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#romain chassaing
christophe76460 · 3 months
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NOUS AVONS DÉJÀ LA VICTOIRE, MAIS IL Y AURA UN JOUR OU LA VICTOIRE SERA DÉFINITIVE
ROMAINS 16:20 Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds.
EN ATTENDANT CE JOUR, DÉFENDONS-NOUS CONTRE SES ATTAQUES
ÉPHESIENS 6:12-13 car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.
IL N’Y A PAS DE FORCE PLUS GRANDE QUE CELLE QUE DIEU COMMUNIQUE
ÉPHÉSIENS 6:13 c’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.
LUC 21:36 veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d’échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l’homme
1 PIERRE 5:9 êtes sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde.
MATTHIEU 4:10 Jésus lui dit : retire-toi, Satan! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul.
MATTHIEU 8:16 le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades
SOYEZ REMPLIS DU SAINT ESPRIT ET ALLEZ DANS LA PAIX 🌿 DU CHRIST! ✝️ ALLEZ POUR LA PAIX, 📖 ALLEZ FAIRE LA PAIX 🤝
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blogdimanche · 3 months
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 2,13-25
13 « Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem.
14 Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs.
15 Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs,
16 et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. »
17 Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit : L’amour de ta maison fera mon tourment.
18 Des Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? »
19 Jésus leur répondit : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. »
20 Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais ! »
21 Mais lui parlait du sanctuaire de son corps.
22 Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite.
23 Pendant qu’il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque, beaucoup crurent en son nom, à la vue des signes qu’il accomplissait.
24 Jésus, lui, ne se fiait pas à eux, parce qu’il les connaissait tous
25 et n’avait besoin d’aucun témoignage sur l’homme ; lui-même, en effet connaissait ce qu’il y a dans l’homme. »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Jn 2,19
« Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai ! » (Jn 2,19) Mettons-nous à la place de ceux qui ont assisté à cette colère de Jésus : il y a longtemps qu’on trouve sur l’esplanade du Temple des marchands d’animaux ; quand on vient en pèlerinage à Jérusalem, parfois de très loin, on s’attend bien à trouver sur place des bêtes à acheter pour les offrir en sacrifice. Quant aux changeurs de monnaie, on en a besoin aussi : on est sous occupation romaine, et les pièces frappées à l’effigie de l’empereur sont indignes de figurer à la quête ! Et pourtant, en ville, elles sont indispensables. Donc, en arrivant au Temple, on change ce qu’il faut contre de la monnaie juive. Alors, qu’est-ce qui lui prend ? Comme souvent, il agit d’abord, il explique ensuite, mais on ne comprend pas bien, ou pas du tout. On comprendra plus tard : « Quand il ressuscita d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent aux prophéties de l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite ». (2,22). Et encore, tout le monde ne comprendra pas… Pour l’instant, la violence de Jésus est inattendue, ses paroles encore plus ! Et le reproche qu’il fait aux vendeurs (« Ne faites pas de la Maison de mon Père une maison de trafic ») laisse entendre qu’il se prend pour un prophète ; Jérémie avait lancé : « Cette Maison sur laquelle mon Nom a été proclamé, la prenez-vous donc pour une caverne de bandits ? » (Jr 7,11). Mieux, il se prend carrément pour le Messie : car le prophète Zacharie avait annoncé : « Il n’y aura plus de marchand dans la Maison du Seigneur le tout-puissant en ce jour-là » (sous-entendu le jour de la venue du Messie ; Za 14,10). Et, pire encore peut-être, en parlant du Temple de Jérusalem, il ose dire « la maison de mon Père ». Devant cette prétention, il y a deux attitudes possibles : ouvrir grand ses oreilles pour essayer de comprendre (c’est ce que font les disciples), ou bien remettre ce prétentieux, ce faux messie à sa place (c’est l’attitude de ceux que Jean appelle « les Juifs »). En réalité, Juifs, ils le sont tous. Mais certains ont déjà vu Jésus à l’œuvre : et depuis le Baptême au bord du Jourdain, depuis les noces de Cana, ils ont pressenti plusieurs fois que Jésus était bien le Messie ; alors ils sont préparés à reconnaître dans l’attitude de Jésus un geste prophétique. D’autant plus qu’à vrai dire, tout le monde sait que les animaux des sacrifices ne devraient pas être là : normalement, les marchands de bestiaux auraient dû se trouver dans la vallée du Cédron et sur les pentes du mont des Oliviers. Peu à peu, ils se sont rapprochés du Temple jusqu’à s’installer sur l’esplanade ! C’est cela que Jésus leur reproche, à juste titre. Ceux que Jean appelle les « Juifs » n’ont pas, à son égard, la même bienveillance que les disciples. Pour eux, Jésus n’est rien : un Galiléen (et peut-il sortir quelque chose de bon de par là-bas ?) et Jésus se permet de critiquer les pratiques habituelles du Temple. Soyons justes : les Juifs n’ont pas forcément tort de lui demander de se justifier… « Quel signe peux-tu nous donner pour justifier ce que tu fais là ? » La réponse de Jésus deviendra lumineuse pour les croyants après la Résurrection : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai ». Avec son histoire de trois jours, Jésus est un peu court… Oui, mais… les prophètes, on a l’habitude qu’ils parlent comme cela, de façon énigmatique, symbolique… mais Jésus, à leurs yeux, n’est pas un prophète. Au contraire des disciples, les opposants à Jésus se sont enfermés dans leurs certitudes ; ils sont, du coup, passés à côté de cette révélation extraordinaire, qu’ils attendaient pourtant de tout leur cœur : désormais, la Présence de Dieu n’est pas dans une construction de pierre, mais au cœur même de l’humanité, dans le corps du Ressuscité.
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alxstv · 3 months
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KNOCKOUT CHAOS - JOSHUA vs NGANNOU from Alexis Baillia on Vimeo.
Director : Romain Chassaing Production : Academy Post-production : The Mill Paris
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soylazaro · 9 months
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Jacquemus | Champagne? from Pantera on Vimeo.
Directed by PANTERA for @jacquemus
Creative direction @kevintekinel and @charleslevai Creative studio @maybe Creative producer @josephinebungener
Executive producer Evan Djenki @_djenki_ Line producer @RémiFarkas Production coordinator @tiny_p Tiny Pham Production assistant @cohengabrielle Gabrielle Cohen
1st Assistant director Mark Zarka 2nd Assistant director Anna Lichtenberg
DOP Patrick Golan @packdrawn 1st AC Arthur Chassaing @chass_1 2nd AC Nathalie Dziedzic 3rd AC Mazarine-Marie Michon
Stylist coordinator Anatole Blancato Stylist Tom Guinness 1st stylist assistant Archie Grant 2nd stylist assistant Lina Velasquez 3rd stylist assistant Manvi Bhatnagar Seamstress Charline Gentilhomme Seamstress Alizée
Make-up artist Vanessa Beliini Make-up artist assistant Clémentine Roy Make-up artist assistant Xiaoyuan Yang
Hair stylist Ramona Eschbach Hair stylist assistant Alan Antoine Hair stylist assistant Romain Duplessy
Set designer @tillduca Set designer assistant Cinthia Fortin Set designer assistant Samuel Begis Set designer assistant Guillaume Ypreeuw Set designer assistant Thomas Lelong Set designer assistant Antoine Robin Dog wrangler Flamine Chesnoy
Casting Nohmad Casting Directeur de casting Antoine Guthmann Directeur de casting Michael Illel Directrice de casting Charlotte Martin
Storyboarder Eric Nosal Sound engineer Simon Farkas
Gaffer Quentin Ameziane Electrician Thomas Duprez Electrician Yannick Azzano Electrician Julien Mastoras Electrician Quentin Play
Key Grip Jean-Marc Dupuis Grip Guillaume De Bollivier Grip Fabien Veillas
Location manager Kim Shewy Location scout Cédric Freni Location manager assistant Syrielle Monnoyer Location PA Stéphane Thomas Location PA William Loiseaux Location PA Alexis Thomas Location PA Robin Broussier Location PA Max Zaccai Driver Maxime Dumenil Driver Marie Desmarais Driver Florian Hista Driver Maxime Seguin
Post production house FIRM Editor Nicolas Larrouquère @collectiv.paris Grading Julien Alary Sound design Kouz Sound design Grégoire Cousinier
Many thanks to RVZ, FIRM, Edouard Chassaing and Nicolas Tiry.
