http://chiropratiquesillery.ca Centre Chiropratique à Sillery , Ste-Foy, Québec. Depuis 1977, le Dr Louis-Philippe Morin prodigue des soins chiropratiques professionnels pour aider les gens souffrants de différents symptômes à récupérer leur santé. Avec une expertise de 35 années en Chiropratique, le Dr Louis-Philippe Morin en a vue des conditions et des variétés de problèmes. Que ce soit pour des problèmes musculo-squelettiques (tels :maux de têtes , douleurs au cou ou à la nuque, problèmes de dos, torticolis, hernie discale ,etc ) ou des problèmes neuro-végétatifs (tels : otite ,troubles de sommeil et de concentration, nervosité angoisse ,asthme, fatigue, problèmes de digestion ,etc ), les soins chiropratiques du Dr. Louis-Philippe Morin pourront vous aider à retrouver votre santé. Raisons de Consulter la clinique du Chiro Louis Philippe Morin à Québec Il y a plusieurs raisons pour utiliser les services d’un chiropraticien, soit : 1. Récupérer sa santé en guérissant de manière naturelle 2. Améliorer sa santé 3. Optimiser son énergie
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - La gratitude : Voici comment l’intégrer à votre quotidien en 2023
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La gratitude : Voici comment l’intégrer à votre quotidien en 2023
Qu’on le veuille ou non, le passage vers la nouvelle année nous apporte son lot de réflexions. Rares sont ceux et celles qui n’ont aucune pensée sur les 365 derniers jours et qui ne pensent pas aux 365 prochains. Bien que nous ayons une tendance à délaisser les traditionnelles résolutions pour laisser place à la pleine conscience et la liberté, laissez-nous vous proposer une nouvelle façon de vivre la nouvelle année. Dans cet article, vous découvrirez à quel point la gratitude pourrait contribuer à votre bien-être, toute l’année durant.
Vivre en pleine gratitude 365 jours par année, c’est possible
L’une des plus grandes propagandes de l’ère actuelle est que vous devez ensevelir votre famille de cadeaux afin de rendre la période des Fêtes mémorable, ce qui est totalement faux.
Plus que jamais, la simplicité et l’appréciation prennent une place importante dans cette période de l’année. La gratitude est donc une pratique qui pourrait faciliter la transition vers ce mode de vie plus simpliste.
La gratitude est une forme de reconnaissance envers une personne, une situation ou un événement en particulier. Par sa présence dans le quotidien, elle permet une connexion positive et directe avec les émotions.
Pratiquée sur une base régulière, la gratitude peut avoir des bénéfices sur différents aspects de la vie :
La gratitude peut améliorer le bien-être global en diminuant le stress
La gratitude peut avoir un impact positif sur le rapport à l’alimentation lorsqu’on apprécie ce qu’on a dans notre assiette.
La gratitude aide aux relations interpersonnelles en les rendant plus simples et sincères
La gratitude peut avoir un impact sur la régulation du rythme cardiaque
La gratitude pourrait également jouer un rôle sur l’amélioration de la douleur
Intégrer la gratitude dans son quotidien : un jeu d’enfant
Puisque la gratitude se veut être un état de reconnaissance et de bien-être, sa pratique ne doit pas être complexe. Vous pouvez l’intégrer dans votre quotidien de plusieurs façons :
1. Tenez un journal de gratitude
Chaque jour, prenez l’habitude d’écrire ce pour quoi vous avez de la gratitude : votre relation avec votre conjoint, l’amour de votre travail, le toit sous lequel vous vivez. Vous préférez le dessin? Laissez donc aller votre imagination en mettant vos pensées en images!
Afin d’intégrer plus facilement cette pratique à votre quotidien, fixez-vous un moment de la journée qui y sera consacré. Les habitudes se créent par répétition. Vous ne souhaitez pas le faire chaque jour? Pas de problème, allez-y selon l’émotion que vous vivez.
2. Développez le mode de pensée gratitude
Si vous êtes sensibilisé à la gratitude, il vous sera facile de l’intégrer à différents moments de la journée simplement en prenant conscience de ce que vous vivez.
Un repas en famille à discuter de ce que vous avez aimé de votre journée
La visite d’une amie de longue date
La première neige qui tombe
Les premiers pas de votre enfant
3. Intégrez votre moment de gratitude dans une période méditation
La méditation étant présente dans le quotidien de plusieurs, pourquoi ne pas accorder une partie de la séance à la gratitude? Une fois en position, prenez quelques respirations et pensez à ce en quoi vous avez de la reconnaissance. Ne serait-ce que de vous accorder le temps de faire cette séance.
4. Partagez votre état de gratitude
La gratitude s’intègre dans un mouvement commun de bien-être. Partagez votre état d’esprit. N’ayez pas peur de dire que vous avez de la gratitude, surtout en présence de vos enfants. Ce n’est pas nécessaire de dire que vous avez de la gratitude pour telle ou telle chose. En mentionnant que vous vous sentez bien d’être en présence d’eux, par exemple, ils comprennent votre état d’esprit et saisissent le message derrière vos paroles. Ils prendront l’exemple sur vous par la suite, et votre lien affectif sera encore plus fort.
La gratitude en détail
Les bienfaits de la gratitude ont été abordés d’entrée de jeu dans ce texte. D’une façon plus approfondie, voici ce que plus de 50 études scientifiques ont démontré face à cette pratique :
La tenue de 5 minutes par jour d’un journal de gratitude (voir plus haut pour vous rappeler ce que c’est) améliorerait de 10% le sentiment de bien-être à long terme. Bien que le temps investi soit minime, le sentiment procuré lors de la rédaction du journal persiste dans le temps. Plus on se retrouve dans un mode de gratitude, plus les pensées de gratitude viennent rapidement, plus elles sont nombreuses et restent dans notre esprit.
Atteindre un état de gratitude quotidien peut prendre quelques mois à se mettre en place, mais procure des avantages à long terme. Pour cette raison, la pratique doit être faite sur une base régulière. Il faut premièrement développer l’habileté et le réflexe de la voir et la ressentir. Deuxièmement, certaines personnes ont plus de facilité à voir les éléments de gratitude que d’autres. Pour cette raison, ceux qui ne la voient pas toujours peuvent avoir besoin de plus de temps pour la ressentir au quotidien. Qu’à cela ne tienne, car le cerveau apprend par répétition, alors chacun pourra y trouver son compte à son propre rythme.
La gratitude est contagieuse Comme mentionné plus haut, les enfants exposés à la gratitude sur une base régulière développent la capacité à la voir plus facilement. Selon 2 études, les gens ayant un état de gratitude supérieur à 10% de celui de la population moyenne ont démontré avoir un capital social plus élevé de 17,5%. Sommairement, cela nous rend plus positifs, attire les gens vers nous, nous rend plus appréciés et améliore les relations interpersonnelles (famille, amitié, mariage).
La gratitude réduit le matérialisme Selon certains, le matérialisme réduit le bien-être général. À la base, il n’y a rien de mal à en vouloir “plus” pour certaines raisons. Cependant, le matérialisme réduit le sentiment d’appréciation envers ce que nous possédons, engendre des émotions plutôt négatives et nous pousse à nous centrer sur nous-mêmes pour en vouloir davantage. Là est la ligne à ne pas traverser. Tout le monde sait que le bonheur ne se retrouve pas dans la grosseur d’une maison ou la valeur d’une voiture!
Quoi de mieux que de pratiquer la gratitude pour que les 365 prochains jours soient ceux qui vous rejoignent le plus, n’est-ce pas?
Sources, telles que consultées le 17 décembre 2022 : https://www.happierhuman.com/benefits-of-gratitude/
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - La hanche : problèmes communs et solutions efficaces
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La hanche : problèmes communs et solutions efficaces
La hanche fait partie des articulations les plus sollicitées du corps humain. Considérant qu’un humain fait en moyenne 10 000 pas par jour, il va de soi qu’elle doit fonctionner adéquatement afin d’assurer une santé optimale pour le présent, mais aussi pour le futur. Dans cet article, vous découvrirez les conditions qui ciblent le plus souvent la hanche et apprendrez comment pallier leur présence.
La hanche, une articulation synoviale
En gros, le corps humain est constitué de plus de 300 articulations qui sont divisées en 3 catégories différentes :
1. Les articulations synoviales (mobiles)
Ce type d’articulation est celui auquel on pense en premier et la hanche en fait partie. Les articulations synoviales sont constituées comme ceci :
L’extrémité de 2 os adjacents (ex.: pour l’articulation de la hanche, il est question du fémur et du bassin)
Du cartilage qui recouvre l’extrémité des 2 os
Une capsule articulaire qui englobe les extrémités des 2 os
Une membrane synoviale qui tapisse l’intérieur de la capsule articulaire
Du liquide synovial qui est compris à l’intérieur de la membrane
Des ligaments qui entourent et stabilisent l’articulation
Évidemment, les articulations mobiles, comme leur nom l’indique, sont mobiles. Elles permettent généralement un mouvement dans plusieurs axes, qui sera de plus ou moins grande amplitude selon la région.
Exemple : Le genou ne permet pas une grande amplitude de mouvement en rotation, contrairement à l’épaule et la hanche, qui elles, oui.
2. Les articulations cartilagineuses
Ce type d’articulation permet un mouvement moins important que le type d’articulation synoviale comme la hanche est constitué comme ceci :
L’extrémité de 2 os adjacents OU 2 parties d’un même os en raison d’une plaque de croissance
Présence de cartilage entre les 2 structures osseuses
Ce type d’articulation ne présente aucune cavité articulaire ni liquide synovial.
Vous comprendrez que lorsqu’il s’agit de 2 parties d’un même os en raison d’une plaque de croissance, le mouvement ne doit pas être important. Le cartilage n’est que temporaire et laisse place à une articulation complètement fusionnée une fois la croissance terminée.
Les articulations cartilagineuses comprennent celles-ci :
Symphyse pubienne
Articulations discales (intervertébrales)
Articulation sacrococcygienne
Articulation costosternale
3. Articulations fibreuses
Les articulations fibreuses ne sont pas mobiles, ne présentent aucune cavité articulaire et n’ont pas de liquide synovial. Elles sont composées comme ceci :
2 os adjacents
Tissu fibreux qui relie les 2 structures osseuses
Les sutures crâniennes représentent le meilleur exemple d’articulations fibreuses. Pendant l’enfance, les os crâniens sont reliés entre eux par du tissu fibreux, qui, à l’âge adulte, sera remplacé par du tissu osseux qui indiquera la fusion des os les uns avec les autres.
Les grandes amplitudes de mouvement de la hanche
Comme mentionné précédemment, la hanche fait partie des articulations synoviales et permet plusieurs types de mouvements :
Rotation interne
Rotation externe
Flexion
Extension
Abduction
Adduction
Circumduction
En conséquence, la hanche, de par sa grande sollicitation au quotidien, nécessite une fonction adéquate.
Les conditions susceptibles de toucher la hanche
Différentes conditions peuvent toucher la hanche. Certaines peuvent être d’origine congénitale, découler de troubles posturaux, être associées à une surutilisation et être secondaires à une blessure/traumatisme. En conséquence, lorsqu’une douleur survient, il est essentiel de faire évaluer l’articulation par votre chiropraticien.
Conditions d’origine congénitale à la hanche
Malformation osseuse
Legg Calve Perthes (dysplasie congénitale)
Asymétrie de la longueur des jambes
Conditions à la hanche liées à des troubles posturaux
Tendinite (fessiers, tenseur du fascia lata, adducteurs, abducteurs)
Bursite trochantérique
Subluxation coxo-fémorale (de la hanche)
Les troubles posturaux peuvent comprendre une mauvaise posture assise à l’ordinateur, une mauvaise posture de sommeil ou une mauvaise posture au travail debout.
Conditions ciblant la hanche en raison d’une surutilisation
Tendinite (fessiers, tenseur du fascia lata, adducteurs, abducteurs)
Bursite trochantérique
Les sports comme la course, le jogging, le vélo, la marche, le soccer et le tennis peuvent contribuer à causer l’apparition de ce genre de conditions. On pense souvent à une mauvaise pratique du sport, mais la surutilisation et le mauvais équipement (ex.: mauvaises chaussures, vélo mal adapté) peuvent avoir un impact également.
Les conditions à la hanche secondaires à une blessure/traumatisme
Séquelle de fracture créant un déséquilibre biomécanique
Ostéoarthrose coxofémorale (de la hanche)
Tendinite (fessiers, tenseur du fascia lata, adducteurs, abducteurs)
Bursite trochantérique
Pallier aux conditions ciblant la hanche
La mission principale du chiropraticien est d’optimiser la santé de la communauté. Avec son doctorat de premier cycle en chiropratique, il est en mesure d’évaluer, émettre un diagnostic chiropratique, offrir un traitement chiropratique adapté et émettre des recommandations en lien avec les conditions neuromusculosquelettiques.
La base de l’évaluation chiropratique repose d’abord sur une période de questions (anamnèse) ciblée sur la condition présentée par le patient.
Suite à l’anamnèse, une évaluation physique de l’articulation de la hanche est nécessaire. Un chiropraticien aguerri aura le réflexe de ne pas seulement évaluer la hanche, puisque le membre inférieur, le bassin et la colonne vertébrale comportent plusieurs articulations qui fonctionnent conjointement à celle-ci.
Comment bouge l’articulation de la hanche?
Y a-t-il des limitations de mouvement?
Les muscles sont-ils impliqués?
La bourse est-elle impliquée?
Les articulations connexes sont-elles limitées
Quel est le jeu articulaire vertébral?
Autant de questions qui, avec leurs réponses, sauront orienter le diagnostic chiropratique et permettre au chiropraticien d’être plus précis dans son suivi.
Une fois le suivi établi, le suivi chiropratique pourra aider à soulager la douleur, améliorer la mobilité articulaire, améliorer les tensions musculaires et diminuer les chances de récidive.
Puisqu’il a en tête la santé globale de son patient, le chiropraticien pourra, en plus d’offrir un suivi chiropratique, proposer certains conseils sur les habitudes de vie :
Amélioration de la posture de sommeil
Amélioration de la posture de travail à l’ordinateur
Conseils sur la pratique de l’activité sportive
En tout temps, n’hésitez pas à parler à votre chiropraticien, sa formation et son expertise pourraient vous être grandement utiles!
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Les 7 clés d’une estime de soi à toute épreuve
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Les 7 clés d’une estime de soi à toute épreuve
Dans une ère où tout “doit” souvent aller vite, la pression qui est infligée de part et d’autre peut avoir un impact négatif sur l’estime de soi. Puisque cette dernière fait partie intégrante d’un mode de vie sain, nous souhaitons aujourd’hui mettre en lumière les bienfaits inestimables d’une estime de soi à l’épreuve de tout. Cet article vous permettra de comprendre l’importance de l’estime de soi et vous donnera des pistes intéressantes afin de vous aider à la développer.
