Tumgik
#étudiants en droit
quizdedroit · 2 months
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Choisissez une réponse :
A. Le lanceur de la bouteille uniquement
B. L'organisateur du concert pour ne pas avoir assuré la sécurité
C. Les deux, le lanceur et l'organisateur
D. Personne n'en est responsable
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ominouscorvid · 7 months
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j'ai su que les français sont les parents de la codification, mais je n'étais absolument pas préparée à ouvrir mon premier code français annoté. CHAQUE ARTICLE A TOUS LES RÉFERENCES DU MONDE. c'est un peu accablant, honnêtement. impressionant, tout de même. chapeau aux français, qui ont crée non seulement le code, mais le code dont chaque article a ses articles de commentaire.
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mwebber · 1 year
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comment dit-on j’oublie tout le français que j’ai appris depuis 2006 et mnt c seulement franglais dans ma tête
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xaxitokukol · 2 years
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Durst m600 mode d'emploi thermomix
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rollinginthedeep-swan · 2 months
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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the-bibrarian · 1 year
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Hi! This is a very important petition against a uniquely brutal anti-riot squad. Only french citizens can sign it, but if it reaches 100,000 signatures our assembly has to examine it, and it already has more than 87,000!
Even if you can’t sign it, can you reblog this so it reaches as many french people as possible on tumblr dot com the website and app?? 
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chifourmi · 4 months
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Du coup j'ai enfin tout compris sur mes droits en tant que jeune diplômée et en fait bahhh j'en ai pas mdr. Les étudiants diplômés en juin peuvent encore avoir un job étudiant jusqu'au 30 septembre donc encore 3 mois après l'obtention de leur diplôme, tandis que les étudiants diplômés à la suite d'une seconde sess peuvent aller se faire foutre, ils perdent ce droit dès qu'ils reçoivent leurs résultats.
Actuellement si je veux gagner de l'argent, je suis obligée de commencer un vrai métier en CDD ou CDI. Y a pas d'autres possibilités avec des petites formations ou quoi, comme j'avais cru comprendre.
Et aussi, j'ai perdu mon droit aux allocations familiales dès le lendemain de mon dernier examen. Tandis que les étudiants diplômés en juin y ont encore droit 2 mois après l'obtention de leur diplôme mdr. Du coup aujourd'hui je me suis inscrite au Forem pour de nouveau avoir les allocations familiales. J'ai donc un statut de demandeuse d'emploi mdr?? Je vais avoir un accompagnateur qui va me faire des propositions de jobs alors que je ne veux même pas et que j'attends juste septembre pour commencer mon Master. C'est vraiment n'importe quoi cette vie. Et le pire c'est que j'ai des obligations, genre passer les entretiens qu'on me propose, montrer que je cherche un emploi, etc, sinon on peut me retirer les allocs ✌🏻
Morale de l'histoire : t'es baisé si tu réussi pas tous tes cours du premier coup donc t'as intérêt à être studieux.
(02/02/2024)
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lerefugedeluza · 6 months
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Au collège, au lycée, et même à l’université, les conseillers d’orientation étaient unanimes : si je suivais mes rêves, à savoir l’écriture, le dessin voire même la création dans sa globalité, mon avenir allait être désastreux. J’aurai des difficultés à trouver un emploi, à avoir un salaire décent, à joindre les deux bouts. Les métiers artistiques, pour eux, sont beaucoup trop risqué.
Alors celle que j’étais à l’époque, timide, peu sûre d’elle et ayant peur de l’avenir les a écouté.
Je me suis appliquée à suivre des études « normales » les cours m’ennuyaient à mourir, je préférai encore mes multiples boulots étudiants qu’être sur les bancs de la fac.
Je les ai écouté et j’ai troqué mes rêves pour un avenir plus sûr.
L’avenir de cette époque, j’y suis maintenant. Il me rend malade et me fait pleurer tellement je suis fatiguée.
J’ai écouté leurs conseils. J’ai étudié des choses qui ne m’intéressaient pas. J’ai mis de côté ce à quoi j’aspirais car tous me disaient que suivre mes rêves c’était aller droit dans le mur.
Et pourtant… et pourtant maintenant, chercher un emploi me paraît être un véritable parcours du combattant. Mon salaire décent ? N’en parlons même pas car je dois cumuler différents boulots pour réussir à joindre les deux bouts.
