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Purgatoire
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By Miou miou
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c-comme-chat · 5 months ago
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c-comme-chat · 6 months ago
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Small Green Awlet (Burara amara), family Hesperiidae, Viet Nam
Photograph by butter_kim_fly
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c-comme-chat · 7 months ago
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Anna Akhmatova, “The Sentence”
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c-comme-chat · 8 months ago
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— Renée Vivien, tr. by Mary Ann Caws, from "The Ransom,"
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c-comme-chat · 8 months ago
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— via knjfedog
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c-comme-chat · 9 months ago
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Je suis la, assise devant l'eau qui coule. Au bord du fleuve. J'aimerais que tu voies ce que je vois, que tu ressentes ce que je ressens. J'imagine le calme, la sérénité, de savoir que tu contemples mon visage pour t'en souvenir comme d'un instant de ta vie. Ce paysage c'est tout ce que j'ai la tout de suite, et il a tes formes, il porte ton rire, ton expression, dans toutes ses perspectives. L'eau glissante dans le lit de la Seine, c'est comme le temps qui s'arrête quand on se touche. Il y a l'éternité dedans. Le pendant, l'avant, l'après. Ce paysage il a ton mystère, il est la devant mes yeux a portée de regard, mais il garde toutes ces profondeurs, ces reliefs qui paraissent si lointains que je ne peux les atteindre que par le rêve. Alors j'imagine, des histoires, toi et moi, dans ce bois, mes bras t'enlaçant, tes bras. Mon flanc que tu effleures, et qui s'éveille. Ton regard dans mon regard, je sais. Et même si on pouvait, revenir en arrière. Est ce qu'on y arriverait?
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c-comme-chat · 9 months ago
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Love is like a horror show. Why not see? That greedy monster? Closer, closer, closer. Oh it bites your head ! That might be why everyone behind the screen was screaming, RUN !
Thought it was just the echo of my own fears.
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c-comme-chat · 9 months ago
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A quoi bon? Tu ressembles à un rêve, envoyé des étoiles. On pourrait se rencontrer au milieu du ciel, atteindre le nirvana, tous les deux.
En même temps.
Toute la nuit et pendant l'aube.
Au crepuscule.
Mais au jour d'après, les mêmes arbres morts, la même terre noire et le même sang se reprendront sur ma réalité. Ils prennent racine en mon coeur.
La même terreur grandira sous mes pieds, rêveurs. Incapables, ni de faire marche arrière, ni de se battre. Ils déambulent, marchant vers l'enfer, décidés, à y trouver ce qu'ils ont toujours cherché.
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c-comme-chat · 10 months ago
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Passe temps, écrit en Novembre 2018, retour d'Australie. Jamais fini.
J’ai pris conscience récemment de l’effet du temps sur les souvenirs. Quand on croit en l’instant, comme à une religion, on a tendance à trouver dans ce point de vie, dans cette fraction de mesure, l’éternité. Comme toute religion peut-être, en tout cas dans mon cas, il y a un temps pour la ferveur, le mythe, l’utopie, et puis un temps pour la désillusion. J’ai donc réalisé que l’instant n’était pas plus magie que la magie qu’on y percevait, que j’étais la magicienne capable de rendre mes instants mystiques, puis éternels.
D’où l’idée d’écrire. Je traverse l’une de ces périodes si rationnelles, où tout semble mécanique. Le temps ne semble être réduit qu’au Tic-Tac d’une montre suisse ou au va et vient hypnotique d’une horloge. Ma vie ne semble être qu’une marche oisive suivant scrupuleusement un « schéma social », essayant de mettre en pratique une théorie apprise dans le « Manuel du Bon Citoyen du XXIe siècle». Et mes souvenirs, mes souvenirs, j’aimerais m’en souvenir, en retrouver les émotions, les leçons de vie.