L’estime, c’est quoi au juste?
L’estime de soi pourrait être définie comme la perception ou le regard qu’une personne porte sur sa propre valeur. Elle est influencée par une multitude de facteurs :
L’environnement dans lequel on évolue
Les expériences de vie (positives ou négatives)
Le comportement des individus qui nous entourent (positif ou négatif)
Notre inné (certaines personnes ont une estime de soi plus ou moins élevée de façon naturelle)
Dans tous les cas, l’estime de soi n’est pas un élément fixé dans le temps. Elle peut prendre différentes directions.
Elle se module en fonction des facteurs nommés précédemment, et donc, est portée à varier. Ce qui est intéressant, c’est qu’en raison de sa variabilité, nous pouvons développer des aptitudes nous permettant de mieux nous comprendre en tant qu’individu, ce qui, en soi, est une expérience bénéfique. Les expériences vécues nous apprennent des choses sur nos capacités à réagir et à s’adapter, et avec le temps, le regard porté sur notre cheminement impacte positivement notre estime de soi. Ces expériences ne sont pas toujours positives sur le moment, mais l’apprentissage qui en ressort, lui, l’est! En conséquence, l’estime de soi se voit augmentée! Croire et avoir la certitude qu’elle ne peut que s’améliorer fait partie du processus. Regardons vers l’avant!
De quoi est faite l’estime de soi à toute épreuve?
Bien qu’une même expérience puisse avoir un différent impact chez 2 personnes différentes, les bases d’une estime de soi à toute épreuve restent sensiblement les mêmes. Elles passent par des concepts généraux qui, additionnés les uns aux autres, la rendent solide et constante. Voici donc les 7 clés d’une estime de soi à toute épreuve :
Se connaître en tant que personne Comme mentionné précédemment, les expériences forgent notre caractère et notre personnalité. Plus on expérimente, plus on se connaît. Plus on se connaît, plus on peut reconnaître nos limites et nos besoins. En conséquence, le fait de se connaître permet finalement de s’écouter, ce qui augmente l’estime de soi.
Avoir confiance en soi La confiance en soi est un concept assez vaste qui peut être imagé comme la capacité à poser des actions en s’assumant pleinement. Encore une fois, les expériences et la répétition de différentes situations aident à la forger. Plus on a confiance en soi, plus l’estime de soi augmente.
Se sentir entouré et soutenu Être entouré, encouragé et soutenu au quotidien aide grandement à l’estime de soi : un enfant qui est aimé et supporté par ses parents développera plus facilement une estime de soi positive, n’est-ce pas? Le contraire est également vrai.
Avoir un sentiment de compétence Savoir que les actions posées permettent d’obtenir un résultat concret aide à bâtir l’estime de soi. Il faut cependant faire attention de ne pas tomber dans l’extrême, où tout est axé sur la performance. Dans ce cas, l’estime de soi ne sera pas bâtie sur des valeurs solides. Elle sera faussée par la pression et le stress.
Avoir la capacité de s’affirmer En tant qu’individu, assumer ce que l’on dit ou fait n’est pas toujours évident. C’est le travail d’une vie. Parfois, c’est facile, parfois, non. Parfois, les opinions sont bien reçues alors que d’autres fois, c’est le contraire. Parfois, on s’affirme maladroitement alors que parfois, c’est plus facile. Certaines personnes reçoivent aussi plus aisément l’opinion des autres, ce qui crée un sentiment de confiance et aide à l’affirmation. Avec les expériences, on apprend et l’estime grandit.
Se donner le droit Donner son opinion. Changer d’idée. Porter un vêtement qui nous plaît sans avoir peur d’être jugé. Faire la sieste plutôt que de sortir pelleter. Dire non. Pour certaines personnes, ces prises de position ne présentent aucun problème alors que pour d’autres, c’est la galère. Bâtir une estime de soi à toute épreuve passe nécessairement par la capacité à se donner le droit, en se respectant et en respectant les autres. Trop souvent, on pense que le fait de se respecter pourra nuire à l’autre, ce qui, en réalité, n’est pas vrai. Tout se dit, tout se fait.
S’accepter À trop vouloir être différent, on perd notre essence. À ce compte, pourquoi devrait-on être différent? Pourquoi devrait-il y avoir une version 2.0 de notre personne? Pourquoi ne serions-nous pas seulement en constante évolution, avec nos points forts et nos points moins forts? L’acceptation de soi est libératrice et aide grandement à bâtir une estime de soi à la hauteur de la personne que nous sommes.
Comment est mon estime de soi?
Êtes-vous en mesure “d’évaluer” votre estime de soi? Voici ici quelques exemples qui vous permettront de voir un peu plus clair dans votre situation :
Estime de soi “plutôt positive”
Dire non à une invitation à souper sans se sentir coupable
Acheter un vêtement différent et l’assumer
Se sentir accompli dans son travail
Se sentir confortable dans son rôle de parent
Pouvoir établir ses limites sans se questionner
Assumer ses choix alimentaires sans culpabilité
Reconnaître ses qualités sans se dénigrer
Reconnaître ses “points faibles” sans se dénigrer
Se sentir bien entouré et l’apprécier
Accepter les échecs en y voyant un apprentissage
Accepter les divergences d’opinions avec sagesse
Faire une activité qui vous convient sans vous soucier des autres
Vous maquiller selon vos goûts
Estime de soi “moins positive”
Éviter de se positionner par peur de froisser l’autre
Dire oui sans nécessairement le vouloir
Remettre un vêtement qu’on aime dans la garde-robe en pensant à ce que les autres vont dire en nous voyant
Avoir le sentiment d’être jugé en permanence
Porter plus d’attention à l’opinion des autres qu’à sa propre opinion
Ne pas assumer ses choix alimentaires
Se sentir plus ou moins supporté par son entourage
Ne pas assumer ses qualités par peur d’être hautain
Focaliser sur ses “points faibles”
De façon globale, ayez en tête que si vous prenez une décision qui vous convient, votre estime de soi est relativement bonne puisque vous vous permettez de vous écouter, vous vous assumez et vous êtes honnête envers vous-mêmes.
Comment bâtir une estime de soi à toute épreuve?
Connaissez-vous la règle des 4P? C’est la règle des Plus Petits Pas Possibles.
Chaque action compte, peu importe qu’elle vous semble petite ou grande, importante ou moins importante. Elle vous appartient et à force de poser des gestes qui vous collent à la peau, l’automatisme se développera et votre estime de soi également.
Vous sentez que vous êtes prêt à dire non? Commencez par une situation qui pourrait avoir un impact moins grand.
Vous désirez parler à votre patron(ne)? Permettez-vous de lui mentionner que vous n’êtes pas 100% à l’aise, mais que c’est important pour vous.
Votre style vestimentaire vous tanne? Ne changez pas votre garde-robe d’un seul coup.
Vous voulez approcher une collègue de travail parce que vous sentez qu’une amitié pourrait se développer? Commencez par partager un dîner et ensuite, proposez-lui une sortie de filles!
Vous voulez intégrer plus de légumes dans l’alimentation de vos enfants? Commencez par les plus faciles avec un peu de trempette. Laissez les choux de Bruxelles de côté! Vous gagnerez en confiance et les idées viendront plus facilement ensuite.
N’oubliez pas ceci : la seule personne à qui vous devrez rendre des comptes tout au long de votre vie, c’est vous. Soyez honnête envers vous-mêmes et permettez-vous d’être bien!
— Sources, telles que consultées le 20 novembre 2022 :
https://www.teljeunes.com/Tel-jeunes/Tous-les-themes/sante-psychologique/estime-de-soi/r/les-quatre-composantes-de-l-estime-de-soi
https://monchiro.ca/blogue/voici-8-trucs-qui-pourront-vous-aider-a-renforcer-votre-estime/
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
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Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
Saviez-vous que les côtes pouvaient être à l’origine de certaines douleurs? Les conditions costales sont fréquemment rencontrées en chiropratique et lorsqu’elles sont d’origine neuromusculosquelettique, le chiropraticien possède généralement tous les outils pour aider son patient à retrouver un état de santé optimal. Dans cet article, vous découvrirez l’une des conditions costales les plus fréquentes, c’est-à-dire l’irritation costovertébrale, et vous apprendrez comment la chiropratique pourrait être votre allié dans le traitement de cette condition.
Les côtes et leurs articulations
Anatomiquement parlant, les côtes bougent. Si elles ne bougeaient pas, la respiration serait très difficile puisque leur mouvement permet à la cage thoracique de prendre de l’expansion lors de l’inspiration et l’expiration.
Le corps humain comprend généralement 12 paires de côtes. De ces 12 paires, les 2 dernières sont dites flottantes, c’est-à-dire qu’elles n’ont pas d’attache à l’avant, contrairement aux 10 autres paires de côtes.
Au niveau dorsal, chaque côte s’articule au niveau vertébral, d’où le nom de l’articulation costovertébrale :
Au niveau ventral, les côtes s’articulent pour la plupart avec le sternum, d’où le nom de l’articulation costosternale :
Même si les articulations ne sont pas du même type entre la région antérieure et postérieure du dos, le mouvement est possible à chaque niveau. Comme dans tout mouvement articulaire, il est possible qu’il y ait une diminution de la mobilité, ce qui peut causer des conditions neuromusculosquelettiques comme l’irritation costovertébrale.
Quand la perte de mobilité engendre la douleur
Chaque articulation a un mouvement qui lui est propre. Ce mouvement se doit d’être optimal si l’on souhaite que l’articulation fonctionne normalement. Plusieurs causes peuvent créer une perte de mobilité articulaire :
Traumatisme direct à l’articulation
Mauvaise posture de sommeil
Mauvaise posture de travail
Mouvement répétitif
Mauvaise utilisation de l’articulation (ex.: mauvaise technique de course)
Sédentarité (non-utilisation des articulations)
Le processus plus détaillé (mais imagé) menant à l’apparition de douleur ressemble à ceci :
Lorsqu’une articulation ne bouge pas optimalement, les récepteurs articulaires envoient un signal au niveau cérébral indiquant que le mouvement n’est pas idéal.
Lorsque le cerveau reçoit cette information, il la traduit comme un problème à régler et souhaite donc “protéger” le corps.
Les signaux de protection envoyés par le cerveau peuvent être ceux-ci :
Inflammation
Hypertonicités musculaires (contractions musculaires)
Restriction dans l’amplitude de mouvement, avec douleur
Restriction dans l’amplitude de mouvement, sans douleur
Raideur des muscles environnants
Oedème local
Douleur
Douleur au mouvement
Douleur au repos
Douleur intermittente
Douleur constante
Douleur légère
Douleur intense
Douleur locale, au toucher
Douleur irradiante
Vite, on se rend compte que les hypertonicités musculaires engendrent à leur tour une nouvelle diminution de l’amplitude de mouvement. C’est ainsi que le cercle vicieux de la restriction articulaire débute :
Perte d’amplitude de mouvement = hypertonicités musculaires
Hypertonicités musculaires = encore plus de perte d’amplitude
Encore plus de perte d’amplitude = encore plus de réponses de protection = encore plus d’hypertonicités musculaires
Ainsi de suite.
Les articulations costovertébrales ne font pas exception à ce mécanisme. En général, les douleurs liées à l’irritation costovertébrale sont celles-ci :
Sensation de point à droite ou à gauche de la colonne vertébrale, dépendamment de l’articulation ciblée.
Douleur possible lors de l’inspiration ou de l’expiration, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Douleur possible lors du mouvement des bras/épaules, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Sensation de douleur intense à la poitrine, vis-à-vis l’articulation costovertébrale touchée. Comme si un poignard transperçait la poitrine de l’arrière à l’avant.
Le chiropraticien à la rescousse
Lors de son examen, le chiropraticien aura la tâche de déterminer si la douleur perçue par son patient est d’origine neuromusculosquelettique. Pour se faire, il utilisera l’expertise qu’il a acquise au cours de son doctorat de premier cycle en chiropratique.
Des questions précises servent à orienter son cheminement clinique.
À quel moment survient la douleur?
La douleur est présente depuis quand?
La douleur est-elle irradiante?
Est-ce que l’intensité de la douleur varie?
Le patient a-t-il des difficultés respiratoires?
Le patient a-t-il d’autres symptômes?
Un examen physique complet en lien avec les réponses aux questions aide le chiropraticien à préciser graduellement son idée diagnostique :
Amplitudes de mouvement costovertébrales
Amplitudes de mouvement costosternales
Palpation chiropratique (subluxations) au niveau vertébral
Évaluation des hypertonicités musculaires potentielles
Des examens complémentaires en fonction des résultats obtenus (radiographies)
Puisque le chiropraticien a la capacité de prescrire et analyser les radiographies, il est possible qu’il veuille avoir une image plus précise de la région impliquée. Comment est la colonne vertébrale? Comment sont les articulations costovertébrales? Comment est la qualité osseuse? Toutes ces réponses peuvent aider à déterminer si le diagnostic est d’origine chiropratique et orienter vers le traitement le mieux adapté pour le patient.
Dans l’éventualité où un traumatisme soit à l’origine de la douleur, il est possible que le chiropraticien veuille évaluer l’intégrité osseuse. Si elle est compromise et qu’il suspecte une fracture, il aura à référer son patient du côté médical pour un suivi approprié pour confirmer le diagnostic.
Dans le cas d’un diagnostic d’irritation costovertébrale, un suivi chiropratique pourra être envisagé.
Puisque le chiropraticien évalue la présence de subluxations vertébrales, il traitera celles qu’il a trouvées lors de son examen. Sachant qu’il n’y a pas que les articulations vertébrales qui peuvent être subluxées, il traitera fort probablement l’articulation costovertébrale en cause dans le diagnostic qu’il a émis puisqu’elle présentera sans doute une perte de mouvement.
Si, à son examen, des hypertonicités musculaires ont été mises en lumière, il pourra les travailler afin de rendre le muscle plus souple et moins contracté. Cela aidera à redonner une amplitude de mouvement normale à l’articulation.
Puisqu’on retrouve généralement de l’inflammation au site de l’irritation costovertébrale, il est possible que des techniques complémentaires soient utilisées, selon la localisation, l’indication et les contrindications du patient :
TENS (neurostimulation électrique transcutanée)
Ultrasons
Glace
Chaleur
Optimiser la santé de son patient
La vision chiropratique est orientée sur la santé globale de son patient. En conséquence, le chiropraticien ne se penchera pas seulement sur la douleur. Il aura toujours en tête d’optimiser son suivi et la condition de vie des gens qui le consultent en donnant des conseils sur les habitudes de vie, les postures à adopter (sommeil et travail) et les exercices qu’ils pourraient faire afin d’aider leur condition et éviter les récidives.
