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#rigolard
cyrilcantarelli · 3 months
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Les impôts m'ont demandés une copie de la source de mes revenus...
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prowebads · 6 months
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Oh Monsieur...
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Spectacle Époustouflant au Stade Municipal de Mbalmayo le 15 décembre 2023 !
#MBALMAYO, Stade Municipal : Le rendez-vous incontournable avec des artistes exceptionnels tels que Richard Amougou, le perturbateur, Les Rigolards, Shura, Bimas Bizou, Armelle Diamant, et bien d’autres ! 📅 Date : 15 décembre 2023 📍 Lieu : Stade Municipal de Mbalmayo 🎤Concert : #Assaut_Final 💲 Prix du Pass : 1000 F 🌟 Artistes Invités : Bimas Bizou, Shura, Les Rigolards, Armelle Diamant 🕕 Début…
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Quelques raisons de continuer à croire en notre jeunesse, avec ce petit texte reçu aujourd’hui de la part d’un authentique enseignant!
«Jubilation rigolarde aujourd’hui en classe.
Feutre bleu, feutre noir j’étais en train d’expliquer la différence en Droit entre une SARL et une SAS à des jeunes gens de 16 ans, quand s’impose à la classe une visiteuse, romancière lesbienne "autrice" (🙄) et directrice de collection, maigreur végétarienne, pull col en V et bottines fatiguées, qui entend nous parler du «spectacle de jeudi prochain», «Le Minotaure», un bidule féministo-plouc-woke dont j’avais complètement oublié la programmation-événement, pourtant annoncée par la hiérarchie dans la boîte à mails ad hoc.
Sans attendre et assise sur ses convictions, voilà que sous prétexte de "débattre" cette directrice des consciences se met à dérouler à son public captif un discours mal assimilé dans lequel il est question de féminicide, de masculinité toxique, d’identité de genre et d’égalité de salaire 🤔.
Je commençais à tourner de l’œil avec envie de dormir/ de m’assoir 🥱/ d’étrangler quelqu’un, quand le jeune Bilal, franco-algérien au caractère habituellement discret, lève la main; Et là, avec sagesse, calme et politesse, il dégomme proprement le discours convenu des fausses évidences 😳.
Brillant! Carré! des arguments, un raisonnement, des faits. De l’humour aussi! – et de la gentillesse.
L’autre titube sur ses cannes, surprise par la qualité de l’opposition, essaie de se ressaisir…
Guildwen-les-yeux-bleus prend le relais, demande ce qu’il faut penser «des gens qui s’identifient à des animaux et qui exigent qu’on les accepte comme chats, chiens ou poules…» la réponse est floue. Agacement, les garçons parlent trop, il faut l’avis d’une fille.
Mauvaise pioche: Souad finit par demander directement: «pourquoi vous voulez me faire penser quelque chose que je n’ai pas envie de penser?»
L’écri-vaine se met à crier sur tout le monde affirmant qu’on lui manque de respect et s’enfuit à reculons. Hilarant, et assez gênant. Un moment de pure humanité.
Cette jeunesse est merveilleuse.🥰»
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mmepastel · 5 months
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Rholala ! Premier énorme coup de cœur cette année !
C’est ma libraire préférée qui me l’a déniché… elle commence à me connaître… elle m’a tendu ce livre qu’elle n’avait pas encore mis en rayon avec un air entendu…
BINGO ! En effet, c’est une belle pioche.
Tout d’abord, qu’est ce que j’ai ri ! L’autrice suédoise a un humour assez décapant, et un langage fleuri.
Faire connaissance avec ces sept sœurs finlandaises crasseuses et mal éduquées c’est comme une collision brutale et frontale. On les découvre à la foire, rare lieu où elles daignent frayer avec leurs semblables (quoique… elles semblent en effet faites d’un autre bois), dégoûtantes, provocantes, grossières, analphabètes et gouailleuses ; elles vendent framboises sauvages, peaux de bêtes -d’ours notamment. Bien obligées si elles veulent acheter bière, gnôle, cigarettes et essence pour le quad, saucisses et chips.
