Tumgik
#tu dois changer ta vie
philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !).
2015. A Lille, au TriPostal, il y avait une autre expo : “Tu dois changer ta vie” :
Ici un film kaléidoscope : Theo Eshetu : "Brave New World”
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selidren · 4 months
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Printemps 1916 - Champs-les-Sims
5/9
Mais même en deuil, Constantin reste Constantin. Il côtoie sans doute de nombreux pères au front, qui doivent parler avec nostalgie de leurs enfants et de ce qu'ils auront envie de faire avec eux une fois la guerre finie. Connaissant mon mari, il est fort probable que de telles conversations aient éveillé un sentiment de culpabilité chez lui. Car son absence m'a définitivement fait prendre conscience qu'il ne s'implique pas assez dans la vie de nos enfants. Mais je laisse cette frustration pour la fin des combats. Comment pourrait-il concevoir de telles considérations domestiques alors qu'il craint pour la survie d'Adelphe chaque jour et voit sa propre vie menacée quotidiennement ? Il m'arrive même de me dire, en pensant à vous, que vous avez vécu d'impensables souffrances mais qu'au moins vous êtes en sécurité chez vous.
Dans tous les cas, un inconnu lui a mis en tête l'idée d'embrasser les enfants. Adelphe le fait, mais ce n'est pas aussi général qu'il semble le croire. Sauf que comme la plupart des promiscuités entre un père et ses enfants, il déteste cela, à tel point qu'il rechigne à prendre les petits dans ses bras. Dans son esprit, il s'est donc dit qu'il pourrait faire un effort, et réserver cette marque d'affection à Noé uniquement. Les leçons de sa grand-mère sur l'importance de l'héritage n'ont pas eu que l'effet escompté, car il ne réalise pas à quel point ses deux soeurs en ont été jalouses. Il a ainsi enlacé Noé devant ses soeurs et ensuite refusé de leur offrir la même chose alors que j'étais partie lui chercher ses pantoufles. Cléo a donc fait une immédiate crise de larmes et c'est avec un air offensé et dramatique digne de Sarah Bernhardt qu'elle lui a remis sa carte de voeux au matin de Noël. Sélène a boudé de façon plus discrètes pendant plusieurs jours. Antoine n'a pas montré son émotion, comme c'est de plus en plus commun chez lui, et sa ressemblance avec son père semble alors dépasser le physique.
En tant que mère, comment puis-je expliquer à mes enfants que seule la plus grande reçoit l'affection de leur père ?
Transcription :
Arsinoé « Papa, c’est toi ? Qu’est-ce que tu fais ici ? »
Constantin « J’ai les chaussures si sales que ta mère m’a ordonné de rester ici en attendant qu’elle m’amène mes charentaises. Elle ne veut pas que je souille le tapis du salon. »
Arsinoé « Ce n’est pas ça, mais Maman a dit que tu étais encore à la guerre pour Noël. »
Constantin « Et bien non, je suis ici pour la semaine, nous allons passer les fêtes ensembles.  Tu es contente ? »
Arsinoé « L’institutrice dit que peu d’enfants ont la chance d’avoir leur Papa pour les fêtes. Avec les autres élèves, nous avons rédigé des cartes de voeux pour nos pères courageux qui restent au front pour nous protéger. J’ai de la chance, je vais pouvoir te la donner moi-même. »
Constantin « C’est très gentil. Tu me la donneras au matin de Noël. »
Constantin « Arsinoé, pourquoi n’embrasses-tu pas ton père ? »
Arsinoé « Mais on ne t’a jamais embrassé. »
Constantin « Nous allons changer cela. Un bon père embrasse ses enfants. »
Arsinoé « Cléopâtre et Sélène ont demandé à Maman pourquoi nous n’embrassions qu’elle. Elle a répondu que tu n’aimais pas. »
Constantin « C’est vrai. Mais je ferai une exception pour toi. »
Arsinoé « Pourquoi moi ? »
Constantin « Parce que tu es mon aînée. »
Arsinoé « Et alors ? »
Constantin « Tu es mon aînée et mon héritière, cela fait de toi quelqu’un de plus important. Je dois donc faire une exception pour toi. Maintenant, embrasse ton père. »
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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marie-swriting · 10 months
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Magnifique - Derek Morgan
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Masterlist
Résumé : Tu as du mal à aimer ton corps.
Warnings : problème lié à l'image de soi (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), Trouble du Comportement Alimentaire sous-entendu (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), angst, hurt/comfort, whump, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Body par Julia Michaels
Dans une cabine d’essayage, tu regardes le reflet de ton corps dans une robe rouge. Tu te regardes sous toutes les coutures et tu vois seulement les défauts. Pour toi, la robe ne flatte pas ta silhouette alors que Derek t’a assuré que ça serait le cas. Tu n’aimes pas le décolleté, il ne met pas ta poitrine en valeur. Tu n'aimes pas la façon dont ton ventre est visible à travers le tissu. Et enfin, tu n’aimes pas la façon dont on peut voir tes jambes à cause de la petite taille de la robe. Tu tires un peu sur le bas de la robe, espérant la rendre plus longue alors qu’une remarque d’un ex résonne dans ta tête. Tu continues à examiner chaque centimètre de ton corps dans le miroir jusqu’à ce que te tordre. Tu finis par soupirer, comprenant que ton corps n’est pas fait pour cette robe. Tu as l’impression que ton corps n’est pas fait pour beaucoup de vêtements et ça a le don de te faire souffrir. 
-Tu es prête, mon ange ? questionne Derek, à l’extérieur de la cabine.
-Euh, oui. 
Avec appréhension, tu ouvres le rideau et Derek ne dit rien pendant une seconde, te regardant de haut en bas. Son silence te rend un peu plus nerveuse et te convainc que tu devrais enlever cette robe tout de suite. 
-Tu es magnifique, Y/N, complimente-t-il avec un sourire.
-Je ne trouve pas, secoues-tu la tête en regardant à nouveau ton reflet. 
-Tu rigoles ? Tu es super belle.
-Je ne sais pas. Regarde mon ventre ! t’exclames-tu en montrant la partie de ton corps. Et la robe ne met pas mes jambes en valeur non plus. Et puis, je la trouve courte. 
-Elle est à peine à mi-cuisse. Et elle te va parfaitement bien.
-Je ne sais pas… 
Comme pour te rassurer, Derek pose ses mains sur tes épaules et embrasse ton front.
-Je te promets que tu es incroyable dans cette robe, t’assure-t-il et tu forces un sourire. Tu devrais la prendre et si vraiment tu trouves qu’elle ne te plait pas, tu peux toujours la changer. Allez, je te l’offre, annonce Derek, content.
-Derek, tu n’as pas…
-Ha, ha…, t’interrompt-il en bougeant son index de gauche à droite. Je te l’offre, ça fera pour notre restaurant de la semaine prochaine. Et puis, on a pas pu être souvent ensemble ces derniers temps, je te dois bien ça.
-Tu sais que tu n’as pas à te faire pardonner pour ton travail, affirmes-tu en prenant sa main.
-Alors, vois ça comme un cadeau parce que je t’aime. Tu veux essayer autre chose ?
-Non, déclares-tu sans perdre une seconde. Je vais me changer.
Tu refermes le rideau et commences à te déshabiller sans trop t’attarder sur ton reflet. Quand tu as fini, tu sors de la cabine et vois une femme légèrement plus jeune que toi dans la même robe. Malgré toi, tu penses qu’elle lui va mieux. La robe épouse parfaitement ces courbes et tu trouves la femme magnifique. En la regardant, tu te dis que tu aimerais être comme elle. 
Après avoir payé la robe, vous retournez dans ton appartement. Tout le chemin, tu restes silencieuse, perdue dans tes pensées nourries par les différentes remarques que tu as pu entendre au cours de ta vie. Derek remarque ton mutisme tout de suite. Il ne te questionne pas, sachant que tu risques de te braquer. Malgré le fait que vous êtes ensemble depuis un an, tu as encore du mal à venir vers lui quand tu en as besoin. C’est une des choses sur laquelle vous travaillez. Tu fais des efforts depuis votre rencontre, mais parfois, tu continues à t’isoler.
Quand vous arrivez chez toi, tu poses tes affaires avant d’informer que tu souhaites être dans une tenue plus confortable. Derek s’installe sur ton lit pendant que tu te changes. 
Dans ta salle de bain, tu regardes ton reflet alors que tu es en sous-vêtements. Quand tu sens tes pensées négatives devenir un peu plus fortes, tu tournes le dos à ton miroir et continues de te changer. Même pour enlever ton maquillage, tu ne te regardes pas. 
Une fois finie, tu t’allonges à côté de Derek. Instantanément, il te prend dans ses bras avant d’embrasser le haut de ton crâne.
-Tout va bien ?
-Oui. Je suis juste un peu fatiguée, mens-tu en écoutant les battements de son coeur. 
-Tu es sûre ?
-Promis, affirmes-tu en l’embrassant chastement. Tu peux dormir ici ce soir ? J’aimerais rester dans tes bras.
-Bien sûr.
Ta demande est tout ce dont Derek a besoin pour savoir que tu ne vas pas bien. Derek a beau encore ignorer la raison, ce n'est qu'une question de temps avant qu'il la trouve. Il te connait assez bien pour savoir la façon dont tu agis quand tu ne vas pas bien sans que tu aies besoin de prononcer un mot. Toutefois, à cet instant, il préfère te serrer un peu plus contre lui, voulant t’apporter le réconfort dont tu as secrètement besoin.
Tu pensais que dans quelques jours, tu irais mieux. Tu as souvent des phases où tu détestes ton corps plus que d’habitude, mais celle-ci est tenace. Tu n’es à l’aise dans aucun de tes vêtements, tu te sens moche et tu n’arrives pas à apprécier ce que tu manges. Tout est horrible et tu veux juste te morfondre dans ton lit et ne plus jamais sortir. 
Malheureusement pour toi, tu dois aller à ton rendez-vous avec Derek. Avec le peu de force que tu as, tu arrives à sortir de ton lit. 