Et tous les soirs, mes pensées tournent en boucle dans ma tête et je me demande « et si à la place de les avoir écouté, je leur avais dit d’aller se faire foutre ? ».
Je ne sais pas quel âge vous pouvez bien avoir, mais je vais vous dire quelque chose : si vous avez des rêves, ne les lâchez jamais. Même si autour de vous on vous dit que c’est trop risqué… et alors ? Choisir la « voie normale, la voie de la sécurité » ce n’est pas risquer d’être malheureux toute sa vie peut-être ?
Et si dans votre entourage, quelqu’un vous raconte ses rêves les plus fous, mêmes s’ils sont abracadabrants, loufoques, absurdes, ne lui dites pas d’abandonner. Encouragez-le. Je ne sais pas qui vous êtes, mais n’oubliez jamais que vous n’avez pas le droit de dire à quelqu’un qu’il ne peut pas au moins essayer.
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homomenhommes · 13 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 170
Acquisition ZX10R, Emma,
Comme je l'avais décidé, j'ai changé mon Monster 1100S par un ZX10R dont je confie la préparation à Cédric. Toutes les concessions ne se ressemblant pas, je n'envisage rien avec le vendeur de chez KAWASAKI, jeune mais c'est tout.
Dès que je récupère la moto, je la dépose au garage du père de Cédric, pour que ce dernier (Cédric) me la débride entre autre (changement des freins, pot d'échappement....). J'y rencontre alors un mec début 40aine, très ressemblant à son fils (ou l'inverse) mais modèle au dessus question taille et carrure. D'ailleurs ce ne serait pas le père de Cédric, j'aurais tenté ma chance ! Cédric l'avait prévenu et il n'est pas étonné, tout juste essaye t-il de savoir un peu avec qui traine son fils qui semble avoir déserté le toit familial ces derniers temps. Je reste évasif quand il me parle d'un groupe de motard. Mais quand il me fait part de ses craintes qu'il vire voyou ou délinquant, je me vois dans l'obligation de le rassurer. De plus si Cédric se met à la modification des motos de tous les potes, son père risque de voir passer un peu de monde chez lui. Je lui explique que nous sommes juste une bande de copains de tous âges et de tous horizons avec des étudiants, des professions libérales ... Même si Cédric est le plus jeune et à cause de cela, tous nous le protégeons. Est-ce mon ton ? La façon que j'ai eu de le dire, ou la perspicacité d'un père inquiet ? Toujours est il que la question suivante à été " et y'en a pas un qui le protège ;plus ? ". Sa question me surprend et je lui demande ce qui lui fait penser à cela. Il me répond que son fils ne tari pas d'éloge pour un professeur d'auto-école au près de qui il compte passer son permis A1 et d'un copain qui l'entraine dans un club de muscu. Comme Cédric ne lui a pas demandé d'argent et que ce n'est pas avec son salaire d'apprenti qu'il peut se payer tout cela, il commence à se poser des questions. Je le rassure et lui dit que c'est notre groupe qui s'en charge. D'un coup je me demande si ça le rassure vraiment. Je suis obligé de préciser qu'Eric lui donne les cours de pilotage moto gracieusement et que c'est moi, pour le remercier d'entretenir et modifier mes motos qui lui offre le club de muscu et ce qu'il faut pour son désir de modeler son corps. C'est à ce moment que Cédric rentre de son taf. Même alors qu'il savait que j'allais passer, il rougit. Rapidement avant qu'il n'y ait de malentendu, je résume ma conversation avec son père. Dans le silence qui suit, je le vois prendre une grande respiration, me regarder dans les yeux puis se tourner vers son père et faire son coming-out. Sans entrer dans les détails sexuels, il lui explique que pour lui c'est plutôt les mecs que les nanas, qu'il s'est trouvé un groupe d'amis avec qui il est à l'aise avec ça et auprès d'un plus particulièrement. Là, j'ai admiré le paternel. Après un long silence passé à digérer les nouvelles, il a pris Cédric dans ses bras (je n'ai pu m'empêcher de mater ses biceps se gonfler, on ne se refait pas !) et en le serrant fort contre son torse, lui a demandé s'il était sûr de lui. Réponse étouffée mais positive. Le père tourne la tête vers moi et me demande, " c'est toi ? ". Je lui dis que non, même si cela aurait pu être, mais que c'est Eric qui a eu la chance d'être choisi par son fils. Une fois sorti des bras de son père, Cédric s'est approché de ma nouvelle moto pour qu'on voit ensemble ce qu'il y allait avoir à changer. Je demandais alors à son père s'il pourrait au nom de son garage se charger de commander les pièces, acceptation de sa part.
