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postcard-from-the-past · 4 months ago
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Poet Jean-Aicard in Solliès-Ville, Provence region of France
French vintage postcard
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dupiemontalaprovence · 2 months ago
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Les navettes entre le Piémont et la Provence : migrations saisonnières ou installation définitive ? (partie 3)
Le navette tra Piemonte e Provenza: migrazioni stagionali o insediamento permanente? (parte 3)
Poursuivons notre focus sur les quatre dernières familles présentes à Bormes les Mimosas, lors du recensement de 1926 et dont un ou plusieurs membres sont originaires de Valloriate.
La famille 10 comprend Philippe BUSSONE né le 30 avril 1881 à Valloriate. En 1926, il déclare travailler chez Georges TEZENAS qui n’est autre que le gendre de Francis SABRAN et qui est le régisseur du domaine du château de Brégançon. Philippe demeure dans le quartier du Château-Roi avec sa femme Lucie MURISASCO et son fils Henri né le 20 décembre 1910 à Hyères. On peut donc penser que Philippe BUSSONE est en France depuis un certain temps.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 19
Au recensement de 1921, il était à La Môle avec son fils mais sans sa femme. Il est possible qu’ils soient allés travailler chacun de leur côté en fonction des emplois qu’ils trouvent ou de leurs compétences. Ainsi, lors du recensement de 1906, Lucie MURISASCO et sa mère travaillaient à Saint-Raphaël alors que le père était maçon à Hyères.
En 1924, lorsqu’est née leur fille Augusta, au 10 rue Cafabre à Hyères, Philippe est déclaré absent. La petite fille est décédée le 21 mai 1924. Henriette MURISASCO, sœur de Lucie a déclaré le décès à la mairie d’Hyères. Les deux sœurs étaient domiciliées à la même adresse.
Philippe BUSSONE est décédé le 8 mars 1939 à Hyères.
Il y a parfois des équations insolubles. Ce fut le cas, pendant plusieurs jours, pour la famille 11 qui demeurait au quartier du Niel en 1926. Il me fallait trouver un BRUNETTO Matteo né en 1880 à Valloriate dont un frère aurait eu une fille prénommée Catherine née vers 1890 à Valloriate.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 19
Le fait que Catherine ait épousé un FRANCESETTI ne m’a pas beaucoup aidé car je n’ai pas trouvé de mariage à ce nom à Valloriate. J’espérais trouver la solution du côté de leur fils, Marius FRANCESETTI né à Hyères le 7 septembre 1925 mais son acte de naissance n’est pas encore en ligne.
A force de taper FRANCESETTI sur Filae avec prénom ou sans prénom, avec une année de naissance ou sans, avec une ville ou sans, j’ai fini par trouver que Ferdinand FRANCESETTI avait obtenu la nationalité française le 6 juillet 1931. Et en consultant sa fiche dans la salle des inventaires virtuelle (SIV) des Archives Nationales, j’ai également vu la fiche de naturalisation de Catherine BRUNETTO épouse FRANCESETTI qui est née le 5 décembre 1905 et non en 1890. De plus, elle est née à Rittana et non à Valloriate. Catherine est décédée le 9 janvier 1997 à Hyères.
La famille FRANCESETTI était à Toulon au recensement de 1931 où Ferdinand était cultivateur. Lorsque Marius est décédé, à l’âge de dix-sept ans, le 17 août 1943, la famille demeurait à Solliès-Toucas.
Et qui est l’oncle me direz-vous ? Je ne suis pas en mesure de le savoir pour l’instant, n’ayant pas accès aux naissances ou baptêmes de Rittana de l’année 1905.
La famille 12 se compose de Jean-Baptiste CAVATORE et de sa femme Marianne MATTIO, tous deux nés en 1887. Jean-Baptiste est né le 14 novembre à Turin et Marianne le 29 juillet à Valloriate.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 20
Au recensement de 1926, ils demeurent dans le quartier de Maurel et ils ont sept enfants : Esprit né le 30 juin 1909, Jean né le 17 novembre 1910 et Charles né le 1° octobre 1912, tous trois à Bormes, Joseph né le 2 juin 1914 et Félix né le 16 octobre 1916, tous deux au Lavandou ; Thérèse naît le 7 septembre 1917 à Villar Dora, dans la banlieue de Turin ; Paul voit le jour le 14 janvier 1925 à Bormes.
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Les nouvelles de Bormes dans la Croix du Littoral du 1° mars 1925, source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k83335959/f3.item.zoom
L’année 1926 leur apportera la naissance d’un enfant supplémentaire, Edmond né le 19 novembre à Bormes et la nationalité française qu’ils ont obtenue par décret du 4 décembre.
La petite dernière, Odette, verra le jour le 4 décembre 1928 à Bormes.
La famille CAVATORE apparaît pour la première fois à Bormes dans le recensement de 1911. Elle demeure dans le quartier de Saint Clair qui fait encore partie de Bormes à cette époque mais qui appartiendra au Lavandou lorsque cette commune sera créée en 1913. Jean-Baptiste est alors journalier. Il héberge aussi son frère Carlo né le 7 décembre 1891 à Turin et la mère de son épouse Graziana MATTIO née DRAPERI.
Alors qu’ils étaient installés à Vallauris depuis pas mal de temps, les deux frères de Marianne ont séjourné quelques temps au Lavandou. Antoine MATTIO né le 8 janvier 1880 à Valloriate et son épouse Céleste POLLINO auront deux enfants à Bormes en 1912 et 1913, Joséphine et Jean-Baptiste. Malheureusement la petite Joséphine ne vivra que quinze jours. Jean MATTIO né le 22 novembre 1874 à Valloriate et son épouse Marie BORSOTTO auront un petit Léopold en 1916.
Après un séjour à Turin pendant une partie la Première Guerre Mondiale, la famille CAVATORE s’installe à Bormes dans le quartier de Maurel. Jean-Baptiste exerce alors le métier de fermier d’après le recensement de 1921.  En 1926, il se déclare journalier. A la naissance de ses premiers enfants, de 1909 à 1915, il s’est souvent qualifié de cultivateur mais il a cité le métier de terrassier en 1910.
