Tumgik
#retraite à défendre
ontemanipule-blog · 2 years
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Un article https://librescommeres.fr/read/714 écrit juste avant l'usage une fois de trop du 49.3... Ce n'est pas nouveau, si on essaye de jouer sagement à leur jeu politique, comme les règles sont truquées, on finit forcément par se prendre brutalement cette réalité dans la face. A chacun selon ses moyens, montrons au gouverneMENT qu'il faut qu'il arrête de jouer avec nos vies.
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ekman · 2 months
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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lepartidelamort · 26 days
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Les Sages de Sion à l’origine de l’arrestation de Pavel Durov
Durov est la cible d’une cabale aux larges ramifications.
L’angle d’attaque de la « justice » française est basique : comme patron de Telegram, Durov est coresponsable de tous les crimes ou délits que des utilisateurs auraient pu commettre via son réseau social, partout dans le monde.
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Selon cette logique, le patron d’Orange devrait être arrêté pour avoir fourni internet à des criminels.
De même pour le patron d’Apple pour avoir fourni des smartphones à des criminels.
Macron, tout comme les juges à sa botte, n’est que l’instrument de commanditaires beaucoup plus puissants.
Il s’agit bien sûr du gouvernement américain.
Washington se sert des états croupions de l’UE pour faire ce que la loi américaine ne permet pas.
L’idée des juifs est de faire plier les réseaux sociaux qui seraient tentés de leur résister, même partiellement.
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Ces derniers temps, Durov n’était pas dans les petits papiers des juifs.
Haaretz :
Il y a quelques mois, des pirates informatiques étrangers ont réussi à s’introduire dans un ordinateur lié au ministère israélien de la justice. Des dizaines de milliers de fichiers classifiés et de courriels sensibles ont été divulgués. Des liens permettant à quiconque de télécharger ces fichiers ont été publiés sur Telegram, l’application de messagerie instantanée la plus populaire.
Cependant, ils ont rapidement commencé à disparaître. L’un après l’autre, les canaux Telegram des pirates ont été supprimés, leurs utilisateurs effacés et les messages contenant les liens de téléchargement disparus.
Selon un certain nombre de personnes bien informées, Israël mène une guerre numérique sur plusieurs fronts pour tenter d’endiguer la fuite apparemment sans fin de ses informations. Il s’agit notamment de surveiller le web et les sites de médias sociaux à la recherche de fuites et d’adresser des demandes de retrait légal à des entreprises technologiques telles que Google, Amazon, Meta et même Telegram, afin de les supprimer ou de les bloquer.
Depuis le 7 octobre et jusqu’à aujourd’hui, nous avons assisté à un effort concerté de cyber-attaques, dont certaines sont directement liées ou attribuées à des États ennemis et à des organisations terroristes, pour mener des « attaques de perception sous la forme de publication de fuites », explique Haim Wismonsky, directeur de l’unité cybernétique du bureau du procureur de l’État israélien, qui fait partie du ministère de la justice et qui est l’organisme chargé de déposer les demandes effectives auprès des entreprises technologiques.
« La publication de ces fuites a pour but de faire peur, d’inspirer la panique au public et de donner le sentiment que nous sommes exposés et pénétrables, mais elle vise également à causer des dommages économiques, voire à mettre en danger la vie des personnes dont les données personnelles sont incluses dans ces fuites », a expliqué M. Wismonsky à Haaretz.
Cette politique et la manière dont elle est mise en œuvre font d’Israël un cas unique. De nombreux pays, dont les États-Unis, prennent généralement des mesures pénales ou juridiques à l’encontre des auteurs de fuites, qu’ils soient étrangers ou locaux, mais s’accommodent de l’existence de la fuite en ligne. Israël, en revanche, utilise les règles internes des entreprises technologiques pour les inciter à retirer les produits piratés en son nom – et empêcher ainsi les données divulguées d’atteindre le public ou les journalistes, tant en Israël qu’à l’étranger.
Les plateformes, même celles qui sont considérées comme hostiles aux demandes des gouvernements, comme Telegram, ont mis en place des règles destinées à les défendre contre les ramifications juridiques de la conduite de leurs utilisateurs. Il peut s’agir de demandes de retrait pour violation des droits d’auteur ou de plaintes pour diffamation.
Les documents piratés entrent dans la catégorie générale des biens volés, de sorte que les politiques mises en place pour empêcher la diffusion de fichiers permettant de télécharger illégalement des films ou des séries télévisées peuvent également être utilisées pour retirer des documents piratés, volés sur des serveurs israéliens sans le consentement de l’utilisateur.
Ces derniers mois, par exemple, des demandes israéliennes signalant des violations des conditions d’utilisation de Telegram ont conduit à au moins dix suppressions d’utilisateurs et de canaux de groupes de pirates. Souvent, ce sont les mêmes groupes de pirates qui, sans se laisser décourager, ont ouvert un nouveau canal et posté de nouveaux liens vers les mêmes fuites.
Depuis le début de la guerre, Telegram s’est révélé être un défi de taille pour Israël. Alors que de nombreuses entreprises technologiques ont rationalisé les mécanismes par lesquels les États peuvent les contacter, Telegram est considéré comme le moins coopératif de tous.
Qui plus est, alors que de nombreuses plateformes de médias sociaux ont investi massivement dans la modération, permettant aux personnes et aux organisations d’aider à surveiller le contenu – par exemple, le retrait de contenu antisémite ou de messages incitant au terrorisme ou même le retrait de vidéos du massacre du 7 octobre – Telegram ne l’a pas fait. Les États et les utilisateurs disposent d’une adresse électronique unique à laquelle ils peuvent envoyer leurs griefs.
Telegram est apparu au début de la guerre comme une plateforme clé utilisée par le Hamas dans sa guerre de l’information contre Israël, une plateforme qu’Israël n’a pas été en mesure de traiter correctement, faute de capacités de surveillance et de compréhension de la plateforme. Préoccupés par la vague de contenus pro-Hamas, qui comprenait des vidéos de l’attaque elle-même ainsi qu’un flux constant de matériel de propagande, des Israéliens du secteur des hautes technologies ont tenté, à la fin de l’année 2023, de contacter le fondateur de Telegram, Pavel Durov.
Bien qu’ils aient réussi à contacter Durov, qui vit aux Émirats arabes unis, celui-ci s’est montré peu réceptif à ces demandes privées d’amélioration de la modération sur la plateforme. Bien que quelques pages liées directement à l’aile militaire du Hamas aient été bloquées localement par la suite, l’initiative privée n’a pas réussi à convaincre le fondateur de l’application. Des sources expliquent que Google ou Meta retireront une page s’il s’avère qu’elle est directement liée au Hamas et qu’Amazon supprimera un site web pour avoir hébergé du matériel terroriste.
