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brut-journal · 10 years
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table & photo by Ariele Alasko 
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brut-journal · 11 years
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  Tel  un historien, il cherche à replacer le vêtement dans son époque pour le théâtre et le cinéma.Comme un passionné d'art qui contemple un tableau, il observe minutieusement les motifs, les boutons, la couture pour retrouver l'ADN de l'habit et c'est ici sur notre blog qu'il partagera ses découvertes.
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brut-journal · 11 years
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  Nick Cave and The Bad Seeds
Silhouette élancée et visage émacié, Nick Cave s'avance sur le plateau quelques instants après que ses mauvaises graines aient pris place derrière leurs machines de guerre et le théâtre entier plonge dans l'abysse. Durant près de deux heures, Nick Cave entraîne une foule asservie dans un bal sauvage ponctué de ballades romantiques et suaves, et on a soudain la sensation d'assister pour la première fois à un concert de rock. Les fauves se déchirent, les chiens aboient, mais tous sont domptés par la fureur du maître qui les bat et les caresse. Ce soir il était indubitablement ce badass mother fucker de Stagger Lee et la foule qu'il tenait au creux de ses mains longues et folles était Henry, priant pour que son père ne l'abandonne jamais.
Camille Melvil
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brut-journal · 11 years
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Avec le sang des autres.
Film documentaire historique de Bruno Muel décrivant le travail et la vie à l'usine chez Peugeot, 1974 "C'est dur quand tu as pas parlé pendant 9h tu as tellement de chose à dire que tu n'arrives plus à les dire. Les mots ils arrivent tous ensemble dans la bouche".
L'ouvrier résume ainsi l'usure physique et mentale du travail à la chaîne. On se lève Peugeot, on travaille Peugeot, on parle Peugeot, on vit Peugeot.
Pas de liaisons entre les quartiers : tout a été fait pour isoler et diviser les ouvriers.
La chaîne a ses maillons alimentés au supermarché . Les ouvriers sont des éléments interchangeables vidés de leur capacité en tant qu'entité. Peugeot ne s'intéresse pas à l'homme mais aux mains des hommes pour des mono-tâches. Mains difficiles à bouger après des années de travail.
Un ouvrier finit par dire "Au bout, il n'y a rien".
Un film poignant qui au delà d'une profonde critique du modèle fordisme, souligne les méandres de la société actuelle.
Aline Benchemhoun
© Slon-Iskra-Bruno Muel Production - 1974
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brut-journal · 11 years
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  Après un an d'étude à Rio de Janeiro, elle part une semaine à  Buenos Aires pour y rester deux ans. Elle traduit, écrit, filme et photographie des bribes d’Amérique du Sud. De retour à  Lyon, elle donne des cours en Infocom  à l’université lumière Lyon 2 et devient attachée de presse de Brut Clothing ce qui lui permet de voyager dans le temps.
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brut-journal · 11 years
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Le producteur Lyonnais Célœme nous offre un mix dansant et décadent en exclusivité pour Brut clothing. Pour rythmer vos douces nuits d'été rien de tel qu'un cocktail musical comme celui là ! En espérant que cette première collaboration avec Célœme vous fera vous déhancher. 
Paul.B
Tracklist : 
Prescript Sally Shapiro
Stranded Iron Curtis
Jaz Marcel Fengler
Garage Shelter (Tuff City Kids Remix) Jovonn
Every Inch (Deetron Remix) George FitzGerald
DSI Milton Jackson
Let's Ride Floorplan
Girls Can't Swim Alden Tyrell & Gerd
Loosey Goosey Juju & Jordash
Open Heart Four Walls
Avenido Tom Trago
Porc#2 Moderat
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brut-journal · 11 years
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Il est arrivé là par hasard ?
Certainement pas ! Sous sa plume, un flux de musique continu.
Ainsi, enveloppé de vie l'auteur évolue et partage ses passions.
La musique, l'architecture, l'être ensemble.
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brut-journal · 11 years
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Un grand bordel, des samples jazz, le tout sous un beat aérien et des phrasés de synthé bien travaillés.
C'est un peu un voyage dans l'antre sonore de ton grand père, le son craque, les souvenirs reviennent, la texture du son est intacte.
Merci au très productif producteur parisien ADJAK▲, actif aussi sous le nom de SNK▲.
