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#chiropratique
aigle-suisse · 3 months
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
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Une douleur à la cage thoracique? Ça pourrait être une irritation costovertébrale!
Saviez-vous que les côtes pouvaient être à l’origine de certaines douleurs? Les conditions costales sont fréquemment rencontrées en chiropratique et lorsqu’elles sont d’origine neuromusculosquelettique, le chiropraticien possède généralement tous les outils pour aider son patient à retrouver un état de santé optimal. Dans cet article, vous découvrirez l’une des conditions costales les plus fréquentes, c’est-à-dire l’irritation costovertébrale, et vous apprendrez comment la chiropratique pourrait être votre allié dans le traitement de cette condition.
Les côtes et leurs articulations
Anatomiquement parlant, les côtes bougent. Si elles ne bougeaient pas, la respiration serait très difficile puisque leur mouvement permet à la cage thoracique de prendre de l’expansion lors de l’inspiration et l’expiration.
Le corps humain comprend généralement 12 paires de côtes. De ces 12 paires, les 2 dernières sont dites flottantes, c’est-à-dire qu’elles n’ont pas d’attache à l’avant, contrairement aux 10 autres paires de côtes.
Au niveau dorsal, chaque côte s’articule au niveau vertébral, d’où le nom de l’articulation costovertébrale :
Au niveau ventral, les côtes s’articulent pour la plupart avec le sternum, d’où le nom de l’articulation costosternale :
Même si les articulations ne sont pas du même type entre la région antérieure et postérieure du dos, le mouvement est possible à chaque niveau. Comme dans tout mouvement articulaire, il est possible qu’il y ait une diminution de la mobilité, ce qui peut causer des conditions neuromusculosquelettiques comme l’irritation costovertébrale.
Quand la perte de mobilité engendre la douleur
Chaque articulation a un mouvement qui lui est propre. Ce mouvement se doit d’être optimal si l’on souhaite que l’articulation fonctionne normalement. Plusieurs causes peuvent créer une perte de mobilité articulaire :
Traumatisme direct à l’articulation
Mauvaise posture de sommeil
Mauvaise posture de travail
Mouvement répétitif
Mauvaise utilisation de l’articulation (ex.: mauvaise technique de course)
Sédentarité (non-utilisation des articulations)
Le processus plus détaillé (mais imagé) menant à l’apparition de douleur ressemble à ceci :
Lorsqu’une articulation ne bouge pas optimalement, les récepteurs articulaires envoient un signal au niveau cérébral indiquant que le mouvement n’est pas idéal.
Lorsque le cerveau reçoit cette information, il la traduit comme un problème à régler et souhaite donc “protéger” le corps.
Les signaux de protection envoyés par le cerveau peuvent être ceux-ci :
Inflammation
Hypertonicités musculaires (contractions musculaires)
Restriction dans l’amplitude de mouvement, avec douleur
Restriction dans l’amplitude de mouvement, sans douleur
Raideur des muscles environnants
Oedème local
Douleur
Douleur au mouvement
Douleur au repos
Douleur intermittente
Douleur constante
Douleur légère
Douleur intense
Douleur locale, au toucher
Douleur irradiante
Vite, on se rend compte que les hypertonicités musculaires engendrent à leur tour une nouvelle diminution de l’amplitude de mouvement. C’est ainsi que le cercle vicieux de la restriction articulaire débute :
Perte d’amplitude de mouvement = hypertonicités musculaires
Hypertonicités musculaires = encore plus de perte d’amplitude
Encore plus de perte d’amplitude = encore plus de réponses de protection = encore plus d’hypertonicités musculaires
Ainsi de suite.
Les articulations costovertébrales ne font pas exception à ce mécanisme. En général, les douleurs liées à l’irritation costovertébrale sont celles-ci :
Sensation de point à droite ou à gauche de la colonne vertébrale, dépendamment de l’articulation ciblée.
Douleur possible lors de l’inspiration ou de l’expiration, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Douleur possible lors du mouvement des bras/épaules, en raison du mouvement de l’articulation impliquée.
Sensation de douleur intense à la poitrine, vis-à-vis l’articulation costovertébrale touchée. Comme si un poignard transperçait la poitrine de l’arrière à l’avant.
Le chiropraticien à la rescousse
Lors de son examen, le chiropraticien aura la tâche de déterminer si la douleur perçue par son patient est d’origine neuromusculosquelettique. Pour se faire, il utilisera l’expertise qu’il a acquise au cours de son doctorat de premier cycle en chiropratique.
Des questions précises servent à orienter son cheminement clinique.
À quel moment survient la douleur?
La douleur est présente depuis quand?
La douleur est-elle irradiante?
Est-ce que l’intensité de la douleur varie?
Le patient a-t-il des difficultés respiratoires?
Le patient a-t-il d’autres symptômes?
Un examen physique complet en lien avec les réponses aux questions aide le chiropraticien à préciser graduellement son idée diagnostique :
Amplitudes de mouvement costovertébrales
Amplitudes de mouvement costosternales
Palpation chiropratique (subluxations) au niveau vertébral
Évaluation des hypertonicités musculaires potentielles
Des examens complémentaires en fonction des résultats obtenus (radiographies)
Puisque le chiropraticien a la capacité de prescrire et analyser les radiographies, il est possible qu’il veuille avoir une image plus précise de la région impliquée. Comment est la colonne vertébrale? Comment sont les articulations costovertébrales? Comment est la qualité osseuse? Toutes ces réponses peuvent aider à déterminer si le diagnostic est d’origine chiropratique et orienter vers le traitement le mieux adapté pour le patient.
Dans l’éventualité où un traumatisme soit à l’origine de la douleur, il est possible que le chiropraticien veuille évaluer l’intégrité osseuse. Si elle est compromise et qu’il suspecte une fracture, il aura à référer son patient du côté médical pour un suivi approprié pour confirmer le diagnostic.
Dans le cas d’un diagnostic d’irritation costovertébrale, un suivi chiropratique pourra être envisagé.
Puisque le chiropraticien évalue la présence de subluxations vertébrales, il traitera celles qu’il a trouvées lors de son examen. Sachant qu’il n’y a pas que les articulations vertébrales qui peuvent être subluxées, il traitera fort probablement l’articulation costovertébrale en cause dans le diagnostic qu’il a émis puisqu’elle présentera sans doute une perte de mouvement.
Si, à son examen, des hypertonicités musculaires ont été mises en lumière, il pourra les travailler afin de rendre le muscle plus souple et moins contracté. Cela aidera à redonner une amplitude de mouvement normale à l’articulation.
Puisqu’on retrouve généralement de l’inflammation au site de l’irritation costovertébrale, il est possible que des techniques complémentaires soient utilisées, selon la localisation, l’indication et les contrindications du patient :
TENS (neurostimulation électrique transcutanée)
Ultrasons
Glace
Chaleur
Optimiser la santé de son patient
La vision chiropratique est orientée sur la santé globale de son patient. En conséquence, le chiropraticien ne se penchera pas seulement sur la douleur. Il aura toujours en tête d’optimiser son suivi et la condition de vie des gens qui le consultent en donnant des conseils sur les habitudes de vie, les postures à adopter (sommeil et travail) et les exercices qu’ils pourraient faire afin d’aider leur condition et éviter les récidives.