Johanna, Tania, Tiina, Simone, Aune, Laura et Elga ont toutes un caractère bien distinct, même si elles font corps pour survivre depuis qu’elles sont orphelines. L’ainée, Johanna, voue un culte à son père décédé, célèbre chasseur d’ours, et applique ses règles : se méfier de la société des humains et particulièrement des hommes, du pasteur, des assistantes sociales, de l’école, des huissiers. Elles sont hors registres, complètement sauvages dans la forêt, en autarcie. Et elles vont fuir encore plus loin, pour être sûres de ne pas risquer d’être embêtées, pour vivre à leur façon, la seule qu’elles connaissent à vrai dire. Elles rotent, pètent, pissent debout, se bagarrent sans cesse, jurent comme des charretiers.
L’entente entre elles, une force, une nécessité mais aussi une limite, se complexifie lorsqu’elles s’isolent complètement dans un endroit reculé de la forêt, et qu’elles font face à la faim et au froid. La rudesse de l’aînée, son radicalisme, empêchent certaines des plus sensibles de s’épanouir, comme par exemple Elga qui rêve de lire et d’exploiter ses fraîches connaissances en la matière, ou Laura qui n’aime rien tant que de sculpter des petits figurines malgré ses yeux de myope.
On lit ce livre avec le nez, et les odeurs ne sont pas toujours ragoûtantes. Ça ne sent pas que le sapin ou l’écorce de bouleau. Ce ne sont pas des grandes fans de savon, ni de ménage, et les peaux d’ours écorchés corsent l’affaire. On suit leur cheminement avec passion tant l’immersion est totale dans cet univers brut et sauvage, en s’émerveillant des reparties salées qu’elles se servent mutuellement, avant de se cogner jusqu’à faire valser des dents. Mais cheminement, il y a. Je n’en dis pas plus car le roman, inspiré d’un conte finlandais racontant les aventures de sept frères, est turbulent et haletant de bout en bout. Vont-elles survivre dans le froid ? Comment vont-elles échapper à la ville qui semble être le seul salut possible ? Ne vont-elles pas s’entretuer ou sombrer dans la folie ?
J’ai adoré cette histoire et le ton. Ces sœurs sont de vraies dures à cuire, des âmes bouillonnantes qui font jaser toute la région. Leur évolution est habilement menée, et leur amour de la forêt et de la liberté ne se trahit pas. On assiste à l’éclosion de leurs natures profondes. Il s’en est fallu d’un cheveu pour qu’elles y parviennent seules. Un conte féministe oui, assurément, avec de vraies héroïnes fortes et courageuses, un récit au verbe haut, débordant de vie et culotté. De la dynamite.
Je suis un peu dépitée de l’avoir si goulûment dévoré, aussi goulûment que Tiina aurait bu sa flasque de whisky, je ne crois pas que ce type de livre coure les rues. J’espère que d’autres romans d’Anneli Jordahl seront traduits, je suis addict de son écriture rigolarde et irrévérencieuse.
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aurevoirmonty · 2 months
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Les anarchistes de droite me semblent la contribution française la plus authentique et la plus talentueuse à une certaine rébellion insolente de l’esprit européen face à la “modernité”, autrement dit l’hypocrisie bourgeoise de gauche et de droite. Leur saint patron pourrait être Barbey d’Aurévilly (Les Diaboliques), à moins que ce ne soit Molière (Tartuffe). Caractéristique dominante : en politique, ils n’appartiennent jamais à la droite modérée et honnissent les politiciens défenseurs du portefeuille et de la morale. C’est pourquoi l’on rencontre dans leur cohorte indocile des écrivains que l’on pourrait dire de gauche, comme Marcel Aymé, ou qu’il serait impossible d’étiqueter, comme Jean Anouilh. Ils ont en commun un talent railleur et un goût du panache dont témoignent Antoine Blondin (Monsieur Jadis), Roger Nimier (Le Hussard bleu), Jean Dutourd (Les Taxis de la Marne) ou Jean Cau (Croquis de mémoire). A la façon de Georges Bernanos, ils se sont souvent querellés avec leurs maîtres à penser. On les retrouve encore, hautains, farceurs et féroces, derrière la caméra de Georges Lautner (Les Tontons flingueurs ou Le Professionnel), avec les dialogues de Michel Audiard, qui est à lui seul un archétype. Deux parmi ces anarchistes de la plume ont dominé en leur temps le roman noir. Sous un régime d’épais conformisme, ils firent de leurs romans sombres ou rigolards les ultimes refuges de la liberté de penser. Ces deux-là ont été dans les années 1980 les pères du nouveau polar français. On les a dit enfants de Mai 68. L’un par la main gauche, l’autre par la main droite. Passant au crible le monde hautement immoral dans lequel il leur fallait vivre, ils ont tiré à vue sur les pantins et parfois même sur leur copains.