Au recensement de 1931, la famille demeure au Baou. Jean-Baptiste est alors son propre patron et il exerce la profession de terrassier. Parmi les habitants de Bormes, j’ai trouvé neuf personnes qui étaient employés dans son entreprise dont son fils Esprit.
Le journal « Le Petit Marseillais » du 7 septembre 1934 nous apprend que Marianne MATTIO a obtenu la médaille de la Famille française pour avoir eu neuf enfants.
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source: https://www.retronews.fr/journal/le-petit-marseillais/07-septembre-1934/7/b48daabf-7ce1-4bb1-a045-c9750cb36be8
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, Jean CAVATORE a été fait prisonnier par les Allemands en 1940. Il était soldat au 8° Régiment d’Artillerie Coloniale Tractée. Son frère Paul, trop jeune pour être mobilisé (il n’avait que quatorze ans en 1939) a œuvré dans les Forces Françaises de l’Intérieur (FFI).
Jean-Baptiste CAVATORE est décédé à Bormes le 8 novembre 1953, à seulement soixante-cinq ans, son épouse Marianne MATTIO a quitté les siens le 24 septembre 1965, également à Bormes.
La famille 13 se compose d’un seul homme, Antoine BRUNO, né en 1874 à Valloriate. Il est, en réalité, né le 4 décembre 1875 à Valloriate. Il ne figure ni dans le recensement  de Bormes de 1921 ni dans celui de 1931. Il s’agit très certainement d’un travailleur saisonnier.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 20
Lorsqu’il décède, à l’hôpital de Hyères, le 23 mai 1937, Antoine BRUNO est dit domicilié à Bormes. Il était célibataire.
Ces tranches de vies, autour des années 1930, à Bormes-les-Mimosas, témoignent de la mobilité des habitants de Valloriate, n’hésitant pas à changer de lieu pour aller là où il y a du travail. Il est remarquable de voir que les plus jeunes, parfois nés en France de parents italiens, sont prêts à s’engager dans l’armée française et cherchent à obtenir la nationalité française.
Au vu de cette étude, on peut remarquer que ce sont surtout les familles avec enfants qui sont restées définitivement en France. Les enfants maîtrisaient parfaitement la langue française, ils ont fréquenté l’école, appris un métier, en un mot, leur pays c’était la France. Ils ont trouvé un conjoint sur place et ont fait leur nid. Par la force des choses, leurs parents qui avaient pris l’initiative de venir en France sont restés auprès d’eux même s’ils avaient gardé la nostalgie de leur Piémont natal.
Les hommes célibataires, venus d’Italie pour travailler quelques mois dans l’année sont rarement restés en France, à moins d’avoir trouvé une épouse sur place. Ces hommes venaient souvent en groupes et vivaient en groupes. Ils s’usaient prématurément dans des métiers difficiles. Beaucoup de jeunes hommes sont morts à l’hôpital des suites de maladie.
Un grand merci à Thekla BERNARD pour les renseignements fournis sur Philippe BUSSONE via Geneanet.
Si vous reconnaissez des membres de votre famille, si vous souhaitez que leur photo soit publiée, si vous avez des informations à me communiquer, n’hésitez-pas à me contacter : dupiemontalaprovencemail.com
Continuiamo a concentrarci sulle ultime quattro famiglie presenti a Bormes les Mimosas, durante il censimento del 1926, di cui uno o più membri sono originari di Valloriate.
La famiglia 10 comprende Philippe BUSSONE nato il 30 aprile 1881 a Valloriate. Nel 1926 dichiarò di lavorare per Georges TEZENAS, che non era altri che il genero di Francis SABRAN e che era il gestore della tenuta del castello di Brégançon. Philippe vive nel quartiere Château-Roi con la moglie Lucie MURISASCO e il figlio Henri, nato il 20 dicembre 1910 a Hyères. Possiamo quindi supporre che Philippe BUSSONE si trovi in ​​Francia da qualche tempo.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 19
Nel censimento del 1921 si trovava a La Môle con il figlio ma senza la moglie. È possibile che ognuno di loro abbia iniziato a lavorare per conto proprio, a seconda del lavoro che ha trovato o delle sue competenze. Così, durante il censimento del 1906, Lucie MURISASCO e sua madre lavoravano a Saint-Raphaël mentre suo padre era muratore a Hyères.
Nel 1924, quando nacque la loro figlia Augusta al numero 10 di rue Cafabre a Hyères, Philippe fu dichiarato assente. La bambina morì il 21 maggio 1924. Henriette MURISASCO, sorella di Lucie, denunciò la morte al comune di Hyères. Le due sorelle vivevano allo stesso indirizzo.
Philippe BUSSONE muore l'8 marzo 1939 a Hyères.
A volte ci sono equazioni irrisolvibili. Così è stato, per alcuni giorni, per la famiglia 11 che viveva nel quartiere Niel nel 1926. Dovevo trovare un certo BRUNETTO Matteo nato nel 1880 a Valloriate, il cui fratello aveva una figlia di nome Catherine nata intorno al 1890 a Valloriate.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 19
Il fatto che Catherine abbia sposato un FRANCESETTI non mi ha aiutato molto perché a Valloriate non ho trovato nessun matrimonio con questo cognome. Speravo di trovare la soluzione dal lato del loro figlio, Marius FRANCESETTI, nato a Hyères il 7 settembre 1925, ma il suo certificato di nascita non è ancora online.
Digitando FRANCESETTI su Filae con o senza nome, con o senza anno di nascita, con o senza città, ho finito per scoprire che Ferdinando FRANCESETTI aveva ottenuto la cittadinanza francese il 6 luglio 1931. E consultando il suo fascicolo nella sala inventari virtuali (SIV) dell'Archivio di Stato, ho visto anche il fascicolo di naturalizzazione di Caterina BRUNETTO, moglie di FRANCESETTI, nata il 5 dicembre 1905 e non nel 1890. Inoltre, era nata a Rittana e non a Valloriate. Catherine morì il 9 gennaio 1997 a Hyères.
La famiglia FRANCESETTI era a Tolone nel censimento del 1931, dove Ferdinand era agricoltore. Quando Marius morì all'età di diciassette anni, il 17 agosto 1943, la famiglia viveva a Solliès-Toucas.
