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Abidjan, la perle des lagunes
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J’aurais beau faire le tour du monde, tu resteras ma ville, mon coup de cœur…
Après un an passé au Canada, j’ai décidé de revenir à Paris pour plusieurs mois. Je la vois désormais d’un œil nouveau. Certains diront que je suis mazo, que cette ville est trop bruyante, le métro, les embouteillages, les français grognons…
Moi je vous dis que Paris, c’est la gastronomie, la culture, la fête, le dynamisme, la diversité… et tant d’autres choses !
Paris, c’est aussi la France cosmopolite.
Il faut différencier le Paris que tout le monde connait et le Paris qu’on ne connait pas.
Je vous laisse donc explorer les recoins de notre chère capitale française.


Gastronomie
Savez-vous quelles sont les spécialités de la région parisienne ? Allons, cherchez un peu… Champignons de PARIS, Jambon de PARIS ! Il y a aussi l’entrecôte, le saucisson. Mais également en plats traditionnels, nous avons le fameux croque-monsieur et la soupe à l’oignon. Et finalement, si vous en raffolez comme moi, les pâtisseries : mille-feuilles, saint-honoré, opéra… Un régal !
On a testé…
Le Bistrot Régent
Petit restaurant sympa, parfait pour les petits portefeuilles. Le menu à 13 euros avec quelques choix de viandes, frites et salades à volonté, les bouteilles de vin à prix très abordable. Le plus : une bouteille de champagne offerte en semaine sur présentation d’un bon disponible sur le site ! On s’est régalées !
Le Pedra Alta
Restaurant portugais situé rue Marboeuf (proche des Champs Elysées), qui propose pleins de plats de fruits de mer (j’en raffole !) et de viandes délicieuses. La Sangria est bien dosée. L’ambiance conviviale (un peu bruyante) nous fait faire une parenthèse dans notre quotidien. Attention, l’addition est légèrement salée.
L’entrecôte de Paris
Situé près des champs Elysées, ce restaurant à prix abordable était exquis. Son menu avec une salade, les filets et frites à volonté, accompagnée de la sauce qui est la spécialité de la maison, et un petit désert fait le bonheur de tous. Mais néanmoins, je vous recommande les côtes d’agneau à la carte, qui sont tellement tendres…


Fête
Paris, ses terrasses, bars, nightclubs… Impossible de s’ennuyer. Cependant, certains établissements sont trop souvent victimes de leur succès.
On a testé…
Le Nix Nox
C’était une excellente découverte. Un bar restaurant sur un bateau, stationné au quai d’Austerlitz. Prix raisonnable, bonne musique, ma meilleure amie et moi étions traitées comme des princesses ! Nous prenions notre bouteille de vin blanc moelleux à 25 euros et c’était partie pour une après-midi entière de causeries. Puis… Le Nix Nox changea de politique : vous devez désormais tout commander au bar qui se trouve tout en bas du bateau et tout transporter vous-même, le nouveau personnel est irrespectueux, désagréable… bref, on trouvera bien un autre QG!
Le Jip’s
Ce bar afro-caribéen situé à Chatelet, qui propose toutes sortes de spécialités: punch, accras de morue, alocos… De plus, vous avez une carte spéciale Happy Hour avec plusieurs cocktails à 5 euros. La musique est top, mais attention, il y a parfois des groupes qui viennent s’y produire et là ça devient vraiment bruyant. Parfois le weekend, l’établissement se transforme en bar dansant, le coupé décalé fait son entrée.

Nightclubs
En termes de boites de nuit, il y en a pour tous les gouts. Moi je suis plutôt ambiance hip-hop rnb afrobeat, et je vais plutôt au VRP, Hobo.
Pour les ambiances plus généralistes, le 49, rue de Ponthieu est un bon choix.
Culture
Paris est un carrefour culturel international. Centre de l’enseignement et des arts en Europe depuis le 12ème siècle, toujours au cœur de l’histoire de France, elle garde aujourd’hui une forte valeur symbolique. Ses musées, expositions, monuments retracent l’histoire de la nation mais aussi du monde.
On a visité…
Le Musée du Louvre
Avec 8 millions de visiteurs par an, c’est le musée le plus visité au monde. Sa pyramide connue par tous, il possède plus de 500 000 œuvres. Il est situé au sein du Palais du Louvres, la résidence du Roi avant le château de Versailles. Il retrace l’histoire de l’Antiquité mais aussi des arts religieux. J’ai adoré la partie de l’Egypte Antique. C’est assez impressionnant de pouvoir si bien conserver autant d’objets datant de plusieurs siècles avant J.C.
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Le Musée du Quai Branly
Ce musée comporte des œuvres des autres continents. Il possède plus d’un millions d’objets, de l’antiquité à l’époque moderne. J’ai adoré la partie Afrique. C’est dommage que les Etats africains ne disposent pas de musées aussi riches.