Sur Telegram, le contenu ne peut pas être supprimé avec de tels arguments. Seules les marchandises manifestement volées seront retirées, ce qui fait des réclamations de contenu la seule voie efficace pour les autorités juridiques israéliennes. Les données parlent d’elles-mêmes : Selon les chiffres officiels fournis par Israël, le ministère de la justice a envoyé à Facebook plus de 40 000 demandes de retrait de « contenu illégal » qui ont été acceptées. Il ne s’agit pas de messages pro- ou anti-israéliens, mais de contenus illégaux au regard des normes occidentales. Même TikTok a retiré plus de 20 000 messages signalés par Israël. Sur Telegram, ce nombre est légèrement supérieur à 1 300.
Les juifs veulent faire main basse sur Telegram.
Si Durov veut pouvoir à nouveau faire le tour du monde avec des prostituées slaves, il va devoir donner aux juifs ce qu’ils veulent.
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carbone14 · 10 months
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Char B1 Bis Bearn II 401 du 37e Bataillon de Chars de Combat de la 1ère Division cuirassée saboté par son propre équipage par manque de carburant - Bataille de Flavion – Bataille de Belgique – Beaumont – Belgique – Mai 1940
Photographe : Heinz Fremke
©Bundesarchiv - Bild 101I-125-0277-09
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Après la bataille de Flavion opposant les unités blindées françaises et allemandes dans le secteur de Charleroi en Belgique le 15 mai 1940, la 1ère Division cuirassée est contrainte au repli sur Beaumont. Le lendemain, 16 mai, la division tente de défendre Beaumont avant de céder le terrain. La dernière compagnie du 37e Bataillon de chars de combat à court de carburant, les équipages n'ont pas d'autre choix que de saborder leurs B1 bis avant la retraite. Le char B1 bis BEARN II 401, char du chef de bataillon, le Commandant Jean-Marie Courtot de Cissey, est sabordé rue Madame. A ses côtés, le MEUSE sera déplacé par les Allemands pour libérer le passage.
Equipage du char B1 bis BEARN II 401
Chef de char : Commandant Jean-Marie Courtot de Cissey
Pilote : Sergent Bonnat
Radios : Adjudant René Morlot et sergent Hubert Chabod
Aide-pilotes : Caporal René Lequeux et chasseur Bischoff
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dooareyastudy · 4 months
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Help ! C'est quoi les différences majeures entre PCF et France insoumise pour les européennes ? et que pensez vous d'Olivier Terrien ?
En me basant uniquement sur la propagande électorale (merci de m'avoir forcé à la lire, pour une fois), le programme du PCF pour les européennes me semble plus souverainiste que celui de LFI.
Le PCF propose notamment de relocaliser des industries en France et de sortir du marché européen de l'électricité (par contre, ils sont pour un fonds européen en faveur des services publics : l'Union européenne à la carte un peu...).
Avec la proposition de relocalisation (dont j'ai du mal à saisir l'intérêt dans le cadre d'un programme aux européennes, mais bon), on trouve aussi quelques autres propositions plutôt "productivistes", notamment celle de "lancer de grands travaux pour le climat", éléments qu'on ne retrouve pas (explicitement du moins) dans le programme LFI (il faudrait voir ce qu'impliquent pour eux la sortie des accords de libre échange toutefois).
On trouve forcément des préoccupations communes dans le programme LFI, notamment sur les prix de l'énergie (la solution ? "mettre au pas les multinationales" : pas hyper parlant pour moi j'avoue) et la protection de "notre" industrie (française ? européenne ?). Cette dernière passerait cette fois-ci par une sortie des accords de libre échange mais on ne retrouve pas la proposition de relocalisation. Même chose pour les services publics : il s'agit de les défendre mais LFI propose plutôt d'abroger les "règles d'austérité" qu'un fond pour les financer. Sur ces quelques points, c'est plutôt des différences de méthode qu'on peut relever.
On peut relever quelques différences un peu plus marquantes. D'abord sur l'écologie : le PCF propose de réduire la TVA sur l'essence (certes au titre des mesures pour le pouvoir d'achat) et un mix énergétique nucléaire / renouvelables ; LFI défend le tout renouvelable (on ne sait pas trop ce que ça inclut : l'énergie domestique, mais les transports aussi etc. ? aucune idée).
Une autre différence sur le "volet social" : le PCF propose des augmentations de salaire et des retraites (mais encore une fois, je peine à voir le lien avec les compétences de l'UE) là où LFI n'a pas vraiment de propositions "sociales", à part celle d'une allocation destinée aux jeunes.
Une autre différence : le PCF propose la reconnaissance de la Palestine comme Etat en outre du cessez-le-feu, là où LFI s'en tient au cessez-le-feu.
Après, les mesures proposées restent extrêmement vagues, voire parfois en décalage avec les compétences de l'Union européenne (OK pour taxer les super-profits, LFI mais avec quelle compétence fiscale de l'UE au juste ? Il me semble qu'elle est particulièrement restreinte, mais bon je ne suis pas spécialiste de la question) donc j'ai du mal à me faire un avis net sur la "qualité" de ces deux programmes. Et puis, il m'en reste un bon petit paquet à lire...
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nobaraisalive · 8 months
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En Argentine, la démocratie et les droits fondamentaux en péril ! Solidarité avec les travailleuses et travailleurs et les syndicats du pays !
Javier Milei, entré en fonction le 10 décembre 2023, déroule déjà sa politique populiste d’extrême-droite, faisant peser de lourds dangers sur la démocratie et sur les droits fondamentaux des citoyens en Argentine, à commencer par ceux des travailleuses et des travailleurs.
Fin décembre, le président Argentin a présenté le Décret de Nécessité d’Urgence (DNU) et la Loi Omnibus, qui s’attaquent à plus de 300 dispositions touchant aux bases des droits individuels et collectifs. Ces mesures remettent en cause les fondements démocratiques du pays, rompant avec la séparation des pouvoirs et violant la Constitution argentine. Ce décret vise également le démantèlement des services publics et de la protection sociale, avec le licenciement de milliers de fonctionnaires argentins déjà à l’œuvre, en instaurant une austérité dévastatrice pour le modèle social argentin et les droits et intérêts des travailleuses et travailleurs en Argentine.
Parallèlement, ce même gouvernement a rapidement publié un protocole, ayant pour objectif la criminalisation de la contestation sociale, en permettant notamment un usage indiscriminé du recours à la répression d’État contre toutes les formes de lutte, en particulier celles des travailleuses et des travailleurs.