Je les quitte sachant que la soirée allait être longue en explication pour Cédric.
Quand je rentre à la maison, Marc est déjà arrivé. Il me demande où j'étais. J'explique en lui disant que je me serais bien fait le père de Cédric si justement il ne l'avait pas été. En disant cela, je me suis collé à mon homme, ma main droite sur son paquet. Il me prend par le cou et me roule une pelle. Sa langue impérieuse pénètre ma bouche et attaque la mienne. Sous ma main je sens sa bite grossir. J'attend qu'elle soit bien raide et alors je glisse à genoux. Je défais vite son jeans et le tire à mi cuisses. Avec mes mains je tends encore plus le tissus de son slip contre sa tige et pose ma bouche sur son gland ainsi dévoilé. Je lèche, mouille, suce par dessus la barrière. Mais je veux le contact de sa peau. Le slip rejoint de pantalon et sa bite se dresse, bien droite au dessus de ses couilles rasées. D'ailleurs c'est par elles que je commence. Je fais rouler l'une puis l'autre dans ma bouche (elles sont trop grosses pour que je puisse prendre les deux ensembles). Je remonte doucement les 22cm qui les séparent du gland, la pointe de ma langue suivant le gonflement de l'urètre. Arrivé à l'extrémité, ma bouche vient couvrir son gland uniquement. Dans un premier temps, je joue de ma langue sur la surface violacée, titillant le frein, râpant la couronne avec les dents jusqu'à ce qu'il n'y tienne plus et m'enfonce brutalement sa bite au fond de ma gorge. Là, je sais ce qu'il me reste à faire. Je le pompe de mes lèvres posées sur l'extrémité de son gland jusqu'à les coller sur son pubis, logeant alors son gland au plus profond de ma gorge. Je m'applique bien, j'ajoute des déglutitions rapides quand il est au plus profond de moi. Ça le fait gémir grave. Je sais qu'en faisant cela, son gland est massé par le mouvement de mon larynx et que ça l'excite un maximum. Je continu jusqu'à sentir couler son jus jusque dans mon estomac. Miam ! il se retire juste pour déposer sa dernière giclée sur ma langue. Je la garde en bouche car effectivement, il me relève et nous la partageons dans un baiser brûlant. Il ne débande pas. Je le pousse dans un canapé et à ses pieds, reprends son déshabillage. Les chaussures volent au travers du salon, le jeans est arraché avec le slip. Il se défait de son polo le temps que je mette à poil moi aussi.
Je suis chaud ! je me place sur lui, et un genou de chaque coté, m'assois sur ses cuisses, nos sexes collés l'un contre l'autre. Je reprends notre baiser même s'il n'y a plus de sperme à partager. D'un main je fouille de fond du canapé et trouve coincé entre les coussins un flacon de poppers (il y en a un peu partout dans la maison, histoire d'en avoir toujours sous la main quand on en a besoin !). Je me sature les narines, cela achève d'assouplir mon anus déjà moite d'excitation. Je me redresse, d'un mouvement de bassin place le gland de Marc sur mon anus et m'assois d'un coup.