Le Musée de l’Orangerie
Picasso, Renoir, Monet, Cézanne… C’est ici que sont exposées les œuvres de ces célèbres peintres impressionnistes. Je ne m’y connais pas du tout, mais la visite (un peu courte) fut très… apaisante !
Autres visites
Le quartier de Montmartre
C’est l’un des quartiers les plus visités de Paris, mais aussi le point culminant, avec au sommet la Basilique du Sacré-Cœur. Quartier très dynamique, vous pourrez trouver pleins de restaurants, de salles de spectacles, mais aussi le fameux marché Saint Pierre (marché de tissus) et le mur des je t’aime.
Le jardin des tuileries
Il appartenait au Palais des Tuileries, anciennes résidence royale. Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce jardin a été la source d’inspirations de nombreux peintres. Pourquoi pas la vôtre ?
Dites-moi comment peut-on ne pas aimer Paris…
Découvrez Paris sous un autre oeil ! J’aurais beau faire le tour du monde, tu resteras ma ville, mon coup de cœur… Après un an passé au Canada, j’ai décidé de revenir à Paris pour plusieurs mois.
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« On ne regarde pas dans la bouche de celui qui grille les arachides » ! Felix Houphouët-Boigny.
Cher Président, malgré toutes les critiques qui te sont adressées, tu as fait de cette ville une merveille à visiter.
Durant mon séjour en Côte d’Ivoire, j’ai eu l’occasion de passer un weekend dans la capitale politique du pays. C’était le fief du premier Président du pays. C’est d’ailleurs lui qui l’a développée, à partir de l’indépendance en 1960.
Nous prenons en plein vendredi après-midi la nouvelle autoroute qui relie Abidjan à Yamoussoukro en maximum 2 heures. Sur des airs de sons naijas, j’observe la végétation avec une grande fascination.

Arrivée à Yamoussoukro
Alors ce qui m’a impressionné le plus à l’entrée de la ville, c’est les routes ! Elles sont aussi larges que celles des Etats-Unis. Par contre elles ne sont pas très bien entretenues… La capitale a été fortement délaissée depuis plusieurs années.
Bref nous nous rendons dans notre résidence pour poser nos valises et nous partons en excursion.

Yakro compte moins de 300 000 habitants. Elle est devenue la capitale politique de la Côte d’Ivoire en 1983, après Grand-Bassam, Bingerville et Abidjan. Houphouët disait que les trois choix précédant résultaient du choix des colonisateurs. Et que Yakro était le choix de la nation.
Yamoussoukro a joué un rôle important durant la guerre civile à partir de 2003 car elle abritait les contingents de l’ONUCI et des forces françaises.
Direction le fameux lac aux crocodiles. Tout le monde en parle. Il se situe juste à côté de la résidence d’Houphouët. Verdict ? Pas très impressionnant. Les crocodiles sont presque immobiles. Je ne m’attendais pas à un combat de titans, mais quand même…

La Basilique Notre Dame de la Paix
Cette Basilique est la plus grande au monde. Oui, AU MONDE ! Et c’est bien dommage que les gens ne le sachent pas. Construite entre 1986 et 1989 grâce aux plans de l’architecte Pierre Fakhoury, elle a été consacrée par le Pape Jean-Paul II l’année suivante. Elle regorge de vitraux tous aussi magnifiques les uns que les autres, dont la surface est la plus grande au monde également.
Nous avons droit à une visite guidée. Je vous épargne tous les chiffres que le guide a cités (dimensions, nombre de piliers…) Je vous laisse plutôt admirer…
Je vous jure qu’on s’y sent incroyablement petit !
Suite à cette visite nous faisons une pause déjeuner, chez le meilleur vendeur de choukouya de la ville. Le choukouya est un plat de viande (poulet, bœuf ou autres) découpé en morceaux et cuit sur un barbecue spécial avec un assaisonnement particulier. Il s’accompagne généralement d’attiéké (semoule de manioc). Je m’en lèche les doigts !
La Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix
En fait, dans cette ville, tout parait démesuré. C’est ce que je me suis dit en arrivant devant la fondation. C’est un institut de recherche sur les questions de paix. Elle abrite également des sculptures, peintures, objets, écrits qui relatent la vie d’Houphouët. Des congrès internationaux y sont organisés, mais aussi le Conseil des Ministres.
Depuis plusieurs années, par une résolution de l’UNESCO, la Fondation décerne chaque année le Prix Félix-Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix à des personnalités qui œuvrent pour la paix dans le monde.
Nous avons la chance de suivre un guide à travers la fondation. Heureusement car on s’y perd à tous les coups !
Elle possède de grandes salles de conférences, mais aussi des salles qui ont connu de grands évènements. Il y a un salon dans lequel le président Houphouët les chefs d’Etat de pays en conflit pour des négociations de paix.
L’Hôtel Parlementaire
Ambiance ivoirienne
Comment venir à Yakro sans se poser dans les maquis au bord de la route pour siroter une bonne bière et discuter des affaires du pays… C’est dans la convivialité que nous nous installons avec des locaux et qu’ils nous racontent un peu les nouvelles de la ville.
