Tumgik
#tricherie
vinie59 · 1 year
Text
youtube
0 notes
sdaryane · 2 years
Audio
1 note · View note
energiologue · 26 days
Text
MASQUE OU AUTHENTICITÉ ?…
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Face à l’énergie de l’authenticité des personnes, les esprits fragiles sont mis à nu, et le masque tombe. Pourquoi ? Parce que l’authenticité, c’est être soi-même, c’est être sincère, c’est montrer qui l’on est vraiment sans fausse humilité, c’est être dans sa vérité avec la foi chevillée au corps. De ce fait, cette lumière…
0 notes
espacetutos · 3 months
Text
Fraude BAC CI 2024 : Un cas de tricherie démasqué à Adzopé
Un candidat au BAC 2024 a été appréhendé en pleine tricherie le 18 juin au lycée moderne 2 d’Adzopé, lors de l’épreuve de français. Zéro tolérance pour la tricherie au Bac 2024. Un cas de fraude a été démasqué à Adzopé. L’individu, dont l’identité n’a pas été révélée, était inscrit en série D. Selon les informations recueillies par l’AIP auprès du président du jury du centre, le candidat a été…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
spiroufuckyboy02 · 2 months
Text
Tumblr media
La tricherie n'est pas une blague... Vous en aurez assez de signaler plus tard...😓❤️
Spirou, avec amour pour Fantasio❤️
En fait, d'où est venue l'idée de cet art) >^<
Tumblr media
7 notes · View notes
Text
Tumblr media
Des élections en Ukraine par Philippe Muray, il y a vingt ans…
«À quelques années de là, et à la faveur des troubles consécutifs aux élections ukrainiennes, on pouvait constater qu'une amélioration notable été apportée à la démocratie.
Les Ukrainiens venaient de voter pour le mauvais candidats, l'orthodoxe, le pro-Russe, celui dont ne voulaient à aucun prix ni l'Union Européenne Christophobe ni les États-Unis Démocrates, ni d'ailleurs non plus un seul médiatique occidental.
Il fut donc aussitôt établi que cette élection n'avait pu être obtenue que par une immonde tricherie ; mais de toute façon celà importait peu : il fallait qu'il y ait eu tricherie puisque le «verdict des urnes» ne correspondait pas avec ce qui avait été décidé qu'il serait.
Il n'était pas question de laisser plus longtemps des gens vivre, penser et voter autrement que selon le nouveau catéchisme torché par les robots sans entrailles de l'Europe divine anti-chrétienne.
Dans cette nouvelle bouffonnerie, à Kiev la terre fut bleue comme une orange et la révolution devint une rave permanente en centre-ville, une sorte de Nuit blanche conforme aux Nuits Blanches de l'Occident décomposé.
Ici, il s'agissait de tuer un dernier adversaire récalcitrant : l'âme russe, rétive aux centres-villes et incompétente en Nuits blanches.
Avant même le retripatouillage de ces élections tripatouillées, l'issue de celles-ci ne faisait donc aucun doute puisqu'elle avait été décidée en bas lieu.»
(Philippe Muray, L’envie du pénal, in Essais - Les Belles Lettres, 2005)
9 notes · View notes
aurevoirmonty · 26 days
Text
Tumblr media
« Se créer des devoirs évite de rechercher des louanges. Une hygiène pour se contraindre à monter sa pente, vers le haut en se prenant soi-même pour juge. Au moins là, pas de tricherie. Être en règle ou essayer d'être en règle avec soi-même c'est choisir un juge impitoyable à qui on ne la fait pas. Tant vos l’homme, tant valent ses rêves. »
Dominique Venner
5 notes · View notes
galerymod · 2 months
Text
Tumblr media
Au nom des athlètes », “Au nom de tous les juges” ou “Au nom de tous les entraîneurs et officiels”. Nous nous engageons à participer à ces Jeux olympiques et à respecter les règles dans un esprit de fair-play, d'inclusion et d'égalité. Ensemble, nous sommes solidaires et nous nous engageons pour un sport sans dopage, sans tricherie, sans aucune forme de discrimination. Nous le faisons pour l'honneur de nos équipes, dans le respect des principes fondamentaux de l'esprit olympique et pour rendre le monde meilleur grâce au sport ».