Dominique Venner
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1977 - Qui est gros ?
Il pratiquait un métier mystérieux mais il avait surtout un attrait que ne possédaient aucun membre de ma famille. Il était différent. Trop rigolard, trop fêtard, trop bruyant, trop envahissant, on ne le voyait pas souvent. Je ne sais par quels méandres, il m’avait à la bonne. À moitié saoul, voire farpaitement paf, il m’avait décrit son boulot d’encreur officiel d’un emblématique héros de l’Abédé. Apprenant la maladie du créateur ne pouvant plus que crayonner, je devais garder le secret en échange d’une œuvre originale. J’ai bien ri de la blague et snobé l’offre. Des années plus tard, j’apprendrai l’existence d’un studio suppléant aux absences du maître. Studio au sein duquel exerçait un certain tonton.
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profenscene · 2 years
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Mercredi 26 octobre
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Non, les enseignants ne seront jamais contents.
Je pourrai clôturer là ce billet et profiter de ma soirée, mais développons un peu. Un cliché qui revient souvent sur la profession de prof, mi-hargneux mi-rigolard, est le suivant : "D'accord vous gueulez contre le ministre de l'Éducation, mais est-ce qu'il y en a déjà eu un qui a trouvé grâce à vos yeux ?"
La réponse, en toute honnêteté, est non. Je n'ai pas le souvenir d'un seul ministre qui n'ait pas été contesté.
Mais le constat posé, quelle conclusion en tirer ?
Première hypothèse, devenir enseignant déclenche dans la cervelle la production d'une hormone du mécontentement permanent. Ça ferait un chouette film de science-fiction, mais ce ne serait pas très réaliste.
Seconde possibilité, il n'est tout simplement pas possible d'emporter le consensus, quand on est la tête de ce grand foutoir qu'est l'Éducation Nationale.
Nous sommes tout simplement trop nombreux. Nos situations sont trop multiples, les élèves dont nous nous occupons trop différents. Depuis que j'enseigne, je me suis vu passer par des dispositifs pédagogiques que j'aurai pointé du doigt en hurlant de rire quelques années plus tôt. Pour la simple et bonne raison qu'ils n'auraient jamais convenu avec les élèves que j'avais en charge (et aussi que j'aime bien me moquer).
Certes, mais notre voix doit-elle passer par la contestation ? Je pense que oui. Parce que cette contestation, ces "profs jamais contents" sont les garants que jamais l'école ne se fige. Parce qu'il est là, le problème de presque toutes celles et de tous ceux qui se sont retrouvé au sommet de notre pyramide hiérarchique : cette volonté d'unifier. De faire fonctionner le système éducatif sur un modèle qui lui semble le meilleur. Plus de savoirs fondamentaux, d'autonomie des établissements, moins de postes, plus de services civiques...
La réalité est que cette partie de la société est trop complexe pour être gérée d'un seul point de vue. Parce que le monde de l'éducation est la société à échelle réduite. Dans laquelle les mômes se préparent à intégrer la société véritable. Une société avec ses règles et ses contradictions, une société de 800000 adultes et plusieurs millions d'élèves.
C'est notre plus grande faiblesse : je pense qu'il nous sera toujours extrêmement difficile de parler d'une seule fois. C'est notre force : nous sommes un mouvement qui jamais ne s'arrête. Nous sommes la vie dans tout ce qu'elle a de fabuleux et de désespérant. Et oui. La plupart d'entre nous, enseignants, tentons d'impulser à cette "société d'entraînement" un peu plus d'optimisme et d'humanité que celle qui attend nos élèves. Je pense qu'il est difficile d'éduquer si on n'espère pas que ceux qui nous sont confiés feront mieux que nous. C'est un pari gigantesque. Et un pari pareil, ça fait du bruit. Ça parle d'une voix discordante.
Mais ça avance.
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darkpalmor · 30 days
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15 MAI 2024
Programme de grâce.
Échauffement en 5 minutes : Un haïku sur le thème imposé « la gourmandise ».
Manger par plaisir, Savourer tous les arômes Sans être malade. Au fond des cuisines, On se lèche les babines. On se sent coupable… Si la gourmandise Était un péché véniel, Moi, je m’abstiendrais.