Le soir tombe et nous allons manger un bon kedjenou bien pimenté (sauce d’aubergine et viande accompagnée d’attiéké). Attention aux ventres sensibles !

La résidence de Présidence Houphouët
Vous n’aurez certainement jamais l’opportunité de rentrer dans cette demeure. Elle est malheureusement fermée au public. Ce qui est dommage je trouve car on pourrait en faire un musée.
Mais comme Kelly trouve toujours solution à tout, je vais partager avec vous ce que j’ai pu visiter de la résidence du « Vieux ». Vous n’avez pas idée à quel point j’étais époustouflée ! Je n’ai jamais vu autant d’or, d’œuvres d’art, de meubles de luxe au sein d’une seule maison.
Houphouët avait une richesse qui était à l’époque inestimable. Il distribuait des maisons et des terrains en cadeau à ceux qu’il appréciait, à ceux qui le soutenaient.
Sa propre maison valait bien plus que tout cela. Des couverts en or, des sculptures valant des millions, des fauteuils achetés en Italie. Tout est luxe ! Il a même fait ouvrir un site d’extraction de marbre à Séguéla (nord-ouest de la Côte d’Ivoire) exclusivement pour la construction de sa maison (piliers, meubles).
Le Président fut très critiqué car on le soupçonnait de corruption et de détournement. Il n’empêche que cet homme voyait les choses en grand. En voici un aperçu…
Avant de reprendre la route pour Abidjan, nous déjeunons dans un maquis (encore!) pour déguster du cabris. C’était la première fois que j’en goûtais. Nous commandons une soupe de cabris et du cabris braisé. J’ai adoré ce dernier mais la soupe, bof… On sentais trop le goût et l’odeur de la viande.

C’est ainsi que s’achève ce court weekend (beaucoup trop court) dans cette ville historique où l’Homme n’est qu’un point entouré d’immensités.
Découvrez la capitale politique de la Côte d'Ivoire ! « On ne regarde pas dans la bouche de celui qui grille les arachides » ! Felix Houphouët-Boigny.
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J’attendais ce moment depuis longtemps. Le retour au pays, à la terre mère. Cet article sera certainement biaisé, car beaucoup le savent, je tombe amoureuse de mon pays un peu plus chaque jour…

Topo sur la Côte d’Ivoire
La Côte d’Ivoire se situe en Afrique de l’Ouest. Yamoussoukro est sa capitale politique et Abidjan, sa capitale économique. Avec plus de 300 000 km² de superficie, elle se compose de plus de 20 millions d’habitants, dont 5 sont concentrés à Abidjan.
Arrivée à l’Aéroport Félix Houphouët Boigny
La chaleur me caresse violemment lorsque je sors de l’avion. Ça m’avait manqué… Pour visiter la Côte d’Ivoire, il faut prévoir entre 600 et 1000 euros pour un billet d’avion en provenance de Paris, en fonction de la saison. Je suis d’accord, ce n’est pas donné. Mais ça en vaut la peine !
Je sors de tous les contrôles et je plonge dans les bras de ma mère. ‘Akwaba’ me dit-elle. Cela signifie ‘bienvenue’ en baoulé, un dialecte parmi les 60 parlés dans le pays.

A la maison, rien n’a changé. Je déguste mon plat d’alloco (bananes plantains frites) et de poulet braisé, avant d’aller m’endormir paisiblement dans ma chambre climatisée.
Les premiers jours, ce sont les retrouvailles avec la grande famille. Visite à mon père, à mes deux grand-mères, mes tantes, mes oncles, mes cousins… eh oui les familles africaines sont généralement nombreuses et ce n’est pas un cliché. Mais bon, au moins, on ne s’ennuie jamais n’est-ce pas ?
Le musée des civilisations
La culture ivoirienne est extrêmement riche. Mais pas assez valorisée. Dans la commune du plateau, le quartier d’affaires de la ville avec ses hauts buildings, mon frère et moi décidons de nous cultiver un peu. Direction le musée des civilisations, créé en 1942 sous l’administration coloniale. Il regroupe toutes sortes d’objets, de statues, de masques, de photos… appartenant aux différentes ethnies de la Côte d’Ivoire.
La Cathédrale Saint Paul
Felix Houphouët Boigny, le premier président de la Côte d’Ivoire, a initié la construction de cet immense édifice, inauguré en 1985. Elle a été conçue par un architecte italien nommé Aldo Spirito et le coût de la réalisation s’estime à 6 milliards de francs CFA (environ 9 millions d’euros). Elle est assez impressionnante en vrai. On s’y sent tout petit… J’ai adoré les vitraux qui ornent les murs.
