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birgittetheresa

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Il faut vivre, c'est tout. Après, tu vis comme tu le souhaites. Moi je te conseille de tout essayer, de tout aimer et d'être aimée. Le reste, on s'en fout. Voyage, fais des enfants, apprends des langues différentes ! Trouve ce que tu aimes faire. Et fais-le, fillette ! Sans jamais regarder derrière.

Loulou Robert, Bianca (via lacrapaude)

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TBR

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Sometimes you can do everything right and things will still go wrong. The key is to never stop doing right.

Angie Thomas, The Hate U Give (via booksqouted)

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“Somebody, your father or mine, should have told us that not many people have ever died of love. But multitudes have perished, and are perishing every hour–and in the oddest places!–for the lack of it.” – James Baldwin

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Ancient libraries make me happy

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Jeder spielt seine Rolle und meine ist eine traurige.

- William Shakespeare

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Little Women/Anne of Green Gables

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The curves of your lips rewrite history.

Oscar Wilde, The Picture of Dorian Gray (via wordsnquotes)

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I have lived forgotten years.

Georg Trakl, from Poems & Prose: A Bilingual Edition; “Dream and Derangement,” (via violentwavesofemotion)

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The soul is a stranger to earth.

Georg Trakl, from “Springtime of the Soul II,” Poems and Prose: A Bilingual Edition (Northwestern University Press, 2005)

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“I want to hold your hand”, I say softly. Because we’re in public. Because I don’t know if he’s out. “So hold it,” he says. And I do.

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Le pire, c'est de continuer à attendre alors qu'il n'y a plus rien à attendre.

Annie Ernaux (via toutcommenceparunbaiser)

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Qu'est ce qui te faisait rêver? tu aimais l'idée de l'amour tu aimais ce sentiment qui fait que l'on se sent vivre ce week end permanent mais au fond tu aimais qui en aimant ? qui aime-t-on quand on aime ?

Clôture de l’amour-Pascal Rambert-

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Parfois, c'est comme un sursaut, parfois, je m'agrippe encore, je deviens haineux, haineux et enragé, je fais les comptes, je me souviens. Je mords, il m'arrive de mordre. Ce que j'avais pardonné je le reprends, un noyé qui tuerait ses sauveteurs, je leur plonge la tête dans la rivière, je vous détruis sans regard avec férocité. Je dis du mal. Je suis dans mon lit, c'est la nuit, et parce que j'ai peur, je ne saurais m'endormir, je vomis la haine. Elle m'apaise et m'épuise et cet épuisement me laissera disparaître enfin. Demain, je suis calme à nouveau, lent et pâle. Je vous tue les uns après les autres, vous ne le savez pas et je suis l'unique survivant, je mourrai le dernier. Je suis un meurtrier et les meurtriers ne meurent pas, il faudra m'abattre.

Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde (via ellednorih)