E chi è lo zio, vi chiederete? Al momento non sono in grado di saperlo, non avendo accesso alle nascite o ai battesimi di Rittana a partire dall'anno 1905.
La famiglia 12 è composta da Jean-Baptiste CAVATORE e da sua moglie Marianne MATTIO, entrambi nati nel 1887. Jean-Baptiste è nato il 14 novembre a Torino e Marianne il 29 luglio a Valloriate.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 20
Nel censimento del 1926, vivevano nel distretto di Maurel ed ebbero sette figli: Esprit nato il 30 giugno 1909, Jean nato il 17 novembre 1910 e Charles nato il 1° ottobre 1912, tutti e tre a Bormes, Joseph nato il 2 giugno 1914 e Félix nato il 16 ottobre 1916, entrambi a Lavandou; Thérèse nacque il 7 settembre 1917 a Villar Dora, sobborgo di Torino; Paul è nato il 14 gennaio 1925 a Bormes.
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Notizie da Bormes nella Croix du Littoral del 1° marzo 1925, fonte: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k83335959/f3.item.zoom
Il 1926 portò loro la nascita di un altro bambino, Edmond, nato il 19 novembre a Bormes, e la cittadinanza francese, ottenuta con decreto del 4 dicembre.
La più piccola, Odette, nacque il 4 dicembre 1928 a Bormes.
La famiglia CAVATORE compare per la prima volta a Bormes nel censimento del 1911. Vivevano nel quartiere di Saint-Clair, che all'epoca faceva ancora parte di Bormes, ma che sarebbe appartenuto a Lavandou quando questo comune fu creato nel 1913. Jean-Baptiste era allora un bracciante giornaliero. Ospitò anche il fratello Carlo, nato il 7 dicembre 1891 a Torino, e la madre della moglie Graziana MATTIO, nata DRAPERI.
Sebbene vivessero a Vallauris da parecchio tempo, i due fratelli di Marianne rimasero per un certo periodo a Le Lavandou. Antoine MATTIO nato l'8 gennaio 1880 a Valloriate e sua moglie Céleste POLLINO avranno due figli a Bormes nel 1912 e nel 1913, Joséphine e Jean-Baptiste. Sfortunatamente, la piccola Josephine vivrà solo due settimane. Jean MATTIO nato il 22 novembre 1874 a Valloriate e sua moglie Marie BORSOTTO hanno avuto un piccolo Léopold nel 1916.
Dopo un soggiorno a Torino durante parte della prima guerra mondiale, la famiglia CAVATORE si stabilì a Bormes, in località Maurel. Secondo il censimento del 1921, Jean-Baptiste lavorava allora come agricoltore. Nel 1926 si dichiarò bracciante giornaliero. Alla nascita dei suoi primi figli, dal 1909 al 1915, si descrisse spesso come agricoltore, ma nel 1910 menzionò la professione di spostatore di terra.
Nel censimento del 1931 la famiglia viveva a Baou. All'epoca Jean-Baptiste era il capo di se stesso e lavorava come spostatore di terra. Tra gli abitanti di Bormes ho trovato nove persone che lavoravano nella sua azienda, tra cui suo figlio Esprit.
Il quotidiano "Le Petit Marseillais" del 7 settembre 1934 ci informa che Marianne MATTIO ha ricevuto la medaglia francese della famiglia per aver avuto nove figli.
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fonte: https://www.retronews.fr/journal/le-petit-marseillais/07-sept-1934/7/b48daabf-7ce1-4bb1-a045-c9750cb36be8
Durante la seconda guerra mondiale, Jean CAVATORE fu fatto prigioniero dai tedeschi nel 1940. Era un soldato dell'8° reggimento di artiglieria trattore coloniale. Suo fratello Paul, troppo giovane per essere mobilitato (aveva solo quattordici anni nel 1939), lavorò nelle Forze dell'Interno francesi (FFI).
Jean-Baptiste CAVATORE morì a Bormes l'8 novembre 1953, a soli sessantacinque anni. La moglie Marianne MATTIO lasciò la famiglia il 24 settembre 1965, sempre a Bormes.
La famiglia 13 è composta da un uomo solo, Antonio BRUNO, nato nel 1874 a Valloriate. In realtà nacque il 4 dicembre 1875 a Valloriate. Non compare nel censimento di Bormes del 1921 né in quello del 1931. Era sicuramente un lavoratore stagionale.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 20
Quando morì all'ospedale di Hyères il 23 maggio 1937, si dice che vivesse a Bormes. Era single.
Questi spaccati di vita, intorno agli anni '30, a Bormes-les-Mimosas, testimoniano la mobilità degli abitanti di Valloriate, che non esitavano a cambiare luogo per recarsi dove c'era lavoro. È notevole vedere che i più giovani, talvolta nati in Francia da genitori italiani, siano pronti ad arruolarsi nell'esercito francese e a cercare di ottenere la nazionalità francese.
Alla luce di questo studio, possiamo constatare che sono soprattutto le famiglie con bambini a rimanere stabilmente in Francia. I bambini avevano una perfetta padronanza della lingua francese, andavano a scuola, imparavano un mestiere, in una parola, la loro patria era la Francia. Lì trovarono una compagna e costruirono il loro nido. Per forza di cose, i loro genitori, che avevano preso l'iniziativa di trasferirsi in Francia, rimasero con loro, anche se nutrivano ancora nostalgia del loro Piemonte natale.
Gli uomini single che venivano dall'Italia per lavorare qualche mese all'anno raramente restavano in Francia, a meno che non trovassero lì moglie. Questi uomini spesso arrivavano in gruppo e vivevano in gruppo. Si usuravano prematuramente nei lavori difficili. Molti giovani morirono in ospedale a causa delle malattie.
Si ringrazia Thekla BERNARD per le informazioni fornite su Philippe BUSSONE tramite Geneanet.