Après avoir pris une douche, tu ouvres ton placard. Tu fais défiler les différents vêtements, sans grande volonté. Quand tu tombes sur la robe que Derek t’a offerte, tu hésites entre la porter ou la brûler. Tu sais que ça lui ferait plaisir de te voir avec, mais tu n’es toujours pas convaincue. À contrecoeur, tu prends le cintre avant d’enfiler la robe, espérant que cette fois, tu vois ce que Derek a vu. 
Tu ajustes la robe comme il faut et tu te regardes dans le miroir de ta chambre. Tu as toujours la même vision : seulement des défauts. En continuant à examiner ton reflet, tes yeux se remplissent de larmes alors que dans ta tête, les phrases telles que  : “tu n’es pas belle”, “tu ressembles à rien” et autre horreur ne cessent de tourner. 
Les larmes te montent de plus en plus aux yeux et tu te refuses de pleurer. Tu ne peux pas craquer ce soir. Tu dois passer la soirée avec Derek. Tes démons doivent attendre un peu plus longtemps. Tu prends de profondes inspirations et quand tu es sûre que tu n’es plus sur le point de pleurer, tu prends ton maquillage. Tu as espoir qu’embellir ton visage t’aidera. Peut-être que ça peut rattraper ta tenue. De plus, le fait de te pomponner t’aide parfois à te sentir un peu mieux - même si ce n’est pas une solution miracle. Cependant, cette fois, ton humeur s’empire. Les cernes sous tes yeux se moquent de toi alors que tu essayes de les couvrir et les quelques boutons sur ton visage n’arrangent pas la situation.
Tu essayes de camoufler tes défauts un maximum en te disant que ceux-là, tu peux t’en débarrasser pendant au moins quelques heures. Quand tu es plus ou moins satisfaite du résultat, tu retournes vers ton miroir pour vérifier que tu es à peu près présentable. 
Malgré ton maquillage, tu ne trouves pas mieux. Ta robe est toujours ridicule et tu as beau essayer de rajouter des accessoires, tu ne te trouves toujours pas belle. Agacée, tu finis par enlever la robe et tu retournes dans ton placard. Tu es dans la même situation qu’au début.
En regardant à nouveau tes robes, tu réalises qu’il n’y a pas ta robe blanche. C’est une robe simpliste mais dans laquelle tu te sens à l’aise. Tu as une idée d’où elle pourrait être alors tu vas dans ta buanderie, en te maudissant. Quand tu découvres que ta robe est bien dans la machine qui est en train de tourner, tu t’assoies par terre en étouffant un cri. Tu n’as plus de solution de repli et il est hors de question que tu mettes ta nouvelle robe. Te sentant dans une impasse, tes larmes reviennent tout aussitôt. Cette fois, tu n’as pas la force de les retenir. Elles coulent librement sur tes joues, ruinant ton maquillage par la même occasion. Tu pleures pendant une dizaine de minutes, tu n’oses même pas imaginer ce à quoi tu dois ressembler. Quand tu es un peu plus calme, même si quelques larmes continuent de couler, tu retournes dans ta chambre et prends ton téléphone.
Message de toi à Derek, 18h58 : 
Je viens d’avoir mes règles, je ne me sens pas d’aller au restaurant. Ça te dérange si on annule ?
Message de Derek à toi, 18h59 : 
Pas de soucis. Tu as besoin que je t’apporte quelque chose ? Je peux rester avec toi, si tu veux. 
Message de toi à Derek, 19h01 : 
Pas besoin. J’ai tout ce qu’il faut. Désolée de t’avoir prévenu à la dernière minute.
Message de Derek à toi, 19h02 : 
Ne t’excuse pas, repose toi. Je t’aime ❤️
Tu réponds à son “je t’aime” avant de poser ton téléphone sur ta table de nuit. Tu enfiles rapidement un jogging et ton sweat préféré puis, tu quittes ta chambre. 
Dans ta cuisine, tu prends plusieurs snacks et tu t’installes dans ton salon. Tu lances la première série que Netflix te propose. Tu regardes les épisodes sans y prêter attention pendant que tu manges des chips. Sans surprise, tu as l’impression de t’enfoncer un peu plus dans ta spirale. Tu pourrais être dans un restaurant chic avec ton petit ami et tu es dans ton salon en sweat à grignoter. 
La culpabilité te ronge quand tu penses à Derek. Tu t’en veux de lui avoir menti, surtout quand il fait autant attention à toi, mais tu n’as pas la force morale de quitter ton appartement. 
Tu finis par fondre en larmes à nouveau, détestant la phase dans laquelle tu es. Tu te sens somber et au lieu d’essayer de remonter à la surface, tu te laisses couler dans ce sentiment de vide. 
Trois semaines plus tard, tu es toujours misérable et tu n’as toujours pas osé en parler à Derek. Une partie de toi aimerait lui parler de tout ce que tu ressens et une autre veut pouvoir réussir à t’en sortir sans son aide. Tu peux le faire, tu y arrivais bien avant de le rencontrer. Tu peux le refaire. Par conséquent, quand Derek rentre d’une enquête, tu fais tout ton possible pour ne pas montrer ton mal être. Tu sais que c’est un jeu compliqué, ses capacités de profiler vont te battre en un rien de temps, mais tu ne veux pas l’embarraser avec tes démons. 
Bien évidemment, Derek sait ce qu’il se passe. Ses sens sont en alerte depuis l’achat de la robe et il n’a pas besoin d’être un profiler pour savoir que tu ne vas pas bien. Il te connait par coeur. Il attend juste le bon moment pour t’en parler, malheureusement avec son travail, ce moment a été repoussé plusieurs fois. 
Cependant, ce soir-là, il est décidé : il va te parler. Il ne peut pas continuer à rester silencieux en sachant très bien que tu n’es pas près de venir vers lui. Avant de t’inviter à te confier à lui, il veut te mettre à l’aise en te proposant une sortie agréable. Il a prévu un cinéma puis un repas à emporter chez toi. Il préfère finir la soirée chez toi, voulant s’assurer que tu sois dans un environnement où tu te sens bien.
Quand Derek arrive chez toi, tu es en train de finir ton maquillage. Il te lance un compliment que tu ne prends pas au sérieux. Il te regarde te préparer depuis ton lit. Il voit tes mouvements hésitants quand tu regardes avec plus d’attention ton reflet. Enfin, ton silence lui donne un indice en plus. En temps normal, vous n’arrêtez pas de discuter, surtout quand vous n’avez pas pu vous voir pendant plus d’une semaine à cause d’une enquête. 
Tu ouvres ton placard et commences à faire défiler les vêtements. Quand tu ne t’es toujours pas décidée cinq minutes plus tard, Derek se lève et te rejoint. 
-Pourquoi tu ne mets pas la robe rouge ? demande-t-il en pointant le vêtement en question. 
-C’est pas un peu trop habillé pour un cinéma ? 
-Pas forcément. 
-Je pensais mettre ma robe blanche, dévoiles-tu en la prenant.
-Mon ange, tu es magnifique dans cette robe, mais tu la mets souvent. Tu as plein de vêtements qui te vont très bien. Tu devrais changer.  
Tu pèses rapidement le pour et le contre, te rappelant très bien de ta réaction la dernière fois que tu as voulu mettre ta nouvelle robe. Finalement, tu forces un sourire et la prends.
-C’est vrai. Je vais mettre la rouge. 
Au même moment où tu es sur le point de te changer, le téléphone de Derek sonne. Il sort de ta chambre pour aller le chercher dans l’entrée. Pendant ce temps, tu sors la robe du cintre et tu l’enfiles. Tu lisses ta robe de tes mains puis, tu jetes un coup d'œil au miroir. Instantanément, les larmes te montent de nouveau aux yeux.
Contrairement à la dernière fois, tu te retiens de pleurer. Derek est juste dans la pièce à côté, il ne peut pas te voir dans cet état. Toutefois, tu n’as pas le temps de calmer tes émotions que Derek revient dans ta chambre. En te voyant pleurer, Derek te prend tout de suite dans ses bras. Tu sanglotes pendant plusieurs minutes alors que Derek caresse ton dos, espérant calmer tes pleurs. Quand il juge que tu es apte à parler, il pose ses mains de part et d’autre de ton visage pour pouvoir te regarder.
-Parle-moi. Qu’est-ce qui ne va pas ?
-Je…, bégayes-tu avant de secouer la tête, c’est ridicule.
-Tu sais très bien que si ça te met dans cet état, ce n’est pas ridicule. Parle-moi, répète Derek sur un ton doux et tu pousses un soupir. 
-C’est juste que je n’aime pas ma tenue. Je t’ai dit, c’est ridicule de pleurer pour ça, te lamentes-tu en le voyant froncer les sourcils. Je n’arrive pas à me sentir bien cette robe hideuse. Je me trouve moche dans cette robe, avoues-tu en évitant ses yeux.
-Pourquoi tu parles de toi comme ça ?
-Je ne sais pas. J’arrive juste pas à me sentir bien dans cette robe, répètes-tu d’une voix plus faible. Je ne comprends pas comment tu peux me trouver belle avec. 
-Ce n’est pas qu’à propos de la robe, n’est-ce pas ? s’enquiert-il, connaissant la réponse.
-Ma relation avec mon corps a toujours été compliquée, tu le sais, mais ces derniers temps, je me sens vraiment comme une merde, confesses-tu, tes lèvres tremblant. Je ne me sens pas bien dans mon corps, aucun de mes vêtements ne me va, je peux à peine me regarder dans le miroir et je me sens moche. 