1°) Mots en vrac (5-10 minutes) : Jeu de construction. Voici une dizaine de mots dont vous ferez ce que vous voudrez. « dissiper, samedi, appétit, cintré, spécial, armoire, grâce, dépouillement, benjamin, ingérable. » Contrainte : tous les utiliser !
Un atelier d’écriture, le samedi, c’est ingérable. Déjà le mercredi c’est difficile, mais le week-end certains participants apportent des gâteaux, des boissons fortes, et l’appétit gêne la concentration nécessaire pour choisir ses mots. Il y en a toujours un pour dissiper ses voisins, grâce à quoi on traîne. Le benjamin du groupe est très spécial : en fin de semaine il se ramène avec des costards cintrés tirés de l’armoire de ses grands-parents, et il fait l’intéressant avec ses tenues. Finalement, on termine à peine un exercice sur deux, et en tant qu’animateur je ressens un tel dépouillement de toutes mes capacités à gérer un groupe, que je me mets à écrire et dire des bêtises comme les autres.
2°) Fragmenter (10-15 minutes) : Souvenirs en miettes. On fera semblant de retrouver le lieu d’un événement exceptionnel, d’un moment privilégié, pour élaborer de fausses bribes d’histoires issues du passé. Un lieu est imposé, dans lequel vous insérerez la fiction de votre choix : l’autocar scolaire. La forme narrative pourra être éclatée, fractionnée, comme si vous reconstituiez avec difficulté des éléments parfois flous au milieu d’autres très précis et frappants.
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C’était un voyage sous l’autorité d’une vieille prof d’histoire-géographie. Il fallait assister à une séance du Parlement Européen. Des classes de Première, ou Terminale, des scientifiques qui se fichaient pas mal de l’Europe. Les plus rigolards avaient investi les places du fond et quelques rangées supplémentaires. Par moments il neigeait, on espérait être coincés sur l’autoroute. Des élèves avaient demandé à la prof de faire passer leurs cassettes de rock et de disco au chauffeur mais elle ne voulait pas écouter cette musique. Moi j’étais accompagnateur. J’avais été obligé de m’asseoir devant. J’allais de temps en temps vers le fond, histoire de faire semblant de discipliner les cris, et les élèves me demandaient d’intervenir, ils voulaient pouvoir écouter leurs groupes favoris. Je négociais avec la cheffe… À un moment, on s’est arrêtés sur une aire de service : des garçons gueulaient qu’ils voulaient pisser. On a vidé le car, difficilement, dans une allée encombrée de jambes et de sacs, et je suis descendu aussi. Tous les garçons sont allés tout au fond du parking, près du grillage, et ont joué à qui pissait le plus loin : dans la neige ce serait facile à mesurer. Et après ils ont fait semblant de se retourner tous d’un seul coup, en appelant les filles pour qu’elles viennent vérifier et mesurer leurs performances. Elles ont crié et menacé d'appeler la prof d'histoire... C'était du chiqué... Heureusement celle-ci était restée dans l’autocar. On a fini par chanter, la Marseillaise et l’Internationale, pour l’obliger à demander au chauffeur qu’il mette une cassette. Au retour, le chauffage est tombé en panne. On a tous mis les parkas. C’était une belle sortie.
3°) Expérimental long : Textée. L’animateur dicte très précisément le mode d’emploi d’un texte préexistant (inconnu des participants), charge à ceux-ci de faire de leur mieux pour respecter les consignes. On comparera finalement les textes écrits par les participants avec le texte original. Donnez un titre en reliant deux noms féminins précédés de leur article, qui seront les personnages d’une histoire. Dans la phrase n° 1, exposez au passé simple l’embarras du personnage n° 1, entre deux propositions circonstancielles de temps. Dans la phrase n° 2, sans verbe, exprimez l’absence totale de la plus minime vie animale, pour illustrer l’embarras susdit. Dans la phrase n° 3, narrative et au passé simple, mettez les deux personnages dans une relation de proximité et de requête consécutive au contenu des deux premières phrases, avec une visée prospective de moyenne échéance. Dans la phrase n° 4, à la première personne et au futur, faites exprimer au personnage n° 1 son engagement ferme avec un vocabulaire spécifique de la situation. Dans la phrase n° 5, en deux membres, faites une sorte de portrait moral ironique du personnage n° 2. Dans la phrase n° 6, en deux membres, faites poser une question au personnage n° 2. Dans la phrase n° 7, faites répondre le personnage n° 1, au passé, sous la forme d’une justification. Dans la phrase n° 8, en deux membres, faites répondre le personnage n° 2 de façon catégorique, en reprenant ironiquement l’avant-dernier verbe utilisé dans la phrase précédente, et terminez avec une exclamation orale suivie d’un impératif.