Henri Guerin
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brut-journal · 11 years
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Dans un pays indéfini, à une époque indéterminée, le gouvernement a interdit la lecture et condamne la possession de livres. Une brigade de pompiers est chargée de détruire par le feu toutes les œuvres littéraires découvertes. L'un des pompiers, Montag, marié à Linda, ne se pose pas de question jusqu'au jour où il rencontre Clarisse, sosie de Linda, qui l'incite à dérober des ouvrages lors d'un autodafé. Montag comprend alors quel trésor contiennent les livres. Il lit en cachette et se révolte. Linda le quitte et le dénonce. Le capitaine des pompiers veut le contraindre à détruire ses livres. Il retourne le lance-flammes contre lui et ses anciens camarades, puis s'enfuit pour rejoindre Clarisse dans les bois, dans le domaine solitaire des "hommes-livres" : chacun d'eux connaît par cœur un ouvrage littéraire. Montag s'apprête comme eux à apprendre les "Aventures extraordinaires" d'Edgar Allan Poe.
1 .Table rase.
Fahrenheit 451 décrit une société qui a renié son passé. Elle brûle la sagesse et la mémoire des ancêtres contenues dans les livres. Elle se coupe de sa propre enfance en considérant les enfants comme des êtres indésirables nuisant au travail et à la vie de couple bien que nécessaires à la perpétuation de l’espèce humaine. Elle aseptise les désirs, source des rébellions, en encourageant les gens dans leur propre narcissisme (la jeune fille lèche son reflet de la vitre du tramway, Linda qui touche sa poitrine et son épaule à plusieurs reprises). La télévision maintient le niveau d’intellectualisation de la population. Ne pas avoir d’antenne devient anormal et suspicieux. Les programmes proposés poussent à l’intolérance envers les différences. François Truffaut décrit une société figée sans identité. Il montre une société où la tyrannie est celle de la ressemblance, une dictature douce qui s’effectue par le vide intellectuel. Son époque est même impossible à situer dans le temps et l’espace puisque aucune indication sur l’époque ou sur le lieu n’est donnée.
2. Banalité des décors.
François Truffaut a fait un choix au moment du tournage. Il voulait faire de la ville où se déroule l’action de Fahrenheit 451 un endroit à la fois familier et étranger pour le public. Traiter une histoire fantastique avec familiarité. Rendre les scènes banales étranges, et les scènes anormales quotidiennes. Ceci grâce à une utilisation des architectures et des espaces particulières. Ce monde paraît futuriste car rempli de nouvelle technologie comme le tramway « inversé », les téléviseurs muraux. Ces objets côtoient des objets aux allures anciennes (téléphones à cornets, et tapisserie des années 60). Certains détails nous montre de temps en temps que le monde décrit n’est peut-être pas si loin du notre. Aucun nom de pays n’est évoqué, aucune inscription n’est montrée. L’univers du film est impossible a situé.
3. La ville, la nature.
L’action se situe dans une ville où les architectures construites peuvent être en majeurs parties être qualifiés de modernes. Des formes simples et fonctionnelles occupent l’espace. Certaines scènes montrent des grands ensembles, peut-être de logements sociaux. On retrouve dans le film certains points important du modernisme. Une rupture avec le passé, notamment avec le néo-classicisme et l’éclectisme du 19ème siècle. L’utilisation de nouvelles technologies, de nouveaux matériaux, utilisation d’éléments préfabriqués standardisés. Ces notions et points importants du modernisme sont présents dans l’oeuvre cinématographique de François Truffaut. L’idéologie du groupe de résistance montrée dans le film, rejoint les idées des « détracteurs » du modernisme. Ils mettent en avant le manque d’humanisme. Le pouvoir politique de la société décrite dans le film dénature l’humain, le fonctionnalisme le rend stupide et inconscient de ce qui l’entoure, le fait de revenir à l’histoire de l’humain et sa conscience, de lire, fait comprendre au personnage principaux la stupidité et la absence d’identité des humains qui l’entoure. L’homme se tourne alors vers la nature. La nature est le décor le plus fascinant du film (souvent rare dans un film classique de science-fiction). L’homme, afin de renouer avec sa conscience personnelle, il doit retrouver la nature, la faune et la flore. Celle-ci est reléguée au simple statut de beau décor dans cet univers où les apparences comptent pour beaucoup, certes, mais le symbolisme de cela est tout de même à prendre en compte. Elle représente un retour aux valeurs matérielles primitives, même si les « hommes-livres » ne se séparent pas encore de la télévision. L’image de fin montre que la société dans laquelle ils vivaient les dénaturé à vie même si ils se sont rebellés pacifiquement. Dans ces derniers plans, les hommes et femmes marchent récitant les oeuvres littéraire appris par coeur, il n’y a toujours pas de contact entre eux où d’affections. Ce sont devenu des hommes livres au sens propres du terme, un objet racontant une histoire.