Le chiropraticien sait très bien que l’absence de douleur n’est pas toujours en lien avec l’absence de maladie/condition de santé. Il pourra être présent pour vous suite à la gestion de la douleur afin de vous guider vers un état de santé optimal et vous proposer des soins d’optimisation. N’hésitez pas à le consulter!
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papillondusoir · 3 months
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Chiropratiques. Corriger le coccyx et la colonne vertébrale
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chirorivesud · 1 year
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Experience Holistic Healing at Au Centre Chiropratique Familial Trottier de Boucherville
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In the pursuit of health and well-being, many people are turning to holistic healing approaches that address the root causes of health issues rather than just treating symptoms. At Au Centre Chiropratique Familial Trottier de Boucherville, you have the opportunity to embark on a journey of holistic healing that nurtures your body, mind, and spirit.
A Holistic Approach to Health
Holistic healing is based on the belief that true well-being can only be achieved when all aspects of an individual's health are in balance. This approach treats the whole person—physical, mental, and emotional—and recognizes the interconnectedness of these aspects. Au Centre Chiropratique Familial Trottier de Boucherville embodies this philosophy, offering holistic healing as the foundation of their chiropractic care.
Chiropractic Care as a Pillar of Holistic Healing
Chiropractic care plays a pivotal role in the holistic healing process at this center. It focuses on the spine and nervous system, acknowledging that proper spinal alignment is essential for the body to function optimally. By addressing spinal misalignments, chiropractic adjustments not only provide relief from pain but also promote the body's innate ability to heal itself.
Personalized Treatment Plans
Holistic healing is not a one-size-fits-all approach, and Au Centre Chiropratique Familial Trottier de Boucherville understands this. When you seek their care, you'll receive a personalized treatment plan tailored to your unique needs and health goals. This individualized approach ensures that you receive the specific care and attention your body requires. Check my blog Chiro Saint hubert
Emphasis on Prevention and Wellness
Holistic healing goes beyond just treating existing health issues; it places a strong emphasis on prevention and wellness. The chiropractic team at the center works with patients to identify lifestyle factors that may be contributing to their health concerns and provides guidance on making positive changes to support long-term well-being.
Comprehensive Wellness Services
In addition to chiropractic adjustments, Au Centre Chiropratique Familial Trottier de Boucherville offers a range of comprehensive wellness services. These may include nutritional guidance, exercise recommendations, and ergonomic advice. By addressing multiple facets of your health, they help you achieve a state of balance and vitality.
A Holistic Vision for Your Health
When you choose Au Centre Chiropratique Familial Trottier de Boucherville, you're choosing to experience holistic healing at its finest. Their vision for your health extends beyond pain relief; it encompasses your overall quality of life and your ability to thrive in all aspects of your daily existence.
In conclusion, if you're seeking a holistic approach to healing and well-being, Au Centre Chiropratique Familial Trottier de Boucherville is your destination. Their commitment to treating the whole person, personalized care, and a focus on prevention and wellness make them a trusted partner on your journey to holistic healing. Experience the profound benefits of holistic healing at this esteemed chiropractic center and discover a path to lasting well-being.
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cabinethucare · 1 year
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Améliorer le bien-être et l'équilibre : Explorer le monde des thérapies complémentaires
Dans un monde en constante évolution où le stress, les maladies et les déséquilibres sont devenus monnaie courante, la recherche d'un bien-être holistique a pris une importance considérable. Les thérapies complémentaires, souvent utilisées en tandem avec les traitements médicaux conventionnels, offrent une gamme variée d'approches visant à rétablir l'harmonie et à promouvoir le bien-être. Sur Hu-Care.ch, nous nous penchons sur le domaine des thérapies complémentaires, en découvrant leurs avantages et la manière dont elles peuvent contribuer à une vie plus saine et plus équilibrée.
Comprendre les thérapies complémentaires
Les thérapies complémentaires englobent un large éventail de pratiques visant à améliorer la santé et le bien-être des individus. Ces thérapies reposent sur des principes holistiques, mettant l'accent sur l'interconnexion du corps et de l'esprit. Elles travaillent en synergie avec les traitements médicaux conventionnels pour traiter les différents aspects de la santé, tels que les dimensions physiques, mentales, émotionnelles et même spirituelles.
Découvrez les avantages
Réduction du stress : L'un des principaux avantages des thérapies complémentaires est leur capacité à réduire le stress. Des pratiques telles que la méditation de pleine conscience, le yoga et l'aromathérapie peuvent aider les individus à se détendre et à atteindre un état de calme intérieur.
Gestion de la douleur : De nombreuses thérapies complémentaires offrent des solutions efficaces pour gérer la douleur. Des techniques comme l'acupuncture, la massothérapie et les soins chiropratiques peuvent aider à soulager les douleurs chroniques.
Renforcement de l'immunité : Certaines thérapies, comme la phytothérapie et la thérapie nutritionnelle, visent à renforcer le système immunitaire de l'organisme, afin qu'il soit mieux armé pour lutter contre les maladies.
Bien-être émotionnel : Les thérapies complémentaires ont souvent un impact positif sur la santé émotionnelle. L'art-thérapie, la musicothérapie et la tenue d'un journal peuvent être des moyens créatifs d'exprimer ses émotions et de réduire l'anxiété ou la dépression.
Flux énergétique équilibré : des pratiques telles que l'acupuncture et le Reiki visent à rétablir le flux énergétique équilibré dans tout le corps, ce qui favorise le bien-être général.
Les thérapies complémentaires chez Hu-Care.ch
Chez Hu-Care.ch, nous proposons une large gamme de thérapies complémentaires conçues pour répondre aux besoins et aux préférences de chacun. Notre équipe de praticiens expérimentés se consacre à aider les clients à atteindre une santé optimale grâce à des approches personnalisées. Voici quelques-unes des thérapies que nous proposons :
L'acupuncture : Une ancienne pratique chinoise qui consiste à insérer de fines aiguilles dans des points spécifiques du corps pour stimuler le flux d'énergie et favoriser la guérison.
Le yoga et la pleine conscience : Grâce à une combinaison de postures physiques, de techniques de respiration et de méditation, ces pratiques aident les individus à atteindre la clarté mentale et la flexibilité physique.
Massothérapie : Nos thérapeutes qualifiés utilisent diverses techniques de massage pour relâcher les tensions, améliorer la circulation et favoriser la relaxation.
Aromathérapie : en exploitant le pouvoir des huiles essentielles, l'aromathérapie améliore l'humeur et la relaxation grâce à des parfums agréables qui stimulent les sens.
Conseils nutritionnels : Nos experts offrent des conseils nutritionnels personnalisés pour favoriser la santé et la vitalité générales.