Le chiropraticien sait très bien que l’absence de douleur n’est pas toujours en lien avec l’absence de maladie/condition de santé. Il pourra être présent pour vous suite à la gestion de la douleur afin de vous guider vers un état de santé optimal et vous proposer des soins d’optimisation. N’hésitez pas à le consulter!
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - La méditation: un outil formidable à mettre en pratique
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La méditation: un outil formidable à mettre en pratique
La réputation de la méditation n’est plus à faire. Ses bienfaits sont reconnus partout et ses adeptes sont de plus en plus nombreux à travers le monde. Avec les changements de luminosité de l’automne, les dommages collatéraux laissés par la pandémie et la frénésie de Noël qui nous éloigne parfois de la nature elle-même de cette fête, la méditation pourrait très bien vous servir d’ancrage afin de rester connecté. Cet article met en lumière les bienfaits liés à la méditation. Lisez jusqu’à la fin… d’autres trucs vous seront donnés!
Une pratique ancienne aux multiples bienfaits
Être dans le moment présent. Éloigner les pensées négatives. Prendre du temps pour soi. Peu importe les raisons pour lesquelles on pratique la méditation, il n’y a que des bienfaits qui en ressortent. Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire que la méditation lui avait fait avoir des effets négatifs? Pas vraiment. Pour certains, elle peut sembler inefficace, mais elle ne crée certainement pas de “dommages”. Les effets positifs de cette pratique sont décrits ici :
1. Prendre du recul
En pratiquant la méditation, on se focalise sur le moment présent. Le silence, le calme et la sérénité dans laquelle on se plonge permettent une prise de conscience sur les évènements qui nous entoure. Par la suite, notre esprit est plus à l’écoute de notre environnement. Puisqu’on vit dans un monde où tout va vite, la méditation aide à prendre le recul nécessaire pour voir les choses autrement.
2. Être positif
Pour certains, le trouble d’humeur saisonnière et les séquelles de la pandémie n’aident pas à mettre du positif dans le quotidien. La méditation aide à promouvoir le positivisme en prenant conscience des choses bénéfiques qui nous entourent. L’hippocampe et le lobe frontal, des zones cérébrales impliquées dans les émotions, augmenteraient en volume avec la pratique de la méditation. Finie, la grisaille de novembre. On regarde en avant!
3. Apprécier ce qu’on a
La vie va vite. On en veut parfois plus sans que ce soit nécessaire. La méditation agit positivement sur la gestion du stress et puisqu’on devient moins stressé, nos choix sont plus éclairés et conscients. Avec le recul, l’impulsivité prend le large. Quoi de mieux que d’apprécier ce qu’on a, spécialement à l’arrivée des Fêtes?
4. Améliorer sa confiance en soi
La pratique de la méditation aide à l’introspection. Si les derniers mois ont été plus difficiles (perte d’emploi, séparation, difficultés financières, solitude), laisser aller ses émotions réelles lors d’une séance de méditation pourrait faciliter l’accès à votre vraie nature. En conséquence, vos agissements seront les bons pour vous, vous exprimerez vos réelles émotions et vous gagnerez en confiance.
5. Stimuler le système nerveux positivement
L’appétit vient en mangeant! Puisque le système nerveux est modulable et adaptable, le fait de se trouver dans un état d’esprit positif le mène à créer des connexions neuronales “positives” elles aussi. C’est une façon imagée et simpliste de vous faire comprendre que lorsque vous vous trouvez dans un état d’esprit qui vous fait du bien, vous avez tout à gagner en tentant de le reproduire le plus souvent. En découleront un automatisme et un bien-être quotidien. C’est aussi ça, la méditation!
À l’action!
La méditation est nouvelle pour vous et vous ne savez pas comment l’introduire dans votre quotidien? Si votre désir de l’intégrer à votre quotidien est en partie motivé par la recherche du calme, ne commencez surtout pas à vous stresser avec ça! Ce serait donc la première leçon : laissez aller votre intuition!
Il y a la méditation telle qu’on la connaît, c’est-à-dire celle où l’on se voit assis en position du tailleur avec les mains sur les genoux, avec de la musique ou des paroles qu’on écoute. Ceci étant dit, vous pouvez laisser aller votre intuition et vous asseoir confortablement dans une chaise pour débuter. Vous permettre de le faire est déjà un excellent pas, n’est-ce pas?
Étape 1
Trouvez le bon moment
Le matin? En fin de journée? Avant le coucher? Il n’y a que vous qui savez ce qui est bon pour vous. Essayez et vous verrez ce qui vous convient le mieux. Cette étape est essentielle afin de rendre l’exercice agréable.
Étape 2
Créez un environnement propice
Rendre la pratique de la médiation optimale passe nécessairement par un environnement optimal. L’endroit doit être paisible. Votre chambre à coucher, le salon, le bord de l’eau ou l’arrière de la cour. Peu importe, assurez-vous qu’il vous convienne. Vous voulez mettre une ambiance? Tamisez les lumières et allumez des chandelles! Le silence devra être de la partie!
Étape 3
Préparez votre mental
Vous arrivez du travail, la marmaille débarque de l’autobus et le tourbillon de la routine vous encombre l’esprit avant votre séance de méditation prévue au bord de l’eau? Ce n’est peut-être pas le moment idéal, mais seulement vous, pouvez le découvrir. Prenez quelques minutes avant de débuter. Pourquoi ne pas relaxer un peu avant de débuter? Voyez cet exercice comme une “pré-méditation”. Accordez-vous le droit de débuter de la bonne façon.
Étape 4
Installez-vous confortablement
Comme mentionné plus haut, la posture habituelle de la méditation est celle où l’on se retrouve assis en position du tailleur. Nous vous proposons encore une fois d’écouter vos besoins. La séance ne sera pas moins bénéfique si vous n’êtes pas dans cette position. L’important est que vous puissiez entrer en contact avec votre propre intérieur, alors focalisez sur ce qui est bon pour vous. Même si la posture est le premier pilier de la méditation, rien n’empêche de procéder par étapes.
Étape 5
Entrez en connexion
Vous pouvez avoir les yeux mi-clos avec un regard vers le sol, mais s’il est toujours détourné, fermez-les complètement. Gardez votre attention sur votre respiration, de façon à ce qu’elle soit légère et douce, comme la brise du vent au bord de la mer. Acceptez les pensées qui arrivent dans votre esprit sans les chasser ou les refuser. Si elles y sont, c’est qu’elles ont une raison d’être. Graduellement, vous serez en mesure de les comprendre et de leur trouver un sens. Les bienfaits notés plus haut ressortiront.
Un autre truc pour vous aider
Outre la médiation, la respiration par cohérence cardiaque a des effets positifs sur le stress et la santé en général. Nous ne pouvons la passer sous silence afin de vous aider à optimiser votre santé.
Le principe de la cohérence cardiaque est comme un balancier qui régule le rythme cardiaque pour l’amener à une fréquence bénéfique pour le corps humain en se synchronisant avec la respiration. Le nombre à retenir est le 365.
3 fois par jour, l’exercice sera fait.
6 respirations seront faites chaque minute (5 secondes d’inspiration et 5 secondes d’expiration)
5 minutes seront accordées à l’exercice
Allez! Bâtissez-vous votre propre routine!
Sources, telles que consultées le 28 octobre 2022 https://monchiro.ca/blogue/10preuvesmeditation/
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Le mal des coureurs : comprendre et soulager la périostite tibiale
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Le mal des coureurs : comprendre et soulager la périostite tibiale
La course à pied est sans aucun doute l’un des sports ayant connu la hausse de popularité la plus élevée au cours des dernières années. Facile d’accès et à pratiquer, elle rejoint une foule de sportifs, des débutants aux marathoniens. Pratiquée de façon répétée ou avec une technique mal adaptée, elle peut toutefois entraîner l’apparition de plusieurs douleurs. La périostite tibiale est l’une des conditions fréquentes touchant les coureurs, et cet article vous permettra d’en connaître davantage sur le sujet tout en vous donnant des trucs à mettre en pratique si vous en êtes atteint.
Commençons par la base
Puisque cet article se veut éducatif, abordons d’abord le diagnostic lui-même afin de mieux le comprendre.
Le périoste fait partie de l’os. De façon imagée, c’est une membrane fibreuse qui enveloppe les os plats et longs du corps, à l’exception de la zone de l’os qui se trouve à l’intérieur de l’articulation.
La fonction du périoste est d’assurer la croissance des os et le bon fonctionnement des échanges sanguins pour l’os.
Le périoste a également un rôle de protection de l’os puisqu’il a la capacité de transmettre les informations de douleurs, comme dans le cas de fracture de l’os ou de tout état douloureux.
Le périoste joue également un rôle dans la consolidation et la réparation de l’os en cas de fracture, par exemple.
Les termes se terminant par “ite” font référence à un état inflammatoire. Une inflammation du périoste se définit donc comme étant une périostite.
Vous aurez compris que lorsqu’il est question de périostite tibiale, on considère que c’est le périoste du tibia qui est inflammé.
Lorsque le tibia s’enflamme chez le coureur
Le mécanisme de blessure associé à la périostite tibiale est relativement simple. La cause peut se diviser en 2 :
La répétition d’impacts
Les microtraumatismes
Lors du mouvement de la course, les contractions répétées des muscles impliqués dans le mouvement du pied créent une traction et une irritation au niveau de l’insertion de ces muscles sur le périoste.
Les symptômes associés à la périostite tibiale sont ceux-ci :
Douleur/brûlure ciblant le tibia, sur sa partie antérieure et externe
Douleur/brûlure ciblant le tibia, sur sa partie postérieure et interne
Douleur au mouvement (impact surtout)
Douleur au repos parfois
Douleur à la palpation de la région impliquée
Parfois, un oedème peut être aperçu sur le tibia, au niveau de l’inflammation
La périostite tibiale est fréquente chez le coureur, mais peut se présenter chez certains autres types de clientèles :
Marcheurs
Sprinteurs
Danseurs
Des conditions peuvent également prédisposer à la périostite tibiale. Une arche plantaire affaissée, qui amène le pied en pronation, peut altérer la biomécanique du pied et avoir un impact sur le mouvement normal du membre inférieur lors de la marche ou la pratique d’un sport.
Votre chiropraticien et la périostite tibiale
Évidemment, l’objectif #1 est de diminuer la douleur associée à la périostite tibiale. Votre chiropraticien étant un professionnel formé dans l’évaluation, le diagnostic chiropratique et le traitement des conditions neuromusculosquelettiques, pourrait grandement être une personne-clé dans l’atteinte de vos objectifs de santé. Sommairement, une visite chez votre chiropraticien pourra vous permettre d’en savoir plus sur votre condition en passant par différentes étapes :
Période de questionnement quant à votre douleur (survenue, localisation, durée, intensité, fréquence)
Examen physique complet (colonne vertébrale, hanche, genou, cheville et pied) a. Structures osseuses b. Tissus mous c. Structures articulaires (ligaments, bourses, capsules)
Traitement chiropratique envisagé, en fonction de chaque professionnel a. Ajustements vertébraux et articulaires selon le besoin (hanche, genou, cheville et pied) b. Travail de tissus mous c. Kinesiotaping d. Ultrasons e. TENS (courant interférentiel)
Autres recommandations possibles telles que : a. Repos partiel ou total, selon l’activité et la gravité de la condition b. Application de glace afin de diminuer l’inflammation c. Exercices d’étirement ou de renforcement selon le cas
Suite à cette phase où l’accent est mis sur le soulagement, la reprise du sport est généralement envisagée selon les recommandations de votre chiropraticien.
Qu’est-ce que je peux faire, docteur?
Outre de suivre les recommandations émises par votre chiropraticien, l’un des exercices les plus recommandés pour aider à la périostite tibiale en est un d’étirement. Voici comment le faire :
Assoyez-vous sur une chaise et placez le dessus du pied au sol de façon à ce que les orteils pointent vers l’arrière (votre genou sera en position fléchie).
Lentement, avancez vers le bout de la chaise afin de sentir un étirement au niveau de la partie antérieure de la jambe.
Allez au maximum de votre capacité, sans entrer dans la douleur (restez dans une sensation d’étirement).
Maintenez la position pendant 30-40 secondes. Répétez 2 fois. Faire cette séquence entre 2 à 3 fois par jour.
VARIANTE : Vous pouvez faire cet exercice en position debout en pointant le pied vers l’arrière, en appuyant les orteils au sol et en vous stabilisant au mur. Assurez-vous que l’autre jambe soit légèrement plus à l’avant. En maintenant les orteils en position, pliez le genou de la jambe avant afin de venir créer un étirement à la jambe dont les orteils touchent le sol.
N’oubliez pas : la clé de l’étirement ne réside pas dans un mouvement de grande amplitude qui engendre une douleur. Si tel est le cas, c’est que l’exercice est mal fait ou que le mouvement va trop loin. En conséquence, le risque de blessure est davantage présent que les bienfaits escomptés. Soyez avisés!
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Les antioxydants : ces molécules aux super pouvoirs!
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Les antioxydants : ces molécules aux super pouvoirs!
Véritables gardiens de votre intégrité cellulaire, les antioxydants ont de super pouvoirs. Le but de cet article est de vous en apprendre davantage quant à leurs fonctions, vous éduquer sur leur importance et vous inviter à concocter des recettes automnales qui en contiennent à la tonne. Bonne lecture!
La définition la plus simple qui soit
Les mots scientifiques sont souvent associés à tort à quelque chose d’intangible ou d’incompréhensible. Pourtant, on peut trouver leur définition seulement en les prononçant, et c’est le cas des antioxydants! Voyons voir comment vulgariser ce terme aux allures plutôt ambiguës.
Commençons par décortiquer le mot :
Anti = qui atténue, empêche, inhibe ou bloque quelque chose
Oxydant = ce qui oxyde Antioxydant = qui empêche l’oxydation
Simple, non?
Du point de vue science et alimentation, les antioxydants empêchent l’oxydation des cellules par les radicaux libres qui sont créés naturellement par notre organisme.
Les radi-quoi?
L’organisme est ainsi fait : chaque cellule se renouvelle et en se renouvelant, des radicaux libres sont formés. De façon imagée, on peut voir le radical libre comme un déchet naturel produit par le corps. Ces déchets sont hautement instables, tentent de se fusionner à d’autres cellules afin de leur transmettre leurs propriétés et ainsi créer le phénomène d’oxydation (stress oxydatif).