On peut rapprocher la société raconté dans le film à un mouvement moderniste extrémiste. L’homme est devenu esclave du fonctionnalisme. Sans personnalités. Une absence d’identité, où la tyrannie de la ressemblance règne. La totalité de la population vit de la même façon. Les maisons se ressemblent. On nie le passé et place l’être humain au centre d’une réflexion qui amène à l’extrême, oublier.
Clement Ferrini
Film Anglais de François Truffaut (1966) Scénario : François Truffaut et Jean-Louis Richard d’après le roman de Ray Bradbury. Directeur de la photographie : Nicholas Roeg. Musique : Bernard Herrmann. Production : Vineyard Films Ltd. Avec Julie Christie (Linda et Clarisse), Oskar Werner (Montag), Cyril Cusak (le capitaine), Anton Driffing (Fabian), Jeremy Spencer (l’homme à la pomme). Durée TV : 1 h 52 min
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brut-journal · 11 years
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Enfant, il s'amuse à faire de l'escalade entre les rayonnages du surplus militaire de son grand père.  Dans un esprit de synthèse -  passionné de cinéma et futur architecte - il créa la marque Brut-Clothing.
Sur le blog il rédige tel un électron libre des articles dans les différentes rubriques.
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brut-journal · 11 years
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Les boutons de vénerie agrémentent depuis le XVIIIe siècle les uniformes de chasse. On les retrouve sous des formes diverses et variées bien qu' ils représentent dans la majorité des cas des animaux. Sur une veste il n'est pas rare de constater que chaque bouton représente un animal différent. De très bonne facture ces boutons deviennent très beaux en s'usant.
Paul.B
Voici un échantillon depuis notre atelier.
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brut-journal · 11 years
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Michel Houellebecq – Configuration du dernier rivage
Le dernier recueil de Michel Houellebecq intitulé Configuration du dernier rivage perpétue et sublime les grandes lignes de son œuvre. Le désespoir, le dégoût et le néant sont toujours, et presque plus que jamais, là, mais ils sont portés par un lyrisme et un romantisme mélancolique déchirants. Pressée entre la solitude et la douleur, la poésie de Houellebecq s'extirpe avec peine mais endurance des abysses, jusqu'à atteindre des sommets de beauté où la simplicité le dispute à l'évidence, comme dans ces quatre vers issus de La possibilité d'une île :
« Et l'amour où tout est facile,
Où tout est donné dans l'instant
Il existe au milieu du temps
La possibilité d'une île »
Poursuivant dans Configuration du dernier rivage le travail entamé avec Le sens du combat, Rester vivant (…), Michel Houellebecq manie avec une dextérité déconcertante la matière poétique brute et l'orchestre dans des alexandrins qui transfigurent et transcendent le sujet, un quotidien sombre et lourd « traversé çà et là par de brillants soleils » (Baudelaire).
Camille Melvil
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brut-journal · 11 years
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Au milieu des tours de la porte d’Ivry,  Didier FIUZA FAUSTINO, a construit la plus petite.
1SQMH, 1m2/17m de 4 étages. Au premier les toilettes, deuxième salon, troisième chambre, quatrième cuisine et au dessus espace en plein air, rêve de tout citadin bien constitué. A Tokyo, l’espace est compté en tatami. Didier Fiuza Faustino illustre ainsi l’absurdité et la folie que les architectes ont développée avec la réduction de l’espace et l’accroissement de la population urbaine.
Folie des architectes qui construisent des détraqués qui vivent dans des espaces étriqués et angoissants.
Des open space au travail, des appartements miniatures mais un balcon pour respirer.Le projet 1SQMH devient l’enfer sur terre.