Les travailleuses et travailleurs sont de fait en première ligne face à ces réformes, citons entre-autres : la volonté d’éliminer la justice du travail, la remise en cause de la liberté syndicale et d’adhérer ou non à un syndicat, le renforcement des prérogatives des employeurs pour réprimer l’activité syndicale au quotidien, la mise en place d’une période d’essai de 10 mois, l’élimination en pratique du droit de grève et la suppression du droit à l’indemnisation pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.
En outre, ces batteries de mesure incluent le démantèlement des normes environnementales et l’abandon de la souveraineté, sur les richesses naturelles et les terres du pays aux desiderata des capitaux internationaux.
La politique de Milei témoigne de la nature profonde de l’extrême-droite, un danger mortel pour le monde du travail, pour les services publics et pour l’environnement, et un mépris des principes démocratiques les plus élémentaires.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires expriment leur plus vive inquiétude face à cette offensive contre les acquis de plusieurs décennies de luttes sociales et syndicales en Argentine.
Nous adressons toute notre solidarité aux travailleuses et travailleurs d’Argentine, et notamment aux confédérations syndicales CGT-RA, CTA-T et CTA-A. Nous les soutenons inconditionnellement dans le processus de lutte qu’elles ont engagés pour faire face aux politiques mortifères de Milei et son gouvernement.
En particulier, nous sommes solidaires de l’appel à la grève nationale du 24 janvier initié par les trois centrales syndicales du pays. Elles réclament le respect du fonctionnement démocratique du pays et de sa Constitution ainsi que le retrait de ces lois bafouant un nombre incalculable de droits fondamentaux, à commencer par les conventions de l’OIT que le pays a ratifiées.
Nos organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU, UNSA et Solidaires appellent à se rassembler le mercredi 24 janvier à 18h00 devant l’ambassade d’Argentine pour témoigner de notre solidarité avec les travailleuses et travailleurs, et les syndicats, en lutte pour défendre leurs droits et la démocratie.
Rassemblement de solidarité devant l’ambassade d’Argentine le 24 janvier à 18h00 à l’angle de la rue Cimarosa et de l’avenue Kleber, 75016, Paris. Metro 6 : Boissière
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mirrorontheworld · 8 months
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Un collectif d’organisations et d’associations dont les Amis de la Terre, Greenpeace, Extinction Rébellion affichent leur soutien aux manifestants et annoncent les rejoindre.
Nous nous adressons à tous les agriculteurs et agricultrices ayant manifesté leur colère ces derniers jours, mais aussi à toutes celles et ceux qui hésiteraient encore à les rejoindre. Nous, organisations écologistes, paysannes et militantes pour un autre modèle agricole depuis des décennies partageons cette colère, et refusons le discours dominant qui voudrait faire de nous vos ennemis.
Nous sommes en colère parce que nous savons que la destruction des conditions de vie des paysan.ne.s comme la destruction des écosystèmes profitent aux mêmes personnes, et que ce ne sont ni vous ni nous.
Depuis les tout débuts des mouvements écologistes, nous nous sommes toujours mobilisés avec détermination sur la question du modèle agricole et des conditions de travail et de vie des agriculteurs. Parce que nous savons l’importance considérable de l’agriculture sur l’environnement : ainsi la qualité de la terre, de l’air, de l’eau, de ce que nous mangeons, et bien sûr le climat, dépendent de ce que nous cultivons et élevons et de la manière dont nous le faisons.
Nous avons lutté contre les traités de libre-échange, pour la souveraineté alimentaire et pour que chaque pays – et chaque paysan.ne – puisse vivre de son agriculture et la faire vivre plutôt que de la soumettre à la concurrence internationale. Nous avons manifesté main dans la main avec les agriculteurs contre la grande braderie du monde paysan à la finance, contre le Tafta (avec les Etats-Unis), le Ceta (avec le Canada), le Mercosur (avec l’Amérique latine), maintenant les traités de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande, le Chili et le Kenya soutenus par Emmanuel Macron.
Le principe d’une sécurité sociale de l’alimentation
Nous avons en tant que consommateurs et militant.e.s soutenu l’agriculture paysanne, créé et promu les Amaps, les circuits courts, l’agriculture bio, nous avons mis la main à la pâte jusqu’à mettre de l’épargne au service de nouvelles installations. Nous appelons depuis longtemps à ce qu’il y ait au moins un million de paysan.ne.s en France, et nous savons l’urgence qu’il y a à trouver des repreneurs, car dans moins de dix ans maintenant la moitié des agriculteurs du pays partira à la retraite. Et même si c’est loin d’être assez, ce sont déjà des milliers de militant.e.s écologistes qui ont entrepris des reconversions en agriculture pour s’y mettre concrètement.
C’est encore pour cela que nous sommes nombreuses et nombreux à défendre désormais le principe d’une sécurité sociale de l’alimentation, un système de solidarité entre consommateurs et producteurs qui permette à ces derniers de vivre décemment de leur travail et de reprendre la main sur notre alimentation.
Dans le domaine de l’agriculture comme dans d’autres, nous discernons bien aussi toute l’ambiguïté des normes. Certaines peuvent bel et bien protéger la santé des travailleurs, la fertilité des terres, les ressources en eau… Mais sous des prétextes vertueux, elles sont parfois aussi conçues pour impliquer des contraintes techniques, pratiques et une aseptisation du métier telles qu’elles vont dans le sens de la disparition des petites fermes au profit de ceux qui peuvent s’industrialiser et s’endetter plus encore. Il n’y a pas lieu de s’attaquer sans discrimination aux normes environnementales mais de les financer de manière à maintenir les revenus et d’en rendre l’application compatible avec la pratique paysanne.
Alors nous sommes nombreux à avoir soutenu et proposé sans succès une autre PAC, qui aide réellement aux reconversions et pour ne pas vous abandonner face à des normes environnementales imposées sans aucune contrepartie derrière pour les appliquer concrètement et de manière juste.
Même et surtout quand nous nous battons contre des projets agricoles, contre des mégabassines, ou des élevages industriels aux proportions absurdes : nous le faisons systématiquement avec des agriculteurs, et pour le monde paysan. Parce qu’il est injuste et hypocrite que quelques agriculteurs s’accaparent l’eau au détriment de ceux qui cherchent à produire autrement. Parce que les fermes-usines contre lesquelles nous nous battons détruisent de l’emploi paysan et mettent une pression déloyale sur les petits éleveurs qui sont contraints de s’aligner ou de mettre la clé sous la porte. Et tout ça au bénéfice de grands groupes qui les poussent à des élevages toujours plus grands pour leur racheter leurs produits à des prix dérisoires – c’est par exemple la stratégie du groupe Duc révélée par une enquête.
L’échec et le drame d’un modèle productiviste
Stopper ces projets, c’est défendre un modèle agricole qui protège le vivant mais surtout qui permet au reste du monde paysan de vivre dignement d’un travail de qualité.