Se riconoscete membri della vostra famiglia, se desiderate che la loro foto venga pubblicata, se avete informazioni da condividere con me, non esitate a contattarmi: dupiemontalaprovencemail.com
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werewolf240moon · 4 months ago
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instagram
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“ Voici le visuel de l’ex-libris Ayakashi (en WIP) qui sera offert pour la dédicace à l’inauguration de la médiathèque de Solliès-Pont, mardi prochain.^^
[ Here is the visual of the ex-libris Ayakashi (in WIP) which will be offered for the dedication at the inauguration of the Solliès-Pont media library next Tuesday. ^^ ]
J’ais choisi de donner des nouvelles de nos héros (parce qu’ils le valent bien et parce que je les adore.^^)
[ I chose to give news of our heroes (because they are worth it and because I love them. ^^) ]
Les inscriptions pour l’atelier sont closes car complet, mais le dédicace elle, est toujours ouverte, les places ne seront limitées… que par le fermeture de la médiathèque.^^
[ Registrations for the workshop are closed because it is complete, but the dedication is still open, places will only be limited... by the closure of the media library. ^^ ]
J’espere vous y retrouver nombreux là-bas !^^ ”
[ I hope to see many of you there! ^^ ]
******* ~ VanRah @poizongirl **** {instagram}
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actualite-marseille · 1 month ago
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migurski · 6 months ago
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LiDAR maps of of Solliès-Pont, France
Via https://bsky.app/profile/jgaffuri.bsky.social/post/3lelqwdgr3c2b
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au-jardin-de-mon-coeur · 2 years ago
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LA FIGUE
Le trésor de l'automne
Colchiques dans les prés, châtaignes dans les bois, l’été terminé, laisse la place à l’automne...
Si la nostalgie vous envahit à cette période de l’année, laissez-moi vous remonter le moral en vous parlant de la figue, un fruit délicat aimé de tous.
Qu’est-ce qu’une figue ?
Voilà une question intéressante à se poser, car contrairement à ce que l’on peut penser, la figue n’est pas un fruit. En effet, elle est généralement qualifiée de faux-fruit.
La figue est en fait une enveloppe qui renferme des centaines, voire des milliers de minuscules fleurs. Comme beaucoup d’autres fruits, la figue est donc un élément botanique bien plus complexe que ce que nous pouvons croire. En tout cas, cela ne l’empêche pas d’être délicieuse !
Il y a des variétés de figuier unifère (qui ne produit qu'une fois par an) ou de figuier bifère (qui produit 2 fois par an)
En quelle saison ?
C’est à la fin de l’été que la figue commence à mûrir. Du mois d’août au mois d’octobre, les magnifiques figuiers se parent de beaux fruits à la robe violette et embaument l’air d’un doux parfum sucré et végétal.
Si vous avez la chance d’avoir chez vous un figuier en âge de donner des fruits, récoltez-les lorsqu’ils sont moelleux. S’ils sont encore un peu verts, rassurez-vous, ils peuvent continuer à mûrir une fois cueillis.
Les différentes variétés et couleurs
Il existe principalement 2 couleurs
les figues clairs : blanches, grises ou vertes
les figues foncées : Rouges, violettes ou noires
La Bourjassotte en fait partie, c'est la variété principale de l'appellation violette de Solliès, elle est très parfumée et supporte très bien la cuisson, c'est la figue la plus produite en France.
Comment la manger ?
Quel régal de déguster une figue bien mûre, tout juste cueillie sur l’arbre...
Mais les cuisiniers et les pâtissiers talentueux seront également ravis de pouvoir intégrer la figue à de nombreuses préparations sucrées et salées !
À La Cour d’Orgères, nous aimons l’associer aux fruits frais en tarte maison aux figues ou dans notre délicieuse recette de gâteau moelleux.
Bien sûr, pour profiter du goût de la figue tout au long de l’année, rien ne vaut une succulente confiture artisanale faite avec amour !
Pour réaliser la nôtre, nous avons choisi d’utiliser des figues violettes de Solliès, connues pour leur goût très parfumé et leur chair fondante. (l'AOC est réservée aux fruits frais, nous appellons donc notre confiture Figue violette de Provence)
Source : Web
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alicebluelife · 6 years ago
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Une rose de la belle du Canet
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portail-de-provence · 2 years ago
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L’enfant et le Figuier de Solliès Pont.
L’enfant et le Figuier de Solliès Pont.
La Figue de Solliès Le bassin de production de la prestigieuse Appellation Figue de Solliès se situe en Provence dans le Département du Var, dans les secteurs privilégiés de la Vallée du Gapeau , à quelques encablures de la Méditerranée. Bénéficiant d’un microclimat spécifique, autour de Solliès-Pont sa capitale, l’Aire Géographique d’Appellation de la Figue de Solliès apparaît comme le…
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finita--la--commedia · 4 years ago
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“… my strange joy, my tender night.” “... моя странная радость, моя нежная ночь”
-- Vladimir Nabokov (1899-1977), in a letter to Vera Nabokov (1902-1991), Domaine de Beaulieu, Solliès-Pont, Var, France, dated c. July 26, 1923, in: “Letters to Vera”, edited and translated from the Russian by Olga Voronina and Brian Boyd
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postcard-from-the-past · 6 months ago
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Cherry harvest in Solliès-Pont, Provence region of France
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dupiemontalaprovence · 3 months ago
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Les navettes entre le Piémont et la Provence : migrations saisonnières ou installation définitive ? (partie 1)
Le navette tra Piemonte e Provenza: migrazioni stagionali o insediamento permanente? (parte 1)
En faisant des recherches sur Filae, j’ai découvert tout à fait par hasard que les arrière-grands-parents italiens de mon mari vivaient à Bormes les Mimosas(83) en 1931. Et pourtant, ils sont retournés en Italie puisque Giacomo BUSSONE, né le 6 novembre 1868 à Valloriate, est décédé le 2 mai 1943 à Demonte tandis que son épouse Anna GIRODENGO qui a vu le jour le 3 mai 1885 à Valloriate est morte le 14 juillet 1979 à Hyères(83). N’ayant plus de famille proche en Italie, elle était tout simplement venue rejoindre ses filles en France.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1931, page 25
Sont-ils venus en famille, à Bormes, seulement pour une saison ou durant plusieurs années de suite ? La réponse est sans doute que la famille BUSSONE venait depuis plusieurs hivers car l’aînée des filles, Marguerite s’est mariée à Bormes avec Georges SAMPAUT, le 22 juin 1929. Tandis que sa sœur cadette, Maria épousait, deux semaines plus tard, le 6 juillet 1929, Domenico GOLETTO mais … à Valloriate.