Paul Benchemhoun
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brut-journal · 11 years
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  H.B.T : HerringBone Twill.
  Cette dénomination technique désigne un type de tissage en forme de V bien particulier.
Ce nom "Herringbone" lui a été donné car le tissage forme un motif qui s’apparentait à des arrêtes de Hareng. Littéralement en anglais herring signifiant hareng et bone arrête.
En effet ce tissage crée un motif en zig-zag facilement reconnaissable. Ce tissage à motif est principalement utilisé dans le travail de la laine. Les vêtements en tweed sont également souvent tissés de cette façon. L'armée américaine, notamment pendant la seconde guerre mondiale, utilisa beaucoup ce tissage avec du coton ce qui donnait des vêtements d'une grande résistance. Des vêtements de travail par la suite ont été également confectionnés selon cette méthode.
Paul.B
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 1-2-3 Tissus de l'Us army (1942-1945), l'image trois est un tissus HBT camouflé appelé Guadalcanal réglementaire dans les combats du pacifique.
4- Bleu de travail Adolphe Lafont
5- Veste Harris Tweed
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brut-journal · 11 years
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      MORSURE ESTIVALE 
Si le soleil tarde, en cette fin du mois de Juin, à imposer franchement ses températures caniculaires, le rituel du début d’été reste inchangé. Quand arrivent les beaux jours et les aprems piscine-BBQ, on se prend à rêver de surf, de cabriolet roulant vers l’océan et de chill ensoleillé sur les plages de Venice…
Qu’on se le dise, les meilleurs animateurs musicaux de cette rêverie générale répondaient au doux nom de Beach Boys … coïncidence ? Les garçons de plage ont beau ne pas avoir pris une ride, la jeune génération pousse fort derrière. C’est dans le garage rock ou le rock indie que l’on trouve les plus sérieux prétendants au titre de King of the Beach.
Pour ceux qui salivent déjà en attendant leur cornetto, je vous conseille de vous reporter sur des groupes tels que Wavves, King Tuff, Black Lips ou encore Girls Names. Mon exposé d’aujourd’hui concerne un autre groupe de cette mouvance crème solaire : les biens nommés Surfer Blood.
Après un premier album très réussi, Astro Coast (2010), ainsi qu’un EP, Tarot Classics (2011), Surfer Blood nous revient aujourd’hui avec un 2nd album studio. On dit souvent que le 2nd album doit être celui de la consécration et de la maturité. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la bande de John Paul Pitts réussi son passage dans l’âge adulte là où beaucoup d’autres se sont pris la marche dans les gencives (Kikou les Klaxons !).
Si d’un point de vue formel, Pythons et Astro Coast sont très semblables (35 minutes et 10 chansons), le groupe ne s’est pas contenté de copier-coller son 1er album. On sent plus de puissance et de réflexion chez le Pythons que chez le Surfer insouciant au sang chaud.
Attention ! Réflexion n’est ici pas synonyme de somnifère et d’encéphalogramme plat. Le groupe démarre très fort sur les 7 premières chansons, l’album s’ouvre d’ailleurs sur le titre au nom évocateur : Demons Dance. Des titres tels que Weird Shapes, Squeezing Blood ou encore Say Yes To Me assurent le show et entretiennent un flux constant d’énergie positive et électrique. Le rythme endiablé retombe à partir de Needles and Pins, l’album s’achève sur Prom Song : Terminé, bonsoir !
En définitive, Pyhtons est un album très efficace qui contentera largement les fans de la première et saura séduire les sceptiques. Longue vie au surf, aux requins et au Garage Rock. Enfin, si l’été pouvait se pointer pour de vrai, poser son transat et réchauffer tout ça… THAT’D BE GREAT !
  Théo. M
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brut-journal · 11 years
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Tropic nostalgy. Sous le flot de basses profondes, un beat 80's, une mélo mélodie du paradis perdu. Mythe de l'arcadie très bien interprété par le talentueux beatmaker belge Ssaliva .
  Henri.G
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brut-journal · 11 years
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  Alex Maclean, pilote, architecte, urbaniste,  nous révèle un monde vu du ciel. Une vision macro qui donne à voir et comprendre l'architecture et le lien parfois conflictuel entre l'homme et la nature. Des toits, des piscines, des échangeurs autoroutiers, des parcs d'attractions...
www.alexmaclean.com
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