La belle et la bête. Avant d’aller se coucher, la belle hésitait entre un pyjama soyeux ou une nuisette transparente, en ce moment où elle recevait son chéri dans l’intimité. Pas une puce, dans sa lingerie ! La belle demanda tout de même à sa bête de la gratter dans le dos, là, et là, et un peu plus bas, ça la soulagerait d’une terrible démangeaison qui l’empêchait de dormir. « Je te ferai des chatouilles en retour, c’est promis, juré, mon chéri ! » La bête aime les chatouilles, mais elle aime aussi se faire prier. « Veux-tu vraiment que je te grattouille, et jusqu’où je voudrai ? » « J’ai toujours aimé la façon dont tu sais t’arrêter juste à temps quand tu me touches… » « M’arrêter, maintenant ? Jamais ! Baisons tout de suite ! »
(Le texte texté était La Cigale et la Fourmi, de La Fontaine.)
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cyrilcantarelli · 3 months
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Tu as mis un préservatif....
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denis-editions · 9 months
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Gazette n°550 mercredi 2 octobre 2023 inspirée par “Contes à rebours” de Denis
UN SI VIEUX RÊVE “...10” — Michael, tu te rappelles qu’on avait parié. — Parié quoi, Neil ? Il y a trois hommes... trois êtres humains dans ce petit habitacle, face au ciel bleu de Floride. Ça fait des mois qu’ils s’entraînent pour ce voyage. Un voyage imaginé depuis des siècles. Déjà Lucien de Samosate, vers 180 de notre ère, avait imaginé un peuple sur notre satellite naturel. Un peuple en guerre. “...9, ignition of engines” — Que tu ne serais pas de cette mission. Michael esquisse un sourire. — Le 11 devient mon chiffre fétiche... c’est Jim qui doit l’avoir mauvaise. — Ce pauvre Jim ! s’exclame Buzz. — Il sera quand même de la 13 ! Tous les trois se regardent, pensifs. — Oui... treize... “...8” Il y a tant d’histoires de voyages dans la Lune : tout d’abord le poème d’Orlando Furioso, “L’arioste” en 1516[1], puis l’ouvrage de Johannes Kepler en 1634 et celui de Savinien de Cyrano de Bergerac, en 1657, et ce jusqu’au livre de René Barjavel en 1962. “...7” — Le président devrait nous appeler ? demande Buzz. — Au téléphone ? sourit rigolard, Neil. Un grand rire secoue les trois compères. — Faudra attendre le vingt-cinquième siècle avant qu’il y ait un téléphone dans l’espace, dit plus sérieusement Michael. — Faut voir... il y a même pas cent ans, Otto Lilienthal ne faisait que sauter de sa colline ! — Je sais bien Niel, mais le progrès doit avoir des limites. “...6” — Regarde où on est ! Dans un truc qui pèse plus de trois mille tonnes, avec un carburant hautement inflammable et là, dans nos sièges, on s’apprête à rejoindre l’objet des rêves de nos ancêtres. “...5 ...4 ...3 ...2” — Serrez les fesses ! “...1” — Fin du compte à rebours !... À nous la Lune, crie Michael. “...0, all engines operational” Épinac, le 2 octobre 2023 Pour les amateurs, petite bibliographie d’ouvrages sur le Voyage dans la Lune : 1516, Orlando Furioso, L’Arioste. 1634, Johannes Kepler, Le Songe ou l’Astronomie lunaire. 1638, Francis Godwin, L’homme dans la lune, ou Le voyage chimérique fait au monde de la Lune nouvellement découvert. 1657, Savinien de Cyrano de Bergerac, Histoire comique des États et Empires de la Lune. 1783, Cornélie Wouters de Vassé, Le char volant, ou voyage dans la Lune. 1785, Rudolf Erich Raspe, Les aventures du baron de Münchhausen. 1791, Louis Abel Beffroy de Reigny, Nicodème dans la Lune, ou la Révolution pacifique. 1857, Alexandre Dumas, Un voyage à la Lune. 1875, Arnold Mortier, Le Voyage dans la Lune. 1892, Arthur de Ville D’Avray, Voyage dans la Lune avant 1900. 1901, Herbert George Wells, Les premiers hommes dans la Lune. 1928, Otto Willi Gail, Un voyage dans la Lune. 1958, Robert Heinlein, Le jeune homme et l’espace. 1962, René Barjavel, Colomb de la Lune. Merci à ceux-là : Michael Collins, Buzz Aldrin et Neil Armstrong.