Malgré mon excitation je la sens bien passer et je râle. Sans avoir l'anus d'un puceau, mes exercices réguliers de serrage de sphincter sur un plug étroit portent leurs fruits. Marc en rajoute en poussant sur mes hanches histoire que dès le premier coup je m'ouvre totalement. Je reste quelques instants sans bouger le bassin. Je me contente de me pencher et de lui rouler un patin. C'est Marc qui donne l'ordre de mouvement quand je sens ses mains essayer de me soulever. Je prends tout mon temps, j'adore Marc et j'aime faire durer quand nous faisons l'amour. Mes mouvements sont lents mais complets. A chaque fois je le sors complètement de mon cul avant de me m'asseoir à nouveau dessus. Lui comme moi, nous savourons chaque va et vient. Son bras sur mon cou, pour retenir mes lèvres contre les siennes, me transmet chaque évolution de son excitation par la contraction de son biceps. Il me bascule sur le coté et je me retrouve dos sur le canapé. Je relève mes jambes pour les poser sur ses épaules et ainsi bien dégager ma rondelle. Marc les pieds callés contre l'accoudoir me laboure le cul avec efficacité. Cette position lui permet de plus grandes vitesses de limage quand il le désire. Mais c'est quand même en levrette qu'il se finit dans mon cul. Ses mains sur mes épaules, il m'attire à lui en même temps que son bassin pousse vers moi. Les chocs entre nos deux corps sont violent mais nous aimons ça tous les deux ! Il se fige bien planté au fond et je ressens en moi ses éjaculations. Trop bon ;de pouvoir se baiser sans kpote !
J'attends qu'il me branle avant de quitter mon cul pour lui juter dans la main. Je sais qu'il va me la faire lécher ensuite. ça ne manque pas, je vois arriver sous mes yeux ma production. Blanche, épaisse, je plonge ma langue dedans, miam ! Je lape, lèche ses doigts pour ne pas laisser un spermatozoïde m'échapper. Il décule enfin, me tourne sur le dos et couché sur moi, nous nous roulons un tendre patin. Il est vraiment trop bon mon mec !!
Samir déboule avec deux peignoirs sur le bras pour nous annoncer le diner. Notre baise apéritive nous a ouvert l'appétit et nous faisons honneur à leur cuisine. Après diner, je prends un moment avec Samir pour voir avec lui comment se passe les " conduites " d'Ed et Jimmy. Il me dit que mes clients sont maintenant habitués à ce que ce soit lui qui fasse les conduites et il me dit que je vais avoir une remise de chèques à faire sur le compte de ma société d'Escort. Nous examinons ensemble le cahier des rendez vous, le montant des chèques et le liquide de la quinzaine passée. Il me transmet aussi la demande de DGSE pour une nouvelle séance "garde à vue " mais uniquement avec Ric. Je verrais avec André mais je ne pense pas que cela pose de réelles difficultés vu que la dernière fois il a récupéré un fils adepte de " l'électricité ".
Ma petite affaire fonctionne bien et me permet de financer très largement les salaires de Samir et Ammed, sans compter l'approvisionnement du compte de Jimmy.
Le jeudi qui suit, je déboule chez Emma. Vu le temps que nous avons actuellement, je la retrouve auprès de la piscine, toutes les baies donnant sur le jardin grandes ouvertes. Je me défais vite de mes vêtements et enfile un maillot pour la rejoindre (je compte cette année encore garder mes fesses blanches). Elle est en train de lire, je me couche sur elle. Elle me crie de dégager. Je lui enlève son livre de ses mains et écrase ma bouche sur la sienne. Cela coupe court à ses récriminations. Et je sens ses tétons durcir sous le tissu de son deux pièces. ;Je frotte mes pecs contre ses seins. Ils durcissent encore plus. J'envahi sa bouche avec ma langue et elle répond enfin à son excitation. Je bande, ma queue sort du maillot dont je n'avais pas serré le cordon et vient bitter contre le tissu qui couvre sa chatte. Sans cesser de l'embrasser, je glisse une main sur sa culotte, tire le rebord et dégage l'entrée de sa grotte. Ma bite plonge dedans. Elle est mouillée et brulante. Ma main remonte pour défaire son soutient gorge et es tétons viennent frotter directement mes pecs. Je quitte sa bouche et me penche pour sucer ses tétons l'un après l'autre. Elle gémit de plaisir. Je profite d'un mouvement plus ample de mon bassin pour, étant sorti de sa chatte' retirer sa culotte. Je réinvesti aussitôt la place. Ses jambes viennent ceinturer mes hanches et je sens ses talons appuyer au creux de mes reins pour bien m'enfoncer au fond de son vagin. Je reprends ses lèvres et ma langue revient jouer avec la sienne. De temps en temps elle décolle sa bouche pour me murmurer que c'est trop bon, que je la rends folle. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je sors ma bite bien lubrifiée de son vagin et pose mon gland sur sa rosette. Je retire ma langue de sa bouche, on sait jamais si dans un mouvement reflexe elle risquerait de me la mordre, avant de a sodomiser. C'est chose faites quelques secondes plus tard. J'enfonce mon gland d'un sec coup de rein avant de faire glisser lentement mais sans arrêt mes 20 cm dans son cul. J'adore être bien serré par un anus. Quand il est bien " entretenu ", il serre beaucoup plus fort que n'importe quel vagin et il transmet de façon plus violente les contractions dues aux orgasmes. Foin de ces considérations ! Je la cloue sur le matelas à grand coup de bite dans le cul. Emma prend du plaisir sans que j'aie à m'occuper en plus de sa chatte ou de son clito. Je ne me retiens plus et accélère les va et vient. Deux mordillements de tétons plus tard, elle prend son pied et, ce faisant, bloque ma queue dans son cul. A la troisième compression, je ne tiens plus et éjacule tout le contenu de mes couilles au fond de son trou. Je roule sur le coté et me retrouve sur le dos, Emma couchée sur mon ventre. Nous restons ainsi quelques instants avant qu'elle me dise que la mère de Pierre n'allait pas tarder à venir se baigner. Je ronchonne un peu car cela veut dire que nous ne pourrons pas refaire l'amour avant que je parte.