Au fil de tes phrases, ta respiration devient de plus en plus saccadée. Derek essuie les quelques larmes qui ont coulé sur tes joues. Tu n’avais même pas senti que tu avais commencé à pleurer. Derek est sur le point de te répondre quand tu le devances : 
-Je sais que tu vas me dire le contraire, que tu vas me dire que tout ça, c’est dans ma tête, mais je ne peux m’en empêcher. Je te jure que j’aimerais me regarder dans le miroir et dire que je suis belle comme tu le fais, mais je ne vois pas ce que tu vois. Je veux aimer mon corps comme toi tu l’aimes, je te jure, je veux réellement m’aimer, mais ça semble impossible. Je ne peux pas penser une chose positive sur moi, murmures-tu, ta voix se brisant. À chaque fois que je pense que je vais un peu mieux, je me rappelle de toutes les remarques qu’on a pu me faire, que ce soit des exs, des amis ou même ma famille, et c’est retour à la case départ, informes-tu en tentant de sécher tes larmes, en vain. Et peu importe le nombre de fois où tu me complimentes, j’arrive pas à te croire. Je sais que tu es sincère, mais je n’y arrive pas. J’ai juste l’impression que tous les mots que tu me dis sont des mensonges pour essayer de me faire sentir mieux. Ce n’est pas la vérité, et d’une certaine façon, j’en suis consciente, c’est juste plus fort que moi. J’ai l’impression que je suis vouée à toujours détester mon corps et…, continues-tu en prenant une grande inspiration, ça me fait peur. Je ne veux pas continuer à ressentir tout ça. Je ne sais pas quoi faire.
Les gestes étant plus forts que les mots, Derek te serre de nouveau contre lui. Ce n’est pas la première fois que tu fonds en larmes devant lui, cela n’empêche pas que son cœur se fend en t’écoutant déverser tout ton mal être. Tu caches ton visage dans le creux de son cou, te sentant honteuse d’être aussi vulnérable.
-Je suis désolée, on est en retard pour le film à cause de moi, articules-tu contre son torse. 
-On peut toujours aller le voir un autre jour. Ce n’est pas grave, t’assure Derek en embrassant ton crâne.
-Le fait est que ce n'est pas la soirée que tu avais en tête. Désolée. 
-Tu n’as pas à t’excuser parce que tu ne te sens pas bien.
- Je sais, mais c’est la deuxième fois qu’on annule nos plans à cause de moi. 
-Tu parles du restau ? Tu avais tes règles, ce n'est pas de ta faute.
Suite à la phrase de Derek, la culpabilité vient s’ajouter à tes autres émotions. Tu te sépares de lui et tu poses ton regard sur tes mains, jouant avec tes ongles nerveusement. 
-Je t’ai menti, en fait. J’avais mis cette robe pour te faire plaisir et j’ai fini dans le même état. J’ai préféré annuler plutôt que te parler. Je suis désolée, je t’avais promis que je ferais des efforts, dis-tu en relevant les yeux sur lui. J’ai juste tellement peur d’être un fardeau pour toi. Je ne veux pas que tu te lasses de moi parce que je ne vais pas bien mentalement. Je sais toujours pas comment j’ai fait pour t’avoir et je ne veux pas te perdre à cause de ça. Et puis, je veux pouvoir me débrouiller seule… Enfin, on voit comment ça marche ! t’exclames-tu en roulant des yeux. Je comprendrais si tu voulais partir.
-Hey, je ne vais pas te laisser alors que tu as besoin de moi, affirme Derek en posant une main sur ta joue. Écoute, je ne peux pas imaginer tout ce que tu ressens, mais je resterai toujours à tes côtés, surtout quand ça va mal. Et s’il faut que je te répète chaque seconde que tu es magnifique jusqu’à ce que tu me croies, je le ferai. Toutefois, je pense que ça pourrait t’aider si tu en parlais avec un professionnel. 
-Probablement, finis-tu par concéder. Tu m’accompagnerais ? Au moins à la première séance, j’aurai besoin de soutien.
-Avec plaisir. Je viendrai avec toi à autant de séances que tu veux, accepte Derek avec un sourire réconfortant. 
Tu es consciente de tout le chemin qu’il te reste à faire avant de pouvoir t’aimer, mais tu as réussi à faire le premier pas. 
Pour la première fois depuis plusieurs semaines, tu lâches un soupir de soulagement. Tu embrasses chastement Derek puis, tu t’appuyes à nouveau contre son corps, ses bras te protégeant de tes démons.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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monamourpourtoi · 9 months
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Il est 4h28,
Il est tard et tu me manques. Je ne pensais pas que c’était possible de ressentir un manque pareil, et pourtant?
On pourrait croire que depuis 10 ans bientôt j’aurai tourner la page, que j’aurai abandonner mon amour pour toi. Mais tu as été le premier que j’ai autant aimée, à qui j’ai autant donner et tu me manques un peu plus chaque jour.
C’est dévastateur, je deviens folle. Je ne me reconnais plus, tu sais j’ai jamais su être très stable ni très bien dans ma tête. Mais ces derniers temps y a tout qui vrille, comme une voiture qui n’a plus de frein. Je pense réellement que tu es l’amour de ma vie, l’amour d’une vie dira-t-on. On m’a toujours dis qu’on se remet de tout, maladroitement mais on s’en remet. Pourtant de toi je ne m’en suis pas remise, je ne me suis pas remise de nous. J’ai changer, tu as changer. Nous ne sommes plus des enfants,
J’ai conscience et cela me brise le coeur que le retour en arrière est impossible, que c’est finit et que je dois me concentrer sur mon couple, pas sur celui du passé. Mais pourtant, j’aimerai te retrouver, qu’on se retrouve.
J’arrive pas à t’oublier, même saoule à en crever, même défoncer à en perdre la tête, t’es là dans mes pensées.
C’est pathétique comme message, parce que tout ça n’existera plus, nous n’existera plus. C’est ainsi, je suis partie, tu es parti. Je dois l’accepter.
Tes mains me manquent, je n’ai jamais ressenti ça avec personne, même pas avec mon conjoint. Ce moment où tu me frôler, les battements de mon cœur qui s’arrêter, et ce sentiment que tout mon etre exploser dès que je croisais ton regard. Je ne le retrouve en personne, je ne le retrouverai jamais.
Pardon pour ce message, pardon, il est tard, et je suis malheureuse sans toi. Tu me manques tellement.
Je te souhaite la plus belle des vies, de rencontrer l’amour de ta vie comme toi tu es le mien,
Prends soin de toi, et s’il te plaît, égoïstement je te demande de ne pas m’oublier. Dans l’espoir qu’un jour on se retrouvera.
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fauvelienne · 10 months
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Lili
Tu t’appelle Lili, tu es entré dans ma vie un jour d’octobre, comme tombent les feuilles à cette période, par hasard.
Un hasard peu commun car ta maman était très malade. Tu devais partir à Bali, et puis tu as changé d’avis.
Moi je revenais au bled après 5 ans. J’étais en plein burn-out je n’en avais parlé à personne mais c’était une mauvaise période. Mais pas pire que de voir sa mère malade, m’étais-je dit en l’apprenant de ta sœur.
Ta maman c’est ma voisine au bled. Celle que j’ai connu depuis ma naissance. Celle qui a une maison depuis laquelle on voit mieux la mer que de chez nous, ça me rendait jalouse quand j’étais plus petite. Je trouvais ça injuste que les arbres me chachent la mer à la maison.
Un matin, ma maman te présente à moi comme celle avec qui elle a fait les 400 coups plus jeune. Dans la discussion, je me rends compte que tu es une personne très douce, bienveillante et je ressens tant l’amour inconditionnel que le non jugement. J’analyse tout, ta voix un peu cassée mais qui me reste dans la tête. Ton sourire, les bracelets à tes poignets, les bagues à tes doigts.
Je me sens aimée. Instantanément. J’ai ma place dans le cœur de quelqu’un. Je trouve une grande cousine et bien plus que ça, une grande sœur. Dans ton regard je me sens comme une personne saine, douce. Pour ça j’ai envie de changer. À ce moment, je sais que je ne suis pas à ma place dans ma vie actuelle, que je mérite mieux. On sait pas toujours ce qu’on vaut.
Les jours passent, on se voit tous les jours. Je ne te dis pas grand chose de ma vie j’ai le sentiment que je n’ai pas besoin de te raconter quoi que ce soit. Tu sais. Toi tu me racontes toute la tienne. Tes voyages, tes amis, ton boulot. L’état de ta maman ne s’améliore pas. On se promet des mots « ça va aller promis ». Ça devient notre phrase. Cette phrase de @aelnaute
Vient le moment où je dois rentrer du bled. Ce jour là alors que je charge mes valises dans la voiture je supplie le ciel de t’envoyer. Ça se produit, tour de chance. Les derniers mots de courage, que je retiendrai longtemps. Je garde dans ma tête la douceur de ta voix cassée, ton parfum, tes gestes. Ce jour là je te promets de ne pas t’oublier et de faire en sorte d’aller mieux. Toi tu me promets de ne pas m’oublier.
Le retour est dur. Dans l’avion je ne dors pas je pleure silencieusement. Je pleure le manque, je pleure le travail que je vais devoir faire pour devenir la personne que je dois devenir. Je ne veux pas seulement être une fille saine un temps, ça doit durer.
Pendant des semaines, je pleure en appelant ton nom chaque fois qu’il m’arrive une galère (et elles sont nombreuses). J’ai besoin de quelqu’un pour me conseiller, d’un adulte plus adulte que moi.
Lorsque ta maman est partie rejoindre un autre monde. J’ai eu peur de ne pas savoir être suffisamment là. J’ai fait avec ce que j’étais et ça semblait bien. Pour la première fois de ma vie je suis assez.
Lorsque tu pars finalement à Bali, on se parle beaucoup même avec 8h de décalage.
Moi j’avance. Enfin. J’obtiens mon permis et un nouveau travail. Quand j’étais venue au bled j’avais fait 50 candidatures je n’avais pas une réponse. Comme par enchantement j’en fais 10 j’ai 10 réponses.
Je deviens cette personne dont tu es fière.
Le temps passe, Noël, nos anniversaires, le jour de l’an. La vie.
En mars, j’ai le privilège d’apprendre avant tout le monde que tu pars vivre dans les îles. Pour 2 ans au moins. Ça me brise un peu le coeur et à la fois je suis heureuse pour toi. Moi aussi j’ai changé de vie, chacun son tour. Je ne sais pas quand on se reverra mais je commence à économiser durement. Actuellement j’espère pouvoir venir en janvier. On se verra en 2024 tu as ma parole.