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ewsca · 1 year
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JACQUEMUS "CHAMPAGNE?" from Pantera on Vimeo.
Directed by PANTERA for @jacquemus
Creative direction @kevintekinel and @charleslevai Creative studio @maybe Creative producer @josephinebungener
Executive producer Evan Djenki @_djenki_ Line producer @RémiFarkas Production coordinator @tiny_p Tiny Pham Production assistant @cohengabrielle Gabrielle Cohen
1st Assistant director Mark Zarka 2nd Assistant director Anna Lichtenberg
DOP Patrick Golan @packdrawn 1st AC Arthur Chassaing @chass_1 2nd AC Nathalie Dziedzic 3rd AC Mazarine-Marie Michon
Stylist coordinator Anatole Blancato Stylist Tom Guinness 1st stylist assistant Archie Grant 2nd stylist assistant Lina Velasquez 3rd stylist assistant Manvi Bhatnagar Seamstress Charline Gentilhomme Seamstress Alizée
Make-up artist Vanessa Beliini Make-up artist assistant Clémentine Roy Make-up artist assistant Xiaoyuan Yang
Hair stylist Ramona Eschbach Hair stylist assistant Alan Antoine Hair stylist assistant Romain Duplessy
Set designer @tillduca Set designer assistant Cinthia Fortin Set designer assistant Samuel Begis Set designer assistant Guillaume Ypreeuw Set designer assistant Thomas Lelong Set designer assistant Antoine Robin Dog wrangler Flamine Chesnoy
Casting Nohmad Casting Directeur de casting Antoine Guthmann Directeur de casting Michael Illel Directrice de casting Charlotte Martin
Storyboarder Eric Nosal Sound engineer Simon Farkas
Gaffer Quentin Ameziane Electrician Thomas Duprez Electrician Yannick Azzano Electrician Julien Mastoras Electrician Quentin Play
Key Grip Jean-Marc Dupuis Grip Guillaume De Bollivier Grip Fabien Veillas
Location manager Kim Shewy Location scout Cédric Freni Location manager assistant Syrielle Monnoyer Location PA Stéphane Thomas Location PA William Loiseaux Location PA Alexis Thomas Location PA Robin Broussier Location PA Max Zaccai Driver Maxime Dumenil Driver Marie Desmarais Driver Florian Hista Driver Maxime Seguin
Post production house FIRM Editor Nicolas Larrouquère @collectiv.paris Grading Julien Alary Sound design Kouz Sound design Grégoire Cousinier
Many thanks to RVZ, FIRM, Edouard Chassaing and Nicolas Tiry.
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tonin-terets · 2 years
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WINAMAX - THE CHASE from Digital District™ VFX Post-Pro on Vimeo.
Director - Romain Chassaing Production - Solab Agency - ELSE/TBWA Editing - Manu Coutant VFX & Post Production - Digital District VFX Producer - Sébastien Voisin VFX Supervisor - Etienne Salançon Flame & 2D Lead Artists - Michael Marques, Jonathan Lagache & Ingmar Renouardière 3D Lead Artist - Sylvain Sarradin Color Grading - Color Paris Colorist - Arthux Paux
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nofatclips · 5 years
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Suzanne And I by Anna Calvi from the album Anna Calvi - Directed by Romain Chassaing
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cineastua · 3 years
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Sega Humankind from BOLD on Vimeo.
Directed by Romain Chassaing
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carlos-ritter · 3 years
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SEGA - Humankind from B2Y Productions on Vimeo.
Vice President /TV Producer: Fabrice Brovelli Creative: Arnaud Assouline Creative: Benjamin Le Breton Executive Producer: Baptiste Chassaing Producer: Maxime Bouyer Line Producer: Alexander Kenanov UPM (BG): Ivan Ivanov
Director: Romain Chassing DOP: Matias Boucard Production Designer: DavidDirectorBersanetti Art Director: Kristian Lekov
1st AD FR: Marie Le Grevellec 1st AD FR: Yana Viktorova 2nd AD: Velina Shtarbakova 3rd AD: Aliki Nakopulu
1st Camera Assistant: François Vigon 2nd Camera Assistant: Vladimir Velichkov Movie Operator: Myron Mance Video Controll: Georgi Sirakov Data Manager: Bogomil Georgiev Camera Trainee: Yoan Evstatiev BTC: Ivo Baldzhiev
Production Coordinator (BG): Iren Mashova Production Assistant (BG) Elitsa Fileva Chaperone: Atanas Atanasov
Gaffer: Pavel Mitov Electritian: Ivaylo Angelov Electritian: Penko Ivanov Electritian: Tsvetan Trifonov Electritian: Konstantin Bodurov Electritian: Latchezar Lazarov Electritian: Ismail Said Salton
Key Grip: Petar Stoyanov Grip: Martin Velichkov Grip: Vasil Velichkov Grip: Dimitar Petrov Grip: Marchelo Vladimirov
Casting Director: Mila Parusheva Casting Assitant: Anelia Shaneva Crowd Marshall: Mihail Petrov
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montagnarde1793 · 6 years
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Quoi ! vous portez des fers et vous osez me plaindre ! Plaignez Rome, pleurez sur ses coupables fils, Qui, sous un joug doré mollement asservis, Ont du nom des Romains vendu le privilége, Et goûtent dans l’opprobre un bonheur sacrilége. Qu’ils reçoivent le prix qu’ils ont bien acheté ; Que d’indignes trésors comble [sic] leur lâcheté, Du sein de leurs honneurs ou de leur infamie Qu’ils osent élever une voix ennemie ; Et, puisque nous avons servi Rome et les dieux, Qu’ils accusent nos mains d’un forfait odieux. Si j’en crois leurs discours Rome nous désavoue. À ton sort, ô Caton, leur haine nous dévoue ; Et moi je les dévoue à leur vile grandeur, Moi qui n’ai point terni ma première splendeur. J’ai vu la république aux factions livrée, Par ses propres enfans sans cesse déchirée, Nos droits anéantis, l’état prêt à périr. Témoin de tous ces maux, j’ai voulu les guérir : J’ai cru (jusqu’à ce jour espérance trop vaine !) Relever les débris de la grandeur romaine. Le sort va décider. Je puis mourir vaincu : Du moins je mourrai libre ainsi que j’ai vécu. Si je touche en effet au bout de ma carrière, Une austère vertu la marqua tout entière. Descendant du héros qui chassa les Tarquins, Je vous aurais rendu vos antiques destins, Si vous les méritiez, si le peuple du Tibre Était Romain encore et savait être libre. Agrippa, c’est assez ; rompons ces entretiens : Nos maîtres sont les lois ; retourne vers les tiens.