Serment olympique
Promesse de respecter le fair-play/l'esprit d'équité
L'essentiel aux Jeux Olympiques n'est pas de gagner mais de participer ; l'essentiel dans la vie n'est pas de conquérir mais de bien se battre.
Pierre de Coubertin
Nous aimons l'idée d'Olympic. Toutes les nations cohabitent pacifiquement dans le village olympique et s'affrontent pour déterminer les meilleurs.
Tout est basé sur le respect et le fair-play.
Quelle bonne idée !
Cette cérémonie d'ouverture n'aura pas plu à tout le monde dans le monde, car elle était une affirmation de la diversité, de la liberté et de l'égalité, une affirmation des valeurs de l'Europe, une mise en scène ambitieuse de la diversité associée à la beauté de Paris.
Même la pluie n'a pas réussi à briser l'enthousiasme !
Une invitation unique, grandiose et européenne à l'humanité à reconnaître que la diversité peut créer de grandes choses.
mod
Pas de critique aujourd'hui, juste de l'étonnement
‘In the name of the athletes’, ‘In the name of all judges’ or ‘In the name of all coaches and officials. We pledge to take part in these Olympic Games and to respect and abide by the rules in a spirit of fair play, inclusion and equality. Together we stand in solidarity and commit to a sport without doping, without cheating, without any form of discrimination. We do this for the honour of our teams, in respect of the fundamental principles of the Olympic spirit and to make the world a better place through sport."
Olympic Oath
Promise to observe the concept of fair play/fairness
The most important thing in the Olympic Games is not winning but taking part; the essential thing in life is not conquering but fighting well.
Pierre de Coubertin
We love the idea of Olympic all nations live peacefully together in the Olympic village and compete to be the best.
Everything is based on respect and fair play.
What a great idea!
This opening ceremony will not have pleased everyone in the world because it was a commitment to diversity, freedom and equality, a commitment to the values of Europe, a sophisticated staging of diversity combined with the beauty of Paris.
Even the rain couldn't dampen the enthusiasm!
Unique, magnificent and European, an invitation to humanity to recognise that diversity can create great things.
mod
No criticism today, just amazement
4 notes · View notes
yespat49 · 2 months
Text
Les manières de racailles à l’assemblée
Après la tambouille pour faire réélire la macroniste Braun-Pivet à la présidence de l’Assemblée nationale, l’élection des vice-présidents a donné lieu à l’affligeant spectacle d’une démocratie défaillante et surtout corrompue. Le premier vote a été annulé pour tricherie, l’urne a été bourrée de 10 voix supplémentaires. Non seulement on a assisté au déplorable comportement des « gens de gauche »…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
mimikyu-oli · 3 months
Text
Michael: What-where am I!?
???: Somewhere in The Unknown.
Michael: What!?
Who are you!?
???: You can call me Old Man Consequences.
I am the manifestation of the result of the living's actions.
Michael: Wh-ok.
OMC: Come sit.
Michael go sit beside the... thing?
Michael: ... Is there others like you, or are you...
OMC: Every concept have their personnification. Life, death, love, trichery, action, etc etc.
Michael: ...Ok.
What do they look like?
OMC: Well, you see that empty bucket there?
Michael: Yes?
OMC: That's the concept of Action. Or, a part of it.
Michael: Really?
OMC: You don't believe me?
Michael: No no, I do. It's just...
OMC: Just what?
Michael: How can Action be a bucket?
OMC: Well, in the situation we are, I'm a fisherman. I have an empty bucket of fish. I want to fill it. So I go fishing.
Michael: I don't know? It's just... hard to pictures it.
OMC: IT'S METAPHORIC!
Michael: I know, I know. It's ok. I'm sorry.
