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#soin du visage
bazarddudimanche · 2 years
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Soin de la peau
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Astuce pour une peau douce et lumineuse avec le savon noir
Le souci que nous avons avec notre peau, c’est que notre teint varie souvent non seulement au gré du climat, mais aussi à cause d’autres facteurs comme la maladie, un régime alimentaire, les hormones, etc. Le secret d’un teint éclatant, ce n’est pas seulement dans les produits miracles. C’est aussi du fait d’une bonne santé physique et mentale, d’une alimentation saine et équilibrée, de…
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angelitam · 6 months
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Laboratoires du Cap Ferret
Laboratoires Cap Ferret propose la micro-nutrition ciblée de la peau. Laboratoires du Cap Ferret Laboratoires Cap Ferret, ce sont des produits Bio innovants, des soins d’exception. Laboratoires du Cap Ferret Les soins ont été cliniquement prouvés, sous contrôle dermatologique. Les missions de Laboratoires du Cap Ferret sont d’améliorer la santé et la beauté de la peau. En effet, la beauté de…
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afroking111 · 1 year
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Tropical Detox - Soin Détoxifiant et Soin du visage detox
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Découvrez notre gamme Tropical Detox, des soins détoxifiants pour le visage qui revitalisent et rafraîchissent votre peau. Offrez à votre peau le meilleur avec notre Soin Détoxifiant Tropical Detox et profitez d'une expérience de soin du visage detox exceptionnelle. Afroking. En savoir plus: https://afroking.fr/tropical-detox-soin-detoxifiant-les-secrets-de-loly.html
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shoopingtagswords · 2 years
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Produits de beauté naturels et respectueux de l'environnement
Madewithcare.com est un site de commerce en ligne spécialisé dans les produits de beauté naturels et respectueux de l’environnement. Si vous cherchez des produits qui prennent soin de votre corps tout en étant respectueux de l’environnement, alors Madewithcare.com est l’endroit idéal pour vous. Voici un aperçu des produits proposés sur le site : Soins du visage Madewithcare.com propose une…
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adieulesc0ns · 2 months
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J’ai pas besoin d’une copine quand je nous vois faire des soins du visage, des mains, des pieds et qu’on regarde Bridgerton en bitchant devant.
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lesdamesmures · 6 months
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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urween · 3 months
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"Tirade"
James McAvoy x M/FTMreader
résumé : Fraîchement inscrit à des cours de théâtre, Uriel ne crois pas spécialement à ses capacités mais un souvenir de son adolescence reste gravé dans sa mémoire et l'aide à avancer dans ces cours. Un jour, un certain acteur vient rendre visite à une vieille amie, et il s'arrêtera sûrement devant une jolie représentation donnée par Uriel.
notes : je sais que ça ne peut pas vraiment être compté comme "x reader" car le personnage principal porte un nom mais je n'aime vraiment pas écrire avec le "Y/N" alors j'ai décidé de mettre un prénom sans réelle importance afin de faciliter l'écriture. Les dialogues et textes sont créés par mes soins, contrairement à la tirade finale qui reçoit ses crédits dans l'histoire ;)
! warnings : mention de propos se rapprochant de la sexualité, insécurités
3 800 mots
- Description à la troisième personne
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Le théâtre n'était pas l’option qu’il avait envisagée dès le début. Il avait plutôt pensé à l'écriture, la peinture peut-être, mais pas le théâtre. Il voulait rester derrière les rideaux, pas avoir à se mettre en scène devant des paires d’yeux curieux. Vendre des livres et des tableaux lui semblait plus accessible, du moins pour lui c'était plus accessible, il travaillerait dur pour ça. Devenir écrivain ou peintre était plus courant qu’acteur, non ? Pour devenir acteur il fallait être reconnu par énormément de monde, il fallait être constamment jugé et épié. Il fallait un pur talent et beaucoup de chance pour devenir acteur. Ce qu’Uriel ne pensait pas du tout avoir. L’écriture pouvait s'apprendre plus facilement, il n'avait pas besoin de se montrer aux yeux du monde entier pour gagner un peu d’argent. La peinture pouvait être abstraite et anonyme, pas besoin d’avoir son visage sur la toile.
Pourtant il se retrouvait inscrit à des cours de théâtre depuis maintenant deux semaines. Son père lui avait forcé la main, il avait insisté en disant que pour lui cet art avait aidé à gérer sa timidité et que peut-être ça serait aussi le cas pour lui. Alors Uriel avait accepté, parce qu’au fond il avait toujours quelque chose dans sa poitrine qui demandait à sortir et à s’exprimer, et le théâtre pouvait peut-être l’aider à le faire. Du moins, il privilégiait cette excuse à une autre, totalement absurde.
« On reprend tout le monde ! »
La voix criarde de Mary fit sursauter la dizaine d’élèves. Tous rangèrent leurs portables ou casques afin de retourner sur scène et de reprendre les répétitions.
Uriel suivit le groupe, admirant la diversité présente. En s’inscrivant il avait vu qu’à partir de seize ans les personnes devaient s'inscrire dans le groupe adulte, et bien entendu du haut de ses vingt-et-un ans il l’avait fait. Mais dans le groupe il avait une jeune fille, de seize ans justement, Uriel l’admirait profondément, elle était vraiment douée et tout le monde le lui disait. Les rôles principaux étaient souvent pour elle d'ailleurs, mais elle ne devenait pas hautaine pour autant, au contraire elle était toujours surprise de les recevoir et c'était touchant à voir.
« Bien, commença plus calmement Mary, avant que l’on continue je voulais vous dire qu’un ami risque de venir vous voir d’ici quelques jours. Aussitôt les élèves devinrent curieux, il passe par ici et en parlant avec, il a proposé de venir vous regarder répéter »
« C’est qui ? Demanda Cloé, un acteur ? »
Uriel s’installa en tailleur par terre à côté de Matthias, un homme dans la cinquantaine avec qui il s’entendait bien. Ce dernier lui lança un regard et se reprocha de lui pour murmurer à son oreille.
