'argent, nous avons une vie très heureuse. je vous prie de prendre contact avec ce marabout si vous voulez vraiment finir avec la pauvreté et tous sortes de problème. Voici ci dessous de quoi il est capable. 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TEMOIGNAGE DE DIANE : FRANCE Bonsoir a tousJe viens pour témoigner de la compétence d'une personne. certains pourront croire que je suis venu pour lui faire de la pub oui j'accepte puisqu'il le mérite vraiment d'autant plus qu'il a réussir a réaliser mon vœu le plus cher en moins d'un mois.il y a 2 ans de cela mon ami avait coupé tout contact avec moi parce qu'il était tombé amoureux d'une autre fille dans son lieu de travail. après une petite dispute sur ce sujet il a décider de rompre totalement avec moi. alors que je l'aimais encore profondément. je ne pouvais pas supporter cela. un jour je me baladais sur le net quand je suis tomber par mégarde sur une annonce parlant de retour de l’être aimé. sans vous mentir des le début je n'avais pas taillé d'importance a cela. mais j'avais quand même garder les contacts du monsieur. tandis que les jours passaient j'avais de plus en plus mal car les amies venaient souvent me dire qu'elles viennent de voire mon ex avec l'autre fille et qu'ils avaient l'air très amoureux. sans arrière pensé j'ai décidé de contacter le monsieur car comme le disait un proverbe " qui ne risque rien n'a rien" c'est comme cela il m'a demander nos informations pour une quelconque consultation sans doute je lui ai fournis tout ce dont il avait besoin. une semaine après l'usage du produit j'ai reçu un texto de mon ex.un truc du genre " allo bonjour c'était tout juste un petit bonjour comment vas tu?? bref quelque chose de ce genre. je n'en croyais pas mes yeux j'ai expliqué cela au monsieur qui m'a conseiller de ne pas lui répondre que c'est le premier signe. une semaine plutard cette fois si c'est un appel. je n'ai pas décrocher car le monsieur m'en avait défendu selon lui et ses divinités si je lui réponds tout est a reprendre a zéro. j'ai suivi ses conseils. mais la troisième semaine j'étais dans mon jardin entrain de faire la lecture comme d'habitude quand il est venu. j'ai automatiquement reconnu le son de sa voiture. il était seul j'ai fais comme si de rien n'était. il est entré je l'ai bien accueillir et comme d'habitude je suis venu pour te rendre visite. depuis ce temps il m’envoie des messages sans cesse et essaye de m'appeler et c'est comme ça on a repris peu a peu notre relation. j'aurais appris par la suite il s'est disputer avec l'autre fille et qu'ils ne sont plus ensemble. aujourd'hui il est fou de moi et j'attends même un enfant de lui. alors si je me permet de raconter tout cela c'est pour vous faire croire qu'il existe encore le vrai. Vous pourvez avoir des service de ce maitre pour résoudre vos differents. Merci TEMOIGNAGE DE MARIETTA Bonjour,Je m'appelle MARIETTA, je suis au londre et j'ai 29ans, Comptable.Avant, j'avais essayé avec beaucoup de services de voyance et divination sur internet, mais rien de sérieux toutes les fois puis une amie m'a recommandé le Medium Marabout Africain MAITRE PAPA GBEMAVO et je doit avouer que celui-ci est vraiment différent, sérieux, fiable et complet. J'ai pu faire des consultations sur ma vie actuelle et l'avenir ce qui correspondait vraiment a ce que je vivait puis pour corriger tout ce qui ne va pas chez moi, il m'a proposer certains produits et rituels, je doutais au début mais en moins de 7 jours j'ai commencer à avoir satisfaction, j'avais peur de reprendre avec mon ex et qu'il me quitte à nouveau mais les oracles du Medium Marabout MAITRE PAPA GBEMAVO m'ont vraiment aider à faire le bon choix, en toute connaissance de cause, jusqu'à ce que ma situation se rétablissement. Grand Maitre Spirituel Marabout Vaudou GBEMAVOEmail : [email protected] / [email protected]éléphone: 00 229 62 01 78 96 / +229 62 01 78 96 APPEL COMME WHATSAPP DISPONIBLE.Twitter:@DahgbemavoGoogle: Grand Maitre Marabout Vaudou Benin GBEMAVOPinterest:Maitre GBEMAVOAdresse:Grande Rue Principale De La Foret Sacrée-Ouidah Tove-AgonssaSite: http://grandmaitredahgbemavo.blogspot.com/
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christophe76460 · 9 months
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🔴 NE ME RÉVEILLEZ PAS, S'IL VOUS PLAIT, JE DORS.
Esdras 9:6 Mon Dieu, je suis dans la confusion, et j'ai honte, ô mon Dieu, de lever ma face vers toi; car nos iniquités se sont multipliées par-dessus nos têtes, et nos fautes ont atteint jusqu'aux cieux.
I)LE RÈGNE DE L'ABOMINATION SUR LA TERRE
Que veux-tu dire par-là? Que je ne devrais pas te réveiller ? Pendant que ta maison est entrain de brûler? Oh! C'est vraiment sérieux ! Tout droit devant tes yeux, une Femme Britannique a épousé un chien, et rien ne te dérange ?
Le mariage homosexuel est légal dans presque tous les pays du monde entier, et tu dis que je ne devrais pas te réveiller ?
Les jeunes filles enfantent dès l'âge de 13, sans connaître les auteurs des grossesses, et tu dis : << NE ME REVEILLEZ PAS.>>
Un homme a enceinté sa propre fille, et tu ne trouve rien de mal en cela?
Les hommes préfèrent avoir des relations sexuelles avec des animaux ou avec des objets artificiels, et tu as toujours sommeil?
Les hommes accouchent dans leur masculinité, les femmes allaitent des animaux, les médecins couchent avec leurs patients souffrants, une femme a épousé son propre fils, l'éducation sexuelle anale a été introduites dans nos institutions, la fraude numérique et le SCAM sont devenus monnaie courante au sein de la jeunesse.
Viens à l'église et tu pleureras. Les Pasteurs couchent avec les membres de l'église et leur promettent le ciel pendant qu'ils vivent comme dans l'enfer.
Les Politiciens occupent les postes les plus élevés à l'église.
Les membres de l'église touchent la masculinité des prophètes pour être guéris.
Certains mangent de l'herbe verte juste pour que le miracle se produise dans leurs vies. D'autres embrassent des idoles et se prosternent devant l'image du Pape comme devant un dieu.
Beaucoup aussi voient leurs Bergers comme des dieux. << Semez et le Seigneur vous bénira>>. C'est ainsi qu'ils dérobent les membres de leurs églises.
Ils enseignent aux pécheurs la FOI et la PRIÈRE, sans SALUT ni SANCTIFICATION, les Services d'Onction sans Rédemption ni Purification du Pécher.
Les Combats Spirituels de Minuit avec la HAINE et la RANCUNE dans les cœurs.
Les services dans la Chorale avec du rouge-à-lèvre sur les lèvres.
Le RÉVEIL sans SAINTETÉ. Et après l'église ils partent dans les maquis pour s'égayer. Après le service dans la Chorale, ils partent coucher avec leurs partenaires qui vivent dans le péché.
Le FLIRT est une pratique courante au sein de la jeunesse. Les Coordonnateurs de la Jeunesse ont transformé les jeunes en esclaves sexuels. Les gens commettent l'avortement et vont chanter << Tu m'as tellement élevé que je peux me dresser sur une montagne>> 🎶🎶🎶
Les femmes cousent maintenant leurs habits avec le dos dehors, et quand tu attires leur attention, elles répondent : << je suis au courant >>
Elles s'habillent dans la légèreté et sont heureuses. Pas de doute, la Bible dit que leur justice comme est une justice de honte.
Tu as menti, et je t'ai corrigé, tu dis : << Ne juge pas >> .
Tu pratiques la fornication et je t'ai fait le reproche, tu dis : << Ne me juge pas >>
Tu te dépigmentes, et je t'ai dit que c'est un péché, et tu dis: Dieu regarde le cœur.
Le jugement de Dieu est proche et tu dis : << NE ME RÉVEILLE PAS>>
a) QUAND VAS-TU TE RÉVEILLER DE TON SOMMEIL ?
b) QUAND VAS-TU TE REPENTIR ?
c) QUAND VAS-TU ACCEPTER LA CORRECTION FRATERNELLE ?
d) QUAND VAS-TU T'HABILLER COMME UNE FEMME ?
e) QUAND VAS-TU CESSER DE VISIONNER LES FILMS PORNOGRAPHIQUES ?
f) QUAND VAS-TU CESSER DE FAIRE LA COUR AUX FEMMES ?
g) LE SEIGNEUR EST SUR LE POINT DE REVENIR. COMMENT T'Y PRÉPARES-TU?
C'EST POURQUOI L'ÉCRITURE TE DIT: RÉVEILLE-TOI, TOI QUI DORS, RELÈVE-TOI D'ENTRE LES MORTS, ET CHRIST T'ÉCLAIRERA (Éphesiens 5:14).
NOUS AVONS BESOIN DE NOUS EXAMINER CAR LE JOUR DU SEIGNEUR EST PROCHE.
OÙ PASSERAS-TU L'ÉTERNITÉ? AU CIEL AVEC LE PÈRE OU EN ENFER AVEC LE DIABLE ?
LE CIEL EST RÉEL, L'ENFER AUSSI EST RÉEL. IL N'YA PAS DE ZONE INTERMÉDIAIRE.
RÉVEILLE QUELQU'UN D'AUTRE EN PARTAGEANT CETTE PUBLICATION
QUE DIEU VOUS BÉNISSE.
Il - LA SIMILITUDE AVEC L'ÉPOQUE DE NOÉ:
GENÈSE 6:5-8 l'Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et toutes les pensées de leur coeur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. l'Éternel se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et il fut affligé en son coeur. Et l'Éternel dit: J'exterminerai de la face de la terre l'homme que j'ai crée, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel; car je me repens de les avoir faits. Mais Noé trouva grâce aux yeux de l'Éternel.
Une lecture de la parole de Dieu dans Genèse, aux chapitres 6 et 7, nous explique, à un moment de l'histoire, comment les agissements des humains qui vivaient dans la MÉCHANCETÉ et la DÉSOLATION totale, avaient mis l'Éternel dans une telle colère, et attristé son coeur, qu'il s'était repenti d'avoir crée l'homme.
Il se résolut d'exterminer de la surface de la terre toute vie, en faisant venir un déluge. Mais, un homme, Noé, trouva grâce à ses yeux. Il lui fut demandé de construire une ARCHE, qui devait les préserver du déluge, sa famille et lui.
Si Noé trouva grâce aux yeux de l'Éternel, c'est qu'il menait une vie qui lui était AGRÉABLE, contrairement à ses contemporains qui vivaient dans la désolation. On peut même imaginer la RISÉE et les MOQUERIES dont il pouvait faire l'objet de la part d'eux, lorsqu'il leur annonça le projet de construction de l'Arche.
Le contexte du temps de Noé est comparable à celui dans lequel nous vivons présentement, à l'échelle mondiale : le sang innocent versé, l'injustice sociale, la mal-gouvernance, l'immoralité sexuelle et la bestialité, l'idolâtrie, les droits des pauvres foulés au pied, bref la MÉCHANCETÉ dans toutes ses formes. Toutes ces choses sont de nature à attrister le coeur de Dieu.