Conclusion
Dans un monde qui reconnaît de plus en plus l'importance du bien-être holistique, les thérapies complémentaires occupent une place centrale. Chez Hu-Care.ch, nous croyons au potentiel de ces thérapies pour améliorer la santé globale, rétablir l'équilibre et améliorer la qualité de vie. En embrassant l'interconnexion de l'esprit, du corps et de l'âme, nous vous invitons à embarquer pour un voyage de bien-être qui intègre le meilleur des approches conventionnelles et complémentaires. Expérimentez le pouvoir des thérapies complémentaires avec nous à Hu-Care.ch et faites un pas vers une vie plus harmonieuse et plus saine.
Pour plus d'informations:-
Acupressure des 5 éléments
Apithérapie Vaud
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eurekadiario · 1 year
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Elon Musk es nieto de "un líder judío canadiense del movimiento de la tecnocracia, abiertamente respaldado por los masones y los Rockefeller".
Elon Musk no está troleando Twitter en este momento, te está troleando a ti.
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Me pregunto si "Technocracy Gray" y "NPC Gray" son el mismo matiz.
Lo entenderás si prestas mucha atención a continuación.
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Septiembre de 1995
JCCA. Revista de la Asociación Canadiense de Quiropráctica. Journal de l'Association chiropratique canadienne 39(3)
Septiembre de 1995
JCCA. Revista de la Asociación Canadiense de Quiropráctica. Journal de l'Association chiropratique canadienne 39(3)
Autores:
José C Keating
Scott Haldeman, Universidad de California, Irvine
El Dr. Scott Haldeman es un neurólogo certificado por la junta en práctica clínica activa en Santa Ana, California. Actualmente es un distinguido profesor de la Universidad de California, presidente del Consejo de Investigación de la Federación Mundial de Quiropráctica y fundador / presidente de World Spine Care. Logrado por derecho propio, también es el tío de uno de los grandes innovadores del mundo, Elon Musk. Lea cómo el joven Musk pasó tiempo en la granja de la familia Haldeman en Saskatchewan. Tanto el padre de Scott como su abuela (la bisabuela de Musk) eran quiroprácticos. De hecho, Almeda Haldeman se convirtió en el primer quiropráctico conocido de Canadá a principios de 1900. Fuente Regina Leader-Post
ABSTRACTO
Nacido en 1902 del primer quiropráctico conocido para ejercer en Canadá, Joshua Norman Haldeman desarrollaría estatura nacional e internacional como economista político, líder profesional provincial y nacional, y deportista / aventurero.
Leer más: ELON MUSK ES NIETO DE UN LÍDER JUDÍO-CANADIENSE DEL MOVIMIENTO DE LA TECNOCRACIA
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La naturopathie : Le chemin vers une santé holistique et épanouissante ?
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Dans notre quête incessante d'une vie saine et équilibrée, la Naturopathie émerge comme une approche complète et naturelle pour préserver notre bien-être. Mais Dans cet article, nous explorerons les principes de la Naturopathie, ses pratiques et son efficacité. Qu'est-ce que la Naturopathie exactement ? La Naturopathie est une approche médicale holistique qui se concentre sur la prévention des maladies et la promotion de la santé en utilisant des méthodes naturelles et non invasives. Elle met l'accent sur l'équilibre du corps, de l'esprit et de l'âme, en considérant chaque individu comme unique et en cherchant à identifier et à traiter les causes profondes des déséquilibres plutôt que de se focaliser uniquement sur les symptômes. À lire aussi : Les meilleures solutions naturelles pour booster votre énergie au quotidien Quelles sont les principes de la Naturopathie ? L'un des principes clés de la Naturopathie est l'importance d'une vie saine et équilibrée. Cela inclut une alimentation nutritive, une activité physique régulière, une gestion du stress efficace et un sommeil de qualité. En adoptant ces habitudes de vie saines, nous renforçons notre système immunitaire, favorisons la santé digestive, améliorons notre bien-être mental et émotionnel, et augmentons notre vitalité globale. Tout savoir sur la Naturopathie dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=sDP48nfdtEw&ab_channel=TVVende Des pratiques naturelles pour le bien-être de notre corps La Naturopathie utilise un large éventail de pratiques naturelles pour soutenir la santé et le bien-être. Cela peut inclure l'utilisation de plantes médicinales, de compléments alimentaires, de techniques de relaxation, de thérapies manuelles telles que l'acupuncture et la chiropratique, ainsi que des recommandations en matière de nutrition et d'exercice. Chaque approche est adaptée aux besoins individuels du patient, en prenant en compte ses antécédents médicaux, son mode de vie et ses préférences personnelles. Voir à ce sujet : - Naturothérapie : C'est quoi ? Quelle formation ? Est-ce que la Naturopathie est réellement efficace ? Les preuves scientifiques sur l'efficacité de la Naturopathie sont encore en cours de développement, mais de nombreuses personnes témoignent des bienfaits qu'elles ont pu en retirer. La Naturopathie se concentre sur l'équilibre et la stimulation des mécanismes naturels de guérison du corps, et peut donc être particulièrement bénéfique pour les troubles chroniques, les problèmes de santé liés au mode de vie et la gestion du stress. Cette pratique présente un avantage financier ? Outre les avantages évidents pour la santé, la Naturopathie peut également présenter des avantages financiers. En favorisant la prévention des maladies et en soutenant la santé à long terme, elle peut contribuer à réduire les coûts liés aux traitements médicaux plus invasifs et aux médicaments à long terme. Elle encourage souvent l'autonomie des individus dans leur propre prise en charge de la santé, leur permettant de devenir des acteurs actifs de leur bien-être. ________ Important : Nous conseillons à tous les visiteurs de notre site web de consulter un médecin en cas de problème de santé. Retrouvez toutes les infos santé et bien-être sur notre page Google Actualités ou sur notre page Pinterest. Read the full article
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shopises · 2 years
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Oreiller de Traction chiropratique cervicale, relaxant pour le cou et les épaules, pour la Correction de la colonne vertébrale, soulagement de la douleur musculaire, Relaxation musculaire
Oreiller de Traction chiropratique cervicale, relaxant pour le cou et les épaules, pour la Correction de la colonne vertébrale, soulagement de la douleur musculaire, Relaxation musculaire
Remplissage: FOAM Matériau: 100% coton Origine: CN (Origine) CN: Guangdong Utiliser: Massage Partie: NECK Type de Motif: Solide Numéro de Modèle: JBAM1 Caractéristique: Mémoire Style1: Neck And Shoulder Relaxer Style2: Cervical Traction Device Style3: Neck Stretcher Style4: Alignment Chiropractic Pillow Apply to:: Spine Correction, Muscle Pain Relief , Muscle…
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lemaupertus · 4 years
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https://e3o.org/e3o/reportage-semaine-chiropractie/
reportage semaine chiropractie
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reportage semaine chiropractie Les chiropracteurs sont les spécialistes de la colonne vertébrale. Ils ont organisé des portes ouvertes pendant une semaine pour faire découvrir leur pratique. reportage semaine chiropractie Les chiropracteurs sont les spécialistes de la colonne vertébrale. Ils ont organisé des portes ouvertes pendant une semaine pour faire découvrir leur pratique.
