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#Époque romantique
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Les Visions poétiques de William Blake
Le texte ci-dessous est l’extrait du livre William Blake (ISBN: 9781783108749) écrit par Osbert Burdett, publié par Parkstone International. On en vient à croire un mensongeSi l’on ne voit pas à travers l’oeil,Celui qui est né en une nuit pour mourir en une nuit,Quand l’âme dormait dans les rayons de lumière.Dieu apparaît et Dieu est lumière,Pour ces pauvres âmes qui résident dans la Nuit ;Mais…
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leblogdejennifer-fr · 2 months
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Une blouse victorienne romantique à manches bouffantes (New Look 6599)
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Ma collection néo-romantique ne pourrait être complète sans quelque chose inspiré de l’époque victorienne. Son encolure haute et ses manches bouffantes jusqu’aux coudes sont inspirées du début des années 1890, et elle est encore mieux avec un camée.
Le modèle original était New Look 6599, aujourd’hui épuisé. Il est proche du modèle original ; cependant, après réflexion, je préférerais avoir des boutons au niveau du décolleté pour mieux le fermer.
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homomenhommes · 7 months
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ORIENT QUEER : L'ANDALOUSIE
Extraits d'articles :
L’homosexualité était pratiquée dans la société andalouse au XI ème siècle, en dépit des prises de positions extrêmement ferme de l’islam qui condamne sévèrement la sodomie, cette inversion sexuelle était connue et pratiquée en Espagne, comme dans beaucoup d’autres contrées.
L'amour homsexuel (مذكرات mudhakkarat) comme thème littéraire se développe dans le milieu de la poésie dans tout le monde arabe; le juriste et écrivain persan Muhammad ibn Dawud (868 - 909) écrit, à 16 ans, le Libro de la flor, une anthologie des stéréoptypes de la lyrique amoureuse qui donne une large part aux vers homoérotiques.
Ibn Hazm raconte qu’un certain Ahmed b. Kulayb poète et grammairien cordouan, mourut de chagrin, en 426 /1035, parce que le jeune homme dont il était éperdument amoureux restait insensible à ses avances.
Très fréquemment, des andalous musulmans s’éprenaient de jeunes gens, chrétiens ou juifs, qui étaient d’autant plus appréciés que souvent, ils étaient blonds aux yeux bleus. Recherchant parfois des plaisirs interdits par la loi islamique.
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DE L'AMOUR DES ROIS
La poésie homoérotique hispano-arabe est la partie du corpus poétique hispano-arabe à caractère homoérotique. La littérature érotique, du moins de la plus grande qualité, s’épanouit au sein de la culture islamique à une époque où l’homosexualité, présentée comme raffinement culturel dans le califat omeyyade, inspire un grand nombre d’écrits, principalement dans la poésie.
La pratique de l’homosexualité est plutôt courante entre les rois andalous et de jeunes hommes. Abd al-Rahman III, Al-Hakam II (qui a une descendance pour la première fois à l’âge de 46 ans avec une esclave basque chrétienne qui se travestit, à la manière de Bagdad, comme si c’était un éphèbe), Abdallah ben Bologhin de la Taïfa de Grenade, le Nasride Mohammed VI al-Ahmar; entre eux, l’Abbadide Al Mutamid ibn Abbad de la taïfa de Séville et Yusuf III du royaume de Grenade écrivent de la poésie homoérotique. Abd al-Rahman III, Al-Hakam II, Hicham II et Al Mutamid entretiennent ouvertement des harems masculins. Les hispano-arabes préfèrent comme compagnons sexuels les esclaves chrétiens et chrétiennes aux femmes et éphèbes de leur propre race, ce qui provoque l’hostilité des royaumes chrétiens. Le martyre du jeune Pélage qui résiste aux désirs d’Abd al-Rahman III, premier calife Califat omeyyade de Cordoue, est reconnu dans sa canonisation.
Dans la communauté juive d’Al-Andalus, l’homosexualité est également courante chez les aristocrates. La culture courtisane et aristocratique y prend la forme d’un individualisme romantique explorant toutes les formes de la sexualité libératrice :
hétérosexualité, bisexualité, homosexualité.
Non seulement le plaisir homosexuel est fréquent, mais il est considéré comme davantage raffiné chez les personnes à l’aise et cultivées. Les prostitués sévillans du début du xiie siècle auraient par ailleurs touché davantage de revenus que leurs camarades féminines et auraient pratiqué auprès d’une classe plus aisée.
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Sources :
Before Homosexuality in the Arab‐Islamic World, 1500–1800 is a 2005 book by Khaled El-Rouayheb, published by the University of Chicago Press.
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Le clin d'œil...
Malicieux, il se glisse
Dans un jeu, une phrase, un complice,
Tendre, il caresse
Un souvenir, un rêve, une étreinte,
Musical, il revisite
Un morceau, une danse, un jazz,
Partage, il évoque
Une photo, un moment, une époque,
Artistique, il s'invite
Dans un film, une sculpture, une peinture,
Épistolaire, il s'écrit
Dans une lettre, une missive, un poème,
Voyageur, il s'envoie
Depuis l'océan, les lacs gelés, le sable sec,
Conversation, il se complète
D'un verre de vin, une cheminée, des stères,
Vestimentaire, il se porte
Dans une chemise, des chaussures, un jean,
Douceur, il nage
Dans des fleurs de thé, une bougie, un canapé,
Romantique, il se décline
Dans des fleurs, des broches, des carnets,
Amoureux, il se savoure
Dans un présent, un parfum, un regard...
Le clin d'œil, douce oeillade à savourer à deux, magie de tendres marques déposées çà et là pour dire à l'autre...qu'il/elle est unique...
M de G
Je vous offre mon plus beau clin d'œil pour vous souhaiter une délicieuse soirée ! 😉
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musographes · 4 months
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Les muses non-consentantes
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Quand des cinéastes et comédiens d’âge mûr jettent leur dévolu sur des adolescentes rêvant de belles carrières par leur entremise, tout le monde ou presque parle à présent de domination et d’abus, et ces histoires emplissent les pages d’actualité. Mais pour les peintres et sculpteurs de l’ancien temps, qui parfois dépucelaient leurs modèles de 15 ans, voilà qu’on invoque plutôt la bohème et la frivolité. Cela mérite qu’on y regarde de plus près, non ?
Que diriez-vous de malmener sans attendre l’imagerie romantique des relations entre artistes et modèles ? Pour cela, rien de mieux que les aventures de Benvenuto Cellini, sculpteur et orfèvre florentin du XVIe siècle.  En résidence en France afin de répondre à une commande de François 1er, Cellini avait pris l’habitude de satisfaire ses besoins sexuels sur Catherine, une de ses servantes, 16 ans au compteur, une situation qui n’avait rien d’exceptionnel à cette époque. Comme le faisaient les artistes qui souhaitaient travailler le nu à partir d’un vrai modèle féminin et non à partir de plâtres et de gravures, notre sculpteur florentin utilisa cette servante comme modèle. Puis, prétendant qu’elle l’aurait trompé avec son assistant, il obligea ce dernier à la marier, ce qui constituait un déshonneur au vu de la condition sociale très basse de la modèle. Mais la modèle contre-attaqua en traînant Cellini devant les tribunaux, l’accusant de viol par sodomie, une procédure dont le sculpteur se sortit par le haut, sans doute grâce à ses commandes pour le roi François 1er. Catherine revint travailler à son atelier mais, excédé par son comportement, Cellini la tabassa. La force des coups la rendit inapte au travail de pose pendant deux semaines. Elle revint finalement poser, parce qu’il fallait bien gagner des sous, et ce fut dès lors une alternance de relations sexuelles et de violences, jusqu'à ce que Cellini la remplace par une autre de 15 ans, à qui il ne tarda pas à faire un enfant. Il avait alors 44 ans. Nous tenons ce récit de l’autobiographie que Cellini nous laissa, la seule du genre en l’occurrence. Étant donné que l’ouvrage n’est pas pauvre en rodomontades, il convient de considérer avec prudence ce compte-rendu. Cependant, celui-ci jette sur le sculpteur un jour suffisamment peu reluisant pour qu’on se laisse aller à le juger crédible dans ses grandes lignes.  Comme de bien entendu, il serait tout à fait exagéré de penser que les relations entre artistes et modèles à la Renaissance étaient généralement taillées sur le même patron, mais avouez que c’est une frappante entrée en matière pour notre sujet du jour, à savoir les relations charnelles dans le secret des ateliers ! Les relations charnelles présumées entre artistes et modèles sont un des piliers de leur mythologie, le récif saillant des préjugés que nulle entreprise historiographique sur les modèles ne peut esquiver. Ce présupposé qui sexualise les modèles prend appui sur l’idée que les artistes étaient majoritairement de sexe masculin (très vrai) et les modèles majoritairement de sexe féminin (plutôt faux). Les autres configurations de genre, par exemple artiste masculin face à modèle masculin, ont toujours moins intéressé... comme par hasard.
Durant l’époque moderne, il fut souvent interdit de travailler d’après des modèles féminines, d’où leur faible nombre, et de plus les sources sont bien maigres sur le sujet. Pour le XIXe, cette période où les modèles féminines se firent bien plus nombreuses et où l’image populaire du modèle vivant se cristallisa, les témoignages sont en revanche bien plus copieux, et ils nous disent qu’on trouvait chez les modèles féminines aussi bien de chastes femmes que des délurées, et que les modèles ne partageaient pas autant la couche des artistes que les bourgeois aimaient à s’en persuader. Ceci posé, il faut absolument considérer le contexte social. Toutes les modèles féminines étaient des filles de rien, qui pour certaines posaient depuis leur plus jeune âge. Pour beaucoup d’entre elles, c’était ça ou le trottoir (parfois les deux). De 15 à 25 ans, sachant qu’au-delà elles étaient vite considérées comme trop vieilles, elles posaient comme femmes adultes. Imaginez à présent ces jeunes filles souvent miséreuses, dominées socialement, culturellement et financièrement par ces messieurs artistes généralement issus de milieux aisés, et osez dire que la consommation charnelle qui pouvait en découler n’était affaire que de joie et de consentement... C’est là que les récents scandales de mœurs qui secouent le monde du spectacle aujourd'hui, parce qu’il offrent des réalités plus concrètes, peuvent aider à mieux appréhender ce que pouvait être la situation des dites "muses" d’autrefois, et à comprendre que les quelques poseuses "libérées" de la bohème de la butte Montmartre ou du Petit Montparnasse n’ont jamais constitué le maître étalon de la corporation des modèles.  Rappelons-nous cette phrase de Raniero Paulucci di Calboli en 1901 : "«Si la faible créature ne cède pas, trop souvent la porte de l’atelier lui reste fermée ! II faut qu’elle adopte bon gré mal gré la devise cynique de la femme: Le ciel nous fit pour consentir à tout.(...)"