Tirade de Brutus de M-J Chénier, Brutus et Cassius ou les derniers Romains, 1790, acte II, scène III.
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christophe76460 · 8 months
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Votre langue a-t-elle besoin de guérison ? 31/35
Deux types de feux
Nous avons vu que le Créateur a donné à chacun d'entre nous une langue dans un but suprême : le glorifier.
Ceci amène à une conséquence de grande importance. Chaque emploi de notre langue qui ne glorifie pas Dieu est un mauvais emploi, parce que notre langue nous a été donnée dans le but de glorifier Dieu.
Nous connaissons ce verset dans Romains 3:23 où Paul affirme :
Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.
La nature même du péché, ce n'est pas nécessairement de commettre quelque crime terrible. La nature du péché, c'est de passer à côté, de ne pas atteindre la gloire de Dieu, ou de ne pas vivre pour la gloire de Dieu. On peut contester cela et dire : "Ce n'est pas vrai en ce qui me concerne, je n'ai pas manqué d'atteindre la gloire de Dieu."
Mais je vous demande de vérifier l'emploi de votre langue. Rappelez-vous que la seule raison pour laquelle nous avons une langue, c'est de pouvoir glorifier Dieu. Chaque fois que votre langue ne glorifie pas Dieu, c'est que vous l'avez mal utilisée. Je ne pense pas qu'un seul d'entre nous puisse dire qu'il a toujours utilisé sa langue uniquement pour la gloire de Dieu. Aussi nous devons reconnaître la vérité de cette déclaration de Paul disant que "nous avons tous péché et nous avons manqué d'atteindre la gloire de Dieu". Si cela n'est pas vrai dans tout autre domaine, cela est vrai en ce qui concerne la langue.
Deux sortes de feux se retrouvent sur la langue humaine. En premier, le feu de l'enfer qui enflamme la langue de l'homme pécheur, naturel, et non régénéré. Jacques dit :
La langue est un feu, elle est le monde de l'injustice : la langue a sa place parmi nos membres, elle souille tout le corps et embrase tout le cours de l'existence, embrasée qu'elle est par la géhenne. (Jacques 3:6)
Ce feu dans la langue humaine vient de l'enfer même et ses fruits, ses résultats et ses conséquences sont infernaux. Mais le jour de la Pentecôte, lorsque Dieu rassembla en un seul corps la communauté rachetée qu'il voulait utiliser pour sa gloire sur la terre, une autre sorte de feu vint d'une autre source. Le feu du Saint-Esprit vient du ciel, et non de l'enfer. Le Saint-Esprit œuvra d'abord dans les langues de ceux qui se trouvaient dans la chambre haute. En d'autres termes, le feu de Dieu chassa le feu de l'enfer de la langue naturelle. Le feu de l'enfer fut remplacé par un feu qui lave, purifie et glorifie Dieu.
Ma Prière aujourd'hui :
"Merci, Seigneur Jésus, pour le feu de ton Saint-Esprit, qui me nettoie, me purifie et me rend saint. Merci pour les nouvelles langues, le parler en langues, que tu m'as donné, pour que je puisse toujours t'adorer, intercéder et glorifier ton nom. Je prie pour que tu me remplisses toujours plus de ton Esprit ! Au nom de Jésus, amen."
Derek Prince
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yes-bernie-stuff · 3 years
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Livre de l'Exode 14,15-31.15,1a.
En ces jours-là, le Seigneur dit à Moïse : « Pourquoi crier vers moi ? Ordonne aux fils d’Israël de se mettre en route !
Toi, lève ton bâton, étends le bras sur la mer, fends-la en deux, et que les fils d’Israël entrent au milieu de la mer à pied sec.
Et moi, je ferai en sorte que les Égyptiens s’obstinent : ils y entreront derrière eux ; je me glorifierai aux dépens de Pharaon et de toute son armée, de ses chars et de ses guerriers.
Les Égyptiens sauront que je suis le Seigneur, quand je me serai glorifié aux dépens de Pharaon, de ses chars et de ses guerriers. »
L’ange de Dieu, qui marchait en avant d’Israël, se déplaça et marcha à l’arrière. La colonne de nuée se déplaça depuis l’avant-garde et vint se tenir à l’arrière,
entre le camp des Égyptiens et le camp d’Israël. Cette nuée était à la fois ténèbres et lumière dans la nuit, si bien que, de toute la nuit, ils ne purent se rencontrer.
Moïse étendit le bras sur la mer. Le Seigneur chassa la mer toute la nuit par un fort vent d’est ; il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent.
Les fils d’Israël entrèrent au milieu de la mer à pied sec, les eaux formant une muraille à leur droite et à leur gauche.
Les Égyptiens les poursuivirent ; tous les chevaux de Pharaon, ses chars et ses guerriers entrèrent derrière eux jusqu’au milieu de la mer.
Aux dernières heures de la nuit, le Seigneur observa, depuis la colonne de feu et de nuée, l’armée des Égyptiens, et il la frappa de panique.
Il faussa les roues de leurs chars, et ils eurent beaucoup de peine à les conduire. Les Égyptiens s’écrièrent : « Fuyons devant Israël, car c’est le Seigneur qui combat pour eux contre nous ! »
Le Seigneur dit à Moïse : « Étends le bras sur la mer : que les eaux reviennent sur les Égyptiens, leurs chars et leurs guerriers ! »
Moïse étendit le bras sur la mer. Au point du jour, la mer reprit sa place ; dans leur fuite, les Égyptiens s’y heurtèrent, et le Seigneur les précipita au milieu de la mer.
Les eaux refluèrent et recouvrirent les chars et les guerriers, toute l’armée de Pharaon qui était entrée dans la mer à la poursuite d’Israël. Il n’en resta pas un seul.
Mais les fils d’Israël avaient marché à pied sec au milieu de la mer, les eaux formant une muraille à leur droite et à leur gauche.
Ce jour-là, le Seigneur sauva Israël de la main de l’Égypte, et Israël vit les Égyptiens morts sur le bord de la mer.
Israël vit avec quelle main puissante le Seigneur avait agi contre l’Égypte. Le peuple craignit le Seigneur, il mit sa foi dans le Seigneur et dans son serviteur Moïse.
Alors Moïse et les fils d’Israël chantèrent ce cantique au Seigneur :
Livre de l'Exode 15,1b.2.3-4.5-6.17-18.
Je chanterai pour le Seigneur !
Éclatante est sa gloire :
il a jeté dans la mer
cheval et cavalier !
Ma force et mon chant, c’est le Seigneur :
il est pour moi le salut.
Il est mon Dieu, je le célèbre ;
j’exalte le Dieu de mon père.
Le Seigneur est le guerrier des combats ;
son nom est « Le Seigneur ».
Les chars du Pharaon et ses armées, il les lance dans la mer.
L’élite de leurs chefs a sombré dans la mer Rouge.
L’abîme les recouvre :
ils descendent, comme la pierre,
au fond des eaux.
Ta droite, Seigneur,
magnifique en sa force,
ta droite, Seigneur,
écrase l’ennemi.
Tu les amènes, tu les plantes sur la montagne, ton héritage,
le lieu que tu as fait, Seigneur, pour l’habiter,
le sanctuaire, Seigneur, fondé par tes mains.
Le Seigneur régnera pour les siècles des siècles.
Lettre de Paul Apôtre aux Romains 6,3b-11.
Frères, nous tous qui par le baptême avons été unis au Christ Jésus, c’est à sa mort que nous avons été unis par le baptême.