Car, qui est à l’origine de la chute du nombre de paysan.ne.s à moins de 500 000 en France ? A l’origine des suicides d’agriculteurs chaque jour, des montagnes de dettes ? A l’origine des obligations de rendements toujours plus importantes, de la concentration toujours plus forte des terres dans les mains de quelques-uns, des prix toujours plus bas de ce que vous produisez ? Les prix agricoles ont baissé de 10 % en moyenne rien que l’année écoulée, tandis que l’inflation bondissait et les bénéfices des grands groupes agro-industriels et de la grande distribution également.
Cet échec et ce drame, ce sont ceux d’un modèle productiviste, poussé par la grande distribution et des gouvernements successifs depuis des décennies, contre lesquels nous alertons depuis tout ce temps.
Le modèle agricole que nous défendons se bat précisément contre les causes de ces drames. Mais aussi contre l’autoritarisme qui s’offre comme une solution, alors qu’en excluant plus qu’en rassemblant, jamais l’extrême droite n’a été du côté des travailleurs.
Depuis toujours, nous sommes les alliés des paysans. Et contrairement à ce que racontent la propagande du gouvernement ou les discours autoritaires qui attisent la haine entre nous pour mieux s’engraisser sur nos vies : nous continuerons à être vos alliés, parce que c’est une question de survie.
Alors c’est en tant qu’alliés que nous appelons à vous rejoindre dans vos actions les jours qui viennent pour porter ce message, et pour défendre le monde paysan.
Nous serons là avec différents points fixes pour discuter avec tous les agriculteurs qui le veulent, et ensemble rappeler que les véritables responsables de la crise que vit la profession ne sont ni les consommateurs ni les écolos – mais bien la lâcheté des gouvernements successifs, la grande distribution et l’agro-business qui s’engraissent pendant que tant d’entre vous se tuent à la tâche.
Nous refusons de laisser des industriels possédant des milliers d’hectares, le gouvernement ou encore les éditorialistes de CNews bien au chaud dans leurs bureaux parisiens nous traiter comme la cause de la crise que subit le monde paysan depuis si longtemps.
Nous préférons construire ensemble un modèle qui profite aux agriculteurs, aux consommateurs et à la vie, comme il aurait toujours dû l’être. Et nous serons ensemble dans la rue pour en discuter et manifester, car oui, il est bien possible d’être militant à la fois pour l’environnement et pour l’agriculture de demain.
Premiers signataires : Alix Brun pour les Youth for Climate, Jean-François Deleume, porte-parole Alerte des médecins sur les pesticides, Cyril Dion, réalisateur et écrivain, Simon Duteil et Murielle Guilbert, co-porte-paroles de l’Union syndicale Solidaires, Khaled Gaiji, président des Amis de la Terre, Antoine Gatet, président de France Nature Environnement, Hanzo pour Extinction Rebellion, Axel Lopez pour la coalition Résistance aux fermes-usines, Gilbert Mitterrand, président de la Fondation Danielle-Mitterrand, Lotta Nouki, porte-parole des Soulèvements de la Terre, Sandy Olivar Calvo, chargée de campagne Agriculture et Alimentation chez Greenpeace France, Alessandro Pignocchi, auteur de bandes dessinées, Priscille de Poncins, secrétaire de Chrétiens unis pour la Terre, Jérémie Suissa, délégué général de Notre affaire à tous, Emma Tosini, porte-parole de Alternatiba, Victor Vauquois, co-coordinateur de Terres de luttes…
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Un cri de cœur 70 ans, 85 ans ce n'est pas marrant, mais c'est encore pire si vous en avez un peu plus ! C'est tout à fait ça on ne peut rien dire, on ne peut rien faire, sans risquer de se faire rabrouer. Ne dites jamais que vous vous sentez fatigué, on vous répondra : c'est normal à votre âge. Ne dites pas davantage que vous vous sentez en forme, on ne vous croirait pas, on dirait que vous plastronnez, que vous bluffez, que vous vous vantez. Si vous ne faites rien, on dira : il faut vous occuper, sinon vous allez vous encroûter ! Si vous envisagez d'entreprendre un travail qui vous plaît, mais qui est un peu risqué, on dira, laissez donc, ce n'est plus de votre âge. Remarque gentille qui part d'un bon fond, mais personne ne vous proposera de venir le faire à votre place. Ce n'est vraiment pas marrant, assurément, d'avoir 70 ans ou plus, on doit tout supporter, sans rien dire : Les petits-enfants qui braillent et qui cassent tout : c'est la jeunesse qui vit. Les beuglantes et les transistors des adultes : c'est de leur âge, il faut bien qu'ils se défoulent ! N'insinuez pas que de votre temps on se défoulait aussi mais autrement ! on vous fusillerait du regard. Les idioties, les séries et les navets de la télé : il en faut pour tous les goûts les vôtres étant exclus, bien entendu, car vous êtes complètement dépassés. Ce n'est pas marrant, assurément, d'avoir 70 ans. Ne discutez jamais avec un automobiliste, même s'il vous fait la pire des entourloupettes. Il vous dira : à votre âge, on reste chez soi où on va à pied. Si à un stop, vous tardez à démarrer, votre jeune voisin, assez pressé, vous lancera : "Alors Pépé, on fait la sieste » ? (ce n'est pas méchant, mais c'est vexant). Ce n'est pas marrant, assurément, d'avoir 70 ans. Là où vous êtes encore reçu, on vous réserve toujours le fauteuil le plus moelleux : « Mettez-vous là, vous serez bien mieux », comme si à 70 ans, on ne pouvait plus poser son cul sur le siège de tout le monde. Si quelqu'un apprend que vous avez 70 ans, il va se précipiter vers vous : « vous avez déjà 70 ans, vous ne les paraissez pas, vous les portez bien » c'est flatteur mais qu'en sait-il ? Si vous annoncez le décès d'un ami qui , comme vous, a 70 ans, on entendra c'est quand même un bel âge, il a bien vécu vous êtes prévenu, vous connaissez votre oraison funèbre. Avant de raconter une histoire, cherchez à vous rappeler si vous ne l'avez pas déjà racontée à plusieurs occasions. Sinon quelqu'un vous dira mais Pépé, on la connaît cette histoire, tu nous l'avais déjà racontée et l'un se permettra même d'ajouter Pépé tu commences à radoter. En société, qu'il y ait eu apéros ou pas, parlez le moins possible, fermez votre gueule, évitez toute discussion, ne cherchez pas à exprimer votre point de vue et encore moins à le défendre, car, bien entendu, c'est certain, vous n'êtes plus dans le coup, et vous n'y connaissez plus rien. Ne dites pas non plus que vous rentrez dans votre 10ème-15ème année de retraite, il se trouvera toujours quelqu'un pour dire, vous coûtez cher à l'Etat. Assurément, ce n'est pas marrant d'avoir 70 ans et plus.