Le résultat de ce stress oxydatif :
Endommagement de l’ADN des cellules
Vieillissement cellulaire
Nul besoin de vous dire, toujours de façon imagée, qu’on ne souhaite pas qu’un déchet nous transmette de telles propriétés, n’est-ce pas? Puisque le corps a généralement la capacité de s’autoréguler, il crée l’équilibre nécessaire afin que le taux de radicaux libres soit adéquat dans la circulation.
Outre le renouvellement cellulaire, certains facteurs contribuent à l’apparition de radicaux libres dans le corps humain :
Pollution de l’air
Fumée de cigarette
Consommation d’alcool
Stress
En revenant à la définition de l’antioxydant, on comprend donc qu’il vient contrer l’effet des radicaux libres en empêchant leur fonction de stress oxydatif.
Et ensuite?
La molécule antioxydante sert donc de barrière naturelle aux radicaux libres en les neutralisant et les empêchant d’atteindre les autres cellules. Les radicaux libres ne peuvent donc pas transmettre leurs propriétés de déchets aux cellules, comme mentionné plus haut.
Pour comprendre comment l’antioxydant neutralise la fonction des radicaux libres, il faut aller plus en profondeur dans les notions scientifiques. Voici, de façon vulgarisée, le principe de base des antioxydants :
Les radicaux libres sont des molécules instables, car il leur manque un électron.
Cette instabilité rend les radicaux libres très réactifs aux cellules environnantes, ce qui peut mener à l’oxydation proprement dite.
Les antioxydants neutralisent les radicaux libres en leur cédant un de leurs électrons, ce qui empêche l’oxydation.
Les antioxydants et l’alimentation
Les antioxydants se retrouvent facilement dans l’alimentation. Certains aliments en contiennent plus que d’autres en raison de certaines molécules qui les composent :
Vitamine A
Vitamine E
Vitamine C
Sélénium
Zinc
Flavonoïdes
Caroténoïdes
Vitamine A
La vitamine A se retrouve dans divers aliments comme ceux-ci :
Les produits laitiers
Les œufs
Le poisson et les fruits de mer
Les légumes verts feuillus (chou vert, le chou frisé, les épinards et la bette à carde)
Le foie
Les fruits orangés (abricots et le cantaloup)
Les légumes orangés (carottes, citrouille, courge, patates douces)
Vitamine E
Les sources de vitamine E sont celles-ci :
Huile de germe de blé
Amandes, graines de tournesol, noisettes, noix de pin, arachides, noix mélangées
Avocat
Huile de tournesol
Asperges
Épinards
Vitamine C
Une foule de légumes contiennent de la vitamine C et sont une excellente source d’antioxydants :
Brocoli
Pois mange-tout
Chou rouge
Poivron
Chou de Bruxelles
Légumes-feuilles (chou frisé, roquette, chou-rave)
Les fruits contenant de la vitamine C sont ceux-ci :
Kiwi
Mangue
Papaye
Pêche
Fraise
Agrumes (orange, pamplemousse)
Le sélénium est, quant à lui, présent dans ces aliments :
Noix
Poissons et fruits de mer
Produits céréaliers
Les abats et les viandes (foie, cœur)
Ces aliments contenant du zinc pourront vous fournir une excellente source d’antioxydants :
Huîtres
Foie
Bœuf, veau, agneau, poulet
Crabe, langoustes, palourdes
Légumineuses
Graines de citrouille et de courge
Les flavonoïdes et les caroténoïdes suivants vous aideront à obtenir d’excellentes sources d’antioxydants :
Thé
Huile d’olive
Fruits rouges
Ail
Pomme
Chocolat noir
Raisins
Épinards
Brocoli
Oignon
Melon, abricot, mangue, pêche, carotte, pamplemousse
Brocolis, épinards, potiron, poivron
En automne, faisons le plein d’antioxydants!
Le cocooning et l’automne sont souvent associés à des repas savoureux. N’hésitez pas à cuisiner en famille et intégrer les antioxydants dans vos repas!
Les ragoûts, les potages, les bouillis, les boissons chaudes et réconfortantes et les collations santé sauront combler vos papilles et vos besoins en antioxydants!
Source, telle que consultée le 30 septembre 2022 : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/nutriments
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Les antioxydants : ces molécules aux super pouvoirs!
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Les antioxydants : ces molécules aux super pouvoirs!
Véritables gardiens de votre intégrité cellulaire, les antioxydants ont de super pouvoirs. Le but de cet article est de vous en apprendre davantage quant à leurs fonctions, vous éduquer sur leur importance et vous inviter à concocter des recettes automnales qui en contiennent à la tonne. Bonne lecture!
La définition la plus simple qui soit
Les mots scientifiques sont souvent associés à tort à quelque chose d’intangible ou d’incompréhensible. Pourtant, on peut trouver leur définition seulement en les prononçant, et c’est le cas des antioxydants! Voyons voir comment vulgariser ce terme aux allures plutôt ambiguës.
Commençons par décortiquer le mot :
Anti = qui atténue, empêche, inhibe ou bloque quelque chose
Oxydant = ce qui oxyde Antioxydant = qui empêche l’oxydation
Simple, non?
Du point de vue science et alimentation, les antioxydants empêchent l’oxydation des cellules par les radicaux libres qui sont créés naturellement par notre organisme.
Les radi-quoi?
L’organisme est ainsi fait : chaque cellule se renouvelle et en se renouvelant, des radicaux libres sont formés. De façon imagée, on peut voir le radical libre comme un déchet naturel produit par le corps. Ces déchets sont hautement instables, tentent de se fusionner à d’autres cellules afin de leur transmettre leurs propriétés et ainsi créer le phénomène d’oxydation (stress oxydatif).
Le résultat de ce stress oxydatif :
Endommagement de l’ADN des cellules
Vieillissement cellulaire
Nul besoin de vous dire, toujours de façon imagée, qu’on ne souhaite pas qu’un déchet nous transmette de telles propriétés, n’est-ce pas? Puisque le corps a généralement la capacité de s’autoréguler, il crée l’équilibre nécessaire afin que le taux de radicaux libres soit adéquat dans la circulation.
Outre le renouvellement cellulaire, certains facteurs contribuent à l’apparition de radicaux libres dans le corps humain :
Pollution de l’air
Fumée de cigarette
Consommation d’alcool
Stress
En revenant à la définition de l’antioxydant, on comprend donc qu’il vient contrer l’effet des radicaux libres en empêchant leur fonction de stress oxydatif.
Et ensuite?
La molécule antioxydante sert donc de barrière naturelle aux radicaux libres en les neutralisant et les empêchant d’atteindre les autres cellules. Les radicaux libres ne peuvent donc pas transmettre leurs propriétés de déchets aux cellules, comme mentionné plus haut.
Pour comprendre comment l’antioxydant neutralise la fonction des radicaux libres, il faut aller plus en profondeur dans les notions scientifiques. Voici, de façon vulgarisée, le principe de base des antioxydants :
Les radicaux libres sont des molécules instables, car il leur manque un électron.
Cette instabilité rend les radicaux libres très réactifs aux cellules environnantes, ce qui peut mener à l’oxydation proprement dite.
Les antioxydants neutralisent les radicaux libres en leur cédant un de leurs électrons, ce qui empêche l’oxydation.
Les antioxydants et l’alimentation
Les antioxydants se retrouvent facilement dans l’alimentation. Certains aliments en contiennent plus que d’autres en raison de certaines molécules qui les composent :
Vitamine A
Vitamine E
Vitamine C
Sélénium
Zinc
Flavonoïdes
Caroténoïdes
Vitamine A
La vitamine A se retrouve dans divers aliments comme ceux-ci :
Les produits laitiers
Les œufs
Le poisson et les fruits de mer
Les légumes verts feuillus (chou vert, le chou frisé, les épinards et la bette à carde)
Le foie
Les fruits orangés (abricots et le cantaloup)
Les légumes orangés (carottes, citrouille, courge, patates douces)
Vitamine E
Les sources de vitamine E sont celles-ci :
Huile de germe de blé
Amandes, graines de tournesol, noisettes, noix de pin, arachides, noix mélangées
Avocat
Huile de tournesol
Asperges
Épinards
Vitamine C
Une foule de légumes contiennent de la vitamine C et sont une excellente source d’antioxydants :
Brocoli
Pois mange-tout
Chou rouge
Poivron
Chou de Bruxelles
Légumes-feuilles (chou frisé, roquette, chou-rave)
Les fruits contenant de la vitamine C sont ceux-ci :
Kiwi
Mangue
Papaye
Pêche
Fraise
Agrumes (orange, pamplemousse)
Le sélénium est, quant à lui, présent dans ces aliments :
Noix
Poissons et fruits de mer
Produits céréaliers
Les abats et les viandes (foie, cœur)
Ces aliments contenant du zinc pourront vous fournir une excellente source d’antioxydants :
Huîtres
Foie
Bœuf, veau, agneau, poulet
Crabe, langoustes, palourdes
Légumineuses
Graines de citrouille et de courge
Les flavonoïdes et les caroténoïdes suivants vous aideront à obtenir d’excellentes sources d’antioxydants :
Thé
Huile d’olive
Fruits rouges
Ail
Pomme
Chocolat noir
Raisins
Épinards
Brocoli
Oignon
Melon, abricot, mangue, pêche, carotte, pamplemousse
Brocolis, épinards, potiron, poivron
En automne, faisons le plein d’antioxydants!
Le cocooning et l’automne sont souvent associés à des repas savoureux. N’hésitez pas à cuisiner en famille et intégrer les antioxydants dans vos repas!
Les ragoûts, les potages, les bouillis, les boissons chaudes et réconfortantes et les collations santé sauront combler vos papilles et vos besoins en antioxydants!
Source, telle que consultée le 30 septembre 2022 : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/nutriments
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Douleur au genou : qu’est-ce que le syndrome fémoro patellaire et comment le soigner
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Douleur au genou : qu’est-ce que le syndrome fémoro patellaire et comment le soigner
Le genou est une articulation très sollicitée au quotidien : chaque pas et chaque déplacement l’impliquent. Sachant qu’un adulte peut faire en moyenne entre 7 000 et 10 000 pas par jour, nous vous laissons réfléchir à l’importance de maintenir cette articulation en bonne condition! Le syndrome fémoro patellaire est l’une des conditions qui la touchent fréquemment et aujourd’hui, nous souhaitons la mettre en lumière. Dans cet article, vous découvrirez comment elle s’installe et ce qui peut être fait pour vous aider lorsque vous en êtes atteint.
Le genou : bien comprendre l’articulation
Le genou est une articulation complexe formée de 3 os :
Le fémur (os de la cuisse)
Le tibia (os de la jambe)
La patella (la rotule, os qui bouge sur le genou) La patella protège le tendon du quadriceps puisqu’elle l’empêche de frotter sur les os. De plus, elle permet au quadriceps d’être plus fort puisqu’elle joue un rôle de poulie en augmentant son bras de levier.
La fibula (os situé sur le côté du tibia) est tout près, mais n’a pas de rôle dans le mouvement du genou.
Pour la compléter, d’autres structures s’ajoutent :
Ligaments
Muscles
Tendons
Cartilage
Toutes ces structures permettent au genou de produire ces mouvements :
Flexion
Extension
Rotation interne
Rotation externe
La flexion et l’extension du genou permettent une grande amplitude, alors que la rotation interne et la rotation externe sont plus limitées.
Comme démontré sur l’image, la patella est maintenue à l’articulation par le tendon patellaire, qui, lui, est le prolongement du muscle quadriceps. Par le fait même, si un problème survient avec le quadriceps (ex.: hypertonicité, condition neurologique quelconque, élongation, déchirure ou autre), la synergie qu’il a avec la patella se perd. Le mouvement entre la patella et le fémur n’est donc plus optimal. Retenez cette information, elle vous sera essentielle pour comprendre l’origine du syndrome fémoro patellaire!
Le syndrome fémoro patellaire : bien le comprendre
Commençons par décortiquer ce diagnostic neuromusculosquelettique.
Syndrome : ensemble de symptômes associés à une condition pathologique
Fémoro : qui a trait au fémur
Patellaire : qui a trait à la patella (rotule)
Donc, le syndrome fémoro patellaire est un ensemble de symptômes liés à l’articulation fémoro patellaire.
Lorsque la patella (rotule) est maintenue à sa position dite “normale” par rapport au tibia et au fémur, l’articulation fonctionne optimalement. Dans les cas où la patella (rotule) est désalignée vers l’extérieur par rapport au fémur et que des symptômes sont présents, on parle de syndrome fémoro patellaire.
Différentes causes peuvent mener à un diagnostic de syndrome fémoro patellaire. En voici quelques-unes :
Mauvaise position du fémur (pathologique ou non)
Mauvaise position de la patella (pathologique ou non)
Hypermobilité articulaire (ciblée au genou ou généralisée, selon les cas)
Pied en pronation (diminution de l’arche du pied, ce qui peut entraîner un pied plat)
Trouble du ligament patellaire (ou trouble généralisé touchant les ligaments)
Déviation de l’axe normal du genou (ex.: genu varum, genu valgum, genu recurvatum)
Atteinte musculaire (ex.: faiblesse du vaste médial du quadriceps, hypertonicité du vaste latéral du quadriceps)
Généralement, les symptômes associés au syndrome fémoro patellaire sont les suivants :
Douleur au genou, le plus souvent à l’avant ou autour de la patella (rotule)
Douleur présente lors du mouvement de flexion/extension répété de l’articulation
Douleur qui survient lors de l’activité physique et qui peut persister ensuite
Sensation de crépitement ou de craquement lors du mouvement de flexion/extension de l’articulation
Douleur qui peut apparaître en position assise si elle est maintenue sur une longue période, comme lors des journées scolaires (en raison de la pression exercée entre la patella et le fémur par le quadriceps)
Genou qui lâche (parfois, le genou flanche de façon inattendue)
Ça touche qui, le syndrome fémoro patellaire?
Les sportifs peuvent développer un syndrome fémoro patellaire. Tous les mouvements demandant une flexion/extension du genou de façon répétée peuvent mener à l’apparition du syndrome fémoro patellaire :
Course
Vélo
Basketball
Soccer
Évidemment, le risque de le développer est accru lorsque les accessoires utilisés ne sont pas adéquats. Une chaussure mal adaptée ou un vélo mal ajusté peuvent à eux seuls contribuer à l’apparition du syndrome fémoro patellaire. Soyez avisés et n’hésitez pas à consulter un professionnel afin de bien pratiquer votre sport!
Fait à noter : puisque le sport fait partie du mode de vie de plusieurs adolescents, le syndrome fémoro patellaire représente le trouble associé au genou le plus fréquent chez cette clientèle.