Si donc, par le baptême qui nous unit à sa mort, nous avons été mis au tombeau avec lui, c’est pour que nous menions une vie nouvelle, nous aussi, comme le Christ qui, par la toute-puissance du Père, est ressuscité d’entre les morts.
Car, si nous avons été unis à lui par une mort qui ressemble à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection qui ressemblera à la sienne.
Nous le savons : l’homme ancien qui est en nous a été fixé à la croix avec lui pour que le corps du péché soit réduit à rien, et qu’ainsi nous ne soyons plus esclaves du péché.
Car celui qui est mort est affranchi du péché.
Et si nous sommes passés par la mort avec le Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui.
Nous le savons en effet : ressuscité d’entre les morts, le Christ ne meurt plus ; la mort n’a plus de pouvoir sur lui.
Car lui qui est mort, c'est au péché qu'il est mort une fois pour toutes ; lui qui est vivant, c'est pour Dieu qu'il est vivant.
De même, vous aussi, pensez que vous êtes morts au péché, mais vivants pour Dieu en Jésus Christ.
Évangile de Jésus-Christ selon Marc 16,1-7.
Le sabbat terminé, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des parfums pour aller embaumer le corps de Jésus.
De grand matin, le premier jour de la semaine, elles se rendent au tombeau dès le lever du soleil.
Elles se disaient entre elles : « Qui nous roulera la pierre pour dégager l’entrée du tombeau ? »
Levant les yeux, elles s’aperçoivent qu’on a roulé la pierre, qui était pourtant très grande.
En entrant dans le tombeau, elles virent, assis à droite, un jeune homme vêtu de blanc. Elles furent saisies de frayeur.
Mais il leur dit : « Ne soyez pas effrayées ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, le Crucifié ? Il est ressuscité : il n’est pas ici. Voici l’endroit où on l’avait déposé.
Et maintenant, allez dire à ses disciples et à Pierre : “Il vous précède en Galilée. Là vous le verrez, comme il vous l’a dit.” »
 © AELF, Paris
Pour toi, il est monté, victorieux des enfers
« Il y a un temps pour la joie, dit Salomon, et un temps pour la tristesse. » (cf. Qo 3,4) La tristesse est passée, le temps de la joie est arrivé, la vraie joie qui provient de la résurrection du Christ. (...)
Pour toi, il est monté, victorieux des enfers, il a brisé les portes d’airain, il a rompu les barres de fer, il s’est emparé des forteresses de l’enfer, il a écrasé les têtes du dragon. De tes ennemis, il a fait un immense carnage ; il a attaché dans la fosse le prince des enfers. Il a tué la mort et il a mis aux fers l’auteur de la mort. (...) Ensuite, il a retiré les siens des ténèbres et il a rompu leurs liens. Il s’est associé les âmes de tous les justes marchant à la lumière de son visage et exultant en son nom. Elles ont été exaltées dans sa justice, elles qui avaient été humiliées pour leurs injustices.
Dans son passage aux enfers, le Seigneur Jésus fut seul, ainsi que l’a chanté David en sa personne, disant : « Pour moi, je suis seul, tandis que je passe. » (cf. Ps 140,10) Seul à l’entrée, mais nullement seul à la sortie, car il a ramené avec lui d’innombrables milliers de saints. Il est tombé en terre et il est mort, de sorte qu’il a porté beaucoup de fruit (cf. Jn 12,24). Il s’est laissé tomber comme une semence pour récolter en moisson le genre humain. (...) Oui, morts aux péchés en nous-mêmes à la fontaine baptismale, par le bain de la régénération nous renaissons au Christ, afin de vivre à celui qui est mort pour tous. Aussi l’Apôtre dit-il : « Vous tous qui avez été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ. » (cf. Ga 3,27) D’un seul grain viennent donc des moissons nombreuses. (...)
C’est de lui aussi que l’Apôtre dit : « C’est pourquoi Dieu l’a exalté et lui a donné le Nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse, au ciel, sur terre et dans les enfers. » (Ph 2,9-10) Oui, les enfers fléchissent le genou devant lui par frayeur, la terre par son rachat, les cieux par félicité.
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blogdimanche · 3 years
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 2,13-25:
13 « Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem. 14 Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs. 15 Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs, 16 et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. » 17 Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit : L’amour de ta maison fera mon tourment. 18 Des Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? » 19 Jésus leur répondit : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. » 20 Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais ! » 21 Mais lui parlait du sanctuaire de son corps. 22 Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite. 23 Pendant qu’il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque, beaucoup crurent en son nom, à la vue des signes qu’il accomplissait. 24 Jésus, lui, ne se fiait pas à eux, parce qu’il les connaissait tous 25 et n’avait besoin d’aucun témoignage sur l’homme ; lui-même, en effet, connaissait ce qu’il y a dans l’homme. »
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Commentaire Jn 2,19:
« Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai ! » (Jn 2,19). Mettons-nous à la place de ceux qui ont assisté à cette colère de Jésus : il y a longtemps qu’on trouve sur l’esplanade du Temple des marchands d’animaux ; quand on vient en pèlerinage à Jérusalem, parfois de très loin, on s’attend bien à trouver sur place des bêtes à acheter pour les offrir en sacrifice. Quant aux changeurs de monnaie, on en a besoin aussi : on est sous occupation romaine, et les pièces frappées à l’effigie de l’empereur sont indignes de figurer à la quête ! Et pourtant, en ville, elles sont indispensables. Donc, en arrivant au Temple, on change ce qu’il faut contre de la monnaie juive. Alors, qu’est-ce qui le prend ? Comme souvent, il agit d’abord, il explique ensuite, mais on ne comprend pas bien, ou pas du tout. On comprendra plus tard : « Quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite. » (2,22). Et encore, tout le monde ne comprendra pas... Pour l’instant, la violence de Jésus est inattendue, ses paroles encore plus ! Et le reproche qu’il fait aux vendeurs (« Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. » 2,16) laisse entendre qu’il se prend pour un prophète ; Jérémie avait lancé : « Cette Maison sur laquelle mon Nom a été proclamé, la prenez-vous donc pour une caverne de bandits ? » (Jr 7,11). Mieux, il se prend carrément pour le Messie : car le prophète Zacharie avait annoncé : « Il n’y aura plus de marchand dans la Maison du Seigneur le tout-puissant en ce jour-là » (sous-entendu le jour de la venue du Messie ; Za 14,10). Et, pire encore peut-être, en parlant du Temple de Jérusalem, il ose dire « la maison de mon Père ». Car pour ceux que l’Évangéliste Jean appelle les « Juifs », Jésus n’est qu’un Galiléen qui se permet de critiquer les pratiques habituelles du Temple. Soyons justes : ils n’ont pas forcément tort de lui demander de se justifier... « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? » (Jn 2,18) La réponse de Jésus deviendra lumineuse pour les croyants après la Résurrection : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai ». Pour l’instant, on ne peut pas leur donner tort. Un homme tout seul ne peut évidemment pas entreprendre des travaux pareils ! Il ne peut y arriver ni en trois jours, ni en quarante-six ans, ni en toute une vie ! Ce Temple magnifique, respecté de tous, parce qu’il est le signe manifeste de la présence de Dieu au milieu de son peuple, ce Temple n’attend rien du charpentier de Nazareth. Avec son histoire de trois jours, il est un peu court... Encore que... pour un Juif, habitué de l’Écriture, trois jours c’était un chiffre dont on parlait souvent : c’était habituellement une manière symbolique d’affirmer « Dieu interviendra certainement » ; on lit cela dans le livre d’Osée, par exemple (Os 6) ; or, le livre d’Osée, nos Juifs le connaissaient sur le bout du doigt, sûrement ! Oui, mais... les prophètes, on a l’habitude qu’ils parlent comme cela, de façon énigmatique, symbolique... mais lui, à leurs yeux, ce n’est pas un prophète ! Tout le problème est là, d’après Jean : et s’il a placé cet épisode du Temple au début du ministère public de Jésus alors que les trois autres évangiles le placent au contraire tout à la fin, c’est peut-être pour nous alerter : il y a des a priori qui empêchent Dieu de parler. Les disciples n’avaient pas de ces a priori, ils ont pu accompagner Jésus pas à pas et le découvrir peu à peu ; au contraire, ses opposants se sont enfermés dans leurs certitudes ; ils sont, du coup, passés à côté de cette révélation extraordinaire, qu’ils attendaient pourtant de tout leur coeur : désormais, la Présence de Dieu n’est pas dans une construction de pierre, mais au coeur même de l’humanité, dans le corps du Ressuscité.