Une affaire de dabali…
A ‘Babi’ (Abidjan) on parle le ‘nouchi’, c’est une forme d’argot qui mélange le français et d’autres dialectes locaux. ‘Dabali’ veut dire nourriture. Et qui vient à Abidjan risque de prendre 1 kg par semaine. Ehh ouiiii ici on mange comme jamais ! Les spécialités ? Je ne sais pas par quoi commencer. Les ivoiriens mangent beaucoup de sauces : la sauce graine (à base de graine de palmier à huile), la sauce copê (gombo frais), sauce djoumblé (gombo sec), la sauce aubergine…
Généralement, on les mange accompagnées de riz, mais aussi de foutou (igname ou banane plantain pilée, sous forme de pâte), de foufou (banane plantain pilée).
Sinon il y a pas mal de grillades : poulet braisé, poisson braisé, porc au four, choukouya (étouffé de viande) au kankankan (piment doux en poudre. Généralement, ils sont accompagnés d’alloco (banane plantain frite), d’attieke (semoule de manioc), d’igname (frites ou bouillis), d’igname ou de patate douce. Si vous voulez vraiment vous mettre vraiment dans l’ambiance, posez-vous à l’allocodrome !
Ça c’est pour les plats. Sinon, lorsque vous vous promenez dans les rues de babi, faites comme moi. Arrêtez-vous au pain brochette, ou chez la femme qui fait des gboflotos (beignets), ou encore chez le vendeur de garba (si vous avez vraiment faim). Votre journée sera refaite !
Le Zouglou
Babi est réputée pour être la ville de l’ambiance en Afrique de l’Ouest (et à l’international d’ailleurs lol !). Le zouglou, c’est un genre de musique ivoirienne. Ces artistes sont de vrais poètes. Ils parlent généralement d’histoires vécues ou de la guerre. Depuis plusieurs années, ces artistes se produisent dans des genres de maquis (lieu de restauration). Au fur et à mesure, on a fini par appeler ces endroits le ‘zouglou’.
Il y en a plusieurs. Le plus connu, c’est l’internat à Yopougon. Mais malheureusement cette commune n’est pas très sécurisée. J’ai choisi d’aller à Angré-Plage. Et on se croit vraiment à la plage ! Avec le sable et tout… Bref, avec mes cousins nous commandons une bassine de bières.


La Côte d’Ivoire est un producteur de bières : vous avez la dernière bière Ivoire qui est entrée sur le marché (une blonde), Bock, Castel… Mais vous trouvez également des bières importées comme la Desperados ou la Heineken.
(Non je ne suis pas alcoolique…)
En résumé, le zouglou, c’est un lieu pour manger, pour boire, pour apprécier les artistes ivoiriens, pour se rencontrer, pour débattre, et pour apprécier la chance qu’on a d’être dans ce magnifique pays…
L’hôtel Ivoire


Abidjan By Night
Ça c’est la véritable ambiance : les ‘gasoils’ ou les sorties en club. Les gens aiment faire le ‘yaya’ (le malin) et c’est dans les clubs que ça se passe. Le Lifestar pour une ambiance plutôt expatriée, le Forty pour les gosses de riches, le Mixx qui vient de renaitre de ses cendres, le Code Barre pour les nouchis, le VIP pour les locaux…
Tout dépend de votre type d’ambiance… et de votre portefeuille ! Eh oui ici ne vous étonnez pas de voire certains salons avec 20 champagnes. Sachant qu’une bouteille de champagne coûte environ 50 000 francs CFA (environ 75 euros). Sinon vous pouvez prendre votre cocktail au bar, ne vous inquiétez pas !
Sinon, si vous n’êtes pas trop boite de nuit, il y a une multitude de bars/lounges dans la ville, comme le Skinny Lounge, ou encore Hollywood Boulevard.
Il y a aussi les maquis, de jour et de nuit, où vous pouvez discuter et boire entre amis, à profiter pour certains d’une vue exceptionnelle.


C’est ici que s’achève mon séjour. J’espère que j’ai réussi à vous faire voyager à travers cette ville merveilleuse. On se retrouve bientôt dans une autre ville de Côte d’Ivoire!
J'ai mis du temps mais ça en valait la peine. Je vous apporte une petite touche de chaleur :) J’attendais ce moment depuis longtemps. Le retour au pays, à la terre mère. Cet article sera certainement biaisé, car beaucoup le savent, je tombe amoureuse de mon pays un peu plus chaque jour…
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Cet article est un peu particulier. En ce premier jour de l’an, je ne prends pas l’avion en tant que touriste.
Non… Je traverse l’Atlantique pour toute l’année, laissant derrière moi mes amis les plus proches et mon copain.
C’est assise sur mon siège, en leur disant au revoir, que je prends conscience de ce nouveau départ vers l’inconnu.
Je n’ai jamais mis les pieds au Canada. En arrivant à l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau, je passe directement par le service d’immigration où j’y passe une heure pour mon permis d’étude (rassurez-vous, pour les touristes ça va plus vite !).