« J’en ai vu des soi-disant acteurs passer par ici et crois-moi ils ne nous jettent même pas un regard, sourit-il, ils viennent pour se faire de la pub, dirent qu'ils sont gentils et tout ces trucs mais au fond ils s’en foutent de nous mon pauvre garçon »
Matthias n'était pas très apprécié dans le groupe à cause de sa manie à toujours voir le négatif dans une situation, comme à présent, mais Uriel appréciait ça. Pour lui c'était une qualité de voir les options que d’autres préféraient ignorer, et puis ça le faisait toujours rire.
« Peut-être qu'il est différent ? Répondit à son tour Uriel dans un murmure »
En guise de réponse, l’homme haussa les épaules, l’air peu certain.
« Oui c’est un acteur, mais je ne préfère pas vous dire tout de suite de qui il s'agit, continua Mary, vous verrez bien ! »
« Mais pourquoi il vient nous voir nous ? On est pas connus, on est même pas des professionnels »
Presque l’entièreté du groupe fut d’accord avec Joël, et Mary comprit leurs réactions.
« On se connait depuis le lycée lui et moi. Il sait que j’organise des cours au théâtre, il m'a simplement demandé si ça me dérangeait qu'il assiste à une session et j’ai répondu que non. Les élèves ne semblaient toujours pas convaincus, écoutez vous verrez de vous même alors arrêtez de me regarder avec des yeux de merlan fris. Je suis sûre qu’il pourra même vous donner des conseils »
Chacun eut un petit commentaire à faire, Mary les laissa discuter pendant plusieurs minutes avant de clapper des mains pour attirer leurs attentions et reprendre les vraies répétitions.
Depuis maintenant un peu moins d’un mois, le groupe travaillait sur une pièce en partie créée par Mary elle-même. “L’Ange et l’Oiseau”, un drame aux apparences mythologiques racontant l’histoire de deux personnages : un ange nommé Yaël qui cherchait désespérément à fuir les cieux, et une corneille nommée Danielle qui elle espérait avoir une place au Paradis malgré les croyances reliées à son apparence. Cloé avait le rôle de l’ange, Uriel celui de la corneille. C’était son premier rôle principal depuis son arrivée dans le groupe et il était assez anxieux à ce sujet. Il avait bien pensé à céder sa place à quelqu’un d’autre mais Matthias l’en avait dissuadé, il disait que ce rôle était parfait pour lui et qui fallait juste un peu de temps pour apprendre toutes les répliques. “Toi qui a le prénom d’un ange te retrouve à jouer l’oiseau, c’est pas un comble ça ?” lui répétait-il souvent. Et même s’il ne voulait pas l’avouer, entendre les compliments de Matthias lui faisait vraiment du bien. Le cinquantenaire lui avait d’ailleurs proposé de l’aider pour réciter son texte, mais Uriel avait gentiment refusé. L’idée d’être au premier plan le faisait déjà bien assez paniquer, il préférait réviser seul afin de faire les fautes seul et ne pas avoir les yeux de quelqu’un sur lui. Pour cette même raison, il restait une heure de plus à la fin de chaque cours pour être au calme et surtout avoir la possibilité de répéter dans le lieu final. Mary avait assez confiance en lui pour le laisser seul ici et revenir une heure plus tard afin de refermer les portes de la salle de spectacle.
Ne manquant pas son rendez-vous solitaire, Uriel observa les autres élèves quitter la scène et sortir petit à petit de la grande salle. Matthias lui souhaita bonne chance et fut le dernier à partir. Le jeune homme souffla doucement en entendant ce silence. Il appréciait les autres membres du groupe mais sa tranquillité était d’autant plus appréciée. Uriel repris son texte, ces nombreuses pages qu’il devait apprendre par cœur, et il se mit au travail.
L’heure passa plus vite qu’il l’aurait pensé, il s’en rendit compte lorsqu’il reprit son portable pour vérifier la date du prochain cours. Avec surprise il vit affiché dix-huit heures trente, ce qui voulait dire que Mary avait trente minutes de retard. Uriel ne s'inquiéta pas plus que ça, un retard pouvait très bien arriver à n’importe qui. Il rangea tranquillement ses affaires, murmurant son texte en même temps, puis il alla vers la sortie. L’idée de partir lui traversa bien l’esprit mais ça voulait dire laisser la salle ouverte et sans surveillance, ce qui n’était vraiment pas recommandé ici. Uriel vivait seul, personne n’allait s’inquiéter s’il rentrait encore un peu plus tard, il décida donc d’attendre le retour de Mary pour qu’elle puisse fermer à clé en toute sécurité. Le jeune homme s’installa assis contre une des portes et reprit son sac à dos. Avec le temps, il avait pris l’habitude de toujours emporter un livre avec lui, et aujourd’hui cette technique allait payer. Il entama donc sa lecture, un recueil de poèmes qu’on lui avait offert il y a deux ans mais qu’il n’avait jamais pris le temps de lire.
Il fallut quelques pages pour qu’Uriel rentre pleinement dans le livre mais assez vite il oublia son environnement et enchaîna paisiblement les poèmes. Il fut tellement absorbé qu'il ne remarqua pas Mary accompagnée d’un homme se diriger vers lui. La trentenaire salua son ami qui s’excusa de l'avoir autant retenu, puis elle se dirigea vers Uriel. Ce dernier sursauta en voyant des jambes arriver dans son champ de vision, mais il fut soulagé en voyant le visage familier de Mary.
« Excuse moi pour le retard, l’ami dont je vous ai parlé tout à l’heure est arrivé plus tôt que prévu et il est passé au théâtre, expliqua-t-elle en observant le garçon ranger son livre, merci d'avoir attendu »
« C’est normal, sourit Uriel, on se voit demain de toute façon ? Mary hocha la tête tout en fermant à clé les deux imposantes portes, alors à demain et passe une bonne soirée »
La femme observa son élève quitter tranquillement le bâtiment, un sourire aux lèvres.
Le lendemain, la journée passa plus vite qu’il ne l’aurait espéré. Les clients au supermarché n’avaient pour une fois pas été insupportables, ou du moins la majorité s’était bien tenue. Malgré ça, Uriel était plus que pressé de rentrer chez lui et de prendre sa douche. Les apparences pouvaient être trompeuses mais rester toute la journée enfermé dans un magasin donnait assez vite chaud, d’autant plus lorsque des clients demandaient une certaine maîtrise de soi.