#Chiropratique
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sanshu-seiso · 2 years
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drypauli · 3 years
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Les bénéfices de l'alliance thérapeutique
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Résumé
Je vous propose de parler des bénéfices de l’alliance thérapeutique, ainsi qu’une manière très simple d’améliorer les résultats de n’importe quelle prise en charge médicale ou thérapeutique. Dans une prise en charge médicale, il existe 2 types d’effets : les effets spécifiques dus à la prise en charge elle-même, et les effets non spécifiques dont l’alliance thérapeutique, la relation entre votre praticien et vous.
L’alliance thérapeutique consiste entre un accord entre le patient et le clinicien sur les objectifs de la prise en charge et un accord sur les moyens d’y parvenir, ainsi que le lien affectif, la confiance qui va se créer entre les 2 personnes.
Des études ont montré une influence significative de cette alliance thérapeutique sur les résultats de la prise en charge, notamment sur la réduction de la douleur. Il existe des questionnaires permettant d’évaluer cette alliance thérapeutique et donc de savoir si la relation que vous avez avec vos praticiens vous sont bénéfiques ou pas.
Transcription
Dans cet épisode, nous allons parler des bénéfices de l’alliance thérapeutique, et une manière très simple d’améliorer les résultats de n’importe quelle prise en charge médicale ou thérapeutique.
Parce que la vie est bien trop magique pour être petite et que nous avons tous besoin d‘une prescription pour grandir en conscience et faire que nos rêves dévorent notre vie. Bonjour, je suis le Docteur Yannick Pauli, bienvenue à un nouvel épisode d’Une Grande Vie où je vous propose chaque semaine des stratégies pratiques, pragmatiques, pour grandir en conscience, qu’elle soit d’ordre physique, émotionnel, psychologique ou spirituel, parce que c'est cette conscience qui est au cœur d’une vie pleinement vécue et de notre évolution en tant qu’être humain.
Aujourd’hui, j’avais envie de discuter de ce que vous, vous pouvez faire lorsque vous êtes pris en charge pour une problématique particulière, pour améliorer les résultats que vous allez obtenir. Je vais vous donner d’abord un contexte puis je vais vous parler de ce qu’on appelle l’alliance thérapeutique.
Effets spécifiques et non spécifiques
Si on regarde comment se déroule une prise en charge, d’un point de vue médical, il y a toujours 2 grands aspects à prendre en compte. Le premier est ce qu’on appelle les effets spécifiques d’une intervention. Par exemple, si vous allez chez votre chiropraticien et qu’il vous fait un ajustement chiropratique, ou que vous allez chez votre ostéopathe et qu’il vous manipule, il y a un effet spécifique de la manipulation. Si vous allez chez votre médecin et qu’il vous prescrit un médicament, il va y avoir l’effet spécifique produit par ce médicament sur votre métabolisme et sur votre physiologie.
Mais ensuite, dans toute prise en charge, il y a aussi ce qu’on appelle les effets non spécifiques, c’est-à-dire que la simple interaction entre vous et le praticien ou le clinicien va aussi avoir un effet potentiellement positif ou potentiellement négatif sur les résultats. C’est ce qu’on appelle communément l’effet placebo. Je préfère presque les effets non spécifiques, parce que « placebo » est un peu associé à la médecine avec ce truc inerte qui ne sert à rien, qui n’a de valeur que dans les études randomisées où on compare à une substance active. Mais en fait, il faut comprendre que cet effet placebo représente la capacité innée de notre organisme à se guérir, c’est notre docteur intérieur, donc autant en profiter. Pour toute intervention, si vous pouvez bénéficier des effets spécifiques de l’intervention, autant aussi profiter de ses effets non spécifiques. C’est quelque chose de très important. Il y a toute une série de choses qui vont favoriser ça, dans le rituel dans lequel vous êtes pris en charge, etc., mais une chose très importante est ce qu’on appelle l’alliance thérapeutique en médecine.
7 étapes
Dans notre manière de prendre en charge les patients, on a un système en 7 étapes.
1. La première étape est de faire l’inventaire, c’est-à-dire une forme de diagnostic, pour comprendre ce qu’il se passe, où en est la personne.
2. La 2e étape va être de déterminer où on veut aller, c’est-à-dire quels sont les résultats qu’on a envie d’obtenir. Par exemple, pour une personne qui vient avec des problèmes de dos, ça la gêne, mais une des choses qu’elle n’arrive plus à faire, c’est avoir suffisamment de stabilité dans son dos pouvoir embrasser ses petit-enfants et les porter. Donc si, pour la personne, le but est de pouvoir non seulement se sentir soulagée, mais de pouvoir aussi prendre ses petits-enfants dans ses bras et les porter, si, en tant que thérapeute, j’imagine que ce qui est très important pour elle c’est la douleur, que j’arrive à réduire sa douleur, mais que je n’arrive pas à lui redonner de la stabilité au niveau de son dos et qu’elle ne peut toujours pas porter ses petits-enfants, même si elle a moins mal au dos, là cette personne ne sera pas complètement satisfaite. Peut-être même qu’on se trouvera dans la situation où elle préfèrerait avoir encore un peu mal au dos, mais être capable de porter ses petits-enfants. Donc c’est très important que le clinicien et le patient soient sur la même longueur d’onde.
3. La 3e étape est de définir comment on y va. Pour aller d’un point A à un point B, vous pouvez prendre soit l’autoroute, soit prendre les petites routes de campagne. C’est la même chose dans une prise en charge, il y a différentes manières d’arriver au même résultat. Vous voulez réduire les douleurs, si vous avez des problèmes musculo-squelettiques, vous pouvez choisir de prendre des anti-inflammatoires. Ça a ses conséquences, souvent négatives avec des effets secondaires. Vous pouvez choisir des thérapies manuelles qui vont aussi vous aider, et en plus vous apporter d’autres bénéfices comme plus de mobilité, etc. Donc la manière d’aller au résultat doit aussi être déterminée et importante.
4. La 4e étape, dans notre modèle, est de mettre en base des fondations. Si la raison pour laquelle vous avez développé des problèmes de santé, c’est parce que vous avez un environnement déséquilibré, il faut rééquilibrer cet environnement, parce que si on vient avec une intervention avec ses effets spécifiques, mais que vous restez dans le même environnement qui a créé le problème, vous allez vous y retrouver très rapidement. Imaginez que vous avez un poisson rouge, et qu’un jour vous voyez que l’eau est devenue toute noire et que votre poisson est de manière évidente en détresse, vous l’amenez chez le vétérinaire qui le soigne, ça ne vous viendrait pas à l’esprit de le remettre dans la même eau, vous allez jeter l’eau et remettre de l’eau propre. C’est la même chose pour vous, il va falloir créer une fondation de style de vie.
5. La 5e étape est cette action spécifique, c’est de choisir des méthodes ou des thérapeutiques qui vont avoir un effet spécifique, qui vont pouvoir adresser ou aborder les mécanismes sous-jacents des déséquilibres qui participent à vos symptômes.
6. La 6e étape fait intervenir cette alliance thérapeutique, c’est que nous, nous appelons un partenariat, c’est-à-dire définir la relation et comment on va collaborer ensemble pour arriver au résultat.