Sonnette, je renfile mon maillot mais un zeste de rebellitude me fait laisser le lacet dénoué et donc laisser mon sexe, par son poids, tirer le tissu vers le bas, jusqu'à laisser entrapercevoir la naissance de ma hampe. Quand après avoir déclenché le portillon d'entrée je lui ouvre la porte, hélène est surprise de me voir et surtout dans une telle tenue. On s'embrasse et elle me dit qu'à me voir comme cela, ça lui ferait presque regretter de m'avoir fait rencontrer Emma ! Je lui roule un patin en souvenir de notre brève relation. Elle me repousse en me disant que si on continuait, elle finirait par me violer sur place. C'est en riant de cela que nous rejoignons Emma. Quand cette dernière nous demande la raison de notre hilarité, je lui rapporte les regrets de son amie. Nous passons une fin d'après midi agréable. J'ai des nouvelles fraiches de Pierre et de son mec Olivier. Et les deux amies de papoter de leurs deux fils homos ! Pierre fini son année d'architecte en tête de la promo et son mari et elle sont enchantés de l'influence bénéfique d'Olivier. Pendant un moment, ils avaient craint que le fait que Pierre s'installe chez lui, occasionne trop de distraction par rapport à ses études mais ce n'était pas le cas. Je le lui confirme en lui disant que depuis qu'ils s'étaient trouvé tous les deux, c'est à peine si nous les revoyons une fois par trimestre.
JARDINIER
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tournevole · 8 months
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Un étudiant a demandé un jour à l'anthropologue Margaret Mead ce qu'elle considérait comme le premier signe de civilisation dans une culture. L'étudiant s'attendait à ce que l'anthropologue parle de crochets, de bols en argile ou de pierres à aiguiser, mais non. Mead a dit que le premier signe de civilisation dans une culture ancienne est la preuve d'une personne avec un fémur cassé et guéri. Mead a expliqué que dans le reste du règne animal, si vous vous cassez la jambe, vous mourez. Vous ne pouvez pas fuir le danger, aller à la rivière pour boire de l'eau ou chasser pour vous nourrir. Vous devenez de la viande fraîche pour les prédateurs. Aucun animal ne survit à une patte cassée assez longtemps pour que l'os guérisse. Un fémur cassé qui a guéri est la preuve que quelqu'un a pris le temps de rester avec celui qui est tombé, a guéri la blessure, a mis la personne en sécurité et a pris soin d'elle jusqu'à ce qu'elle se rétablisse. "Aider quelqu'un à traverser des difficultés est le point de départ de la civilisation", a expliqué Mead. La civilisation est une aide communautaire La culture ce n’est pas avoir le cerveau farci de dates, de noms ou de chiffres, c’est la qualité du jugement, l’exigence logique, l’appétit de la preuve, la notion de la complexité des choses et des problèmes. C’est l’habitude du doute, le discernement dans la méfiance, la modestie d’opinion, la patience d’ignorer, la certitude qu’on n’a jamais tout le vrai en partage ; c’est avoir l’esprit ferme sans l’avoir rigide, c’est être armé contre le flou et aussi contre la fausse précision, c’est refuser tous les fanatismes et jusqu’à ceux qui s’autorisent de la raison ; c’est suspecter les dogmatismes officiels mais sans profit pour les charlatans, c’est révérer le génie mais sans en faire une idole, c’est toujours préférer ce qui est à ce qu’on préférerait qui fût" Jean Rostand "Le droit d’être Naturaliste" . 1963.