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Bruce, Bruce, Bruce. Continuerai-je à écrire sur tes pages quand tout aura été rénové ? Quand le quotidien aura retrouvé un air de normalité ? Ou bien la normalité est-elle perdue – la fissure dans le monde des Nephilim est-elle irréparable, ne fera-t-elle que s’agrandir avec le temps, apportant de plus en plus de changements, jusqu’à ce qu’il y ait finalement trop de changements pour que ce soit supportable ? Auquel cas, je suppose que je continuerai de t’écrire, Bruce, comme à un témoin silencieux de l’étrangeté de cette époque.
Désolée, désolée. Je suis d’humeur un peu poétique ce soir parce que Jem, Tessa, Kit et Mina sont arrivés aujourd’hui et… eh bien, c’est un peu de cette façon que Jem et Tessa s’expriment. Vu qu’ils sont, tu vois… hyper vieux. Et parce que j’ai l’impression que nous en arrivons aux derniers chapitres de toute cette histoire de maison maudite et je n’ai pas la moindre idée de ce que l’avenir nous réserve.
Quoi qu’il en soit, nous ne nous sommes pas intéressés à la malédiction aujourd’hui, nous avons simplement passé du temps avec les Carstairs-Herondale, qui devraient certainement choisir un nom plus court par lequel nous pourrions les désigner. Team Ere Victorienne ? Team Époque Où Tout Était Très Romantique Mais Aller Où Que Ce Soit Prenait Une Éternité ? Hum. Je pense que je leur demanderai s’ils ont des idées, puisque les miennes sont… euh… mauvaises.
Nous avons rencontré quelques complications quand ils sont arrivés. Nous avions choisi des chambres pour eux et avions demandé aux brownies de les préparer, d’y mettre des draps et des serviettes et tout ce qu’il faut. Et puis nous étions allés vérifier avant l’arrivée de nos invités. Et je suis contente de l’avoir fait parce que les fées avaient préparé toutes les chambres pour… des oiseaux ? Genre, des oiseaux immenses, à taille humaine. Avec des nids gigantesques, de presque deux mètres, et des branches en guise de perchoirs. Et d’énormes boules de graines pendaient du plafond. Nous avions donc dû demander à des brownies très déçus de refaire les chambres. (Mais nous n’avions pas dit que les invités étaient des oiseaux ! Je ne sais pas du tout pourquoi ils ont cru ça !) Le pire dans tout ça, c’est qu’ils avaient vraiment fait du bon travail : si ça avait bien été d’immenses oiseaux qui nous rendaient visite, ils auraient été très à l’aise. Ils ont quand même été confus quand tout le monde est arrivé en voyant que Mina n’était pas un gros œuf. Les fées, je te jure.
En parlant de Mina, qui n’est pas un gros œuf mais une petite bambine, elle est absolument adorable. Elle marche maintenant, ou plutôt fait des premiers pas hésitants, et elle dit « mama » et « papa » et aussi « kish » pour appeler Kit semble-t-il. Et elle a une petite stèle en bois avec laquelle elle essaye tout le temps d’écrire sur tout le monde. Apparemment Kit apprend les runes et Mina veut les apprendre aussi.
Nous aurions tout de suite dû nous atteler à la malédiction mais honnêtement nous passions un si bon moment tous ensemble. C’est très agréable de passer du temps avec Tessa et Jem, ce qui change de la nervosité de la plupart de nos autres amis. Je suppose qu’avec tout ce qui leur est arrivé, il en faut beaucoup pour les contrarier. La simple manière dont Jem parle de la malédiction m’aide beaucoup à croire que nous pourrons arranger la situation, même si nous ne savons pas vraiment ce que nous faisons ni ce que nous avons mal fait jusque-ici.
Ils ont aussi l’air vraiment impressionnés par la maison. Julian a l’air tout fier de lui, c’est hyper mignon. Tessa s’est remémoré que la dernière fois qu’eux deux étaient venus, c’était après que Tatiana ait été arrêtée et envoyée à la Citadelle pour devenir une Sœur de Fer. Ils fouillaient le manoir à la recherche d’activités démoniaques. (Bien sûr, ils n’ont presque rien trouvé, a-t-elle admis. Au ton de sa voix, il semblait évident qu’ils n’avaient compris le danger que représentait Tatiana que lorsqu’il était trop tard. Je voudrais bien lui poser des questions à ce sujet, mais ça me semblait être de tristes souvenirs alors que nous passions tous un bon moment.) Jem a remarqué qu’à cette époque la propriété était déjà en mauvais état, mais Tessa a révélé qu’elle avait vu la maison « à son apogée » lors d’un bal, puis elle a rougi un peu. Ce qui s’est passé pendant ce bal devait être assez mémorable pour que ça la fasse rougir 130 ans après !
Évidemment, il y a toujours cette espèce de lourd stigmate qui recouvre la maison comme un linceul, et ce ne sont pas des murs repeints et des fenêtres remplacées qui changeront ça. C’est à cause de la malédiction. Mais cette soirée était toute de même la plus joviale que j’aie connue ici. Pour la première fois, j’avais un peu l’impression que c’était notre maison, que des amis étaient venus nous rendre visite et c’était étonnement sympa et ordinaire. Tant que je ne pense pas à ce qu’il se passe avec l’Enclave.
Une inquiétude : Kit. Il est resté avec nous une bonne partie de la journée, mais il était anormalement calme, et il s’est excusé deux fois pour aller faire un tour dans le jardin. D’après Julian, Kit a rompu avec sa petite-amie et c’est peut-être ce qui le rend triste, mais je n’en suis pas sûre. Il était très nerveux en présence des entrepreneurs et il les surveillait de près dès qu’ils étaient dans les environs. Round Tom s’est présenté et Kit a hoché la tête sans rien dire, même pas son nom. Enfin, on ne peut pas vraiment lui en vouloir. Sa relation avec les fées, et avec le Royaume des Fées, est compliquée. Tessa a expliqué que Cirenworth est exceptionnellement protégé contre les intrusions féériques, de même que la ville et les routes proches. Magnus et Catarina s’en sont assurés. C’est donc l’une des premières fois qu’il est en compagnie d’elfes depuis la grande bataille aux abords d’Alicante. Même si ces fées-là ne sont pas dangereuses, ça doit être bizarre pour lui.
Mais tu connais Kit. Il donne l’impression qu’il ne veut répondre à aucune question au sujet de comment il va. Aujourd’hui, il était sur le qui-vive, à regarder les elfes dans le jardin : peut-être qu’ils l’inquiètent, ou peut-être qu’il veut les rejoindre ? Je ne sais pas. Peut-être que Julian et moi pourrons le faire parler un peu pendant son séjour ici. Ou peut-être que j’aurai l’occasion de demander à Jem et Tessa s’ils savent ce qu’il se passe.
Bref, c’est tout ce que j’ai à te dire pour l’instant, Bruce. Demain nous rompons une malédiction ! J’espère !
Emma
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/691398026631217153/emma-to-bruce
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flashbic · 24 days
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J'ai perdu le contrôle et j'ai répondu à toutes les questions de ce ask meme shippy reblogué il y a une semaine ou deux. Avec le Lorrain et Falconi. y'a 2 questions que j'avais déjà faites et donc elles sont en anglais, mais zut
C'est sous le cut parce que c'est Interminable.
Après, bon, disclaimer, ça reprend un peu le setting de la grosse fanfic, parce qu'autrement, forcément, y'a pas grand-chose.
I. PRE-RELATIONSHIP
How did they first meet?
Un peu plus d’une dizaine d’années avant le début de la série. Le Lorrain était déjà élève du comte de Mansur depuis un moment, et tirait une grande fierté de son statut d'élève favori. Lorsque Falconi se voit offrir une place auprès du comte lui aussi, le Lorrain voit cette arrivée comme un affront. Le comte de Mansur choisit de faire s’affronter son nouvel élève prometteur et son élève le plus doué dès leur première rencontre, et le Lorrain se montre trop arrogant et sûr de lui. Falconi le désarme lors de leur tout premier combat, et le Lorrain prend cette défaite comme une cuisante insulte.
What was their first impression of each other?
À cette époque, le Lorrain méprise ceux qui sont inférieurs à son rang. Lorsque Falconi parvient à le vaincre à l’épée lors de leur tout premier affrontement, l’image que le Lorrain a de lui se fige: il prend le silence et la personnalité réservée de Falconi pour de l’arrogance. À ses yeux, Falconi ne mérite pas cette place qu’on lui a offerte, aussi doué à l’épée puisse-t-il être.
Pendant un bref instant lors de cette toute première rencontre, Falconi espère trouver en Louis du Châtelet un adversaire à sa mesure, mais peut-être aussi un ami. Peut-être que pendant un instant encore plus bref, il se surprend à trouver chez ce jeune homme expressif et sûr de lui quelque chose d’attirant... Quoi qu’il en soit, cette attirance confuse et ce désir de faire du Lorrain un ami disparaissent bien vite lorsque celui-ci se révèle froid et dédaigneux.
Who felt romantic feelings first?
Le Lorrain, qui commence à ressentir une affection confuse à peu près au même moment où il commence à souhaiter faire de Falconi son ami. Cette attirance se développe lentement, mais côté physique ça se cimente à peu près au moment où il voit Falconi vêtu de ces vêtements mal ajustés qui ne lui vont pas du tout mais qui sont tout ce que les Cartouchiens peuvent lui prêter pour le moment. Est-ce que Falconi a l’air ridicule? Tout à fait. Mais le Lorrain trouve ça absolument charmant.
Did either of them try to resist their feelings?
Les deux, dans des mesures tout à fait différentes! Le Lorrain, lorsqu’il se rend compte de son attirance, ne cherche pas exactement à la réprimer, mais choisit de garder ses sentiments pour lui parce que le moment lui semble tout simplement trop mal choisi. Falconi ne semble pas vouloir rester avec les Cartouchiens, et il se remet difficilement de cette attaque sur le Régent à laquelle il a bien failli ne pas survivre. Il est visiblement incertain au sujet de toute cette situation, ajouter une déclaration romantique sur tout ça ne semble pas être la meilleure des idées!
Falconi, de son côté, met longtemps à seulement comprendre ce qu’il ressent, et lorsqu’il commence à saisir, son réflexe est de violemment réprimer tout ça. Parce qu’il insiste pour se dire qu’il va retourner à sa vie au Palais-Royal. Parce que l’amitié qu’il a développée pour le Lorrain lui paraît trop fragile et parce qu’il est certain que jamais cette affection nouvelle ne pourrait être partagée. Il essaie d'étouffer ces sentiments, espérant que s'il les ignore assez longtemps ça finira bien par passer.
What would their lives be like if they had never met?