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alain-keler · 10 months
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Les israéliens évacuent les colonies de Gush Katif, au sud de la bande de Gaza. Je reprends un extrait de mon journal.
Jeudi 18 août 2005. 
Les opérations reprennent. Toujours suivant le même principe de quadrillage quartier par quartier. Il reste un gros morceau, c’est la synagogue, point focalisateur car hautement symbolique. Beaucoup de monde s’y est réfugié. Les soldats s’installent autour de ce bâtiment imposant. Ils s’allongent sur l’herbe où ils passeront la majeure partie de la journée. Un soldat faisant partie de l’opération retrouve sa sœur qui fait partie des jeunes restés à l’intérieur de la synagogue. Ils s’étreignent longuement en pleurant. Personne ne tente de les séparer.
Il y a maintenant des quartiers entiers vidés de leurs habitants. Sur les terrasses, des tables sur lesquelles on a laissé des objets, des bouteilles entourées de verres, des assiettes à moitié remplies, des affaires restées pèle mêle. Des vêtements accrochés à des porte linge attendent leurs propriétaires, des jouets par terre attendent les enfants qui hier encore s’amusaient là.
C’est comme si une catastrophe était arrivée et les habitants avaient été happés par quelque chose de mystérieux, d’incontrôlable.
Les protagonistes ont été happés par l’histoire, et contre cela on ne peut rien. Je photographie cet événement 23 ans après Yamit, la dernière colonie évacuée avant le retrait israélien du Sinaï. L’histoire se répète, l’histoire se répètera.
À Yamit, j’étais 23 ans plus jeune, plus insouciant. J’aimais voyager, courir le monde et les évènements importants, mais rien n’était inscrit dans mon travail d’une manière réfléchie et conséquente. Je venais, je restais, je partais. En Israël, je venais plus souvent. Il y avait Jennifer. De temps en temps, elle m’accompagnait à Yamit. Je crois que l’on s’aimait et l’on ne se posait pas beaucoup de questions. Je les ai gardé pour plus tard, de manière à m’occuper pendant mes vieux jours.
Attente pour l’évacuation de la synagogue. Je me balade dans le quartier. L’armée entoure une belle maison, comme beaucoup de maisons de Newe Dequalim. Une femme hurle en s’accrochant à ses haies. Derrière, son mari est assis, comme groggy, entouré de quelques proches. Derrière eux, un jeune couple se serre très fort, comme dépassés par la scène se déroulant devant eux.
Incident grave au premier étage avec une photographe. On nous a demandé de monter avec les propriétaires, par respect pour eux.
Il y a eu beaucoup de cris et de pleurs aujourd’hui, certaines personnes ayant vécu ici près de 30 ans. Ce sont les pieds-noirs d’Israël. Ils se croyaient protégés par des gouvernements qui avaient initié cette colonisation. Mais au delà de la politique, il y a aussi un drame humain, qu’on le veuille ou non.
Il y a aussi ceux qui mettent des étoiles jaunes sur leurs poitrines. C’est choquant. Ceux dans ma famille qui les ont portées pendant la guerre ne sont jamais revenus de leur voyage au bout de la nuit. Eux ne périront pas dans les chambres à gaz.
L’évacuation de la synagogue commence vers 15.00 heures. L’armée et la police réussiront un quasi sans faute. Mais au fond de moi-même, je suis gêné. Il y a parmi ceux qui occupent la synagogue beaucoup de fanatiques qui envoient au monde une image d’Israël catastrophique. C’est ce message qui est transmit. Le danger pour Israël vient de là. 
Ces gens-là sont minoritaires mais donnent d’Israël le  visage d’un pays réactionnaire et raciste.
Il n’y a pas beaucoup de différence entre ces fanatiques barbus et ceux de l’autre côté. A Gaza, le Hamas possède beaucoup d’armes et les utilise contre les civils israéliens. En Cisjordanie, de nombreux colons sont aussi armés (officiellement pour se défendre), et certains d’entre eux n’hésitent pas utiliser leurs armes contre les palestiniens. Il suffit de lire dans la presse israélienne les comptes-rendus de ces exactions pour se faire une idée.
Depuis la guerre de 1967 et l’occupation des territoires palestiniens, un travail de sape interne a été effectué dans la société israélienne.  L’armée, dont la raison d’être est de défendre légitimement le pays est devenue une force d’occupation agressive et brutale. Ce n’est pas son rôle. 
Je suis aussi juif qu’eux, mais j’essaie de transmettre un autre message, celui qui m’a été transmis par ma mère, celui de la tolérance. C’est pour les mêmes raisons que je n’admets pas que l’on dise et que l’on ne voit que le côté négatif de ce pays. Et c’est souvent le cas dans les soirées françaises.
À côté, une maison brûle. Un homme s’écrie en français qu’il y a tout juste 1960 ans que le deuxième temple a été incendié,et que cela marqua la fin du royaume juif et le début de l’exode et de l’errance. Des hommes en costumes rayés de déportés prient en direction de la scène de l’incendie. Piètre et machiavélique mise en scène de l’histoire juive, de mon histoire.
L’évacuation de la synagogue ne me touche pas. Trop d’égards ont été mis envers ces gens-là. Par contre, certaines scènes de familles quittant leurs maisons étaient très touchantes, comme ce grand père vêtu de son châle de prière et entouré de ses enfants et petits enfants pleurant. J’écarte le côté théâtral au profit d’une perte sincère de quelque chose qui pour eux était importante, et que je peux essayer de comprendre. 
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developator · 2 years
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Quand, depuis le réseau et sans manif à rejoindre pour défendre les retraites, je me force quand même à lire le communiqué sur le départ du cortège
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ortie-pnk · 2 years
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Pour défendre leur réforme des retraites, le gouvernement et le patronat visent à faire oublier l’essentiel : c’est bien nous, travailleurs et travailleuses, qui produisons les richesses et faisons tourner la société. Cette attaque est une nouvelle offensive de la bourgeoisie pour condamner l’ensemble du salariat à une exploitation toujours plus longue et insupportable. Revenons en détail sur leurs arguments mensongers, qu’on nous sert en boucle dans les médias…
Une réforme nécessaire ?
D’après le ministre du Travail, notre système de retraite serait en déficit. ❌ FAUX !
Ce n’est pas la justification de la réforme. En 2021 il était même excédentaire de 900 millions d’€ et ce montant dépasserait les 3 milliards pour 2022. Le Conseil d’orientation des retraites (COR) projette un passage en déficit sur les 25 prochaines années seulement dans 1 scénario sur 4, et avec un retour à l’équilibre pour 2070.
