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Safe Place.
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Partage de pensées. Illu : Sophie Dherbecourt.
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lbrlln · 4 years ago
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11. A Whiter shade of pale
Les premières notes me transportent dans une scène de film.  J’imagine une chambre, avec un lit drapé de blanc cassé. Le lit est défait, il est assez bas et une pile de livre est posé à coté. Une lumière chaleureuse éclaire la pièce. Une lampe de chevet à l’abat jour froissé est posé sur une petite table de nuit en bois clair. Une étagère avec plusieurs plantes en pots de terre cuite est au mur, au dessus du lit. Il y a aussi des livres et quelques bibelots. Sur la deuxième table de nuit est posé un cendrier transparent, ceux que l’on trouve sur les tables de bar. Une cigarette à peine commencé laisse échappé une fumé qui danse au rythme de la musique. 
Sur le lit, une fille en culotte blanche est allongé sur le coté. Un carré brun coupé court, avec une frange légèrement décoiffé. Elle lit un livre pas très épais, avec une couverture blanche. Tout en lisant elle frotte ses deux pieds, comme si  elle voulait les réchauffer. Ses jambes ne sont pas très longue, elle a des hanches volumineuses et une petite poitrine, et elle n’en a rien à faire. 
Elle bouge en lisant, comme si elle ne pouvait pas tenir en place même pendant un moment aussi calme. Elle entortille ses cheveux autour de son indexe. Ses yeux parcours les lignes mais ses pensées sont ailleurs. 
L. 
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lbrlln · 4 years ago
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10. Psychologie.
Les études de psychologie nous montre les théories des grands auteurs, les mouvements de pensées, les découvertes importantes en psychologie. Ce que les études n’explique pas, c’est comment vivre avec tous ça ? 
Nous sommes supposés faire avec ce qu’on a. Ce que la vie choisi pour nous. Elle décide de notre état de santé, de nos liens sociaux, de notre famille. Et le but est de réussir à survivre avec le package de base, et toutes les évolutions qui en découle. 
C’est injuste. Parce qu’on ne part pas tous avec le même bagage, on va commencer notre vie avec un tremplin ou un boulet à la cheville. Cette inégalité est pesante. Et en plus de ce départ foireux, il y a tous les obstacles à surmonter. Certains de ces obstacles ne portent pas d’attention au bagage de base de chacun. La maladie ne choisi pas en fonction de la couleur de peau, où du sexe, où de l’orientation sexuelle, la mort non plus. 
La psychologie parle de l’importance de l’enfance, et de tout ce qui se met en place à ce moment la. Mais alors, si notre enfance est si importante, pourquoi on ne nous donnes pas les bonnes clefs à cette période ? Pourquoi le monde passe son temps à essayer de réparer des adultes cassé quand on pourrait éduquer les enfants à la base pour qu’ils soient plus à même d’appréhender la vie ? 
Réaliser que la souffrance aurait pu être éviter, que les choses pourraient être autrement. Plus on avance dans les siècles, plus la technologie simplifie nos vie, et on croit que c’est plus simple. Ce n’est pas plus simple, les complications évoluent avec leurs temps également. 
L.
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lbrlln · 4 years ago
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9. Guerrière.
On voit parfois dans les films, ces femmes pleines de courage. Elles risquent leurs vies, elles font ce qui est juste. Elles n’hésite pas à entrer en guerre, et ça a presque l’air simple. 
Dans la réalité, on devient des guerrières malgré nous. On prend les armes parce qu’on y est obligé. Les causes sont multiples, mais elles sont toutes motivées par la survie. Survivre en tant que femme libre et égale de l’homme, survivre en tant que femme libre de ses choix et de son corps, survivre dans un monde qui n’a pas été conçu pour qu’on y vive simplement. 