Le Lorrain serait une personne bien différente; c’est son duel avec Falconi qui le pousse à se remettre en question et à éventuellement devenir quelqu’un de meilleur. Sans ça, il aurait sans doute gardé sa petite vie de courtisan bien tranquille. Peut-être aurait-il été de ces gens qui traînent au Palais-Royal et tentent de s’attirer les faveurs de Philippe d’Orléans durant la Régence.
Falconi aurait poursuivi son entraînement aux côtés du comte de Mansur et aurait possiblement trouvé sa place quelque part. Peut-être parmi la garde royale? Son chemin n’aurait probablement jamais croisé celui de Philippe d’Orléans, du moins pas de façon significative.Pour ce qui est de son affection pour Anne de Montsirac, même celle-ci appréciait véritablement Falconi, jamais cette relation n’aurait vraiment pu aboutir à quoi que ce soit. Il n’avait tout simplement pas le nom, ni l’argent qui auraient rendu une éventuelle union acceptable aux yeux de la famille d’Anne. Peut-être aurait-il éventuellement rencontré quelqu’un d’autre… 
What was their "flirting stage" like?
Ça se produit un peu en même temps qu’ils apprennent à s’apprécier et à devenir amis, donc ça reste assez discret! Le Lorrain tente de garder ses sentiments pour lui, mais à vrai dire il ne peut pas s’empêcher d’agacer et  de complimenter Falconi pour attirer son attention. Falconi trouve ça exaspérant… mais il est loin d’être indifférent. Sinon, ce stage implique aussi beaucoup d’entraînement et de duels... Ils y prennent tous les deux peut-être un peu plus de plaisir que nécessaire.
How do their friends and family feel about them as a couple?
Honnêtement, les Cartouchiens sont juste soulagés que la phase “tentatives constantes de s’entre-tuer” soit passée…
II. GENERAL
Who initiated the relationship, and how did they go about it?
 J'aime bien l'idée que Falconi ait fait le premier pas. Pas que le Lorrain n'ait pas été tenté de le faire (il y pense Beaucoup), mais au final il choisit de laisser Falconi prendre les devants, même si ça signifie d'attendre qu'il trouve le courage de le faire. Après, pour le comment, j’imagine que ça se passe une fois que Falconi fait partie des Cartouchiens. Et pour plus de détails, il y a le one-shot… :p
Did they have an official first date? If so, what was it like?
Pas vraiment de premier rendez-vous à proprement parler! Au moment où ils s'avouent leurs sentiments, ils sont déjà proches et passent beaucoup de temps ensemble. On peut peut-être compter leur premier cambriolage ensemble, sans les autres Cartouchiens? Falconi ne considérerait pas ça comme étant particulièrement romantique ou important, mais le Lorrain adore.
What was their first kiss like?
Honnêtement, c'était une tentative désespérée de la part de Falconi qui était tout simplement incapable de trouver les bons mots pour exprimer ce qu'il ressentait. C'est intense, désespéré et impulsif, et le Lorrain trouve ça ridiculement, stupidement, incroyablement attirant. 
Were they each other's first anything (kiss, relationship, etc.)?
Première relation avec un autre homme dans les deux cas (quoique le Lorrain ait eu un flirt ou deux pas sérieux par le passé). Pour Falconi, c'est aussi un premier baiser avec un autre homme, et à vrai dire la première fois qu’il a une relation qui ne se termine pas en désastre.
What is their height difference? Age difference? Do either matter to them? 
La différence d'âge est minime, 2-3 ans peut-être. Falconi est plus grand d'environ une demi-tête, ce qui n'est pas /grand-chose/, mais quand même assez pour que le Lorrain trouve ça un peu attirant sans trop bien savoir pourquoi.
How do their personalities complement each other? How do they clash?
Même après avoir rejoint les Cartouchiens et s'en être fait des amis, Falconi reste quelqu'un de plutôt silencieux et taciturne. Le Lorrain, à l'inverse, est toujours très animé et aime être le centre de l'attention. Parfois ces personnalités si différentes rendent l'entente un peu difficile, mais la plupart du temps ils se complémentent plutôt bien. Le Lorrain fait toujours l'effort d'inclure Falconi lorsqu'ils sont en compagnie d'autres gens, et au final Falconi gagne à se joindre à la conversation. Quant au Lorrain, il apprécie beaucoup ces moments plus posés que Falconi lui apporte.
What is their relationship with each other's families like?
Ça ne s'applique pas pour la famille de Falconi qui n'est simplement plus là. Par contre, si Falconi se retrouve à nouveau face à face avec Gruthus du Châtelet, il y a définitivement un moment de confusion! Le père du Lorrain émet sans doute pas mal de réserves sur la présence de Falconi parmi les Cartouchiens, mais au final il fait confiance à son fils lorsque celui-ci affirme que Falconi est digne de confiance. Pour ce qui est de leur relation amoureuse, par contre, ce n'est pas quelque chose qui est discuté ouvertement. Gruthus est peut-être sourd, mais il n'est pas aveugle, il devine sans doute un peu ce qui se passe…
Who takes the lead in social situations? How are they around each other's friends?
Le Lorrain prend généralement plus de place, mais Falconi n'hésite pas à s'exprimer s'il le souhaite (si la situation implique de menacer ou d’intimider quelqu’un, il prend plaisir à le faire :p). Il est de nature plus discrète, mais il sait parfaitement prendre sa place parmi les Cartouchiens. Ils partagent le même cercle d'amis, donc la seconde question s'applique plus ou moins… quoique, après tout, les Cartouchiens ont d'abord été la famille du Lorrain, et Falconi s'y est greffé bien plus tard. Alors en rafale, les dynamiques de Falconi avec tout le monde:
Cartouche: Falconi lui fait entièrement confiance. À vrai dire, j'aime encore beaucoup l'idée qu'il rappelle un peu à Falconi ce frère aîné qu'il a perdu il y a bien longtemps. Cartouche, qui a tendance à être plutôt impulsif, trouve ce côté plus calculateur que Falconi ne perd jamais amusant. Tous les deux s'apprécient beaucoup, même si au premier abord ils ne semblent pas avoir grand-chose en commun.
Fleur d'Épine: elle est la première personne parmi les Cartouchiens pour qui Falconi développe une certaine appréciation, ce qui n'est quand même pas rien! Elle ne fait pas particulièrement d'effort pour s'entendre avec lui initialement, et ce fort caractère et ce côté très direct sont les bienvenus alors que Falconi peine tant à se faire à l'idée que les Cartouchiens ne lui veulent pas de mal. De son côté, Fleur d'Épine en vient éventuellement à le voir un peu comme un mentor lorsqu'il s'agit de combat à l'épée. Falconi se révèle un professeur plus habile et beaucoup plus exigeant que l'est le Lorrain, et c'est quelque chose que Fleur d'Épine apprécie beaucoup!
Galichon: Il faut du temps avant que ces deux-là se fassent confiance! Galichon est naturellement méfiant, et il voit l'arrivée de Falconi au Chariot d'or comme une menace pour les Cartouchiens. C'est lorsqu'il se rend compte que Fleur d'Épine l'apprécie qu'il se laisse convaincre de lui laisser une chance. Falconi ne lui prête pas tellement attention au début, mais lorsqu'ils ont la chance de discuter un peu sans personne d'autre autour, le caractère franc et un peu bourru de Galichon lui plait. 
Isaac: À son arrivée parmi les Cartouchiens, Falconi ne fait confiance à personne et passe beaucoup de temps à redouter quelles peuvent bien être les véritables intentions de Cartouche et sa bande. L'exception à tout ça, c'est Isaac. Falconi a horreur d'être touché, et donc pour lui les soins du jeune médecin sont une torture… mais il accepte que Isaac ne lui veut pas de mal. Plus tard, Falconi garde une certaine affection pour Isaac, et montre souvent un intérêt pour ses inventions. Isaac, de son côté, apprécie cet intérêt! Mais il faut avouer que le côté froid et sarcastique de Falconi lui échappent souvent; il n'est pas rare que Falconi tente de plaisanter et que ça soit reçu moins bien que prévu :p
Who gets jealous easier?
Le Lorrain serait plus du genre à se montrer un peu jaloux, mais à vrai dire Falconi lui donne bien peu d'occasions de l'être. Lorsque le Lorrain se met inévitablement à plaisanter ou à flirter avec d'autres gens pour attirer l'attention, Falconi se contente de lever les yeux au ciel. Ou de lancer un regard assassin ou deux.
What are their parallels, whether in their personalities or their histories?
Si on parle strictement canon, leurs personnalités et la trajectoire de leurs vies sont des reflets. Le Lorrain est né de famille noble, il avait tout et était pourtant quelqu'un d'arrogant et vaniteux qui prenait toute compétition (perçue ou bien réelle) comme un affront. Il choisit néanmoins éventuellement de laisser cette vie privilégiée derrière lui et de devenir quelqu'un de meilleur. À l'inverse, Falconi, au départ, n'était personne et n'avait pour ainsi dire pas grand-chose. Tout ce qu'il avait, c'était un talent pour le combat et un désir brûlant de prouver au monde ce dont il était capable. Falconi avait toujours été quelqu'un d'ambitieux, mais suite à son duel avec le Lorrain, il laisse cette ambition le consumer et devient cruel et impitoyable face à quiconque s'oppose à lui. 
Who whispers inappropriate things in the other's ear in public?
Le Lorrain, qui a le don de toujours faire ça au pire moment possible
Do they hide anything from each other, big or small?
Pas vraiment. Falconi ne partage pas tout ce qui lui passe par la tête, et il est généralement peu enclin à discuter les détails de ses années passées à travailler pour Philippe d'Orléans, mais si un détail lui semble pertinent, il n'hésite habituellement pas à en parler. Il ne parvient jamais tout à fait à se défaire de son attachement pour le Régent, et ça c'est en effet quelque chose dont il ne parle pas, mais que le Lorrain le devine sans grande difficulté. 
Which one thinks they aren't good enough for the other, if at all?
Il faut bien du temps à Falconi pour accepter qu'il a sa place parmi les Cartouchiens. Même une fois que la décision est prise et qu'il choisit de rester près d'eux, il doute beaucoup. Il reconnaît qu'il peut leur être /utile/, mais il est plus difficile pour lui de reconnaître que les Cartouchiens l'apprécient et le considèrent comme l'un de leurs, tout simplement. La douceur et la générosité dont le Lorrain fait preuve alors que Falconi a tant de mal à se remettre de ses blessures sont des choses pour lesquelles Falconi est reconnaissant… et il doute d'avoir jamais la chance de lui rendre la pareille. 
What are some songs that apply to their relationship, in-universe or otherwise?