[1] Considéré comme le premier roman de science-fiction... ou “proto-fiction”.
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En tout cas, sa suggestion ne fut pas suivie d'effet. Outre les cinq ou six rigolardes qui étaient un peu fières d'être citées en exemple, toutes les autres filles de la classe restèrent silencieuses et sans le moindre sourire (du moins, de ce que je pus en voir, du fond de la classe, quand elles tournèrent la tête pour regarder les rieuses). extrait de C'est pour rire
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bouxmounir · 2 years
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Austin Butler impose un nouveau King sur le site d'Elvis
Austin Butler impose un nouveau King sur le site d’Elvis
14h30, le 21 juin 2022 D’abord, il y a cette voix, grave et rocailleuse, qui ne va pas tout à fait avec le beau gosse aux allures de James Dean entré, rigolard, dans la suite d’un palace cannois. La suite est un bouquet charmant et cette présence magnétique, qui est sans le coupé fait maison et les chemises sur la pastille du film de Baz Luhrmann, évoquées par Elvis Presley. Il comprend qu’il…
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mmepastel · 2 years
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Vous l’aurez compris, j’ai un gros coup de cœur pour Florent Marchet (je suis étonnée de ne pas l’avoir écouté plus tôt). Sauf que là, je l’ai lu. Il a écrit un roman en 2020, et figurez-vous qu’il est vraiment excellent. Ce n’est pas un livre de chansonnier qui aurait eu trop d’ambition, mais un vrai roman bien écrit et au propos fort et subtil à la fois.
Pour l’histoire, vous avez la quatrième de couverture, qui explique bien les enjeux des protagonistes : une famille de néo ruraux, une ferme qui fait du bio, un père soucieux de l’environnement, fort de ses convictions mais fragilisé par ses difficultés personnelles et matérielles, une ado exaspérée par son père, désireuse d’autres horizons, découvrant le désir. Et puis, l’allumette qui vient enflammer ce climat déjà bien échauffé : Théo, un woofer bardé de théories extrêmes et d’un regard vert électrisant.
J’ai été très intéressée par cette plongée juste et bien rendue dans le monde agricole bio, très exigeant, épuisant, souvent décourageant. L’auteur offre de nombreux chapitres à Jérôme, le père débordé et inquiet. Ça nous permet de comprendre sa psyché complexe, tiraillée entre ses idéaux écologistes, son anxiété environnementale et matérielle (l’argent est dur à gagner, les frais sont toujours innombrables, le temps de travail sans cesse rallongé), sa colère héritée et entretenue par l’usure de son couple (sa femme se lasse progressivement de ses beaux projets si coûteux en temps et générant tant de stress), sa fatigue physique, son sentiment de solitude, et une certaine incapacité à être léger ou positif.
L’incompréhension s’installe entre lui et sa fille, Solène, qui termine le collège, et entend à longueur de journée des diatribes contre le capitalisme et des annonces pessimistes sur l’avenir. Après tout, elle est jeune, elle fait son job (et même plus que la plupart des adolescentes, puisqu’elle aide à la ferme) en se montrant brillante scolairement, elle a bien le droit d’avoir envie de légèreté et de goûter aux amourettes de son âge. Elle rêve de ville, d’adrénaline, d’amour. Elle finit par rejeter son père qui à force de contrariété devient peu aimable, et entame une relation amoureuse avec Baptiste, le fils du médecin du coin.
Quand une blessure empêche Marion, la mère, de faire sa part à la ferme, ils engagent Théo, un jeune woofer athlétique, rigolard, travailleur et sympathique ; il amène avec lui un vent de fraîcheur, de légèreté, mais aussi des théories plus radicales que celles de Jérôme sur les remèdes au dérèglement climatique et des idées très arrêtées sur la décroissance ou sur des modes de vie alternatifs. Il devient progressivement dérangeant avec ce flegme qui jure tant avec la nervosité de Jérôme, avec sa décontraction qui séduit Solène. Sa radicalité et son assurance vont même jusqu’à bousculer les certitudes vertueuses du couple.