7. La 7e étape, finalement, est de créer un plan personnalisé pour la personne sur la base des 6 premières étapes.
L’alliance thérapeutique
Cette alliance thérapeutique qui fait partie de notre 6e étape, en quoi consiste-t-elle ? Fondamentalement, elle consiste en 3 choses.
1. Il faut qu’il y ait un accord entre le patient et le clinicien sur les objectifs, c’est-à-dire qu’est-ce qu’on essaie d’accomplir ? Si l’objectif de la personne est d’avoir moins mal au dos, mais aussi de pouvoir porter ses petits-enfants, il faut qu’on mette en place des stratégies qui vont aborder les 2, parce que le clinicien ne pense qu’à réduire les douleurs alors que la personne souhaite de manière plus importante porter des petits-enfants, il va y avoir une forme de dys-satisfaction, si on n’a pas un accord et qu’on arrive aux objectifs voulus.
2. Le 2e élément est qu’il faut qu’il y ait un accord entre le patient et le clinicien sur les moyens d’y parvenir. Si la personne vient chez moi, qu’elle attend une approche manuelle naturelle pour guérir son mal de dos, mais que je lui propose une chirurgie, on n’est pas alignés et ça va affecter cette alliance thérapeutique.
3. Le 3e élément est le lien affectif qui va se développer entre les 2. Est-ce qu’il va y avoir une confiance qui va se développer, est-ce qu’il y a une alchimie qui se crée ? C’est très certainement, pour moi, un des facteurs les plus importants qui font que certaines fois, certaines personnes vont voir d’autres collègues, ça ne les aide pas, ils viennent ensuite me voir et ont de meilleurs résultats, parce que le lien qui se développe est de nature différente. Et vice versa, des personnes qui pourraient être venues chez moi, où ça ne se passe pas forcément comme on voudrait, pourraient avoir de meilleurs résultats avec un collègue parce que le lien est différent.
Donc ces 3 éléments, être d’accord sur les objectifs, être d’accord sur la manière d’y parvenir et le lien affectif qui va se développer forment le socle de cette alliance thérapeutique.
Questions à vous poser
La première question que vous pouvez vous poser est : est-ce que vous avez totalement confiance, est-ce que vous avez un lien affectif qui s’est développé avec la personne qui va suit, que ce soit votre médecin, votre chiropraticien, votre kiné, votre ostéopathe, peu importe. Si la réponse est non, je vous suggère que ce serait peut-être bien de trouver quelqu’un avec qui vous pouvez développer ce lien parce qu’il est extrêmement important. Une chose est claire : au niveau des études, ce lien thérapeutique, cette alliance thérapeutique va jouer un rôle dans les résultats. On le sait que c’est vrai en médecine, en psychologie, et aussi en réhabilitation.
Juste pour vous donner une idée, voici quelques critères dans l’inventaire qui évalue cette alliance thérapeutique. Il y a différentes manières de faire. Un des inventaires contient 16 questions, et on demande au patient de répondre entre 1 pour jamais et 7 pour toujours. On peut donc avoir un résultat entre 16 et 112 points. Voici quelques-unes de ces déclarations à évaluer entre jamais, quelquefois, parfois, la plupart du temps, toujours…
- « Mon thérapeute et moi sommes d’accord sur ce que nous devons faire pour améliorer ma situation. »
- « Le traitement que je suis me permet de voir de nouvelles manières d’appréhender mon problème. »
- « J’ai confiance en la capacité de mon thérapeute à m’aider. »
- « Mon thérapeute et moi travaillons sur des objectifs sur lesquels nous sommes d’accord. »
- « Je sens que mon thérapeute m’apprécie. »
- « Mon thérapeute et moi sommes d’accord sur les choses importantes à travailler. »
- « Mon thérapeute et moi avons confiance l’un en l’autre. »
Ce sont des déclarations, il y en a 16 et vous pouvez les évaluer. Je voulais donc vous montrer à quel point vous pouvez vous-même, en vous assurant de développer cette alliance thérapeutique améliorer les résultats. Une étude très intéressante a été faite notamment sur les problèmes de dos en lien avec les ajustements mécaniques ou les manipulations vertébrales, qui a montré qu’en fait, pour chaque point supplémentaire, sur cette échelle (1 point pour jamais et 7 points pour toujours, au minimum on peut avoir 16 points et ça peut aller jusqu’à 112 au maximum), le fait d’augmenter de 1 point va vous permettre de réduire la douleur de 0,044%. Ça parait peu, mais sur ce vaste spectre entre 16 points et 112, ça veut dire que si vous augmentez de 50 points, ce qui est facile à faire sur cette échelle parce qu’on est à la moitié, donc dès le moment où vous développez une alliance thérapeutique avec la personne, que vous êtes clairs sur les objectifs et la manière d’y arriver, que vous avez un lien affectif qui se développe, ce n’est pas difficile d’améliorer de 50 points, ce qui se traduit par environ 20% de réduction de la douleur. Cela signifie que sur une échelle entre 0 et 10 où pour 10 vous auriez très mal, rien qu’avec l’alliance thérapeutique vous pouvez déjà réduire la douleur de 20%. Bien évidemment, par-dessus, vous avez ces effets spécifiques des thérapies qui vous sont proposées, qui vont se surrajouter, qui vont pouvoir vous soulager.
Donc juste pour vous donner la notion que les effets spécifiques, c’est bien, mais il y a tous ces effets non spécifiques autour, dont cette alliance thérapeutique, sur laquelle vous pouvez finalement améliorer les choses. Si vous prenez certaines de ces réponses, je vous en ai donné 6-7, que vous les évaluez entre 1 et 2, ça ne va pas vous donner le score complet, mais ça vous donne déjà une idée. Si vous réalisez que vous êtes plus proche du 1 et du 2 que du 6 ou du 7, il faut sérieusement vous poser la question de savoir si la personne qui vous suit en ce moment est la bonne personne pour vous amener où vous voulez aller.
Faites-moi savoir comment ça fonctionne pour vous dans les commentaires. Nous, on se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle vidéo. D’ici là, souvenez-vous : émerveillez-vous, aimez la vie et contribuez chaque jour un petit peu plus.
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Le mal des coureurs : comprendre et soulager la périostite tibiale
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Le mal des coureurs : comprendre et soulager la périostite tibiale
La course à pied est sans aucun doute l’un des sports ayant connu la hausse de popularité la plus élevée au cours des dernières années. Facile d’accès et à pratiquer, elle rejoint une foule de sportifs, des débutants aux marathoniens. Pratiquée de façon répétée ou avec une technique mal adaptée, elle peut toutefois entraîner l’apparition de plusieurs douleurs. La périostite tibiale est l’une des conditions fréquentes touchant les coureurs, et cet article vous permettra d’en connaître davantage sur le sujet tout en vous donnant des trucs à mettre en pratique si vous en êtes atteint.
Commençons par la base
Puisque cet article se veut éducatif, abordons d’abord le diagnostic lui-même afin de mieux le comprendre.
Le périoste fait partie de l’os. De façon imagée, c’est une membrane fibreuse qui enveloppe les os plats et longs du corps, à l’exception de la zone de l’os qui se trouve à l’intérieur de l’articulation.