1) Dans un sens spirituel, NOÉ est une préfiguration des HOMMES et des FEMMES de Dieu d'aujourd'hui, qui se battent pour tirer la SONNETTE D'ALARME, afin que l'humanité ne périsse pas, face à la colère de Dieu qui doit incessamment s'abattre sur le monde.
Malheureusement, ils sont incompris, méprisés, humiliés, ridiculisés, considérés comme des marginalisés de la société, combattus, persécutés, et d'autres même perdent leurs vies.
LEUR SEUL TORT: AVOIR ACCEPTÉ D'ÊTRE DES DISCIPLES DE JÉSUS CHRIST AFIN D'ANNONCER GRATUITEMENT L'ÉVANGILE À LA MULTITUDE.
2) Les CONTEMPORAINS DE NOÉ représentent ceux à qui est annoncée la bonne nouvelle et qui s'en moquent.
L'Écriture déclare que dans les derniers jours, il viendra des moqueurs, avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, et disant (parlant du Seigneur JÉSUS CHRIST): où est la promesse de son avènement? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création....
Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance ( 2 PIERRE 3:3-9).
3) Le DÉLUGE représente la fin du monde.
4) L'ARCHE représente le Seigneur JÉSUS CHRIST. Il l'a bien dit: << Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi>> (Jean 14:6). Il n'est pas ''un chemin '' mais il est ''le chemin ''. Il n'existe qu'un seul intercesseur entre Dieu et les hommes, JÉSUS CHRIST homme.
👍 Lequel des saints prophètes est appelé par le nom de sa mère et conçu par l'esprit de Dieu, si ce n'est JÉSUS CHRIST? (Sourate 2:87 et Luc 1:35).
👍 Lequel des prophètes est jugé sans péché sur cette terre, si ce n'est JÉSUS CHRIST? (Sourate 19:19 et Jean 8:46).
👍 Lequel des prophètes a annoncé sa MORT RÉDEMPTRICE et sa RÉSURRECTION et l'a ACCOMPLIE, si ce n'est Jésus Christ? (Matthieu 12:40 et Matthieu 28:5-7).
👍 Lequel des prophètes est appelé Parole de Dieu, si ce n'est Jésus Christ? (Sourate 19:34 et Jean 1:1-20).
👍 Lequel des prophètes a son NOM qui guérit les malades, libère des actions des démons, si ce n'est JÉSUS CHRIST, sur tous les continents? (Matthieu 8:16 et Marc 16:17)
👍 Lequel des prophètes peut promettre le paradis à quelqu'un sur la terre, de son vivant, si ce n'est JÉSUS CHRIST? (Luc 23:43 et Jean 3:16).
👍 Lequel des prophètes peut pardonner les péchés des hommes sur terre avec preuve, si ce n'est JÉSUS CHRIST (Marc 2:1-12).
👍 Lequel des prophètes reviendra à la fin des temps combattre l'Antéchrist, si ce n'est JÉSUS CHRIST (Selon les hadiths authentiques de l'Islam, Actes 1:9-11, Apocalypse 22:6-7).
👍 JÉSUS CHRIST est plus qu'un prophète venu pour les autres, il est la main de Dieu qui retire l'homme de la boue, le nettoie et le place sur le trône. Il est le seul qui peut te donner le paradis que tu recherches tant dans ta religion.
Frères et soeurs, JÉSUS CHRIST vous aime tous, venez à lui maintenant.
De quel côté voulez-vous être? Du côté de Noé et de sa famille, sauvés des eaux du déluge, ou du côté des contemporains de Noé, emportés par les eaux du déluge?
♥️♥️♥️ Entrez dans l'Arche de la vie éternelle, en donnant vos vies à JÉSUS-CHRIST, vous et vos familles, et vous serez sauvés. Aujourd'hui encore, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs. Rachetons le temps, car les jours sont mauvais. La mort est imprévisible. Aujourd'hui sur terre, demain sous terre, tout est vanité dans ce monde, et poursuite du vent.
III- ATTENTION, L'ANTÉCHRIST EST À NOS PORTES : QUE CHACUN REDRESSE LA TÊTE
1 JEAN 2:18 Petits enfants, c'est la dernière heure, et comme vous avez appris qu'un antéchrist vient, il y'a maintenant plusieurs antéchrists : Par là nous connaissons que c'est la dernière heure.
1-TROIS CARACTÉRISTIQUES DES ENFANTS DE PERDITION
Jésus Christ, notre Seigneur et notre Sauveur, avait douze disciples, et l'un d'eux était un ENFANT DE PERDITION. Ainsi tous les Chrétiens doivent savoir qu'il y'a beaucoup d'enfants de perdition parmi eux.
Il est important d'expliquer qui sont les ENFANTS DE PERDITION selon ce que Jésus Christ avait dit en Jean 17:12. Voici ce qu'il avait dit: '' Lorsque j'étais avec eux dans le monde, je les gardais en ton nom. J'ai gardé ceux que tu m'as donnés, et aucun d'eux ne s'est perdu, sinon le FILS DE PERDITION ''.
Ainsi les enfants de perdition sont ceux qui ont décidé de se jeter dans la DESTRUCTION, aux derniers jours, et il n'ya rien qu'on puisse faire. La question qui se pose maintenant est la suivante : Si notre Seigneur avait douze disciples, et que l'un d'eux était un enfant de perdition, quelles sont les chances que les Chrétiens n'aient pas d'enfants de perdition parmi des centaines de millions d'eux? Aucune ! Le mieux est, pour tout Chrétien, de les ÉVITER, lorsqu'il constate une des caractéristiques sur eux, selon ce qui est écrit en 1 Corinthiens 5:11 ''Maintenant, ce que je vous ai écrit, c'est de ne pas avoir de relations avec quelqu'un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur, de ne même pas manger avec un tel homme ''.
Les Caractéristiques des Enfants de Perdition sont les suivantes :
a) CE SONT DES IMPOSTEURS TRÈS DANGEREUX QUI SE FONT PASSER POUR CE QU'ILS NE SONT PAS.
Jésus Christ avait dit ceci en Matthieu 7:15 : '' Gardez-vous des faux - prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des LOUPS RAVISSEURS. '' Il avait aussi dit en Matthieu 10:16 : '' Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des LOUPS. Soyez donc PRUDENTS comme les serpents, et simples comme des COLOMBES. ''
b) CE SONT DES SÉDUCTEURS, CAR ÉTANT EUX-MÊMES SÉDUITS:
Étant donné qu'ils sont possédés par l'esprit de l'Antéchrist, qui les a conçus, comme Juda avait été conçu pour trahir JÉSUS, non seulement ils croient aux mensonges, mais aussi ils nourrissent d'autres personnes avec des mensonges. Ils aiment se comporter comme des INSTRUCTEURS, avant de séduire d'autres personnes. La Bible dit en 2 Timothée 3:13 '' Mais les hommes méchants et imposteurs avanceront toujours plus dans le mal, égarant les autres et égarés eux-mêmes.''
Lisez ce témoignage d'un jeune Serviteur de Dieu accosté par ces Malfrats Spirituels :
« Un jour un groupe "d'hommes de Dieu" m'a invité à un programme et après ce programme ils se sont approchés de moi et m'ont demandé ceci : " As-tu une église à toi? Qui est ton Père Spirituel? Est ce qu'il te donne de l'argent? Est ce que tu exerces puissamment dans la voyance ? etc... Vraiment nous te suivons depuis un bon moment sur Facebook, tu es un jeune qui a une forte grâce de Dieu, avec qui Dieu va aller très loin et faire de grandes choses, mais nous allons t'aider à avoir ton église avec beaucoup de fidèles, tu vas voyager, tu vas rouler dans de grosses voitures, avoir la maison que tu veux, tu seras très aigü dans la voyance car c'est ça qui prend beaucoup aujourd'hui... Imagines-toi un peu, tu es jeune et puis tu as tout ça, est-ce que ce n'est pas bon? Qui va savoir ce que tu as fait ? Nous allons t'envoyer chez notre gourou qui va faire le travail pour toi » .
c) ILS NE SONT PAS ENSEIGNABLES CAR ÉTANT FIERS D'EUX-MÊMES ET CARRÉS DANS LA TÊTE.
Ils pensent toujours qu'ils ont raison, même si vous les renvoyez aux passages Bibliques qui prouvent qu'ils ont tort. La Bible dit en Proverbes 16:18, '' L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute.
Quand Jésus parlait à Pierre en Luc 22:31-32, il disait : Simon, Simon ! Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment. Mais J'ai prié pour toi afin que ta foi ne défaille point; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères.
Ce message est un message de la Grâce Divine pour vous affermir dans la foi.
Je prie et je prophétise que toute personne qui lira ce message ne sera pas sur la liste des Enfants de Perdition, au nom de Jésus Christ.
Je prie et je prophétise que toute personne qui lira ce message aura les yeux ouvert sur l'Évangile AUTHENTIQUE de Jésus Christ, pour le communiquer à son prochain, dans le nom de Jésus Christ. Amen.
2) 5 CARACTÉRISTIQUES DES ÉGLISES MORTES (LES FAUSSES ÉGLISES).
a) Elles ont beaucoup de Programmes, beaucoup d'Activités, font beaucoup de Musique bruyante, etc. Tout ceci n'est qu'une Couverture, un Camouflage, pour se déguiser.
Adam, le premier Homme, détenait un Ministère plus glorieux que tout autre Ministère sur terre, c'était le jardin d'Éden.
Dieu lui confia une grande AUTORITÉ sur toutes les œuvres de ses mains (Genèse 1:27-28), et aussi une FEUILLE DE ROUTE BIEN CLAIRE pour la Gestion de son Ministère. (Genèse 2:15).
Après la Chute de l'homme dans le jardin d'Éden, à la suite du péché, la Bible dit qu'Adam et Ève se virent tous deux tels qu'ils étaient, c'est-à-dire NUS. Ils attachèrent ensemble des feuilles de figuiers, et ils en firent chacun une sorte de pagne, pour cacher leur NUDITÉ. (Genèse 3:7). Et c'est ce que font beaucoup de Ministères Chrétiens aujourd'hui.
Tous ces Multiples Programmes, ces Activités, ces Séminaires, ces Musiques Bruyantes, etc, dans ces Ministères servent en réalité à couvrir leur HONTE. puisqu'ils n'ont rien à proposer aux gens. Ce sont ce que j'appellerai des Ministères de '' feuilles ''.
b) La Parole de Dieu n'est pas l'élément SUPRÊME dans leur agenda. La Bible dit qu'on connaîtra l'arbre par le fruit (Matthieu 12: 33). Quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n'a point Dieu; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils. (2 Jean1:9)
c) Elles embauchent des Prédicateurs qui sont en fait des Comédiens ou des Orateurs Motivateurs, pour égayer l'Assemblée avec des messages Chrétiens doux et beaux, et qui mettent l'accent sur la POSITIVITÉ. La Bible dit que viendra un temps où les gens ne supporteront plus la saine doctrine; mais ayant la démangeaison d'entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs, selon leurs propres désirs, détourneront l'oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables .(2Timothée 4: 3-4 ).
c) Le message de la croix, l'enfer, le jugement juste de Dieu, la repentance, la mortification de la chair, la prise de sa croix, ect, sont absents du pupitre. La Parole de Dieu dit : Il y'a eu parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine. (2 Pierre 2:1).
d) L'ARGENT et la CROISSANCE de l'Église sont les éléments prédominants dans leurs messages. «Ma maison sera une maison de prière. Mais vous, vous en faites une caverne de voleurs» , dit l'Écriture (Matthieu 21:13).