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pommunist · 2 months
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Je crois que j'ai jamais vu autant de mauvaise foi que chez les fans de Quackity... La moindre excuse pour pas qu'il soit responsable. C'est la faute de Lea, ou du syndicat, qui veulent juste detruire le projet, mais jamais celle du type qui a fermé les yeux sur tout les problèmes de son serveur.
C’est un étudiant en droit il sait gérer tout ça laissez le faire ! Mais en même temps ça fait beaucoup pour lui d’un coup soyez patients 🥺
C’est son passion project en cadeau pour la communauté il est super investi ! Ah mais il savait pas tout ce qui se passait en coulisses c’est pas sa faute 🥺
Oui il a dit que tous les admins devraient être payés mais bon d’un autre côté leur faute d’avoir accepté du volontariat mdr
Ok les bresiliens se sont pris max xénophobie de la part de sa communauté pendant des mois mais bon Q a parlé très vaguement dessus en stream en disant racisme = pas bien donc arrêtez de vous plaindre hein
Heu ok Léa et les admins ont un récit très cohérent sur les abus qu’ils ont vécu mais est ce que vous avez pensé que c’est peut être juste des HATERS qui veulent juste du CLOUT. Et les ccs français qui les supportent c’est des FAKE FRIENDS ingrats aussi ils devraient baiser les pieds du créateur pour leur avoir donné une carrière
Heu ok les fans français et bresiliens ca fait des mois que vous soulevez certains problèmes et que rien ne change mais soyez PATIENTS et OPTIMISTES hein
L’hypocrisie de ces fans est pas nouvelle et vu que y’a personne pour les recadrer elle risque pas de s’arrêter
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aisakalegacy · 6 days
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Printemps 1919, Al Simhara, Égypte (2/3)
Totalement, ou presque. Une femme s’y était réfugiée, et c’est elle qui m’a tenu au courant des dernières nouvelles. C’est d’ailleurs grâce à sa mère que vous recevez ce courrier, et j’ai eu beaucoup de chance de tomber sur une femme mariée à un étudiant en droit et éduquée qui parle bien l’anglais et avec laquelle j’ai pu communiquer aisément.
Le 20 mars, le leader nationaliste égyptien Saad Zaghlul a été arrêté par les Britanniques, conduisant à des manifestations et des émeutes sévèrement réprimées. Un couvre-feu a été instauré. Mon interlocutrice avait participé au matin même à une manifestation de femmes devant l’une de ses résidences à Louxor. Elles ont été dispersées par les Britanniques, certaines arrêtées mêmes, et ma bienfaitrice avait dû fuir afin d’éviter plus de répercussions. Elle m’apprit également l’exécution de mon ami le cheikh Fahad Madbouli, qui m’avait hébergé il y a vingt ans et m’avait ouvert sa bibliothèque. Elle n’a pas su me dire ce qu’il est advenu de la cheikha. Ce pauvre cheikh était un homme de culture, un polyglotte, je n’ai jamais croisé de ma vie quelqu’un de meilleure conversation. Je ne comprends pas quels sauvages ont pu ordonner son exécution.
Les Egyptiens, furieux de ces répressions, s’en prennent à tous les Blancs qu’ils croisent, puisqu’ils nous assimilent tous à des Anglais - même les Franco-canadiens, vous rendez-vous compte ? Nous qui luttons plus ardemment que tout autre contre leur dominion ! Mais écoutez, c’est ainsi. Ne souhaitant être tué à vue, même par erreur, j’ai fait comme les Britanniques qui ont déserté le chantier de fouilles où ils étaient exposés et je me suis caché en attendant de rencontrer le frère de Nephty - c’est le nom de ma bienfaitrice, qui, m’avait-elle dit, pourrait peut-être me venir en aide.