Les travailleurs qui marchent beaucoup sont plus à risque de développer un syndrome fémoro patellaire. S’ils doivent prendre les escaliers de façon régulière, travailler en position accroupie ou même conduire de façon prolongée, les risques sont également présents.
Quel est le suivi proposé par mon chiropraticien?
Vu le nombre potentiel de causes associées à son apparition et le fait que certaines soient encore mal comprises, le diagnostic du syndrome fémoro patellaire repose majoritairement sur une anamnèse et une évaluation neuromusculosquelettique complètes. Votre chiropraticien, de par son doctorat de premier cycle en chiropratique, sera en mesure d’évaluer, émettre un diagnostic chiropratique, traiter et émettre des recommandations en lien avec le syndrome fémoro patellaire.
Puisque certains syndromes fémoro patellaires peuvent découler d’un pied en pronation ou même d’un mauvais alignement du fémur, une évaluation complète des membres inférieurs est indiquée. Dans certains cas, des examens radiologiques peuvent être nécessaires afin de compléter la prise d’information et valider certaines informations.
Une panoplie de diagnostics peuvent toucher le genou, alors votre chiropraticien devra faire la distinction entre plusieurs d’entre eux :
Trouble des ménisques
Trouble des ligaments croisés
Ostéoarthrose
Entorse
Tendinite
Bursite
Une fois le diagnostic de syndrome fémoro patellaire émis et la cause trouvée, le suivi approprié est entamé. La majorité du temps, on ne passe pas à côté d’exercices de réhabilitation (étirement ou renforcement) afin de s’assurer que la biomécanique du genou et du membre inférieur soit optimale, tout ça dans le but de favoriser un bon alignement de la patella par rapport au fémur et au tibia et ainsi diminuer l’irritation derrière la patella.
Vous avez des douleurs au genou? Pensez à consulter votre chiropraticien!
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Changement de saison 2022 : un automne 100 % zen
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Changement de saison 2022 : un automne 100 % zen
La rentrée est passée. Les journées raccourcissent. Les vêtements d’automne sont arrivés en boutique et les décorations d’Halloween aussi. La routine semble pointer le bout de son nez et nous guider tranquillement vers le prochain changement de saison. Déjà? Soyez sans crainte, il vous reste encore plusieurs belles journées estivales avant de troquer vos sandales pour vous souliers fermés. En attendant, lisez cet article afin de vous préparer efficacement au prochain changement de saison!
Prévenir pour garder le sourire
Mieux vaut prévenir que guérir, non? Bien que septembre ne fasse que commencer, pourquoi ne pas planifier les prochains mois plutôt que de repousser certaines tâches qui alourdissent le quotidien?
1. Pensez aux corvées d’automne
L’automne, avec ses couleurs magnifiques, nous permet d’apprécier le paysage québécois. Évidemment, après les couleurs viennent les terrains remplis de feuilles! Plutôt que d’attendre que la chute soit complètement terminée, raclez un peu chaque semaine afin de diminuer la charge le moment venu. Vous verrez certains bénéfices à racler plus fréquemment :
Diminution de la charge de travail
Pratique d’une activité physique plus régulière
Moments passés à l’extérieur
Diminution des courbatures en raison de la fréquence accrue de l’activité
Passer d’excellents moments en famille
Vous aimez jardiner mais mettre un terme à la saison vous pèse sur les épaules? Il n’y a pas de mal à couper les plants qui commencent déjà à être moins productifs. Couper des plantes qui fleurissent moins et qui changent de couleur chaque semaine vous permettra de voir la charge diminuer à coup sûr!
Qui a dit que tout le bois de chauffage devait être cordé la même journée? Dans la même ligne de pensée, un travail étalé sur plusieurs journées n’a jamais tué personne!
2. Planifiez les journées de mise en conserve
Betteraves, tomates, carottes, haricots! Que de bons légumes à mettre en conserve, n’est-ce pas? Préparez-vous à l’avance afin de rendre la tâche plus légère :
Réservez vos légumes chez le maraîcher
Lavez vos pots à l’avance
Achetez vos ingrédients en fonction de la bonne quantité de bouillon
Vos papilles vous remercieront!
Faites un pied de nez à la routine “post activités d’été”
Faites-vous partie de ceux pour qui la routine est signe de liberté? Trouvez-vous qu’elle vous permet de vous accomplir davantage en vous encadrant plus facilement? Il n’y a aucun doute qu’elle est bénéfique à plusieurs niveaux. Soyez toutefois avertis : elle ne devrait pas vous servir d’excuse!
Vous avez été actifs tout l’été. Vous avez profité des soirées avec les enfants pour jouer au tennis ou faire du vélo. Évidemment, avec la rentrée scolaire et la noirceur qui arrive plus tôt, certaines habitudes estivales doivent être modifiées. Mettons ici l’emphase sur la modification plutôt que l’interruption. Il serait facile de rester à l’intérieur pour faire de nos soirées des moments plus casaniers, mais n’oubliez pas que le corps a besoin de bouger chaque jour et qu’il ne fait pas de différence entre le mois de septembre ou celui de juin!
À ce compte, voici un rappel concernant vos besoins en activité physique :
Entre 5 17 ans Au moins 60 minutes d’activité d’intensité moyenne à élevée chaque jour Au moins 3 fois des activités d’intensité soutenue chaque semaine
18 ans et plus Au moins 150 minutes d’activité d’intensité moyenne ou 75 minutes à intensité élevée chaque semaine Au moins 2 fois des exercices de musculation d’intensité modérée
Avez-vous pensé à jouer dehors avant le souper? Certes, le souper sera plus tard, mais la collation peut être plus grande, non?
Un pique-nique au terrain de jeux de la municipalité peut être une excellente façon de casser la routine et agrémenter les soirées de semaine. De belles joues rouges pour la fin de la journée, ça n’a pas de prix! Une boîte à lunch le soir, pourquoi pas?
Les municipalités et les villes offrent une variété infinie de cours ou d’ateliers pendant l’automne et l’hiver. Sortez et amusez-vous! Vos émissions vous attendront! N’oubliez pas : la planification est la meilleure façon de contrer l’inaction!
Optimisez votre quotidien
Changement de saison ou non, vous méritez de vivre optimalement. Votre quotidien est le reflet de vos habitudes de vie et ces dernières devraient vous permettre d’exprimer votre plein potentiel.
1. Ayez un sommeil optimal
Pour certains, l’automne peut affecter l’humeur. Lorsque cette dernière est affectée, le sommeil peut quant à lui en payer le prix. Voici quelques conseils pratiques afin d’optimiser votre sommeil :
Prenez l’habitude d’avoir un horaire de sommeil régulier
Limitez le temps d’écran au moins 1 heure avant le coucher
Rendez l’atmosphère de la chambre à coucher propice au sommeil : lumières tamisées, ambiance épurée, pas de télévision dans la pièce
Même si l’automne n’affecte en rien votre humeur, adoptez cette habitude puisqu’elle fait partie de la base d’une santé optimale.
2. Pensez optimalement
Nous ne vous apprendrons rien en vous disant que la pensée et l’attitude jouent un rôle primordial dans la santé optimale. Parfois, la grisaille de l’automne nous affecte plus que nous le croyons et pour cette raison, intégrez certaines pratiques intéressantes :
Méditation
Relaxation
Visualisation
Respiration abdominale
Cohérence cardiaque
Elles vous permettront d’optimiser votre pensée et si le stress de l’automne vous pourchasse, elles sauront vous aider à l’apaiser.
3. Mangez optimalement
L’automne est la saison des récoltes. Profitez-en pour vous concocter des recettes alléchantes, d’autant plus que vous avez accès directement à des produits frais remplis de bons nutriments. Les aliments frais et non transformés vous permettent d’aller chercher un maximum de bénéfices et de saveurs, donc ne négligez pas ce conseil! N’oubliez pas les conserves maison!
4. Bougez optimalement
Revenons à ce qui a été mentionné plus haut dans l’article : l’activité physique est un besoin et non une option. L’activité physique n’a plus de preuves à faire concernant son impact positif sur la santé mentale (libération des hormones du bien-être). Il ne devrait donc plus y avoir de doute à l’intégrer à votre quotidien! En plus des effets psychologiques, elle procure bien d’autres bienfaits :
aide au maintien d’un poids santé
favorise le sommeil
soutient les capacités cardiovasculaires
aide à la santé des os
favorise le maintien de la masse musculaire
5. Ayez un système nerveux optimal
Dernier conseil mais non le moindre : misez sur la santé de votre système nerveux. Puisqu’il contrôle tous les systèmes du corps humain, sa bonne fonction est essentielle à votre bien-être. La chiropratique , par sa vision globale de la santé, mise justement sur l’optimisation de la fonction de votre système nerveux.
Printemps, été, automne ou hiver, votre chiropraticien se fera un honneur de vous guider vers l’atteinte de votre plein potentiel de vie!
Sources, telles que consultées le 29 août 2022 https://www.msss.gouv.qc.ca/professionnels/statistiques-donnees-sante-bien-etre/flash-surveillance/activite-physique-en-quelques-chiffres/
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Un été inoubliable : 6 activités à faire en famille
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Un été inoubliable : 6 activités à faire en famille
Tisser des liens. S’amuser. Bâtir la confiance en soi. Apprendre. Comme on dit : l’été, c’est fait pour jouer! Pourquoi ne pas bonifier ce plaisir en mettant également l’emphase sur les bienfaits qu’apportent les activités physiques?
Dans cet article, nous vous partageons notre top 6 des activités physiques à faire en famille, en toute simplicité, à la maison ou partout au Québec.
Activité physique : quand la science parle
Les preuves sont faites : l’activité physique doit faire partie intégrante de notre quotidien. Peu importe notre âge ou notre situation, il devrait toujours y avoir un moyen de l’intégrer à notre réalité.
Avons-nous besoin de vous rappeler tous les bienfaits que l’activité physique procure? À titre de rappel, en voici quelques-uns :
– L’activité physique favorise une philosophie de vie positive – L’activité physique améliore la santé – L’activité physique améliore le bien-être – L’activité physique réduit le stress – L’activité physique aide au fonctionnement des systèmes cardiovasculaire et pulmonaire – L’activité physique augmente le niveau d’énergie – L’activité physique aide à atteindre et maintenir un poids optimal
Selon les recommandations de La Société Canadienne de Physiologie de l’Exercice (SCPE), chaque groupe d’âge devrait pratiquer l’activité physique selon certaines recommandations :
1. 0 à 4 ans
Les nourrissons (âgés de moins de 1 an) devraient être physiquement actifs plusieurs fois par jour, particulièrement par l’entremise de jeux interactifs au sol. Les tout-petits (âgés de 1 à 2 ans) et les enfants d’âge préscolaire (âgés de 3 à 4 ans) devraient faire au moins 180 minutes d’activité physique, peu importe l’intensité.
2. 5 à 17 ans
Pour favoriser la santé, les enfants âgés de 5 à 17 ans devraient faire chaque jour au moins 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée. Cela devrait comprendre, entre autres, des activités d’intensité élevée au moins trois jours par semaine.
3. 18 à 64 ans
Pour favoriser la santé, les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient faire chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes.
4. 65 ans et plus
Vous voulez profiter de vos petits-enfants le plus longtemps possible? Pour favoriser la santé, et améliorer les capacités fonctionnelles, il est recommandé que les adultes âgés de 65 ans et plus fassent chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes.
Quels sont les dénominateurs communs à toutes ces recommandations? Le plaisir et l’adaptation! Y a-t-il quelque chose de plus beau que de voir une grand-mère faire du vélo avec son petit-fils?
La simplicité a toujours sa place
Manque de temps? Manque d’espace? Budget amputé par la hausse du coût de la vie?
Vos enfants n’en demandent pas tant, vous savez! Ce qu’ils veulent, c’est un parent présent pour qui le plaisir de bouger passe par la simplicité. Pas besoin de partir à l’autre bout de la ville pendant toute la journée pour bouger en famille.
Balade à vélo
Jeu de marelle dans la ruelle
Corde à danser dans la cour
Baignade à la piscine municipale
Randonnée dans le bois à côté de la maison
Cache-cache au sous-sol
Tennis sur le mur arrière du garage
Qui n’a jamais fait de concours du plus grand nombre de frappes de balle avec sa raquette de tennis sur un mur? Rappelez-vous les souvenirs qui y sont rattachés et tentez de faire revivre la même chose à vos enfants! Rien de plus simple et efficace pour vous permettre de bouger en famille, n’est-ce pas?
Votre été inoubliable : voici les 6 activités à faire en famille
1. L’incontournable promenade à vélo
Cette activité est sans aucun doute l’une des plus pratiquées en famille pendant la période estivale. Elle permet de bouger à son rythme et celui des enfants. Pourquoi ne pas en profiter pour prendre une pause au bord de l’eau et admirer la beauté de notre région? Le Québec regorge de pistes cyclables toutes aussi magnifiques les unes que les autres. C’est un must!
2. Votre municipalité et ses multiples activités
Souvent mises de côté, les municipalités ou villes proposent pourtant une foule d’activités familiales axées sur l’apprentissage et le mouvement en même temps.
Visite au zoo
Journée au parc aquatique
Visite au musée suivie d’une chasse au trésor
Journée au parc d’amusement intérieur
Journée au parc d’amusement extérieur
3. Hébertisme
Existe-t-il une meilleure façon de développer plusieurs aptitudes à la fois? L’hébertisme est une activité physique vous permettant de stimuler l’équilibre, le système cardiovasculaire, l’endurance et la force musculaire, et ce, tout à la fois :
On marche
On court
On saute
On grimpe
On supporte notre corps
Une journée en hébertisme avec vos enfants leur garantit une nuit de sommeil complète… pensez-y! Une dépense d’énergie bien investie!
4. Votre maison : là où les possibilités sont infinies
Il pleut? Le budget est limité? Un membre de votre troupe a attrapé un vilain virus qui vous oblige à vous isoler quelques jours en famille?
Profitez des nombreuses alternatives que vous offre votre toit :
Course à relais dans la cour
Danse dans le salon
Cache-cache au sous-sol
Chasse au trésor chronométrée
5. Autocueillette de fruits
Quelle chance nous avons d’être dans une province où la culture est à l’honneur! L’autocueillette est de plus en plus populaire auprès de familles puisque ces dernières tendent à se rapprocher de ce que leur offre la nature. On profite du grand air, on grignote des fruits en même temps, on bouge et on cuisine ensuite. Le bonheur!
6. La baignade sous toutes ses formes
Pour plusieurs, l’été est synonyme de baignade. C’est une excellente activité physique puisqu’elle stimule le système cardiovasculaire tout en limitant le poids sur les articulations. Elle fait donc partie des activités familiales de choix! Allez à la piscine municipale, visitez les plages de votre région ou utilisez votre piscine plus souvent!