«SORTEZ DU MILIEU D'ELLE MON PEUPLE, AFIN QUE VOUS NE PARTICIPIEZ POINT À SES PÉCHÉS, ET QUE VOUS N'AYEZ POINT PART À SES FLÉAUX», DIT L'ÉCRITURE. (APOCALYPSE18:4).
QUE CEUX QUI ONT TOUJOURS DES OREILLES POUR ENTENDRE ENTENDENT.
IV- QUI EST AU JUSTE L'ANTÉCHRIST ?
L'Antéchrist est une PERSONNALITÉ SATANIQUE qui dirigera le monde pendant 7 ans, après l'enlèvement des Saints par Dieu.
Tout le Royaume des Ténèbres est prêt et attend avec un soupir ardent le Règne de l'Antéchrist. Le monde lui-même est aussi prêt pour le règne de l'Antéchrist. L'Antéchrist à travers ses agents a organisé le système pour l'adapter à son Règne. L'enlèvement des Saints est actuellement ce qui empêche sa totale manifestation. Ses opérations sont visibles partout sur la terre.
La MARQUE de la bête est associée à l'Antéchrist. La MARQUE existe déjà et les gens sont en train de la recevoir. La Bible décrit le règne de l'Antéchrist comme la période de la GRANDE TRIBULATION. Pendant son Règne, le Monde aura un GOUVERNEMENT UNIFIÉ (Un seul gouvernement). Et il dirigera le Monde en tant que Président. Il dirigera tous les Pays du Monde. Il conduira le cours de toutes les Nations.
Le Monde entier utilisera UNE SEULE MONNAIE qui sera accessible à travers la MARQUE 666. Toute personne qui reçoit la MARQUE EST CONDAMNÉE POUR TOUJOURS; séparée éternellement de Dieu. Toute personne qui a la MARQUE de la Bête ne peut plus être réconciliée avec Dieu. La Marque de la Bête est le SCEAU DE LA PERDITION qui identifie un individu avec Satan pour TOUJOURS. La MARQUE sera portée, soit sur le dos de la main droite, soit sur le front. ( Apocalypse 13:1-18, 2 Tessaloniciens 2:8-12; Daniel 9:27; Apocalypse 14:9-11; 1 Thessalonociens 2: 8-12).
Soyez donc sur vos gardes, en ce qui concerne les implantations des MICROPUCES; c'est la MARQUE DE LA BÊTE. En plus du fait que ceux qui ne seront enlevés s'exposent au danger de recevoir la MARQUE DE LA PERDITION, le 666, qui les scelle pour une condamnation éternelle, ils connaîtront LES PLUS TERRIBLES DES TEMPS de l'histoire de l'humanité. '' Et sera une époque de détresse, telle qu'il il n'y en a point eu de semblable depuis que les Nations existent jusqu'à cette époque'' .
La période du Règne de l'Antéchrist sera une période de TORTURE INEXPLICABLE pour tous ceux qui auront reçu la MARQUE de la Bête. Dieu lui-même les torturera pour avoir rejeté son Fils Jésus Christ. '' Afin que ceux qui n'ont pas crû à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient CONDAMNÉS. (2Thessaloniciens 2:12).
V- DESCRIPTION BIBLIQUE DE LA GRANDE COLÈRE DE DIEU PENDANT LA GRANDE TRIBULATION.
Les événements suivants caractériseront le règne de l'Antéchrist pendant la Grande Tribulation :
1) LA GUERRE : (Apocalypse 6:4.)
2) LA FAMINE : la raréfaction et le manque de nourriture. Beaucoup mourront de faim. (Apocalypse 6:5-6)
3) LA MORT : Un quart (1/4) de la population mondiale périra du fait de la guerre, de la faim, et des animaux sauvages ; quand ils mourront, ils iront directement en enfer. (Apocalypse 6:8).
4) LES TREMBLEMENTS DE TERRE : Ils seront plus sévères que ceux que connaît actuellement la terre. (Apocalypse 6:12) ;
5) D'épaisses TÉNÈBRES couvriront la terre, résultant d'un dysfonctionnement de la lune et du soleil (Apocalypse 6:12);
6) L' ébranlement des montagnes et des îles, résultant de la chute des étoiles ( Apocalypse 6:12-13).
7) Toute personne, indépendamment de son statut social, sera animée par une GRANDE PEUR, et une GRANDE TERREUR ( Apocalypse 6:15).
8) Les gens chercheront la SÉCURITÉ et la PROTECTION en VAIN (Apocalypse 6:1-17).
9) Dieu VENGERA le sang et la souffrance des Saints contre les habitants de la terre. (Apocalypse 8:2-5).
10) Un tiers (1/3) de la végétation de la terre (plantes) sera détruite par la grêle et le feu mêlés au sang (Apocalypse 8:7).
11) Un tiers des créatures de la mer mourront, quand les eaux seront transformées en sang. (Apocalypse 8:8).
12) Un tiers des navires marchands seront détruits. Beaucoup de gens mourront, du fait de la pollution mystérieuse des fleuves et des sources d'eau. (Apocalypse 8:11).
13) On assistera à un ÉTAT ANORMAL ou à une INSTABILITÉ des conditions climatiques, au détriment de la santé et du bien-être de l'homme. (Apocalypse 8:12).
14) Les gens seront sévèrement TOURMENTÉS par des sauterelles ressemblant à des scorpions, pendant 5 mois. Les tourments causés par les sauterelles seront tels que les gens chercheront la mort, mais ils ne la trouveront pas (Apocalypse 9:1-11).
15) Un tiers (1/3) des humains seront tués par le feu, la fumée (flammes) et le soufre venant de terribles créatures .(Apocalypse 9:13-19).
16) Malgré tous ces malheurs, le reste des humains qui ne seront pas morts, ne se repentiront pas car leurs cœurs seront marqués au fer chaud pour la destruction éternelle (Apocalypse 9:20-21; Romains 1:28; 1 Samuel 2:22-25).
17) De grandes plaies douloureuses à différents endroits du corps seront constatées (Apocalypse 16:2).
18) On assistera à la Mort des agents sataniques marins. (Apocalypse 16:3)
SI VOUS ÊTES UN AGENT DES TÉNÈBRES, NE CROYEZ PAS AU MENSONGE DE VOTRE MAÎTRE. VOUS NE POUVEZ PAS VOUS ÉCHAPPER À LA COLÈRE DE DIEU. REPENTEZ-VOUS MAINTENANT ET SOYEZ DÉLIVRÉS.
19) Les hommes seront grandement affectés par le manque d'eau à travers le monde, du fait que toutes les eaux et sources d'eau deviendront du sang. (Apocalypse 16:4-7).
20) Il y aura des brûlures insupportables des rayons solaires, au-delà de ce que nous connaissons dans certaines régions du monde. (Apocalypse 16:8).
21) Le monde des ténèbres sera sévèrement tourmenté (Apocalypse 16:10-11).
22) On assistera à la DESTRUCTION de Babylone la Grande : (Apocalypse 16:17-19)
23) Il y aura la Chute de grêles sur les hommes. (Apocalypse 16:21).
24) Le reste des habitants de la terre seront SÉDUITS par l'Antéchrist pour faire la guerre contre Dieu à Armageddon ( Apocalypse 16:12-16; Apocalypse 19:17-21).
LA COLÈRE DE DIEU EST TERRIBLE. VOUS FERIEZ MIEUX DE VOUS REPENTIR PENDANT QU'IL EST TEMPS.
V- RETOUR IMMINENT DU FILS DE L'HOMME
👉 Le Seigneur Jésus Christ VIENT BIENTÔT, et ce sera par SURPRISE, comme un voleur.
=> En un CLIN D'ŒIL, ceux qui étaient MORTS EN CHRIST seront RESSUSCITÉS, et avec les VIVANTS QUI L'ONT ACCEPTÉ, ils seront CHANGÉS.
=> Il recevront un CORPS INCORRUPTIBLE, qui leur permettra de SUIVRE le Seigneur Jésus Christ dans les airs. (1Corinthiens 15:51-57).
JE VOUS AI BIEN DIT QUE SERA EN UN CLIN D'ŒIL, EN MOINS D'UNE FRACTION DE SECONDE. QUE CEUX QUI ONT TOUJOURS DES OREILLES POUR ENTENDRE ENTENDENT.
Pour ce qui est du JOUR et de L'HEURE, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul.
Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l'avènement du Fils de l'homme. Car, tous les jours qui précédèrent le DÉLUGE, les hommes MANGEAIENT et BUVAIENT, se MARIAIENT et MARIAIENT LEURS ENFANTS, (c'est-à-dire, menaient une vie normale comme celle que nous menons aujourd'hui), jusqu'au jour où Noé entra dans l'Arche ; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu'à ce que le DÉLUGE vienne et les emportât tous : IL EN SERA DE MÊME À L'AVÈNEMENT DU FILS DE L'HOMME.
Alors de deux hommes qui seront dans un champ, l'un sera pris et l'autre laissé; de deux femmes qui moudront à la meule, l'une sera prise et l'autre laissée.
VEILLEZ donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra.
👉Immédiatement APRÈS L'ENLÈVEMENT, la COLÈRE DE DIEU s'abattra sur la terre. Des phénomènes cataclysmiques se produiront, notamment le télescopage des planètes et la chute des météorites, des étoiles, etc, sur la terre, entrainant la mort d'une bonne partie de la Population Mondiale.
Les SURVIVANTS vivront la période la plus difficile de l'histoire de l'humanité, appelée ''la GRANDE TRIBULATION'', période que personne ne voudrait souhaiter à son PIRE ENNEMI.
Au cours, cette période qui durera 7 ans, même pour pouvoir acheter à manger, il faudra avoir le SIGNE DU DIABLE sur son front ou sur sa main droite. (Apocalypse 13:16-17). Ce qui équivaudrait à être condamné éternellement, sans aucune possibilité d'être sauvé.
REPENTANCE EN FAVEUR DES NATIONS :
Daniel 9:4-19 Seigneur, Dieu grand et redoutable, toi qui gardes ton alliance et fais miséricorde à ceux qui t'aiment et observent tes commandements! Nous avons péché, nous avons commis l'iniquité, nous avons été méchants et rebelles, nous nous sommes détournés de tes commandements et de tes ordonnances. Nous n'avons pas écouté tes serviteurs, tes prophètes, qui ont parlé en ton nom à nos rois, à nos chefs, à nos pères, et à tout le peuple du pays. À toi, Seigneur, est la justice, et à nous la confusion de face, aux hommes, .... à ceux qui sont près et à ceux qui sont loin, dans tous les pays où tu les a chassés à cause des infidélités dont ils se sont rendus coupables envers toi. Seigneur, à nous la confusion de face, à nos rois, à nos chefs, et à nos pères, parce que nous avons péché contre toi. Auprès du Seigneur, notre Dieu, la miséricorde et le pardon, car nous avons été rebelles envers lui. Nous n'avons pas écouté la voix de l'Éternel, notre Dieu, pour suivre ses lois qu'il a mises devant nous par ses serviteurs, les prophètes......; et nous n'avons pas imploré l'Éternel, notre Dieu, nous ne nous sommes pas détournés de nos iniquités, nous n'avons pas été attentifs à ta vérité.......