C’est un besoin, et lorsqu’on l’identifie, alors il n’est plus possible de rester en marge de cette guerre. Le sentiment de ne pas avoir le contrôle sur sa propre personne est si fort en tant que femme. C’est un sentiment fort en angoissant. On attend toujours plus de vous.
Naitre femme, c’est naitre guerrière. 
L. 
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lbrlln · 5 years ago
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9. Nuits.
La nuit, les pensées sont différentes. 
Que ce soit une nuit mouvementé à danser alcooliser, ou une nuit calme à écrire un post qui ne sera presque pas lu. Ce sont ces nuits la, qui sont les plus angoissantes. Elles nous plongent dans un questionnement qui nous fait perdre la tête. Se poser des questions, voila une activité qui crée bien des troubles. 
Quand on commence à se déconstruire, on se remet en question. Nos actes passés, nos décisions, nos relations. Faire le bilan est tétanisant. Quelque soit l’âge, on se dit que c’est à cela que ressemble notre vie, et que tout ce chemin parcouru ne peut être modifier. Accepter que le passé est encré peut être difficile. Mais quand on y pense, l’incertitude du future est peut être plus effrayante encore. Car si l’on peut regretter certaines choses, savoir d’avance que l’on en regrettera certaines que nous n’avons pas encore fait remet en cause une fois de plus les choix que nous sommes capable de faire. 
C’est à ça que serve les nuits de solitudes. En tête à tête avec nos pensées, nous faisons des constats effrayant sur le fonctionnement de notre personne. 
L.
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lbrlln · 5 years ago
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Silences.
“Le silence en dit long”
Parfois, on a pas les mots. Ces moments ou l’on ne trouve même pas la force, ou c’est le contenue qui manque. C’est déroutant d’en perdre les mots. Quand on apprend quelque chose qui nous laisse sans voix, une fois le choc passé, on arrive à verbaliser des ressentis, parler du choc. Mais quand le choc est trop grand, et que même avec le temps, les mots ne sont toujours pas la. C’est difficile de ne pas pouvoir exprimer les émotions et les ressentis. C’est difficile de ne pas pouvoir se libérer, et déverser les choses qui nous encombrent. 
Les silences sont parlant, mais ils sont aussi la cause de mauvaises interprétations.
L.
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lbrlln · 5 years ago
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8. Temps.
On a tous déjà vécu une distorsion du temps. Ce moment en cours de philo ou il ne reste que 20 minutes, et elles vous semble interminable, ou quand on est avec des amis à rigoler en terrasse (quand on pouvait) et que 2 heures passent en 20 minutes. 
Le problème, c’est d’y penser. Ça crée une frayeur en moi. Peur de ne pas en avoir assez, de ne pas profiter correctement du temps qui m’est accordé. La peur du futur, de grandir, et qu’un jour tout s’arrête. Peur de la mort. 
C’est une angoisse latente. Parfois elle dort pendant très longtemps, de long mois, puis un soir avec un peu de fatigue, elle ressort. Elle vient frapper à la porte pour réclamer un peu d’attention. Le problème c’est qu’on ne nous apprend pas a faire face à nos émotions, donc on ne sait pas les gérer, et encore moins les dompter. 
On m’a conseillé de leurs ouvrir la porte, de les laisser entrer et d’écouter ce qu’elles ont à dire. Plus facile à dire qu’à faire, mais ça me semble tout à fait judicieux. 
Partage de pensées. 
L.
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lbrlln · 5 years ago
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7. Liens.
 Être seul, c’est être libre.
Parfois quand on se sépare de quelqu’un après une longue relation, on se sent soulagé. Quand on a enfin le courage de sortir d’une relation toxique, ou que l’on comprend que l’on est pas avec la bonne personne parce qu’elle ne vous convient plus pour de multiple raisons, c’est apaisant de couper le lien. 