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11-5-2018 VOIR OU REVOIR OU DECOUVRIR
Présentation©HD PARCS NATIONAUX N°1 : GRAND CANYON – MONUMENT VALLEY-2008 PHOTOS-PHOTOS PEINTURES MARTINE ANCIAUX MONDE TV WEB© THOMASANDRE,poète,écrivain,MARTINEANCIAUX,photographed’art,créatricedelaphoto-peinture, creatorphotopainting,Art 21ème Siècle, art photographer, USA SAUT DANS L’OUEST ©GRAND CANYON Poème THOMAS André©
Nous arrivons dans un lieu magique, Où l’immensité nous déroute, Pourtant  nous tournons autour d’elle, par une route, Stoppant au point de vue notifié, et là c’est fantastique.
Comme cet arbre sec, et torturé, Nous voyons, devant nos yeux éblouis, Un spectacle, d’une nature découpé, Comme si le magicien Harry POTTER, y avait souscrit.
Comme opéré au scalpel, et laissé à l’état libre, Le temps de cet univers, étant différent, De notre vie, et de son présent, Ici, tout semble figé, dans une structure, appropriée à revivre.
Dans ce merveilleux parc, où le silence est d’or Il est souvent troublé par des motards, avec des marques en or. Ici, c’est le règne de la HARLEY DAVIDSON, la marque mythique, Aux sympathiques motards, Martine demande de prendre, la photo de cet engin magnifique.
Dans cet espace intemporel, devant l’hôtel, trône l’aigle, symbole Américain, Pourquoi ce rapace a t- il tant attiré Napoléon, César, et l’empire romain. Cet arrêt buffet, pour nous français est une obligation, Car voyager le ventre vide, enlève la lucidité de l’esprit, et la réflexion.
Cette petite halte nous aura permis de voir l’art des tribus indiennes, Leur art, il faut le voir dans les musées des tribus amérindiennes. Du moindre mocassin en passant par le tomawak tout est personnalisé, Soit par symbole ou par graphisme, c’est là que s’inscrit leur personnalité.
Dans ces montagnes, on peut rencontrer des couguars, Appelé aussi roi des montagnes. Ne chassant que pour manger, Grâce à cela, vous ne servirez pas de déjeuner.
L’idéal, c’est de voler en hélicoptère, sur ce grand canyon. Alors, on sent le travail de l’érosion, pour creuser un tel canyon. Il en aura fallu des siècles, et des conjonctures, Pour que nous, de notre machine volante, nous voyons ce merveilleux miracle de la nature.
©Monument Valley poème THOMAS André©
En ce temps-là, les bisons parcouraient la plaine, Dans un bruit fracassant, qui faisait trembler la plaine. Les éclaireurs de la tribu, signalaient le parcours des bêtes sauvages, Aucunes erreurs n’étaient admises, sans cette chasse, la tribu pouvait souffrir, de gros dommages.
Sous les tentes, les familles, auraient crié famine, pour vivre la chasse, était vitale. La chasse aux bisons, est tout un art, munis d’un arc et des flèches, Le chasseur indien, à cheval, et en pleine vitesse, doit pouvoir faire pénétrer sa flèche, Le bison étant en mouvement, la précision est primordiale.
Longtemps ses pâturages, étaient restés sans autres occupants Puis vint la frénésie, de l’homme blanc, occuper pour s’établir, Loin de la compréhension, du peuple indien, le visage pale, chassa les habitants, Afin de pouvoir, tout posséder, et s’enrichir.
Dans ce paysage grandiose, cadre de vie, des indiens, Où la valeur du temps, n’a qu’une infime vérité, Le blanc massacra, souvent sans raison, le territoire des indiens, S’abrogeant le droit de détruire, toutes les tribus, et leurs identités.
Après de grosses guerres, fut signé un traité, Entre les indiens, et les hommes blancs. Les tribus furent parquées, dans des réserves, sous le commandement, d’un homme blanc, Et malheureusement, il y eut de la part des visages pâles, souvent un non-respect du traité.
En 2008, j’ai fait le tour de Monument Valley, avec un formidable guide indien Navajo, Nous montrant son territoire, et le sable rouge de son sol, ainsi que son immensité. Les excursions, sont faites par des guides navajos. Qui nous font découvrir, ce merveilleux territoire, et sa sérénité.
Loin des grandes fureurs, Et avec déjà, beaucoup de chaleur. Dans des lieux, de recueillements, Nous avons traversé, cette vallée admirativement, et respectueusement.
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Jésus-Christ
Preuves de l'existence historique de Jésus-Christ. Jésus-Christ a-t-il vraiment existé? Jésus est il un personnage historique? Que dit l'histoire de Jésus? 
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Documents chrétiens sur Jésus
Les documents du Nouveau Testament sont les textes les plus anciens que nous ayons sur Jésus. Ils présentent tous Jésus comme ayant réellement existé.
Après le Nouveau Testament, les écrits des Pères apostoliques sont les plus anciens. Ils ont écrit par exemple l'Epître de Clément de Rome (fin du 1er), celles d'Ignace d'Antioche (début du IIème), l'Epître de Polycarpe (avant l'an 170), etc. Pour eux il ne fait aucun doute que Jésus est un personnage historique. Il en est de même des Pères de l'Eglise. On peut citer par exemple :
a. Justin Martyr (100 - 165)
Philosophe qui est devenu chrétien, et qui est mort martyr décapité. Il écrit à l'empereur Antonin le Pieux vers 150 :
"Vous pourrez vous assurer que les faits sont véridiques en consultant les actes qui furent enregistrés sous Ponce Pilate... " (Apologie I, 35.7-9)
A propos des miracles de Jésus :
"Vous pourrez facilement vérifier qu'il a réellement accompli ces miracles en lisant les actes de Ponce Pilate" (Apologies I, 48.3)
b. Tertullien (env 155 – env 225)
A la fois juriste et théologien, il a écrit son apologie du christianisme à Carthage en 197, à l'intention des autorités romaines en Afrique :
" Tibère, sous le règne de qui le nom de chrétien a fait son entrée dans le monde, soumit au sénat les faits qu'on lui avait annoncés de Syrie-Palestine, faits qui avaient révélé là bas la vérité sur la divinité du Christ, et il manifesta son avis favorable. Le sénat, n'ayant pas lui-même vérifié ces faits vota contre. [Tibère] persista dans son sentiment et menaça de mort les accusateurs des chrétiens." (Tertullien : Apologétique V.2)
Documents non chrétiens sur Jésus
Historien païen dont les écrits qui datent de 52 sont perdus ; seuls quelques fragments cités par d'autres auteurs nous sont parvenus. Ainsi, Jules l'Africain, auteur chrétien des années 220 cite Thallus, à propos de l'obscurité qui a eu lieu lors de la crucifixion de Jésus :
"Thallus, au troisième livre de son Histoire explique cette obscurité par une éclipse, ce qui me parait inacceptable!".