Seigneur, notre Dieu, toi qui a fait sortir ton peuple du pays d'Égypte par ta main puissante, et qui t'es fait un nom comme il l'est toujours, nous avons péché, nous avons commis l'iniquité. Seigneur, selon ta grande miséricorde, que ta colère et ta fureur se détournent de l'humanité ; car à cause de nos péchés et des iniquités de nos pères, nous sommes en opprobre à tous ceux qui nous entourent. Maintenant donc, ô notre Dieu, écoute la prière et les supplications de ton Serviteur, et, pour l'amour du Seigneur, fais briller ta face sur ce monde en perdition. Mon Dieu, prête l'oreille et écoute ! Ouvre les yeux et regarde les nations où ton nom est invoqué. Car ce n'est pas à cause de notre justice que nous te présentons nos supplications, c'est à cause de tes grandes compassions. Seigneur, écoute ! Seigneur pardonne ! Seigneur, sois attentif ! Agis et ne tarde pas, par amour pour toi, ô mon Dieu! Car ton nom est invoqué sur tes nations et sur ton peuple.
POUR TERMINER, CONNAISSONS , CHERCHONS À CONNAÎTRE L'ÉTERNEL; SA VENUE EST AUSSI CERTAINE QUE CELLE DE L'AURORE (OSÉE 6:3). LA NUIT EST AVANCÉE, LE JOUR APPROCHE (ROMAINS 13:12). RACHETONS LE TEMPS CAR LES JOURS SONT MAUVAIS (EHESIENS 5:16). LA FIN DE TOUTES CHOSES EST PROCHE. (1 PIERRE 4:7).
LE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST EST À LA PORTE, ET IL DÉSIRE FRAPPER. SI VOUS ENTENDEZ SA VOIX, ET QUE VOUS LUI OUVREZ LA PORTE, IL ENTRERA CHEZ VOUS, IL SOUPERA AVEC VOUS, ET VOUS AVEC LUI. (APOCALYPSE 3:20)
S'il se trouve que vous n'avez pas encore donné votre vie à Jésus Christ et souhaitez le faire maintenant, faites simplement cette prière ci-dessous.
Sachez que le Salut est individuel, l'enfer l'est aussi. Il se peut même que ce soit la dernière fois que vous entendiez ce message, car la vie d'un individu ne lui appartient pas.
La Bible dit : J'ai mis devant toi la vie et la mort, la Bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité (Deutéronome 30:19).
Aujourd'hui encore, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos cœurs.
Pour ceux qui le feront, que le Dieu vivant, créateur du ciel et de la terre, vous guide et vous protège des choses à venir, qui secouent déjà le monde, dans le nom de Jésus Christ. Amen. (Apocalypse 3:10)
SEIGNEUR JÉSUS, JE VIENS À TOI. JE REGRETTE PROFONDÉMENT D'AVOIR TOUJOURS VÉCU POUR MOI-MÊME, ALORS QUE TU ES DESCENDU DU CIEL POUR VENIR MOURIR À LA CROIX, À MA PLACE, AFIN QUE JE SOIS SAUVÉ ET NE PÉRISSE POINT. À PARTIR D'AUJOURD'HUI, JE TE DONNE MA VIE. J'ACCEPTE TON AMOUR ET JE TE REÇOIS COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL DE MA VIE. AIDE-MOI, SEIGNEUR, À MENER UNE VIE QUI TE PLAISE. MERCI SEIGNEUR DE M'AVOIR ACCEPTÉ, DANS LE TOUT PUISSANT NOM DE JÉSUS CHRIST. AMEN.
Si vous avez fait cette prière, nous vous disons bienvenus dans la grande famille de Dieu! Vous êtes un enfant de Dieu, et héritier du Royaume. Soyez encore les bienvenus. Que Dieu vous bénisse.
Partagez cette publication pour relever un frère ou une sœur dont la foi est en ce moment somnolente. Seul on va vite, mais ensemble nous irons loin. Que Dieu vous bénisse.
Frère JEAN DE DIEU ZONGO
Serviteur du DIEU VIVANT
Esclave de JÉSUS CHRIST,
Membre du Commando du
SAINT-ESPRIT
ASSOCIATION Maranatha Jesus-Revient-Bientot
Centre International de
Recherches en Stratégies et
en Intelligences Spirituelles
(C.I.R.S.I.S)
Ouagadougou, BURKINA FASO
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Un Jardin pour deux
Chapitre 21 Le retour à une vie paisible ou presque
On arrivait maintenant au mois de mars et beaucoup d'évènements avaient eu lieu. Arslan et Hilmes furent mariés officiellement et dans les règles de l'art cette fois. Ce fut un grand évènement qui redonna du baume au cœur du peuple meurtri par les récents évènements. Après ce fut le coup d'envoi pour les reconstructions dont la ville avait grand besoin. Peu à peu Ecbatâna reprit son calme et sa vie paisible. Hilmes réussit à convaincre des nobles de la ville et des marchands d'affranchir les esclaves qui avaient participé à la libération de la ville. On leur proposa de travailler à la reconstruction de la ville ce qu'ils firent pour la plupart, les autres partirent pour rejoindre leur pays natal. Arslan sauta de joie en l'apprenant.
Les troupes du roi Rajendra retournèrent vers Sindôra après avoir reçu les remerciements des princes et les louanges des habitants. Jaswant ainsi que Kishward et ses hommes les raccompagnèrent. Arslan fut triste de devoir dire au revoir à Kishward mais celui-ci le rassura qu'il reviendrait bientôt. Il raccompagnait Bahman à Peshawar et reviendrait à la capitale avec sa femme et son fils. Kishward venait d'être nommé Erhan, ce poste devait revenir à Bahman seulement sa santé s'était rapidement dégradée depuis son départ de Peshawar aux côtés du roi.
La vie reprenait son cours malgré les massacres. Le couple princier déménagea dans un autre pavillon près des jardins, à la plus grande joie d'Arslan, et à l'opposé des appartements du roi, au grand soulagement d'Hilmes. Arihas continuait de s'occuper d'Arslan même si depuis son mariage son état s'était stabilisé. Il venait surtout lui tenir compagnie et lui servir d'oreille pour l'écouter. Au début le prince angoissait de partager sa chambre avec Hilmes mais il avait fini par se détendre voyant que son époux ne cherchait pas à abuser de lui. Arslan rechignait à se confier de peur d'être ridicule mais Arihas réussit à le convaincre de lui parler de ses inquiétudes. Hilmes se montrait désintéressé par le sexe malgré son côté tactile. Cela rendait presque Arslan perplexe au vu de ce qu'il avait pu entendre sur les alphas, il ne s'attendait pas à ce genre de comportement. Il pensait qu'Hilmes essaierait d'amorcer les choses mais non, il ne tentait rien. Cela arrangeait Arslan car il n'aurait pas su comment réagir. Devait-il accepter ou non ? Est-ce qu'il en avait envi ou pas ? Par devoir il devait accepter mais son cœur hésitait. Il n'arrivait pas à se décider. Au final ce n'était pas si mal qu'Hilmes ne tente rien.
Arslan reprit ses vieilles habitudes. Quand il en avait l'occasion il se rendait dans les jardins, il pouvait même en profiter avant d'aller se coucher. Etonnamment les jardins avaient été épargnés par les violences de la guerre mais ils risquaient de ne pas aimer le manque d'eau. Les troupes de Bodin avaient endommagé les aqueducs qui acheminaient une grande partie de l'eau de la capitale. Un groupe y travaillait déjà, d'ici quelques jours de l'eau devrait recommencer à arriver. D'ailleurs Bodin ne ferait pas long feu, des soldats le poursuivaient avec ardeur.
Il restait encore beaucoup d'affaires à régler mais le prince réussit à retrouver une certaine paix et sérénité. Les jardins possédaient ce pouvoir hypnotique qui l'apaisait malgré tout ce qu'il pouvait lui arriver.
Il continuait à s'entrainer aux armes même s'il n'avait plus de maître attitré. Les marzbâhns qui passaient par là, venaient le voir et ils finissaient par faire une séance d'entrainement avec lui. À son retour Kishward avait promis de l'entrainer mais le roi s'y montrait peu favorable. Il voulait que le prince coupe tout rapport avec les armes ou les questions militaires. Arslan entrait dans une colère noire à chaque fois qu'il y repensait. Son Père lui avait fait endurer des entrainements insupportables et il les avait subits sans broncher. Alors que depuis le début il prévoyait de donner tous les pouvoirs à son époux sans ne lui laisser aucune chance de prouver sa valeur, ça le mettait hors de lui. Il n'avait pas l'intention de se laisser faire cette fois, il continuerait ses entrainements, et continuerait à se mêler des affaires militaires !
C'était grâce à lui que son Père se trouvait sur le trône aujourd'hui alors il n'avait plus à lui obéir aveuglément. Le manque de gratitude et de considération de son Père lui laissait un goût amer, quant à sa Mère rien n'avait changé, quoique de temps en temps il apercevait des regards compatissants de sa part.
Arihas faisait de son mieux pour lui changer les idées. Il remarquait bien la frustration du prince depuis qu'il était revenu à la vie de cour. Il retournait dans l'ombre de son Père alors qu'il s'était habitué à toujours avoir ses compagnons avec lui, à pouvoir leur parler mais dernièrement ils s'étaient éparpillés. Faranghîs et Etoile restaient auprès des blessés et disaient les prières aux morts. Ghîb agissait en électrons libres mais il venait souvent auprès du prince pour lui raconter les dernières nouvelles. Daryûn et Narsus se retrouvaient sous les ordres du roi, quant à Elam et Alfreed ils restaient avec Narsus. Il voyait très peu de monde et cela l'attristait. Son monde rétrécissait à vue d'œil depuis un mois. Arihas essayait de le rassurer, que tout reviendrait à la normale même s'il savait que ce serait difficile maintenant. La vie devait suivre son cours.
Arihas n'osait pas lui évoquer ses chaleurs qui se rapprochaient surtout que sa situation risquait d'empirer après cela. Le roi ne se gênerait pas pour faire des remarques sur ses petits-enfants qui tardaient à venir… Il ne se priverait pas non plus de contraindre Arslan à rester enfermé dans ses appartements pour lui éviter « des désagréments » tel une fausse couche. Le prince aurait aussi droit à la pression de la cour pour ses grossesses.
« Nous espérons que vous aurez un fils ! Après tout, il ne peut en être autrement…»
«La prochaine fois sera la bonne ! »
« Une fille ? Il ne pouvait pas la perdre en couche celle-là. »
« Espérons que ce ne sera pas un oméga comme son père ! »
« Encore une fausse couche ? Décidément il n'est pas fait pour ça ! »
Ou bien l'inverse : « Encore un enfant ? Il ne peut pas fermer les jambes ou quoi ! »
Toutes ces remarques adorables qui risquaient de déprimer le prince. Finalement peut-être que rester isolé lui serrait plus favorable…
Heureusement pour lui le prince était loin de toutes ces considérations. Il prenait le temps de se détendre dans les jardins, de toute manière il ne pouvait pas faire grand-chose. Arihas voulut le rejoindre mais il aperçut au loin le prince Hilmes qui se diriger vers lui, il choisit de rester en retrait pour le moment. Hilmes alla s'assoir à côté d'Arslan sans faire de bruit. Il n'eut pas besoin d'ouvrir les yeux pour reconnaitre Hilmes.