C’est toi qui m’a proposé qu’on se voie à l’aéroport avant que tu partes. Je n’ai pas hésité une seconde. J’ai posé une aprèm. Et j’ai couru.
C’était doux. Ça m’a fait du bien de te voir en allant mieux. Ça m’a fait du bien de me jeter dans tes bras en criant « Lili ».
Une dernière promesse. Avec 2 bracelets de @aelnaute Où que tu soies je veillerai sur toi.
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C’était moins dur que je pensais de te laisser dans cet aéroport. Parce que je sais. Je sais que la distance ne peut rien faire contre l’amour d’une famille. J’ai confiance en nous maintenant.
On m’a toujours dit loin des yeux loin du cœur mais c’était pas vrai. Je te parle tellement plus souvent à toi qu’à ceux qui vivent à côté de chez moi. J’ai compris qu’un entourage ça se choisit. Ça se construit. C’est la première fois que je n’ai pas peur de la distance. Alors que quand je suis partie du bled, tu sais, si je t’envoyais un message un jour sur 2 c’était pas à cause du décalage horaire. C’était parce que je testais, parce que j’avais trop peur de m’attacher. Et puis j’ai arrêté de vouloir faire semblant d’être froide, parce que ce n’est pas ce que je suis. Je suis quelqu’un de bien. Je veux être cette version de moi qui existe dans ton esprit.
Je m’estime heureuse d’être si bien entourée. D’enfin savoir sur qui compter.
C’est doux d’être aimée. C’est doux de ne plus avoir peur. J’ai vu le vrai moi avec toi.
Je t’aime de tout mon coeur.
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Il est toujours nécessaire de savoir quand se termine une étape de la vie. Si tu insistes à vouloir rester en elle au-delà du temps nécessaire, tu perds la joie et le sentiment du reste. Il faut fermer des cercles, ou fermer des portes, ou fermer des chapitres, comme tu voudras le nommer. L’important est de pouvoir les fermer, et laisser aller les moments de la vie qui se clôturent. Ton travail s’est terminé ? Ta relation amoureuse s’est terminée ? Tu ne vis plus dans cette maison ? Tu dois partir en voyage ? Tu peux passer beaucoup de temps de ton présent « anéanti » dans les pourquoi, en te repassant le film et en essayant de comprendre le pourquoi du comment de telle ou telle chose. L’usure qui s’en suit sera infinie, parce que dans la vie, toi, moi, tes amis, tes enfants, tes frères et soeurs, tous et toutes sommes sur le chemin vers la fermeture de chapitres, tournant la page, terminant avec des étapes, ou avec des moments de la vie et continuant à aller vers l’avant. Nous ne pouvons pas être dans le présent en regrettant le passé. Ni même en nous demandant pourquoi. Ce qui s’est passé, est passé, et il faut le lâcher, il faut s’en détacher. Nous ne pouvons pas être éternellement des enfants, ni des adolescents tardifs, ni des employés d’entreprises inexistantes. Les faits passent et il faut les laisser partir ! Voici pourquoi, quelquefois il est si important de détruire les souvenirs, offrir les cadeaux, changer de maison, déchirer des papiers, jeter des documents, et vendre ou offrir les livres. Laisser partir, lâcher, se détacher. Dans la vie personne ne joue avec des dés pipés, et il faut apprendre aussi bien à perdre qu’à gagner. Il faut laisser partir, il faut tourner la page, il faut seulement vivre ce que nous avons au présent. Le passé est passé. N’attend pas qu’on te le rende, n’attend pas qu’on te reconnaisse, n’attend pas qu’un jour on se rende compte de qui tu es… Lâche le ressentiment. En te branchant sur « ton téléviseur personnel » pour tourner en boucle et ressasser maintes et maintes fois l’affaire, la seule chose que tu peux obtenir c’est te blesser lentement, t’empoisonner et développer de l’amertume. La vie est faite pour avancer, jamais pour reculer. Des fiançailles ou des amitiés qui se terminent ? Des possibilités de retour en arrière ? (vers quoi ?) Des besoins d’éclaircissements ? Des paroles qui n’ont pas été dites ? Des silences qui ont tout envahi ? Si tu peux les affronter maintenant et tout de suite, fais-le, sinon, laisse tomber, ferme les chapitres. Dis-toi à toi-même non, ils ne reviendront pas. Mais pas par fierté ou orgueil, seulement parce que toi tu ne cadres plus dans cet édifice, dans ce lieu, dans ce coeur, dans cette pièce, dans cette maison, dans ce bureau, dans ce travail. Toi, tu n’es plus le même que celui d’il y a deux jours, trois mois, un an. Par conséquent, il n’y a plus rien vers quoi revenir. Ferme la porte, tourne la page, ferme le cercle. Paulo Coelho
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septperceptions · 2 years
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Lettre à ma future filles, (2/2)
c’est une réelle chance de l’avoir dans sa vie. Promis tout fini par passer, même la plus grande des blessures, laisse le temps te guérir même si tu n’y crois pas. Après cet homme, cet abandon et ce cauchemar, j’ai repris mon chemin de femme vagabonde et j’ai chercher d’autres bras dans une ville loin de chez moi. Ceux-là étaient réconfortants, ils m’ont offert des souvenirs uniques que je ne suis pas sûr de revoir un jour. À l’intérieur d’eux, j’ai appris ce qu’était la paix, et c’était tout simplement ce que je méritais de trouver. Malheureusement, les bonnes personnes ne tombent pas forcément aux bons moments, et même si tu trouves cela injuste, tu te dois d’accepter la situation au moment où elle t'est offerte parce que rien n’arrive par hasard. Réfléchis-y et apprends. Par la suite, j’ai compris que cette paix que je méritais était en moi, enfoui, derrière ces plaies que je n’ai jamais refermé. Alors j’ai pris du temps pour moi, j’ai fait du sport quatre fois par semaine, j’ai mangé sainement et j’ai lu des livres sur l’épanouissement personnel. J’ai pris le temps de comprendre comment je fonctionne, j’ai appris à m’aimer sans les artifices d’instagram et je n’ai plus chercher à vivre intensément le futur ou le passé. J’ai trouvé ma place auprès de l’instant présent et je suis soulagé du poids qui se posait sur mes épaules. Sache une chose qui est désagréable, c’est que tu ne peux aimer personne, si tu ne t’aimes pas d’abord. Soit égoïste le jour où tu as besoin de l’être, c’est ta vie, tes choix. Ne vis pas avec des regrets et repose toi, le sommeil jouera toujours sur ton humeur le lendemain. J’ai toujours grandi en espérant vivre le coup de foudre de tes grands-parents, cette obsession m'a freiné tout au long de ma jeunesse et a dirigé dans un mur toutes mes relations. Alors un conseil, ne court jamais après l’amour, sache que les excès de sont jamais bon. Ne rentre jamais dans la positivité toxique, le monde est un business permanent, ils gagnent de l’argent autant avec ta peine que ta joie. Prends le temps qu’il te faut pour grandir et mûrir, j’espère accompagner au mieux chacun de tes pas pour que toi aussi tu t'envoles un jour de tes propres ailes. Soit créative mais surtout sois toi même. Prends le temps d’analyser et de t’écouter, entoure toi de personnes qui veulent ton bien. Fais un métier qui te donne envie de te lever chaque matin, ne crois pas que la vie est une liste de choses à faire immense mais pense à t’organiser quand même. J’espère pouvoir t’aider à t’épanouir sans t'étouffer, pardonne-moi si c’est le cas, j’essaie juste de bien faire les choses. Si tu as du mal à parler avec les émotions alors écris, mais n’erre jamais longtemps dans le silence. Mon amour, tu es une femme, la vie fera en sorte de te remettre à ta place, apprécie tes moments de solitudes, fais les choses en silence, ne ment pas et montre toi toujours prête à combattre. Soit impeccable et soit prête à vaincre. Tu as le droit de craquer, mais ne laisse personne connaître tes faiblesses. Choisis-toi tout le temps, même si parfois tu te regarderas dans le miroir sans savoir qui tu es. Tu as le droit de faire des erreurs, de recommencer, de changer de chemin et de faire des pauses. Soit seulement fière de toi durant tout ce chemin. Un jour je te rencontrerais sûrement, en attendant je me dois de vivre d’autres choses pour te partager au mieux mes expériences le jour où tu pointeras le bout de ton nez. En espérant te rencontrer un jour, ma future moi.
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xjoyce66 · 2 years
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Ne lâche rien. Ni aujourd’hui, ni deux mains. Ne lâche jamais. S’il te plaît. Il est interdit de vieillir, disait Nahman. Il est interdit de désespérer. Aussi. C’est pareil, mon vieux, ma vieille !
N’écoute pas leurs sornettes quand ils t’enjoignent d’être zen. Tu as le droit d’aller bien, tu as le droit de ne pas aller bien.
Tu as celui de rire plus fort et d’être impoli. Tu as celui de chialer comme une merde. Tu as tous les droits. Tu n’as pas à avoir honte de ce que tu ressens.
Ce qui importe, c’est de continuer. Et comme disait Winston, d’aller de claque en claque sans perdre son enthousiasme.
Garde la foi, garde ta joie, garde ta rage, garde ton amour immense et entier, garde ta révolte et ta haine. Et ne les écoute pas. Aucun d’eux. Ils ne savent pas ce qu’ils disent. Ils n’ont pas réfléchi. Ils ne font que répéter. Répéter ce qu’ils ont entendu ou appris mécaniquement.
Ne parle qu’avec ceux qui ont souffert, qui connaissent le prix d’un rire, la facture d’une nuit ou d’une peur.
Approche-toi de ceux qui ont pris des tannées et ont léché la douleur. Mais courent après le bonheur. Va vers ceux qui soulèvent les éclats de vie dans leurs bras, l’enlacent et la chérissent.
Embrasse ceux qui t’aiment assez pour ne pas t’oublier quand tu te tires, qui t’aiment même quand tu ne sais plus rire.
Ne crois pas dans les mots de tendresse. Ne regarde que les actes. Ne crois pas non plus dans une preuve de tendresse. Ne respecte que sa répétition. Évite d’être trop con. A la longue, c’est humiliant.