La fonction du périoste est d’assurer la croissance des os et le bon fonctionnement des échanges sanguins pour l’os.
Le périoste a également un rôle de protection de l’os puisqu’il a la capacité de transmettre les informations de douleurs, comme dans le cas de fracture de l’os ou de tout état douloureux.
Le périoste joue également un rôle dans la consolidation et la réparation de l’os en cas de fracture, par exemple.
Les termes se terminant par “ite” font référence à un état inflammatoire. Une inflammation du périoste se définit donc comme étant une périostite.
Vous aurez compris que lorsqu’il est question de périostite tibiale, on considère que c’est le périoste du tibia qui est inflammé.
Lorsque le tibia s’enflamme chez le coureur
Le mécanisme de blessure associé à la périostite tibiale est relativement simple. La cause peut se diviser en 2 :
La répétition d’impacts
Les microtraumatismes
Lors du mouvement de la course, les contractions répétées des muscles impliqués dans le mouvement du pied créent une traction et une irritation au niveau de l’insertion de ces muscles sur le périoste.
Les symptômes associés à la périostite tibiale sont ceux-ci :
Douleur/brûlure ciblant le tibia, sur sa partie antérieure et externe
Douleur/brûlure ciblant le tibia, sur sa partie postérieure et interne
Douleur au mouvement (impact surtout)
Douleur au repos parfois
Douleur à la palpation de la région impliquée
Parfois, un oedème peut être aperçu sur le tibia, au niveau de l’inflammation
La périostite tibiale est fréquente chez le coureur, mais peut se présenter chez certains autres types de clientèles :
Marcheurs
Sprinteurs
Danseurs
Des conditions peuvent également prédisposer à la périostite tibiale. Une arche plantaire affaissée, qui amène le pied en pronation, peut altérer la biomécanique du pied et avoir un impact sur le mouvement normal du membre inférieur lors de la marche ou la pratique d’un sport.
Votre chiropraticien et la périostite tibiale
Évidemment, l’objectif #1 est de diminuer la douleur associée à la périostite tibiale. Votre chiropraticien étant un professionnel formé dans l’évaluation, le diagnostic chiropratique et le traitement des conditions neuromusculosquelettiques, pourrait grandement être une personne-clé dans l’atteinte de vos objectifs de santé. Sommairement, une visite chez votre chiropraticien pourra vous permettre d’en savoir plus sur votre condition en passant par différentes étapes :
Période de questionnement quant à votre douleur (survenue, localisation, durée, intensité, fréquence)
Examen physique complet (colonne vertébrale, hanche, genou, cheville et pied) a. Structures osseuses b. Tissus mous c. Structures articulaires (ligaments, bourses, capsules)
Traitement chiropratique envisagé, en fonction de chaque professionnel a. Ajustements vertébraux et articulaires selon le besoin (hanche, genou, cheville et pied) b. Travail de tissus mous c. Kinesiotaping d. Ultrasons e. TENS (courant interférentiel)
Autres recommandations possibles telles que : a. Repos partiel ou total, selon l’activité et la gravité de la condition b. Application de glace afin de diminuer l’inflammation c. Exercices d’étirement ou de renforcement selon le cas
Suite à cette phase où l’accent est mis sur le soulagement, la reprise du sport est généralement envisagée selon les recommandations de votre chiropraticien.
Qu’est-ce que je peux faire, docteur?
Outre de suivre les recommandations émises par votre chiropraticien, l’un des exercices les plus recommandés pour aider à la périostite tibiale en est un d’étirement. Voici comment le faire :
Assoyez-vous sur une chaise et placez le dessus du pied au sol de façon à ce que les orteils pointent vers l’arrière (votre genou sera en position fléchie).
Lentement, avancez vers le bout de la chaise afin de sentir un étirement au niveau de la partie antérieure de la jambe.
Allez au maximum de votre capacité, sans entrer dans la douleur (restez dans une sensation d’étirement).
Maintenez la position pendant 30-40 secondes. Répétez 2 fois. Faire cette séquence entre 2 à 3 fois par jour.
VARIANTE : Vous pouvez faire cet exercice en position debout en pointant le pied vers l’arrière, en appuyant les orteils au sol et en vous stabilisant au mur. Assurez-vous que l’autre jambe soit légèrement plus à l’avant. En maintenant les orteils en position, pliez le genou de la jambe avant afin de venir créer un étirement à la jambe dont les orteils touchent le sol.
N’oubliez pas : la clé de l’étirement ne réside pas dans un mouvement de grande amplitude qui engendre une douleur. Si tel est le cas, c’est que l’exercice est mal fait ou que le mouvement va trop loin. En conséquence, le risque de blessure est davantage présent que les bienfaits escomptés. Soyez avisés!
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Clinique Chiropratique Normand Voisard
La mission principale de la clinique du docteur Normand Voisard chiropraticien, est de fournir des soins chiropratiques de qualité et personnalisés aux besoins des gens de tous âges dans le but d’éliminer leurs douleurs musculosquelettique, les aidant ainsi à atteindre une qualité de vie supérieure et à la maintenir. Au fil des ans, nous avons développé une approche intégrée de chiropratique traditionnelle et de traitement myofascial à l’aide de plusieurs techniques, conseils sur la posture, l’ergonomie et et les exercises. Taping Neuroproprioceptif Saint-Lambert
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howtotrainyourgiant · 4 years
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@7foot2doc says: in the gonstead system of chiropractic, we use 5 tools to locate spinal joint disorders (subluxations). One of them is this handheld instrument, known as a temposcope or nervoscope. It compares temperatures from one side to the other. This helps the doctor to determine where to possibly adjust but also when to leave it alone. . . . . . . . . #gonstead #gonsteadchiropractic #7footgiant #7foot2doc #nervoussystem #nervoscope #nervo-scope #temposcope #subluxation #subluxationwarfare #health #healthy #glendaleaz #getwell #stayhealthy #xray #chiropraktik #chiropratique #척추 교정 지압 요법 #funny #lustik #整脊 #カイロプラクティック #ゴンステッド #wahnsinn #wahnsinnig #verrückt #crazy #unbelievable #noway (at Stein Chiropractic) https://www.instagram.com/p/CADl-n6DJOQ/?igshid=ktvux4juten5
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terre-de-je · 6 years
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Double KISS (syndrome de KISS)
Très mal connu en France, le syndrome de KISS (Kopfgelenk Induziert Symetrie Störungen) est le joli nom pour désigner des troubles de la symétrie induits par les vertèbres cervicales. Sous ce séduisant acronyme se cache une multitude de symptômes possibles. Alors comme beaucoup d’autres parents, je suis passée à côté pendant longtemps ; deux ans, pour être exacte.
PARTIE 1 : du doute au diagnostic
Partie 2 : Le syndrome de KISS Partie 3 : Syndrome de KISS : un an après
Je vous livre ici ce qui m’a amenée à le suspecter pour mes filles et un regard “par-dessus l’épaule” sur ce que nous avons vécu lorsqu’elles étaient bébés.
