Tumgik
#quetarde
aramielles · 4 months
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les gens comprennent pas ma haine des romantiques français (sauf toi françois rené t’as rien fait mon chouchou 🥰) mais genre ils sont juste pleurnichards ??? alors que chez les anglais il y a BYRON il y a KEATS qui s’insultent par poèmes interposés, BYRON aka mon ROI, il y a PERCY et MARY SHELLEY qui font des conneries, il y a WORDSWORTH, il y a sad boi TENNYSON, il y a DICKENS, et après la mif BRONTË et en allemagne il y el king JEAN PAUL RICHTER qui def tout
et y a mon chouchou mon amour mon poto mon gars sûr mon bébé mon chéri don flegme, anastase de serpillère, william crocodile, louis alexandre bombet, dominique, stendalis, henry brulard, henri beyle, STENDHAL LE ROI LE MEILLEUR LE QUETARD LE BAISEUR L’INCROYABLE
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localhornist · 1 year
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Lil oneshot for an au I may one day actually flesh out >:)
Overhead the stars hung high, watching like eyes across the purple-black sky. So high and far, detached and uncaring.
Bits of meat roasted over the fire, orange and hot, licking at them in hunger. Mordred poked at the fire, watching it spit in anger at the stick’s incursion, glowing and blazing and frothing red embers. Free to be angry. To rage and bite.
AJ belched next to him, giggling at her own drunken freedom. Throwing another empty bottle down next to the fire, she stretched, running pale-white hands through pale-grey hair as she stared up at those glistening pearls. Mordred watched, green eyes scrunched in mild annoyance.
“I can feel ya fuckin eyes borin’ in ta me, ya know?” AJ spat, turning round on one foot to face him. “The fuck ‘ave I done now?” Mordred didn't deign a response, rolling his eyes as he pulled a piece of meat from the fire's grasp, biting into it and wincing.
“Hey!” She flicked his ear, glaring at him. “I’m talkin’ to ya if ya haven’t noticed!”
Mordred just gave a blank stare back. “I have. Sadly.”
“Then answer me, prick.”
Mordred sighed, taking another bite. “It’d be too long a list.”
That earned him a smack over the head. “Quetard,” was all AJ had left to growl, storming off to her tent.
Before stopping. And turning back around.
“You’re a fuckin’ hypocrite, ya know that.”
“I’m sorry?”
“You heard me. A hypocrite. Ya look down on the rest of us for just tryin’ to get by, just tryin’ ta cope. But what the fuck do you do. You’re just like the rest of us. A fuck up. Yet you act as if wallowing quietly, starin’ at a fire all “boohoo woe is me” is fuckin better than us.”
“Aww, got nothin’ to say now?”
Mordred clenched his fists, standing. Pausing.
“I don’t just wallow. I’m trying to actually do some good now. But you’re too stuck on finding you’re next drink to see any of that, aren't you?”
“Oh please. What, is it that fuckin girl? That’s your little bit of good for the world? You’re a fucking buffoon. She’s worthless. You take her eyes off her and it’ll all be up in smokes, cause she’ll be dead in two seconds flat-”
SWISH
Cold metal pressed against AJ’s neck. Green eyes stared down from behind the blade.
“Is that a threat, Anjie?” She grimaced, trying to move her chin away from the point.
“N-nah. But, it’s still the fuckin truth.”
After a moment, Mordred took the blade away, unsummoning it as he did. AJ sighed in relief, scratching her neck. Mordred kept looking at the ground.
“You can’t actually believe you’re making up for anythin’, can you? Helpin’ one person isn’t gonna change shit, you gotta accept that.”
A sigh escaped Mordred and he met her gaze with a glare. “I’m fully aware. There isn’t… nothing is gonna make up for what I’ve done. But unlike you lot, I still want to try to make things better. Even if it’s only for her. Better that than findin’ answers in a bottle.”
AJ scoffed, but couldn't seem to come up with anything in response. He regarded her for a moment, before finally, she acquiesced, skulking back to her tent, muttering a final insult under her breath. Mordred watched her go.
Overhead the stars hung high. Out of touch and blind in their own dazzling light.
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poesiecritique · 4 years
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une planète porno autour de laquelle ne gravite pas le satellite de l’amande
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Les hommes salmonelles sur la planète porno avec son titre commence mal, est-ce que ça sera encore une histoire de gars, des gars et du porno ?, est-ce que vraiment j’ai besoin, envie de ça ?, besoin de ces phallus dressés de la couverture ?- il y a bien une chatte, discrète, �� la base d’une bite, et puis une petite autre, la quatrième dit heureusement quelque chose de plus ambigu, plus végétal - mais garde et quatrième, dans ses découpes et couleurs tendres, d’Icinori, très belle cependant.