3 notes · View notes
jmviolon · 6 months
Text
Fin de l'histoire
Tumblr media
Maintenant que cette longue histoire se terminait, il commençait à mieux percevoir la vanité de ce qu’il avait ressenti et avait cru partager. Et ce qui finalement lui en restait, c’était d’un côté le souvenir d’une formidable intensité de vie personnelle, comme il n’en avait jamais connue auparavant, et de l’autre, un arrière-goût de mensonges et de trahisons qu’il n’arriverait sans doute jamais à dissiper… Nul ressentiment, non, nulle tentation d’oublier cette histoire, ni de nier en avoir été l’heureux et malheureux protagoniste. Juste un sentiment trop vide après tout cela, l’impression que sa vie avait enflé démesurément puis désenflé dans les mêmes proportions… Au bilan, il y avait gagné une meilleure conscience, et d’avoir presque éteint cette flamme du désir qui empêche la sérénité du renoncement… Ce n’était finalement pas si mal !
Au début, elle voulait écrire un roman, le roman de ce qu’ils vivaient tous les deux, mais pas avec ses yeux à elle : avec ses yeux à lui, ses mots à lui, ses sentiments à lui… Et à présent, c’est lui qui avait décidé d’écrire un roman de cette histoire, mais débarrassé de ses aspects romantiques, et il réalisait que c’était ainsi pour lui qu’il en franchirait la sortie… Ce ne serait pas ce dont elle rêvait : pas une jolie histoire par procuration qui lui permette de ressentir ce que son cœur timide ne lui permettait pas, non : une vision sèche et aigüe de ce qui s’était tramé au coeur de cette rencontre, des envies, des croyances, des enjeux, des tricheries, des douleurs, …
La différence sans doute la plus flagrante entre leurs façons respectives de vivre leur histoire résidait dans leurs capacités respectives à ressentir les choses : son extrême sensibilité à lui, non protégée, nerveuse, brute et directement exposée, ne se manifestait pas seulement dans des joies et peines hors du commun, mais aussi et surtout par une force d’espoir et par une intensité émotionnelle instantanée non contrôlée, et, par conséquent, une forte vulnérabilité, notamment au doute ; tandis que de son côté, son enthousiasme à elle semblait plutôt procéder de l’auto-conviction, se nourrissant davantage de ses émotions à lui, et davantage porté par un goût romanesque, comme si pour ressentir quelque chose, il lui fallait pouvoir se le dire, se le raconter, ou le percevoir de l’extérieur…
Ainsi  présenté, on comprend bien ce qui chez chacun pouvait attirer l’autre : il donnait corps par l’intensité de ses émotions à ses fantaisies à elle, lui donnant la sensation d’exister enfin, lui offrant sa vie comme substance romanesque… et simultanément, elle encourageait par son caractère fantasque son engagement sensible à lui, le poussant dans une conviction que c’était là la vraie vie, totale et dramatique, entièrement dédiée à leur histoire, dont chaque seconde, positive ou non, revêtait ainsi un caractère sacré, unique et suffisant….
Mais cela ne pouvait durer éternellement. Elle s'en était progressivement lassé, il s'y était progressivement épuisé.
Alors maintenant, c'était comme une vengeance froide, involontaire, l'ultime déchirure : il avait décidé d'écrire cette histoire, leur histoire, vue par lui, avec tout ce qui l'avait enflammé, et tout ce qui l'avait fait souffrir. Dans l'espoir d'en guérir ?
2 notes · View notes
bat-connoisseur · 11 months
Note
trichery and/or threats!
For many, what i have in store for you, Septy, would be a trick. But for you? A treat, for sure.
