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#ratp vandalism
ovo-frenchstyle · 7 months
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02 2024- Paris ligne 7
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severthelibertarian · 4 years
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Paris Underground
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gustavimages · 5 years
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#graffiti #vandal #metro #ratp #ligne6 #colors #picoftheday #photooftheday #subway (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/B3B2Ya1o9nP/?igshid=1pgt536ko7fl5
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2minchrono · 7 years
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M8 2004
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vandalsonholidays · 6 years
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Flying with the night owls... #vandals #graffitistickers #graffitislaps #graff #grafflife #ratp #graffiti #graffitiontrains #graffitiparis #parismetro #trainwriting #yardromance #mf2000 VANDALSONHOLIDAYS.COM http://bit.ly/2RZWJV8
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mouvementsretiniens · 5 years
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Street art : entre rejet & émerveillement
Il y avait bien longtemps que j’avais envie de partager quelques réflexions sur un sujet dont je suis relativement proche, personnellement et professionnellement : le street art.
Depuis l’enfance, j’y ai été confronté et éveillé participant à de véritables chasses aux graffitis, en quête d’œuvres murales, aiguisant ainsi dès mon plus jeune âge un sens pour les détails. À cette période-là, le street art était encore « préservé », je le crois, de l’essor et de l’engouement qu’il connait aujourd’hui.
Il me parait important de raconter son histoire pour tenter de comprendre comment un art vandal peut aujourd’hui se retrouver « coincé » entre les murs d’un musée, mais également pour évoquer la richesse de la terminologie relative à l’art urbain, terminologie qui va même jusqu’à créer des clivages entre certains de ses adeptes.
HISTORIQUE
Le street-art, ou « art urbain », est un mouvement artistique contemporain. Il désigne toutes les formes d'art réalisées dans la rue ou dans des endroits publics, et réunit diverses techniques telles que le graffiti (inscription, dessin griffonné ou gravé à la main sur un mur), le pochoir (plaque de carton, de métal, de plastique découpée, permettant de peindre facilement la forme évidée sur un support quelconque), les stickers (autocollants), les posters (affiche illustrée ou photo tirée au format d'une affiche), la projection vidéo, les installations de lumières, etc. On en retrouve sur les murs, les trottoirs, les rues, dans les parcs ou sur les monuments. Bien que le street-art ne soit pas légal, sa valeur artistique est incontestable et il est de plus en plus demandé. Les motivations conduisant ces « street-artistes » à commettre leur art sont aussi variées que le nombre d’artistes lui-même. Il s'agit avant tout d'un art pensé pour faire réfléchir la société, pour frapper l’œil, pour s'insurger, défendre une cause, ...
Le graffiti, qui est l'une des nombreuses branches du street-art, tend à se développer en premier. En effet, ses origines demeurent très anciennes. On aurait observé ces derniers tout au long de l'histoire, telle qu'on la connaît aujourd'hui. Des peintures rupestres, en passant par la cité de Pompéi en Italie, à Athènes en Grèce ainsi que dans la Vallée des Rois en Egypte. Plusieurs historiens ont aussi observé des inscriptions vikings en Irlande, mayas en Amérique du Sud, … Toutefois, il est important de préciser qu'il ne s'agit pas vraiment de graffitis puisque dans la plupart des cas, ces œuvres étaient réalisées dans des huis-clos, des endroits discrets et difficiles d'accès. Pour des raisons sémantiques et techniques, il est préférable de ne pas qualifier ces productions artistiques de graffitis, même si, tout comme ces derniers, ils sont porteurs de sens.
Ce n'est qu'au XXème siècle que l'art du graffiti devient un art esthétique estimé de l'univers artistique, mais aussi des amateurs qui cherchent à se procurer certaines de ses œuvres particulières.
Le graffiti prend de l'ampleur dans les années 1960 au sein des quartiers pauvres de New-York et dans ses banlieues quelque peu négligées. Les précurseurs proviennent généralement de ces milieux-là, ils agissent généralement en « crew », et recouvrent peu à peu la ville de leurs pseudonymes générant une véritable concurrence identitaire.