L’émergence du doute
Mes filles ont 2 ans lorsque je rencontre Julie et son fils du même âge, diagnostiqué KISS Kinder. Lorsqu’elle m’en parle, c’est la première fois que j’en entends parler : jusque-là j’avais seulement vu le nom passer sur Facebook ou lu des titres sur Internet. Mais jamais je n’avais creusé cette question, jamais je n’avais pensé que mes filles puissent être atteintes de ce syndrome. Elles avaient peut-être dans ma tête une sorte d’immunité à tous ces trucs-là, puisqu’elles allaient bien, l’allaitement se déroulait correctement (ou presque, mais j’y reviendrai plus loin), elles grandissaient normalement et d’un point de vue fonctionnel, notre ostéo validait. Pas de raison de m’inquiéter, donc.
Bref, j’ai posé quelques questions à Julie, poussée par une curiosité que j’ai mise sur le compte de mes intérêts professionnels. Elle m’a expliqué que ce syndrome de KISS se révèle finalement par l’accumulation de plusieurs symptômes qui, pris indépendamment, ne sont pas forcément alarmants, et elle m’en cite quelques-uns. Les jours qui ont suivi m’ont donné le temps de mettre bout à bout quelques souvenirs et d’y ajouter les observations actuelles.
Les symptômes observés à 2 ans
À 2 ans passés, donc, je fais la liste pour L. :
elle a marché sur la pointe des pieds au début de son apprentissage et vient de le refaire pendant une courte période ;
elle a toujours eu une démarche particulière, un peu bancale, un pied trop ouvert... ;
elle commence à courir et c’est tout sauf fluide : elle remonte ses épaules, ses bras se replient et se mettent à l’horizontale, en décalage total de ses jambes... bref, ça ne va pas du tout, elle n’est pas à l’aise, mais elle ne se décourage pas pour autant !
elle tombe et trébuche bien plus fréquemment que sa sœur, sans raison apparente la plupart du temps ;
les endormissements sont particulièrement longs et difficiles depuis bientôt 6 mois, malgré les différentes approches auxquelles nous avons fait appel ;
pendant une trop longue période, elle a fait des siestes de seulement 30 min. après lesquelles on voyait bien qu’elle n’avait pas assez dormi ;
elle s’est toujours réveillée en pleurant – plus ou moins, il s’agit plutôt de gémissements maintenant ;
depuis son anniversaire, elle n’a pas eu de selles “normales” : son transit est trop rapide, tout le temps ;
elle est en hyper-extension de la colonne : traité par des séances ostéo, ce symptôme s’atténue mais perdure.
Ça fait beaucoup pour une seule petite bonne femme, quand on y réfléchit. Et puis malgré deux séances de PAB, malgré un travail sur moi aussi, on voit bien qu’il reste un fond de quelque chose... Après discussion avec le Papa, il nous paraît clair que nous ne perdons rien à l’emmener auprès d’une spécialiste qui saura poser un diagnostic.
Les symptômes invisibles
Je prends donc rendez-vous avec Madame M., à Guérande (44). En France, il existe quelques spécialistes disséminés sur le territoire, pas toujours faciles à trouver ; les pôles les plus connus étant en région parisienne et à Aix-en-Provence, avec rendez-vous sur dossier. Mme M. est une autre praticienne à connaître, diagnostiquer et traiter ce syndrome. Par chance, elle se trouve à seulement 3 heures de route de chez nous !
La consultation est rapide. Je parle à sa demande de la grossesse – qui s’est déroulée sans heurt, mais qui était gémellaire et c’est un facteur favorisant le syndrome de KISS – et des premiers mois de vie de L., puis des symptômes visibles qui nous ont amenés à la consulter.
Elle m’annonce sa première certitude après avoir observé ma fille pendant notre entretien : L. a un reflux. Un reflux interne. Un RGO. Je crois que j’ai laissé transparaître ma surprise mais en la maîtrisant bien vite ; en vrai, je tombe des nues. Je suis surprise, triste et sûrement aussi déçue... Je ne le savais pas, je n’ai rien vu et j’ai laissé ma fille souffrir... par ignorance. Je l’ai même contrainte à s’allonger parce qu’elle était fatiguée, parce qu’elle avait besoin de dormir, je le sentais... alors qu’elle voulait seulement être à la verticale pour ne plus avoir mal ! Mais voilà, je ne savais pas.
À 2 ans, ce que cette praticienne a relevé pour parler du reflux, je ne le voyais pas :
bouche toujours ouverte (elle avale de l’air, ce qui crée une acidité de l’estomac et provoque ainsi des remontées gastriques) ;
un écart entre chaque dent, haut et bas, des incisives aux prémolaires ;
des gaz et des selles odorants ;
des selles explosives ;
des tétées longues.
Le reflux est un autre des symptômes possibles du syndrome de KISS. Elle me pose quelques questions sur l’allaitement : est-ce qu’il y a des petits bruits de langue, comme si elle perdait l’effet ventouse, pendant la tétée ? Je pense davantage à sa sœur pour ça, mais tout bien réfléchi ça lui arrive aussi. Est-ce qu’elle est plus à l’aise d’un côté que de l’autre pour téter ? L. non ; sa sœur, carrément oui !
Pas de surprise cette fois, donc, quand elle confirme le syndrome de KISS. L. a accepté de s’allonger et de se laisser toucher. Mme M. m’a invitée à sentir la nuque de L. : une différence terriblement nette entre droite et gauche ! Une sorte de petite boule ou d’anneau, je ne sais pas trop le décrire... toujours est-il qu’il y a effectivement quelque chose qui cloche.
Les troubles induits par le blocage des cervicales touchent le corps dans son ensemble : la base du crâne, la colonne vertébrale, le bassin et donc les jambes, mais aussi la mâchoire et les freins de langue qui peuvent s’avérer trop courts (j’en reparlerai). C’est pourquoi Mme M. a vérifié la mobilité des membres et des articulations. Du côté des bras et des épaules, il ne semble pas y avoir de souci. C’est plutôt du côté des hanches et des jambes, qui sont comme “tordues”, vrillées. Et aussi à la base du crâne : compression de l’occiput confirmée. L. accepte encore une fois de se laisser manipuler et Mme M. peut déverrouiller sa jambe droite, qui compense une trop grande ouverture de sa hanche ; L. stoppe d’elle-même le mouvement vers l’extérieur. Les freins de lèvres ne semblent pas particulièrement restrictifs ; impossible de vérifier celui de la langue, car L. refuse que Mme M. mette un doigt dans sa bouche.
C’est une professionnelle qui respecte le choix de l’enfant : elle m’explique et laisse ma fille extérioriser son stress en repartant dans ses jeux. Nous la remercions pour le respect qu’elle a eu pour le corps et la parole de L.