Tumblr media
[FUCKIGN DISTILLS YOU]
2 notes · View notes
air-rising · 2 years
Text
via olfeminin: Tricherie ou pas ? 🏁🚨
8 notes · View notes
louisstephaneulysse · 2 years
Text
“Elles font du bruit. Le bruit, ça ne choisit pas, ça n'est pas fait pour avoir de bons ou de mauvais arguments. C'est du bruit. En général, on fait du bruit pour se faire entendre. On veut se faire entendre parce qu'on estime qu'on n'est pas entendu. Des gens qui font des conneries, des crimes, y'en a plein. Des riches, des pauvres, des puissants ou pas. On ne veut pas forcément juger, et on pense parfois qu'on n'est pas mieux. Mais au moins, quand on triche, on la boucle. Il n'y a rien de pire que les gens qui trichent et qui sont en train de se pavaner avec leur tricherie en essayant dire que c'est normal de tricher comme ça et d'en remettre une couche. Ils ont une barre de chocolat. Ils la posent sur la table. Les yeux dans les yeux, ils vous disent en riant : "Regarde, ce n'est pas une barre de chocolat."
3 notes · View notes
Text
Tumblr media
De la différence du réel et de la réalité chez Lacan (ou pourquoi le psychanalyste n’aura jamais pu être dupe de la mascarade covidiste)
À une époque où dominent tricheries, tromperies et falsifications en tous genres, où les mots en arrivent à signifier l’exact contraire de ce qu’ils étaient censés désigner depuis des siècles, au point où est apparue une opposition entre "le réel" d’un côté et "le récit" de l’autre, que dirait Lacan?
Tout d’abord convient-il de préciser que Lacan n’a JAMAIS DIT (ni écrit) nulle part «Le réel, c’est quand on se cogne.»
Et pourtant, "ça" passe pour une "vérité", la "preuve": c’est que sur GOUGUEULE, des centaines de pages reprennent la «citation», bientôt des milliers!
Voilà qui donne une idée de la façon dont fonctionne la transmission, du "savoir" comme "information"...
Si dans les quinze mille pages disponibles de Lacan (Écrits, Autres Écrits, transcriptions Staferla des séminaires...), à aucun endroit, à aucun moment Lacan ne dit expressément ces mots, c’est tout simplement parce qu’ils trahiraient ce qu’il dit effectivement par ailleurs de cette notion de Réel, en tant qu’impossible à symboliser et impossible à imaginer, et qu’il s’agit de ne pas induire l’auditeur en erreur en laissant entendre que le Réel, ce serait quelque chose de matériel...
Ce que dit Lacan littéralement, c’est:
«Il n’y a pas d’autre définition possible du réel que: c’est l’impossible; quand quelque chose se trouve caractérisé de l’impossible, c’est là seulement le réel; quand on se cogne, le réel, c’est l’impossible à pénétrer.»
Mais il aura suffi que Jacques-Alain Miller (qui s’imagine faire autorité sur le texte de Lacan, juste parce qu’il en est "l’exécutaire testamenteur") réduise la précise formulation lacanienne à: «le réel, c'est quand on se cogne», pour que ce genre de simplification abusive qu’on retrouve dans la presse ou le marketing, cet aplatissement honteux, cette trahison caractérisée de la lettre qui efface la complexité du concept de Réel chez Lacan soit frauduleusement attribuée à Lacan.
Voici du Lacan dans le texte:
«Un enfant se cogne contre une table, et l’on va vous dire que cette expérience lui apprend le danger des tables.
Eh bien, c’est faux.
Quand l’enfant heurte la table, ce n’est pas devant la table qu’il est placé, mais devant un discours que lui font immédiatement ses parents.
De même pour chacun de ses gestes.
L’enfant est environné, submergé, noyé dans un immense discours, il est menacé d’étouffement.
C’est dans le langage qu’il se développe.
Le sujet est constitué par le langage et non pas le contraire.
Prenez la notion, fondamentale pour Freud, de désir.
Le désir ne peut pas être articulé autrement que dans et par le langage.
C’est même la différence avec le besoin ou l’appétit qui, eux, ne sont que d’ordre physiologique.
Dans l’histoire réelle du sujet, le besoin passe par ce que j’appelle «les défilés du signifiant», c’est-à-dire de la parole.
L’enfant fait passer son besoin par le langage, mais jamais le langage n’arrive à s’égaler à lui-même.
Et c’est cette béance, si vous voulez, que vient combler le désir.