N’oubliez pas! La simplicité rend souvent les activités plus légères et amusantes! Laquelle choisirez-vous?
Sources telles que consultées le 4 juillet 2022 https://www.wellnessnb.ca/wp-content/uploads/2015/11/Cahier-pour-les-Directives-en-mati%C3%A8re-d%E2%80%99activit%C3%A9-physique-et-de-comportement-s%C3%A9dentaire.pdf
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Syndrome croisé inférieur : quand le bas du corps compense trop
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Syndrome croisé inférieur : quand le bas du corps compense trop
Les temps changent. Bien que les technologies nous amènent plusieurs avantages, elles se taillent malheureusement une place grandissante dans les facteurs de risque associés aux douleurs physiques. La situation mondiale des derniers mois a contribué à augmenter le nombre de gens faisant du télétravail et les jeunes passent de plus en plus de temps devant les différents écrans qui sont à leur disposition. Qu’en est-il de leur posture? Quel impact physique cela peut-il avoir sur eux?
Dans cet article, vous comprendrez l’importance d’une bonne posture lors de l’utilisation des technologies afin de vous aider à maintenir un état de santé optimal. Nous aborderons principalement le syndrome croisé inférieur, puisque même si l’on pense souvent aux douleurs au haut du corps lorsqu’il est question d’écrans, le bas du corps n’est pas à négliger.
Le bas du corps paie souvent le prix lui aussi
L’utilisation des technologies est souvent associée à l’apparition de douleurs ou conditions au haut du corps :
Syndrome du cou texto
Syndrome croisé supérieur
La région lombaire, la région fessière, les hanches et les jambes ne sont cependant pas moins touchées par la posture à l’écran. Plusieurs symptômes ciblant ces régions vont toucher les travailleurs de bureau :
Douleur lombaire locale ciblant la colonne vertébrale lombaire
Douleur lombaire locale ciblant le côté gauche ou le côté droit
Douleur lombaire diffuse (qui s’étend d’un côté à l’autre)
Douleur ciblant le bassin, de façon unilatérale (1 seul côté) ou bilatérale (2 côtés en même temps)
Douleur ciblant les hanches, de façon unilatérale (1 seul côté) ou bilatérale (2 côtés en même temps)
Douleur dans 1 jambe
Douleur dans les 2 jambes
Engourdissement dans 1 jambe (ex.: problématique sciatique)
Engourdissement dans les 2 jambes
Raideurs lombaires
Ces douleurs peuvent être ou non reliées au syndrome croisé inférieur, mais sont régulièrement présentes chez les travailleurs de bureau. En consultant un professionnel de la santé ayant une expertise dans le domaine neuromusculosquelettique comme votre chiropraticien, vous serez en mesure de savoir si vos douleurs découlent de ce syndrome ou non. Vous obtiendrez ensuite un suivi et des recommandations appropriés à votre condition.
Le syndrome croisé inférieur : qu’en est-il réellement?
Comme le syndrome croisé supérieur, le syndrome croisé inférieur est principalement associé au travail de bureau. La posture inadéquate et/ou prolongée en est souvent le point de départ.
Il se définit comme un syndrome compensatoire dans lequel un débalancement est présent entre les différents groupes musculaires lombaires, fessiers, abdominaux et de la hanche. Certains sont hypotoniques (faibles, hyporéactifs, hypoactifs) alors que d’autres sont hypertoniques (forts, hyperréactifs, hyperactifs).
1. Muscles hypotoniques a. Les abdominaux (grand droit, obliques internes et externes, transverse) b. Les fessiers (grand, moyen et petit)
2. Muscles hypertoniques a. Fléchisseurs de la hanche (psoas, droit fémoral, tenseur du fascia lata) b. Érecteurs du rachis (thoraciques et lombaires)
Visuellement, on observe que les gens qui en sont atteints ont de plus une inclinaison avant de leur bassin.
À la lueur de cette image, vous comprendrez sans doute l’origine du nom du syndrome croisé inférieur en réalisant que les groupes musculaires hypotoniques et hypertoniques se croisent et forment un X.
Comment limiter l’apparition du syndrome croisé inférieur?
Comme mentionné précédemment, la posture inadéquate et/ou prolongée à l’ordinateur est souvent le point de départ du syndrome croisé inférieur.
Lorsqu’un travailleur de bureau est installé convenablement, les structures physiques sont supportées adéquatement. En conséquence, le stress qu’elles subissent est moindre si l’on compare avec une posture inadéquate.
Une mauvaise posture de courte durée n’est pas problématique en soi. Cependant, de façon prolongée, la capacité d’adaptation du corps sera limitée et il développera des compensations. Ces dernières auront comme objectif d’éviter les douleurs, mais créeront des changements physiques qui seront ensuite peut-être difficiles à contrôler. Le résultat pourra alors se diviser en 2 :
Altérations de la posture afin d’éviter une douleur
Apparition de la douleur suite à l’altération de la posture puisque le corps ne parvient pas à garder son équilibre face au stress constant qui lui est imposé.
Donc, bien que le corps cherche à compenser, la douleur finit toujours par ressortir en plus de l’altération de posture, puisque l’élément stressant persiste dans le temps.
C’est un cercle vicieux sur lequel on peut avoir un impact en modifiant certaines habitudes de vie comme la posture à l’écran :
Écran à une distance d’un bras par rapport à la tête, un peu plus bas que la hauteur des yeux et incliné vers l’arrière.
Épaules relâchées et avant-bras parallèles au sol.
Poignet au neutre ou légèrement en extension, idéalement déposé sur un repose-poignet.
Fauteuil avec support lombaire et ajustable en hauteur.
Accoudoirs réglables qui permettent aux coudes d’être à la largeur des épaules.
Cuisses parallèles au sol, sans pression derrière les jambes.
Pieds à plat sur le sol ou sur un repose-pied.
Casque d’écoute au besoin.
Pauses régulières afin de changer de posture
Astuce : pensez à la règle du 90 degrés, qui rappelle qu’une posture de travail de bureau optimale devrait permettre aux articulations suivantes d’être à 90 degrés :
coudes
hanches
genoux
pieds
En plus des recommandations faites sur la posture à l’écran, n’oubliez pas de bouger régulièrement. L’activité physique a des bienfaits inestimables pour la santé globale!
Le chiropraticien et le syndrome croisé inférieur : n’ignorez pas vos douleurs
Lorsqu’une douleur apparaît, c’est que le corps ne parvient pas à maintenir son équilibre et n’est plus en mesure de se réguler par lui-même. Puisque la chiropratique a pour objectif d’optimiser la santé neurovertébrale pour permettre au corps d’exprimer son plein potentiel, votre chiropraticien pourrait grandement vous aider dans le suivi du syndrome croisé inférieur.
En procédant de la façon suivante, il pourra évaluer votre état de santé, établir un diagnostic chiropratique, traiter les subluxations vertébrales et émettre des recommandations qui viseront à améliorer votre santé globale :
Anamnèse (période de questions sur la santé générale)
Examen physique complet (neurologique, musculaire, vertébral et articulaire)
Examens complémentaires au besoin (ex.: radiographies)
Ajustements chiropratiques ou manipulations articulaires des extrémités selon votre condition
Utilisation de thérapies complémentaires au besoin (ex.: travail des tissus mous, ultrasons, TENS)
Recommandations d’exercices d’étirement ou de renforcement selon les groupes musculaires impliqués
Recommandations sur certaines habitudes de vie comme les changements posturaux mentionnés plus haut
En formant une équipe avec son patient, le chiropraticien a pour objectif de déterminer la cause d’un problème pour ensuite permettre à celui qui le consulte d’être soulagé de ses douleurs, mais surtout, d’optimiser sa santé et le fonctionnement de son système nerveux.
N’hésitez pas à consulter votre chiropraticien, son expertise pourrait vous être grandement bénéfique!
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Les top tendances bien-être 2022
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Les top tendances bien-être 2022
Le bien-être n’aura jamais été tant recherché que depuis les dernières années. Après plus de 24 mois d’incertitude, de restrictions et d’ambivalence, les temps sont maintenant plus doux et laissent entrevoir un retour à la normale. Mais… comment retrouver cet état? Cet article vous permettra d’y parvenir puisque nous y partageons les top tendances bien-être de 2022. Bonne lecture!
D’abord et avant tout : reconnaître l’état de bien-être
Le bien-être est un état généralement agréable qui peut toucher différentes sphères de la vie. Pour vous faciliter la tâche dans votre apprentissage (ou votre perfectionnement), voici quelques émotions/états qui pourraient traduire sa présence :
Sensation de calme
Sérénité
Joie
Satisfaction générale
Rire fréquent et facile
Gratitude quotidienne
Amélioration d’un état de stress
Sentiment de légèreté
Sommeil facile et réparateur
Comme vous le comprendrez plus loin, le bien-être est un concept très large. La liste pourrait être bien plus exhaustive. Les critères qu’on lui associe varient d’une personne à l’autre et au fil du temps, vous serez capables de déterminer vous-mêmes quelles sont les émotions que vous lui rattachez.
À chacun son bien-être
Vous avez un intérêt pour le bien-être mais vous vous sentez bombardés de recettes santé, d’articles sur la méditation, de méthodes qui vous permettent de vous connecter à votre « soi » qui soient toutes plus efficaces les unes que les autres? Vous en êtes rendus à vous dire que votre quête vous procure l’effet inverse et engendre davantage un état de stress que ceux décrits plus haut?
C’est bon signe puisque c’est là que débute réellement votre processus. Ce n’est donc pas peine perdue!
C’est à ce moment que vous prenez conscience que certaines techniques vous rejoignent alors que d’autres, non. Vous réalisez donc votre responsabilité dans l’atteinte d’un bien-être global qui vous est propre. Pour vous. Tout simplement!
Donnez-vous le droit de prendre ce qui vous rejoint et laissez aller ce qui ne vous rejoint pas. Cette capacité à vous centrer sur vos propres émotions traduit en elle-même un état de bien-être.
Tendances bien-être 2022
Plusieurs options sont mises à disposition afin de développer son état de bien-être. Pour vous, nous avons répertorié 4 tendances qui méritent une attention particulière. À vous de faire votre choix!
1. Le Lagom
“Ni trop, ni trop peu”. Juste assez!
C’est le principe de base de cette tendance bien-être d’origine suédoise qui cherche un équilibre en prônant le juste milieu. Finis, les extrêmes!
En voici les grandes lignes, et à vous de voir si elles vous rejoignent :
Consommation intelligente, raisonnable et verte
Un espace de vie simple
Alimentation optimale (connaissez-vous l’alimentation pleine conscience?)
Reconnexion à la nature
Beauté/look au naturel
La famille d’abord
Activité physique dans le respect de ses limites
Un excellent moyen de ramener un équilibre dans le quotidien, n’est-ce pas?
2. La méditation… encore et toujours!
Ce n’est plus un secret pour personne : la méditation a fait ses preuves comme méthode pouvant grandement contribuer au bien-être global. Ses nombreux bienfaits font d’elles un incontournable en matière de bien-être. En effet, elle peut avoir de nombreux impacts sur :
La concentration
Le niveau de stress
L’activité électrique cérébrale
L’état cognitif
Les émotions plus positives, un maintien de la stabilité émotionnelle
Les bouddhistes méditent depuis des millénaires et en connaissent les effets positifs. En ferez-vous autant?
3. La respiration
De nos jours, le bien-être est souvent associé à une diminution du stress. Lorsqu’on choisit de combattre ce dernier, on ressent généralement des émotions positives qui nous amènent au bien-être.
La respiration peut jouer un rôle antistress très intéressant puisqu’elle est simple et que nous pouvons y avoir accès en tout temps. Pourquoi se priver d’un état de bien-être en sachant que des méthodes comme celles liées à la respiration sont à notre portée? Voici 2 techniques de respiration à considérer :
– Respiration abdominale
La respiration abdominale est reconnue pour ses bienfaits antistress.
En position allongée, placez une main au niveau du ventre et l’autre à la poitrine pour bien ressentir le mouvement lors de la respiration.
Inspirez lentement par le nez en gonflant l’abdomen. Faites entrer le maximum d’air possible.
Expirez lentement par le nez en passant par l’abdomen pour faire sortir le maximum d’air possible. Plus l’amplitude de l’inspiration et de l’expiration sera grande, plus vous irez chercher un état de détente, et par le fait même, de bien-être.
– Cohérence cardiaque
La cohérence cardiaque permet d’amener la fréquence de respiration à un rythme de 0,1 Hertz, ce qui a un impact positif (entre autres) sur le niveau de stress et la sécrétion de cortisol (hormone sécrétée en période de stress).
Elle doit être pratiquée à raison de 3 fois par jour.
Elle demande 6 respirations par minute, c’est-à-dire qu’il y a une inspiration de 5 secondes suivie d’une expiration de 5 secondes pendant cette minute.
Chaque fois, elle doit être faite pendant 5 minutes.
Chassons le stress et laissons venir le bien-être!
4. La chiropratique
Vous le savez, la chiropratique a une vision globale de la santé. Elle allie science, art et philosophie dans le but d’optimiser la santé neuromusculosquelettique.
La santé et le bien-être étant désormais au cœur des priorités, le chiropraticien pourrait faire partie des professionnels permettant à la population de cheminer vers cet état tant recherché.
En travaillant pour favoriser un alignement vertébral optimal et en donnant des conseils avisés en matière de santé globale, gageons que vous pourrez désormais considérer cette avenue!
À votre bien-être!
Sources, telles que consultées le 7 juin 2022 https://www.chiropratique.com/
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Douleur au coude et chiropratique : un duo incomparable
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Douleur au coude et chiropratique : un duo incomparable
La douleur au coude est plus fréquente que l’on croit. Elle touche autant les sportifs que les sédentaires. Elle peut survenir à la suite d’une mauvaise posture, une surutilisation ou lors d’un traumatisme. De plus, elle ne fait pas abstraction de l’âge. Dans cet article, vous apprendrez quels sont ses mécanismes d’apparition, mais surtout, vous comprendrez les 6 avantages à consulter en chiropratique afin d’optimiser la fonction de cette articulation.
Le coude : quand la douleur s’installe
Les troubles liés à l’articulation du coude peuvent se présenter de différentes façons :
Douleur localisée (comme un point précis)
Douleur irradiante (qui s’étend vers la main ou l’épaule
Douleur au repos
Douleur au mouvement
Douleur associée à une diminution de l’amplitude de mouvement
Douleur d’intensité variable à l’avant ou l’arrière de l’articulation
Douleur associée à un engourdissement
Raideur générale de l’articulation
Douleur associée à un œdème (enflure)
Douleur lors de mouvements spécifiques
Douleur associée à une perte de force
De cette liste, plusieurs caractéristiques pourraient être présentes en même temps. Le chiropraticien étant formé pour évaluer, émettre un diagnostic chiropratique et traiter les conditions neuromusculosquelettiques, son expertise pourrait grandement vous aider à déterminer quelle est la cause de votre douleur et ensuite vous proposer le suivi le mieux adapté à votre condition.