De nouveaux doutes
Mais voilà, cette consultation avec Mme M., seule avec L., m’a fait émettre des doutes pour A., sa sœur jumelle. Quelques questions durant la rencontre les ont fait émerger, car les réponses étaient similaires pour les deux, comme les indices d’un reflux, ou bien carrément “Ça, c’est plutôt sa sœur...”. Notamment :
bruits/claquements pendant la tétée comme si elle perdait le sein
plus à l’aise d’un côté que de l’autre pour téter
gaz et rots fréquents
prudence importante, prend peu de risques
respiration forte quand elle dort
position de confort
Suite à ce rendez-vous, j’échange à nouveau avec Julie sur le sujet. Elle m’apprend alors qu’il y aurait deux formes du syndrome de KISS : l’une où l’enfant, allongé sur le dos, forme un “C” de la tête aux pieds ; l’autre où l’enfant, allongé sur le côté, met la tête complètement en arrière. C’est évident ! A. dort exactement comme ça, presque toutes les nuits. Et combien de fois elle s’est retrouvée tordue dans son siège-auto, la tête en arrière et la bouche grande ouverte vers le plafond ?! Nous pensions que c’était parce que les sièges-auto étaient encore trop grands...
Le pire dans cette histoire, c’est que l’indice de ce syndrome de KISS, A. nous l’a donné avant même d’être née ! À environ 7 mois de grossesse, une écho de contrôle imprévue nous montre A. avec sa tête en hyper-extension. Le chef de service gynéco de l’hôpital s’est étonné de la voir ainsi et que ça n’ait jamais été signalé sur les précédentes échographies ; de fait, on ne l’avait jamais vue dans cette position. Il nous informe alors que si elle maintient cette posture, c’est césarienne obligatoire. Nous avons parlé à A. et elle n’a plus été prise en flagrant “délit” d’extension totale... Après sa naissance, elle a de nouveau adopté cette position, que nous avons prise pour une position fœtale, rassurante pour elle... mais en réalité, c’est bien une position de confort, antalgique, contre les douleurs liées au reflux et au blocage de la jonction crânio-cervicale.
Me voilà donc à suspecter que le syndrome de KISS n’ait pas atteint une de mes filles, mais les deux... Et il ne faudra pas longtemps pour que Mme M., que j’ai revue un mois plus tard, confirme le diagnostic.
Nouvelle clé de lecture des symptômes passés
Après ce rendez-vous avec L., j’ai encaissé le choc, mais j’ai surtout passé en revue ce que nous avions vécu.
Nos deux petits bébés qui pleuraient, pleuraient presque sans cesse, finissaient par s’endormir lourdement d’épuisement, dans nos bras. Les multiples tentatives de les poser dans leur lit ou dans un quelconque endroit adapté pour qu’elles dorment et les cuisants échecs. Ces heures à les garder endormies contre nous, malgré l’envie de faire pipi, malgré le linge qui s’accumule, malgré la fatigue qui nous gagne et les siestes que nous aurions voulu faire aussi... Et puis ces pleurs du soir, ces “décharges”, ces soi-disant “coliques” (parlons-en !). Sans compter les tétées du soir qui étaient sources d’énervement de ma part parce que je ne pouvais plus lutter contre le sommeil, mais que j’étais constamment réveillée par A. qui lâchait le sein plusieurs fois et finissait par s’agacer à son tour ; alors Papa descendait avec A. et la berçait pendant des heures sur le fauteuil à bascule, en lui chantant des chansons, pensant qu’elle avait mal au ventre... Ces endormissements difficiles, L. qui s’endormait régulièrement la tête posée sur son doudou (surélevée), puis elles ne voulaient pas rester allongée et se relevaient sans cesse, cette période où je me suis dit que L. commençait à avoir des troubles du sommeil car elle se réveillait au moindre bruit – et notre maison était fort bruyante !
Les consultations ostéo dès leur naissance se basaient sur un bon travail fonctionnel. Tout allait bien. Ensuite, j’ai été orientée vers un autre praticien qui travaillait davantage en crânien, dans la subtilité mécanique et tissulaire : les effets ont été immédiats. L. était bien en hyper-extension de la colonne, de la base du crâne au bassin, et ça l’empêchait de dormir, voire de se rendormir la nuit après une tétée. Suite à la rencontre avec ce deuxième ostéo, c’était nettement mieux et elle réagissait moins aux bruits environnants. On dort plus profondément quand on n’est pas soumis à une douleur constante, non ?
Enfin, j’ai rencontré une troisième ostéo, dont l’approche m’a semblé encore plus subtile car également énergétique. Il s’est passé de belles choses durant les consultations avec elle. Les résultats étaient encourageants... mais pas durables. Julie m’a expliqué lorsque je lui ai exposé mes doutes pour L. que les séances ostéopathiques classiques avaient cette conséquence : des améliorations qui ne faisaient pas disparaître les symptômes sur le long terme.
Et puis les détails me reviennent et finalement tout s’explique :
j’ai eu une crevasse au début de l’allaitement ;
A. tétait peu efficacement, manquait de tonus dans la mâchoire et a toujours pu me faire un peu mal (même à 2 ans) ;
A. a fait du sommeil (très) agité – j’en reparlerai dans un autre article – ;
toutes les deux, mais surtout A., ont fait des poussées de fièvre inexpliquées qu’on a mises sur le compte des poussées dentaires, la première étant à 7 mois de vie ;
pendant une période, elles pouvaient grincer des dents... je m’en souviens parce que leur Papa avait du mal à le supporter !
au début de la diversification alimentaire – nous avons fait la DME –, A. a eu de rares réflexes de régurgitation assez impressionnants, surtout que sa sœur n’en faisait pas ;
c’est arrivé deux ou trois fois qu’A. vomisse, soudainement, sans raison ;
L. a failli s’étouffer en recrachant le lait artificiel que l’hôpital nous avait dit de donner en complément ;
A. a eu la langue qui sortait légèrement pendant une période : manque de tonus de la mâchoire...
Tout ça, je l’apprends maintenant, ce sont des symptômes possibles du syndrome de KISS. Tous ces indices disséminés depuis la grossesse pour nous alerter. Mais on ne peut pas deviner ce qu’on ne sait pas ; on ne peut pas reconnaître ce qu’on ne connaît pas.
La suite
Les échanges que j’ai pu avoir avec Mme M., ainsi que mes recherches sur le web m’ont permis de mieux connaître ce syndrome et ses conséquences.
Le syndrome de KISS a des conséquences sur le développement, notamment moteur, de l’enfant. Malheureusement, s’il n’est pas traité, il y a de forts risques que des effets surviennent tout au long de la vie : troubles de la perception, des gestes, douleurs dorsales, scoliose, migraines...
Un enfant n’aura pas tous les symptômes. Par exemple chez nous, il n’y a pas eu particulièrement d’avance ni de retard sur le plan moteur. Je vous livre plus de détails sur le traitement et des informations dans le prochain article.
À suivre...
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thepressocean-blog · 6 years
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#GlobalNews: "Vidéo d'un patient chiropratique très animé de Calgary devenu viral "
#GlobalNews: “Vidéo d'un patient chiropratique très animé de Calgary devenu viral “
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Une femme de l'Alberta est si divertissante pendant ses voyages chez le chiropraticien que toute sa famille vient la voir
Une vidéo de l'un de ses rendez-vous a été partagée sur YouTube en décembre et compte déjà près de 14 000 vues
” Oh mon Dieu. Ahhhhh. Oh mon dieu, oh mon dieu, “la femme peut être entendu dire. Elle utilise une variété de techniques de respiration…
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