Mais qu’en est il quand il n’y a pas de lien ? La solitude. Le célibat est une expérience qui se présente de multiples façons. Il y a les célibataires de toujours, qui n’ont pas encore trouvé chaussures à leurs pieds, et il y a ceux qui ne l’expérimentes jamais. Certains n’ont jamais connu de période de célibat depuis que leurs vie amoureuse a commencé. Comme une peur du vide. 
J’ai découvert que le célibat pouvait être une thérapie. Le seul lien que l’on crée c’est avec nous même. Ne se soucier de personne, ne pas avoir de comptes à rendre. Dans le célibat ce que je préférais c’était le fait de faire des plans sans entraves. Imaginer la vie avec des amis, sans attache à un point précis, prévoir un déménagement à l’autre bout de la France sans que rien ne me retienne. On y découvre une sorte de liberté. C’était facile, doux et sensuel par moment. 
Et puis il/elle vous regarde. Quand un lien se crée avec quelqu’un, il peut avoir plusieurs intensité. Si c’est quelqu’un qui ne fait que passer dans votre vie, ça va être plutôt facile a gérer. Si vous commencez à ressentir des choses et à tisser un lien solide et épais, alors les choses se compliquent. 
Etre amoureux de quelqu’un c’est crée un lien fort. Partager des envies, des rires, des plats, des moments fort et des moments simples (comme se brosser les dents ensemble). Mais ce lien, il fait peur. L’amour nous prive-t-il de nos libertés ? On peut avoir l’impression que son coeur va exploser par moment quand on regarde celui qu'on j’aime. C’est niait, mais c’est la vérité. Mais aussi vrai que l’on peut aimer à la folie, on peut se sentir vide sans l’autre. C’est cette sensation qui est effrayante. Elle est effrayante car on peut y voir de la dépendance. C’est la que ça devient difficile, quand on essaye de concilier amour fou et envie irrésistible de rester indépendante et libre. Le fait de voir le couple comme quelque chose qui nous ampute de quelques liberté ne me plait pas. Ça lui donne un aspect négatif, et comment peut il être négatif quand il est la meilleur chose qui vous soit jamais arrivé ?  Comme si la situation de couple imposé des limites à ceux qui le compose.
J’aime à penser qu’on peut se sentir parfaitement libre avec quelqu’un. Mais je n’ai jamais expérimenté ça. 
Partage de pensées.
L.
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lbrlln · 5 years ago
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6. Décisions.
 Prendre des décisions ne fait peur que si elles sont importantes. 
Lorsque l’on choisi un plat au restaurant, on prend une décision. Elle n’a pas un impact très important. Ça ne va pas jouer sur le reste de votre vie. Quand est-il quand vous décidez de faire S ou L au lycée ? ou quelles études supérieures vous allez entreprendre ? Ces décisions ont un impact réel sur votre avenir. 
Le problème, c’est le moment auquel on nous pose la question. 17-18 ans, c’est jeune. Sommes nous réellement capable de réaliser tout ce qu’une telle décision implique à cet âge ? Non. C’est parce qu’on nous demande de tracer notre avenir à des âges ou nous n’en savons rien qu’autant de gens recommencent à zéro. Orelsan dit dans sa chanson Note pour trop tard : “T'es au moment de ta vie où tu peux devenir ce que tu veux, le même moment où c'est le plus dur de savoir ce que tu veux”. Si ça sonne aussi juste c’est parce qu’on l’a tous déjà ressenti. Je me suis toujours demandé comment c’était de savoir exactement ou été sa place. Ça doit être facile de ne pas se poser la question, de ne pas douter. Mais est ce vraiment le cas ? Existe-t-il vraiment des gens qui ont toujours su ce qu’ils devaient faire, ce qu’il devait être ?
On pense souvent que quand on est adulte les choses sont plus simple, que les décisions sont plus facile a prendre. Ça a l’air si simple pour nos parents de choisir ce qui est juste ou non. Seulement voila ce n’est pas le cas. J’ai 25 ans et rien ne me parait simple. Avoir conscience de l’impact de mes choix me terrorise plus encore. Il y a juste une chose à laquelle je n’avais pas pensé, j’ai le droit de me tromper. Parfois on fait de mauvais choix, mais il y a toujours un plan B. 