Aime. Aime encore. Aime toujours. Ne te méfie pas des autres. Ne leur offre jamais d’abandonner ton enfance, ton immaturité, ta naïveté, ta beauté, ta candeur, ta fragilité. S’ils veulent être laids, laisse-les y aller.
Mais sans toi. Toi, sois beau, marche haut. Sois pur. Sois or, sois dur. Le dedans ne l’est pas mais le dehors n’a pas le choix, je crois.
Sois le meilleur ami du monde en sachant que l’amitié est le plus décevant des caprices. Au final, tu es toujours seul sur le quai de la guerre car personne n’est venu par surprise, à l’arrière.
Sois la meilleure amante du monde. Donne tout, brune ou blonde. Cela ne sert à rien de s’économiser. La passion use tout, même les piles déjà usées.
N’attends pas de toi d’être parfait et ne t’en veux pas de ce que tu as raté. C’est trop tard et à ce moment-là, tu ne pouvais faire que ça.
Agis. Même si tu sais que ta force te mettra sur les genoux au moment où tu voudras être debout. Et que tu te relèveras parce que toute l’histoire, c’est justement cela.
Prie. Tout est là.
Apprends à remarquer la présence des absents et l’absence des présents.
Donne toujours une seconde chance mais sache que tu la donnes en vain. Qui a bu boira. C’est con comme un proverbe plein de bon sens paysan. Mais l’expérience t’apprendra que ça fonctionne vraiment comme ça. Dans presque tous les cas.
N’aie pas peur de changer d’avis. Ni d’être indécis. Rien n’est anodin, rien n’est innocent et les plus grands ne savent pas toujours de quel côté se trouve le jour.
Ignore les êtres qui essaient de t’expliquer qui tu dois être, qui tu aurais dû être et ce que tu dois faire pour être. Tu es. D-ieu en a ainsi décidé. C’est assez. C’est une bénédiction.
N’essaie pas de ressembler. Ne te compare jamais. Dors si tu as sommeil, mange quand tu as faim. Hors de tes devoirs d’humain, ne t’impose rien qui ne te réjouisse au plus haut point.
Ose dire ce que tu penses. Si tu ne le fais pas, tu auras des regrets. Et les regrets sont des assassins. Jette-les aux oursins.
Ne donne ni tes lèvres ni ton corps à quelqu’un qui ne te semble pas un rêve éveillé. Cela te salirait.
Crée tes propres règles.
Évite l’impératif. Ça coupe comme un canif.
Contredis-toi. C’est ton droit.
Droits réservés ©️ Martine Sdy Bnz, 2020.
Martine SDY BENZAQUEN®️
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alexlacquemanne · 1 year
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Chapitre XI : Chapitre final
Just for you...
Des fois je me demande si ma présence ne te met pas mal à l'aise, je me dis que si je ne venais pas, on ne se parlerait pas, c'est peut-être mieux pour toi..
C'est pourquoi, je ne viendrais plus, cette fois vraiment, je sais que tu n'as pas beaucoup le temps, mais je pense aussi que quand tu as un peu de temps, ce n'est pas un reflex de venir me parler, pourtant tu sais bien que tu peux me parler de tout ce que tu veux, tout. Je fais partie d'un passé que tu fuis, et il n'y a certainement pas de place pour moi. Ce qui est dommage, car, je ne voulais rien de plus qu'être ton ami. Je crois, que tu as peur que je reste accroché à toi, mais il n'y a absolument rien à craindre, je te l'ai expliqué je tiens à toi, mais ne t'inquiète pas pour moi, sur ce que je dois, ou ne dois pas penser.
Je ne sais pas ce qu'est ta vie, et je ne le saurais sans doute jamais, mais je crois qu'il n'y a pas de place pour moi.
J'écris ces quelques phrases pour toi le lundi 28 novembre, il est 11h20, et je viens de recevoir un message de ta part, tu me dis que tu es misérable de ne pas avoir pris le temps de m'écrire un petit mot, c'est faux, ne te fais pas de reproches, je n'en ai aucun envers toi. Ton travail a été ton échappatoire, ce que je comprends très bien, chacun panse ses blessures comme il le peut.
D'ici au début de l'année prochaine, j'attends du changement, dans ma vie professionnelle, un changement que j'aimerais beaucoup, cela pourrait bien être une nouvelle ère pour moi, j'adorai tout de même que tu en fasses partie.
Le titre de ce texte est "chapitre final" car c'est certainement le dernier texte que je t'écris, mais en fait ça dépend de toi maintenant, j'espère que ce n'est pas la fin, je n'en ai pas la moindre envie. Tout repose sur toi, viens quand tu veux, tu as et tu auras toujours un ami ici, je ne vois rien qui pourrait changer ce fait. J'espère que tu trouveras un peu de temps à consacrer à un ami, et j'espère que cet ami sera moi. Je te mets deux chansons pour conclure, écoute les s'il te plaît, ça ne te prendra pas longtemps, promis, la première te correspond bien je trouve. La deuxième est l'une de mes chansons préférées.
Pense à moi, de temps en temps..
Prends soin de toi Aurélie.
Amicalement, Alex.
♬ Au fur et à mesure - Liane Foly
♬ Long As I Can See The Light - Creedence Clearwater Revival
♬ Carole King - You've Got a Friend
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philoursmars · 1 year
Photo
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !).
2015. A Lille, au TriPostal, il y avait une autre expo : “Tu dois changer ta vie” :
- Cleon Peterson : “Into the Night'”
- Peybak : “Orient”
- les 3 suivantes : Julien Salaud : “Entomogrotte Stellaire”
- ?
-  Julie C.Fortier : “La Chasse”
- Ghyslain Bertholon : “Troché de Face - Lion”
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christophe76460 · 4 days
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Tout ce qui est visible est sujet à passer. Il n'y a que les choses invisibles qui soient éternelles. Tout ce qui est actuellement entrain de se produire dans ta vie va passer. Il y a un temps pour toute chose sur la terre, un temps pour pleurer mais aussi un temps pour rire, un temps pour semer mas aussi un temps pour récolter. Ça ne durera pas éternellement.
Dieu nous éprouve. Le Seigneur nous fait traverser la fournaise et laisse les vagues pour emporter mais c'est pour une saison seulement, pas pour l'éternité. Tu verras la bonté de l'Éternel sur la terre des vivants, pas uniquement quand tu arriveras au Ciel. Parfois la situation dure depuis si longtemps... 5ans, 10ans, 20ans...
Qu'elle est devenue notre "état normal". Nous nous y sommes habitués et nous ne luttons même plus pour la voir changer. Nous laissons notre foi être vaincue par la fatigue de l'attente. Nous n'osons plus espérer car la réalité prouve notre défaite.
Mais c'est là où tu fais fausse route, car même s'Il te tuait, tu ne dois jamais cesser d'espérer en Lui. Ne laisse pas l'épreuve du temps ronger ta foi mais plutôt laisse la patience accomplir son oeuvre en toi afin de rendre ta foi parfaite.
Le temps qui s'écoule est en lui-même une épreuve. Et beaucoup de chrétiens succombent face à elle. Au lieu de penser que le temps qui passe est la preuve que ton heure n'arrivera jamais, dis-toi plutôt « chaque jour qui passe me rapproche de mon moment ». Que ce soit dans 6mois ou 3ans, décide de garder ta foi intacte. Dieu nous sort de toutes les misères et la fin sera l'abondance! L'épreuve n'est pas la fin, juste le chemin.
C'est bientôt !
Ça arrive!
Pasteur Maisha Nerplat
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savoir-entreprendre · 1 month
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Ta réussite est rattachée à ton environnement immédiat. Dans le secteur de l'immobilier dans les pays anglo-saxons, on dit souvent qu'il existe 3 règles en immobilier : le quartier , le quartier , le quartier Pour faire simple : L'élément le plus important quand on se lance en immobilier, c'est le potentiel de la zone. Une villa peut coûter 50millions à Abidjan, et la même villa, construite exactement de la même manière coûtera 500 millions en plein centre de Paris.La valeur d'une maison, ce n'est donc pas le bâtiment en lui même, mais plutôt l'endroit où il se trouve. Tu me suis ??? Je souhaite que tu puisses transposer cette analogie avec ta vie. Sache que qui tu es aujourd'hui, n'est pas ta valeur réelle mais plutôt la valeur perçue que te confère ton environnement immédiat. Retiens ceci : L'endroit dans lequel on pense que tu n'as pas de valeur, ne te donnera jamais de la valeur. Relis cette phrase : L'endroit dans lequel on pense que tu n'as pas de valeur, ne te donneras jamais de la valeur. Récemment, un psychologue américain à étudier les mamans de plus de 100 criminels américains : Des mères de condamnés à mort. Et il était choqué de constater que 98% des mamans parlaient de leurs enfants comme d'un petit bébé qui avait juste fait une petite bêtise. Certains étaient des criminels en série, pourtant les mamans pensaient que ces gens étaient inoffensifs. En vérité, plus tard, il a été prouvé que le premier contact qu'une mère a avec son enfant reste figé durant toute la vie. Aucune maman ne voit l'adulte criminel, elles voient toutes le petit bébé inoffensif.Cette expérience avait pour but de prouver que la première idée et la première image que nous avons d'une personne reste figée à vie. Qu'est ce que je souhaite te faire comprendre ??? Il y'a des gens qui ont une certaine image de toi. Et même si ils ne te le disent pas ouvertement, sache que ta situation actuelle n'est que le résultat de la pensée cachée de ton entourage et l'impact de ton environnement immédiat. Mon point est le suivant : Tu dois changer d'environnement si tu veux transformer ta vie. C'est pas une option, mais plutôt une obligation. Écoute moi bien : Tu n'es certainement pas plus spirituel que Jésus. Dans la bible, il est rapporté un passage ( Mathieu 13 de 54 à 58) dans lequel Jésus retourne dans sa ville natale, ou vivait sa famille. Et la bible rapporte que Jésus n'a pas pu accomplir plusieurs miracles comme dans d'autres villes.Quand tu lis ce passage, il y'a quelque chose de frappant : La manière avec laquelle ceux qui ont connu Jésus enfant le méprisent.Ils disent tous , n'est ce pas le fils du Charpentier Joseph ?? ses sœurs et ses frères ne sont ils pas ici avec nous ??? En d'autres termes, ils précisent qu'ils connaissent parfaitement son origine et se questionnent sur ses " supposé pouvoirs" C'est difficile à dire, mais je dois te le dire quand même : Tu ne reussiras pas en entrepreneuriat au Milieu des gens qui t'ont vu douter avant de te lancer ou qui t'ont vu échouer dans une affaires. Tu ne te marieras pas et ne pourras pas rester marié au milieu des gens qui étaient témoins de l'échec de tes précédentes relations. Encore une fois, tu n'es pas plus spirituel que Jésus, arrête de croire que tu es doté d'un pouvoir qui t'épargnera ce phénomène. Les gens qui doutent de toi, qui étaient témoins de tes échecs, ou qui ne t'apprécient pas vraiment sont ce que l'on appelle des vampires énergétique. En étant dans leur entourage, tu vas te vider de l'énergie source dont tu as besoin pour ta vie. Une femme est venue me voir un jour dans mon bureau pour que je donne des conseils en entrepreneuriat à son mari. Selon elle, son mari n'arrivait à rien et il avait toujours de mauvaises idées. J'étais choqué de l'entendre dire, qu'elle participe parfois aux activités de son mari pour qu'il comprenne que ça ne marche pas.Cette femme, mettait même de l'argent dans des projets avec son mari, juste pour lui prouver qu'il avait tort.
