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#warfortheplanetoftheapesmovie
eigaandhollywood · 3 years
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War for the Planet of the Apes celebrates it's 4th anniversary today
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andyfairhurstart · 7 years
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War For The Planet Of The Apes (Nerds Eye View) Done for @20thcenturyfox through @theposterposse Artwork by @andyfairhurst72 #warfortheplanetoftheapes #warfortheplanetoftheapesmovie #andyserkis #planetoftheapes #nerdseyeview #apes #instaart #digitalart #digitalpainting #posterposse #mattreeves #stevezahn #woodyharrelson #andyserkis #caesar #war
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ieatmovies · 7 years
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WAR FOR THE PLANET OF THE APES (2017) Fin de la trilogie entamée en 2011 par Rupert Wyatt avec RISE..., WAR FOR THE PLANET OF THE APES est la suite de DAWN... (2014), toujours réalisé par Matt Reeves (CLOVERFIELD, 2008). Dans cette démarche de rebooter une saga aussi célèbre telle que La Planète des Singes, l’entreprise pouvait paraître très casse-gueule: un opininon que RISE... effaçait, limpide pamphlet sur la maladie d’Alzheimer et réinterprétation réussie quant à ce “origins-movie”, le tout servi par des SFX photoréalistes monumentaux. Une fois la fin du règne humain amorcée, DAWN... explorait non pas l’évasion mais l’évolution, mettant en scène l’affrontement incessant humains/singes dans un monde post-apo: convenu, mais badass. Et là, c’est la guerre: l’équipe technique du film et le département des SFX nous servent sur un plat d’or les CGI les plus beaux qui soient, dont les détails se fondent parfaitement dans les décors. Une réussite obligatoire, la finition visuelle atteignant un niveau d’excellence -encore une fois- et ne se décelant jamais, même sur écran vert -hé, Disney, tu m’entends?-: les meilleurs effets spéciaux sont indicibles à l’oeil, et WAR... franchit en ce sens un palier supplémentaire. Hormis le nouveau bad guy humain -le précédent incarné par Gary Oldman-campé par un Woody Harrelson plutôt en forme, la recette générale du film ne reste pas sur ses acquis, avançant dans son histoire à l’image du clan simiesque en quête d’un utopique Eden en paix. Travaillant le personnage de César comme jamais, le scénario établit chaque scène avec une implacable logique d’écriture: on est bien d’accord que le génial Andy Serkis y est pour quelque chose, l’homme étant devenu le représentant -et défenseur- de la motion-capture depuis THE TWO TOWERS (2002), où il jouait un Gollum aux expressions plus vraies que nature -tiens, c’est dailleurs Weta Digital qui pond les SFX de ce superbe opus-. Emblématique, charismatique, intéressant, les adjectifs ne manquent pas pour définir César... La cohérence totale du long-métrage mène à croire que l’on tiendrait l’archétype du film parfait, et peut-être est-ce bien cela: un contexte rempli d’épreuves -la fin du monde en attente-, un baroud d’honneur pour un antihéros peu commun -le destin de César-, une inversion des rôles connus -l’homme est clairement la bête, à l’inverse de cette génération de singes-, un méchant mort mais encore présent dans les cauchemars -l’icônique Koba hantant les nuits de César- et une poésie dicrète -combo d’orang-outan, de fleur et d’enfant- font de WAR FOR THE PLANET OF THE APES un produit de haute qualité. Comment ne pas suivre avec passion et intérêt ce constant combat entre nos représentants malades sur le déclin et l’espèce qui nous ressemble le plus, ayant largement dépassé notre stade évolutif? Certainement pas en se nommant Tim Burton, qui avait dégommé la licence en la fidélisant pourtant au mieux via une storyline similaire au roman éponyme de Pierre Boulle: c’est un état de fait, le reboot englobant cette nouvelle trilogie est meilleur que la version précédente -on n’abordera pas la pentalogie “...OF THE APES” qui eut son heure de gloire (1968-1973)-. Entre vengeance personnelle et soupir d’un ancien monde, WAR FOR THE PLANET OF THE APES vient conclure avec sérénité et savoir-faire sa propre trilogie, à laquelle on ne peut quasiment rien reprocher: grosse artillerie pour des SFX saisissants certes, mais une priorité donnée à une histoire poignante et prenante -le sidekick du Zoo en est une des mentions honorables-. Carton plein pour l’emblématique César et son clan, luttant pour leur incertain avenir entre fuite et vengeance: WAR FOR THE PLANET OF THE APES est d’une juste intelligence quand il s’adresse à nous; faisons de même, et rendons-lui honneur en le regardant jusqu’au bout. Cinéma, quand tu nous tiens...  SINGE SAVANT /20
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endoglitch · 7 years
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This week on TBP we hit the BIG dirty 30 episodes, and to celebrate this epic milestone in cinema talk history joining us on the show is the friend jared's good friend rogan to talk BIG films such as Dunkirk(2017) , Valerian city of a thousand planets(2017) & War for the planet of the apes(2017). ... #podcast #podernfamily #cinema #filmtalk #film #Dunkirk #valerianandthecityofathousandplanets #warfortheplanetoftheapesmovie #lucbesson #christophernolan #woodyallen #andysurkis
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darthmatthewtwihard · 7 years
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#warfortheplanetoftheapesmovie (at Grand 14 Esplanade)
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kathleenkaiser · 7 years
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WAR FOR THE PLANET OF THE APES - Rated PG-13 - 2 hrs. 20 mins.
WAR FOR THE PLANET OF THE APES – Rated PG-13 – 2 hrs. 20 mins.
WAR FOR THE PLANET OF THE APES – Rated PG-13 – 2 hrs. 20 mins. Starring Woody Harrelson, Andy Serkis, Steve Zahn, Karin Konoval, Amiah Miller and Toby Kebbell For Freedom. For Family. For the Planet. It’s been 15 years since the outbreak of the Simian Flu that plagued humanity began. In “War for the Planet of the Apes”, Caesar continues to lead his fellow apes in the War against the human forces.…
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