Il s'agit ici d'une preuve "indirecte" de l'existence de Jésus : le fait que cet auteur parle de "l'éclipse" qui a eu lieu lors de la crucifixion de Jésus, implique qu'il considère comme acquis l'existence de Jésus.
Prêtre, pharisien, il était chef militaire Juif pendant la guerre contre Rome. Il s'est rendu au général romain Vespasien, pendant le siège de Jotapa, alors que beaucoup de ses compagnons se sont suicidés plutôt que de se rendre. Sa collaboration avec les romains l'a fait haïr par ses compatriotes juifs. Historien juif, il a écrit "Guerre des juifs" (75-79), et "Antiquités Juives" (93).
"...Jésus, qui était un homme sage, si toutefois on doit le considérer comme un homme, tant ses œuvres étaient admirables... Des chefs de notre nation l'ayant accusé devant Pilate, celui-ci le fit crucifier... Il leur apparut vivant et ressuscité le troisième jour..." (Antiquités 18.3.3)
"Anan le jeune, qui avait reçu le grand-pontificat, ... réunit un sanhédrin, traduisit devant lui Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d'avoir transgressé la loi, et les fit lapider."
(Antiquités 20.8.1)
Remarque : Des critiques (qui ne remettaient cependant pas en cause que Josèphe ait parlé de Jésus) ont été émises quant à l'historicité totale du passage de Antiquités 18.3.3. A ce jour, l'authenticité globale de ce passage n'est plus mise en doute, même s'il contient peut-être quelques interpolations ("si on doit le considérer comme un homme", "il leur apparut vivant et ressuscité le troisième jour").
Lettre envoyée par un Syrien nommé Mara Bar-Serapion, à son fils Serapion. Alors qu'il est en prison, il encourage son fils à poursuivre la sagesse, soulignant que ceux qui ont persécuté les sages ont eu des problèmes. Il prend comme exemple les morts de Socrates, Pythagore et Christ. A propos de Christ il dit :
"... quel avantage les Juifs ont-ils gagné à exécuter leur roi sage ? Leur royaume fut anéanti peu après..."
Archiviste à la cour de l'empereur Hadrien. Disgracié en 122, il se consacra à des ouvrages historiques.
"Comme les juifs ne cessaient de troubler la cité sur l'instigation d'un certain Christus, il (Claude) les chassa de Rome" (Vie de Claude, XXV.11)
"Il livra aux supplices les Chrétiens, race adonnée à une superstition nouvelle et coupable" (Vie de Néron, XVI.3).
Ce passage n'est pas une preuve directe de l'existence de Christ ; mais il prouve qu'au temps de Néron, c'est à dire une trentaine d'années après la mort de Christ, il y avait des personnes qui se réclamaient de Christ : difficile de croire alors que Christ n'ai pas réellement existé !
Il est considéré comme le plus grand historien de la Rome impériale.
Il décrit l'incendie de Rome en 64, et explique que les chrétiens sont devenus les boucs émissaires de Néron qui les accuse d'avoir provoqué le feu ; vers 116 il écrit :
"le nom de chrétien leur vient du nom de Christ, qui fut condamné sous le règne de Tibère, par le procureur Ponce Pilate, ..." (Annales, 15.44)
Ecrivain latin. Il était gouverneur de la Bithynie (au nord-ouest de la Turquie) en 112. Dans une lettre adressée à l'empereur Trajan il lui demande conseil sur la façon de traiter les chrétiens :
"Ceux qui niaient être chrétiens ou l'avoir été, s'ils invoquaient des dieux selon la formule que je leur dictais et sacrifiaient par l'encens et le vin devant ton image que j'avais fait apporter à cette intention avec les statues des divinités, si en outre ils blasphémaient le Christ - toutes choses qu'il est, dit-on, impossible d'obtenir de ceux qui sont vraiment chrétiens -, j'ai pensé qu'il fallait les relâcher... [Ceux qui disaient qu'ils étaient chrétiens] affirmaient que toute leur faute, ou leur erreur, s'était bornée à avoir l'habitude de se réunir à jour fixe, avant le lever du soleil, de chanter entre eux alternativement un hymne au Christ comme à un dieu, ..." (Lettres et Panégyrique de Trajan : X/96/5-7)
Ce texte n'affirme pas l'existence de Jésus Christ, mais la confirme de façon indirecte : il prouve en effet qu'au début du IIème, des hommes et des femmes croyaient fermement à son existence.
Ecrivain grec satirique. Il parle de Christ comme :
"Celui qui est honoré en Palestine, où il fut mis en croix pour avoir introduit ce nouveau culte parmi les hommes... Le premier législateur [des chrétiens] les a encore persuadés qu'ils sont tous frères. Dès qu'ils ont une fois changé de culte, ils renoncent aux dieux des Grecs, et adorent le sophiste crucifié dont ils suivent les lois." (Mort de Pérégrinus, paragraphe 11-13)
Philosophe platonicien. Il est romain et auteur du "Discours véritable ", virulente attaque contre le christianisme. Il écrit :
"Vous nous donnez pour Dieu un personnage qui termina par une mort misérable une vie infâme".
Remarque : On ne connaît ses écrits que par la réfutation qu'en fit Origène dans son livre "Contre Celse" (7,53).
Le Talmud est composé de la Mishna (recueil de lois et traditions juives mises par écrit vers le IIème) et des Gemaras (commentaires de la Mishna). Le Talmud Babylonien qui a été achevé d'écrire vers la fin du IVème siècle :
ne met pas en doute la réalité historique de Jésus-Christ,
dit que Jésus était transgresseur de la loi, pratiquant la magie, faisant fi des sentences des sages, ...
dit que ses disciples guérissent les malades en son nom.
Il est important de noter que le Talmud est à priori hostile à Jésus : on ne peut donc taxer ses textes de partisans. Ainsi, le Talmud atteste fortement l'historicité de Jésus, mais aussi le fait que Jésus accomplissait des miracles puisqu'il considère que Jésus pratiquait la magie ! Et il en est de même pour les miracles accomplis par les disciples puisqu'il reconnaît que ses disciples guérissaient des malades en son nom …
Le plan de notre Père céleste
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La vie de Jésus
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A-t-on des preuves de la résurrection de Jésus Christ?
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Livre de Mormon - 3 Nephi 8-11 
Le Christ apparaît aux Néphites
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circumdatanocte · 4 years
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art poétique, nicolas boileau (1701)
Chant I 
C’est en vain qu’au Parnasse un téméraire auteur / Pense de l’art des vers atteindre la hauteur : / S’il ne sent point du ciel l’influence secrète, / Si son astre en naissant ne l’a formé poète, / Dans son génie étroit il est toujours captif : / Pour lui Phébus est sourd, et Pégase est rétif.”
“Craignez d’un vain plaisir les trompeuses amorces, / Et consultez longtemps votre esprit et vos forces.”
“Mais souvent un esprit qui se flatte et qui s’aime / Méconnaît son génie et s’ignore soi-même.”