Après avoir cherché en vain leur présence à Bormes dans les recensements de 1926 et de 1936, je me suis fixée l’objectif d’étudier les déplacements de treize familles présentes à Bormes les Mimosas en 1926 dont la majorité des membres était originaire de Valloriate, dans la province de Cuneo.
La famille 1 est celle de Jacques BUSSONE, né le 7 mars 1899 à La Londe(83). Ses parents Stefano BUSSONE et Giovanna FOSSATI s’étaient mariés le 3 octobre 1893 à Valloriate. Ils ne sont pas restés bien longtemps à La Londe car leurs enfants suivants nés en 1901 et 1903 ont vu le jour à Valloriate.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 7
En 1926, à Bormes, dans le foyer de Jacques BUSSONE au quartier du Bazard, on trouve son épouse, Angèle SOYER, originaire du département de la Somme qu’il a épousé le 29 janvier 1924 à La Londe. Elle avait une petite fille, Alphonsine MOREL, âgée de cinq ans, née également dans la Somme. Etienne BUSSONE, le père vit également chez eux au moment du recensement. Jacques et Etienne exercent la profession de bûcheron.
Lors du recensement de 1931, Jacques BUSSONE et sa famille ne sont plus à Bormes mais à La Môle(83). Jacques est devenu journalier chez Louis CADOU. On apprend aussi que Jacques et Angèle ont eu un fils, Michel, né le 19 septembre 1929 à Saint-Tropez(83).
Le Journal Officiel du 28 avril 1940, nous informe que Jacques BUSSONE a obtenu la nationalité française à partir du 16 avril 1940 ainsi que son épouse qui l’avait perdue en épousant un Italien. A cette époque, Jacques BUSSONE est berger à Méounes-les-Montrieux(83).
Le 14 avril 1964, le Procureur de la République de Toulon(83) a rectifié l’acte de naissance de Jacques qui avait été enregistré sous le nom de BESSONE et non BUSSONE, de même qu’il s’est marié sous le nom de BESSONE alors qu’il était connu de son vrai nom BUSSONE.
Malgré ce changement, il est mort sous le nom de BESSONE le 29 mai 1977 à Toulon. Son épouse était décédée le 24 décembre 1975 à Solliès-Pont(83). Son père Etienne est mort le 30 mai 1935 à Valloriate et sa mère Jeanne FOSSATI, le 25 août 1944 à Hyères.
Dans la famille 2, qui demeure rue Rompi Cuou (casse-cul en provençal), on trouve Angelo BRUNO, né le 30 mars 1903 à Moiola. Il est bûcheron et vit avec son épouse Maria GIRODENGO, née le 2 avril 1904 à Valloriate mais dont les parents sont venus s’installer, autour des années 1910, à La Londe. Ils vivent avec leur fils Jean BRUNO, né le 28 mars 1925 à Bormes. Cet enfant est vraisemblablement décédé le 27 juillet 1926 à Bormes, donc quelques mois après le recensement qui se déroule toujours à la fin de l’hiver.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 11
Angelo BRUNO est décédé le 30 avril 1944 à Hyères où il était alors cultivateur. Il avait seulement quarante-et-un ans, quant à Maria GIRODENGO elle est morte à l’âge de cent ans, le 15 septembre 2004 à Hyères.
Angelo BRUNO avait une sœur, Maria, qui avait épousé Victorin MAGNETTO de Saint-Savournin, dans les Bouches du Rhône, lui-même descendant d’Italiens de Demonte. Leur petit-fils, Rémi MARCENGO est l’actuel maire de Saint-Savournin.
Le chef de la famille 3 est Jeanne CESANA, née le 12 décembre 1889 à Bormes. Elle demeure dans le quartier du Bessal. Elle est célibataire, sans profession et élève ses neveux Francine CESANA, née le 30 janvier 1908 à Nice(06) et Fernand CESANA, né le 23 juin 1911 à Nice également. Jeanne vit également avec sa mère, Marguerite FERRARIS, née vers 1856 à Valloriate. Francine exerce le métier de sténo-dactylo.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 12
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 13
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Giacomo CESANA (1839-1908)
Revenons un peu en arrière. Jeanne CESANA est la fille de Giacomo CESANA qui était cordonnier à Bormes. Il était né vers 1839 à Roccasparvera et il est décédé le 26 janvier 1908 à Bormes. Giacomo a eu six enfants : 3 garçons et 3 filles. La famille a payé un lourd tribut à la France car deux fils sont morts durant la Première Guerre Mondiale : Victor CESANA qui était soldat au 4° bataillon colonial du Maroc a été porté disparu le 30 avril 1915 à Ypres, en Belgique, son frère, Marius CESANA qui était sergent au 203° régiment d’infanterie est décédé quelques jours plus tard, le 12 mai 1915, des suites de ses blessures, à l’hôpital de Verdun. L’un avait vingt-neuf ans, l’autre trente-cinq ans. Le troisième garçon, Esprit CESANA qui a d’abord été maçon, s’est engagé dans les équipes de la flotte à l’âge de vingt ans, le 6 février 1901. Il a été nommé quartier-maître torpilleur de 1° classe le 1° octobre 1904 et a été renvoyé dans ses foyers le 6 février 1906. Il a ensuite occupé un emploi d’ouvrier téléphoniste à Nice pour terminer sa carrière en qualité de conducteur principal de travaux, à la fin de l’année 1934. Il avait épousé, le 8 décembre 1906, à Vallauris, Marie-Louise VERDOUX et le couple aura les deux enfants déjà nommés, Francine et Fernand. Esprit n’a pas été mobilisé pendant la guerre 1914-1918 parce qu’il était employé de l’administration du service de la télégraphie maritime de la 11° région. Il a été nommé chef d’équipe à Moûtiers, en Savoie, le 16 juin 1920  puis chef d’équipe de la 14° région à Chambéry le 30 mars 1928.