Alors on recommence à zéro. Parfois parce qu’on a un déclic un matin, parfois parce que la vie nous fait signe qu’il est temps de changer de fonctionnement. Sans trop s’en rendre compte on se retrouve confronté au deuil d’une époque, et parfois au deuil de nous même, le “moi” d’avant. Les changements prennent du temps. 
C’est parfois dans la précipitation que je réagis le mieux. Comme si la contrainte de temps m’aider à activer toutes mes ressources. Alors la prise de décision parait plus simple. Sinon mon cerveau ne peut pas s’empêcher de réfléchir beaucoup trop aux impacts, aux conséquences. C’est fatiguant, et angoissant. Surpasser la peur, passer outre, se sentir capable.
Partage de pensées,
L.
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lbrlln · 5 years ago
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5. Absence.
Par moment je me sens ailleurs. Dans une pièce pleine de monde, mes pensées partent à des années lumières de ce que mes oreilles perçoivent. Non pas que les discussions de mes amis soient inintéressantes, mais une pensée en entraine une autre. Cet enchaînement m’éloigne progressivement du moment présent.
L.
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lbrlln · 5 years ago
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4. Allié(e)s.
“Uni par un traité d’alliance”.
Aucun traité n’a été signé à ma naissance, mais ma famille est de loin et définitivement mon meilleur allié. Ensuite viennent se rajouter les amis, les amants, les amoureux, ceux qui à un moment ou à un autre de ma vie, on prit le temps de me faire comprendre qu’on partageait les mêmes pensées. Puis il y a depuis peu (depuis un investissement plus prononcé dans le féminisme), tous ces alliés que je n’ai jamais vu, à qui je n’ai jamais parlé, mais qui sont animé par la même force que la mienne. 
Suivre un mode de pensée, entamer un combat, c’est comme aller à un concert. C’est se retrouver dans un espace (réel ou virtuel) avec des gens qui ressentent des émotions, fortes ou non, bonnes ou mauvaises, mais qui sont pour beaucoup les mêmes que les tiennes. Se soulever pour l’égalité des sexes, l’égalité des genres, l’égalité des races, c’est découvrir un monde d’alliés.
Si il est parfois compliqué de parler en face à face de certains sujets, on trouve virtuellement de nombreuses portes qui s’ouvrent à nous. La sphère internet est si vaste qu’on ne peut pas ne pas trouver d’alliés. Ils/elles sont la, à porté de clic. Et rapidement, on se retrouve dans une immense salle de concert, tous et toutes venu pour rêver et penser à la construction d’un monde sans inégalité. Certains diront “belle utopie”, mais de telles utopies ont par le passé aboutie à des avancés spectaculaires. Et cela grâce à cette union par traité d’alliance.
Ces alliés, physiques ou virtuels, sont une fantastique source de motivation. Ils sont inspirant, motivant et nous permettent de nous sentir moins seule quand parfois ne se sent pas à sa place.
Partage de pensées, 
L.
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lbrlln · 5 years ago
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3. Prises de conscience.
Accepter que l’on a tord. Remettre en question une pensée, une idée, ne serait ce qu’une affirmation que l’on a pu dire à un moment ressemble presque à une épreuve de Koh Lanta. Cela paraît même plus dur qu’une épreuve des poteaux pour ceux dont la fierté est trop forte. 
Particulièrement aujourd’hui, j’en viens à me remettre en question. Le sujet est simple : Suis-je trop extrémiste dans mes convictions féministes ?  Ai-je une bonne approche du sujet auprès des gens qui n’ont pas le même mode de pensé que le mien ? J’en suis venu à me poser ses questions après des discussions avec des gens qui ne pensaient pas comme moi, qui voient les choses avec leurs propre prisme. Les échanges m’ont fait douter de comment j’abordé les choses, mais pas de justesse de ce en quoi je crois (l’égalité homme/femme). 