Le désir est donc articulé dans le langage, sans que le langage puisse s’égaler à lui.
Et vous savez, cette histoire date d’avant la naissance.
Non seulement parce que l’enfant, avant de venir au monde, est déjà assorti d’un nom et d’un prénom, mais encore parce que sa naissance est commandée par le désir de ses parents.
La façon dont ses parents l’ont désiré, bien ou mal, avant sa naissance – et rappelez-vous que le désir est articulé dans le langage – cela va le lier à une certaine place dans le monde et de cette place va résulter telle ou telle conséquence parmi lesquelles perversions, névroses, etc. S’il est donc vrai que, pour Freud, tout est inscrit dans cette parole structurée qu’est le désir, il suit que tout, dans l’histoire de l’homme, est lié à l’incidence du langage.»
Puis dans son séminaire L’insu que sait de l’une bévue c’est l’amour, Lacan reprend:
«C’est assez fâcheux que le Réel ne se conçoive que d’être impropre. C’est pas tout à fait comme le langage. Le langage n’est impropre qu’à dire quoi que ce soit. Le Réel n’est impropre qu’à être réalisé. D’après l’usage du mot "to realize", ça ne veut rien dire d’autre que: imaginer comme sens.»
La psychanalyse est une clinique du discours ET un discours (la psychanalyse n’opère que du discours qui la conditionne), ce discours particulier qui ne procède pas vers le réel, mais par le réel.
La singularité de l'approche psychanalytique, c'est de pouvoir mettre en rapport, notamment par la notion de "jouissance", l'horreur du réel qui se rencontre dans la clinique, avec la convoitise du réel propre à l'art...
Si le réel ne se fait jour que par le symbolique, il ne saurait s’y confondre, échappant à toute représentation fût-elle la moins imaginaire…
Le Réel chez Lacan apparaît comme la notion cruciale, non seulement parce qu'elle désigne ce qui n'est ni imaginable, ni symbolisable (irreprésentable) mais aussi dans la mesure où elle permet de saisir pourquoi la réalité est à placer du côté du fantasme, ceci conformément à cette découverte majeure énoncée par Hegel que ce qui apparaît au sujet comme "réalité" est toujours déjà, a priori, "médié" par le sujet lui-même…
La manière dont le Discours Capitaliste (l’idéologie dominante) se présente comme le seul discours pour lequel il n'y a pas d'impossible — et donc pas de réel, seulement la réalité! — est peut-être plus explicite sous l'angle du fantasme. Lacan dit que le fantasme est notre fenêtre sur le réel. Dans son séminaire sur L'angoisse, il reprend l'idée du tableau de Magritte "La condition humaine" et suggère à chacun d'imaginer une fenêtre sur laquelle serait peint ce qui serait visible à l'extérieur. Chaque peintre mettant sa subjectivité dans sa peinture, chacun peint donc le réel aux couleurs de son fantasme fondamental, c'est à dire en fonction de la fenêtre par laquelle le monde se rend visible pour lui… Même si, en peignant des pommes, Cézanne disait vouloir atteindre la "pomméité" de la pomme, et que Baudelaire confessait: «je veux représenter les choses telles qu'elles sont, ou bien qu'elles seraient en supposant que je n'existe pas»), il est impossible de concevoir le moindre accès au réel sans la présence du sujet qui l’y convoque. Par la parole donc.
Y a-t-il un Réel indépendamment du sujet? Le sujet lui-même, n’est il pas en tant qu’èvanescent, disparaissant, toujours voué à l’aphanisis, ce qu’il y de plus réel?
Quid du réel dans son rapport à la réalité?
Revenons sur Le sinthome avec Lacan:
«D’où vient le feu ? Le feu, c’est le Réel. Ça met le feu à tout, le Réel.