(Pour ceux qui veulent faire le grand pas comme moi : vous avez besoin du Certificat d’Acceptation au Québec (CAQ) qui prend environ 1 mois avant de sortir, ainsi que de votre lettre d’acceptation pour votre permis d’études (ou de travail) qui vous est délivré directement à l’aéroport. Ne tardez pas !)
En sortant, je découvre ce paysage plein de neige. Il ne fait pas si froid que ça. Il doit faire -5°. En tout cas je subissais moins ma vie que le soir de la veille à Paris !
Le véhicule traverse la ville pendant que j’observe à travers la vitre cette nouvelle ville qui m’ouvre ses portes. Il est 19h30. Il fait nuit. Ici le soleil se couche entre 16h et 17h en hiver. De quoi déprimer…
Arrivée à mon domicile, je me rappelle que nous sommes le premier de l’an et que tout est fermé… sauf le Macdo ! Malheureusement pas aussi bon qu’en France… Ça commence bien !
Pendant une semaine, j’ai été victime du décalage horaire. Les réveils à 4h du matin, j’en suis vaccinée. Alors je me traine dans mon grand appartement (rien à voir avec mon petit 18 m² à Asnières !). Pour l’équivalent de 530 euros, j’ai un 40 m² avec chauffage, électricité et eau compris. Merci Kijiji (leboncoin canadien) !
Le Chemin de la Côte-des-Neiges
Lundi matin, mon gentil proprio décide de m’emmener faire un tour en voiture dans le quartier. Je découvre mon université (l’Université de Montréal) qui est juste ENOOORME ! Au sens propre du terme. Puis il m’emmène faire mes courses chez Maxi & Cie, un supermarché discount, le moins cher du quartier Côte-des-neiges. Ils vendent plein de produits en format familial pas cher. Je pense que je n’achèterais plus de papier toilettes pendant au moins 3 mois !
L’après-midi, munie de ma petite doudoune et de mes bottines (pas du tout adaptées je tiens à préciser), je me mets au défi d’aller sur le Chemin de la Côte-des-Neiges. Kelly la Warrior n’a même pas froid ! Il y a un bus qui descend toute la rue mais je préfère marcher. Il faut penser à éliminer les repas des fêtes. Let’s go !
Il y a tout dans cette rue. Un tas de restaurants (vous pouvez manger dans un pays différent chaque jour). Aussi le dollarama qui est devenu mon meilleur ami. Vous y trouvez tout dedans : de la nourriture, de la déco, des ustensiles pour la cuisine… A moindre prix ! Il y a aussi un peu plus loin, juste en face du Maxi, le centre commercial Plaza, avec Walmart (un supermarché américain) et autres magasins de vêtements, chaussures… et la salle de sport Ecofitness (à 10$ par mois, je pense m’inscrire bientôt).
Fière de mon exploit de cet après-midi, je me suis rendue compte que cette rue était en pente. Et qu’il faut maintenant la remonter… Bravo Kiky !
Downtown Montreal
C’est décidé. Ma rentrée est jeudi. Il va neiger et la température va chuter à -15°. Pas question de subir. Il me faut un manteau et des bottes pour affronter ça. Direction le centre-ville. Je m’aventure dans le métro. Ici il n’y a que 4 lignes (orange, bleu, verte et jaune). Donc c’est assez facile de se repérer (bye la RATP !).
Je m’arrête à la station Bonaventure (je ne sais pas trop pourquoi). Et là… je me perds dans le RESO. Enfait c’est le réseau souterrain qui permet aux habitants de ne pas faire de shopping dans le froid. Je pense que seuls les experts peuvent s’y aventurer… Je marche en direction de la rue Sainte-Catherine. Ça change de là où j’habite. Il y a des grattes-ciels, pleins de bureaux, d’hotels… et de magasins ! Le centre-ville quoi.
Sainte-Catherine m’a semblé être le paradis. Je pense que seules les filles pourront comprendre. Zara, H&m, Victoria Secret, Forever 21, Little Burgundy… Non seulement réunis dans une même rue mais TOUS EN SOLDES ! Du calme Kelly, tu es venue chercher un manteau et des bottes. J’opte pour les timberlands, conseillées par une amie, waterproof et anti-dérapante, à 150 dollars avec taxes. Eh oui c’est un investissement à long terme…
J’oubliais. Ici, le truc un peu pourri, c’est qu’aucun prix n’est affiché avec les taxes. Il faut donc apprendre à calculer rapidement 15% de tête… ou se balader avec sa calculatrice !
Je me dirige ensuite vers Place Montreal Trust, Un grand centre commercial dont les ¾ sont en souterrain (comme la plupart d’ailleurs). Vraiment à l’Pour ce qui est du manteau, j’en ai trouvé un qui a l’air solide chez Zara, à 114 dollars. Espérons que la vendeuse ne m’ait pas menti…
Vous vous doutez bien que j’ai craqué après avoir visité le centre Eaton, juste à côté. Rien d’inutile je vous le promets ;).