« Est-ce que tu restes souvent dans les jardins ? Demanda-t-il. - Oui, dernièrement j'ai le temps pour ça, soupira-t-il. - Narsus devrait bientôt être libéré par le roi, il a dit avoir hâte de pouvoir faire son premier portrait officiel… Qu'est-ce qui t'arrives tu deviens pâle tout à coup ? - Non ce n'est rien, sourit-il en repensant aux effroyables « peintures » de Narsus, je suis content qu'il puisse s'adonner à sa… Passion ? - Il a l'intention de faire ton portrait. - Mince, souffla le prince. Ça nous fera l'occasion de parler au moins… - La situation s'améliore, les lusitaniens tiennent leurs promesses et il n'y a pas eu d'incident ce qui est déjà un miracle. - Tu as raison… - Arslan, qu'y a-t-il ? Arslan sursauta en entendant son nom. - Je te demande pardon ? Demanda-t-il surpris. - Tu sembles ailleurs en ce moment… - Ce n'est rien, c'est juste le temps de m'habituer à nouveau à la vie au palais. - Tu t'ennuis ? Demanda-t-il. - Non, c'est juste que… C'est différent de lorsque j'étais à Ghiran, je n'ai plus la même place, ni le même rôle… - Andragoras t'écartes du pouvoir car tu as du succès auprès des marzbâhns et des seigneurs, je pense que beaucoup n'auraient pas eu de problèmes à te voir monter sur le trône en tant que Shah et cela l'agace énormément alors il te le fait payer, expliqua-t-il. - Tu crois ? Demanda-t-il. - Oui, ils sont nombreux à te vanter lors des conseils et beaucoup à raller que : « le prince Arslan n'aurait pas fait ça lui… » Il bouillonne de rage à chaque fois, sourit-il. - J'ai l'impression que cela t'amuses, sourit le prince. - Disons que le voir perdre son pouvoir rend sa présence plus supportable, dit-il en haussant les épaules. - Je vois et toi ? Les seigneurs t'ont bien intégré ? - Oui du moins les plus anciens car beaucoup me connaissaient d'avant, les plus jeunes se méfient et n'osent pas m'approcher, je crois que ma blessure les rebutent… - Ne dis pas ça ! Je n'en crois pas un mot, ce sont des guerriers cela m'étonneraient qu'une brûlure les effraye… D'ailleurs je n'ai pas pensé à lui demander mais peut-être qu'Arihas pourrait faire quelque chose pour ça. Il s'y connait bien dans les plantes, peut-être qu'il existe un remède pour estomper tes brûlures. - Cela te dérange ? Demanda-t-il. - Pas particulièrement, répondit-il. Cela ne me dérange pas temps que tu ne te mets pas en colère, lorsque tu t'énerves cela te donne un visage effrayant, dit-il franchement. - Dans ce cas je ne dois plus me mettre en colère. Cette remarque fit sourire Arslan. Accepterais-tu de m'accompagner pour une promenade dans les jardins ? J'aimerais te montrer un endroit. »
Arslan accepta avec surprise la demande d'Hilmes. Il se demandait ce qu'il pouvait bien vouloir lui montrer.
Arihas sourit en les voyant partir ensemble. Il était heureux qu'ils arrivent à s'entendre et que cela se passe si bien entre eux. Ils avançaient doucement et maladroitement l'un vers l'autre et grâce à ça ils apprenaient à se connaître au fur et à mesure. Il se retourna avec un sourire et tomba nez-à-nez avec Daryûn. Il sursauta aussitôt, il ne l'avait pas senti arriver.
« Je vous ai fait peur ? - Surpris je dirais ! Si je peux me permettre, que venez-vous faire ici ? - Je venais voir son Altesse pour lui proposer de s'entrainer… - Vous arrivez trop tard, dit-il. Il vient juste de partir avec son Altesse Hilmes. - Je vois… On dirait qu'ils s'entendent bien, grogna-t-il. - C'est mieux ainsi, non ? Il vaut mieux qu'ils s'entendent bien que de ne pas pouvoir se voir, n'est-ce pas ? - Certes… - Vous ne le supportez toujours pas, fit-il remarquer. - Non, c'est juste que… Je ne sais pas, j'ai peur pour son Altesse. - Je crois que vous n'avez pas à vous inquiéter pour lui ! - Mais si vous partez, Daryûn se mordit la lèvre. - De quoi ? Demanda-t-il surpris. »
Daryûn s'en voulut d'avoir fait une gaffe aussi stupide. Il hésita avant de finalement avouer :
« Je vous ai entendu parler avec Jaswant… Vous… Est-ce que vous allez nous quitter ? Allez-vous épouser Rajendra ? Demanda-t-il inquiet. - Ah… Soupira-t-il. Vous savez toujours ce qui se passe entre Rajendra et moi, impossible de vous échapper… Mais je vous rassure, je n'ai pas l'intention de l'épouser, Jaswant va d'ailleurs s'occuper de lui transmettre. Qu'y a-t-il ? Vous semblez surpris, c'est pourtant ce que vous espériez, non ? - Non, c'est juste que… Je croyais que vous accepteriez, après tout vous avez… Tous les deux… - Je n'allais pas laisser son Altesse seul et puis à Sindôra le roi peut avoir plusieurs épouses. Je ne suis pas du genre à partager, sourit-il. Je sais faire la différence entre le rêve d'une nuit et une vraie relation. - Vous êtes bien une des rares personnes capables de refuser sa main à un roi ! - Pourquoi ? Vous auriez accepté, vous ? Sourit-il. - Voyons, j'aurais adoré ! Ironisa-t-il. - Pff, Arihas se mit à rire. - Mais dîtes-moi… Ne comptez-vous pas vous remarier ? Je veux dire, maintenant que la situation est redevenue plus tranquille, vous ne voulez pas fonder une famille ? - Me remarier certainement, il serait mal vu que le précepteur du prince ait des amants, soupira-t-il. Il va falloir que j'y songe sérieusement mes chaleurs se rapprochent, murmura-t-il. - Vous avez déjà reçu des demandes ? Interrogea Daryûn sur la même lancée. - J'ai l'impression que cela vous intrigue, dit-il. Vous êtes très bavard aujourd'hui. - Cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vu c'est tout, je voulais juste discuter, bouda-t-il. - Dans ce cas à votre tour, vous n'êtes pas marié mais est-ce qu'il y a quelqu'un dans votre vie ? - Non je n'ai jamais eu personne, j'ai dédié ma vie à la famille royale et je n'y ai jamais vraiment songé… - J'ai dû mal à croire qu'un homme tel que vous n'attire personne, vous avez dû recevoir de nombreuses demandes. Vous êtes le gendre idéal ! Sourit-il. - J'ai désespéré mon oncle, soupira-t-il, à refuser toutes les demandes et les entres-vues des seigneurs qui voulaient me marier à leurs filles… Mais je crois que je n'étais pas prêt pour ça. Je ne pensais pas au mariage, aux filles, à fonder une famille et tout ce que cela engendre… - Maintenant vous l'êtes ? »
Daryûn se tourna vers lui et hésita avant de répondre.
« Je pense qu'on l'est jamais vraiment mais oui, je dirais que je me sens prêt. »
Arihas trouva l'attitude de Daryûn plutôt étrange lorsqu'il prononça ces mots. Une lueur inconnue brillait dans ses yeux.
« Arihas, est-ce que vous- - Arihas ! Daryûn ! S'exclama le prince qui apparut soudainement de nulle part. - Votre Altesse ? »
La mine du prince était radieuse, il souriait de toutes ses dents. Il se mit à parler gaiement avec Arihas mais Daryûn n'entendit rien de ce qu'ils dirent. Il se figea lorsqu'il se rendit compte de ce qu'il s'apprêtait à dire avant que le prince ne les interrompt.
« Messire Daryûn ? Messire Daryûn ! Vous nous entendez ? L'interpella Arihas - Excusez-moi, je- j'étais ailleurs… - Vous veniez pour entraîner son Altesse, non ? »
Le prince qui exultait de joie partit enfiler quelque chose de plus confortable pour manier les armes. Daryûn resta hébété ce qui inquiéta Arihas. Il finit par se reprendre et se dirigea vers la cour pour attendre le prince et débuter l'entraînement. Arihas plutôt inquiet du soudain manque de réaction du cavalier le suivit en silence.
Il observa silencieusement l'entrainement. La scène était complètement surréaliste : le prince qui débordait de joie et Daryûn complètement apathique. Daryûn était plutôt enthousiaste jusqu'à maintenant alors pourquoi ce soudain revirement ? Il regarda distraitement les échanges d'armes entre les deux. Il eut un frisson lorsqu'il sentit une aura glaciale s'élever derrière lui. Il se tourna et aperçut Hilmes particulièrement mécontent alors qu'il observait la scène. Il ne devait pas apprécier de voir son oméga si souriant avec un autre alpha.
« Votre Altesse Hilmes, je ne sais pas ce que vous avez fait au prince mais depuis il ne cesse de sourire, intervient Arihas. »
Hilmes ne le remarqua pas, il fixait son oméga qui souriait à un autre. Il en avait le droit bien sûr mais… Ça l'agaçait. Ça l'énervait même ! Il ne pouvait que grincer des dents et attendre que ça passe.
Il rumina toute la journée en pensant à la mine ravie d'Arslan alors qu'il s'entraînait avec Daryûn. Pourtant il était sûr d'avoir fait mouche en montrant à Arslan un endroit que seul lui connaissait. Un accès derrière des buissons qui menait vers un petit terre-plein d'où la vue sur les jardins était magnifique, un panorama complet d'où on pouvait voir sans être vu. Hilmes venait souvent s'y cacher pour échapper à Bahman durant quelques heures. Ça lui faisait plaisir de partager ce secret avec Arslan d'autant plus qu'il avait apprécié et qu'il adorait ces jardins. Il pensa que c'était un bon moyen de passer du temps avec lui et le connaître un peu plus. Il souhaitait aussi lui remonter le morale, ces derniers temps il était distant même avec Arihas.
Il fut fier de son petit effet sur Arslan mais il déchanta vite en le voyant si amical avec Daryûn. Il ne pouvait enlever cette scène de son esprit et il passa le reste de la journée à grogner. Zandé osait à peine lui parler de peur d'empirer la mauvaise humeur de son seigneur. Hilmes se rendait bien compte que c'était idiot, il lui souriait juste! Il ne les avait pas surpris dans les bras l'un de l'autre ! Daryûn ne serait plus de ce monde si cela avait été le cas… Ça l'agaçait d'agir ainsi mais il n'arrivait pas à ce calmer. Arslan était le seul à le faire tourner en bourrique comme ça. Il se sentait ridicule en y pensant.
La journée continua ainsi et lui parut bien longue. Le soir il se retrouva enfin seul avec son oméga mais sa mauvaise humeur ne l'avait toujours pas quitté. Arslan par contre rayonnait toujours, il l'accueillit avec un grand sourire. Hilmes se contrôlait difficilement, il n'avait qu'une envie : le faire sien, le marquer, lui faire comprendre qu'il n'appartenait qu'à lui et à personne d'autre. Arslan se tenait bien loin des considérations de son alpha, il remarquait à peine l'état dans lequel il se trouvait mais son mutisme commençait à l'interroger. Il se tourna vers lui pour parler mais arrêta son geste tout aussi rapidement.
Il eut un mouvement de recule devant le visage fermé et coléreux de son mari. Il voyait bien qu'il se retenait mais ne comprenait pas pourquoi. Hilmes ne lui avait jamais paru si inquiétant.
« Hilmes, quelque chose ne va pas ? »
Il n'obtint aucune réponse. Il prit son courage à deux mains pour se rapprocher de lui mais Hilmes ferma les yeux et détourna le visage. Arslan crut avoir fait quelque chose de mal pour qu'il réagisse ainsi mais avant qu'il ne comprenne Hilmes se jeta sur lui.