Dans ma chambre, à St Kilda, quartier de Port Philip, près de Melbourne. J’aime ce nom, c’est aussi celui de ma meilleure amie d’enfance, Coline Philip. Quelque chose de familier dans cet endroit, qui n’a pourtant rien à voir avec aucun des endroits où j’ai pu vivre avant. Mais c’est là que pour la première fois depuis des mois, j’ai une chambre, l’amour, mes affaires dans des placards, un tram pour aller au travail et faire les courses, une presque routine.
A l’exception prête que c’est une routine « d’immigré », pas de famille ou vraiment d’Amis, et que je suis incapable de garder un travail plus d’un mois. Non pas parce que je ne veux pas, mais parce que les conditions de travail ne sont pas habituelles pour moi. Premièrement, c’est beaucoup d’effort pour peu de retour, que ce soit financier (peu d’amusement donc), ou en termes de satisfaction personnelle. D’autre part ces emplois « casual » n’offrent aucune sécurité, on se fait renvoyer par un claquement de doigt, l’employeur est roi, mais lorsque l’on souhaite démissionner car l’environnement de travail nous rend la vie impossible, on peut ne pas être payé grâce à une simple close dans le contrat que bien sûr on a signé. Avec tout ça, on doit toujours venir au travail (un jour malade et c’est le renvoi) et être force de positivisme au sein de l’équipe afin d’entretenir le mensonge des employeurs, qui tend à faire croire qu’ils proposent tous le meilleur emploi de l’agglomération de Melbourne, pour mieux dissimuler la meilleure arnaque.
Ayant enfin terminés mes 5 ans d’études à Paris dans une autre routine assez angoissante également par son absurdité, me voilà, après 10 mois de voyage, de réponses et d’aventure, replongée dans la froideur et l’anonymat de la Ville. Le point positif, c’est que j’ai désormais le temps, pour me remémorer, ces petits morceaux d’éternité que sont mes souvenirs.
I. La décision
La décision était prise depuis 1 an, quand j’arrivai enfin au terme de mon contrat d’alternance avec l’entreprise ASSA ABLOY, leader mondiaux de systèmes d’ouverture (et fermeture attention) de portes. « Tintintinnn », aurait ajouté Renaud. Une belle proposition m’est alors offerte par le Directeur des Ressources Humaines, un alsacien dont l’humour restait assez incompris par la majorité des employés de l’entreprise, mais heureusement, quelques âmes détendues et tolérantes (en apparence du moins) dont moi-même, appréciaient. Cet homme donc, me le rendait bien et me proposa un Contrat à Durée Indéterminée, objet se faisant de plus en plus difficile d’obtenir de nos jours, et qui donne des tas de pouvoirs dans la société de consommation, comme avoir un crédit ou deux, ou trois, et aussi faire vraiment partie de l’Entreprise, de l’Équipe.
Ma décision de partir à l’étranger, autrement dit de fuir la société de frustration, était donc remise en question par ce qui me semblait être la question clef de mon existence : Faut-il ou non que je me conforme ? Tenter autre chose était terrifiant. Je pensais m’exposer à des regrets, des dettes, le désespoir de mes parents, l’indifférence de mes amis, l’échec. Je demandai donc bien sur l’avis de mes parents, de mes amis, plus pour me rassurer que pour vraiment influer sur ma décision. A ma surprise, ils me dirent tous de partir, comme s’ils avaient envie de me voir expérimenter ce qu’ils ne pouvaient pas faire puisqu’ils avaient, eux, choisi le CDI et la conformité. La différence, c’est qu’ils pensaient être heureux, je pensais être malheureuse. Pourquoi ce doute alors, la peur me tenait, j’étais terrorisée à l’idée de partir pour échouer, devoir revenir et faire face à la difficulté de trouver un travail, me remémorer mes choix et les regretter. J’avais en fait peur de tout ce dont tout le monde parle à la télévision, en soirée, cette peur de notre temps qui passe pour la normalité et qui se communique par le stress bien souvent. Plus que la peur du chômage, ou de vivre chez ses parents ou de manquer d’argent, la vraie peur c’est celle de l’anonymat. Être le petit perdant, celui qui passe inaperçu pendant que les autres sont occupés à consommer, à montrer, à s’occuper frénétiquement pour oublier l’absurdité de leur existence, ont un agenda, « une vie », et n’ont pas le temps de se préoccuper de ceux qui n’ont pas pris le train à l’heure.