D’après le gouvernement, il faut augmenter la durée de travail pour ne pas baisser les pensions. ❌ FAUX !
La baisse du financement voulue par le gouvernement crée un déficit artificiel. On pourrait au contraire améliorer le financement par l’augmentation des cotisations sur les gros salaires, la cotisation des revenus de l’épargne et du capital, la réduction de l’écart salarial H/F en augmentant les salaires des femmes, la création d’un salaire étudiant, etc. Les alternatives ne manquent pas !
Une réforme urgente ?
D’après le gouvernement, la réforme est une urgence absolue. ❌ FAUX !
Ou alors, seulement pour les capitalistes ! La vraie raison pourrait vous étonner  : Macron lui-même explique que le véritable objectif du gouvement avec cette réforme est de « compenser les baisses d’impôts aux entreprises »…
Le MEDEF répète que nos voisins européens ont tous déjà reculé l’âge de départ, qu’il faut bien s’aligner. ❌ FAUX !
L’âge de départ en France est certes dans la moyenne basse, mais l’âge de départ sans décote, à 67 ans, que subissent les plus fragiles (carrières hachées, etc.) est déjà au niveau des plus élevés d’Europe. Et les retraité·es de ces pays sont encore plus dans la misère.
Une réforme juste ?
La Première ministre dit que la réforme est avantageuse pour les femmes. ❌ FAUX !
En augmentant la durée de cotisation requise, on aggrave la situation pour les femmes. Elle invoque comme raison le maintien de l’âge de départ sans décote à 67 ans, mais la réalité c’est que les pensions des femmes sont toujours 33% inférieures à celles des hommes et la réforme de fait rien pour corriger ça.
Le gouvernement prétend que la réforme avantage les précaires avec un minimum retraite à 1200€ / mois. ❌ FAUX !
La réforme n’apporte rien de positif pour les plus précaires. Ce montant correspond à 85% du SMIC, ce qui est déjà une obligation depuis la réforme de 2003, mais n’a jamais été appliquée ! Par ailleurs, comme le rappellent les organisations syndicales, ce minimum ne concerne que les carrières complètes, et reste en dessous d’un SMIC déjà trop bas.
Une réforme évidente ?
On nous le répète sans arrêt : « comme on vit plus longtemps, il faut travailler plus longtemps ». ❌ FAUX !
Et si on vit plus vieux, c’est justement parce qu’on travaillait moins longtemps ! Sauf que déjà, ça dépend de qui ! L’espérance de vie en bonne santé n’est absolument pas la même pour les cadres et les ouvriers. Un tiers des ouvriers et un quart des employés sont déjà en incapacité à l’âge de la retraite.
La Première ministre affirme que décaler l’âge de départ augmenterait le taux d’emploi des séniors. ❌ FAUX !
C’est en fait surtout une augmentation nette de la précarité ! En pratique, ça augmente encore plus le nombre de séniors au chômage, en invalidité, en maladie longue durée… en particulier chez les catégories les plus populaires, ouvrières et ouvriers.
La retraite ne doit pas être l’antichambre de la mort après une vie consacrée au travail. N’acceptons plus de travailler toujours plus pour les profits de quelques uns. Reprenons le contrôle sur nos vies et notre travail pour que celui-ci devienne émancipateur et utile socialement. Luttons, virons les exploiteurs, et autogérons toute la société !
https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Ne-perdons-pas-notre-vie-a-la-gagner
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𝐡 𝐞 𝐫 𝐬 𝐭 𝐨 𝐫 𝐲 ;
Hana est le joyau de la famille Cheong. Cadeau inespéré de la vie des deux adultes déjà bien âgés quand ils se voient offrir le plaisir de la parentalité, ils se donnent, entièrement, à leur fille. Parce qu’ils savent, dans le fond, qu’ils n’auront pas Hana pour bien longtemps. Ils l’ont attendue, pendant si longtemps, leur petite fleur. Mais peu importe à quel point ils la chérissent, l’enfant reste furieusement introvertie. Elle est très réservée, et ça ne s’arrange pas quand elle entre à l’école. La petite Hana n’est pas loquace, et c’est pour cette raison qu’elle se fait systématiquement marcher sur les pieds par la terre entière. C’est inacceptable, aux yeux de ses parents. Hana a huit ans, les larmes aux yeux, alors que ses parents se tiennent à ses côtés, devant son institutrice, qui manifeste son inquiétude de voir leur fleur bousculée par ses camarades de classe. Son père ne peut pas apprendre aux autres enfants à être plus délicats. Mais il peut apprendre à Hana à se défendre. Mais ça ne dure qu’un temps. Sa mère, depuis longtemps déjà, cultive l’envie d’exporter sa galerie d’art au Japon, pays dont elle rêve de toute façon pour sa retraite. Il n’y a qu’une seule personne que le père d’Hana aime plus que la petite, et c’est bien sa femme. Alors, quand elle a douze ans, Hana et ses parents déménagent au Japon, s’installent dans l’immense capitale. Désormais expatriés, c’est presque immédiatement qu’Hana se renferme dans sa carapace. Les autres élèves japonais ne sont pas spécialement agréables avec la petite coréenne qui ne parle quasiment pas la langue, et ils se moquent régulièrement d’elle. 
Et puis, l’incident. Des filles de sa classe lui cherchent des problèmes - ce qui devait être une scène habituelle d’humiliation tourne au vinaigre quand une des filles commence à lui tirer les cheveux. Parce que pour la première fois, Hana réplique. Elle ne sait pas comment est partie la gifle, en est la première surprise, mais ça réveille quelque chose chez elle. Hana a le droit au respect, et elle a le droit de se battre pour récupérer la dignité qui lui est dûe. C’est un alors un sacré virage qui s’opère.
Avec l’apprentissage déraisonné de ses parents qui veulent la voir s’épanouir, et sa nouvelle confiance en elle, Hana change plus ou moins radicalement. Loin de l’adolescente renfermée qu’elle avait pu être, elle devient une petite insolente, qui n’a plus tellement peur de quoique ce soit, ou bien de rendre les coups qu’on peut vouloir lui donner. Évidemment, cette nouvelle attitude lui vaudra des remontrances de la part de ses professeurs à l’école, mais Hana justifie chacun de ses actes : personne ne lui manquera de respect, son insolence est pour le bien public. Elle a trop subi, trop souffert, et elle refuse de retourner à ce statut de victime. Alors peut-être qu’elle est surveillée par les enseignants, mais ça lui permet tout de même de quitter le radar de ceux qui la harcelaient auparavant, parce qu’enfin, elle se défend.