En un éclair il se trouva plaqué contre le lit. Sans ménagement Hilmes ouvrit sa tunique, il la déchira presque. Arslan paniquait, il ne comprenait pas pourquoi Hilmes se comportait ainsi et ses poignées le faisaient souffrir. Hilmes les tenait fermement au-dessus de sa tête. Arslan tenta de se défaire de son emprise mais ses mains le seraient tel un étau. Il se débattait comme il pouvait mais le poids d'Hilmes l'écrasait complètement. Hilmes plongea dans son cou et le mordit violement. Arslan poussa un cri aigu sous la douleur que lui infligea la morsure. Il pouvait sentir ses dents s'enfoncer dans sa chair, plus la morsure se faisait profonde plus Hilmes semblait se calmer. Il relâcha son emprise sur les mains d'Arslan qui tenta de le repousser mais son énergie s'était évanouie en quelques instants. Des larmes commencèrent à perler sur ses joues, pour la première fois depuis leur mariage il avait peur de son alpha. Hilmes le terrifiait et il osait à peine bouger.
Pourtant Hilmes le serra dans ses bras dans une étreinte beaucoup plus passionnée que d'habitude. Toute sa colère et sa frustration s'étaient envolées. Il se releva mais se figea en voyant le visage d'Arslan plein de larmes. Il se rendit compte de ce qu'il venait de faire subir à son oméga. Il s'en voulut immédiatement et regretta amèrement son geste. Arslan roula sur le côté et se recroquevilla tremblant. Hilmes n'osait plus le toucher et il ne savait pas comment le calmer ni comment se faire pardonner.
« Je suis désolé… Je ne voulais pas te faire peur, je… C'est de ma faute, je n'aurais pas dû… »
Arslan se détendit en voyant son alpha redevenu calme.
« Pourquoi est-ce que tu as fait ça ? Demanda-t-il sans reproche dans le ton de sa voix. - Cette après-midi je t'ai vu avec Daryûn… Tu semblais si heureux avec lui que… Ça m'a rendu jaloux, avoua-t-il. Tu es mon oméga… Je ne pouvais pas le tolérer, dit-il les dents serrées, mais je ne voulais pas te blesser ni te faire peur d'ailleurs, ce n'était pas mon but… Je voulais juste… Juste te marquer à nouveau, dit-il difficilement. - Pourquoi ne pas me l'avoir juste dit ? Je- j'aurais compris… »
Hilmes ne savait que répondre à cela, il se sentait misérable face à son oméga. Il échouait dans son rôle d'alpha, il devait protéger son oméga pas l'effrayer en se jetant sur lui comme une bête. Il s'assit au bord du lit, la tête entre ses mains : il était pitoyable. Le lit s'affaissa, Arslan s'assit à côté de lui il posa simplement sa main sur son épaule.
« Tu ne fais pas confiance ? Demanda-t-il. - Si, c'est juste que... Il détourna le regard. - Que quoi ? Dis-moi la vérité ! Tu crois qu'il y a quelque chose entre moi et Daryûn ? - Vous vous connaissez depuis longtemps et vous êtes plutôt proche… - Mais il n'y rien entre nous… Je pense qu'il s'intéresse déjà à quelqu'un. - Oui… Mais je n'aime pas voir d'autres alphas te tourner autour, cela m'énerve et je n'arrive plus à réfléchir ni à me calmer ! Je ne voulais qu'une chose te marquer ! Te faire mien pour qu'il cesse de t'approcher… C'est assez « puéril » comme action… Je suis juste terriblement jaloux en faites, soupira-t-il. Et dire que je voulais être un bon alpha, qui te protèges et avec qui tu te sentes en sécurité… J'ai lamentablement échoué. »
Arslan réfléchit à ce que venait de lui révéler Hilmes. Il comprenait qu'il ne l'avait pas fait méchamment et Hilmes culpabilisait de ce qui venait d'arriver. Seulement ça lui avait fait peur, que lui aurait dit Arihas dans une telle situation : lorsqu'on tombe de cheval il faut remonter en scelle. Ça ressemblait bien à Arihas en effet. Si jamais il laissait la peur s'installer entre son alpha et lui, il serait trop tard pour changer quoi que ce soit. Il attrapa la main d'Hilmes et l'attira vers lui tous en les faisant basculer à nouveau sur le lit.
« Qu'est-ce que tu fais ? Demanda Hilmes perplexe. - Recommence ! Prouves moi que tu ne me feras plus mal ! - Arslan tu trembles, dit-il en caressant sa joue. - Fais-le ! S'exclama-t-il. »
Arslan pencha sa tête sur le côté offrant complétement son cou. Hilmes s'approcha de manière hésitante, il se bloqua en voyant la marque sanglante qu'il avait déjà laissée. Il n'avait pas le droit. Pourtant Arslan l'encourageait alors qu'il tremblait comme une feuille. Décidément son oméga se montrait plus courageux que lui alors qu'il était la victime. Il se rapprocha doucement, son nez effleura le cou d'Arslan. Il déposa un baiser, son oméga sursauta presque à ce contact. Il en déposa d'autres jusqu'à ce qu'Arslan se détende et cesse de trembler. Il lécha cette petite parcelle de peau, l'aspira, la mordilla doucement. Arslan ne tremblait plus au contraire maintenant il se détendait. Hilmes se décida à le marquer, il enfonça lentement ses dents dans sa peau scrutant les réactions de son partenaire. Arslan poussa un petit gémissement et s'enroula autour de son alpha. Hilmes continua d'enfoncer ses dents jusqu'à qu'il poussât un gémissement de douleur. Il se stoppa immédiatement et desserra son emprise laissant une marque rouge tachetée de traces de dents violettes.
« Est-ce que ça va ? »
Arslan se mit à rougir, ses joues le brûlaient. « Oui » Souffla-t-il embarrassé. Cette fois cela lui avait fait beaucoup d'effet. Il fut submergé par une vague de plaisir lorsque son alpha le mordit. Voilà ce que cela donne normalement, pensa-t-il. Au moins maintenant je n'aurais plus à avoir peur. Hilmes se laissa tomber à côté de lui, les yeux rivés au plafond, il réfléchissait.
« Arslan… J'aimerais que tu fasses pareil… - Comment ? S'exclama-t-il ne se tournant vers Hilmes. - Je veux que tu me marques, dit-il en détournant le visage. Arslan le soupçonna de rougir. - Tu es sûr ? »
Il hocha vigoureusement la tête tout en évitant le regard d'Arslan. Arslan se déplaça, sa position actuelle ne lui permettait pas d'atteindre le cou d'Hilmes. Il s'allongea en partie sur lui, il ne savait pas trop comment s'y prendre alors il copia les gestes de Hilmes. Il s'attaqua au creux de son cou et y déposa une marque identique à la sienne mais Hilmes refusait toujours son regard. Il gardait la tête obstinément tournée sur le côté. Arslan voulait qu'il le regarde. Il profita donc de leurs positions pour aller mordiller l'oreille d'Hilmes. La réaction fut immédiate, il se retourna en poussant un grognement bizarre. Arslan se mit à rire en voyant le visage rouge de son alpha, il n'aurait jamais cru voir un tel spectacle un jour. Hilmes le réprima ce qui le fit rire encore plus.
« Cesse de te moquer ! Bouda-t-il. »
Arslan s'arrêta essoufflé, il se trouvait nez-à-nez avec Hilmes. Une lueur réconfortante dansait dans ses yeux et leurs visages n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Hilmes rompit la distance qui les séparait et scella leurs lèvres. Ce fut le premier baiser dont ils se souvinrent.
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anneblouinca · 5 years
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Gardienne des traditions
» Revue Sainte Anne | Au cœur de l'entrevue | Octobre 2019
Nous avons tous en mémoire des us et coutumes passés auxquels il fait bon s’y référer. Ces rites familiaux qui définissent nos valeurs et créent nos liens d’appartenance entre les générations. Les traditions sont-elles encore vivantes aujourd’hui et leur transmission est-elle toujours actuelle comme héritage?
J’ai rencontré Mme Jacinthe Couture, retraitée depuis un an, ayant travaillé 35 années auprès de personnes âgées en soins prolongés au CHSLD de l’Hôtel-Dieu de Lévis. Native de Saint-Bernard en Beauce, elle est la quatrième d’une famille de sept enfants, où elle a vécu une partie de son enfance. Elle prend plaisir à dire :
Je suis l’équilibre parfait d’une belle famille puisque j’ai deux frères et une sœur aînés et deux frères et une sœur cadets.
La famille déménagea à Saint-Michel-de-Bellechasse après l’acquisition d’un commerce par leur père Marcel et y vécut cinq ans. Par la suite c’est à Lévis que la grande marmaille Couture s’est définitivement établie pour devenir de vrais Lévisiens. Mme Jacinthe poursuivit des études en arts plastiques à Cap-Rouge et termina son parcours scolaire à l’Université Laval. Un projet particulier l’attendait « Jeunesse Canada Monde » qui a changé un peu son choix de carrière et l’amena vers les personnes âgées. Mariée depuis 35 ans, Mme Couture est mère de quatre enfants : une fille et trois garçons et grand-maman de deux petits-fils adorables.
Qu’est-ce que le mot tradition évoque en vous?
Pour moi c’est très évocateur car c’est la transmission des valeurs. C’est ce qui nous définit, nous représente en tant qu’individu et peuple aussi. C’est le plus bel héritage de nos parents, grands-parents, arrière-grands-parents, c’est ce qu’il nous reste des générations avant nous. La tradition est très liée à la famille, ça fait partie de notre patrimoine.
Mme Couture précise que c’est notre mémoire qui reste vivante par la transmission des traditions.
Je trouve cela réconfortant de vivre des traditions, c’est un lien d’appartenance entre personnes d’une même famille, d’un peuple, d’une religion. Je me fais un peu la gardienne des traditions de ma famille et j’aime cela.
Racontez-nous des histoires de famille où les rites étaient au cœur de vos liens?
Mme Couture mentionne que les belles traditions n’ont pas besoin d’être compliquées, cela peut se vivre dans la plus grande simplicité.
Cela me ramène au temps des fêtes, moment fort de l’année avec la période de l’Avent. Jeunes enfants, nous fabriquions nos petits bas de Noël en carton comme calendrier que nous installions dans nos chambres à coucher. Maman nous incitait à faire chaque jour un sacrifice offert au petit Jésus. C’était un rite important et encore mémorable aujourd’hui. À Saint-Bernard, tout-petits nous allions à la messe de minuit, nous contemplions la crèche, faisions la prière en famille la distribution des cadeaux et le réveillon tant attendu comme récompense. Le chant en famille a toujours été une forte tradition. C’était un moment rassembleur entre parents et enfants pour toute occasion. Lors des fêtes, des pèlerinages, des messes animées, des anniversaires de naissance, des pique-niques, des concerts pour la paroisse ou personnes en résidences, nous chantions en famille. La musique fait toujours partie de notre culture.
À quelles valeurs correspondaient ces traditions familiales?
Les valeurs humaines et religieuses ont toujours été importantes pour nos parents telles que : partage, accueil, foi, confiance, respect, joie. À la maison mes parents accueillaient beaucoup de personnes, entre autres une personne esseulée a habité de nombreuses années avec nous. À Saint-Bernard, il y avait la chambre du « quêteux » réservée pour un homme miséreux qui revenait chaque année et partageait nos repas. Lors de nos voyages en famille en voiture, ma mère récitait la prière de la route et nous partions tous en pèlerinage au Cap-de-la-Madeleine et à Sainte-Anne-de-Beaupré. Notre frère aîné Marc-André pensionnaire, nous apprenait des chansons variées qu’il nous fait plaisir de fredonner encore aujourd’hui tous ensemble. N’oublions pas le chapelet en famille à 19 heures tous les soirs pendant mon enfance et adolescence qui était un moment fort pour la famille Couture.