Mais c’est un feu froid. Le feu qui brûle est un masque, si je puis dire, du Réel. Le Réel en est à chercher de l’autre côté, du côté du zéro absolu. On y est arrivé, quand même à ça. Pas de limite à ce qu’on peut imaginer comme, comme haute température. Pas de limite imaginable pour l’instant. La seule chose qu’il y ait de Réel, c’est la limite du bas. C’est ça que
j’appelle quelque chose d’orientable. C’est pourquoi le Réel l’est. Il y a une orientation, mais cette orientation n’est pas un sens. Qu’est-ce que ça veut dire? Ça veut dire que je reprends ce que j’ai dit la dernière fois, en suggérant que le sens, c’est peut-être l’orientation. Mais l’orientation n’est pas un sens puisqu’elle exclut le seul fait de la copulation du Symbolique et de l’Imaginaire en quoi consiste le sens. L’orientation du Réel, dans mon territoire à moi, forclôt le sens.»
L’erreur — qui n’est pas une erreur mais une faute logique — perpétrée par les tenants de la "réalité virtuelle" et de "l’homme augmenté", les trumains-deux-zéro, les modélisateurs, les algorithmés du bulbe, apôtres de la Sainte Innovation Technologique, c’est de s’imaginer qu’il serait possible de savoir quelque chose sur l’Autre (réel) par les seuls signes perçus à partir d’un écran, hors la présence et la mise en jeu réelle des corps, du sien comme de l’autre, cela revient tout simplement à dénier le réel.
Le réel, inéliminable définitivement de l’expérience humaine en son fondement, revient toujours à la même place…
Au slogan du Discours Capitaliste "tout est possible!" Lacan oppose un constat plus sobre: «L’impossible arrive.»
6 notes · View notes
galadionne · 2 years
Text
ChatGPT permet de tricher, mais ce n’est pas avec un robot conversationnel que vous cartonnerez
Effectivement, cette organisation scolaire estime que ChatGPT est une innovation technologique qui n'encourage pas le développement de la pensée critique, qui est essentielle à la réussite sociale et académique, selon Jenna Lyle, une porte-parole des écoles publiques new-yorkaises.
Cependant, ces enjeux de tricherie ne représenteraient pas un problème significatif dans les universités. Les résultats du professeur de droit Christian Terwiesh de la Worthon School of Business, démontrent que ChatGPT obtient des notes d'examen qui varient entre C+ et B-. Ce n'est donc pas le meilleur outil pour obtenir une bourse d'études ni pour se démarquer lors d'un examen de niveau universitaire.
Selon Terwiesh, ChatGPT a du mal à traiter les questions avancées en droit. Il se contente de générer de l'information qui répond aux questions légales simples.
Un groupe de chercheurs de l'Université du Minnesota soulève que ChatGPT est d'abord et avant tout un bon outil pour synthétiser efficacement du texte. Ils soutiennent également que c'est un robot conversationnel apte à répondre à certaines questions d'examen de manière complète, mais qui fait parfois preuve d'incohérence.
Évidemment , le risque de triche demeure, car les étudiants qui décideraient de le faire pourraient utiliser l'information que ChatGPT génère et bonifier ce contenu pour obtenir de meilleurs résultats en usant de peu de sens critique.
Plusieurs nouveaux dispositifs sont en mesure de détecter l'utilisation des robots conversationnels en milieu scolaire, ce qui pourrait rassurer quelques enseignants, chargés de cours et professeurs.
À Montréal, Nabil Tayeb et Vincent Terrasi ont fondé Draft & Goal, un outil gratuit d'une fiabilité de 93% servant à détecter l'utilisation de robots conversationnels tels que ChatGPT. L'algorithme de leur système de détection est fondé sur le principe de l'apprentissage machine.
En considérant que Microsoft étend son accord de « plusieurs milliards de dollars » avec les créateurs de ChatGPT et que la majorité des systèmes informatiques des universités sont complètement dépendantes des logiciels de Microsoft (Latzko-Toth, 31 janvier 2023), comment les institutions scolaires et universitaires québécoises s'adapteront-elles à la montée de l'intelligence artificielle dans les milieux scolaires? Comment réguleront-elles ces nouvelles innovations technologiques?
2 notes · View notes