Fermant la porte fermée à clé derrière lui, Uriel se dépêcha de retirer tous ses vêtements sales. Il vida vaguement son sac, retirant simplement la vaisselle utilisée lors de son repas de midi puisque le reste restait constamment dedans. Il ne voyait pas l’utilité de retirer ses affaires de travail si c’était pour les remettre le lendemain, autant les laisser à leurs places.
Une fois tout son rituel habituel effectué, le jeune homme vérifia l’heure. Il lui restait moins d’une demie-heure s’il voulait éviter d’être en retard. Sur ce constat, il fila sous la douche, ne prenant pas le temps de mettre de la musique ou même de vérifier ses messages. Heureusement il ne finissait pas tous les jours aussi tard, mais lorsque ça arrivait il devait courir pour être à l’heure. Le seul point positif, qui l’avait d’ailleurs persuadé de garder ces cours, était que le théâtre se situait à moins de cinq minutes à pied de chez lui. Petit, Uriel avait l’habitude de s’y rendre avec son père pour voir quelques représentations et pièces, malheureusement avec le temps cette coutume s’était perdue. Mais grâce à ça, il connaissait les lieux, bien sûr avant de s’être inscrit à ces cours il ne pouvait pas savoir à quoi ressemblait le derrière de la scène, mais ces années de fidélité au programme lui avaient permis de connaître les salles et artistes sur le bout des doigts. Évidemment, “connaître” était un bien grand mot pour ces acteurs, mais Uriel avait appris les noms des comédiens réguliers ainsi que leurs pièces répétitives. Ce détail n’en était pas un durant les cours car grâce à cela il pouvait citer les précédentes pièces jouées ainsi que certaines parties. Par exemple, son père aimait beaucoup les représentations de Cyrano de Bergerac, par conséquent il entraînait toujours son fils avec lui pour les voir, et résultats Uriel connaissait par cœur les différentes versions de la tirade pour Roxane du personnage principal. Sa préféré restait de loin celle moderne interprétée par James McAvoy, même s’il l’avait vu il y a plusieurs années de ça, elle restait gravée dans sa mémoire. L’émotion qu’avait réussi à transmettre le comédien était époustouflante. Uriel se souvenait encore du silence ambiant dans la salle, des larmes sur ses joues, et des applaudissements finaux. Il avait dix-sept à l’époque, et quatre ans après il était encore capable de réciter ce texte sans une faute.
Une serviette posée maladroitement sur ses cheveux, Uriel éteignit la salle de bain pour aller dans la chambre et y prendre des vêtements propres. Il ne se prit pas la tête et attrapa simplement un t-shirt abordant un logo Marvel qui traînait dans son armoire ainsi qu’un jogging assez large pour faire des mouvements fluides. Il enfila rapidement des chaussettes ainsi qu’un sous-vêtement avant de retourner chercher son sac à dos. Comme à chaque fois, le jeune homme vérifia d’un coup de regard qu’il n’oubliait pas un robinet ouvert ou ce genre de choses, puis il ramassa son large gilet et le ferma avant de quitter son appartement.
À moins dix, Uriel fut enfin dehors, le pas rapide malgré sa légère avance. Il n’aimait pas être en retard mais il arrivait pourtant souvent à l’être, et les autres membres du groupe le savaient très bien.
Mais heureusement pour lui, il arriva même avec trois minutes d’avance. Comme toujours Matthias était déjà présent, et il devait l’être depuis plus d’un quart d’heure. À peu près tout le monde était là, sauf Joël qui avait prévenu de son absence et Arthur qui avait manqué son bus.
« Bonsoir à vous tous ! Salua gaiement Mary en rentrant dans la salle, j’espère que votre journée n’a pas été trop éprouvante parce que ce soir on reprend tout le troisième acte »
Plusieurs élèves soupirant en cœur, la femme descendit avec une joie de vivre peu habituelle les marches jusqu’à arriver au devant de la scène. Uriel échangea un regard interrogatif avec Matthias, ce à quoi l’homme haussa les épaules. Mary n’était pas d’un tempérament très gai, elle n’était pas tout le temps déprimée mais disons que la voir dans cet état était nouveau, et ça attisait la curiosité d’Uriel.
« On ne va pas attendre Arthur il prendra en cours de route, expliqua-t-elle en retirant son manteau ainsi que ses chaussures »
Afin d’avoir une meilleure adhésion sur le sol en bois ciré de la scène, tout le monde devait retirer ses chaussures et rester en chaussettes. Puis, ça apportait une ambiance plus légère.
« Donc ! Cloé positionne-toi pendant que Khais est sensé finir sa réplique, les deux obéirent sans problème tandis que Mary ajustait l’emplacement de Cloé »
Les autres restèrent assis contre le mur de droite, observant la scène en attendant patiemment leur tour.
« Très bien, Mary claqua des mains et le silence tomba comme d’habitude, le rideau s'ouvre sur Yaël à genoux près d’une rivière, on devine qu’il boit pendant qu’une musique est censée installer un sentiment de paix. Cloé c’est quand tu veux »
Le jeune femme avait mis ses longs cheveux blonds dans un chignon imparfait qui lors de la vraie répresentation sera camouflé avec des plumes blanches et fleurs. Le choix de faire jouer un femme pour un ange et un homme pour une corneille était volontaire de la part de Mary, elle disait toujours qu’un comédien devait être capable d’incarner le genre opposé. Matthias n’avait pas été de cet avis au début, mais grâce à quelques explications venant d’Uriel, il avait fini par tomber d’accord sur le sujet.
« Oh père, que dois-je faire pour cesser ce châtiment que tu m’infliges, commença à voix basse Cloé, dois-je faire le mal ? Dois-je désobéir à mes convictions intimes pour m’épargner ce dur supplice ? »
Cette scène avait été compliquée pour Cloé à apprendre et surtout à interpréter, elle ne parvenait pas à garder ce mi-ton assez doux pour être celui attendu et assez puissant pour résonner à travers toute la salle. Mary l’avait beaucoup aidé là-dessus, lui donnant des exercices de respirations pour canaliser sa voix et ses intentions, mais aussi des vidéos à regarder pour que son oreille s’habitue à ce ton particulier. Au bout du compte, elle parvenait à réciter son texte comme demandé, et comme toujours avec elle, la scène était émouvante. Uriel admirait sincèrement Cloé car malgré son jeune âge, elle réussissait à comprendre la demande qui lui était faite. Puis, elle était douée, tout le monde le voyait ici. Matthias avait même dit que si un jour quelqu’un venait chercher de futur comédiens, il hésiterait très certainement entre elle et Uriel, mais bien sûr le jeune homme en question avait gentiment rit, disant qu’il n’y avait aucune compétition possible entre lui et l’adolescente.