Songs that apply to their relationship: i guess most of the ones i have apply more to the beginning of their relationship or riiight before? But finding stuff that matches the vibe has been a giant pain in general asdjgk
Pierre Lapointe’s 27-100 rue des partances is a Big Fave for le Lorrain in general, but the instrumental version specifically i listened to a lot while thinking about these two learning to get along and appreciate each other! i do like some soft piano, what can i say. The lyrics being tinted with regret is also a good vibe, even if it’s not a perfect fit!
Another Pierre Lapointe one: Plaisirs dénudés, which matches Falconi’s vibe a bit more! Where le Lorrain is at peace pretty quick with his feelings and decides to keep them to himself because he thinks the timing is Not Good (he’s right!), Falconi is a whole lot less confident about, well, everything.The Cartouchiens offered him friendship, and the happiness he gets from it feels extremely temporary and fragile. Those feelings he develops for le Lorrain a bit later, he develops in spite of himself… He can’t help but have the tiniest bit of hope here, but at the same time keeps trying to convince himself that none of the happiness he finds in his current situation is something that will last.
….ngl Moi, je t’aimerai has something desperately intense (and also intensely desperate?) about it that would match the first time they fuck yeah they’re all Pierre Lapointe songs what of it
What is their most common argument about?
Franchement ils se chamaillent pour un peu tout et n'importe quoi, au point où les autres Cartouchiens n'y prêtent même plus attention. Ce n'est jamais sérieux, ils sont juste comme ça :p
III. LOVE
Who said "I love you" first, and what was the situation?
Le Lorrain, pas bien longtemps après qu'ils aient couché ensemble pour la première fois. Ça sort un peu tout seul, sans qu’il y ait trop pensé! Falconi avait envie de le dire depuis un moment déjà, il a juste hésité trop longtemps… 
What are their primary love languages?
Le Lorrain expresses love with words and via gift-giving, two things he’s annoyingly talented at. He adores spending time figuring out the perfect gift that will make someone happy, and Falconi is a particularly fun target here because for awhile figuring out what he likes is a bit of a struggle? He likes a challenge! In the end, the perfect gift at the right moment is the very first thing that helps Falconi let his guard down, so le Lorrain is particularly proud of that one :p Compliments and little “I love yous” are also big faves with Falconi in particular because he somehow never seems to expect them and gets a bit flustered every. single. time. Even when he pretends to roll his eyes about it.
In return, he craves physical touch so, so much. He wants to feel warmth and closeness!! And wants gentle little touches!! The fact that Falconi in general doesn’t touch people a lot if he can avoid it makes those gestures even more significant, it makes him feel special and important in a way that makes him deeply happy. Sharing time just the two of them is also very much something that ends up helping them get closer at first; they get to, like, actually talk, and suddenly find they actually don’t hate everything about each other? It’s a habit they keep; a quiet evening together, spent just talking and reading and just finding comfort in each other’s company is something they both love. 
Falconi doesn’t like people touching him most of the time, but he will reach out to people he particularly trusts and loves. With le Lorrain, that means a whole lot of small touches; always standing close when they’re together, reaching out and touching his hand to get his attention, touching his face when they’re alone. He’ll take off his gloves just to feel le Lorrain’s skin against his hands, and while that probably doesn’t seem like much, le Lorrain knows perfectly how much love and trust that gesture implies. Falconi loves seeing these small touches reciprocated; it takes him awhile to get really comfortable with it, but it’s something he wants… Otherwise, he really tries to show affection through his actions; so often he feels like words fail him, so he figures he might as well try to show he cares in other ways. Sometimes it’s gifts, other times it’s arranging things so they can spend time alone. He’s thoughtful!
Who uses the cheesy pick-up lines, or does corny gestures?
Le Lorrain adore draguer, donc forcément les pick-up lines lui reviennent. Ça l'amuse beaucoup, et il adore s'en servir pour faire réagir Falconi. Les réactions typiques sont des soupirs agacés et des roulements d’yeux, mais dans ces cas-ci le Lorrain sait bien que c’est positif :p Pour ce qui est des gestes romantiques un peu culculs, ils sont tous les deux coupables, vraiment.
How often do they cuddle or engage in PDA?
En dehors du repaire des Cartouchiens? Jamais à moins d’être complètement seuls et certains qu’ils ne peuvent pas être vus. La seule façon de se douter qu’il y a quoi que ce soit entre eux, c’est la façon dont ils se tiennent peut-être juste un peu plus près l’un de l’autre que nécessaire, et le fait que Falconi ne laisse à peu près personne d'autre être si constamment dans son espace personnel :p Lorsqu'ils sont chez eux, ils se permettent d'être moins discrets… ce qui dans le cas de Falconi signifie chercher discrètement certains contacts physiques, et dans le cas du Lorrain signifie être limite insupportable quand il décide qu'il veut de l'attention.
Who initiates kisses? Where is their favorite spot to kiss each other?
Le Lorrain fait généralement le premier geste, et rien ne le fait plus sourire que la réaction de Falconi lorsqu'il lui enlève ses gants et lui embrasse les mains. Il rougit, c'est immanquable, et c'est une technique infaillible pour s'assurer que Falconi soit tout à fait incapable de prêter attention à quoi que ce soit d'autre, honnêtement. Il aime bien poser de légers baisers sur sa cicatrice aussi… Falconi, de son côté, adore l'embrasser sur la nuque lorsqu'ils sont couchés en cuillère. 
What are their favorite things to do together?
S'entraîner à l'épée, bien sûr! Le Lorrain aime beaucoup s'entraîner avec Fleur d'Épine, mais à vrai dire, retrouver en Falconi un partenaire de son niveau lui plait énormément. Ils n'y peuvent rien, ça se termine en compétition et avec la salle commune en bordel à chaque fois. Combat à part, ils adorent tous les deux simplement passer du temps en compagnie l'un de l'autre. Le Lorrain essaie tant bien que mal d'apprendre les bases du clavecin à Falconi éventuellement, et ces moments lui plaisent plus que tout, lui qui aime tant la musique. Quant à Falconi, il aime ces longues nuits qu'ils passent parfois à tout simplement discuter autour de quelques verres.
Who is better at comforting the other? How do they usually comfort each other?
Le Lorrain se débrouille beaucoup mieux lorsqu'il s'agit de réconforter Falconi; il sait généralement trouver les bons mots. Il a tout de même tendance à parler trop, alors que parfois Falconi se serait simplement satisfait de trouver du réconfort dans sa présence. Malgré bien des efforts, Falconi reste peu habile pour réconforter les gens lorsqu'ils ne vont pas bien. Il est mal à l'aise et a tendance à rester trop silencieux! Reste qu'avec le Lorrain, il peut toujours se rabattre sur des gestes plus physiques, et c'est quelque chose que le Lorrain apprécie.
Do they prefer verbal or physical affection?
Ils aiment tous les deux l’affection physique, même si pour Falconi il faut plus de temps pour accepter ce genre de contact. Le Lorrain adore tout de même montrer son affection par les mots. Et oui, il y a peut-être un petit carnet rempli de poèmes guimauveux quelque part dans sa chambre… 
What reminds them of each other?
L'escrime, forcément, dans les deux cas. Mais sinon…
Pour le Lorrain : ces romans à l'eau de rose qu'il aime plus que tout, le soleil qui filtre entre les feuilles des arbres, ces petites bouteilles de parfum qu'il collectionne, le clavecin 
Pour Falconi : les onyx, l'atmosphère électrique d'un début d'orage, les gants de cuir, le grattement d’une plume sur du papier tard le soir… et ces romans à l’eau de rose qu’il aime lui aussi
What do they like best about each other?
Le Lorrain adore ce sens de l’humour tranchant dont Falconi fait souvent preuve. L’intensité avec laquelle Falconi se dévoue à toute chose qu’il considère comme importante, et le fait que, malgré son apparence souvent détachée et froide, sous la surface il bouillonne d’émotion. Il trouve tout ça stupidement attirant.
De son côté, Falconi est toujours un peu surpris de ce côté doux que le Lorrain a maintenant et qui est si à l’opposé de ce qu’il était lorsqu’ils se sont connus. Il tient profondément à l’amitié que lui a offerte le Lorrain, et aime avoir trouvé en lui quelqu’un dont la présence lui donne la certitude qu’il est à sa place. À vrai dire, chacun d’eux a cette forte impression que la présence de l’autre fait de lui une meilleure personne…
What kind of nicknames do they call each other?
Les habitudes sont difficiles à briser! Pendant bien longtemps, le Lorrain reste le Lorrain, et Falconi reste Falconi. Très franchement personne n’a utilisé le prénom de Falconi depuis bien des années ; le Lorrain l’appelle Nero et il lui faut quelques secondes pour réaliser qu’on s’adressait à lui et réagir. De son côté, Falconi aime bien l'appeler "Louis" une fois qu'il l'a essayé à quelques reprises! Ça reste quelque chose qu'il préfère garder pour les moments plus intimes.
Who remembers the little things?
Tous les deux! Falconi est observateur à un point qui est parfois limite agaçant, rien ne lui échappe. Mais le Lorrain ne donne pas sa place non plus.
How do they make up after an argument? Who is the first one to apologize?
Le Lorrain est habituellement plus rapide à présenter des excuses, mais lorsqu’ils prennent trop les choses à coeur, c’est facile pour tous les deux de s’emporter. De façon générale, ça se règle en discutant, mais Falconi en particulier a parfois besoin d’un peu de temps pour réfléchir et se calmer.
Who is more protective? Who would get into a fight to defend the other? Who tends to the other's wounds?
Ils sont à 100% à égalité sur tout ça. Ils sont tous les deux très protecteurs l’un envers l’autre, la nuance étant que la plupart du temps ils ont tous les deux parfaitement confiance que chacun d’eux sait se défendre. Bien sûr, si les choses semblent mal tourner le Lorrain n’hésitera pas un instant à se battre pour défendre Falconi… mais il faut bien avouer que Falconi sait très bien prendre soin de lui-même la plupart du temps. Et vice-versa. 
Pour ce qui est de s’occuper des blessures, chacun d’eux n’hésite pas à le faire s’il le faut. La différence, c’est que le Lorrain est du genre à dorloter son patient et à plaisanter gentiment, alors que Falconi passe sans doute un peu trop de temps à grommeler que rien de tout ça ne serait arrivé si le Lorrain avait fait un peu attention…
What gifts do they typically give each other?
Les livres sont une valeur sûre! Tous les deux aiment particulièrement les romans. Falconi devient à la longue particulièrement doué pour dénicher des parfums qui plaisent au Lorrain. Et pour Falconi… des gants neufs pour remplacer ceux qu’il finit inévitablement par user.
IV. DOMESTIC LIFE
When they move in together, who gets the most say in decorations? What do they each have to have in the house?