Au début des années 1970, le graffiti se transforme littéralement. Il ne s'agit plus forcément d'une simple inscription, mais d'une véritable pièce artistique accompagnant la signature de l'artiste. Certains artistes commencent à peindre davantage qu'afficher leurs simples pseudonymes. Le mouvement est donc bien enclenché. Leur mission était de peindre dans les lieux les plus interdits et contrôlés, privilégiant ainsi la transgression des lois et le malin plaisir qui en découle. C'est également à cette période que l'on voit apparaître les premiers « tags féminins ».
Une nouvelle tendance est ensuite lancée, celle de peindre sur les wagons de trains, à l'intérieur de ceux-ci et mêmes sur les murs des stations. Les trains et les métros s'imposent donc comme moyens de diffusion massive du street-art.
Au milieu des années 80, le maire de New-York de l'époque Ed Koch et la MTA (Metropolitan Transportation Authority), une entreprise chargée de la gestion et la municipalité, affrontent les street-artistes en mettant en place des opérations de nettoyages de graffitis, et en réglementant la vente de matériel propice à cette activité illégale. Les trains les plus tagués étaient destinés à la destruction. Les parents d'auteurs de graffiti pouvaient même être tenu pour responsable des actes illégaux et les citoyens se devaient de les dénoncer s'ils en connaissaient certains.  Le graffiti connaît donc une sombre période et disparaît presque. Les graffeurs décident alors d'ouvrir leurs propres galeries d'art, ce fut le cas notamment pour Jean-Michel Basquiat et Keith Haring.
En Europe, le street art s'est développé en parallèle, principalement en Allemagne de l'Ouest qui seule bénéficie de cette émergence de l'art urbain, notamment dans les villes d'Hambourg, de Munich et de Berlin, où le mur fut construit séparant ainsi l'Allemagne de l'Est et de l'Ouest. Certains résidents situés à l'Ouest le traversaient souvent pour y réaliser des graffitis, en signe de mécontentement. Lorsqu'il fut détruit à la fin des années 1980, il était presque complètement rempli de slogans, dessins, peintures, affiches en tous genres. Ce dernier aura servi de support et de tribune libre à de nombreux jeunes Allemands qui désiraient protester. Il est aujourd'hui classé mur historique tant il a été peint, décoré, annoté. 
Le Royaume-Uni a tout d'abord réalisé des pièces en s'inspirant de l'influence de l'école new-yorkaise, à savoir, l'influence urbaine, et ce qui en découle (culture hip-hop : danse, musique, style vestimentaire, …). C'est principalement à Londres et à Bristol qu'une communauté de graffeurs voit le jour. Peu à peu, il devient très difficile d'exercer l'art urbain dans la capitale puisque celle-ci est surveillée de façon constante. Toutefois, cela n'a pas empêché l'effervescence du pochoir et de l'affiche, avec Banksy notamment, qui utilise massivement les pochoirs.
Un tel développement se fait plus tardif en Espagne, qui accueille cependant un très grand nombre de graffitis et d’œuvres en tout genre au caractère exceptionnel et exubérant.  Prenons l'exemple de l'artiste Muelle, surnommé le « Banksy madrilène », qui s'est vite imposé dans la capitale espagnole comme une véritable légende du graffiti et qui a ainsi à son développement jusqu’à être considéré comme le pionnier dans le graffiti espagnol.
En France, le graffiti « new-yorkais » s'impose à Paris,  envahissant les lieux privilégiés comme Stalingrad (considéré comme premier lieu « underdeground » à accueillir les graffitis et techniques en tout genre), les quais de Seine, les palissades du Louvre ou du Centre Georges Pompidou, les Halles ou le terrain vague de la Chapelle. Il finit par s'étendre progressivement dans les cités des banlieues parisiennes où la culture Hip-hop devient de plus en plus populaire.
Une grande diversité de peintures collectives voit alors le jour. Effectivement, de nombreux artistes travaillaient en groupe au sein d'actions collectives tels que les frères Ripoulin (collectif d'artistes parisiens, souvent associé au mouvement de la Figuration Libre ou au graffiti) ou les VLP (acronyme de « Vive La Peinture », groupe activiste du mouvement graffiti, un des plus anciens groupes français d'art urbain toujours en activité). Le graffeur Psychoze témoigne quant à la présence de graffitis sur les métros : 
« Il y avait tellement de tags qu'on ne pouvait plus rien voir à travers les vitres ». 