« Que fais-tu de ce pauvre oiseau ? Ce pauvre maudit, maudit par sa couleur et la signification que l’on lui attribue. N’es-tu pas touché par son histoire ? Ne souhaites-tu pas faire taire ses souffrances et lui accorder la libération qu’elle demande ? Je connais ta bonté mon père, accordes-moi ce souhait je t’en prie »
Uriel se releva sans un bruit, préparant son entrée tout en récitant dans son esprit ses mots. Son gilet à présent ouvert, il le laissa glisser le long de ses bras avant de le poser en boule dans un coin. Pour lui le plus compliqué était toujours les premières phrases, il avait constamment peur de les rater ou de les oublier. S’il se trompait au milieu ce n’était pas grave, son erreur pouvait passer inaperçue, alors que pour le premier mot c’était totalement différent.
Mon ami, je te cherche depuis que le soleil a pointé ses premières lumières, se répèta en boucle le jeune homme, mon ami, je te cherche depuis que le soleil a pointé ses premières lumières.
Cloé laissa tomber une plume de ses cheveux, c’était son signe.
« Mon ami, je te cherche depuis que le soleil a pointé ses premières lumières ! Déclara mélancoliquement Uriel en arrivant sur le milieu de la scène »
« Oh Danielle ! Oh mon pauvre oiseau ! S'exclama Cloé, comme tes plumes sont ravissantes ! »
La tête du jeune homme tournant d’un côté pour exprimer sa gêne, il joua un sursaut lorsque Cloé attrapa entre ses mains son bras. Pour ce rôle, Uriel allait devoir porter une tenue entièrement noire sur laquelle serait collée plusieurs plumes de la même couleur, et comme Cloé, des plumes dans les cheveux. Il avait proposé de disposer ces dernières de manière à ce qu’elles descendent dans sa nuque, afin de faire une illusion de cheveux plus longs et une apparence plus féminine.
« Je t’en prie ne compare pas ces atrocités avec la beauté qui rayonne de ta robe, commença Uriel, se retournant pour marcher dos à l’ange, tes plumes illuminent les cieux et renvoient la lumière divine sur les oiseaux comme moi. Elles sont créées pour faire bouillir de jalousie les plus gracieux paons, elles représentent la Paradis et ses disciples, récita tristement la corneille en pointant le ciel. Ne compare pas ma malédiction avec ta bénédiction, tu risquerais d’irriter les cieux. Ma place est déjà permise sur une terre aussi belle que la nôtre, ne compare pas mes monstruosités avec une chose qui ne doit être attribuée qu’à la lumière. Il émit une courte pause. Oh mon ami, ne compare pas le crépuscule avec l’aube ! »
Un silence tomba dans la salle alors qu’une larme coula le long de la joue d’Uriel. Sa partenaire de scène, les lèvres entrouvertes, joignit ses mains dans un applaudissement, et bien vite les autres la suivirent. Sortant peu à peu de son monde dramatique, le jeune homme regarda ses camarades avec incompréhension. Il passa sa main contre sa joue pour y essuyer l’humidité, et se mit à sourire malgré lui en comprenant petit à petit la raison de ces applaudissements. Matthias se leva en premier et effectua un signe de révérence qui fit doucement rire Uriel.
« Est-ce que tu veux bien comprendre tous mes compliments maintenant ? Tu es talentueux jeune homme, que tu le veuilles ou non, commença Matthias, accompagné par plusieurs hochements de têtes derrière lui »
Mary se retourna vers le fond de la salle, semblant sourire à quelque chose dans la pénombre, avant de s’avancer.
« Matthias a raison, c’est clairement la meilleure version que tu as fais jusqu’à présent, elle lui sourit »
Le jeune homme voulut bégayer des remerciements, sentant une véritable gratitude au fond de lui, mais un applaudissement le stoppa net. Il n’eut pas besoin de regarder les élèves pour comprendre que cela ne venait pas d’eux, ça venait de droit devant, haut sur les marches. Uriel s’avança timidement sur la scène pour tenter d’y voir plus clair, mais bien vite l’inconnu se mit de lui-même dans la lumière.
Un poids tomba dans l’estomac du jeune interprète, et il ne fut pas le seul surpris. Toujours contre leur mur, les apprentis comédiens se mirent chacun leur tour à écarquiller les yeux dans des grimaces de plus en plus ridicules.
« Je vous ai parlé de mon ami hier, expliqua gaiement Mary, il se trouve qu’il est arrivé plus tôt que prévu, alors je vous présente James »
Comme s’il s’agissait d’un simple homme, il sourit aux élèves qui étaient toujours sous le choc, et plus particulièrement à une jeune corneille. Avec agilité, il monta sur la scène, se stoppant devant ce joli oiseau.
« Enchanté, James, se présenta poliment l’acteur, Mary m’avait parlé d’un potentiel talent et je suis ravi de te voir en personne Uriel »
Peut-être qu’il murmura un “bonsoir”, mais lui-même n’était sûr de rien à cet instant.
Tout ce qui tournait dans son esprit bouleversé était cette tirade, cette tirade que ce matin encore il récitait innocemment dans la rue.
Je t’aime, j’ai besoin de toi, je te veux. Et je me réveille avec ta voix résonnant dans ma tête. Je te regarde et je ne peux pas me concentrer.
Je suis honteux, je suis en colère, je suis amoureux, je suis fou, je suis heureux, je suis mort, je suis vivant, je suis stupide, je suis sans mot.
Je t’écris des lettres, et je les détruis, puis je t’en écris de nouvelles. Je t’idéalise, je t'humilie, je te déshabille. Je regarde à travers tes yeux, j’embrasse tes yeux. Je te pousse contre le mur, mais tu repousses, tu repousses. Ton corps veut le mien, tu embrasses ma bouche, tu mords ma lèvre. Tu fais couler le sang. Tu es en feu, tu es en feu.