Lorsque Falconi se retrouve avec sa propre petite chambre au Chariot d’Or, le Lorrain est horrifié de constater que l’endroit reste très, très vide. Falconi s’attarde peu à ça: il a un lit, une petite table de chevet et une commode, le reste ne lui importe pas tellement. Ses quartiers du Palais-Royal étaient à peu près dans le même état bien qu'il y ait vécu des années! La différence, c'est que cette fois-ci le Lorrain est là pour trouver que c'est absurde et insister pour rendre l'endroit un peu plus vivable :p Est-ce que c'est une excuse pour faire les boutiques et acheter de jolies choses? Peut-être. Mais plus que tout, il veut que Falconi ait une chambre où il se sente vraiment chez lui.
Falconi trouve toute cette insistance un peu ridicule… surtout qu'il se retrouve plus souvent qu'autrement à passer son temps dans la chambre du Lorrain lorsqu'il n'est pas dans la salle commune. N'empêche, une fois quelques petites décorations ajoutées, c'est vrai que la chambre lui plait bien, et il prend plaisir à y passer plus de temps.
If they get married, who proposes, and how do they do it? Would they change their surnames?
Rien de tout ça ne s'applique, mais!! Falconi ferait la demande, sans doute lors d'un moment doux où ils ne sont que tous les deux. Ça reste quelque chose de très simple et d'intime. Pour ce qui est des noms, rien ne changerait de ce côté.
What is the wedding like? Who attends?
La vibe n'est sans doute pas bien différente de toutes ces soirées que les Cartouchiens passent tous ensemble au Chariot d'or! Et d'ailleurs, ce sont eux qui sont invités.
How many kids do they have, if any? What are they like as parents? What are the kids like?
J'ai pas beaucoup d'opinions sur celle-là, à part le fait que Freluquet a pratiquement été adopté par les Cartouchiens, non? Tout le petit groupe se soucie de lui, tout en le laissant quand même faire à peu près tout ce qu’il veut! Falconi s'y attache aussi, un peu sans s'en rendre compte… Lorsqu'il réalise que Freluquet ne sait ni lire, ni écrire, il se met éventuellement en tête de lui apprendre, et s'il n'est pas le professeur le plus patient, c'est clair que tout ça lui tient à coeur.
Are either of them the "breadwinner"? Who cooks? Who cleans?
Rien de tout ça ne s'applique lol. Chacun s’occupe de sa chambre et de sa nourriture. Falconi est plus méticuleux et soigné lorsqu’il s’agit de garder sa chambre en ordre, contrairement au Lorrain qui a tendance à garder tout ce qu’il trouve joli et à tout entasser. Après, forcément, c’est beaucoup plus facile de tout garder en ordre quand on ne se donne même pas la peine de décorer…
Do they have any pets?
Ce chat qui traîne au Chariot d'Or dans quelques épisodes et qui, si on se fie aux notes de production, s'appelle Moustache! Mais c'est un peu le chat de tous les Cartouchiens, alors ça compte qu'à moitié. Falconi aime bien les animaux, en fait, mais ne se donne sans doute pas la peine d’en acquérir un pour lui seul. 
Who worries the most?
Falconi, définitivement. Il a l'habitude de tout penser et repenser mille fois… 
Who kills the bugs in the house?
Les petites bêtes ne les impressionnent pas, ni l'un ni l'autre.
How do they celebrate holidays?
Falconi n’a pas l’habitude de célébrer grand-chose, mais le Lorrain aime bien assister discrètement à certaines cérémonies et événements lorsqu’il sait à l’avance que l’on y entendra de la musique. Ça lui plait, et bien entendu, une fois que Falconi fait partie de sa vie, il prend plaisir à l’entraîner avec lui à l’occasion. Outre ça, ce genre de journée a tendance à être un peu une excuse pour les Cartouchiens pour juste se retrouver entre amis. Ce qui n’est pas si spécial, à vrai dire, mais ça leur plaît quand même!
Who is more likely to convince the other to come back to sleep in the morning?
Le Lorrain est beaucoup plus porté à vouloir faire la grasse matinée, mais c’est bien rare qu’il arrive à persuader Falconi de rester si celui-ci considère qu’il a autre chose à faire. À l’inverse, les rares fois où Falconi décide de rester au lit, il n’a absolument aucun mal à s’arranger pour que le Lorrain reste avec lui. À vrai dire, il n’a même pas à demander.
Who hogs the blankets or takes up more than their fair share of the bed? Who puts their cold feet on the other? Who are the big and little spoons?
Falconi a le sommeil agité, et ça veut dire qu’il se retrouve avec les couvertures et la plupart de l’espace en général. Le Lorrain ne lui en veut pas trop… Mais c’est pas pour rien qu’ils n’abandonnent pas leurs chambres séparés :p Le Lorrain préfère être la petite cuiller, et ça tombe bien : Falconi, qui se sent parfois un peu étouffé par trop de contact, est plus confortable dans l’autre rôle.
Who likes to dance with, or sing for, the other?
Le Lorrain est celui qui préfère la musique, et il adore jouer du clavecin pour Falconi. Falconi, de son côté, a un faible pour la valse…
Do they have any "couple traditions", or family traditions?
Rien de notable ici, à part peut-être que le Lorrain fait le voyage vers les terres de sa famille une ou deux fois par année. Il prend plaisir à traîner Falconi avec lui.
Who is the one who always says "I don't know" when the other asks where they want to eat?
Falconi, à quoi tout ça est franchement égal. 
Who would drive, and who would give directions?
Ça ne s’applique pas, mais dans l’éventualité où ils ont à partager la même monture pour une raison ou une autre? Falconi tient les rênes, et le Lorrain se permet d’avoir des opinions sur tout et n’importe quoi. Opinions que Falconi se fait un plaisir d’ignorer.
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Romancier, critique, historien..., Léon Bloy est surtout connu comme polémiste. Son œuvre apparaît comme celle d'un poète, formé par le romantisme et contemporain des grandes ambitions symbolistes.
Né à Périgueux, Léon Bloy alla très tôt vivre à Paris, mais ne publia son premier ouvrage qu'à près de quarante ans, en 1884. Il vécut jusque-là d'un modeste emploi de dessinateur, tout en fréquentant le petit groupe d'écrivains qui gravitait autour de Barbey d'Aurevilly. Il fut aussi, alors, l'ami de Huysmans, de Villiers de l'Isle-Adam, de Verlaine... Converti par Barbey en 1869, initié par l'abbé Tardif de Moidrey aux méthodes exégétiques, dont il tire tout un « symbolisme » de l'histoire, il prépare lointainement, dès cette époque, certains de ses ouvrages. Aussi sa carrière littéraire, pour brève qu'elle soit, est-elle marquée par une trentaine de livres importants.
Ses difficultés financières ont fait naître une sorte de légende, qu'il entretenait volontiers, celle du « mendiant ingrat ». L'homme était bon, en réalité, mais passionné, hanté par l'absolu, d'une intransigeance farouche. Dans ses dernières années, il exerça une influence profonde sur un petit groupe d'amis, parmi lesquels on pourrait citer Jacques et Raïssa Maritain, Georges Rouault, Georges Auric...
On peut aborder son œuvre par ses grands thèmes, ou la décrire d'abord dans sa variété. Critique littéraire, par nécessité, Léon Bloy a pratiqué, avec une étonnante vigueur, l'« éreintement », condamnant pêle-mêle Zola, Huysmans, Renan, Coppée, Bourget, Barrès, réservant son admiration à Barbey d'Aurevilly, à Verlaine, à Villiers, à Baudelaire. Ses articles ont été repris, en particulier, dans les Propos d'un entrepreneur de démolitions et dans Belluaires et Porchers. Romancier et conteur, il le fut de manière très personnelle, inventant peu, reprenant sa propre vie dans Le Désespéré (1887) ou La Femme pauvre (1897), utilisant dans les Histoires désobligeantes des événements réels, des personnages qu'il avait connus, dans Sueur de sang des épisodes authentiques de 1870 ; l'imagination transfigure plus qu'elle ne transpose et, derrière l'anecdote, suggère une interprétation. Son goût le plus profond le portait vers l'histoire, qu'il traite d'une manière romantique et symbolique, allant aux héros malheureux, Christophe Colomb, « le Révélateur du Globe », Napoléon, Jeanne d'Arc, Louis XVII ou Marie-Antoinette, cherchant à leur vie une signification religieuse et presque prophétique. Grand peintre au reste, éblouissant souvent dans L'Âme de Napoléon, Constantinople et Byzance, Le Fils de Louis XVI. D'autres œuvres sont plus nettement religieuses, mais toujours enracinées dans la réalité immédiate d'où jaillissent l'élan poétique et l'exégèse : Le Sang du pauvre, réflexion sur la misère, Les Méditations d'un solitaire en 1916, Dans les ténèbres. Il a enfin publié, régulièrement, depuis 1892, son Journal, reprise fragmentaire d'un « journal intime » demeuré inédit.
La diversité apparente masque l'unité réelle et profonde de cette œuvre, qui réside dans la notion même d'« exégèse », d'interprétation du « réel » ; aussi rejoint-elle par ses intentions tout un courant littéraire. S'appuyant sur l'affirmation répétée dans la Bible que tout est image, symbole, Léon Bloy poursuit à l'extrême les conséquences de cette idée : tout événement, tout être, toute chose « signifie » ; nous vivons dans un univers qui est autre qu'il ne paraît, nous contemplons « le grand miroir aux énigmes ». L'art et la littérature ne peuvent se fixer d'autre but que cette tentative, proprement désespérée, pour « déchiffrer les signes ». L'histoire, les œuvres des autres, sa propre vie même (dans son œuvre romanesque ou son Journal), les aphorismes de la sagesse bourgeoise, dans L'Exégèse des lieux communs, sont la matière de cette recherche, les apparences qui cachent la seule réalité. Mais Léon Bloy n'a pas l'outrecuidance, ou la simplicité, de croire que l'homme, fût-il artiste et chrétien, peut comprendre ; tout au plus peut-il, par les mots, suggérer, rendre sensible la « présence du mystère ». Sa conception de la littérature est donc celle d'un poète ; il en avait pleinement conscience : « Personne n'a dit que je suis un poète, rien qu'un poète, que je vois les hommes et les choses en poète tragique ou comique et que par là tous mes livres sont expliqués. Je vous livre ce secret. »
Le mot peut étonner lorsqu'on connaît seulement de Bloy ce qui frappe à la première lecture : sa violence. Elle est bien le trait le plus constant de son œuvre et le fond même de sa sensibilité ; ne se reconnaît-il pas « une nature incendiaire » ? Mais il avoue aussi « une surprenante avidité de tendresse humaine ». Cette violence n'est pas brutalité, mais passion, et naît d'un constant conflit entre le désir et la réalité, entre ce qu'il rêve et ce qu'il obtient, entre ce qu'il se rêve et ce qu'il est. Le Désespéré et La Femme pauvre éclairent mieux que toute autre œuvre ces réactions et en font saisir les aspects les plus contradictoires. La polémique même, aussi brutale soit-elle, vient d'une déception plus que d'une opposition qu'on pourrait croire systématique. La tendresse contrariée fixe quelques-uns des thèmes clés de son œuvre : la souffrance, la révolte, l'impatience, l'attente, le rêve d'une apocalypse, en même temps qu'elle détermine une esthétique.