Les hommes salmonelles sur la planète porno a peut-être son pendant lesbien dans Le satellite de l’amande, de Françoise d’Eaubonne. Ça fait bien trop longtemps que j’ai lu le second pour proposer une lecture comparative sérieuse. Dire cependant que ces deux livres datent de la même époque : Le satellite de l’amande a été publié en 1975 par les éditions des femmes et  Les hommes salmonelles sur la planète porno (sous le titre Poruno wakusei no sarumonera ningen) a été publié en 1977 dans la revue All Yomimono - autant dire au temps où la science-fiction était foisonnante et vectrice de réflexions sociales.
Si je commence à plutôt bien connaître Françoise d’Eaubonne, sa vie son œuvre, explorées  en discontinu depuis presque dix ans maintenant, Yasutaka Tsutsui m’est inconnu. Sa page wikipédia est laudative, j’en retiens qu’”il est fortement influencé par Darwin et les Marx Brothers.” C’est une double entrée efficace pour interpréter Les hommes salmonelles sur la planète porno : l’humour grinçant, gagesque, pantalonnadesque et caricaturiste  imprègne le décor, c’est-à-dire l’écosystème que l’auteur invente et cet écosystème est analysé par des outils trempés dans une certaine compréhension du darwinisisme et du structuralisme, c’est comme une pâte qu’il manipule en sachant déjà le résultat qu’il veut obtenir, soit détricoter l’idée d’un évolutionnisme, au profit d’une lenteur, d’un érotisme, d’une nature abondante et généreuse, où l’épanouissement et l’accomplissement du désir sexuel n’est néanmoins pas corrélée à une surpopulation - sans même qu’il n’y ait de prédateurs.
Accompagnant les trois protagonistes principaux, tous masculins, nous découvrons en même temps qu’eux les mécanismes d’auto-régulation et de rétro-contrôle par lesquels l’écosystème de la planète Porno conserve son équilibre. Leur déplacement, de leur base au village des Nunudes est quant à lui motivé par une femme - une femme enceinte qu’il faut faire avorter (jamais ne lui ai donné voix*) car mise enceinte par une plante, l’engrosse-veuve, qui active chez celles ayant déjà eu une relation sexuelle (pas d’hymen déchiré notifié ici - mais le vocabulaire reste le même : les femmes qui ne sont plus vierges** - peut-être une question de traduction ?) l’engrosse-veuve qui active la parthogenèse ?, ou dont les spores créent une fusion du matériel génétique de la femme qui la cueille et du plus proche être vivant ?
Depuis l’engrosse-veuve, il y a tout un décor : le soleil-néné, le mont-qui-geint, toute une faune : le rouge-gland (un rouge gorge en forme de bite), les méduses-culs-en-l’air (qui ressemblent à des vagins flottant) les tatami-popotames et des crocro-pile-à-l’heure, des sanguinolentes (des algues qui ressemblent à tout ce qui n’est pas liquides de nos règles) et des algues farfouilleuses (qui rentrent dans tous les orifices et font jouir fort), des lapins-aux-oreilles-en-grappe et des vaches-accordéons, des myosotristes, des iratellations (des végéteaux qui donnent envie de se frotter contre qqch ou qqn-e, généralement sur les arbres les plus proches) et des touche-pipettes (qui s’enroulent autour des corps et des sexes pour obtenir les protéines des corps jouissants), des cigales stridulantes (qui poussent des cris de femmes en train de jouir) et des tarentueles-nourrices, des souvenirs-oubliés,....
Dans cet univers où l’écosexualité semble être la norme, où tout semble pouvoir mener au plaisir, être mené par le plaisir, le plaisir reste cependant majoritairement résumé au coït - à la pénétration, à la jouissance masculine, quand celle-ci est confondu avec l’éjaculation - même si les gars, dans Les hommes salmonelles sur la planète porno se font déjà enculer, même si c’est encore entre viol et le plaisir violent, ça existe, ça devient un possible. L’échappatoire la plus significative me semble être, avec joie truculente et grincement de dents, la remise en question de la performance à laquelle se contraindre pour correspondre à une normalité de sa sexualité (”combien de fois baisez vous par jour ? par semaine ? par mois ? oh! c’est beaucoup ! oh ! c’est trop !”) : ici être asexuel devient possible, avec résorption hypotrophique des organes masculins (ou féminins), un devenir asexuel asexué - pas encore agenre : celui qui vit cette expérience conserve son caractère belliqueux ici associé au masculin, au scientifique.