Finalement, la RATP suit les pas de la MTA de New-York, et commence à pratiquer une véritable lutte anti-graffiti.
Dans les années 90, on en arrive à qualifier le phénomène d'envahissement de graffiti à Paris « d'épopée du graffiti ». Les jeunes ont leurs insignes et n'hésitent pas à l'afficher autant que possible. Ces writers s'attaquent à leur tour au support historique qu'est le métro. Les médias, principalement la presse, s'en mêlent : beaucoup d'articles paraissent sur le graffiti, qui est, à l'époque, considéré plus comme un phénomène de société que comme un fait artistique.
Le street-art finit par se développer dans les autres grandes villes de France telles que Bordeaux, Marseille, Lyon, Strasbourg, Toulouse, …
Avec cet historique non exhaustif, on comprend qu’il y a eu une véritable démocratisation du street art tout autour du monde. On pourrait aussi relier cette propagation à la mondialisation qui a sans doute contribué à celle-ci.
L’été dernier, lors d’un stage réalisé au sein de l’association Le M.U.R. (Modulable, Urbain, Réactif) qui est engagée dans la promotion de l’art urbain, j’ai moi-même participé à sa démocratisation, notamment en aidant à la réalisation d’une seconde édition d’un livre autour de ces murs florissants, mais aussi en confrontant les passants aux performances live qui avaient lieu deux samedis par mois.
Dans Le Journal des Arts du 29 novembre 2019, on peut lire sur la première de couverture « Le street art face à ses contradictions », c’est en lisant ce titre que l’idée d’enfin poser des mots sur des pensées m’ayant auparavant déjà habitées s’est concrétisée. Je citerai d’ailleurs dans cet article quelques passages du dossier à ce sujet, que j’ai trouvé très pertinent et par moments en adéquation avec ma pensée.
Tout au long des premières pages, on comprend à quel point l’art contemporain est un milieu très restreint dans lequel le street art n’a pas forcément sa place, comme s’il semblait impossible de faire dialoguer l’un avec l’autre, comme si de chaque côté il y avait comme une réticence à engager quelque chose. Ce qui est intéressant c’est que le graffiti et le street art sont originellement des pratiques populaires, comme nous avons pu l’apercevoir dans l’historique ultérieur, dans le sens où elles sont « accessible[s] en toute gratuité », qu’elles circulent en « abondance sous forme de films ou de photographies » et « décliné[es] sous toutes sortes de supports » et qu’elles « mobilise[nt] aussi un vaste répertoire iconographique ». Enfin et surtout, la production de l’art urbain est massive.  
S’il s’agit bel et bien d’une pratique populaire, cela pourrait expliquer en partie pourquoi un rapprochement avec l’art contemporain ne peut se faire puisque l’art contemporain n’est pas populaire, même s’il en arbore certaines caractéristiques qui peut rendre la distinction complexe et ambigüe.
Il y a au premier abord une incohérence tout simplement technique entre l’art contemporain et le street art : l’un est exposé dans des lieux clos, régis par des structures, l’autre s’expose dehors et n’est régi par personne, si ce n’est la liberté.
Christian Omodeo, historien de l’art explique à ce propos, dans un article du dossier, que « La structure du monde de l’art est encore centrée sur les liens entre l’artiste, le collectionneur, la galerie, le musée. Le graffiti et le street art lui proposent de se restructurer selon des modèles connus dans d’autres champs culturels, comme la musique. »
La lecture de ce dossier nous apprend que le rapport qu’entretiennent ces artistes à la ville est d’une importance cruciale pour comprendre l’art urbain. Il y aurait même une idée de réappropriation de l’espace.
« Il s’agit de requalifier l’habitat, d’intervenir dans la ville pour se la réapproprier, qu’elle ait de nouveau figure humaine. », Christophe Genin, philosophe, enseignant et auteur de nombreux ouvrages sur le sujet.
Pour l’artiste Javier Abarca, il est également question de la manière dont tout un chacun va envisager sa relation à la ville.