Laissée en paix, loin des regards inquisiteurs, Hana termine ses années de lycée sereine, et se laisse la chance de mûrir pour devenir la femme qu’elle est aujourd’hui. A sa majorité, Hana est cette femme pleine de conviction, qui travaille d’arrache-pied, pour pouvoir s’offrir un avenir confortable à elle, mais aussi à ses parents, désormais à la retraite. Mais la retraite n’est pas faite pour ses parents et Hana aurait dû le voir venir. Elle a dix-neuf ans, quand sa mère les quitte en premier, et dévasté par le chagrin d’avoir perdu l’amour de sa vie, c’est son père, six mois plus tard, qui décède à son tour.
Seule personne restante de sa famille, Hana n’a plus qu’elle-même sur qui compter. Elle vit toujours à Tokyo, où elle a rejoint une faculté d’histoire. Depuis petite, Hana est fascinée par le métier d’antiquaire de son père, et il lui apparaît que c’est un hommage digne d’espérer pouvoir suivre ses traces. Et sa vie, elle la continue autant que faire se peut. Sa vie sociale ne s’étend pas particulièrement, parce que la jeune femme est trop préoccupée par son avenir pour chercher à avoir des relations stables dans sa vie. Et puis, comme de nombreux Tokyoïtes, Hana se trouve dans le quartier de Shibuya, quand la pluie de météores frappe. Mais elle ne sait pas, Hana, que c’est une pluie de météores. Pour elle, c’est juste le calme intense, avant de découvrir l’univers horrifique de Borderland. Hana est terrifiée par les jeux de la mort, mais sa détermination naturelle l’empêche de s’effondrer entièrement, et de chercher, à tout prix, de survivre. Il lui faudra trois jeux avant de rejoindre la Plage, dont elle avait entendu parler par les autres joueurs.
Mais la Plage, finalement, c’est le plus terrible des cauchemars, parce que sa survie ne tient qu’à son aptitude à ramener des cartes. Elle n’a pas la meilleure des attitudes avec les activistes - dieu sait qu’elle n’a pas sa langue dans sa poche, la brune, générant systématiquement des conflits avec Niragi, qui rêve d’obtenir la tête d’Hana sur une pique. Qu’à cela ne tienne, elle rêve d’en faire autant. A la Plage, Hana est généralement froide - hormis avec Kuina et An, on ne la voit pas discuter avec les autres. Alors forcément, ça lui traîne une réputation de calculatrice hors-pair, entre autres, parce qu’elle est extrêmement secrète sur les jeux qu’elle peut gagner, et elle refuse de dévoiler ses atouts.
Son vrai problème, ce sont surtout les jeux de pique qui lui posent problème, et c’est pour cette raison qu’Hana commet l’impensable : elle s’allie à un activiste, Nao. Nao son allié, et puis Nao son sauveur.  C’est le cinq de pique qui signe leur alliance - et le jeu suivant signe leur relation. Dans un monde aussi dramatique que Borderland, où tout s’accélère, il ne faut pas longtemps à la jeune femme pour développer des sentiments pour Nao. Ces derniers sont réciproques, évidemment, mais ça n’est pas tellement possible de s’afficher, compte tenu de la cible qu’elle a dans le dos. Le jeu de la sorcière, donc, est décisif. Parce qu’Hana pense avoir perdu Nao, qui la défendait, et assénée par la douleur, elle tente  d’assassiner Niragi. Et même si Nao n’a pas disparu, une partie d’Hana, elle, a brûlé dans le bûcher. La brune est aux côtés de son homme, pour les jeux des Rois et des Reines, mais elle est définitivement changée, habitée par une peur panique de se voir séparée de Nao.
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𝐡 𝐞 𝐫 𝐭 𝐫 𝐢 𝐯 𝐢 𝐚 ;
⁕ Hana a des habitudes bien à elle : elle vérifie toujours que Nao respire quand il dort à ses côtés, et elle est physiquement incapable de dormir si elle n’a pas la tête sur sa poitrine. Une fois Mina de retour dans leur vie, Hana la prendra sous son aile de manière immédiate, et la traitera comme sa sœur, brossant ses cheveux avant de dormir tous les soirs. Hana se moque bien souvent d’Usagi et d’Arisu, et de leur maladresse légendaire - mais elle ne laisse personne d’autre se moquer d’eux, et s’en trouve particulièrement protectrice. 
⁕ La spécialité d’Hana sont les jeux de trèfles - même si ses plans sont en apparence un peu ridicules, elle fonctionne mieux en équipe que toute seule. Elle se défend également très bien sur les jeux de carreaux. Les jeux où elle s’avère indubitablement en difficulté sont les jeux de pique, car elle n’est pas particulièrement sportive. 
⁕ Comme tous les autres survivants de Borderland, Hana n’a aucun souvenir des jeux après son réveil. Pourtant, à l’hôpital, elle est machinalement attirée par Nao, sans l’expliquer, et passe des heures à son chevet.
⁕ Hana, comme beaucoup d’autres survivants de Borderland, s’en sort avec des traumatismes. S’il n’est pas facile d’effrayer la jeune femme, elle a, depuis le jeu de la sorcière, une peur panique du feu, sous quelque forme que ce soit, et elle est particulièrement terrifiée à l’idée d’un incendie. Elle a aussi tendance à très mal gérer sa culpabilité, notamment lorsqu’elle pense avoir tué Niragi, ce qui la pousse à machinalement se renfermer sur elle-même. Force est de constater, cependant, que ses plans restent toujours aussi irraisonnés lorsqu’ils impliquent Nao, parce qu’elle est très souvent aveuglée par son amour pour lui.
𝐚 𝐩 𝐩 𝐞 𝐚 𝐫 𝐚 𝐧 𝐜 𝐞 ;
Physiquement, Hana est relativement mince, mais il est évident que depuis son arrivée à Borderland, elle s’est définitivement musclée. Elle a toujours été brune, et n’a jamais souhaité changer, et de toute évidence, son arrivée à Borderland ne le lui permet pas. Depuis le jeu du loup, elle a une cicatrice, et de manière générale, il est difficile de la voir sans bleus. Elle a également déjà eu le nez fracturé durant un jeu. A la mort de ses parents, Hana s’est fait tatouer une pièce d’échec sur le bras droit, et elle a également une branche de cerisier sur la cheville gauche. A cause des codes de la Plage, Hana s’est malgré elle un peu trop retrouvée en tenue légère - pourtant, dans le monde réel, la brune n’apprécie pas les vêtements près du corps, et préfère largement le confort de ses jeans.