Mais la sexualité des femmes humaine est quasiment inexistantes. C’est peut-être ici l’écueil : comment un homme, dans les années 70, sans toute la déconstruction qui miette par miette commence à apparaître chez les hommes contemporains, peut-il parler d’érotisme sans mettre les pieds dans le plat des oppressions systémiques & invisibilisées ? La seule femme vraiment incarnée, celle enceinte, est supposée, alors même que presque toutes les relations interespèces reposent sur le plaisir, ne pas pouvoir vouloir se masturber avec un rouge-gland - trop dégradant - et est donc supposée préférée se faire violer par le héros.
Dans Le satellite de l’amande, ce sont des exploratrices, seulement des femmes, des elles, à la Wittig, Guerillères, qui explorent ce satellite. Satellite, déport, débord, pas au centre. L’amande, la planète, le sexe de la femme est au centre, et tout autour gravite son corps, le corps d’une femme, que les exploratrices iront explorant. Et c’est bien le corps qui est exploré, arpenté, caressé, pas le sexe qui est farfouillé, la terre creusée comme il est dit dans les livres religieux que le corps de la femme est comme la terre fertile qui accueille et se soumet à qui ensème, point. Le corps ici, le satellite déborde parfois, vit, pour sûr, mais est lisse comme la peau, autant d’aspérité et de poils qui deviennent arbres. Pas la truculence rigolarde d’une jungle  tsutsuienne, mais pas non plus cette sexualité masculine, éjaculant et pénétrant (données comme caractéristiques assignées et non naturelles) à tout crin, fatiguant. Ce qui intéresse d’Eaubonne, c’est une autre sexualité que celle qui dure encore aujourd’hui - ces rapports sont loin d’être évacués au sein des couples encore sous le poids écrasant du chapiteau tombé du fronton et des colonnes du temps ruiné de l’hétérosexualité.  
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Les autochtones, les Nunudes, quelque soit leur sexe, leur genre ont une sexualité qui aurait été qualifiable, dans les années 70, de libre, libérée - avec cette scène où le quetard humains, stigmatisé par ses congénères, devient le héros, capable, chez les Nunudes, d’accepter sans apriori les avances des toutes les femmes Nunudes qui viennent à lui. Cependant, je ne peux pas, ici, m’empêcher de penser à la perception anthropologique de la sexualité des “peuples primitifs”, cette fascination, qu’elle soit celle de Malinowski ou de Mead, construite par opposition à leurs propres sociétés d’origine (respectivement anglaise rigoriste et américaine puritaine). A la sexualité que les colons projetaient sur les corps qu’ils racisaient, à cette sexualité qui est toujours projetée sur ces corps à coup de panthère et de geisha. Si Tusutsui est japonais, je ne sais pas dans quelle mesure il échappe à ce regard-là, qu’il s’agisse de mécanismes complexes d’intériorisation de la racialisation, ou de la désidentification relative ici à la différence de genre. Car, si je ne peux pas m’empêcher de penser à la perception anthropologique, il m’est impossible de mettre en sourdine les paroles des femmes ayant participé à des mouvements révolutionnaires, et qui ont été assignées à coucher avec les hommes pour prouver leur engagement, leur rejet de la pensée petite-bourgeoise - des militantes française l’ont décrit, Lorde explique un phénomène similaire lors des combats pour les droits civils dans Sister Outsider. Comment ces questions là traversent la pensée, l’écriture érotisée de Tsutsui ?, comment son réseau d’influence prend pied ou non dans d’autres géographies ? Rappeler, peut-être, en guise d’amorce de réponse, que les Marx Brothers et Darwin ne sont pas japonais. Et qu’une équipe scientifique à précéder nos protagonistes en Nunudie. Que la télépathie permet aux Nunudes de savoir à quel point leur sexualité n’est pas acceptée par les humain-es. Et que si elle l’est, par une militante, elle l’est à des fins politiques, c’est-à-dire que la pure sexualité des Nunudes deviendrait instrumentalisée. Qu’est-ce que cette pure sexualité ? Une sexualité qui ne répond pas à des instances de pouvoir ? ; une sexualité dont les corps ne sont plus les produits d’une biopolitique ? Je parle ici avec les mots de Foucault, Butler, Preciado : le village Nunude est-il une pornotopie réussie ? Qui sont les Nunudes ? 