« Il [l’art urbain] évoque la façon dont l’artiste explore la ville, trouve des lieux et joue avec, dans le temps et l’espace. L’image est un prétexte à ce jeu en mouvement, et n’a pas besoin d’avoir beaucoup de profondeur – à vrai dire, mieux qu’elle n’en ait pas, car la rue est consommée rapidement ».
Sa conception est intéressante dans la mesure où la rue est considérée comme un objet de consommation. 
Et l’on retrouve un peu plus loin dans l’article un échange avec Ella&Pitr, un de mes couples favoris de l’art urbain qui considèrent eux que la rue est leur “premier média”, un “espace de conquête”. S’attachant à peindre des géants monumentaux, les deux artistes fatigués “de voir de l’art urbain partout, sur tous les murs”, ont eu envie “de le faire sous une autre forme, qui ne soit pas forcément visible et ne participe pas à ce magma multicolore.”
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Quel temps fera t-il demain ? Ella&Pitr, Paris, Juin 2019
“Nos oeuvres ne sont pas imposées dans la balade urbaine. On aime bien l’idée de faire des choses tellement grandes qu’elles sont invisibles à l’oeil nu.”
J’aime beaucoup cette manière de concevoir l’art et la trouve juste dans un monde où nous sommes sans cesse submergés par les images de la rue à chez soi. Finalement, la rue, terrain de jeu privilégiée des street artistes devient elle même inondée par un trop plein d’oeuvres. Aujourd’hui, j’en suis presque lasse, lasse de voir des motifs et des démarches se répéter, lasse de voir que tout cela devient trop facilement accessible. Le caractère inédit en vient à manquer.
« Toute la question, dès lors, est de savoir comment l’exposer, sans lui faire perdre ce qui en fait la meilleure part : son rapport à la ville. »
Et puis, comment cohabiter ? 
On retrouve aussi de plus en plus l’importance d’être spectaculaire pour justement se démarquer ou bien de reproduire les codes de l’art rue à l’intérieur d’un espace clos (exemple de la Tour 13, projet hors norme d’un immeuble en proie à la destruction dans le 13ème arrondissement de Paris investi par une centaine d’artistes et visible un mois en 2013, de Mister Freeze, association qui organise des événements dédié au street art dans des lieux industriels en région toulousaine ou du Colorama, festival de street art à Biarritz). 
Tout autant de questionnements qui reviennent de plus en plus fréquemment à l’approche des rues, du nouvel article qui en parlera ou de la nouvelle exposition tendance destinée à faire de la promotion et enfin vendre. 
Je souhaiterais, pour clôturer ce billet, vous faire part d’un extrait d’un carnet de pensées développé l’année passée dans un cours d’esthétique, qui je trouve entre en résonance avec tout ce qui a été évoqué plus haut.
FOCUS SUR SHEPARD FAIREY
Un des street artistes les plus connus est Shepard Fairey, un américain, qui est également graphiste et activiste social. Il partage son point de vue critique à travers des fresques et des affiches que l’on peut retrouver dans l’espace public. Le portrait emblématique Hope (2008) du candidat Barack Obama est probablement son œuvre la plus connue, avec la campagne Obey (1992). À ce propos, il s’est largement inspiré du film de John Carpenter - They live ! Ce film réalisé en 1988 par John Carpenter dépeint un monde gouverné par des extra-terrestres à l’apparence humaine où une propagande subliminale est omniprésente. Ce film peut être vu comme une critique du capitalisme comme système d’exploitation d’une masse croissante de pauvres et d’opprimés par une petite oligarchie (les extra-terrestes). On peut également y voir une critique à l’encontre des médias, qui asservissent le peuple par un véritable lavage de cerveau à travers des publicités poussant au consumérisme permanent et répétant incessamment des injonctions à obéir, consommer, se marier, procréer, abandonner toute imagination, … Quelques années après la sortie de ce film, Shepard Fairey reprend le Obey apparaissant sur les tableaux d’affichages publicitaires de ce film.
Autant chez Shepard Fairey que chez John Carpenter, bien que des siècles les séparent, on peut observer une forme d’engagement anti-capitaliste justement. Leurs productions artistiques permettent donc de critiquer ce système et d’aller au-delà de la critique par la création. Ces deux artistes, de par leurs productions, invitent implicitement les spectateurs à une certaine prise de conscience, un certain questionnement vis-à-vis d’eux même et de la société dans laquelle ils évoluent. Au travers de ces objets d’art, les spectateurs atteindraient ainsi une forme d’équilibre entre passion et esprit pur/idée. Tout ceci est tel que Schiller l’a conçu, néanmoins en pratique il est possible que beaucoup passent à côté de cela.