Quelles traditions transmettez-vous à vos enfants et petits-enfants?
Mme Couture trouve très important les rassemblements de famille entre frères et sœurs, cousins et cousines, heureux de se rencontrer.
Nous ne sommes pas toujours conscients de l’impact de nos habitudes de vie sur nos enfants. Ils se disent impressionnés et intéressés de maintenir de forts liens autant dans les réjouissances que dans la tristesse. Tous les mardis soirs, je réunis ma famille, enfants et petits-enfants pour partager un repas où l’on échange ensemble. Nous multiplions les occasions de rencontre car nous sommes bien ensemble. Avec mes enfants, je poursuis la dévotion maternelle des médailles de Notre-Dame de la Protection que je leur distribue lorsqu’ils partent en voyage. Avec mes petits-enfants je parle de Jésus et nous faisons une prière avant l’heure du dodo. Pour transmettre des traditions, il faut y croire et s’investir en toute authenticité.
Comment par votre travail faisiez-vous revivre des traditions passées avec les personnes âgées?
Je favorisais les occasions pour leur permettre de vivre leurs traditions familiales et je les encourageais à se remémorer les rites anciens.
Mme Couture précise que les personnes âgées sont très liées à leur passé surtout lorsque les pertes cognitives s’emparent de leur mémoire à court terme.
J’aimais apporter des objets et des jeux anciens pour les faire discuter et les divertir. Nous faisions des activités de cuisine, échange de recettes, avec café et musique d’ambiance. J’invitais des personnes-ressources particulièrement avec des costumes d’époque qui racontaient des histoires et anecdotes. Les personnes âgées ont besoin d’être animées dans ce qu’elles connaissent. Elles ont un bel héritage à nous léguer. Les activités musicales étaient au cœur de ma programmation. “ Chantons ensemble ” faisait revivre de belles émotions. Il est important de briser l’isolement par la mémoire des traditions.
Mme Jacinthe Couture, retraitée, est toujours autant ou sinon plus une joyeuse rassembleuse. Elle accorde beaucoup d’importance aux traditions. Que ce soit pour des parties de sucre, épluchettes de blé d’Inde, anniversaires variés, la maison est toujours ouverte pour le partage d’un repas des recettes d’antan de maman Suzanne. Mme Jacinthe est au cœur de ses frères et sœurs. Elle s’est donné une mission privilégiée de gardienne des traditions qu’elle assume très bien au grand plaisir de toute la famille Couture unie et heureuse!
Créer des occasions en famille permet de tisser des liens d’appartenance qui forgent nos traditions.
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yesakademia · 5 years
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Kathlyne, Soussane, Sénégal; 3ème blog, 11 août 2019
“On dit qu’on va faire un voyage et c’est le voyage qui vous fait”. Cette citation étudiée en classe de 3ème avec mon très cher professeur Mr. Waquet (que j’ai eu la chance d’avoir également comme enseignant cette année et qui est la source des références littéraires de mon premier écrit) m’est apparu comme une illumination. Bien sûr, quand on n’a voyagé jusqu’alors qu’en en tant que touriste porté par une visée capitaliste, cette phrase résonne en vous avec peu de force. Je ne saurai vous décrire avec précision les impressions que je ressens, immergée totalement dans cette folle aventure, mais je suppose que vous pouvez parvenir à imaginer vaguement l’atmosphère qui s’y dégage. Vous ne serez pas surpris alors de me voir revenir transformée (pour ne pas dire métamorphosée) par cette expérience inédite.
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Le premier bouleversement qui pourrait vous étonner serait le changement opéré au niveau de mon apparence physique. En effet, le soleil du Sénégal et à l’image des villageois de Soussane : rayonnant et chaleureux. Mes grands-parents auront ainsi l’occasion d’avoir une nouvelle petite fille : métisse, du fait de ma cure accrue en vitamine D. Je ne suis tout de même pas encore à la hauteur de bronzage de mon grand cousin Dédè. Je tiens d’ailleurs à le féliciter pour la réussite de ses examens, ainsi qu’à le remercier pour les techniques de survie qu’il m’a partagé avant mon voyage.
Malgré le fait que je ne me sois pas encore retrouvé nez à nez avec un hippopotame, un crocodile, une hyène ou encore un ratel, les créatures que je n’avais jamais rencontrées auparavant sont belles et bien présentes. Prenons l’exemple des fourmilières creusées dans la terre battue où s’y dégage d’immenses trainées noires constituées de millions de petits insectes s’étendant jusqu’à n’en pas voir la fin. Cette vision s’apparente à celle que je m’étais imaginée en lisant L’Africain de Le Clézio. L’auteur nous décrit les impressionnantes termitières lors de son voyage en Afrique où il part à la recherche de lui-même et de ses origines. Bien que n’ayant, à ma connaissance, aucune racine dans cette contrée, ce séjour aura été extrêmement bénéfique pour faire le point sur ma vie en France. Ainsi, posée près du baobab (qui, vous le savez,m’est très cher) regardant ce paysage si particulier, je peux réfléchir loin du tumulte de Paris et avec un peu de hauteur aux différents chemins qui s’offrent à moi. La pratique du yoga de manière assez intensive accompagnée par Amber, l’experte en la matière, ainsi que la relecture d’un de mes livres Totem (découvert grâce à ma petite maman).
La stratégie de la libellule m’accompagne également dans la quête de la reconnexion du corps et de l’esprit. J’imagine déjà certains se tordant de rire. C’est compréhensible que du point de vue extérieur ces paroles pourraient paraître amusants mais je perçois ce voyage comme une retraite axée sur le développement personnel. Dans cet ouvrage, Thierry Marx nous raconte son parcours de vie, sa découverte de la spiritualité asiatique et ainsi sa vision de l’échec, de la chance ou encore de l’opportunité en s'inspirant de la libellule, animale très symbolique et voire prodige dans l’art du vol ne reculant jamais. Ce cuisine étoilé m’a fait découvrir la signification du terme “Bushido”, littéralement l’art du guerrier en japonais qui fournit un sentiment de calme, de confiance au destin et une soumission tranquille à l’inévitable. J’ai ainsi pu tirer comme morale que ce qui ne peut être évité n’est pas important. Que ma grand-mère se rassure, je ne suis pas encore sur le point de me convertir au bouddhisme.
À mi-séjour, j’ai eu l’occasion de me soumettre aux pratiques culturelles soussanoises. De par la maîtrise spectaculaire des jeunes filles dans l’act du tressage, et revêtue du pagne de ma mère sénégalaise “yaranmé” Yassine : mon adaptation aux coutumes et modes de vie fut une réussite. Lors du stage, j’ai ainsi pu découvrir la fameuse recette du “Thiepoudiene”, le plat phare du village. Je tiens à vous informer que je commence à me débrouiller dans le domaine du façonnage de boule de riz lors des repas (mes premières tentatives n’étant que très peu reluisantes pour ne pas dire catastrophiques).
J’y suis. Les jours qu’il me reste au Sénégal sont désormais moins nombreux que ceux déjà vécus ici.
Nous sommes à quelques jours de la Tabaski : une première pour moi. Le 15 août, loin des doux sons musicaux traditionnels, savoyards des costumes de laveines du folklore montagnard qui laissent place à la découverte d’une toute autre approche du thème de l’Ascension, sera également du jamais vu. Une envolée de prières sera bien évidemment emportée vers ma famille ce jour-ci. J’ai d’ailleurs ouï dire d’avis très positifs à propos de mon premier récit. Bien que j’aie mis du coeur à l’ouvrage, ces retours m’ont beaucoup surprise et touchée.
Merci de me soutenir, votre engagement à l’égard de mes péripéties stimule mon âme d’écrivaine. Je perçois vos bonnes ondes.
Namasté.
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myanmarpichan · 6 years
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Lectures 2019. 4 - Joseph Roth, Job, roman d’un homme simple [Hiob : Romand mines einfachen Mannes]
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Des tours et détours en Mittleuropa. Je connaissais Joseph par son nom, j’avais commencé à lire une mauvaise traduction d’un de ses romans sans la finir, trop rude, trop carrée, sans attrait, j’avais mis à compte d’auteur les défauts du traducteur, et j'étais décidé à ne plus y revenir. Ici, la couverture et la maison d’édition m’y ont ramené, je me suis dit pourquoi pas en repensant à la Mittleuropa que j’ai visitée plusieurs fois, Zweig et Walser dévorés au lycée, le film Welcome in Vienna projeté plus de 20 ans après sa réalisation pendant des mois et des mois au MK2 Beaubourg du début des années 10, un succès monstre, des larmes en pagaille, Benjamin que l’on ne peut que croiser sans cesse,  enfin l’Europe du milieu ressassée, réécrite, continuée par Sebald des années après, à la fin du même siècle, lui qui mesure les conséquences des disparitions. 
J’ai bien fait de l’acheter, de me fier aux mains ouvertes de la couverture. La traduction me sauve de mon ignorance en allemand, elle est si claire et coule, elle permet la dévoration de ce best-seller des années 1930 qui fonctionne encore aujourd’hui. Les changements de rythme de l’écriture accompagnent les changements de perspectives, la modification des rythmes de vie de Mendel Singer, héros qu’on dirait toujours vieux, qui reste en tête comme une autre, la Mrs Ted Bliss de Stanley Elkin, je ne sais pas trop pourquoi sinon la combinaison des mots clés vieillesse + judéité. Le meilleur exemple de ce rythme de la phrase qui s’adapte à celui du héros, c’est l’impressionnant début de la partie américaine, lorsque Singer d’autochtone est passé immigré à Manhattan. Les mots anglais saccadés parsèment le flux de conscience enthousiaste du vieux qui pendant 20 pages ne semble plus si vieux, il s’extasie devant les merveilles de la ville, le fait que son fils se lave deux fois par jour avec de l’eau courante dans son bel appartement, là où dans la première partie Roth montrait les longs cheminements harassants en carriole d’un petit village de Crimée à un autre, les repas pauvres, les soirs sans cierges, le poële de la salle de classe que les élèves doivent alimenter en écoutant le vieux Mendel leur faire lecture de la Torah, la terreur médiévale devant les soldats. 
Le gouffre anthropologique entre ces deux mondes, l’ancestrale campagne yiddish des années 1890 d’un côté, le pimpant East Harlem ou Lower East Side des années 1900-1920 de l’autre, est examiné scrupuleusement par Joseph Roth. Un des plus jolis détails est constaté par Mendel Singer lorsqu’il se rend à la préfecture de Dubno, demander des visas pour l’Amérique. Attendant pendant des heures qu’on appelle son nom, il remarque mine de rien une porte de la préfecture qui « au lieu d’une poignée avait un bouton rond et blanc. Mendel se demandait comment il lui faudrait manier ce bouton pour ouvrir la porte. » C’est l’une des grandes qualités de Roth de savoir rendre ces absurdités et ces décalages rencontrés dans tout parcours migratoire, ces interrogations sur le bon usage des boutons de porte. Il sait aussi inverser l’étonnement et, pour le lecteur qui ne connait pas bien sa bible ni les rituels juifs d’Europe de l’Est, il livre dans la première partie des descriptions magiques de ces hommes qui vivent leur culte au milieu des champs, dans la nuit noire, en essayant de s’élever au dessus du sol par la prière.