La baie d’Hudson
Ce sont les galeries lafayette version MTL. Toutes les grandes marques s’y retrouvent.
Allons boire un verre
Trois endroits que j’ai testé jusque maintenant : le Saint-Houblon dans mon quartier, considéré comme le bar réservé à la maîtrise de l’Udem (soirées étudiantes assurées), le Peel, au centre-ville, qui est un bar sportif dans lequel ils diffusent généralement les matchs de hockey sur glace, le sport national (si vous n’aimez pas les endroits bruyants, passez votre chemin !) et finalement les 3 brasseurs où on peut vous proposer un fut de 5 litres de bières (5 variétés traditionnelles différentes de la blanche à la brune).
La Poutine
La poutine est le plat typique du Québec. Un plat de frite avec une sauce savoureuse dégoulinant sur de gros morceaux de fromage. Attendez la photo avant de saliver ! Il existe plusieurs variantes : avec bacon, saucisses, oignons grillés, peppéronis, végétarien…
THE PLACE to eat -> La Banquise ! C’est un endroit incontournable. Vérifiez la météo avant d’y aller, vous risquerez de faire la queue dans de mauvaises conditions !
Comment reconnaître un Québécois? Par son accent (oui ce n’est pas un mythe) et leurs injures tirées de la religion du christianisme très ancrée dans la culture canadienne (tabarnak tiré de tabernacle par exemple).
Le Vieux Port
Le quartier du Vieux Port est situé pas très loin du centre-ville. Le Port donne sur le fleuve Saint-Laurent. Sauf qu’en hiver, le lac est gelé… Du coup les canadiens y ont installé ne patinoire et le célèbre Igloofest (festival de musique électro tous les mois de janvier).
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Voila! J’espère que cet article vous a plus! Je suis ouverte à tous les commentaires.
Vous pouvez également suivre mes voyages sur mon compte snapchat : @Kiky_carter
Une nouvelle vie à MTL Cet article est un peu particulier. En ce premier jour de l’an, je ne prends pas l’avion en tant que touriste.
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La chance me sourit énormément ces temps-ci ! J’ai eu l’opportunité d’effectuer une mission en Ethiopie. Moi qui en rêvais depuis… C’est la terre de nos ancêtres, le territoire où l’on a trouvé Lucy, mais aussi une terre riche en culture.
Départ pour Addis-Abeba
Addis Abeba est la capitale de l’Ethiopie. Je pars de Paris avec la compagnie Ethiopian Airlines. Pour un billet aller-retour il faut compter entre 500 et 700 euros en basse saison et minimum 800 euros en haute saison (voyager en Afrique c’est toujours cher…).
On m’avait dit qu’Ethiopian airlines était l’une des meilleures compagnies africaines. Eh bien j’ai été bien déçue ! Plus de repas prêts au niveau de notre rangée (j’étais dans la première moitié de l’avion quand même), on a dû attendre environ 30 minutes après les premiers servis pour enfin remplir nos panses. Les hôtesses sont souriantes mais tête en l’air, j’ai dû demander 3 fois avant d’avoir mon verre de jus de pomme…
Arrivée à Addis
J’arrive au petit matin. Après une heure passée au comptoir pour avoir mon visa, le chauffeur de l’hôtel m’attend. J’ai réservé au Dreamliner, un hôtel 4 étoiles, qui semblait pas mal sur les photos. Il faut compter entre 80 et 90 dollars la nuit. Mais il y a des hôtels beaucoup moins chers, en tout cas vous avez le choix en fonction de votre portefeuille.
Je découvre un peu la ville à travers la vitre de la voiture. Il ne fait pas beau, nous sommes en pleine saison des pluies. Mais la ville a un charme particulier. Rien à voir avec les villes modernes et globalisées comme Nairobi, Luanda ou Abidjan. Non, la ville n’est pas très développée, il y a beaucoup de rues avec pleins de petits magasins en tôle, contrastés par de grands hôtels. C’était le cas pour ma rue.
Addis est comme la plupart des villes africaines: il n’y a pas de noms de rues, ou du moins très peu. Les habitants se réfèrent aux lieux les plus importants pour se repérer.
C’est une ville en pleine construction. Il y a des chantiers partout! L’Éthiopie est le seul pays africain à ne pas avoir subit de colonisation, en dehors de l’occupation italienne qui dura 5 ans. C’est le symbole de la souveraineté pour les autres pays africains. Cela explique aussi son retard de développement.
La monnaie ici est le Birr (pour vous repérer, 1 euro = 24 Birr environ). La vie est moins chère qu’en Europe, mais relativement chère par rapport à d’autres pays africains. Il existe également de fortes inégalités sociales.
Voila une petite présentation du pays. Poursuivons!
Dreamliner
A première vue, l’hôtel a l’air vraiment pas mal. Belle réception, bar, trois restaurants (indien, sud-africain que je vous recommande vivement, et buffet européen), un sauna, un business center. Ma chambre est très spacieuse avec un grand lit, équipée d’une télé avec un petit côté salon et un balcon qui donne sur un terrain abandonné.