Le monde entier s’illumine, et je brûle, et je brûle d’amour.
Le monde entier s’illumine, et ce soir, et cet homme. Et ta voix s’illumine.
Je n’ai pas de patience, je n’ai pas d’esprit, je n’ai pas de repos, je n’ai pas de maîtrise, je n’ai pas de honte. Je n’ai aucune autorité sur moi, je pourrais attendre des heures pour un regard avec toi, et finalement ne pas t’adresser la parole du tout. Je ne peux pas parler, je ne peux pas arrêter de parler, je ne peux pas arrêter de regarder.
Je fais de toi un objet, je te désire. Je t’écris, j’écris pour toi. Je déchire tout ce que j’ai déjà écrit pour toi ou sur toi, je brûle mon corps vif pour toi. Je t’idolâtre, je te dévêts, je te déshabille. Je retire le plus petit bouton de ta manche.
J’embrasse ta taille, j’embrasse ton cou, j’embrasse ta nuque. J’embrasse ton poignet, et je suis muet.
Je suis muet.
Tout ce que je peux dire est que je veux, je veux, je veux. Il n’y pas de poésie, il n’existe aucune structure permettant de donner un sens à tout cela. À part je veux, je veux, je veux.
James masterlist
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leleaulait · 7 months
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Faudrais qu'on m'explique, plus je fais des soins du visage, plus j'en prend bien soin avec des bonnes crèmes et des nettoyant parfait pour ma peau et plus j'ai de l'acné 🤨. Mon visage est parfait quand je le lave juste avec de l'eau sans savon sous la douche et que je mets la crème la plus basique (mixa), comment c'est possible ? Ça veut dire quoi, que je doit garder ma routine de crasseuse ?
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fieriframes · 1 year
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[What does the endless traveler seek?]
VIII - Euphémie
Je regardais longtemps cette carte qui est apparue après que j’ai cliqué sur le carré mystérieux. C'était un dessin très détaillé. Il y avait plusieurs villes, rivières et montagnes. La carte était placée faiblement en arrière-plan du site et c'était difficile de distinguer les détails. Les villes étaient proches l'une de l'autre et à côté de ce qui semblait être la première ville, je pouvais à peine distinguer quelques symboles. Avec la cartographie Voynich, je l'ai traduit. Le nom de cette ville était Euphémie.
J'ai recherché cet endroit en ligne et trouvé beaucoup et, en même temps, rien de concret. Euphémie, la sainte. Euphémie, l'astéroïde. Pour l'affiner, j'avais besoin des noms des autres villes, mais le reste de la carte sombre était impossible à lire.
Heureusement, j’ai découvert les outils de développement dans le navigateur et j’ai téléchargé la carte. Sur le site web, l'image était affichée avec une faible opacité mais toute seule elle était grande et claire. Je pouvais voir quatorze villes reliées par une route, chacune d'elles étrange d'une certaine manière. En passant d'une ville à l'autre, le paysage changeait, et la route créait une spirale vers le milieu de la carte où se trouvait un grand labyrinthe.
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J'étais fasciné par cette carte du monde, mais mes yeux n'étaient pas coopératifs. J'avais besoin de dormir. Mes rêves étaient vivants et bizarres: J'ai parcouru les rues sinueuses de Euphémie, où les habitants se sont transformés en ombres à la seconde où j'ai essayé de leur parler et se sont fondus dans la nuit.
Je me suis réveillé à 10h du matin et j'ai soudainement réalisé que je n'étais pas sorti de chez moi depuis probablement cinq jours. Je me suis douché, préparé et j'ai fait une promenade dans mon quartier. Dans mes propres pensées, j’ai marché et marché, dans ces rues que je connaissais si bien. Tout à coup, j’ai entendu un grand bruit, suivi d'une femme attrapant mon bras et me tirant vers elle. Elle m’a dit avec colère “Qu'est-ce que vous faites? Vous avez failli vous faire écraser par ce camion !”
Tout ce que je pouvais dire était “désolé”, avant de traverser la rue et de courir dans les toilettes du Café d'Auteur pour reprendre mon souffle et me laver le visage à l'eau froide. Au moment où ma respiration revenait à la normale, j'ai reçu un appel. En regardant mon téléphone pour voir de qui il s'agissait, j'ai remarqué qu'il était 18h. Cela faisait presque 8 heures que j'avais quitté l'appartement.
Moi: Bonjour ?
Christina: Je n'ai rien trouvé.
Moi: Hein ? 
Christina: Ça va ? Ton voix est étrange.
Moi: Oui oui, pas de problème. Quoi de beau ?
Christina: Quoi de beau ? Eh bien, je n'ai trouvé aucun lien entre Leonora Carrington et Italo Calvino. 
Moi: Que veux-tu dire ?
Christina: Je veux dire, ils étaient vivants en même temps, mais pour autant que je sache, leurs chemins ne se sont jamais croisés.
Moi: Mais pourquoi tu me dis ça ?
Christina: Tu m'as demandé d'enquêter sur Carrington et Calvino. Tu ne te souviens pas ? C'était il y a quelques heures à peine.
Moi: Vraiment ? 
Christina: Tu te sens bien ? Où es-tu ?
Moi: En fait, je ne me souviens de rien des dernières heures. Je suis maintenant dans les toilettes du Café d'Auteur, en train de me rafraîchir.
Christina: Café d'Auteur ? Mais cet endroit a fermé il y a des années. Que se passe-t-il ?
J'ai raccroché, quitté le café (qui n'était pas vraiment fermé) et couru chez moi, essayant de ne plus me faire renverser par d'autres voitures. Dès le début, j'avais pris soin de ne pas trop impliquer mes amis dans cette étrange quête. Mais aujourd'hui j'avais demandé à Christina de m'aider pour quelque chose que je pourrais facilement faire moi-même ? Pourquoi n'ai-je aucun souvenir des 8 dernières heures ? Calvino ? C'était trop bizarre. Pour la première fois, j'avais vraiment peur.
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bazarddudimanche · 2 years
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Soin anti odeur
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olympic-paris · 21 days
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saga: Soumission & Domination 257
Kamal et Maxou
Kamal avec l'accord d'Alexandre, cherche auprès de nous l'expérience qui lui a manqué en se " maquant " directement avec lui.