Ce que j’ai pu constater, c’est qu’à l’origine Shepard Fairey déposait des stickers engagés sur les murs de la ville en réaction contre les formes d’art soi-disant engagées qui ne délivraient à l’époque pas de message clair. Aujourd’hui il fait partie intégrante du système capitaliste, certaines de ses oeuvres étant vendues à quelques milliers d’euros, alors qu’il s’inscrivait lui-même en contraction avec ce système. Drôle, non ?
En 2011, son célèbre OBEY est même devenue une marque de streetwear à part entière. On en voit presque tous les jours et vous-même en avez peut-être dans vos placards : casquettes, t-shirts, pulls… avec comme point commun écrit en gros “OBEY”. Avec la renommée qu’a gagné la marque, on en vient à oublier ses origines et le nom même de l’artiste qu’on finit par appeler par la marque. Pourtant, lorsqu’il créé sa marque, c’est dans un premier temps pour élargir sa palette de supports disponibles pour transmettre son message. En réalité, ces vêtements sont un moyen de communiquer pour l’artiste. Il utilise en fait la psychologie inversée pour que l’on remette en cause la propagande que l’on peut voir chaque jour, il parodie en quelque sorte cette propagande. Sur le site de la marque, on retrouve l’idée que le médium est le message développé par Marshall McLuhan. Finalement, on peut se demander si ce message n’a pas été totalement happé par le médium.
Ici, on peut relier cet aspect à l’industrie culturelle qu’a critiqué Theodor Adorno, puisque les produits manufacturés au nom de l’art viennent détruire l’autonomie de cette dernière “puisque ses réalisations sont conçues comme des marchandises”. Ici, l’aura de l’oeuvre d’art est utilisée pour que les produits OBEY soient achetés, au nom de l’art, il serait donc plus justifié d’acheter un t-shirt ou une casquette. Alors que le message de Shepard Fairey était de faire réagir, de générer un désobéissement justement, le contraire se produit : le public consomme passivement, sans réfléchir.
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Image extraite du film They live ! de John Carpenter
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nirindahouse · 5 years
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✅ Dispo, . Sauf que ... comment je fais moi avec ces grans couloirs vides d’affiches depuis un mois ??? Font chier la ratp, #vandal « A 98% toi ou Moi » 60 x 80 cm Extinction Collection Collage, découpage, déchirage, posca #streetart #popart #art #artlover #artlovers #ouranoutang #collage #collageart #collageartist #collageartwork #pop #collageoftheday #collagecollective #collageartistsoninstagram #monkeys #monkeyart #creative #artistic #cut #animals (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/B7BuyCmi9G2/?igshid=cwl4zy08dc31
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salimsellami · 5 years
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La haine et la bêtise !
La haine et la bêtise !
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Ils se sont surpassés. Traités d’anti-sémites, de fachos, de séditieux, de vandales, les gilets jaunes en ont entendu des conneries sur leur compte mais on pensait avoir fait le tour. Que nenni ! A leur tour, les grévistes de la SNCF, de la RATP ou d’ENEDIS en prennent pour leur grade. La campagne de dénigrement monte en puissance jusqu’à les accuser de vouloir empêcher la tenue des fêtes de Noël…
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elrodion-blog · 7 years
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Mais Trop - sur le bro @veanstwecrew #metro #ratp #tattoo #traditional #subway #graffiti #graffitilife #vandal #street #82krew #customtattoo #dead82 (at La maison du tatouage)
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usemario15 · 7 years
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RATP (en Paris, France)
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ovo-frenchstyle · 11 months
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11 2023 street of Paris & subway
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ovo-frenchstyle · 1 year
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ligne 7 paris - 08/2023
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ovo-frenchstyle · 2 years
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End of 2022 XIII area
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ovo-frenchstyle · 2 years
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06/2022 ligne 6
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ovo-frenchstyle · 2 years
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ovo-frenchstyle · 4 years
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11/2020 ligne 6 métro paris
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