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La famille CESANA: de gauche à droite: Emile AUDIBERT et son épouse Eulalie AILLAUD, fille de Valentine CESANA et petite-fille de Marguerite FERRARIS, Fernand CESANA, Francine CESANA, Marguerite FERRARIS, Esprit CESANA, Jeanne CESANA tenant dans ses bras Jean AUDIBERT, devant: Renée AILLAUD et Francine AUDIBERT, respectivement petite-fille et arrière-petite-fille de Marguerite FERRARIS.
Les deux enfants dont Jeanne CESANA a la charge sont les enfants de son frère Esprit dont l’épouse est décédée en 1918. Lors du recensement de 1931 de Chambéry, Jeanne vit chez son frère Esprit avec Francine et Fernand. Tandis que le recensement de 1931 de Bormes nous indique que Marguerite FERRARIS est allée vivre chez sa fille Valentine, mariée en 1904, à Bormes, à Fernand AILLAUD.
Il ne faut pas oublier la petite Anastasie CESANA, décédée à l’âge de cinq ans, le 16 février 1894.
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Marguerite FERRARIS (1857-1942)
Marguerite FERRARIS est décédée à Bormes le 4 février 1942, tandis que sa fille Jeanne qui est revenue vivre à Bormes après le second mariage d’Esprit est morte le 23 juillet 1985.
Anna FERRARIS, la sœur de Marguerite vivait à La Valette du Var, où elle est décédée le 13 février 1933.
La famille 4 dont le chef est Giovanni BRUNO demeure au quartier du Pin, à Bormes. Giovanni qui est né le 12 janvier 1880 à Valloriate est journalier pour divers employeurs. Il s’est marié le 26 septembre 1907, à Valloriate, avec Lucia MATTIO qui est de quatre ans sa cadette. Ils ont eu une petite fille prénommée Anna, née le 27 mars 1910. En 1926, Anna exerce la profession de bouchonnière, à Bormes.
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Archives Départementales du Var: recensement de Bormes les Mimosas de l'année 1926, page 13
Ils n’étaient pas présents à Bormes lors du recensement de 1921, on peut supposer qu’ils sont arrivés entre 1921 et 1926. En 1931, on retrouve toute la famille au Lavandou. Giovanni est devenu fermier et sa femme est journalière par contre leur fille est sans profession.
La famille a obtenu la nationalité française le 13 juillet 1934. Je ne connais pas les dates de décès des parents, mais je sais qu’Anna est décédée le 15 février 2007 à Hyères.
Ces quatre familles ont choisi de rester définitivement en France. Certaines ont opté pour la nationalité française, d’autres n’ont pas jugé utile de le faire. Certaines n’ont pas hésité à se déplacer dans le département du Var en fonction des opportunités d’emploi. Toutes se sont intégrées facilement dans leur nouvelle patrie.
Un grand merci à Jeanine PESSIONE et à l’association Antenati Piemontesi pour les dépouillements de Valloriate ainsi qu’à Josiane et Frédérique FERRANDIS pour l’envoi de photos de la famille CESANA.
Si vous reconnaissez des membres de votre famille, si vous souhaitez que leur photo soit publiée, si vous avez des informations à me communiquer, n’hésitez-pas à me contacter : dupiemontalaprovencemail.com
Mentre facevo ricerche su Filae, ho scoperto per caso che i bisnonni italiani di mio marito vivevano a Bormes les Mimosas (83) nel 1931. E tuttavia, sono tornati in Italia poiché Giacomo BUSSONE, nato il 6 novembre 1868 a Valloriate, è morto il 2 maggio 1943 a Demonte mentre sua moglie Anna GIRODENGO, nata il 3 maggio 1885 a Valloriate, è morta il 14 luglio 1979 a Hyères(83). Non avendo parenti stretti in Italia, era venuta semplicemente per raggiungere le figlie in Francia.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1931, pagina 25
Sono venuti a Bormes in famiglia solo per una stagione o per diversi anni di seguito? La risposta è probabilmente che la famiglia BUSSONE era venuta per diversi inverni perché la figlia maggiore, Marguerite, sposò Georges SAMPAUT a Bormes il 22 giugno 1929. Mentre la sorella minore, Maria, sposò Domenico GOLETTO due settimane dopo, il 6 luglio 1929, ma ... a Valloriate.
Dopo aver cercato invano la loro presenza a Bormes nei censimenti del 1926 e del 1936, mi sono posto l'obiettivo di studiare gli spostamenti di tredici famiglie presenti a Bormes les Mimosas nel 1926, la maggior parte dei cui membri proveniva da Valloriate, in provincia di Cuneo.
La famiglia 1 è quella di Jacques BUSSONE, nato il 7 marzo 1899 a La Londe (83). I suoi genitori Stefano BUSSONE e Giovanna FOSSATI si sposarono il 3 ottobre 1893 a Valloriate. Non rimasero a lungo a La Londe perché i loro figli successivi, nati nel 1901 e nel 1903, nacquero a Valloriate.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 7
Nel 1926, a Bormes, presso l'abitazione di Jacques BUSSONE, nel quartiere di Bazard, troviamo sua moglie, Angèle SOYER, originaria del dipartimento della Somme, che sposò il 29 gennaio 1924 a La Londe. Ebbe una bambina, Alphonsine MOREL, di cinque anni, nata anch'essa nella Somme. Anche il padre, Etienne BUSSONE, viveva con loro al momento del censimento. Jacques ed Etienne lavorano come boscaioli.
Durante il censimento del 1931, Jacques BUSSONE e la sua famiglia non si trovavano più a Bormes ma a La Môle (83). Jacques divenne bracciante presso Louis CADOU. Apprendiamo anche che Jacques e Angèle ebbero un figlio, Michel, nato il 19 settembre 1929 a Saint-Tropez (83).
La Gazzetta Ufficiale del 28 aprile 1940 ci informa che Jacques BUSSONE ottenne la nazionalità francese il 16 aprile 1940, così come sua moglie, che l'aveva persa sposando un italiano. A quell'epoca, Jacques BUSSONE era pastore a Méounes-les-Montrieux (83).
Il 14 aprile 1964, il Procuratore della Repubblica di Tolone (83) corresse l'atto di nascita di Jacques, che era stato registrato con il nome BESSONE e non BUSSONE, così come si era sposato con il nome BESSONE quando il suo vero nome era BUSSONE.