Même s'il a testé pas mal de " figures ", le fait que se soit toujours avec le même mec, l'a laissé sur sa faim. Comme je l'impressionne un peu, c'est à PH qu'il se confie. De plus la similitude de leurs approches de l'homosexualité lui donne confiance. D'après le peu que m'en a rapporté PH, lui aussi est tombé amoureux de son professeur et ce dernier s'est laissé avoir par ce petit " rat " particulièrement mignon et avide d'apprendre et de lui faire plaisir. Là je ne peux qu'être d'accord avec lui. Il est particulièrement mignon le Kamal ! Son mètre 75 et ses 60Kg tout mouillés seraient suffisants s'il n'y avait en plus un visage d'ange et sa peau douce et légèrement bronzée. Rien que sa bouche pulpeuse attirerait les plus farouches hétéros.
C'est vers moi qu'il se tourne pour en savoir plus sur Maxou. J'avais bien vu qu'il semblait intéressé par mon petit Escort. Il me demande si je pense qu'il pourrait l'intéresser lui aussi. Là je le rassure. Je crois savoir que Maxou a flashé sur lui. Mais je reste discret sur son parcours. Si ce dernier veut en parler, se sera à lui d'en décider. Ça déçoit Kamal qui voulait en savoir plus. Du coup j'appelle Maxou, et haut parleur branché, lui demande s'il désirerait revoir Kamal. Son " oui " direct écarte tout risque de confusion. Je lui dis alors que je le lui envoie.
Je surveille leur rencontre sur les caméras de surveillance de l'appart de PH.
Je retrouve Kamal quand Maxou lui ouvre la porte. Ce dernier, en shorty et marcel, ne lui laisse pas le temps d'appréhender et le prend dans ses bras pour lui rouler un patin. Quelques minutes plus tard, sur le canapé, j'admire la dextérité de Maxou à déshabiller sa proie. Il ne laisse aucune chance à Kamal de lui échapper.  Alors qu'ils continuent à s'embrasser, je vois les mains de Kamal caresser Maxou, jusqu'à atteindre sa bite et soudain je l'entends lui demander pourquoi il s'épile totalement. Je tends l'oreille curieux de savoir ce qu'il va dire. Je suis déçu, il lui dit la vérité. Comme quoi cela correspond aux trips de certains clients de ma société. Cela amène d'autres questions auxquelles il répond avec toujours autant de franchise. J'entends avec plaisir Maxou demander à Kamal de garder ça pour lui. Puis ils reprennent leurs attouchements. Maxou dit à Kamal qu'il a encore trop de poil (et pourtant il ne se laisse pousser que ceux autour de son sexe). Il l'entraine vers la salle de bain. Le temps de changer de caméra et je les retrouve. Maxou est déjà en train de barbouiller les aisselles et le sexe de Kamal avec de la mousse à raser. 5 minutes plus tard, il ne lui avait laissé qu'une virgule type Nike au dessus du sexe. J'apprécie l'humour ! Aussitôt ils remettent ça et ce coup ci, rien ne vient troubler la progression de leur baise. Dans un premier temps, Maxou endosse le rôle d'actif et lui enfile ses 18cm dans le cul. J'admire en expert sa technique et le soin qu'il prend à bien labourer Kamal, changeant de position jusqu'à trouver celle qu'il préfère. En levrette, Maxou prends la tête de Kamal et la lui tourne et la relève pour lui rouler un patin. Puis, accroché à ses épaules, il l'encule sèchement pour leurs plus grands biens à tous les deux. Puis ils se sont désaccouplés et ont inversés les rôles. J'ai eu l'impression que c'était la première fois que Kamal enculait un mec.  Ses difficultés à enfiler une kpote, au point que c'est Maxou qui lui a mise, sa fébrilité lors de la pénétration et surtout l'extase qui est apparue sur son visage quand ses couilles ont butées contre celle de Maxou, me le font penser.
Quelques conseil de Maxou plus tard et il l'enculait comme un pro. C'est très rapidement que ces stimuli ont eu raison de lui et qu'il est sorti brusquement, laissant la kpote à moitié dans le cul de Maxou pour éjaculer sur son dos. Maxou l'a laissé reprendre son souffle puis il lui a demandé de l'aider à prendre son pied lui aussi. J'ai vu alors Kamal s'agenouiller entre les cuisses de Maxou et le sucer jusqu'à l'éjaculation.  Ils se sont endormis dans les bras l'un de l'autre et c'est Louis, en rentrant, qui les a réveillés. Alors que Kamal paniquait, Maxou le rassurait, lui expliquant qui était Louis son coloc et homo lui aussi et que ça craignait pas. J'ai quitté la surveillance quand j'ai entendu Louis dire à Maxou que tout ça c'était bien joli mais qu'il avait du boulot en retard et qu'il serait temps de mettre son nouvel ami à la porte.
Quelques jours plus tard, je recevais un appel d'Alexandre qui me disait que Kamal l"inquiétait. Il avait la tête ailleurs, sa mère l'avait même appelé pour lui dire que ses professeurs se plaignaient de son travail et que lui-même n'était pas content de son comportement pendant les cours. Ce que me confirma aussitôt PH qui avait senti lui aussi un relâchement du petit mec. Alexandre avait eu beau lui demander des explications, Kamal se refermait sur lui et comme son emploie du temps lui laissait de bonnes plages de liberté...
Je lui dis que j'allais voir ça, et dans ma tête, je pensais à demander à François que Kamal ne connaissait pas encore de le suivre. J'en discute avec son officier traitant. Il est d'accord et me dit de lui demander un rapport sur ce qu'il aura fait. François accepte même s'ils viennent juste d'aborder ce genre de truc pendant sa formation.
François :
Dès que Sasha me demande " d'analyser " Kamal, je m'attaque à son dossier. Il va me falloir son emploie du temps officiel et les noms de ses connaissances. J'obtiens ces renseignements d'Alexandre et de Sasha. De savoir qu'il est attiré par Maxou me donne une entrée supplémentaire. Ce dernier ne saurait me dissimuler quoi que ce soit avec le soutien de Sasha.