Décortiquer les mouvements pour mieux comprendre
Le coude est formé de 3 os (humérus, radius et ulna) ainsi que de plusieurs types de tissus mous comme les ligaments, les tendons, les bourses et les capsules articulaires.
Ensemble, tous ces éléments constituent une articulation qui permet 4 types de mouvements :
Flexion (plier le coude)
Extension (déplier le coude)
Supination (tourner les mains vers le haut)
Pronation (tourner les mains vers le bas)
Pour que l’articulation puisse fonctionner optimalement et permettre un mouvement adéquat et sans douleur, une synergie doit être présente au sein de chaque composante. Le corps ayant la capacité de s’autogérer une attention doit tout de même être portée à chaque changement qui s’installe (apparition de douleur, diminution de l’amplitude de mouvement, œdème, etc.) puisque l’équilibre du coude peut facilement être dérangé et laisser certaines conditions devenir plus importantes.
Qu’est-ce qui peut causer une perte de synergie dans les structures du coude?
Les conditions neuromusculosqueletettiques associées au coude peuvent avoir différentes origines. Comme mentionné d’entrée de jeu, la douleur au coude peut cibler plusieurs types de clientèles, allant des touts petits aux gens du bel âge :
1. Des problèmes de coude chez les moins de 6 ans?
Avez-vous déjà fait virevolter votre enfant en le tenant par les mains? Rares sont ceux qui n’aiment pas ça, n’est-ce pas? Cependant, ce jeu entraîne une très grande force de traction au niveau du coude et peut causer une subluxation de la tête radiale (la tête radiale quitte son emplacement normal). Chez les jeunes enfants, les structures articulaires n’ont pas encore atteint leur maturité et ont une plus grande laxité qu’à l’âge adulte. La traction exercée sur le coude lors de cette manœuvre peut être suffisante pour créer une subluxations de la tête radiale.
Parfois douloureuse, parfois non, une diminution ou une gêne des mouvements du coude est généralement observée suite à un mouvement ayant exercé une traction sur le bras.
Lors de votre visite chez votre chiropraticien, si celui-ci détermine que la tête radiale est subluxée, il vous dirigera sans hésitation à votre médecin pour qu’un suivi approprié soit effectué.
2. Les sportifs et les tendinites
Les tendinites au coude, entre autres chez les golfeurs et les joueurs de tennis, sont relativement fréquentes.
Joueurs de golf (épicondylite médiale, golf elbow) : En raison du mouvement effectué lors de la frappe de la balle, les muscles fléchisseurs du poignet et des doigts sont très sollicités. Puisqu’ils s’attachent sur l’épicondyle médial, la répétition du mouvement peut créer une inflammation à l’insertion des muscles et ainsi être à l’origine de l’épicondylite.
Joueurs de tennis (épicondylite latérale, tennis elbow) : De façon similaire, le mouvement fait lorsque le joueur de tennis frappe la balle stimule les muscles extenseurs du poignet et des doigts qui s’attachent sur l’épicondyle latéral. L’épicondylite s’installe en raison de la répétition du mouvement et de la surutilisation des muscles. Petits ou grands peuvent donc se retrouver avec une douleur causée par leur sport.
3. Les travailleurs de bureau
Ce n’est plus un secret pour personne : l’ergonomie de bureau est un véritable casse-tête pour les travailleurs. Bien qu’elle ne soit pas exigeante en soi, une posture de travail à l’ordinateur inadéquate peut causer bien du tort au membre supérieur. Si l’on pense plus souvent à l’épaule et au cou, le coude n’est pas moins impliqué dans les troubles découlant des postures de travail.
4. Les ouvriers en posture statique
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la posture statique n’est pas moins dommageable que celle qui demande une utilisation fréquente d’un muscle. Le fait de travailler les bras dans les airs, par exemple, demande une contraction constante de certains groupes de muscles, ce qui entraîne une fatigue et peut être à l’origine de certaines conditions ciblant le coude (ex.: dysfonction articulaire, tendinite).
5. Les personnes ayant subi un traumatisme direct
Une chute sur le coude peut être anodine, mais elle peut également entraîner une bursite, une tendinite, une entorse, une fracture ou une dislocation.
6. Les gens à risque de dégénérescence
Comme n’importe quelle articulation, le coude peut être touché par l’arthrose. Un historique de traumatisme peut, par exemple, avoir causé une dysfonction à l’articulation et être à l’origine d’une dégénérescence osseuse précoce.
7. Les utilisateurs de technologies
Qu’elle soit optimale ou non, l’utilisation d’un clavier sur une période prolongée peut être à l’origine de conditions ciblant le coude. Il en va de même pour l’utilisation des autres technologies comme le cellulaire, la tablette et les jeux vidéo.
La chiropratique à la rescousse
De par sa vision globale de la santé, le chiropraticien peut être à même d’influencer plusieurs aspects d’une condition neuromusculosquelettique ciblant le coude. Voici donc les 6 raisons pour lesquelles vous pourriez songer à le consulter!
1. Trouver la cause
Lors de la visite de son patient, le rôle premier du chiropraticien est de déterminer quelle est l’origine de la condition pour laquelle il le consulte. Son anamnèse (période de questions) l’aidera entre autres à évaluer ses habitudes de vie, ses antécédents et recueillir plus d’information sur la douleur.
2. Effectuer un examen physique complet
Suite à l’anamnèse, un examen physique en lien avec les informations recueillies vient confirmer ou infirmer certaines possibilités afin d’aider le chiropraticien dans l’élaboration de son diagnostic chiropratique.
3. Compléter l’analyse de cas avec des examens complémentaires
Afin d’émettre son diagnostic chiropratique, le chiropraticien peut avoir besoin d’examens complémentaires comme des rayons X. Puisque sa formation lui permet de prescrire, prendre et analyser des radiographies de tout l’appareil locomoteur (colonne vertébrale et extrémités), il pourrait compléter sa prise de données par des clichés de votre coude.
4. Traiter les conditions neuromusculosquelettiques
Une fois le diagnostic chiropratique émis, un suivi est recommandé. Il propose généralement des manipulations vertébrales et articulaires. Certaines thérapies complémentaires pourront s’ajouter comme l’ultrason, la neurostimulation électrique transcutanée (TENS), l’utilisation de glace ou de chaleur, le laser ou la thérapie par ondes de choc. Dans l’éventualité où une référence à un autre professionnel ou une collaboration interprofessionnelle soit envisagée, il sera également en mesure de le faire.
5. Recommander des exercices spécifiques
Dans une optique d’optimisation de la santé et de prévention des récidives, certains exercices peuvent être recommandés. Selon le besoin, ils viseront à renforcer ou étirer certains groupes musculaires afin d’assurer une bonne stabilité de l’articulation du coude.
6. Suggérer des changements d’habitudes de vie
Dans l’éventualité où l’origine de votre condition soit liée à une mauvaise posture, un mouvement répétitif ou une surutilisation, votre chiropraticien pourrait vous recommander des changements au niveau de certaines habitudes de vie : amélioration de la posture, modification du poste de travail, diminution de la fréquence d’un mouvement particulier.
Votre chiropraticien : un professionnel qui a à cœur votre bien-être global. N’hésitez pas à le consulter!
Sources, telles que consultées le 24 mai 2022 : http://www.irsst.qc.ca/media/documents/pubirsst/rg-779.pdf
#anatomie du coude#chiropratique#coude#douleurs au coude#mécanismes#mouvement du coude#structure du coude
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - L’arrivée du beau temps : 5 astuces santé pour optimiser votre vitalité.
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L’arrivée du beau temps : 5 astuces santé pour optimiser votre vitalité.
Ça y est! La chaleur printanière s’est installée au cours des derniers jours! Si pour certains, les tempêtes de neige ont été synonymes de journées au grand air, pour d’autres, elles ont plutôt été associées aux mois les plus inactifs de l’année. Bien que l’apparition de la verdure soit un signe de renouveau, le changement de saison peut comporter certains défis. Dans cet article, vous découvrirez comment optimiser l’arrivée du beau temps en découvrant nos 5 astuces santé.
1. C’est assez, l’hibernation! Stimulez votre système cardiovasculaire!
Si vous faites partie de ceux qui n’ont pas été actifs de l’hiver, il est possible que le raclage du terrain et le balayage de rue vous semblent exigeants. Sachant que vous n’y échapperez pas, soyez astucieux et prévoyez le coup!
Stimulez graduellement votre système cardiovasculaire et ajoutez des pas à votre journée en prévision des corvées printanières et des activités estivales :
Chaque jour, sortez marcher une quinzaine de minutes
Privilégiez les escaliers
Stationnez votre voiture plus loin qu’à l’habitude
Descendez de l’autobus un arrêt avant
Inscrivez-vous au club de marche local
Lorsque votre enfant est à l’entraînement de hockey, profitez-en pour sortir marcher ou arriver 5 minutes avant et profiter du plein air.
* Bonus : Lorsque vous vous sentirez prêts, augmentez la vitesse ou intégrez des intervalles.
La marche ne vous interpelle pas nécessairement? Voici des suggestions fort intéressantes pour stimuler vos capacités cardiovasculaires :
Natation
Vélo
Danse
Badminton
Yoga
Pilates
Bien que le printemps soit grandement avancé, il n’est pas trop tard pour commencer! Allez hop!
2. Des exercices musculaires ultras simples pour vous supporter au quotidien
Il serait utopique de penser à racler un terrain sans en subir les conséquences physiques le lendemain. Même les gens actifs se réveillent avec des courbatures après une telle corvée. Pensez tout de même à préparer votre corps en vous assurant d’un bon tonus musculaire.
Exercices avec des bandes de résistance
Exercices avec des poids libres
Exercices utilisant le poids du corps (push-ups, lunges, squats, abdominaux)
N’oubliez pas que l’activité physique pratiquée régulièrement n’apporte que des bienfaits :
Procure de l’énergie
Réduit le stress
Nous rend plus forts
Prolonge l’autonomie à mesure que nous vieillissons
Aide à prévenir des maladies chroniques (cancer, obésité, hypertension, maladies du cœur, diabète de type 2)
3. Vous voulez travailler efficacement? Préparez-vous adéquatement!
Vous prévoyez faire partie de la vague et créer votre propre jardin? Fantastique! Le jardinage est un excellent moyen pour profiter du grand air, être actif et manger des aliments savoureux. Avant de débuter, et même si vous êtes des habitués, prévoyez rendre votre passe-temps agréable et sécuritaire :
Préparez votre corps avant de faire l’activité
Utilisez les bons outils (brouette, pelle, arrosoir, gants, etc.)
Soulevez les charges et penchez-vous adéquatement
Allez-y par étapes, un peu à la fois
Utilisez la pelle de la bonne façon
Variez les positions
Prenez des pauses régulières
Hydratez-vous
4. Ayez une vision globale et à long terme de votre santé
C’est très connu : après les résolutions du Nouvel An, l’approche de l’été est sans aucun doute le moment de l’année où la santé redevient subitement une priorité. Comme s’il fallait être prêt pour l’été depuis la veille.
Mais comment échapper à ce stress superflu et faire de sa santé une priorité au quotidien? Voici nos réflexions sur le sujet :
Sans objectif clair, les attentes ne peuvent être comblées. Attention : il n’est pas question de distance de course, de nombre de pas dans une journée ou de poids à perdre. Il est question de prise de conscience quant à l’importance de la santé. En ayant comme objectif de faire des choix de vie sains qui optimisent la santé au quotidien, le reste suit inévitablement. Qu’on soit le 26 décembre, le 1er janvier ou le jour de notre anniversaire, ça n’a pas d’importance tant qu’on fait les bons choix et qu’on les assume. À partir de ce moment, l’objectif est clair et l’arrivée du printemps n’est que la poursuite des décisions qui ont été prises pour les bonnes raisons. Fini, le stress
Soyez dans l’acceptation Nous pourrions aussi dire: soyez indulgents. Foncer à tête baissée dans un projet ne donne pas toujours les résultats escomptés. Penser qu’il n’y aura pas d’embûches en lien avec la constance, la motivation et la persévérance n’est pas ce qu’il y a de plus réaliste. Essayez de voir l’optimisation de la santé comme un processus : un jour à la fois, avec plaisir et légèreté. On bouge pour le plaisir, on travaille la musculature pour préserver notre autonomie et on mange sainement pour se construire une santé. Pas pour correspondre à des standards non essentiels.
5. Veillez à consulter votre chiropraticien pour optimiser votre santé
Votre chiropraticien est un allié important à considérer dans l’optimisation de votre santé et ce. Il se fera un devoir de vous guider à l’arrivée du printemps si vous en avez besoin, mais sachez que son expertise peut vous être bénéfique tout au long de l’année!
Puisqu’il a comme objectif d’optimiser votre santé globale, l’analyse de votre colonne vertébrale lui permettra d’évaluer la présence de subluxations vertébrales. Il pourra par la suite effectuer des ajustements vertébraux pour favoriser le mouvement des vertèbres.
Son expertise lui permet d’évaluer, diagnostiquer et traiter les conditions neuromusculosquelettiques. À la venue du printemps, il peut vous aider à élaborer avec vous un plan de match qui vous permettra d’optimiser votre santé neurovertébrale et vous supporter dans la pratique de vos activités.
Ses compétences lui permettent d’évaluer votre posture et déterminer si certains exercices doivent être proposés afin d’optimiser votre santé. Débutant? Athlète? Sportif amateur? Sédentaire? Chaque situation est unique et nécessite un suivi personnalisé.
Exercices d’étirement
Exercices de renforcement
Exercices de stabilisation
Exercices posturaux
Que de bénéfices en vue d’une santé optimale!
En espérant que les prochaines semaines vous permettent de faire des choix qui vous aideront pour très longtemps!
Sources telles que consultées le 9 mai 2022 https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/etre-actif/votre-sante-activite-physique.html
#astuces santé#beau temps#chiropraticien#chiropratique#exercices#printemps#santé#système cardiovasculaire
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - L’arrivée du beau temps : 5 astuces santé pour optimiser votre vitalité.
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L’arrivée du beau temps : 5 astuces santé pour optimiser votre vitalité.