Nonostante questo cambiamento, morì con il nome di BESSONE il 29 maggio 1977 a Tolone. La moglie morì il 24 dicembre 1975 a Solliès-Pont (83). Suo padre Etienne morì il 30 maggio 1935 a Valloriate e sua madre Jeanne FOSSATI, il 25 agosto 1944 a Hyères .
Nella famiglia 2, che abita in rue Rompi Cuou (in provenzale "rompi-culi"), troviamo Angelo BRUNO, nato il 30 marzo 1903 a Moiola. È boscaiolo e vive con la moglie Maria GIRODENGO, nata il 2 aprile 1904 a Valloriate ma i cui genitori si stabilirono, intorno agli anni '10, a La Londe. Vivono con il figlio Jean BRUNO, nato il 28 marzo 1925 a Bormes. Questo bambino morì probabilmente il 27 luglio 1926 a Bormes, qualche mese dopo il censimento che ha sempre luogo alla fine dell'inverno.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 11
Angelo BRUNO morì il 30 aprile 1944 a Hyères, dove all'epoca era contadino. Lui aveva solo quarantun anni, mentre Maria GIRODENGO morì a cento anni, il 15 settembre 2004 a Hyères.
Angelo BRUNO aveva una sorella, Maria, che sposò Victorin MAGNETTO di Saint-Savournin, nelle Bocche del Rodano, egli stesso discendente di italiani di Demonte. Il loro nipote, Rémi MARCENGO, è l'attuale sindaco di Saint-Savournin.
Il capofamiglia 3 è Jeanne CESANA, nata il 12 dicembre 1889 a Bormes. Vive nel distretto di Bessal. È single, disoccupata e cresce i suoi nipoti Francine CESANA, nata il 30 gennaio 1908 a Nizza (06) e Fernand CESANA, nato il 23 giugno 1911, sempre a Nizza. Jeanne vive anche con la madre, Marguerite FERRARIS, nata intorno al 1856 a Valloriate. Francine lavora come stenodattilografa.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 12
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 13
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Giacomo CESANA (1839-1908)
Torniamo un po' indietro. Jeanne CESANA è la figlia di Giacomo CESANA, calzolaio a Bormes. Nacque intorno al 1839 a Roccasparvera e morì il 26 gennaio 1908 a Bormes. Giacomo ebbe sei figli: 3 maschi e 3 femmine. La famiglia pagò un prezzo molto alto alla Francia, poiché due dei suoi figli morirono durante la prima guerra mondiale: Victor CESANA, soldato del 4° Battaglione coloniale del Marocco, fu dichiarato disperso il 30 aprile 1915 a Ypres, in Belgio. Suo fratello, Marius CESANA, sergente del 203° reggimento di fanteria, morì pochi giorni dopo, il 12 maggio 1915, all'ospedale di Verdun per le ferite riportate. Uno aveva ventinove anni, l'altro trentacinque. Il terzo ragazzo, Esprit CESANA, che era stato inizialmente un muratore, si unì alle squadre della flotta all'età di vent'anni, il 6 febbraio 1901. Fu nominato quartiermastro torpediniere di prima classe il 1° ottobre 1904 e fu rimandato a casa il 6 febbraio 1906. Lavorò poi come operatore telefonico a Nizza per concludere la sua carriera come supervisore dei lavori senior alla fine del 1934. Sposò Marie-Louise VERDOUX l'8 dicembre 1906 a Vallauris e la coppia ebbe i due figli già chiamati, Francine e Fernand. Esprit non venne mobilitato durante la guerra del 1914-1918 perché era impiegato presso l'amministrazione del servizio telegrafico marittimo dell'XI regione. Il 16 giugno 1920 fu nominato caposquadra a Moûtiers, in Savoia, poi caposquadra della 14a regione a Chambéry il 30 marzo 1928.
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La famiglia CESANA: da sinistra a destra: Emile AUDIBERT e sua moglie Eulalie AILLAUD, figlia di Valentine CESANA e nipote di Marguerite FERRARIS, Fernand CESANA, Francine CESANA, Marguerite FERRARIS, Esprit CESANA, Jeanne CESANA tiene in braccio Jean AUDIBERT, davanti: Renée AILLAUD e Francine AUDIBERT, rispettivamente nipote e pronipote di Marguerite FERRARIS.
I due bambini di cui Jeanne CESANA è responsabile sono i figli di suo fratello Esprit, la cui moglie morì nel 1918. Durante il censimento di Chambéry del 1931, Jeanne viveva con suo fratello Esprit, Francine e Fernand. Mentre il censimento di Bormes del 1931 ci dice che Marguerite FERRARIS andò a vivere con la figlia Valentine, sposata nel 1904, a Bormes, con Fernand AILLAUD.
Non dobbiamo dimenticare la piccola Anastasie CESANA, morta all'età di cinque anni, il 16 febbraio 1894.
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Margherita FERRARIS (1857-1942)
Marguerite FERRARIS morì a Bormes il 4 febbraio 1942, mentre sua figlia Jeanne, tornata a vivere a Bormes dopo il secondo matrimonio di Esprit, morì il 23 luglio 1985.
Anna FERRARIS, sorella di Marguerite, viveva a La Valette du Var, dove morì il 13 febbraio 1933.
La famiglia 4, guidata da Giovanni BRUNO, vive nel quartiere Pin di Bormes. Giovanni, nato il 12 gennaio 1880 a Valloriate, era bracciante presso diversi datori di lavoro. Sposò Lucia MATTIO, di quattro anni più giovane, il 26 settembre 1907 a Valloriate. Ebbero una bambina di nome Anna, nata il 27 marzo 1910. Nel 1926, Anna lavorò come produttrice di sughero a Bormes.
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Archivi dipartimentali del Varo: censimento di Bormes les Mimosas per l'anno 1926, pagina 13
Non erano presenti a Bormes durante il censimento del 1921, possiamo supporre che siano arrivati ​​tra il 1921 e il 1926. Nel 1931, l'intera famiglia è stata trovata a Le Lavandou. Giovanni è diventato contadino e sua moglie è bracciante, ma la loro figlia non ha un lavoro.