C'est d'ailleurs par lui que je commence. Je passe le voir le soir même. Il est seul. Il a reçu un coup de fil de Sasha et sait ce qui m'amène. Il me donne son ressenti sur Kamal. Quand ils baisent ensemble c'est très bon. Il le sent se donner totalement, comme libéré de quelque chose ou contrainte. Il a surpris un regard de regret quand il repart chez lui. Je lui demande s'il pense qu'il est maltraité. il me répond que ce serait psychologiquement car il n'y a aucune marque sur son corps. Je le remercie et lui donne mon tel si jamais il y avait du nouveau. Maxou comprend bien l'inquiétude de Sasha et Alexandre.
Après je m'arrange un rendez vous entre midi et deux avec Alexandre. Sasha m'en avait fait la description. Il est en réalité pas mal du tout pour un " vieux ". Il ne montre aucun signe extérieur d'homosexualité. Juste un habillement original faisant douter une profession en rapport avec l'art. Nous nous attablons dans un café. Je le laisse parler. J'apprends que c'est le seul élève qu'il s'est jamais laissé aller à aimer. Que depuis que ce " petit con " l'a séduit, il n'est plus jamais allé voir ailleurs. Il me semble méchamment mordu du gamin ! Il me dit aussi que cela avait commencé quelques mois avant leur rencontre avec PH et Sasha. Des retards sans motifs, des explications embrouillées, des kpotes dans ses poches alors qu'entre eux il n'y en a jamais eu puisqu'il était son premier mec et qu'il était séronég l'avait alerté sans l'inquiéter vraiment. Mais sa mine défaite ces derniers temps l'inquiétait vraiment. Quelque part il était content que Sasha ai pris la décision d'enquêter.
Nanti de son emploi du temps, je me mettais à le suivre. Ça été très facile, il ne se cachait pas. En sortant du lycée, il allait direct sur les lieux de drague et y trainait son cul. Vu sa belle gueule, il se faisait interpeller assez souvent. Mais ce qui m'a surpris c'est que pas un mec ne lui convenait. Vieux, moins vieux, jeunes, bruns, blonds, châtain et même roux, petits ou grands, moches ou beaux, il ne s'est isolé avec aucun. Et pourtant c'était pas faute de motivation. Certains avançaient même leur bite raide, ou leur portefeuille bien rempli.
Puis il rentrait chez sa mère ou chez Alexandre et une fois chez Maxou
Après plusieurs soirs pareils, j'ai eu l'impression qu'il voulait passer le pas et baiser avec des inconnus mais qu'il n'osait pas.
Pas de recherche de shit ou d'excta, pas de souteneur caché, les fins d'après midi suivent le même schéma sans varier.
Deux fois je l'ai même vu envoyer bouler un mec un peu trop insistant et une autre il s'est enfui en courant pour éviter deux jeunes qui voulaient l'emmener pour un gang bang (j'étais assez près pour entendre leur proposition).
Je fais mon rapport à Sasha et Alexandre. Je conclue l'exposé de mes surveillance par une analyse perso où il ressort que Kamal ne sait pas où est sa place, être le minet de son prof de danse ne lui suffit pas et même la connaissance de Maxou n'y fait rien, ou du moins pas encore ! Je préconise d'y aller franchement et d'aller à la confrontation. Sasha avance qu'en discutant un peu avec lui, il avait soulevé deux de ses envies inassouvies, piloter une moto et faire de la muscu. Il ajoute qu'il peut, si Alexandre accepte, s'arranger pour les cours de pilotage et que s'il le veut bien il pourrait demander à Maxou de le coacher aussi bien en muscu ici même que pour le remettre sur les rails coté scolaire. Par contre cela prendrait quand même pas mal du temps qu'ils ont ensemble. Et que sexuellement aussi cela l'amènera à se faire d'autres mecs. Il ajouta qu'il ne pouvait demander à tous ceux qu'il allait croiser chez nous de rejeter ses probables demandes/attentes/provocations...
Alexandre réfléchit quelques minutes. J'ajoute qu'actuellement c'est pas ça ! Il convient que la situation actuelle ne peut durer longtemps encore et accepte que Sasha lui propose. Il lui semble en effet que ce dernier bénéficie d'une aura positive sur Kamal.
Sasha :
J'ai invité Kamal à venir me voir deux soirs plus tard. Je le reçois seul au 4ème. Il est effectivement un peu désemparé. Juste avant son arrivée, François m'avait téléphoné qu'il s'était encore rendu sur le lieu de drague et avait échappé de peu à un 30naire musclé qu'il avait allumé sans avoir voulu l'éteindre.
Il s'affale dans le canapé en me demandant où est PH. J'élude sa question et m'assoie en face de lui. Agressif, il me demande ce que je veux et ajoute, tu veux mon cul ? Quand je lui demande ce qu'il lui fait dire ça, il " mord " que je suis seul avec lui.
Je le regarde quelques secondes sans parler. Il est mal à l'aise. Calmement je lui demande ce qui ne va pas. Réponse prévisible : rien ! Moi : à d'autre Lui : qu'est ce que t'en a à foutre ? Moi : je t'aime bien et j'aime pas voir un jeune mec tomber Lui : un saint Bernard (se foutant littéralement de ma gueule)
Alors qu'il se lève pour se casser, je le rattrape par le bras et là, il s'effondre dans mes bras, bravo la solidité des p'tits jeunes !!
Je le laisse s'épancher contre mon épaule. Il est attendrissant ! Quand il se calme, je le repousse et l'assoit. Il se cache le visage dans ses mains. Je me penche, lui relève la tête et pose sur ses lèvres un bisou très chaste.
Je repose ma question à savoir qu'est ce qui ne va pas.
Lui : j'en ai mare Moi : de quoi Lui : tout Moi : c'est vaste ...... Lui : j'ai rien à moi Ça y est, la vraie raison est en train de sortir. Il continu : ma mère fait des ménages, j'ai pas d'argent, j'en veux pas d'Alexandre, je suis pas un gigolo, j'suis dégouté ! C'est un peux brouillon mais je comprends l'idée générale. Je lui demande s'il voit une solution. Réponse : non !
Je lui dis qu'il a énormément de chance d'avoir Alexandre dans sa vie. Il doit le laisser le prendre en charge comme il le souhaite lui. Ça n'en fera pas de lui un gigolo mais un petit mec qui l'aime seulement. Là, il me dit qu'il refuse car il veut pouvoir aller baiser ailleurs.