Malheureusement tout n’était pas rose. Pendant toute ma semaine je n’ai pas eu d’eau chaude. Pas d’encre dans l’imprimante du business center (et ils ne vous proposent pas de solutions alternatives !). Pendant 2 jours de suite, le sauna ne marchait pas… bref, c’était assez illusoire.
L’Union africaine
J’ai passé mes 5 jours à travailler dans ces bâtiments. C’est un don de la Chine. C’est magnifique. C’est vraiment un monde à part. Ils ont tout à l’intérieur du site : commerces, clinique… ça renforce également le contraste de la ville entre modernité et traditions.
Vers la poste
Ici, c’est l’endroit où tous les touristes achètent leurs souvenirs. Il y a toutes sortes d’objets : robes traditionnelles, statuettes, foulards, tableaux, bijoux… Mais c’est assez cher. Si vous avez le temps, préférez une aventure dans les marchés locaux. A défaut, baladez-vous avec quelqu’un qui saura négocier pour vous.
Les éthiopiens parlent l’amharique, c’était la langue des premiers rois éthiopiens. Mais ne vous inquiétez pas, tout le monde parle anglais (ou presque!) car il est enseigné à l’école.
2000 Habesha
C’est un restaurant traditionnel. Je n’allais tout de même pas venir en Ethiopie sans tester les spécialités culinaires ! Il faut savoir que les éthiopiens sont très proches des indiens au niveau culinaire. Cela est dû aux relations commerciales de longue date.
Une des spécialités que j’ai pu tester est le Chikena Tibs. C’est de la viande (bœuf, agneau, poulet selon votre choix) marinée et épicée, servie sur un plateau avec un pain assez spécial qu’on appelle l’injera (un peu amer), avec de la sauce et du piment en accompagnement. C’est super bon, et ça se mange avec la main.
Dans le restaurant on a eu droit à un orchestre et une démo de danse traditionnelle assez sympa. Ils dansent beaucoup avec leurs épaules. C’est assez marrant.
En dehors de ça, vous avez énormément de restaurants, des genres de maquis, des bars et boites de nuit, traditionnelles comme modernes. L’économie de l’Ethiopie repose beaucoup sur le tourisme alors ils essaient de jouer à la fois sur les traditions et la modernité pour toucher un grand public.
J’ai testé le vin blanc éthiopien (oui ils font du vin !) et il est pas mal du tout ! Il plaira à mesdames.
Sheraton Hotel
C’est le meilleur hotel de la ville. Il est cher mais si vous en avez les moyens, ça en vaut vraiment le coup. Il est magnifique ! Je vous laisse apprécier les photos…
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Visite de la ville
Le dernier jour, vu que j’étais libre l’après-midi, j’en ai profité pour visiter un peu la ville.
Ça c’est le February Square. C’est la place où a eu lieu la grande bataille durant laquelle les ethiopiens ont vaincu les colons italiens
Entoto Mountains, une montagne au sommet de laquelle on peut voir toute la ville d’Addis
Shiro Meda est un marché au pied de la montagne où les touristes peuvent acheter des tenues traditionnelles beaucoup moins chères qu’en ville.
Voilà ! C’est ainsi que s’achève mon voyage ! Je n’ai malheureusement pas pu tout voir, car les endroits les plus beaux sont en dehors de la ville.
J’espère que cela vous a plu. Le prochain devrait être à l’étranger aussi ;)
Addis, au berceau de l’humanité La chance me sourit énormément ces temps-ci ! J’ai eu l’opportunité d’effectuer une mission en Ethiopie. Moi qui en rêvais depuis… C’est la terre de nos ancêtres, le territoire où l’on a trouvé Lucy, mais aussi une terre riche en culture.
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Rien de tel que de passer quelques jours dans le sud avec mes copines pour fêter la fin des exams…
Direction Bandol, une petite ville de la French Riviera, située entre Marseille et Toulon !
Nous avons réservé nos billets de train sur le site Ouigo pour 60 euros par personne (avec 10 euros de supplément bagages parce que vous savez bien que nous les filles et nos affaires…bref). Pour le logement, nous avons trouvé un appartement sur Air Bnb pour 475 euros les 5 jours, ce qui revient à moins de 80 euros par fille pour nous 6. Comment vous dire que l’appartement vendait du rêve sur les photos ! Chambre avec vue sur la mer, séjour bien éclairé, spacieux avec possibilité d’accueil de 7 personnes, cuisine équipée… Et franchement la réalité en était proche !