C’est peut-être là que réside le tour de force de Tsutsui, la raison pour laquelle j’ai envie d’écrire cette poésie critique. Elle fait, d’une certaine manière, écho à une pensée esquissée par  Scholastique Mukasonga dans Notre-Dame-du-Nil  : est-ce que les grands singes n’auraient-ils pas dédaignés l’évolution voyant la méchanceté croître dans le cœur des humain-es ? Tsutsi, lui, brode, depuis le darwinisme - lequel, il faut le rappeler, n’est pas, dans sa première version, une théorie de l’évolution (cad d’une supériorité) mais d’une adaptabilité au milieu. Ainsi, s’il y a adaptabilité, l’homme n’est plus situé au sommet, il peut être tout aussi bien le produit d’une dégénérescence ; tout comme son environnement - c’est l’équilibre de l’écosystème qui compte. Dès lors, comment fonctionne l’équilibre de la planète Porno ? Quelle est son histoire ? Et celle-ci va remettre en perspective la notre, celle humaine, de façon sémillante. 
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dirtyraza-blog · 7 years
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#quetarde #graffiti_chileno #caps #home
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laurenttixador · 7 years
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Quelques bons moments de bricolage n° 444 Construction d'une cagna avec: Lilas Quetard Martha Fely Matthieu Molet Théophile Peris Victor Boucon Melvil Legrand Au domaine de Belval dans les Ardennes où la boue et les sangliers ne sont pas une légende. Belval bois des dames, octobre 2017
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chagazine · 7 years
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Cool, de nouveaux chamis !
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Voilà, dans quelques heures ma mignonette de maîtresse rencontre ses futurs meilleurs amis. Ma maîtresse, elle a déjà plein d’amis, et des bons, ça, je peux vous le dire, un grand nombre sont amateurs de chats, et les autres sont des amateurs de chats qui s’ignorent (comme tonton Jean).  Donc en soi, elle ne cherche pas de nouveaux amis. Mais elle adore cette phase de construction de l’amitié, de découverte de l’autre. Le fameux « ah mais c’est dingue moi aussi ! », elle en redemande.
 Donc là, vous imaginez, à 3h de rencontrer son groupe de camarades randonneurs, elle n’en peut plus… Et pourtant, elle devrait se méfier.
 1er conseil : éviter le relou du groupe
Y’en a toujours un, et c’est généralement le premier qui vient parler à ma maîtresse. Parce qu’elle a son air tout sympa, tout guilleret, tout naif, elle les attire. C’est comme dans le métro, il peut y avoir 150 personnes dans la rame, c’est à elle qu’on s’adresse « excuse moi de dérange j’ai pas travail pas argent pas famille, aurais toi euros pour moi ? ». Le relou du groupe, c’est hyyyyyper facile à repérer. Il vient te parler tout de suite, il ne s’arrête plus, et ce qu’il raconte est d’une platitude sans nom.  Il est toujours d’accord avec toi, pire, il répète ce que tu viens de dire. Il est souvent mal fagoté avec le détail qui tue, comme par exemple la banane PMU. Facile à repérer, facile à éviter.