Poète, Léon Bloy l'est dans la véhémence, l'exagération. « Pour dire quelque chose de valable, aussi bien que pour donner l'impression du Beau, il est indispensable de paraître exagérer, c'est-à-dire de porter son regard au-delà de l'objet. » Ce texte définit une vision du réel qui est, selon Bloy, celle de l'artiste, accentuant les traits, forçant les oppositions. On y trouve aussi l'indication d'un style. Il aimait, pour parler du sien, en évoquer « la richesse barbare », « l'exaspération », « la frénésie », ce qui en marque assez justement les rythmes, le vocabulaire, les contrastes qui constituent pour lui un effet fondamental : de l'extrême recherche à l'expression basse, de la vulgarité voulue à la noblesse. Il s'agit pour l'écrivain, disait-il, rejoignant par là nombre de ses contemporains, de retrouver « la puissance des mots humains ».
— Jacques PETIT
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laurent-bigot · 10 months
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JEAN GABIN : TEMPS DE GUERRE 
Dans La Bandera, Gueule d’amour ou Quai des Brumes, l’acteur a popularisé l’archétype du soldat romantique et désabusé, à une époque où l’armée le rebutait pourtant. Sans se douter que lui-même deviendrait bientôt un héros de la Seconde Guerre.   En 1924, le jeune Jean Gabin mène à Paris une existence plutôt satisfaisante : s’il ne ressent pas encore de véritable vocation pour le métier de…
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francepittoresque · 1 year
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23 avril 1889 : mort de l’écrivain et polémiste Jules Barbey d’Aurevilly ➽ http://bit.ly/Jules-Barbey-Aurevilly Surnommé le « connétable des lettres » et l’un des derniers romantiques de la grande époque, Jules Barbey d’Aurevilly, romancier, critique littéraire, polémiste et essayiste, était l’homme le plus fantasque de son époque, styliste impeccable et ciseleur de phrases, absolu dans ses admirations comme dans ses haines et n’admettant pas les concessions
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MERCREDI 15 FEVRIER 2023 (Billet 4 / 5)
Suite à un petit reportage passé à la télévision sur des « Concerts classiques à la bougie », donnés au cœur de certaines églises parisiennes (très « tendance » en ce moment), JM, à la recherche d’une idée originale et romantique pour la Saint Valentin, s’est « plongé » dans Internet pour trouver un lieu et un programme.
Il existe plusieurs Sites concurrents sur ce créneau mais c’est sur celui de « Musique et Patrimoine » qu’il a trouvé ce qui lui a semblé le plus intéressant pour l’occasion.
La Madeleine était proposée également mais tout d’abord elle est bâchée car en pleine restauration et de plus, les dimensions de l’église, malgré la présence de plusieurs centaines de bougies, ne lui ont pas semblé capables de rendre le lieu intime.
Alors qu’une petite église du nom de Saint Ephrem paraissait tout-à-fait correspondre au concept d’un « Concert à la bougie ». Il y a quelques jours, profitant d’une de ses « marches actives », il y est allé en repérage et grâce à la présence d’un bénévole de la paroisse, il a même pu pénétrer à l’intérieur. Voir les photos ci-dessous.
Pour finir, quelques lignes sur le lieu :
« L'édifice actuel est la troisième chapelle édifiée sur le site. La première chapelle est édifiée vers 1334 : André Ghini, évêque d'Arras, transforme à cette époque son hôtel parisien en collège pour des étudiants italiens, le collège des Lombards. Ce collège est racheté en 1677 par deux prêtres irlandais qui le transforment en collège des Irlandais ; ils construisent vers 1685 une deuxième chapelle.
La chapelle actuelle est terminée en 1738 par l'architecte Pierre Boscry.
Elle cesse ses activités religieuses en 1825. Elle est finalement rachetée par la Mairie de Paris qui l'attribue en 1925 à la Mission syriaque catholique en France.
Située dans le quartier de la Sorbonne, au flanc de la montagne Sainte‐Geneviève, l'église Saint‐Éphrem‐le‐Syriaque (de son vrai nom) accueille régulièrement, avec sa remarquable acoustique, des concerts de musique classique. »
17, rue des Carmes - Paris 75005 (à 2 pas du métro Maubert Mutualité)
(Source : « wikipedia.org »)
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matthias-songbook · 2 years
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Aimerais-je encore les Arctic Monkeys si ce n'étaient pas les Arctic Monkeys ?
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Autant que ce soit clair : il ne s'agira pas ici de donner un avis ampoulé sur le septième album des Arctic Monkeys, The Car, qui servira plus ici de prétexte à une observation de mes goûts (douteux) et leur expansion.
Si les Arctic Monkeys nous avaient habitué à changer de peau régulièrement, difficile de prévoir le grand écart opéré en 2018 avec Tranquility Base Hotel + Casino, un concept-album qui propulsait Alex Turner en gérant d'un luxuriant hôtel lunaire. On a beau avoir entendu les rumeurs soupçonnant le disque d'être un projet solo de Turner repackagé pour des raisons marketing, la claque était immense, que l'on aime ou non : arrangement en longueur à la frontière du jazz, paroles déclamées façon Leonard Cohen, guitares et batterie au diapason sans dépasser ; qu'elle paraissait loin l'époque des tronches juvéniles, des cardigans et des guitares portées au niveau du torse. Une leçon à deux morales : l'une pour les amateurs, à qui leur était prouvé l'épanouissement d'une plume, l'autre pour les fans trop rigoristes, laissés sur le bord de la route sans ménagement.
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Cette mue, bien plus radicale qu'auparavant, a apporté une surcouche à l'amour et la relation particulière que j'entretiens avec le groupe depuis mon adolescence, cette époque où l'on s'approprie les choses pour la première fois. Les Arctic Monkeys sont de celles-ci, transfiguratives, déterminantes, des reflets de vérité, des échos de ressenti quand les ressemblances (largement imaginées) entre ce groupe de potes qui joue de la musique et le nôtre renforcent l'attachement.
C'est un fait, j'ai les Arctic Monkeys dans la peau, et ce simple fait retire 83,9% d'intérêt à ce papier. Et j'aime The Car, ce retour sur Terre anachronique, cet OVNI des années 70 période cool funk et cinéma romantique. Alex Turner n'a semble-t-il jamais été aussi proche de réaliser un film. Il aurait dû : c'est sa BO que lui et les autres ont enregistré. Qui les aurait imaginés, au pic de leur gloire à la fin des années 2000, se lancer dans un funk à wah-wah ("I Ain't Quite Where I Think I am"), une soul hyper sexuelle ("Jet Skis on the Moat") ou un blues fantomatique à la Nick Cave ("Sculptures of Anything Goes") ? D'autant plus dur de deviner cette quasi-face B volée à Simon & Garfunkel ("Mr Schwartz", probablement le morceau le moins Arctic Monkeys de toute leur carrière, et y a pourtant du monde en compétition). À ce titre The Car en devient presque schizophrène, l'album étant clairement séparé entre une première moitié plus pop, plus chanson, quand la seconde (dès le morceau-titre, en fait) s'aventure de plain-pied dans la BO de film (le point d'orgue de cette partie, "Big Ideas", que l'on imagine automatiquement en générique de James Bond).
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Si TBH+C était un échappatoire, une fuite en avant maquillée en délire science-fiction et plein de grandes manières, The Car est un disque plus terre-à-terre, presque plus sincère puisqu'il confirme la mue toujours brutale du groupe sans l'habiller d'un concept narratif qui aurait pu faire penser à un simple écart temporaire. C'est donc ça, les Arctic Monkeys en 2022 : ils n'ont pas vraiment tué les anciens, ni les sales gosses, ni les ados boutonneux sous influence des narcotiques du désert californien, ni les grandes rockstars désuètes coiffées à la gomina. Ils cohabitent, mais au profit d'autre chose, d'une cause peut-être plus noble, peut-être plus chiante. Une belle cause, ça il n'y a aucun doute.
Ces grands changements apportent leurs lots de questions sans réponse : si j'aime encore ce qu'ils font, est-ce un signe de changement ? un bon, ou un mauvais ? Mais celle qui met le plus le ravioli en ébullition, c'est celle qui consiste à se demander si j'aimerais autant les Arctic Monkeys, s'ils n'étaient pas les Arctic Monkeys. "Le sont-ils encore ?" demanderont certainement, coquins, les plus sceptiques face à cette nouvelle phase de leur carrière délicieusement pantouflarde. On pourrait considérer que la richesse d'un groupe, d'un artiste fondateur à titre personnel, est une porte d'entrée vers ses influences, ses richesses, et qu'au fond c'est comme ça qu'on découvre sa musique idéale, en suivant cet espèce de fil d'Ariane tissé par ses musiciens favoris, et qu'on détricote à l'envie. Mais quand le groupe en question se transforme, change de peau, quelle valeur conserve cet amour d'adolescent (et donc un peu trop passionné) pour quelque chose qui n'a presque plus rien à voir avec ce qui nous avait séduit au départ ? Est-ce que j'aurais eu quelque chose à cirer de The Car s'il n'avait pas été signé par Alex Turner et sa bande ? En aurais-je ne serait-ce qu'entendu parler ? L'aurais-je écouté avec la même attention ? Et surtout, l'aurais-je autant apprécié si ses géniteurs m'avaient été inconnus au bataillon ? Est-ce qu'aimer un groupe, c'est lui faire confiance quoiqu'il se passe - sans parler de la latitude de notre appréciation propre ?
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D'autant plus difficile à dire aujourd'hui, quelques semaines après sa sortie et n'ayant rien écouté d'autre, toujours très sensible à la force d'attraction que leur musique continue d'exercer sur moi. Pour quelles raisons ? Là est toute la question. Un des lieux communs les plus rincés de la musique consiste à dire qu'on grandit avec celle qu'on a, un jour, aimé. Certaines études récentes affirment carrément que c'est la musique de notre adolescence qui conserve la plus grande influence sur notre cerveau. Un peu comme un surfeur marqué par sa première vague, qu'il aura vécu comme un tsunami, pour finir par chevaucher des monstres trois fois plus gros sans s'en rendre compte. Mais quelle confiance accorder quand ces premiers amours transgressent le souvenir, et deviennent tout-à-fait autre chose ?