Le livre parle de transitions : transition écologique, climatique, hormonale, émotionnelle. Ces mutations, plus ou moins visibles, s’accompagnent de souffrances. Souffrance de la Terre d’abord mais pas seulement (Florent Marchet n’est pas que poète, il a une lecture sociologique du monde, comme son ami Nicolas Mathieu); un agriculteur voisin se suicide, un adolescent meurt. Solène découvre le désir mais aussi la masculinéité qui vire si vite vers la brutalité, qui peut devenir en un clin d’œil très dangereuse.
Écrit suite au confinement, le livre nous rappelle au passage que la vie est courte, que les enfants grandissent vite, et qu’on peut facilement passer à côté de ce qui compte vraiment (les écouter, jouer avec eux) parce que l’on pense manquer de temps (que l’on consacre à l’aspect pénible et donc forcément respectable du travail).
L’air de rien, dans un style limpide et juste, ce sont tous ces sujets cruciaux (actuels ou éternels) que Florent Marchet brasse dans son livre, sans jamais gommer les ambiguïtés, sans jamais asséner de leçon indigeste.
Un coup d’essai drôlement réussi, qui rejoint plein d’interrogations personnelles que je pense assez répandues de nos jours. Bref, une lecture que je recommande chaudement.
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blog59-world · 3 years
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Fred Ward (1942-2022)
Blog du West 2 : "Ainsi Fred Ward est mort, à l’âge de 79 ans. On n’avait pas vraiment entendu parler de lui depuis plusieurs années et ses rares apparitions à l’écran se résumaient à de rapides « caméos » ou de banals seconds rôles. Pourtant, quand on l’a découvert, à la fin des seventies, il portait en lui les promesses d’une de ces « gueules » typiques du cinéma U.S. de la décennie précédente : les Lee Marvin, Charles Bronson (qu’il évoquait parfois), James Coburn, etc. Un visage marqué, un corps athlétique, une ironie… Mais Ward n’a jamais joué au tough guy ou au macho de cinéma. Il a toujours été naturel, drôle, sympathique. La première fois qu’on le remarque, c’est dans « L’ÉVADÉ D’ALCATRAZ », où il joue un des deux frères qui se font la belle avec Clint Eastwood. On le revoit dans « SANS RETOUR » en soldat violent. Il tient la vedette de « TIMERIDER » en motard voyageant dans le temps et c’est « L’ÉTOFFE DES HÉROS » qui le propulse au premier plan, grâce à son rôle d’astronaute rigolard mais loser et porte-poisse. Il est un collègue de Meryl Streep dans « LE MYSTÈRE SILKWOOD ». Il sera également le mari de celle-ci dans le téléfilm « AU RISQUE DE TE PERDRE », quelques années plus tard. Il est excellent en ex-soldat traumatisé dans « RETOUR VERS L’ENFER », très drôle dans le rôle-titre de « REMO, SANS ARME ET DANGEREUX » où son duo avec Joel Grey fait merveille. Il apparaît dans quelques films sans importance, avant de crever l’écran dans « TREMORS » (dont il tournera la première sequel) et « UN FLIC À MIAMI » en privé édenté. Philip Kaufman, le réalisateur de « L’ÉTOFFE DES HÉROS », lui offre le rôle d’Henry Miller dans « HENRY & JUNE », où Ward apparaît le crâne rasé. Il incarne le flic indien dans « LE VENT SOMBRE » adapté d’une série de romans populaires et joue le détective des studios dans « THE PLAYER ». On l’aperçoit encore dans « SHORT CUTS » ou « Y A-T-IL UN FLIC POUR SAUVER HOLLYWOOD ? », avant que, progressivement, il ne soit relégué à l’arrière-plan et aux participations sans intérêt. Fred Ward a frôlé le vedettariat, il avait tout pour lui : un physique d’action star, du charisme et un réel talent d’acteur, sans oublier un capital sympathie exceptionnel. Difficile d’expliquer pourquoi il a fini sa carrière dans l’anonymat. Mais de toute façon, il a tourné suffisamment de bons films pour s’inscrire dans l’Histoire du cinéma américain."
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