 2ème conseil : éviter le guide qui se tape la célibataire de chaque groupe (à la Poelvoorde dans Les Randonneurs)
Ah, on le connait le beau mec musclé, bronzé, tchatcheur, pour qui le GR20 c’est une promenade digestive. On le connait le cliché du mec qui a une femme dans chaque port. Alors vous me direz : « Ben, pourquoi pas ?». Ben parce que si effectivement c’est un quetard, tant mieux, y’aura eu de la joie des deux côtés, mais le pire, ce serait que le quetard ne soit pas si quetard que ça et qu’il s’attache. Et que voyant ma maitresse bien plus occupée à se faire de nouveaux amis et à éviter le relou de la bande, et tout simplement à le terminer ce puuuutain de GR20, il devienne agacé. Et ça, c’est pas bon d’agacer son guide de montagne…. Qui va se trouver à dormir par terre ? Qui va se taper la vaisselle ? Qui on ne va pas attendre et tant pis si elle se trompe de chemin ? Ben, je n’aimerais pas que ce soit ma maîtresse
 3ème conseil : éviter le dépressif
Lui, sa femme l’a quitté. Il fait le même job depuis 20 ans. A toujours vécu dans la même ville, ses 4 amis sont ses amis de maternelle, ses parents sont morts, pas de sœur, pas de frère, il vote à droite, ne lit pas, n’aime pas les animaux, n’aime pas la marche, il n’aime rien, ni personne, ni même lui-même. Il ajoute à chaque phrase un « mais », pour bien toujours rappeler qu’il y a toujours un revers à la médaille. Que le verre, il sera vide un jour. Il termine ses discussions par « bon courage ». La personne qui donne envie de se pendre, on aimerait juste qu’elle aille se pendre elle d’abord
 4ème conseil : éviter le poissard
Je précise qu’une même personne peut cumuler : le relou poissard dépressif, c’est un cocktail plus que répandu. Le poissard, il a son lacet qui se casse à la première montée, sa gourde fuit, il s’est fait voler sa CB à l’aéroport, son téléphone tombe en rade. C’est toujours lui qui au ski a les chaussures qui font mal. Il va attirer sur le groupe les cochons sauvages, incendies et orages. Lui, non seulement il faut l’éviter dans un groupe mais il faudrait tout simplement qu’il évite de rejoindre un groupe
 5ème : éviter le couple amoureux
Beuuuuuuurk…. Ça leur passera…
 6ème : éviter le couple qui s’engueule
Bien que plus intéressant que le couple amoureux, à la longue, c’est usant le couple qui s’engueule. Car forcément ça renvoie à soi, à son couple, au couple de ses parents. Et on ne se fait pas chier à crapahuter 8h par jour pour se remémorer les engueulades de son enfance ou de sa vie de couple. Puis on a envie de prendre parti. Si la fille est une vraie conne, on lui en veut pour la déplorable image qu’elle donne de la gente féminine. Si le mec est un sac à merde, on a envie de oops, j’ai pas fait exprès, mais t’es tombé dans le ravin …connard ?!? Et si c’est plus compliqué que ça, que c’est une fille bien, que c’est un gars bien, ça rend impuissant, et sur le GR20, de la puissance, on en a besoin.
 7ème conseil : éviter le fêtard
Ah ça ma petite maîtresse, c’est LE risque majeur. Parce qu’elle va le trouver sympa le hipster qui fume qui boit qui est libre Max. Donc elle va vouloir s’en faire un ami. Et donc le suivre. Sauf que notre ami hipster, c’est un marathonien aguerri, les Iron Man il les enchaine, après le GR20 il poursuit sur le Mont Blanc. Là, ma maîtresse, je ne lui donne pas deux jours. Une cuite dès le premier jour et adios le GR20
 8ème conseil : éviter celui qui l’a déjà fait
Evidemment. Il va tout spoiler. « Tu vois la bergerie tout là-haut, tu crois qu’elle est près mais en fait c’est interminable, c’est mon pire cauchemar du GR20 ». « Tiens, la dernière fois, dans cette bergerie, j’ai eu une de ces chiasses ».
 9ème conseil : éviter celui qui sait tout sur tout
Celui qui te reprend quand tu appelles palmier un chêne, qui te détaille les ingrédients de merde qu’il y a dans les barres énergisantes que tu dévores sinon tu vas crever, qui à chaque col, village, te précise le nombre d’habitants, l’altitude, la densité géographique. Celui qui te rattrape pour faire tes étirements alors que toi tu as déjà ta Pietra à la main.
 10ème conseil : éviter celui vise l’exploit sportif
Déjà parce qu’il s’est trompé de groupe, s’il voulait faire le GR20 en 3 jours, il n’avait qu’à aller rejoindre les militaires de Calvi. Vouloir à tout pris faire les étapes en deux fois moins de temps qu’indiqué ça n’a aucun, mais alors aucun intérêt. Pourquoi les corses auraient pris la peine d’indiquer un temps ? Pour les chats sauvages ? Lui il n’est pas drôle en plus, couché avec les poules, réveillé aux aurores, comptant les calories ingurgitées. Conseil : le laisser prendre de l’avance et sauter une étape.
 Ben avec ça, ma foldinguotte de maîtresse, il ne va te rester beaucoup d’amis à te faire… Tu verras, c’est bien aussi d’être seule avec soi-même… Et surtout, fais comme ta maman t'a dit, une grande dame qui aime les chats : “observe au début. Ne te dévoile pas”. En même temps, avec tes bijoux, ton gros sac Orange Longchamp et tes deux téléphones, je pense qu'une étiquette rapidement tu vas avoir…
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anandapardo · 6 years
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“Bons amigos que nasceram pela fé 😍💛” #quetarde #piscina #verão @deiabeletyfcprimavera
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