Face à ces questionnement, j’ai me suis tourné vers une amie. Elle m’a fait part de sa vision des choses. Apres lui avoir expliqué ces questionnements, elle m’a dit ces mots : “Je crois que tu fais juste face à des prises de conscience fortes.” Ça a sonné juste. . Ça m’a semblé très pertinent. Cette prise de conscience induit un décalage entre mon seuil de tolérance et cette évolution de ma pensée et de ma conscience en tant que femme. C’est ce décalage qui me fait me sentir étrange par rapport à mon approche du féminisme, qui est clairement entrain d’évoluer. 
Partageons nos pensées, 
L.
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lbrlln · 5 years ago
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Des fois un dessin vous parle. C’est intéressant ce qu’une ligne peut créer émotionnellement.
A méditer,
L.
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Ça fait presque 2 ans que j'avais pas pris un crayon pour dessiner reellement.
Ça m'as fais du bieeen!
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lbrlln · 5 years ago
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lbrlln · 5 years ago
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2. Feministe.
“Je suis féministe.”
C’est fou comme une simple phrase peut totalement changer la façon dont les gens nous voient. Comme si cette simple affirmation transforme à jamais l’idée qu’ils avaient de nous. Maintenant gravée dans le marbre, notre image d’hystérique anti-homme en perpétuelle croisade est presque un défaut. Comme si s’investir pour une cause juste et égalitaire pouvait être quelque chose de négative.
Il est presque amusant de voir les gens se mettre à marcher sur des oeufs, comme si une toute petite phrase ou allusion pouvait déclencher une bombe. Les échanges deviennent différents. On pourrait presque dire qu’il relève du courage que de dire à son groupe d’amis ou à des collègues qu’on est féministe. Combien d’amies m’ont déjà parlé de moments où elles se sont senties incomprises. Pourtant cette situation de “féministe” est une fantastique occasion de remise en question et d’évolution. Seulement voilà, tout le monde n’est pas prêt à évoluer.
Déconstruire des mécanismes installés depuis le plus jeune âge est un travail qui nécessite un investissement certain. Si certaines personnes se sentent déjà capables de faire ce travail, il arrive que l’on tombe sur des personnalités qui n’ont pas forcément l’envie ou le courage de remettre en question les fondamentaux de leurs éducations. Prendre du recul par rapport à ce qu’on nous martèle depuis l’enfance n’est pas chose aisée.
Le sujet est tellement vaste qu’il mériterait de nombreuses lignes, de nombreux débats. Mais tellement de sujets viennent s’y entremêler qu’il est préférable de le sectionner en multiples pensées.
Partageons nos pensées,
L.
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lbrlln · 5 years ago
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1. Safe Place.
L’envie d’écrire est de plus en plus forte. Plus les années passent et plus j’ai envie de partager avec d’autres ce qui se passe dans ma tête. Le problème étant de trouver un endroit ou poser toutes ces choses. Ecrire pour moi-même est intéressant. Cependant les pensées, aussi personnelles soient-elles, sont souvent universelles. Etre en accord avec tout le monde est un doux rêve, une illusion dont il faut faire le deuil. C’est une bonne chose. Ne pas être d’accord c’est avoir la possibilité d’argumenter, de débattre, d’apprendre et d’alimenter ses pensées. Le tout étant de pouvoir laisser ses pensées dans un endroit où l’on se sent en sécurité. C’est pourquoi écrire dans un carnet qui traine sur ma table de nuit revient à créer une safe place pour mes pensées.
Mais voilà l’envie de partager ces pensées est devenu trop forte. Il est donc temps de créer une nouvelle safe place ou il serait possible de poser des pensées en tous genres, mais avec une possibilité d’échange et d’enrichissement.
Partageons nos pensées, 
L.
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