Je lui explique que l'amour ça marche pas comme ça. J'avance ma philosophie perso comme quoi l'amour est cumulatif et pas forcément exclusif.
Je lui expose qu'Alexandre n'est pas aveugle et a bien vu qu'il n'était pas heureux ces derniers temps. Et surtout qu'il est prêt à revoir leurs relations. J'ajoute que je lui ai proposé que lui, Kamal puisse venir faire sa muscu au blockhaus sous condition qu'il accepte que Maxou le coache pour ça et pour son cursus scolaire. Tout ce que je lui proposais ne devait pas le faire échouer au BAC. Et que s'il le voulait encore, je pouvais m'arranger pour qu'il puisse apprendre à piloter une moto et passer son permis.
Il reste silencieux, à digérer toutes les nouvelles.
Pour l'achever, je lui dis qu'on m'avait rapporté ses passages répétés dans les lieux de drague. Il me répond, aussitôt sur la défensive, qu'il n'y a jamais rien fait.
Ça au moins eu l'effet de le décoincer. Il ajoute rapidement qu'avec Alexandre, il tourne en rond. Moi : c'est ce que j'ai cru comprendre, mais tu as aussi Maxou Lui : oui, c'est mieux mais j'ai jamais été vraiment libre Moi : tu veux quoi ? Lui : je sais pas mais expérimenter des trucs. Moi : Alexandre est d'accord à te laisser plus de liberté mais il faut que tu sois sérieux, rapports avec kpotes, pas de drogue... Lui : mais je sais pas où trouver Moi : tu me fais confiance ? Lui : oui Moi : OK  pour le moment tu va commencer par me promettre que tu va rattraper ton retard scolaire et moi je t'envoi à un copain pour t'initier au pilotage.
Promesses faites, il me saute au cou pour me remercier. J'appelle alors Alexandre pour qu'il vienne le chercher. Quand il arrive nous mettons à plat notre conversation et les engagements de Kamal.
Jardinier
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j'ai faim
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angelitam · 9 months
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Rituel Anti-Age by Monoprix
Monoprix propose un rituel de soins anti-âge. Taie d’oreiller Chillsilk Pour une peau lisse, éclatante et repulpée, Monoprix a sélectionné des produits adaptés pour le visage aux multiples bienfaits. Ce sont des crèmes pour prévenir et réduire les rides, des outils de massage pour raffermir et relancer la circulation sanguine, des patchs yeux pour défatiguer le regard ou encore une taie…
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vague-abondage · 7 months
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Le meilleur soin du visage c'est le sourire...
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coralie-a-lu · 4 days
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Tumblr 1 - Truismes
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L'image de l'extra-terrestre qui se fixe dans le miroir tout en se saupoudrant le visage de poudre illustre le sort de la narratrice dans Truismes et, manifestement, certains éléments de la société capitaliste.
Tout d'abord, le visage triste de l'extra-terrestre rappelle la narratrice qui ne se reconnaissait plus physiquement dans le miroir. Ici, nous voyons le martien qui a encore une main de femme, tout comme la narratrice qui avait des traits porcins, comme une queue en spirale, ainsi que des traits humains. Par conséquent, un lien se forme entre le personnage chagriné de l'image qui ne se reconnait plus dans la glace et la narratrice désorientée de Truismes.
Ensuite, l'illustration de l'extra-terrestre fait référence au thème de l'aliénation, tout en reconnaissant le calembour, que subit aussi la narratrice. À titre d'exemple, le régime politique d'Edgar cherchait à exclure toute personne qui ne conformait à ses idéaux politiques et physiques, c'est-à-dire la narratrice. En conséquence, la narratrice s'est sentie aliénée et mise à part de la société conformiste, incapable de trouver sa place, telle une martienne sur la planète Terre.
Bien que la mélancolie de l'extra-terrestre soit évidente, la poudre et la main manucurée sont aussi à l'avant-plan de l'image. Ceci dénonce le sur-consumérisme présente dans la société capitaliste par le biais de la commercialisation de l'esthétique et les normes de beauté; effectivement, ces notions affectent majoritairement les femmes et ont joué un rôle dans la transformation de la narratrice et possiblement dans celle du martien. Entre autres, la narratrice réagissait fortement aux onguents et sa peau s'enflammait violemment. La transformation animale et extra-terrestre peut ainsi être comprise comme une réaction allergique aux produits de soin pour le visage et essentiellement aux attentes de la société capitaliste.
L'allégorie de la transformation du martien et de la narratrice de Truismes remet en question les normes de beauté et propose au public de développer un sens critique par rapport à la société qui l'entoure. Bien qu'Edgar et que le martien soient des propositions fictives, elles incitent le lecteur à questionner ses tendances de surconsommation et les idéologies proposées par ceux au pouvoir.
En somme, des liens peuvent être tissés entre l'image du martien manucuré et Truismes en raison du message commun qui promeut l'oeil critique et la prise de conscience face à la société capitaliste dans laquelle on se retrouve.
Image trouvée sur Pinterest.
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rayondelun3 · 9 months
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20 décembre 2023
Je m'occuperai encore plus de mes proches et je me soucierai un peu moins de trouver un job qui me plait.
J'aime m'occuper des autres.
Surtout les filles ou les personnes plus jeunes que moi.
J'adore leur préparer un thé moi-même en fonction des plantes / fruits qu'ils aiment ; j'aime les maquiller, masser le haut du corps et les mains ; j'aime écouter quelqu'un me parler de ses passions ; j'aime aussi jouer l'infirmière : soigner les plaies, celles qu'on voit et celles qu'on ne voit pas à l'œil nu, mais avec un autre regard ; j'aime aider dans les tâches ménagères et fabriquer des objets (magiques ou non) spécialement pour une personne. J'aime aussi m'occuper des cheveux, faire des soins au visage ou certaines parties du corps ce genre de choses... C'est une forme d'intimité légère et facile à créer, entretenir pour moi qui me sens si exclue du monde, tellement à côté de la plaque.
Mon infirmière me répète depuis bientôt 4 ans que je devrais me traiter de la même façon. Il n'y a qu'avec les autres que c'est évident, spontané.
Je ne suis pas certaine de pourquoi je n'y arrives pas, et pourquoi c'est si facile pour moi de comprendre ce que veut l'autre et lui faire du bien.
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