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c-comme-chat · 11 months ago
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Le pourfendeur du vide.
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c-comme-chat · 11 months ago
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Don't tell them
Keep it for us
Don't ask them if we re right or wrong
Heart knows the whys and the whens
Like two birds we might crash
But please let us fly
So don't tell them
Keep it close to your soul
Cherished mystery
Nothing counts from now on
Cause it's all here
Floating feathers
What s for tomorrow?
I dont really care
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c-comme-chat · 11 months ago
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I forgot again to put cream on my hands
My skin's ripped off
You can see my bones
I forgot again to take care of my self
I ll just let the sun burn and heal everything
Just inhale the pain
And as I exhale
I will go away
Evaporate
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c-comme-chat · 11 months ago
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Ton vrai visage c'est ma souffrance
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c-comme-chat · 11 months ago
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Tu ne pouvais pas supporter
Mon été
Tu devais
Me préparer
A l'hiver
C'était ta façon ton gré
De Me montrer
La face cachée
De toute vérité
La nuit est bien tombée
De façon prolongée
C'est la que je t'ai trouvé
Plus que jamais
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c-comme-chat · 11 months ago
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Aujourd'hui j'ai partagé un baiser avec un mec dans la rue.
Un mec drôle, beau, blond, des yeux transparents, faits de ciel et de quelques gouttes d'alcool.
J'étais au volant de ma voiture, tu étais sur le trottoir. Le camion devant moi s'est arrêté, des mecs d'Emaus je crois. Ils ont descendu leur canapé du camion et pendant ce temps, n'en revenaient pas de la scène qu'ils avaient provoquée.
Les détails de ce qu'on s'est dit et de ce qui a mené à ce baiser, c'est pour toi et moi seulement... magique.
Ensuite j'ai paniqué et j'ai redémarré, juste après. Volé, envolé.
Mais quel moment épique. Entre un bonjour et un aurevoir. Je suis ravie qu'il ait fait chaud, que j'aie eu la fenêtre grande ouverte, que le camion se soit arrêté, que tu aies été là, sur ce trottoir, tes lèvres gout bière.
Le destin tremble de peur, devant la désinvolture.
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c-comme-chat · 11 months ago
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Je me suis levée
Avec une certaine motivation
Mais motivation incertaine
J'ai pris le temps de choisir quoi
Ingérer et porter
Me retourner me regarder
Plus de cigarettes
Plus de café
Seulement de temps en temps
Situations de crise
Les bulots sont marinés
C'est leur élément naturel
D'ou je les ai sortis
Pour les y replonger
Le sable n'est pas encore chaud il est tremblant sous mes pieds
Je marche jusqu'à la plage
Dans l'eau j'ai failli me noyer
Ça ressemblait a l'amour
Je ne sais plus faire d'apnée
parce que j'ai peur
J'ai regardé les autres
Etre super et rieurs
Et j'ai eu envie de pleurer mais l'eau est deja salée
Un coup de soleil un mal de coeur
Ça n'intéresse personne alors
J'ai du l'écrire pour le dire
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c-comme-chat · 11 months ago
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Everybody is depressed around me
When is it going to end
When are we going to be happy
We are all so funny
But then we cry when we re alone
And we wonder why we are still here, what's the plan for us
Or for anyone
Is there something we didn't get or is it just the point of this gigantic joke
Like the blue flamingo. Wish it was blue.
And I wish I d had some blueberries
To remember the days when it was all so simple
But they don't grow in April.
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