Son besoin d'avoir raison, et prouver que son mari ne se valait rien étaient si fort, qu'elle ne se rendait même pas compte qu'elle vampirisait désormais son mari et détruisait ses affaires.J'ai dû dire à cette femme que désormais, la seule solution pour que ce monsieur réussisse était de la quitter. Car en pensant bien faire, elle était devenue un vampire énergétique pour lui. Le problème en Afrique, c'est que la haine des nôtres est la chose la mieux partagée. L'africain te souhaite bon voyage avec un grand sourire en espérant que ton bâteau coule. C'est souvent difficile d'aborder ce sujet, car nous sommes justement préparé psychologuement à ne jamais nous séparer des nôtres. Les Africains vivent en famille et même en amitié sur la base de la dette morale. Des gens sont donc prisonniers de leurs vies. Les gens que tu ne souhaites pas quitter ou que tu considères trop sont les mêmes qui se moquent de ta situation. Tu es donc esclave de personnes qui n'ont aucune admiration pour toi. En vérité, tu abandonnes ta propre vie, pour continuer à satisfaire des gens qui te méprisent et c'est ainsi que la plupart des gens terminent leurs vies dans la tristesse et les regrets. Nous sommes encore au début de 2024. Si tu veux que ton année soit différente, si tu veux véritablement transformer ta vie, il y'a des gens qui doivent sortir de ton environnement immédiat et des lieux où tu ne peux plus demeurer. https://savoirentreprendre.net/?p=4090&feed_id=6132
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Melissa, lundi 22 avril 2024 : réponse
(de Florent)
En rentrant hier soir, je me suis mis au lit, à continuer ton livre, mais je n’arrivais pas à me concentrer, j’avais les yeux grands ouverts et mes pensées allaient à toute allure. Je me suis levé et j’ai regardé des podcast sur YouTube toute la nuit jusqu’à 7h puis je me suis mis à bricoler jusqu’à 11h. Ensuite j’ai appelé mon père, lui demandant de passer car j’avais besoin de sa présence, il m’a dit qu’il passerait dans l’aprem. J’éclatais en sanglots dans ma salle d’eau, puis j’ai appelé ma mère en début d’aprem, après avoir lu tes messages; elle m’a entendu pleurer au téléphone, je n’ai pas eu le temps de lui dire maman j’ai besoin de toi, elle m’a dit j’arrive. Puis elle est arrivée et on s’est serré fort dans les bras. Je lui ai tout dit, je lui ai montré tes derniers messages et elle m’a parlé de son avortement. Plus tard mon père est arrivé, on a parlé tous les trois, puis on est parti se promener à pieds. Je comprends ce que tu ressens, il nous faudra du temps. J’ai passé tellement de bons moments avec toi: le ciné la tresse à Narbonne, nos ébats sur le fauteuil à ta mère, le restaurant à la plage de Biarritz, le nouvel an très simple mais tellement agréable dans l’appartement à Narbonne, la plage de Gruissan pour le 1er lever de soleil de l’année ⛅… Je te souhaite le meilleur pour la suite, voyager, te changer les idées, passer du temps auprès des gens que tu aimes, pouvoir te reconstruire et te créer la vie dont tu rêves. Me concernant, c’est très dur également, mais je me dois de continuer à avancer, et dormir cette nuit 😂 j’ai pu évacuer un peu aujourd’hui Je garderai en tête nos moments de plénitude où je baillais allongé sur tes jambes, notre binôme travaux, nos moments en cuisine,tes massages de déesse.. Garde la tête haute, tu es une femme formidable ! 🌞
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Tarbes, 19:20
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leREincarnomicon+197
Tu as à sauvegarder ! le REincarnomicon et les autres blogs de richy : ils t’appartiendront alors / la Bibliothèque de l’Arsenal à Paris les conservera aussi, tu les lui fourniras si elle ne les a pas encore 197 « livres » + des modes d’emplois déjà postés / tu peux t’offrir la chance d’en lire, avec concentration, au moins 1 !, bien sûr tu peux les lire tous… si une proposition te parait incompréhensible, tu peux passer à la suivante que tu comprendras peut-être mais tu peux essayer de tout comprendre aussi, chaque ligne est écrite pour être comprise et pour que tu puisses découvrir les 3 Niveaux
tu vas lire cela, un des volumes du REincarnomicon, un peu, possiblement vite, tu vas t’en détourner (trop difficile…, trop ailleurs) : alors je te préviens : tu as à te garder de trop vite abandonner cette lecture : possiblement à un moment de cette lecture : tu vas avoir une information, laquelle cette fois va t’apparaitre primordiale, & tu te diras « oui ! sans nul doute, je n’aurais pas réussi à l’avoir ailleurs… », ainsi, ta lecture, certes faite avec difficulté, n’aura pas été vaine & possiblement : même : va changer ta vie
leREincarnomicon en train d’apparaitre appartient à ceux qui le sauvegardent / tu as à sauvegarder leREincarnomicon des tentatives d’effacement par les forces négatives supérieures tu dois lire en 1er : le mode d’emploi du REincarnomicon et les autres écrits préparatoires, sinon tu vas être perdu, tu vas avancer trop lentement dans cette lecture / leREincarnomicon peut se résumer à : (tu as vécu, tu vis, tu revivras) / expliquer cela s’avère quasiment impossible : leREincarnomicon cependant tente de donner quelques pistes pour ceux qui n’arriveraient pas d’emblée à concevoir ce (j’ai vécu, je vis, je revivrai) / ces pistes, si difficiles à tracer, écrites pour essayer d’aider ceux dans l’obscurité complète / si telle piste te parait non satisfaisante : passe à : la proposition suivante / si tel volume ne t’a pas apporté la lumière, c’est la faute du scribe : tu peux passer au suivant // dans une prochaine vie possiblement, moi le scribe : je serai mieux à même de comprendre pour pouvoir mieux expliquer / là : j’utilise au maximum possible le pauvre intellect dont je suis pourvu dans cette vie, possiblement déjà le tien s’avérera moins pauvre, & pourra résoudre ce (non encore résolu) là dans mes pages / mais, en ce qui concerne leREincarnomicon dans sa forme de compilation de notes diverses : tu es mis quand même, là, déjà, sur les bonnes pistes, il s’agit d’une grande avancée rappel : richy est un ésotériste je suis un hermétiste ? = je fais une recherche sur ce que je nomme : la continuation esprit = difficilement explorable, explicable : d’où la difficulté de mettre en mots : mes cependant nombreuses découvertes = ces découvertes pouvant n’apparaitre que comme hermétiques, ésotériques = pouvant apparaitre comme : incommunicables = pouvant apparaitre comme non sérieuses = voire comme : trompeuses, soi-disant informatrices, en fait surtout charlatanesques car oui : des esprit tordus ou prétentieux : font croire en effet : sous pavillon (ésotérisme), ils cherchent & trouvent, & ne trouvent en fait : rien : & pourtant, peuvent se donner l’air de grands chercheurs & de grands trouveurs, car personne n’a le courage d’aller démonter leur recherche, donc soit par peur de perdre du temps, ou bien par peur de ne pas pouvoir, eux, accéder à une connaissance supérieure en effet s’établissant là / ainsi le lecteur de leREincarnomicon pourra juger : de la pertinence de la recherche & de l’importance des découvertes, & voir en son auteur : un authentique hermétiste, un authentique étudiant de l’énigmatique esprit, et qui ne profite pas de la complexité du domaine de recherche & du difficile contrôle par les autres, de celles-ci, pour se hausser en chercheur en ésotérie lors des tentatives de compréhension des rêves, ici : tu dois aller jusqu’au bout, la bonne piste quelquefois apparaissant seulement à la fin
19600 la réunion dans la forêt (tentative d’explication) (autre écriture) (non finalisé) possiblement j’avais existé dans ma nuit, en tant qu’être3, j’avais réussi (pour initiation, à l’évidence), j’avais été invité à voir mon être3 en cours de vie, & alors qu’il vivait un moment important, & j’avais pu au matin : me souvenir de ce moment de vie 01ma découvert de la vie de l’esprit implique : une vie aussi pour mon être3, une vie spécifique, mais laquelle mon être2 a à ne pratiquement rien savoir, car en être2 : je n’ai pas à être l’être3, l’être3 fondateur, à l’évidence 02bien sûr, comme si souvent écrit dans leREincarnomicon : je peux par l’être3 me paralléliser à des vies antérieures de mon être3, mais, mon être3, non alors en sa vie spécifique, c’est alors moi2 qui : existe, qui existe + que l’être3 03j’avais repéré : un rêve qui, possiblement, pouvait concerner mon être3, sa vie spécifique 04j’avais noté « dans ce rêve, dans le profond d’une forêt nous figurions un petit groupe, il s’agissait d’un regroupement pour une cérémonie & soudainement : l’un de nous prit la parole, & fit une offrande aux forces supérieures & lorsqu’il réalisa celle-ci : je me souvenais d’une offrande faite par moi (dans une vie précédente ?), & même je me disais, j’étais obligé de voir, la mienne s’avérerait + appropriée, mais qu’importe, c’était comme cela, il avait, lui, à accomplir l’offrande, j’avais à rester à ma place, & n’avais pas à déroger à cela, l’important, j’étais donc là ayant eu à rejoindre ce groupe, et cela ne semblait pas concerner une vie antérieure ou future, j’étais là dans un Espace/Temps trans/Temps 05 possiblement, j’étais là plutôt en observateur, en tout cas, nous étions, là, dans une continuité, il ne s’agissait pas d’une création onirique, laquelle