𝐩 𝐞 𝐫 𝐬 𝐨 𝐧 𝐚 𝐥 𝐢 𝐭 𝐲 ;
Hana est plutôt intelligente, et surtout très loyale. Il est impossible de nier que c’est une battante, même si, souvent, cela est considéré comme un défaut : preuve en est, elle est parfaitement incapable de contenir ses mots pour elle, et elle a tendance à toujours vouloir avoir le dernier mot. Bien que du genre secrète, c’est en réalité parce qu’elle est une immense stratège. On lui prête souvent un air indifférent, mais elle est surtout très observatrice. Considérée comme plutôt impulsive, elle peut même être perçue comme manipulatrice, avec de sacrés problèmes de gestion de sa colère. Hana apparaît, en outre, particulièrement égoïste, notamment à la Plage : elle a su faire comprendre qu’elle ferait tout pour sa survie, avant celles des autres. Cette perception des choses change légèrement après la rencontre de Nao. 
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ekman · 1 year
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M. Benoît Bordat, député Renaissance de Côte d’Or, a attiré l’attention de la secrétaire d’État auprès du ministre des Armées chargée des anciens combattants et de la mémoire (oui, vous avez bien lu : nous avons une administration qui gère les questions mnésiques), à propos de la loi du 14 juillet 1920 qui stipule que la République française célèbre annuellement la fête de Jeanne d'Arc, en tant que « Fête du patriotisme ». Il écrit : “Cette fête oubliée a lieu le deuxième dimanche de mai, jour anniversaire de la « délivrance d'Orléans ». Si Jeanne d'Arc fut le symbole aussi bien de ceux qui ont souffert en captivité que de ceux qui ont résisté et de ceux qui ont contribué à défendre la patrie, c'est une célébration désuète. Le FN, parti national-populiste, s'est d'ailleurs associé à la cérémonie en 1979. Neuf années plus tard, le président du Front National a toutefois décidé que ce défilé frontiste aurait lieu le 1er mai.” Et donc, le sémillant député du parti présidentiel, conscient de l’urgence à traiter cette question à l’orée de la réforme sur les retraites – appelée “The BlackRock Reform” par les experts de Mac Kinsey payés par Bercy – a éjaculé sa petite offrande anti-fasciste dans le J.O. du 31 janvier dernier. Cette parfaite tête de progressiste (on aura remarqué le front surdéveloppé, signe ostentatoire d’appartenance à l’Élite à Haut Potentiel) est tout prêt à balancer la Pucelle dans les poubelles de l’Histoire rance et moisie du Länder Frankreich. C’est qu’il faut barrer la route à toute tentative de récupération prolongée du symbole de la résistance à l’envahisseur par le parti de la Haine. Quelle vaine agitation cependant ! À écouter Mamie Chachat, « il faut contrôler les flux migratoires », mais le Grand Remplacement n’est qu’un fantasme de frapadingue et le principe de Remigration, un retour aux heures les plus sombres du congrès de Nüremberg. Donc, sauf à vouloir se faire mousser à pas cher, cette petite crotte sèche de Benoît Bordat distribue des grands coups d’épées dans l’eau croupie du marigot républicain et touite frénétiquement sa croisade à toutes celles et ceux qui, par rézosossiaux interposés, souhaitent enfiler avec lui l’armure du Croisé vertueux, sorte de Godeffroy de Couillon à la sauce BFM. Un pauvre con de plus, me direz-vous. Certes. Un pauvre con de trop vous répondré-je. Un déconstructeur zélé, banal à mourir dans sa médiocrité pseudo-politique, affublé en outre d’un look de franchisé Afflelou, ce qui ne plaide pas en sa faveur. Mais qu’allons-nous faire de tous ces inutiles nuisibles ? Franchement, je vous le demande. J.-M. M.
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valentin10 · 9 days
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Abrogation de la réforme des retraites : la gauche cherche toujours la meilleure parade au texte défendu par le RN
Alors que le Rassemblement national va défendre, fin octobre, à l’Assemblée, l’abrogation de la réforme des retraites, la France insoumise veut pour sa part déposer, fin novembre, sa propre proposition de loi contre le recul de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans. — À lire sur…
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christophe76460 · 2 months
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… Étant persuadé que celui qui a commencé en vous une bonne œuvre l’amènera à son terme jusqu’au jour de Jésus Christ. Philippiens 1. 6
Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. Actes 5. 29
✅ Sortir d’une secte : témoignage et réflexion
“�� certains moments, je me retrouvais en train de défendre cette secte ; à d’autres, de la condamner. Ce va-et-vient si pénible finit par s’estomper, mais seulement après de longues années de rétablissement intérieur.
Il est parfois plus facile de se blâmer soi-même que de mettre la faute sur une personne que l’on a idéalisée. Reconnaître les erreurs de son modèle de référence, c’est admettre que l’on s’est laissé tromper.
Avouer ses égarements, c’est dévoiler ses faiblesses personnelles, mais c’est la libération, car Dieu pardonne. Pourtant la culpabilité ne s’arrête pas là : beaucoup d’ex-adeptes de sectes se sentent également responsables d’en avoir amené d’autres dans un groupe aux doctrines nuisibles. Mais pour cela aussi, Dieu pardonne.
Depuis que j’ai quitté cette secte, je me sens parfois très déprimée. Des sentiments d’abandon et de grande tristesse m’envahissent. Mais Dieu me réconforte d’une manière toujours particulière. Il m’assure qu’il voit et comprend mes souffrances, qu’il sera toujours là pour moi et qu’il s’occupera de mes besoins.
Pour me détacher du groupe, j’ai dû écarter de mon esprit la crainte des hommes. La Bible nous dit : “La crainte des hommes tend un piège, mais qui se confie en l’Éternel est élevé dans une haute retraite” (Proverbes 29. 25).
Comment obéir vraiment à Dieu si nous avons constamment peur de décevoir les autres ? Il nous faut supporter la conséquence de notre désobéissance aux hommes, quand celle-ci constitue justement notre obéissance à Dieu.”
⦁ (adapté de M. Declair)
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dooareyastudy · 1 year
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Ça mène à quoi le mouvement étudiant et le soutien des piquets de grève quand on voit ce que fout la cgt ?? 😭
Je ne vois pas bien le rapport entre les deux idées. Pourquoi ramener le mouvement social actuel à la direction nationale de la CGT ?
On est des milliers dans les rues, syndiqués ou non, militants de longue date ou qui commencent à se politiser. Le mouvement de contestation existe au-delà des cadres de la CGT et des autres confédérations syndicales. Un mouvement d'une ampleur pareil, ça amène forcément à se battre aux côtés de gens qui n'ont pas exactement les mêmes idées, tant qu'on en a suffisamment en commun à défendre. Il faut accepter de mettre certaines choses de côté dans l'intérêt commun qu'on défend.
Personnellement, je ne me retrouve pas dans les syndicats réformistes : je vais quand même en manifestation à leurs côtés (et aux côtés de bien d'autres personnes!!) car eux et moi, on est contre la réforme des retraites et je compte soutenir le mouvement jusqu'au bout.
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