Dans la partie new yorkaise du roman, autour de Mendel Singer sa famille se délite : son fils américain prodigue part à la guerre, sa fille libre et inarrêtable dans la première partie se met à perdre ses esprits, l’épouse qu’il n’aime plus lui fait sentir la réciproque et son autre fils laissé pour compte en Europe lointaine, le véritable homme simple du roman, le hante de plus en plus. Pour ralentir ou accepter cet écroulement, Mendel peut se réfugier et trouver d’autres Juifs à qui parler sa langue et ses problèmes dans un lieu bien particulier. Il s’agit dans le roman du magasin de musique d’un certain Showronnek, lieu où en plus d’acheter et de passer des disques yiddish, on peut semble-t-il allumer un samovar à l’aise, prendre son thé et son strudel, passer des heures simplement assis les yeux dans le vague, rester sans avoir à regimber ou commander autre chose, sans non plus avoir à relancer une conversation qui court de toute façon. C’est un de ces lieux des vieux juifs de New York, les délicatessens et les cafés viennois remplacés depuis par les Starbucks et les Wholefood, un de ces lieux communs de la Mittleuropa en exil. On en voit un exemple filmique dans la deuxième partie de Welcome in Vienna, tous les vieux et parmi eux quelques jeunes en amour se serrent entre les tables étroites du café et parlent du pays, du retour invraisemblable, des égards dus à la nouvelle terre, de patriotisme et de passion sans avenir. C’est un lieu en commun pour tous ces juifs new-yorkais qui vivent dans des petits logements infestés de punaises et de puces. C’est la mélancolique même, mais partagée. C’est aussi le dernier recours de Mendel Singer à bout de souffle, à la fin du roman il dort dans l’arrière-boutique avec l’accord du propriétaire, comme si cela allait de soi, pouvant se fondre même en sommeil dans les conversations du pays natal.
Il y a  dans le 18ème, à l’angle de la rue Léon et de la rue Marcadet, un petit restaurant qui me rappelle un peu ces délicatessens. Le Village Marcadet propose des raviolis aux champignons noirs tout mous et de fantastiques sandwichs végétariens tofu carotte râpée sauce piquante pour lesquels la dame sort en vitesse dans la rue acheter une demi-baguette. L’homme peut vous faire goûter son thé maison sur base d’anis étoilé, il évoque la politique, le temps qui passe, parfois son pays d’origine, les rénovations de la chaussée en cours, ses enfants qui le soir sont présents, sautant de table en table ou faisant leurs devoirs assis sur le petit banc couvert d’une toile cirée à motif de circuit automobile. L’endroit est jaune, vert et orange. Il y a des colonnes, des vitres à barreaux et d’autres non, des portes condamnées, des plantes qui s’empiètent sur une étagère haute, un présentoir de nourriture vitrée en angle, de la musique cambodgienne assourdie. On peut hésiter entre des plats asiatiques mais aussi des gombos ou des mafés qu’on sert avec du riz pour pas cher à la clientèle principalement d’Afrique de l’Ouest des rues avoisinantes. Vous pouvez vous y asseoir sans rien commander, je l’ai fait une fois avec des Tupperwares, n’ayant pas prévu de déjeuner dehors mais finalement oui. On m’a laissé manger en paix. On m’y laisse aussi corriger mes copies, réfléchir au plan de ma thèse, analyser mes photographies, sans me déranger, comme si le restaurant était une extension de mon salon. À la même table, un vieil homme s’assoit, toujours le même, tous les jours de la semaine (les rares fois où il n’y est pas, je pense immédiatement à sa mort, mais jusqu’a présent, il finit toujours par arriver). Le vieil éboueur à la petite retraite s’assoit et commande soit son mafé soit son poisson cuit à l’étouffée dans une feuille de bananier et, pour accompagner le plat, il demande son “petit côte”, la fiole de 50 cl d’un vin du Rhône que je n’ai pas goûté. Il recommande au fil de l’après-midi côte après côte, en tenant des propos plus ou moins incohérents, en faisant preuve d’une grande politesse envers les autres habituées qui passent la porte. Il monologue le plus souvent mais ne semble pas s’en faire. Parfois, après le service, des hordes d’éboueurs viennent prendre un déjeuner tardif. Ils s’arrêtent tous devant la table de leur collègue à la retraite et lui parlent rapidement de leur tournée du jour, avant d’emporter leur plat en barquette dans la maison des éboueurs, juste en face. Quand je finissais Job, roman d’un homme simple, j’avais en face de moi cet homme dont je ne connais pas le prénom et sans lui demander je donnais ses traits au héros du roman.
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Aigrette blanche, pattes immergées dans les champs inondés. Sangliers filant à travers les plaines baignées de soleil. Le temps d’un battement de cils, le paysage qui défile est devenu d’une tristesse insupportable, comme s’il avait brûlé en quelques instants. Serge m’a demandé de venir. Je ne sais pas ce qui m’attend là-bas. Il paraissait paniqué. « Viens je t’en prie, ma gosse est au fond du trou. J’ai besoin de toi. » Voilà ce qu’il m’a dit. Il essayait de me joindre depuis plusieurs jours. J’achevais ma retraite à l’abbaye de Lérins sur l’île Saint-Honorat, en face de Cannes. Les portables y sont interdits. C’était la deuxième fois en six mois que j’y séjournais. Il me fallait du silence et de la discipline. Pour terminer mon dernier roman. Je ne suis pas croyante, ou plutôt je ne le suis plus. Je l’ai été un temps, enfant, après le départ de Marlène. Comme si mes prières avaient pu la faire réapparaître.
Serge viendra me chercher à la gare de Rennes, puis me conduira à la clinique où Garance est hospitalisée depuis trois semaines. Aux dernières nouvelles, elle ne voulait plus me voir. Je l’ai lâchée au plus mauvais moment, celui où elle quittait l’enfance, basculait dans l’adolescence. J’aurais voulu ne pas coper les ponts – je m’y suis efforcée. « C’est ton père que je quitte, pas toi », lui avais-je pourtant assuré. Chloé, sa sœur, a su faire la distinction. J’ai pu communiquer plusieurs fois avec elle. « Ça craint que tu sois partie, disait-elle. Mais je sais bien que papa est beaucoup plus âgé que toi et qu’il peut être impossible à vivre. 
[...] J’ai peur de revoir Serge. De revoir les filles. Je suis partie depuis près d’un an. Il m’a proposé de dormir à la maison, je lui ai répondu que je préférais loger à l’hôtel. « Ça va pas, Anna ! s’est-il emporté. (Il s’emporte très vite, il n’a pas beaucoup changé.) On est des gens civilisés, je vais pas te sauter dessus. Je suis passé à autre chose et toit aussi il me semble. Si mes souvenirs sont bons, tu m’as largué pour ce jeune con. Tu es grande maintenant, et moi je me fais veux, je me sens tellement vieux. » Sous-entendu depuis que tu m’as abandonné. Puisque c’est moi qui l’ai quitté. Décision unilatérale, clôturant une sale période entamée six mois auparavant. Après dix ans durant lesquels j’avais vécu sans heurts, sans me poser trop de questions, les choses s’étaient rapidement désagrégées, mes nerfs avaient lâché un à un et Serge ne m’avait été d’aucun secours.
Je m’extrais du canapé. Dissimulée dans le recoin à gauche de la cheminée, une photo de nous cinq. Comme une preuve - celle que je cherchais ? - que j’ai vécu ici, constitué un membre, même provisoire, de cette famille. C’est un portrait de groupe. Nous sommes tous endimanchés à l’occasion d’un mariage, celui de la cousine des enfants si ma mémoire ne me joue pas des tours. Cette cérémonie et le dîner qui avait suivi avaient tenu lieu de présentation officielle à la famille de Serge. Je m’étais tout de suite bien entendue avec Colette, sa mère. Son père semblait plus circonspect à mon endroit, il aimait beaucoup celle à qui j’avais succédé. C’était la première et dernière fois que je le voyais. Il est mort dans un accident de voiture, peu de temps après. Ce jour-là, je rayonnais. J’étais avec l’homme que j’aimais. Mon premier roman était sur le point de paraître. J’avais le sentiment d’avoir enfin trouvé ma place. La fille sur la photo, ce n’est pas moi. Sur ce cliché, j’ai dix ans de moins. J’ai l’air extrêmement jeune. J’ai changé. Pas seulement physiquement. Aujourd’hui, je me sens altérée, comme cabossée.
[...] A qui pourrais-je téléphoner ? Je sens qu’il aurait bien voulu que je l’accompagne. Je suis troublée de le revoir, en dépit de ce que j’essaie de me faire croire. Il se montre sous un meilleur jour, mais je ne suis pas dupe. Il peut être charmant et exécrable, excessivement généreux et terriblement égocentrique. Je me souviens que lorsqu’il était en colère, il partait parfois sur son bateau pendant des heures, nous laissant mortes d’inquiétude, les filles et moi. Il était injoignable, ne rentrait qu’à la nuit tombée. Je ne suis pas parfaite non plus, je le sais bien. Je pratique la politique de la terre brûlée depuis toujours. Je ne fais de cadeaux à personne. Et maintenant où en suis-je ? J’ai adoré vivre avec Serge et ses enfants, je ne vais pas mentir. Je paraissais importante à ses yeux, que ce soit dans l’intimité ou dans notre vie familiale. Nous avions fini par ressembler à une famille tout de même. Je m’y étais greffée, et la greffe avait pris. Il m”appelait son “ancre”, affirmait que j’étais un soutien pour lui, y compris dans son travail. J’avais parfois l’impression de le porter sur mes frêles épaules, lui, le géant magnifique, l’artiste qui gravissait les marches tapissées de rouge au bras de superbes femmes, acclamé ou hué, ne laissant personne indifférent. Je ne l’accompagnais jamais dans ces mondanités, je me serais sentie déplacée. Ma place était avec ses enfants. Je disais parfois “nos filles, puis je me reprenais.
[...] Je tente de bloquer tant bien que mal la machine à souvenirs, sinon cela n’aura pas de fin. Trop tard, j’ai brisé quelque chose - je ne peux pas revenir en arrière. Dix ans d’amour c’est irréparable, comme le chantait Nino Ferrer.
[...] Je me suis installé un bureau dans la pièce qui me sert de chambre. La fenêtre donne sur de vieux chênes-lièges. J’y démêle mon écheveau de souvenirs. Je fais remonter les pelotes à la surface, examine ce qu’elles contiennent : des trésors, des pépites, des bouts de verre, des lames de rasoir. Je mets à plat les différents morceaux de ma vie. Après les avoir jetés aux oubliettes, je les ai retrouvés, ils étaient tout mélangés, tout froissés. Alors je les repêche, les déplie, les dépoussière. Jour après jour je remets mon histoire à l’endroit, à l’envers. Marlène, son départ, les années qui ont suivi, le remariage de mon père, ma jeunesse en somme. Serge, les filles, cette vie que j’ai laissée derrière moi. Et surtout, si je veux que toutes mes plaies cicatrisent, les plus fraîches n’étant pas encore suturées, il me faut terminer mon histoire avec Gaspard. Ensuite, je remettrai tout bout à bout et dans le bon ordre, et ça fera une vie - ma vie- jusqu’à aujourd’hui.
La fille sur la photo Karine Reysset
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