s’établirait sans tenants et aboutissants, il y avait moi, il y avait les autres, il s’agissait bien d’une osmose, j’avais à me voir avec une place à prendre, donc, que je contestais un peu / ce qui se passait, donc, complexe, & je réussissais, moi, à participer à cette cérémonie, avec un maximum de conscience 06un tel rêve ne peut que m’être incompréhensible, & même, possiblement, je n’avais pas à assister à un tel moment de vie3 (si c’était le cas), mais j’avais à être initié dans le cadre de mes recherches, & une telle vision de ma vie3 m’était bien sûr précieuse, possiblement donc : j’étais plutôt arrivé au stade où une prochaine fois, je pourrais être le maitre de cérémonie, possiblement cette fois prochaine, j’aurais à remplacer ce maitre de cérémonie 07je me souviendrai toujours de ce rêve, je me saurai ainsi toujours : étant de ce groupe de grands esprits, ils semblent être convoqués régulièrement dans le cadre de l’avancée3, possiblement pour celebrer reguliérement cette continuation3 verticale, & divers chercheurs de vérité seraient ainsi convoqués à chaque nouvelle ceremonie, mais cela n’était pas encore mon tour d’officier, possiblement, il me faudrait, pour officier, à la prochaine réunion au sommet, être seulement : un être2 08possiblement j’avais vu un moment de vie3, alors qu’ils sont multiples, alors que ma vie d’être3 spécifique, s’avère elle aussi : non stop, et donc bien sûr masquée par ma vie2 & ma vie2 3
19609 extérieur tu es soumis à 2 extérieurs, l’extérieur1, l’extérieur2 10tu fais un grand pas, quand tu réussis à mieux visualiser l’extérieur2, quand tu réussis à te savoir aussi en existence : là, avec tout ce que cela implique, ton association + ou moins avec cet autre extérieur 11ton existence2 à durée infinie, s’agissant de cet extérieur horizontal, persistant, expansant
19612 jeu (rêve lointain, retrouvé) je fais attention à mes rêves lors de la st sylvestre, car le mouvement1 global crée un mouvement2 global évidemment, or j’ai commencé avec un cadeau cette année là : une fusion avec a., or je n’ai jamais rêvé avec elle, du moins je ne me suis jamais aperçu que j’osmosais2 avec elle, & c’est bienvenu, puisque a., importante dans ma vie, même si, possiblement, alors, notre histoire s’avérait finie au Niveau1 13 six jour après : re-reve avec a., cette fois : le contraire, elle me fait comprendre : il n y a rien entre elle et moi !, or c’est pourtant encore un rêve fusionnel, en ce sens : il recrée à nouveau, un peu durablement, un sentiment amoureux pour a. 14souvent, un tel rêve, le second, pour me faire comprendre : tu es, étais avec a., tu ne la recréais pas oniriquement, ce que tu pourrais croire si à nouveau il s’agissait d’un rêve qui t’arrange, celui-là ne t’arrange pas, alors bien sûr, tu ne l’as pas décidé & pas mené par toi : il te venait par a. & a. a aimé te défier, pour susciter en toi de l’amour, par ta désespérance organisée par elle
19615 entité à deux faces (rappel fondamental) je le vois bien : je suis né pour consommer l’univers dans lequel je me retrouve existant, on m’a donné un univers où largement je peux me déployer, j’ai une capacité de vie, j’ai la possibilité de jouir de cette vie supérieure & cette vie pouvant exister dans le cadre d’une strate de temps 16or j’ai à voir : cette possibilité de vie à moi donnée, à l’entité perso que je suis, entité pouvant exister sur 2 Niveaux, avec donc un être1 pour le 1er niveau & un être2 pour le 2ème Niveau, dans le cadre de la même strate de temps ! 17Ppar contre, s’agissant du temps, mon être1 va pouvoir exister dans cette strate dans le cadre d’un espace/Temps horizontalo/vertical où se fait : une continuation globale par remplacement = mon être1 a à laisser sa place, dans le cadre de cet espace/Temps1 / aussi je peux là bénéficier de la consommation de l’univers à moi donné : à durée limité 18mais je bénéficie d’un espace/Temps2 = cette fois il m’est donné, d’exister, de consommer l’univers dans le cadre d’une strate d’espace/Temps existant dans le cadre d’une continuation non de remplacement, mais dans le cadre d’une continuation absolue = je suis persistant, dans / pour une strate d’univers persistante, puisque constituée en matière esprit, créée par moi & les autres entités esprits2, tous ceux qui l’alimentent 19= j’ai la possibilité de jouir de mon existence en temps1 horizontalo vertical, donc durant un certain temps, & en temps horizontal, infiniment, tant que cette forme de vie esprit existera 20toujours mon être2 est en vie & toujours mon être2 le sera, en vie / durant un certain temps1 : mon être1 sera en vie, et formant déjà un être1 2 21être1, être2, être1 2, je suis la même entité, laquelle (avec ses caractéristiques) peut consommer l’univers1 & l’univers2, tel qu’il se présente à elle, mon entité, ad hoc à ces 2 niveaux de l’univers 22mon être1 2 né de l’alliance de 2 lignées, possède des caractéristiques privilégiant déjà : son être1 ou bien son être2, qu’importe, dans les 2 niveaux, j’ai à transcender mes caractéristiques de départ = la vie, consistant, à faire de toute situation que j’aurai à vivre, par moi, ou par les autres : un terrain d’évolution, pour moi & les autres 23j’ai le temps1 & tout le temps2 pour vivre, vivre pour moi, vivre avec les autres, pour consommer & m’harmoniser à l’univers à moi donné
19624 dangerosité (1ers écrits) celui qui croit à la mort totale pense donc : avoir prochainement une fin totale, sans suite & il voit tout l’avant lui : comme l’ayant généré, pour juste cette existence limitée 25celui-là mérite d’être jugé dangereux, car il vit une existence fondamentalement vaine, puisque, existence heureuse ou non : vouée à la destruction 26un tel méconnaissant ne peut que mal supporter (& pour cause !) cet assassinat programmé de (ce qu’il est), ce qu’il a réussi, souvent difficilement, à être 27cette incompréhension de son statut de mortel, son refus donc de prévoir une continuité, vont le conduire à + ou moins se mépriser & mépriser les autres, pour cette vaineté 28certains méconnaissant alors tenté par le mal sur lui & les autres, puisque le mal semble présider à cette vie en la condamnant à mort, & au pire : il peut vouloir donner la mort à lui-même & aux autres pour : connaitre (par complicité) un peu du pouvoir de cette mort triomphante, ainsi devient-il cette mort & il se voit lui échappant, se parallélisant à ce qu’il voit comme toujours, le mal, revenant, & ce méconnaissant se voit même presque ainsi dans : la démarche juste ! 29pour celui qui sait la REincarnation : pas d’incompréhension, pas d’injustice devant une mort qui apparait non totale, devant sa destruction seulement, & utile, indispensable justement à une continuation, d’une partie de son être
19630 trio (alors que je vis un terrible exil, 12 déc. 2023) tel rêve, de type road movie, un long parcours, & incluant surtout : un passage par un sommet, comme si je m’étais joint à un périple des randonneurs exigeant 31mais je rapporte ce rêve : car nous étions un trio d’esprits, & je n’ai pas identifié beaucoup d’osmoses2+ (ou 3+) de ce type, lorsqu’il s’agit d’esprits non identifiés 32pourquoi pas ?, je m’étais parallélisé donc à des randonneurs, dont j’avais su l’existence par un des nombreux petits reportages qui émaillent les soirées tv, (& d’ailleurs possiblement pogramme que j’avais enregistré d’où : boost), séduit par des paysages de montagne 33à tel moment, l’acmé, je m’attendais à ce que : se poursuive : le périple, nous étions arrivés tout en haut d’une montagne, & cette fois en passant par des chemins complexes, je m’étonnais donc, on ne continue pas à cheminer, or, je comprenais vite aussi : mes 2 compagnons s’étaient mis en position de méditation pour contempler le paysage magnifique, & je fis pareil bien sûr, cette déjà incongruité de ma part me montrant sans doute : j’étais leur invité, obligatoirement, j’avais un peu de retard sur eux qui me donnaient la marche à suivre, & alors que moi aussi, j’étais pourtant à même d’apprécier suprêmement ce paysage (là était aussi ?, comme d’habitude : la petite incongruité pour qu’elle me marque, pour que je me rappelle + facilement : l’osmose), chacun, ici, a à être lui-même, un esprit est inaliénable, existe : une pérégrination collective, mais toujours prenant en compte ce qu’est chacun 34bien sûr : une osmose fascinante aussi, car elle me fait vivre donc, avec des êtres qui n’existent pas pour moi au Niveau1, qui n’existeront jamais pour moi au N1, & là, clairement : je vois l’importance de ma vie2, laquelle, une vie spécifique aussi 35bien sûr un tel rêve, en son long développement, me fait inter/agir avec deux esprits bien distincts avec des caractéristiques précises, & mes inter/actions avec ces esprits, s’avèrent non flous, mais bien caractérisés, car il s’agit donc de 3 esprits inaliénables, & non de réunion de matériaux flous