On en revient à la question initiale, que je vais peut-être arrêter de poser ici. J'aime ce disque peut-être plus que son prédécesseur, pour ses thématiques plus en phase avec les émotions souhaitées. Pas mal de chroniques évoquent des textes particulièrement abscons, quand je les trouve (sans prétendre capter l'intégralité du sens) très justes et très poétiques. Musicalement on m'a dit que ça ressemblait à Burt Bacharach un peu trop copié (d'après une bonne amie). N'y connaissant rien ça m'a juste semblé très beau, kitsch, élégant, et difficile pour moi de détourner le regard de cette transformation - un peu comme ce vieil ami d'enfance que vous retrouvez par hasard sur Instagram, constatant à quel point sa vie est différente de la vôtre. Vous l'aimez encore ce con, c'est comme si vous connaissiez sa petite poésie interne, celle qui faisait que vous étiez amis sans jamais vous l'expliquer concrètement. La différence, c'est que vous ne le croiserez plus jamais. Mais les Arctic Monkeys, eux, semblent encore vouloir me montrer quelque chose. De différent, encore une fois, comme toujours pourrait-on dire. Une surprise qui n'en est plus une, puisque derrière ces sonorités de crooner endimanché et ces batteries dont on se serait moqué à l'époque de "Brianstorm", c'est bien d'une certaine familiarité dont il s'agit. De vieux copains qu'on recroise et à qui on a envie de ne rien refuser, qu'on parvient encore à comprendre malgré la distance. Une certaine nostalgie, enrobée dans ce qui reste (quand même, et selon mon petit avis) de la très belle musique.
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Prétendre grandir avec un groupe qu’on aime, sous couvert qu’il évolue lui-même, ça peut aussi ressembler à une petite mascarade personnelle, une tentative un peu triste et désespérée de retenir une jeunesse qui s'éloigne inexorablement. C'est un peu ironique, voire même complètement con. Qui suis-je bordel ? Qu’est-ce que l’audace ? Vous avez 4h.
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dedektorbursa · 16 days
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L'héritage De L'intervention Anti-Peste À Paris: Une Perspective Historique
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Alors que vous vous promenez le long de la Seine, admirant les monuments emblématiques de la Ville Lumière, vous ne réalisez peut-être pas que derrière la façade romantique se cache une bataille séculaire contre un ennemi bien plus sinistre : les parasites. Des brigades de capture de rats médiévales aux services modernes de lutte contre les parasites, Paris a mené une guerre sans merci contre les créatures qui menacent la santé publique et la sécurité. Vous vous demandez probablement, qu'est-ce qui a motivé cette poursuite implacable d'une ville exempte de parasites? Découvrons les histoires oubliées de la croisade anti-parasitaire de Paris et découvrons comment cette lutte en cours a façonné la ville que vous voyez aujourd'hui.
La Peste et la Sordide à Paris au Moyen Âge
Dans le Paris médiéval, vous auriez dû vous frayer un chemin à travers des rues étroites et sinueuses remplies de déchets en décomposition et d'eaux stagnantes, terreaux pour les maladies et les épidémies. L'air était épais du relent des ordures pourries, et les bruits des rongeurs qui couraient emplissaient l'air nocturne.
C'était un terrain d'entraînement pour les maladies, et le besoin d'intervention était urgent. C'est là que l'intervention anti-nuisible Paris est intervenue, apportant un soulagement bienvenu aux citoyens affligés. Avec leur expertise, ils ont travaillé à éradiquer les épidémies, créant un environnement plus sûr et plus sain. Pour ceux qui cherchaient de l'aide, intervention-anti-nuisible.fr était la ressource de référence, offrant un rayon d'espoir dans une ville ravagée par la saleté et la maladie.
L'Ascension des Brigades Anti-Rats
Alors que les rues du Paris médiéval se débarrassaient des débris et des déchets, vous auriez pu remarquer l'émergence d'une nouvelle force: les brigades de capture de rats, chargées de combattre le problème des rongeurs de front. Ces groupes organisés de captureurs de rats, souvent composés de résidents locaux et d'artisans, se regroupaient pour lutter contre l'infestation généralisée de rongeurs.
Vous les auriez vus patrouiller dans les rues, armés de pièges, de filets et d'appareils de fortune conçus pour capturer les créatures nuisibles. Leurs efforts n'étaient pas toujours couronnés de succès, mais ils marquaient une étape cruciale vers la reconquête de la ville sur la griffe de la saleté et des maladies. Alors que vous vous promeniez dans les allées sinueuses et les marchés, vous auriez aperçu ces brigades au travail, leur dévouement à un Paris plus propre et plus sain palpable dans chaque piège qu'ils instauraient et chaque rat qu'ils capturaient.
Réformes sanitaires de la Belle Époque
Durant la Belle Époque, vous entrez dans un Paris transformé, où les réformes de l'assainissement sont devenues le catalyseur d'une nouvelle ère de renouvellement urbain. Vous êtes témoin d'une ville qui traite enfin ses problèmes séculaires de saleté et de décadence. Les rues étroites et sinueuses d'autrefois sont maintenant élargies et pavées, permettant une meilleure évacuation des eaux usées et une élimination des déchets.
Vous voyez la construction de réseaux d'égouts modernes, conçus pour détourner les eaux usées loin de la Seine et les diriger vers des installations de traitement. L'approvisionnement en eau de la ville est également rénové, avec de nouvelles canalisations et des usines de traitement garantissant une eau potable plus propre et plus saine pour tous les citoyens. Alors que vous vous promenez dans la ville, vous remarquez l'absence d'allées encombrées de déchets et la présence de rues propres et bien éclairées. C'est une nouvelle ère pour Paris, qui met en priorité la santé et le bien-être de ses habitants.
La Guerre contre les Rats et la Peste
Menant la guerre contre la population de rongeurs, vous faites partie d'un effort concerté pour éradiquer la peste qui a hanté Paris depuis des siècles. Alors que vous naviguez dans la Ville Lumière, vous marchez dans les pas de ceux qui ont lutté contre la Peste Noire. La peste, propagée par les puces portées par les rats, a laissé une marque indélébile sur l'histoire de Paris. Vous faites partie d'une longue lignée de guerriers qui ont combattu contre ce fléau ancestral.
Du Moyen Âge à l'époque moderne, la guerre contre les rats et la peste a été une lutte constante, souvent clandestine. En rejoignant ce combat, vous contribuez à un héritage de résilience et de détermination qui a défini la relation de Paris avec ses ennemis rongeurs.
Émergence du Contrôle des Pests Modernes
Vous entrez dans une nouvelle ère de lutte contre les nuisibles, où les percées scientifiques et les techniques innovantes transforment la lutte contre les rongeurs et la peste qu'ils véhiculent. Alors que vous naviguez ce nouveau paysage, vous remarquerez un changement de méthodes primitives et réactives vers des stratégies proactives et scientifiquement guidées.
Vous verrez émerger des services de lutte contre les nuisibles professionnels, équipés d'outils modernes et d'expertise pour affronter les infestations de manière frontale. Les pièges deviennent plus sophistiqués, et les poisons laissent place à des solutions ciblées et respectueuses de l'environnement. C'est une ère de coopération entre les scientifiques, les décideurs politiques et les professionnels de la lutte contre les nuisibles, travaillant ensemble pour développer et mettre en œuvre des solutions efficaces et à long terme pour le problème des nuisibles. Cette synergie ouvre la voie à un avenir où les Parisiens pourront vivre, travailler et prospérer dans un environnement exempt de rongeurs.
La Rénovation Urbaine et l'Ère Haussmann
Alors que le contrôle des pesticides émerge, Paris subit une transformation parallèle, avec l'appointé de Napoléon III, Georges-Eugène Haussmann, à la tête d'un vaste projet de rénovation urbaine qui réorganise le paysage de la ville et prépare involontairement le terrain pour une nouvelle ère de contrôle des parasites. Vous vous retrouvez au cœur d'une métropole animée, où les ruelles étroites et les bâtiments délabrés cèdent la place à de grandioses avenues et à une infrastructure moderne.
La vision de Haussmann est de créer une ville plus saine et plus efficace, mais en faisant cela, il ouvre involontairement la voie à de nouvelles mesures de contrôle des parasites. Alors que la disposition de la ville change, vous remarquez que les anciens quartiers exigus qui abritaient autrefois les parasites sont remplacés par des espaces plus ouverts et ventilés, facilitant ainsi la lutte contre les infestations.
Conclusion
Au fil des rues charmantes de Paris, rappelons-nous de la bataille séculaire contre les nuisibles qui menaçaient l'existence même de la ville. Des attrapeurs de rats médiévaux aux réformes sanitaires modernes, l'héritage de l'intervention anti-nuisible est un témoignage de la persévérance humaine. Aujourd'hui, Paris reste vigilante, veillant à ce que sa beauté et son charme perdurent pour les générations à venir. Vous êtes bénéficiaire de ce combat incessant, jouissant d'une ville où l'histoire et le progrès se fondent en harmonie.
Intervention Anti Nuisible
15 Rue Jean Jaurès, 95450 Us, France
+33745677862
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laetiziaroffat · 13 days
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Les Grands Noms de la Littérature qui ont Conquis le Cinéma
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L'univers éclectique de la littérature et celui magique du cinéma se sont toujours séduits mutuellement. Cette attraction réciproque a donné naissance à certains des chefs-d'œuvre les plus mémorables de l'écran, basés sur des œuvres littéraires captivantes. Partons ensemble à la découverte des grands noms de la littérature qui ont séduisément conquis le cinéma !
Stephen King : Un maître de l'horreur qui hante le cinéma
Sans surprise, le maître des histoires d'horreur, Stephen King, tient une place de choix dans cette liste. Ses récits effrayants, qui transcendent le monde naturel, ont captivé les cinéastes depuis des décennies. Des films épiques tels que "The Shining" et "Carrie" jusqu'à des mini-séries comme "Under the Dome", l'importance de King dans le cinéma est incontestable.
J.K. Rowling : De la malle aux livres à la magie du grand écran
J.K Rowling est une autre figure littéraire qui a eu un impact significatif sur le cinéma. Ses livres "Harry Potter", combinés à une narration magistrale et des personnages inoubliables, sont devenus une série de films de blockbuster. Les histoires de sorcellerie, de mystère et de camaraderie ont gagné un nouvel élan grâce à la transition réussie vers le grand écran.
J.R.R. Tolkien : L'auteur qui a réalisé l'évasion parfaite
Le monde fantastique du "Hobbit" et le "Seigneur des anneaux" créés par J.R.R. Tolkien ont également été brillamment interprétés par le cinéma. La combinaison de la narration épique de Tolkien, ses paysages imaginaires et ses personnages hauts en couleur ont engendré une saga cinématographique inoubliable et culte qui a ravi les fans de la littérature et du cinéma.