La famiglia ottenne la nazionalità francese il 13 luglio 1934. Non conosco le date di morte dei genitori, ma so che Anna morì il 15 febbraio 2007 a Hyères.
Queste quattro famiglie hanno scelto di rimanere permanentemente in Francia. Alcuni hanno optato per la nazionalità francese, altri non l'hanno ritenuta necessaria. Alcuni non esitarono a trasferirsi nel dipartimento del Varo, a seconda delle opportunità di lavoro. Tutti si integrarono facilmente nella loro nuova patria.
Un sentito ringraziamento a Jeanine PESSIONE e all'associazione Antenati Piemontesi per i conti di Valloriate, nonché a Josiane e Frédérique FERRANDIS per aver inviato le foto della famiglia CESANA.
Se riconoscete membri della vostra famiglia, se desiderate che la loro foto venga pubblicata, se avete informazioni da condividere con me, non esitate a contattarmi: dupiemontalaprovencemail.com
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vieuxmetiers · 3 years ago
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Emballage des cerises, Solliès-Pont, Var.
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localdomination4biz · 6 years ago
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sortirdanslesud · 2 years ago
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@madinevent83 🎉 Lancement de la billetterie du festival TERRE D'ARTISTES avec MAX ROMEO ! Date : Le 20 Mai 2023 à partir de 18h Lieu : Espace Lanza à Solliès-Toucas Prix : 12€ Billetterie : lien en bio ⬆ MAD IN EVENT s’associe avec la Ville de Solliès-Toucas pour vous proposer le festival « Terre d’artistes » : un rendez-vous avec l’un des plus grands noms de l’histoire du Reggae : MAX ROMEO. Aux cotés d’artistes tel que BOB MARLEY ou PETER TOSH, avec des titres et des albums légendaires tel que « Chase the Devil » repris notamment par l’immense JAY-Z, MAX ROMEO a contribué à construire les fondements de la riche histoire du Reggae. #reggae #terredartistes #festivalreggae #solliestoucas #maxromeo #bobmarley #rastafari #azizziromeo #xanaromeo #chasethedevil #theultimatetour #sortirdanslesud (à Solliès-Toucas) https://www.instagram.com/p/Cpk5PJFIAz0/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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steve-explores · 3 years ago
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37th Week Celebrations at Les Amis
To celebrate the 37th week of our little bundle of joy, my wife and I celebrated the occasion at one of the most celebrated restaurant in Singapore, Les Amis, with three-star accolades from Michelin Guide and a coveted spot in Asia’s Top 50 Restaurants. 
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To enjoy a full experience, we decided on the seven-course Degustation menu featuring the finest dishes from the restaurant featuring top quality ingredients from sustainable sources such as scallop, caviar, river caught wild salmon, line caught seabass, and Challans ducks.
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Appetizers are simply magical with three exquisite dishes which provides diners with a quick peek at the delights to come.
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Le tartare de saumon au caviar: River caught wild salmon tartare with special selection of caviar.
One of our favorite dishes of the evening is the decadent salmon tartare with a thick layer of caviar on top, served with fried moist sourdough. Each mouthful is heaven on earth, leaving a smile on your face and a skip in your heart.
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La noix de Saint-Jacques d’Erquy, cuite au four sans coloration, sauce iodée aux algues du Cotentin: Slow roasted scallop from the coast of Erquy with savoury seaweed sauce.
The sweet plump scallop paired with the slightly acidic aromatic sauce and a crispy disc is a masterclass in the delicate balance of flavors and textures. 
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Étuvée de cèpes « à la Bordelaise » caviar d’aubergines: Cep mushrooms cooked “à la bordelaise” & eggplant caviar with touch of olive oil.
These mushrooms are so meaty and juicy, comparable to high quality wagyu steaks. The eggplant caviar rounds off the dish for a truly satisfying and comforting dish.
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Le potage à la châtaigne d’Ardèche: Silky velouté made with seasonal Ardèche chestnuts.
The velvety rich soup is adored with melt-in your-mouth pork belly and foie gras, much like jewels on a culinary crown of excellence.
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Le bar de ligne cuit sur peau, sauce au verjus: Line-caught seabass roasted with touch of thyme & pepper served with verjus sauce.
The seabass is flaky and moist, punctuated by the full bodied sauce, to create a flavor profile that I have never tried before. It was a noble attempt at a difficult protein though it was our least favorite item of the evening.
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Le canard de Challans rôti sur sa poitrine, poire « Beurré Hard y » caramélisée, ravigoté au gingembre: Roasted Challans duck breast from Vendée accompanied with ginger caramel pear.
This dish is Les Amis: Executed with perfection and true artistry, raising its culinary possibilities to its full potential, unleashing wave after wave of delectable flavors on the palate of diners, Every bite is just pure bliss, and in my culinary scoreboard, this is a 9.5 with the 0.5 reserved for its next evolution to new heights of greatness. 
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Before our main dessert, we are served with one of the best dark chocolate cakes in the city, comprising of layers of chocolate ganache, hazelnut feuilletine, chocolate sponge and coated with a silky chocolate glaze. And the best part? You can purchase it from the restaurant for your enjoyment at home.
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La figue de Solliès, dans une boule en sucre soufflé: Variations of Sollès fig in a crisp sugar sphere.
Faced with such an innovative dish using such a difficult ingredient, I find myself running out of superlative terms to describe it. It is just simply a dessert lover’s dream come true.
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And for the big no-brainer question of the day: Would I return again and recommend this restaurant to everyone? 
Quite simply yes because Les Amis embodies the very essence of what it means to be the best in the highly competitive culinary scene. Les Amis has captured my heart and my stomach, and my wife and I will return again to the restaurant with our little angel to celebrate our next milestone in life.
In the meantime, Au revoir - until we see each other again...
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div-blog · 3 years ago
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VENEZ NOMBREUX DÉCOUVRIR NOTRE BELLE FRANCE
La Fête de la figue à Solliès-Pont CLIQUER SUR LE LIEN POUR VOIR LES BLOGS CLICK ON THE LINK TO SEE SBLOGS http://fetes.centerblog.net/182-
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