19636 telle séquence [tentative d’explication] je vois la nuit : telle séquence d’osmose de ma vie2, & je m’en rappelle au matin 37 oui, il s’agit seulement d’une séquence & j’en suis frustré, je crois avoir osmosé avec un proche de mon enfance adolescence, nous étions donc en cours d’osmose nouvelle 38je ne peux rien voir d’autre de cette osmose / possiblement : cette séquence, donc juste pour me signifier : tu osmoses aussi avec lui !, & tu en es bien étonné, tu as quand même à le savoir un tout petit peu 39il n’y a pas à être étonné : j’osmose avec cet esprit, comme avec tant d’autres esprits en une nuit : existant en tant qu’esprit : j’existe en tant que toutes les situations vécues de ma vie, avec l’esprit évoqué ici, forcément, je suis aussi : ma continuation de vie avec lui, nous nous sommes pris en compte, nous faisons partie des mêmes territoires persistant, de la même strate 40être esprit : je suis tout, je ne fais qu’un avec tous les autres de ma strate, cependant toutes ces continuations d’existence avec les autres ne peuvent m’être conscientes, elles n’ont pas toutes à arriver à ma conscience1, de ma nuit d’osmoses, je peux voir l’essentiel, & non bien sûr toutes mes présences + ou moins inter/actives avec les autres, d’autant + que : autres : perdus de vue 41cependant, nous faisons univers, constamment : nous alimentons notre persistance 19642 parallèle
tu dois te voir : en être2, en être esprit : non séparé des autres, de tous les autres, mais cela veut non dire : tu es à proximité de tous les autres 43potentiellement, tu existes près de tous les autres en ce sens : celui qui comme toi se trouve en train d’exister au Niveau2, au même temps2, dans la même strate2 de Temps3 : évidemment : il est près de toi, or quand même, tu peux ne pas être en inter/action avec cet être, tu peux ne pas être en osmose2+ avec cet autre = tu es juste en osmose2 basique avec lui = tu participes à la même expansion horizontale d’esprit mais chacun gravite surtout dans sa : ligne d’avancée 44mais, + j’ai (pour x raisons, du fait de ma vie en cours d’être1 ou d’être2 / ou bien du fait des autres REincarnations de ma lignée3) d’inter/actions, de territoires communs avec des autres, & + je me trouve non loin d’eux 45= je2, je esprit2 vis non loin de tous ceux qui font + partie de monde, & même : tel autre, non loin, lors de telle osmose2+ lors de telle nuit, va donc : se rapprocher de moi pour être à côté de moi, le seul vraiment à côté de moi, durant donc cette osmose 46nous sommes tous en avancée parallèle, mais à tel moment2 : je vais me paralléliser + à tel autre esprit ou bien à tel groupe d’esprit = osmose2+ = inter/actions + confirmation nouvelle de notre harmonie, cette harmonie rend + intense notre existence 47comme au Niveau1 : l’autre, les autres, non loins, mais cette fois au N2 : je suis toujours en pré osmose avec les autres = au N1, sauf certaines situations + favorables : je reste quand même séparé des autres même si je me rapproche d’eux = au Niveau1, le rapprochement, la vie avec les autres, s’avère basée sur le virtuel, & il n’y a d’alliance qu’au N2, quand nous sommes des esprits osmosables
19648 inclusion (rêve du retour : 15 déc. 2023) tel rêve, sur une longue durée, s’agissant d’un rêve, me fait vivre : une longue tentative de retour suite à un éloignement 49j’avais imprudemment pris un super métro, lequel n’est donc pas un train, donc peut m’emmener loin, mais quand même j’ai à rester dans une même région, & il m’a emmené très loin, trop loin, & revenir : difficile, & n’était possible de revenir, curieusement, que : par étape, & à chaque étape : un changement de ligne ! : il s’agissait de curieusement de demander au guichet quelle nouvelle direction prendre [il s’agissait donc de passer de différents cercles d’esprit, il s’agissait d’un deplacement complexe, + complexe que dans le monde de la réalité], & se faire expliquer où la prendre &c., & quelquefois, je me passais de cette aide 50j’étais donc contraint puissamment / s’agissait-il d’une inclusion assez globale d’un territoire esprit nouveau pour moi ?, & en quelque sorte lequel mon esprit scannait, incorporait & cela prenait un long temps à chaque territoire nouveau 51ou bien étais-je en action en tant que mon être3 & j’étais descendu loin dans ma lignée3, j’étais descendu facilement, rapidement & il me fallait revenir : cette fois en prenant en compte, quand même globalement encore, mais cette fois patiemment, les territoires correspondant à des REincarnations de ma lignée3 ? = les personnes au guichet, les seules personnes qui existaient, là, pour moi : possiblement figuraient des personnes importantes de ces REincarnations ? & qui savaient donc comment j’avais à me positionner pour visiter ces REincarnations, pour les prendre en compte, elles avaient à me montrer : prendre la bonne direction suivante avait à se faire officiellement, dans l’ordre 52dans une telle action spir : je comprenais, il me fallait aller au bout, & quand je m’étais reveillé une fois, je repartis vite dans ce déplacement qui avait à se faire, j’avais vraiment à me faire revenir à ma vie présente, je comprenais : ce déplacement, difficile à vivre pour ma conscience1, il s’avérait extrêmement lourd, & au réveil je crus : j’allais avoir longtemps mal à la tête, mais cela fut non le cas, & le long rêve n’avait quand même pas été : un cauchemar, donc ce long processus avait à se faire, & pour mon bénéfice, mais quelle lourdeur à vivre, & alors qu’il fallait encore & encore revenir en avant, j’étais allé si loin donc !
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justeunlama · 3 months
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Ma ziziiiiiiiine en cette journée spéciale car c'est ton anniversaire 🎂 j'ai une pensée toute particulière pour toi et j'aimerais être avec toi a tes côtés pour cette journée, TA journée.
J'aimerais être avec toi aujourd'hui et te le dire de vivre voix ce joyeux anniversaire ! 🎉🎈
Hé oui y a déjà qlq années que tu pointais le bout de ton nez sur cette terre et depuis ... Tu en as vécu des choses ... Et je suis fière de toi pour tout ce que tu as traversé et par tout ce que tu es passée tu es toujours là et je te remercie.
Je ne pensais pas m'attacher a quelqu'un aussi fort que toi, je ne pensais pas que quelqu'un pourrait remuer autant de choses en moi, et me faire devenir une autre personne. Une personne qui a envie de se poser, d'avoir une vie de famille ( même si ça me fait peur) et d'avoir un quotidien et une routine.
Je t'aime par dessus tout, et certes je te le dis souvent mais je ne remercierai jamais assez le ciel de m'avoir mis sur ta route. On en as vécu des choses et si c'était a refaire je referai tout pareil, parcque je l'aime notre histoire, parce qu'elle est a nous.
Je t'aime pour qui tu es, ton humour, ta bonne humeur, ta loyauté, ta débrouillardise, ton sang froid, tu gardes la tête sur les épaules a tout moment, tu gardes le cap et quand t'as une idée en tête tu ne l'as pas ailleurs et j'aime ta détermination et ton sens de la compétition mais j'aime aussi chez toi ta douceur, ta tendresse, tes attentions, ton côté canard et romantique j'adore.
Cette année a été pleines de rebondissements et des fameux rebondissements. Et je suis fière d'avoir partagé tout ça avec toi.
Mais je suis fière de ton évolution depuis que je te connais t'es tellement magique comme femme, t'es en constante évolution, et je suis tellement fière de toi! Tu prends soin de toi, tu t'écoutes un peu plus, tu vas voir une psy, tu penses a toi en gros.
Alors oui depuis qu on se connait y a eu bcp de choses que l'on a vécu, a commencé par des timides confessions sur un banc, suivi de perches tendues mais pas réceptionné, de nuits ensemble, de soirées ensemble plus ou moins alcoolisé, de sorties, de journées de travail ensemble a rigoler encore et encore, des journées sieste...
Quand je suis avec toi peut importe ce qui se passe autour je suis bien on est dans notre bulle et je me sens bien avec toi, et j'ai envie de continuer, alors oui sans doute que ça ne va pas être facile mais j'ai envie d'essayer.
Je t'aime fort et merci de rentrer dans la vie des gens, de prendre le temps pour eux, de les écouter, comprendre et de les réparer petit à petit. Sache que certes notre histoire est particulière, notre rencontre pas prévu, mais vraiment quoi qu'il se passe entre nous tu m'auras retourné le coeur et les boyaux et fait envoler des milliers de papillons qui sommeillaient dans mon ventre. Depuis que je te connais je suis un peu mieux et je t'en remercie.
Et sache que dès le 1er jour où l'on s'est rapproché un peu plus sérieusement sur ce cliclac bancale, sache que je t'ai toujours trouvé belle, magnifique et que je suis dingue de ton corps vraiment.
De ta tête aux pieds je te trouve magnifique, tes seins délicieux, tes épaules, ton cou, tes oreilles, tes hanches, ton corps chaud, tes cuisses, tes fesses, les courbes de ton corps ..... 🥰
Tu es une personne magnifique ma zizine, tu rayonnes dans la vie des gens et tu es ce rayon de soleil qui transperce la grisaille de la vie des gens.
Tu es mon soleil et ma lune, mon jour et ma nuit. Pas un moment je ne pense pas a toi. J'ai envie d'être avec toi tout le temps et je t'aime.
Je t'aime pour qui tu es. Et pour rien tu ne dois changer tu es quelqu'un d'authentique.
Je t'aime pour tout et je te trouve magnifique, sexy, charmante, charmeuse, t'as une assurance qui me déstabilise, et un sex-appeal de fou.
Donc je t'aime fort et je te souhaite encore un joyeux anniversaire 🎂🎉🎉 et fait toi gâter pour cette journée parce que tu le mérites Fiona 😉
Gros bisous et je t'embrasse tendrement
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