Embarquement à Marne la Vallée. Le train Ouigo est à l’heure. Pour l’aller, rien à dire. Les 3h30 de trajet sont passées plutôt vite, malgré les deux escales. Pensez également à prendre l’option prise électrique à 2 euros lorsque vous réservez vos billets sinon vous risquez de vous ennuyer…
Arrivée à la gare de Marseille Saint Charles
De Marseille nous devons prendre le TER jusqu’à Bandol qui coûte 8 euros pour les moins de 26 ans. Normalement ça met 45 minutes mais avec les grèves nous avons mis deux heures… Bref ! A la gare de Bandol on commande un taxi qui nous fera 15 euros jusqu’à la résidence Athena, où nous logeons.
A la maison !
Aussitôt les valises posées, nous restons scotchées devant la vue que nous offre l’appartement sur le port privé et sur la mer. Quel bonheur ! Nous sommes vraiment en vacances ! Il fait tard mais nous nous motivons pour aller à la piscine de la résidence (qui offre également une vue sur la mer !). L’eau était gla-cia-le par contre…
Jour 2 : Vamos a la playa
Mardi matin, nous nous mettons en route pour la plage de Renecros. C’est une des plus belles plages de la ville, située à deux pas du centre-ville. Pour y aller, il suffit de longer le sentier du littoral. Et franchement, la vue est EPOUSTOUFLANTE ! Les photos sont beaucoup plus parlantes…
C’est beau hin ?
Nous débarquons donc sur la plage, tongs aux pieds, prêtes à bronzer. La plage de Renecros est une plage de sable en U. L’eau était transparente (mais toujours aussi froide lol). Les plus téméraires ont osé la baignade… pas moi !
A midi nous décidons de déjeuner dans un des restaurants de la plage, celui du Golf Hotel. Pour un menu à 25 euros, j’ai eu droit à une assiette de saumon fumé en entrée, un plat de lasagnes de la mer et une tarte tatin en dessert. Ça peut paraître un peu cher mais c’était très bon en tout cas !
Petite précision : puisque nous sommes dans le sud, les fruits de mer sont au rendez-vous !
Jour 3 : El puerto
Le port de Bandol est tellement mignon ! Il y a tout plein de bars, restaurants, glaciers, magasins tout au long de l’avenue d’où vous pouvez admirer les bateaux. Au bout de l’avenue se situe le Casino (qui n’est pas beau d’ailleurs) et juste en face une cave ou vous pouvez retrouver de nombreux vins de la région, produits par des viticulteurs locaux. D’ailleurs, le vin local est le… Bandol ! comme la ville. C’est de ce vin qu’elle tire son nom. Il existe en blanc, rosé et rouge. Fin et fruité, je vous le recommande en rosé.
Nous avons testé le Tchin-Tchin Bar en soirée. Ils proposent une bonne cinquantaine de créations de cocktails fruités pour des prix entre 12 et 14 euros (bon rapport qualité/quantité/prix). Attention tout de même, les cocktails sont très alcoolisés… Il n’y avait pas grand monde puisqu’on était en moyenne saison, mais l’ambiance est plutôt sympa pour les jeunes. L’attente reste néanmoins un peu longue.
Jour 4 : L’île de Bendor
Cette île est située à 10 min en bateau de Bandol. La traversée coûte 13 euros en haute saison pour les adultes.
Cette île a été rachetée et entièrement aménagée dans les années 50 par Paul Ricard. Eh oui le célèbre créateur du Pastis a du goût ! Cette île est un art carrément ! Vous pouvez vous baigner sur la plage de l’Hotel Le Delos, siroter un verre dans un des bars, vous balader dans les jardins, admirer les différentes statues réparties sur l’île ou les villas provinciales, visiter le musée des vins et spiritueux… de quoi occuper toute votre après-midi !
De retour sur Bandol, nous décidons de dîner dans un des restaurants sur le port : Du Thym à l’Ail. Spécialités moules et pâtes. J’ai opté pour des moules marinières, qui étaient plutôt bonnes, accompagnées d’une assiette de frites. Ça m’a bien rempli l’estomac. Avec un dernier verre de Bandol j’en ai eu pour 20 euros tout rond. Mais bon… Il y a mieux comme restaurant quand même. La décoration laisse à désirer.
Jour 5 : le départ
C’est ainsi que s’achève notre séjour. Les grèves ont perturbé notre trajet du retour, notre train a été retardé de plus d’une heure mais nous avons été dédommagées par des bons d’achats pour nos prochaines réservations. En revanche j‘ai été assez surprise de l’état de propreté (ou plutôt son absence) du train. Déchets sous les sièges, toilettes inutilisables… Un petit ménage entre temps n’aurait pas été de trop !
Je vous laisse sur les quelques photos de la ville de Marseille que j’ai prises en attendant le train. C’est une ville assez mignonne, dommage qu’il y ait le contraste avec les immeubles HLM, les ordures qui traînent et les tags tous les deux murs (non ce n’est pas du tout cliché, c’est réel).
See you soon, pour un voyage au delà des frontières ;)
Mon séjour à Bandol, sur la French Riviera :) Rien de tel que de passer quelques jours dans le sud avec mes copines pour fêter la fin des exams…
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