Jane Austen : La romancière à l'ombre de l'adaptation cinématographique
Les œuvres littéraires de Jane Austen ont toujours été une source d’inspiration pour le cinéma romantique. Son habileté à décrire les relations humaines et les normes sociales de son époque a été habilement matérialisée dans des films comme "Orgueil et Préjugés", "Emma" et "Raison et Sensibilité". Chaque écrivain, à sa manière, a joué un rôle clé dans le façonnement du visage du cinéma. Leur art a été respecté, honoré et magnifié par l'industrie du cinéma, créant un lien indissociable entre ces deux mondes de l'écriture et du cinéma. Rêver, après tout, c'est juste une autre forme de narration. La littérature et le cinéma sont l'évasion parfaite du réel vers l'imaginaire, tout en restant enracinés dans nos sentiments et expériences humaines.
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sunsetsparadise · 15 days
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Le tissu Liberty
Le tissu Liberty, reconnu pour ses motifs floraux délicats et son association avec l’élégance intemporelle, a conquis le monde de la mode depuis sa création. Utilisé pour une gamme diversifiée de vêtements et d’accessoires, le tissu Liberty incarne un style romantique et raffiné qui transcende les époques. Dans cet article, explorons l’histoire du tissu Liberty, ses caractéristiques distinctives,…
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lauragerlain77 · 2 months
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Mon voisin le pompier
Mon voisin le pompier
(100% histoire vraie)
Il était une fois une mère de famille qui s'ennuyait.
Elle avait pourtant de quoi faire: deux enfants en bas âge, un emploi très fatiguant mentalement et physiquement, elle faisait beaucoup de sport (à cette époque ahah),elle avait une maison à faire tourner, un mari à s'occuper...et pourtant elle fit bientôt une fixette sur le mari d'une collègue de travail et voisine...
Nous nous retrouvions en bas de chez nous, les enfants jouaient tous ensemble.
L'endroit était agréable, sur les bords de Marne. Je le voyais, lui, toujours souriant et doux. Attentif et câlin avec ses filles. Il avait l'air si gentil. Et je remarquais beaucoup de tristesse dans ses yeux.
Je connaissais son nom: Yannick. Et bien sûr son nom de famille, puisque sa femme et moi nous connaissions.
Elle était tout l'inverse de lui: froide, hypocrite, mesquine, calculatrice. Même en tant que collègue, je ne l'appréciais pas. Encore moins en tant que personne. 
Elle était magnifique physiquement. Mais complexée par son poids. Je la revois encore tirer sur ses vêtements quand elle marchait pour tenter de cacher ses hanches et ses cuisses.
Bon, je ne me sentais pas mieux dans mon corps à l'époque.
Ils avaient l'air tellement différents. Lui très bien dans sa peau. Un grand sportif. A l'aise avec les autres.
Et je voyais cet homme me regarder. Comme il regardait aussi d'autres femmes. Il avait l'air en manque. Et il l'était.
Un jour, n'y tenant plus, je fis une recherche sur le net afin de trouver son numéro.
Il avait un site de photos, aussi ce fût très simple. Je lui envoyai alors un sms mystérieux afin de tâter le terrain: "Bonjour, tu ne sais pas qui je suis, mais je suis une de tes voisines. Je voulais te dire que je te trouve très beau et que tu me plais. J'ai conscience que c'est sans doute déplacé mais je le fais quand même, comme tu vois"
Sa réponse ne tarda pas et il se laissa prendre au jeu. Jeu qui dura à peine quelques heures quand je lui révélai enfin mon identité. 
Il fut surpris, mais ravi. Le soir même, je le retrouvai en bas dans sa voiture. Il m'emmena faire un tour. Il me raconta sa vie. 
C'était l'homme le plus romantique de la Terre. Jamais je n'ai rencontré quelqu'un comme lui. Ah! on s'en ai fait des déclarations d'amour! J'ai l'impression que nous sommes tombés amoureux en deux minutes chrono.
Ses yeux étaient remplis de bons sentiments. 
Pour lui, l'amour était tout. C'était la seule chose avec ses filles qui le faisait vibrer et qui l'intéressait vraiment.
Amour qu'il ne partageait plus avec sa femme depuis de nombreuses années. Ils s'étaient connus à dix-huit ans et il l'avait demandé en mariage au bout d'une semaine!
Il n'avait pas eu le temps de prendre la mesure de son caractère colérique.
Mais ils avaient eu des enfants très vite, aussi était-il resté pour les voir grandir.
Yannick était pompier à la caserne boulevard Massena dans le 13ème.
Très vite, elle devint notre lieu de rendez-vous. Et les bords de Marne, tous les soirs à 23 heures.
Nous nous écrivions toute la journée. Que nous nous aimions. Que nous avions envie l'un de l'autre. Que vous avions besoin de nous voir.
Cette histoire a duré longtemps. Pas comme nos rapports qui duraient 30 secondes.
Sincèrement, je n'ai jamais compris pourquoi il n'arrivait pas à tenir plus longtemps.
Parfois, il était encore en moi et il se remettait à bander et nous repartions pour un tour. Mais 30 secondes multipliées par quelques fois, ça ne fait toujours pas bien longtemps...
Je n'ai jamais été satisfaite avec lui, je n'avais même pas de désir physique.
Mais mon cœur était accro comme rarement il ne l'a été.
Un soir, j'arrivai à la caserne comme souvent. Le temps loin de lui me semblait interminable et je ne vivais que pour le retrouver chaque fin de journée. 
Je portais une robe verte (cette couleur peut sembler étrange, mais la robe était vraiment magnifique) très près du corps, ainsi que mes éternels bas.
Yannick était très excité par le fait de faire l'amour habillé (maintenant que je l'écris, je comprends mieux pourquoi il ne tenait pas longtemps, avec ma manie de baiser partout et souvent habillée), il voulait toujours que je garde au moins mon string (chacun son délire hein, n'allons pas juger, surtout moi, alors que David par exemple n'enlevait que rarement son t-shirt, je trouvais ça trop craquant).
Il m'accueillit à la sortie de l'ascenseur, qui donnait dans leur salle de repos, laquelle ressemblait à un immense appartement magnifiquement bien agencé et décoré.
Il avait fait tous les travaux là bas (oui, les pompiers s'ennuient énormément). 
Il me prit par la taille et me plaqua contre lui. Il me caressa la joue et m'embrassa passionnément. Sa main descendit sur un de mes seins qu'il commença à caresser doucement au travers de mes vêtements.
Avec son autre main, il me caressa les fesses. Je me cambrai en me collant de plus en plus contre lui. Je sentais qu'il bandait fort à travers son jean.
J'avais déjà envie de lui bien avant d'arriver. J'avais envie de lui tout le temps.
Il me plaqua contre une table. Je remontai alors ma robe sur mes hanches. Je ne portais rien en dessous mis à part mes bas. 
Il m'attrapa par la taille pour m'asseoir dessus et se glissa entre mes cuisses. 
Il me pénétra avec ses doigts en me regardant dans les yeux. Je me laissai tomber sur la table en gémissant.
Je fermai alors les yeux instinctivement. Il me demanda de les rouvrir. J'adorais ça.
Sa main descendit sur mon cou et me releva pour m'embrasser. 
Je déboutonnai alors son jean et commençai à le caresser. Il m'arrêta net, trop excité.
Il me dit "attends un peu..." histoire que la pression redescende.
C'est vraiment maintenant que je me rends compte qu'il était bien trop excité pour un homme de son âge et de son expérience.
Je ne pus attendre plus d'une minute, trop impatiente de le sentir en moi. 
Avec mes jambes que j'enroulai autour de ses fesses, je le rapprochai autant que je le pus. 
Il me pénétra en ne me quittant pas du regard. 
J'avais du mal à ne pas fermer les yeux tant le plaisir était intense mais je prenais sur moi.
Se regarder tout du long nous offrait une connexion encore plus forte.
Il sortit un sein de ma robe et se mit à l'embrasser. 
C'était tellement bon que je mis à gémir de plus en plus en fort.
Ses coups de rein devenaient rapides et puissants. Pour en profiter quelques instants de plus, je lui demandai de se calmer et de stopper.
Mais nos corps n'arrivaient pas vraiment à comprendre la consigne.
Et au bout de 20 secondes à peine, nous avions retrouvé le même rythme intense, portés par le même désir de ne faire qu'un.
Il jouit pratiquement immédiatement. C'était si bon de le voir heureux comme ça.
Nous nous sommes ensuite installés sur un fauteuil en face de cette fameuse table, l'un contre l'autre. Nous avons immédiatement recommencé à nous embrasser et l'envie revint à la seconde.
Je lui grimpai dessus rapidement et m'empalai sur sa queue, toujours aussi dure que la première fois. 
J'étais tellement mouillée par notre rapport précédent qu'il s'enfonça en moi très facilement.
Excitée, je prenais appui avec mes mains sur les accoudoirs afin de faire des mouvements amples. Je savais que je devais me calmer, mais je n'y arrivais pas. Mon corps faisait ce qu'il voulait. L'envie était trop forte.
Ses mains écartaient mes fesses pour permettre une pénétration plus profonde.
Je le sentais si dur au fond de moi et ça me rendait folle de désir. 
A chaque mouvement, je criais un peu plus fort et ça le faisait bander encore plus.
Quelques secondes de plus suffirent à le faire éjaculer "tu m'excites trop" répétait-il en boucle. Je veux bien le croire. Enfin, sur le coup, je restais souvent sur ma faim... 
Un jour, après plusieurs mois d'amour doublés de la souffrance du manque, il me dit "allez viens! on quitte tout et on vit ensemble! Moi je la quitte ce soir si tu me dis que c'est bon pour toi". 
L'électrochoc dans ma tête. Je ne répondis pas et disparus de la circulation pendant plusieurs jours.
Je ne pouvais pas laisser mes enfants, et leur donner un autre modèle que ce que j'avais prévu dans ma petite tête, uniquement pour vivre cet amour, qui en plus me faisait souffrir.
Cette demande mit fin à notre histoire, qui continua différemment pendant quelques temps, puis qui s'éteignit définitivement peu à peu. 
Nous n'avons jamais repris contact depuis toutes ces années. Et je n'en ai jamais eu l'envie d'ailleurs. Car j'ai réalisé qu'il ne serait jamais l'homme pour qui je changerai tout (si jamais il existe!). Mais vous en expliquer la raison, ça...Je ne le sais pas moi-même.
Peut-être était-ce la peur ressentie à la lecture de sa demande qui m'avait fait réaliser que je ne l'aimais pas assez. Ou bien la peur de quitter mon foyer pour l'inconnu. Refaire ma vie avec un homme avec qui j'avais finalement passé peu de temps. Et que je ne connaissais sans doute pas assez.
Enfin, comme vous le savez, toutes les raisons sont bonnes avec moi pour que je prenne peur... 
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