“Quelque sujet qu’on traite, ou plaisant, ou sublime, / Que toujours le bon sens s’accorde avec la rime : / L’un l’autre vainement ils semblent se haïr ; / La rime n’est qu’une esclave, et ne doit qu’obéir.”
“Aimez donc la raison ; que toujours vos écrits / Empruntent d’elle seule et leur luxe et leur prix.”
“Ils croiraient s’abaisser, dans leurs vers monstrueux, / S’ils pensaient ce qu’un autre a pu penser comme eux.”
“Tout doit tendre au bon sens : mais, pour y parvenir, / Le chemin est glissant et pénible à tenir : / Pour peu qu’on s’en écarte aussitôt on se noie. / La raison pour marcher n’a souvent qu’une voie.”
“Fuyez de ces auteurs l’abondance stérile, / Et ne vous chargez point d’un détail inutile. / Tout ce qu’on dit de trop est fade et rebutant ; / L’esprit rassasié le rejette à l’instant. / Qui ne sait se borner ne sut jamais écrire. / Souvent la peur d’un mal nous conduit dans un pire.”
“J’évite d’être long, et je deviens obscur”
“Voulez-vous du public mériter les amours, / Sans cesse en écrivant variez vos discours. / Un style trop égal et toujours uniforme / En vain brille à nos yeux, il faut qu’il nous endorme. / On lit peu ces auteurs, nés pour nous ennuyer, / Qui toujours sur un ton semblent psalmodier. / Heureux qui, dans ses vers, sait d’une voix légère / Passer du grave au doux, du plaisant au sévère !”
“Quoi que vous écriviez, évitez la bassesse / [...] Au mépris du bon sens, le burlesque effronté / Trompa les yeux d’abord, plut par sa nouveauté : / On ne vit plus en vers que pointes triviales ; / Le Parnasse parla le langage des halles”
“Le plus mauvais plaisant eut des approbateurs”
“Que ce style ne souille jamais votre ouvrage. / Imitons de Marot l’élégant badinage, / Et laissons le burlesque aux plaisants du Pont-Neuf.”
“Prenez mieux votre ton. Soyez simple avec art, / Sublime sans orgueil, agréable sans fard. / N’offrez rien au lecteur que ce qui peut lui plaire. / Ayez pour la cadence une oreille sévère : / Que toujours dans vos vers le sens coupant les mots, / Suspende l’hémistiche, en marque le repos. / Gardez qu’une voyelle à courir trop hâtée / Ne soit d’une voyelle en son chemin heurtée. / Il est un heureux choix de mots harmonieux. / Fuyez des mauvais sons les concours odieux : / Le vers le mieux rempli, la plus noble pensée / Ne peut plaire à l’esprit quand l’oreille est blessée.”
“Enfin Malherbe vint, et le premier en France, / Fit sentir dans les vers une juste cadence, / D’un mot mis à sa place enseigna le pouvoir, / Et réduisit la muse aux règles du devoir. / Par ce sage écrivain la langue réparée / N’offrit plus rien de rude à l’oreille épurée.”
“Et le vers sur le vers n’osa plus enjamber”
“Tout reconnut ses lois ; et ce guide fidèle / Aux auteurs de ce temps sert encore de modèle. / Marchez donc sur ses pas ; aimez sa pureté, / Et de son tour heureux imitez la clarté.”
“Si le sens de vos vers tarde à se faire entendre, / Mon esprit aussitôt commence à se détendre, / Et, de vos vains discours prompt à se détacher, / Ne suit point un auteur qu’il faut toujours chercher.”
“Avant donc que d’écrire, apprenez à penser. / Selon que votre idée est plus ou moins obscure, / L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. / Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, / Et les mots pour le dire arrivent aisément.”
“Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin, / Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain. / Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse / Et ne vous piquer point d’une folle vitesse”
“J’aime mieux un ruisseau [...] / Qu’un torrent débordé [...]”
“Hâtez vous lentement ; et, sans perdre courage / Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : / Polissez-le sans cesse et repolissez ; / Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.”
“Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ; / Que le début, la fin, répondent au milieu ; / Que d’un art délicat les pièces assorties / N’y forment qu’un seul tout de diverses parties”
“Craignez-vous pour vos vers la censure publique ? / Soyez à vous-mêmes un sévère critique. / L’ignorance est toujours prête à s’admirer. / Faites-vous des amis prompts à vous censurer. / Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères, / Et de tous vos défauts les zélés adversaires.”
“Mais sachez de l’ami discerner le flatteur : / Tel vous semble applaudir qui vous raille et vous joue. / Aimez qu’on vous conseille et non pas qu’on vous loue.”
“Un saga ami, toujours rigoureux, inflexible, / Sur vos fautes jamais ne vous laisse paisible.”
“Et, pour finir enfin par un trait de satire / Un sot trouve toujours un plus sot qui l’admire.”
Chant II
“Telle, aimable en son air, mais humble dans son style, / Doit éclater sans pompe une élégante idylle.”
“Entre ces deux excès la route est difficile. / Suivez, pour la trouver, Théocrite et Virgile : / Que leurs tendres écrits, par les Grâces dictés, / Ne quittent point vos mains, jour et nuit feuilletés.”
“Dans un ton un peu plus haut, mais pourtant sans audace, / La plaintive élégie en longs habits de deuil / Sait, les cheveux épars, gémir sur un cercueil.”
“Mais, pour bien exprimer ces caprices heureux, / C’est peu d’être poète, il faut être amoureux. / Je hais ces vains auteurs, dont la muse forcée / M’entretient de ses feux, toujours froide et glacée”
“Leurs transports les plus doux ne sont que phrases vaines”
“Ce n’était pas jadis sur ce ton ridicule / Qu’Amour dictait les vers que soupirait Tibulle”
“Il faut que le coeur seul parle dans l’élégie”
“L’ode, avec plus d’éclat, et non moins d’énergie, / Élevant jusqu’au ciel son vol ambitieux, / Entretient dans ses vers commerce avec les cieux. / [...] Son style impétueux souvent marche au hasard. / Chez elle un beau désordre est l’effet de l’art.”
“On dit, à ce propos, qu’un jour ce dieu bizarre [Apollon] / Voulant pousser à bout tous les rimeurs françois, / Inventa du sonnet les rigoureuses lois / [...] Défendit qu’un vers faible y pût jamais entrer, / Ni qu’un mot déjà mis osa s’y remontrer.”
“Un sonnet sans défaut vaut seul un long poème.”
“L’épigramme, plus libre en son tour plus borné, / N’est souvent qu’un bon mot de deux rimes orné.”
“Chaque mot eut toujours deux visages divers”
“La raison outragée enfin ouvrit les yeux, / La [la pointe] chassa pour jamais des discours sérieux ; / Et, dans tous ces écrits la déclarant infâme / Par grâce lui laissa l’entrée dans l’épigramme, / Pourvu que sa finesse, éclatant à propos, / Roulât sur la pensée, et non pas sur les mots. / Ainsi de toutes parts les désordres cessèrent.”
“Ce n’est pas quelquefois qu’une muse un peu fine / Sur un mot, en passant, ne joue et ne badine, / Et d’un sens détourné n’abuse avec succès ; / Mais fuyez sur ce point un ridicule excès, / Et n’allez pas toujours d’une pointe frivole / Aiguiser par la queue une épigramme folle. / Tout poème est brillant de sa propre beauté.”
“L’ardeur de se montrer, et non pas de médire, / Arma la Vérité du vers de la satire.”