Ça y est! La chaleur printanière s’est installée au cours des derniers jours! Si pour certains, les tempêtes de neige ont été synonymes de journées au grand air, pour d’autres, elles ont plutôt été associées aux mois les plus inactifs de l’année. Bien que l’apparition de la verdure soit un signe de renouveau, le changement de saison peut comporter certains défis. Dans cet article, vous découvrirez comment optimiser l’arrivée du beau temps en découvrant nos 5 astuces santé.
1. C’est assez, l’hibernation! Stimulez votre système cardiovasculaire!
Si vous faites partie de ceux qui n’ont pas été actifs de l’hiver, il est possible que le raclage du terrain et le balayage de rue vous semblent exigeants. Sachant que vous n’y échapperez pas, soyez astucieux et prévoyez le coup!
Stimulez graduellement votre système cardiovasculaire et ajoutez des pas à votre journée en prévision des corvées printanières et des activités estivales :
Chaque jour, sortez marcher une quinzaine de minutes
Privilégiez les escaliers
Stationnez votre voiture plus loin qu’à l’habitude
Descendez de l’autobus un arrêt avant
Inscrivez-vous au club de marche local
Lorsque votre enfant est à l’entraînement de hockey, profitez-en pour sortir marcher ou arriver 5 minutes avant et profiter du plein air.
* Bonus : Lorsque vous vous sentirez prêts, augmentez la vitesse ou intégrez des intervalles.
La marche ne vous interpelle pas nécessairement? Voici des suggestions fort intéressantes pour stimuler vos capacités cardiovasculaires :
Natation
Vélo
Danse
Badminton
Yoga
Pilates
Bien que le printemps soit grandement avancé, il n’est pas trop tard pour commencer! Allez hop!
2. Des exercices musculaires ultras simples pour vous supporter au quotidien
Il serait utopique de penser à racler un terrain sans en subir les conséquences physiques le lendemain. Même les gens actifs se réveillent avec des courbatures après une telle corvée. Pensez tout de même à préparer votre corps en vous assurant d’un bon tonus musculaire.
Exercices avec des bandes de résistance
Exercices avec des poids libres
Exercices utilisant le poids du corps (push-ups, lunges, squats, abdominaux)
N’oubliez pas que l’activité physique pratiquée régulièrement n’apporte que des bienfaits :
Procure de l’énergie
Réduit le stress
Nous rend plus forts
Prolonge l’autonomie à mesure que nous vieillissons
Aide à prévenir des maladies chroniques (cancer, obésité, hypertension, maladies du cœur, diabète de type 2)
3. Vous voulez travailler efficacement? Préparez-vous adéquatement!
Vous prévoyez faire partie de la vague et créer votre propre jardin? Fantastique! Le jardinage est un excellent moyen pour profiter du grand air, être actif et manger des aliments savoureux. Avant de débuter, et même si vous êtes des habitués, prévoyez rendre votre passe-temps agréable et sécuritaire :
Préparez votre corps avant de faire l’activité
Utilisez les bons outils (brouette, pelle, arrosoir, gants, etc.)
Soulevez les charges et penchez-vous adéquatement
Allez-y par étapes, un peu à la fois
Utilisez la pelle de la bonne façon
Variez les positions
Prenez des pauses régulières
Hydratez-vous
4. Ayez une vision globale et à long terme de votre santé
C’est très connu : après les résolutions du Nouvel An, l’approche de l’été est sans aucun doute le moment de l’année où la santé redevient subitement une priorité. Comme s’il fallait être prêt pour l’été depuis la veille.
Mais comment échapper à ce stress superflu et faire de sa santé une priorité au quotidien? Voici nos réflexions sur le sujet :
Sans objectif clair, les attentes ne peuvent être comblées. Attention : il n’est pas question de distance de course, de nombre de pas dans une journée ou de poids à perdre. Il est question de prise de conscience quant à l’importance de la santé. En ayant comme objectif de faire des choix de vie sains qui optimisent la santé au quotidien, le reste suit inévitablement. Qu’on soit le 26 décembre, le 1er janvier ou le jour de notre anniversaire, ça n’a pas d’importance tant qu’on fait les bons choix et qu’on les assume. À partir de ce moment, l’objectif est clair et l’arrivée du printemps n’est que la poursuite des décisions qui ont été prises pour les bonnes raisons. Fini, le stress
Soyez dans l’acceptation Nous pourrions aussi dire: soyez indulgents. Foncer à tête baissée dans un projet ne donne pas toujours les résultats escomptés. Penser qu’il n’y aura pas d’embûches en lien avec la constance, la motivation et la persévérance n’est pas ce qu’il y a de plus réaliste. Essayez de voir l’optimisation de la santé comme un processus : un jour à la fois, avec plaisir et légèreté. On bouge pour le plaisir, on travaille la musculature pour préserver notre autonomie et on mange sainement pour se construire une santé. Pas pour correspondre à des standards non essentiels.
5. Veillez à consulter votre chiropraticien pour optimiser votre santé
Votre chiropraticien est un allié important à considérer dans l’optimisation de votre santé et ce. Il se fera un devoir de vous guider à l’arrivée du printemps si vous en avez besoin, mais sachez que son expertise peut vous être bénéfique tout au long de l’année!
Puisqu’il a comme objectif d’optimiser votre santé globale, l’analyse de votre colonne vertébrale lui permettra d’évaluer la présence de subluxations vertébrales. Il pourra par la suite effectuer des ajustements vertébraux pour favoriser le mouvement des vertèbres.
Son expertise lui permet d’évaluer, diagnostiquer et traiter les conditions neuromusculosquelettiques. À la venue du printemps, il peut vous aider à élaborer avec vous un plan de match qui vous permettra d’optimiser votre santé neurovertébrale et vous supporter dans la pratique de vos activités.
Ses compétences lui permettent d’évaluer votre posture et déterminer si certains exercices doivent être proposés afin d’optimiser votre santé. Débutant? Athlète? Sportif amateur? Sédentaire? Chaque situation est unique et nécessite un suivi personnalisé.
Exercices d’étirement
Exercices de renforcement
Exercices de stabilisation
Exercices posturaux
Que de bénéfices en vue d’une santé optimale!
En espérant que les prochaines semaines vous permettent de faire des choix qui vous aideront pour très longtemps!
Sources telles que consultées le 9 mai 2022 https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/etre-actif/votre-sante-activite-physique.html
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Engourdissements : Les causes et les pistes de solutions
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Engourdissements : Les causes et les pistes de solutions
Ça picote, ça élance ou c’est engourdi. C’est intermittent ou c’est constant. Ça vient seul ou se présente avec d’autres symptômes. Ça peut être persistant ou de courte durée. Les engourdissements surviennent sous différentes formes et pour plusieurs raisons, mais quoi qu’il en soit, rares sont les gens qui n’en souffriront pas au cours de leur vie.
Dans cet article, vous en apprendrez davantage sur le concept d’engourdissement et pourrez comprendre qu’il n’est pas seulement associé à un nerf “coincé”. Après l’avoir décortiqué en 3 étapes faciles, la notion d’engourdissement n’aura plus aucun secret pour vous! Bonne lecture!
1. La voie de la sensation : essentielle à la compréhension de l’engourdissement
Un engourdissement est par définition une perte de sensation complète ou partielle qui peut s’accompagner de sensations anormales, qu’on appelle les paresthésies (comme le picotement). Parfois, d’autres signes et symptômes peuvent être associés à l’engourdissement :
Douleur
Faiblesse
Démangeaison
Sensation de brûlure
Extrémité froide
Maux de tête
Toute sensation, normale ou anormale, passe nécessairement par le système nerveux. C’est ce qu’on appelle la voie de la sensation. L’engourdissement n’y échappe pas, puisqu’il réfère à la perception d’une sensation.
Voici, de façon résumée, comment une sensation normale est perçue :
Stimulus extérieur (toucher, chaleur, douleur, vibration, etc.)
Détection de ce stimulus par des récepteurs sensoriels (fibres nerveuses sensorielles situées dans la peau)
Transport de l’information par les nerfs sensoriels (qui partent de la peau et se dirigent vers la moelle épinière)
Avant leur arrivée à la moelle épinière, les nerfs sensoriels changent de nom pour devenir des nerfs rachidiens (nerfs spinaux) et ensuite des racines nerveuses rachidiennes (racines nerveuses spinales).
Ces racines deviendront des neurones qui chemineront dans la moelle épinière en se dirigeant vers le tronc cérébral.
De là, le neurone se dirige à la zone du cerveau responsable de la perception et l’interprétation de la sensation.
En fonction du résultat de l’intégration, la réaction à adopter sera conséquente. Tout se fait sans qu’aucune décision ne soit prise de façon consciente :
Retrait en cas de stimulus douloureux ou de température inappropriée
Constat de ce qui est perçu sans pour autant devoir réagir vivement (vibration, toucher)
Cette voie de la sensation est primordiale. Elle permet à l’être humain d’interagir avec son environnement de façon optimale.
Sans elle, vous pourriez mettre la main sur un rond de poêle brûlant sans percevoir la douleur. Imaginez-vous le résultat après quelques instants? Vous comprenez mieux son importance maintenant, n’est-ce pas?
2. Comment comprendre l’apparition de l’engourdissement
La voie de la sensation est longue. Des récepteurs sensoriels jusqu’au cerveau, une dysfonction de n’importe quelle de ces structures peut mener à une perturbation de la sensation. De là peut résulter un engourdissement, provoqué par de multiples causes, divisées en 3 catégories distinctes :
1. Pression ou irritation des structures de la voie
De façon imagée, pensez à ce qui se produit lorsqu’on place un pied sur un boyau d’arrosage. La conséquence est de diminuer le débit de l’eau qui y circule, ce qui rend l’approvisionnement moins optimal.
L’engourdissement causé par la compression d’un nerf est assez fréquent. Les causes sont très variables :
Maintien d’une posture sur une longue période Un engourdissement dans les jambes lorsqu’on s’assoit en croisant les jambes est très fréquent. La compression sur le nerf est à l’origine de cet engourdissement.
Mouvement répétitif Les mouvements répétitifs peuvent occasionner une hypertrophie musculaire et de l’inflammation, ce qui comprime le nerf et crée un engourdissement comme dans le syndrome du canal carpien.
Syndrome du piriforme Cette condition neuromusculosquelettique est associée à une hypertonicité du muscle piriforme, ce qui comprime le nerf sciatique et peut causer un engourdissement sur une partie ou l’entièreté du trajet du nerf.
Hernie discale (compression d’une racine nerveuse, créant un engourdissement sur le trajet du nerf impliqué)
Arthrose vertébrale (rétrécissement de l’espace nécessaire aux racines nerveuses et aux nerfs dans la région vertébrale, ce qui peut causer un engourdissement)
Rétrécissement du canal vertébral, causant une compression sur la moelle épinière et engendrant un engourdissement (sténose spinale, tumeur)
Subluxation vertébrale
L’engourdissement peut être le résultat d’une subluxation vertébrale. Puisque la moelle épinière se retrouve à l’intérieur du canal vertébral et que les racines nerveuses émergent de chaque côté des vertèbres, l’inflammation pouvant être associée à la subluxation crée à son tour une irritation des structures nerveuses. L’engourdissement peut être la conséquence de cette irritation.
2. Diminution ou blocage de l’apport en sang vers le nerf ou les structures nerveuses de la voie
Certaines conditions ou postures peuvent causer un engourdissement puisqu’elles limitent l’apport en sang vers le nerf. S’il ne reçoit pas suffisamment de sang, sa fonction n’est pas optimale et l’engourdissement peut survenir.
Engourdissement dans les bras et les mains lorsqu’on dort le bras sous l’oreiller (dans cette posture, le muscle pectoral crée une pression sur les vaisseaux sanguins de la région, ce qui entraîne un engourdissement)
Syndrome du défilé thoracique Cette condition naît de la compression d’un nerf ou d’un vaisseau sanguin qui se situe entre le cou et le thorax (compression faite par un muscle, la clavicule ou une côte surnuméraire). L’engourdissement découle de cette compression et se situe à des endroits variables au niveau du membre supérieur. D’autres signes et symptômes peuvent être associés à cette condition neuromusculosquelettique.
Maintien d’une posture sur une longue période Un engourdissement dans les jambes lorsqu’on s’assoit en croisant les jambes est très fréquent. Comme mentionné précédemment, cette posture peut comprimer un nerf, mais aussi un vaisseau sanguin et provoquer un engourdissement.
Accident vasculaire cérébral (AVC) Cette condition est liée à une obstruction ou à la rupture d’une artère cérébrale, ce qui entraîne la mort de tissus cérébraux par manque d’apport sanguin. Selon la zone touchée, une des conséquences peut être un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage, dans le bras ou la jambe.
3. Conditions de santé particulières
Certaines conditions de santé peuvent causer un engourdissement. Elles peuvent être de différentes origines :
Troubles héréditaires (ex.: ataxie de Friedreich)
Troubles infectieux (ex.: VIH, lèpre, maladie de Lyme)
Troubles métaboliques (ex.: diabète, insuffisance rénale, carence en vitamine B12)
Conditions liées aux toxines ou aux médicaments (ex.: métaux lourds, certains médicaments de chimiothérapie)
Troubles de la myéline, cette matière qui recouvre certains neurones: (ex.: sclérose en plaques)
3. Chiropratique et soulagement de l’engourdissement : une combinaison parfaite!
Puisque le chiropraticien évalue, diagnostique et traite les conditions neuromusculosquelettiques, il est le professionnel de choix dans le suivi de l’engourdissement lorsque la cause est dans son champ de compétence.
En fonction des résultats obtenus à l’anamnèse et l’examen physique, il pourra déterminer quel est le suivi approprié afin d’optimiser la santé de son patient.
S’il conclut à une cause d’origine neuromusculosquelettique, il pourra établir son propre plan de traitement :
Ajustements chiropratiques
Manipulations des articulations périphériques (ex.: épaule, genou, poignet)
Travail musculaire
Thérapies complémentaires (ex.: ultrasons, stimulation électrique transcutanée)
Conseils posturaux
Changements de certaines habitudes de vie
Exercices d’étirement ou de renforcement
S’il le juge nécessaire, il dirigera son patient vers le professionnel de la santé qui pourra le prendre en charge et selon le cas, il pourra proposer une cogestion.
De par son rôle de premier contact (ne nécessite pas de référence médicale), il saura vous recevoir dans un délai raisonnable et vous guidera rapidement.
N’hésitez pas à consulter votre chiropraticien, son expertise en santé neurovertébrale pourrait vous être grandement bénéfique!
Sources telles que consultées le 25 avril 2022 Engourdissement – Troubles du cerveau, de la moelle épinière et des nerfs – Manuels MSD pour le grand public (merckmanuals.com) Signes et symptômes de l’accident vasculaire cérébral (AVC) – Canada.ca
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