“Lucile le premier osa la faire voir, / Aux vices des Romains présenta le miroir, / Vengea l’humble vertu, de la richesse altière, / Et l’honnête homme altier, du faquin en litière.”
“Horace à cette aigreur mêla son enjoûment ; / On ne fut plus ni fat ni sot impunément ; / Et malheur à tout nom, qui, propre à la censure, / Put entrer dans un vers sans rompre la mesure !”
“Perse, en ses vers obscurs, mais serrés et pressants, / Affecta d’enfermer moins de mots que de sens.”
“Juvénal, élevé dans les cris de l’école, / Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. / Ses ouvrages, pleins d’affreuse vérité, / Étincellent pourtant de sublimes beautés. / [...] Ses écrits pleins de feu partout brillent aux yeux.”
“De ces maîtres savants disciple ingénieux, / Régnier seul parmi nous formé sur leurs modèles, / Dans son vieux style encore a des grâces nouvelles.”
“Je veux dans la satire un esprit de candeur, / Et fuis un effronté qui prêche la pudeur.”
“Le Français, né malin, forma le vaudeville”
“Toutefois n’allez pas, goguenard dangereux / Faire Dieu le sujet d’un badinage affreux. / [...] Il faut, même en chanson, du bon sens et de l’art. / Mais pourtant on a vu le vin et le hasard / Inspirer quelquefois une muse grossière / Et fournir, sans génie, un couplet à Lignière.”
Chant III
“D’un pinceau délicat, l’artifice agréable / Du plus affreux objet fait un objet aimable.”
“Ainsi, pour nous charmer, la Tragédie en pleurs / D’Oedipe tout sanglant fit parler les douleurs, / D’Oreste parricide exprima les alarmes / Et, pour nous divertir, nous arracha des larmes.”
“Que dans tous vos discours la passion émue / Aille chercher le cœur, l’échauffe et le remue.”
“Le secret est d’abord de plaire et de toucher : / Inventez des ressorts qui puissent m’attacher / Que dès les premiers vers l’action préparée / Sans peine du sujet aplanisse l’entrée. / Je me ris d’un acteur qui, lent à s’exprimer / De ce qu’il veut, d’abord ne sait pas m’informer, / Et qui débrouillant mal une pénible intrigue / D’un divertissement me fait une fatigue.”
“Le sujet n’est jamais assez tôt expliqué. / Que le lieu de la scène y soit fixe et marqué.”
“Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli / Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli.”
“Jamais au spectateur n’offrez rien d’incroyable / Le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable. / Une merveille absurde est pour moi sans appas : / L’esprit n’est point ému de ce qu’il ne croit pas.”
“Ce qu’on ne doit point voir, qu’un récit nous l’expose. / Les yeux en le voyant saisiraient mieux la chose ; / Mais il est des objets que l’art judicieux / Doit offrir à l’oreille et reculer des yeux.”
“Que le trouble, toujours croissant de scène en scène, / A son comble arrivé se débrouille sans peine.”
“Sophocle enfin, donnant l’essor à son génie, / Accrut encore la pompe, augmenta l’harmonie, / Intéressa le chœur dans toute l’action, / Des vers trop raboteux polit l’expression, / Lui donna chez les Grecs cette hauteur divine / Où jamais n’atteignit la faiblesse latine.”
“Bientôt l’amour fertile en tendres sentiments, / S’empara du théâtre ainsi que des romans. / De cette passion la sensible peinture / Est pour aller au cœur la route la plus sûre. / Peignez donc, j’y consens, les héros amoureux : / Mais ne formez pas des bergers doucereux / [...] Et que l’amour, souvent de remords combattu / Paraisse une faiblesse et non une vertu. / Des héros de roman fuyez les petitesses / Toutefois aux grands cœurs donnez quelques faiblesses”
“Conservez à chacun son propre caractère. / Des siècles, des pays, étudiez les mœurs. / Les climats font souvent les diverses humeurs. / Gardez donc de donner, ainsi que dans Clélie, / L’air, ni l’esprit français, à l’antique Italie.”
“Mais la scène demande une exacte raison, / L’étroite bienséance y veut être gardée.”
“Souvent sans y penser un écrivain qui s’aime / Forme tous ses héros semblables à soi-même : / Tout à l’humeur gasconne en un auteur gascon. [...] La nature est en nous plus diverse et plus sage / Chaque passion parle un différent langage.”
“Il faut dans la douleur que vous vous abaissiez. / Pour me tirer des pleurs il faut que vous pleuriez.”
“Un auteur n’y [au théâtre] fait pas de faciles conquêtes ; / Il trouve à le siffler des bouches toujours prêtes. / Chacun le peut traiter de fat et d’ignorant ; / C’est un droit qu’à la porte on achète en entrant.”
“Et que tout ce qu’il dit, facile à retenir, / De son ouvrage en nous laisse un long souvenir. / Ainsi la Tragédie agit, marche et s’explique.”
“Là [dans la poésie épique] pour nous enchanter tout est mis en usage ; / Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage.” (Minerve, Vénus, Jupiter, Neptune, Echo, Narcisse, Enée, Junon, Eole)
“C’est là ce qui surprend, frappe, saisit, attache. / Sans tous ces ornements, le vers tombe en langueur, / La poésie est morte, ou rampe sans vigueur ; / Le poète n’est plus qu’un orateur timide, / Qu’un froid historien d’une fable inspirée.”
“La fable offre à l’esprit mille agréments divers : / Là, tous les noms heureux semblent nés pour leurs vers”
“Ô le plaisant projet d’un poète ignorant, / Qui de tant de héros va choisir Childebrant ! / D’un seul nom quelquefois le son dur ou bizarre / Rend un poème entier, ou burlesque ou barbare !”
“Voulez-vous longtemps plaire, et jamais ne lasser ? / Faites choix d’un héros propre à m’intéresser, / En valeur éclatant, en vertus magnifique : / Qu’en lui jusqu’aux défauts, tout se trouve héroïque ; / Que ses faits surprenants soient dignes d’être ouïs ; / Qu’il soit tel que César, Alexandre ou Louis, / Non tel que Polynice et son perfide frère. / On s’ennuie aux exploits d’un conquérant vulgaire.”
“N’offrez point un sujet d’incidents trop chargé. / Le seul courroux d’Achille, avec art ménagé, / Remplit abondamment une Iliade entière. / Souvent trop d’abondance appauvrit la matière.”
“Soyez vif et pressé dans vos narrations / Soyez riche et pompeux dans vos descriptions. / C’est là qu’il faut des vers étaler l’élégance. / N’y présentez jamais de basses circonstances.”
“Donnez à votre ouvrage une juste étendue. / Que le début soit simple et n’ait rien d’affecté.”
“Que produira l’auteur après tous ces grands cris ? / La montagne en travail enfante une souris.”
“Sa muse en arrivant ne met pas tout en feu, / Et pour donner beaucoup, ne nous promet que peu.” (247)
“De figures sans nombre égayez votre ouvrage / Que tout y fasse aux yeux une riante image : / On peut être à la fois et pompeux et plaisant ; / Et je hais un sublime ennuyeux et pesant. / J’aime mieux Arioste et ses fables comiques, / Que ces auteurs toujours froids et mélancoliques, / Qui dans leur sombre humeur se croiraient faire affront / Si les Grâces jamais leur déridaient le front.”
Homère : “Tout reçoit dans ses mains une nouvelle grâce : / Partout il divertit et jamais il ne lasse. / Une heureuse chaleur anime ses discours : / Il ne s’égare point en de trop longs détours.”
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