[Transcription] Nephty Hosni : You came. (Vous êtes venu.) Jules LeBris : I don’t have that many options, do I. Is that your brother? Who’s the woman? (Je n’ai pas beaucoup d’autres options. Est-ce votre frère ? Qui est la femme ?) Nephty Hosni : She’s my mother. Wait, I’ll introduce you. (C’est ma mère. Attendez, je vais vous présenter.) Helmi Hosni : Ma kinnash lazmeen nekoon hena. Di fikra sayya'a gedan. Wa kull dah 'ashan eih? 'Ashan nennaweez Ingleezi a'war? (On ne devrait même pas être ici. C’est une très mauvaise idée. Et tout ça pour quoi ? Pour sauver un Anglais unijambiste ?) Amina Hosni : Dah mesh Ingleezi, dah Kandi. (Ce n’est pas un Anglais, c’est un Canadien.) Helmi Hosni : Dah nefes el-haga. (C’est la même chose.) Amina Hosni : Ta'ala… kant zayy el-full ennak ta'mel safqaat ma'a 'ulama' al-athar. (Allons… Ça t’arrangeait bien de faire des affaires avec les archéologues.) Helmi Hosni : Lazem teghumi bittahkom fi bintik, ya ommi. Heeya hatwadeena kullina lil-qatl! (Tu devrais contrôler ta fille, Mère. Elle va tous nous faire tuer !)
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alexar60 · 9 months
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Un oeil fermé
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Quand Mattéo entra dans la bibliothèque, je me demandais s’il déconnait. Je regardais son air ahuri. Il paraissait complètement perdu comme s’il était choqué.
Il y a une dame dans la cours, dit-il.
Et ? réagis-je.
C’était normal de voir des gens se promener dans la cours. Le campus n’était pas fermé et il n’était que 20h. De plus, en hiver, la nuit tombe toujours tôt. Mattéo m’observait encore  avec un regard perdu. Il ne savait pas comment expliquer. Il cherchait les bons mots. Certainement pour ne pas nous choquer ou, pour qu’on interagisse au plus vite.
Elle a un œil qui pisse le sang et l’autre est fermé. Elle marche dans la cours. Je crois qu’elle a besoin d’aide.
Aussitôt, Sophie, ma collègue se précipita vers la porte d’entrée. Elle regarda à gauche puis à droite. Mais elle ne remarqua pas cette étrange femme. Dès lors, elle rentra en fronçant les sourcils.
Es-tu certain d’avoir bien vu ? questionna-t-elle.
Le jeune homme soupira. Il répondit qu’effectivement, il s’était surement trompé. Toutefois, son visage montrait une certaine inquiétude. Il retourna à sa place mais eut du mal à se remettre à étudier. Les autres étudiants ne s’intéressèrent pas à lui. Ils lisaient, prenaient des notes…Bref, ils préparaient leur examen partiel.
Je restais derrière mon bureau et enregistrais les livres rendus. Puis je les rangeais dans des casiers en fonction de leur classification. En même temps, je m’amusais à connaitre quelle catégorie avait le plus de succès dans la journée. Je me souviens que c’était l’histoire de l’art. Curieux, car il n’y avait pas de section histoire de l’art dans l’université.
Tout-à-coup, un cri retentit dans la salle. Je courus voir de quoi il s’agissait. J’entendais des ‘chuts’ des étudiants les plus proches de la porte. Seulement, tout le monde, c’est-à-dire, la vingtaine d’élèves restèrent muets en découvrant la femme dressée derrière la baie vitrée.
Elle portait un chignon. Sa taille longiligne et tordu déformait son corps. On aurait cru un mannequin fabriqué avec un grand cintre. Elle portait un bouquet de fleurs. Mais surtout, le plus horrible : du sang coulait de son œil gauche, tandis que le droit restait fermé. Le sang se mêlait à sa robe noire, son décolleté brunissait atrocement. Elle ne semblait pas avoir mal. Peut-être était–elle juste droguée ? Pendant que les étudiants la regardaient avec inquiétude, Sophie retourna vers la porte après m’avoir demandé d’aller chercher la trousse à pharmacie, et d’appeler des secours.
Je courus récupérer une boite contenant le minimum médical lorsque j’entendis hurler :
Elle n’a pas d’œil !
En effet, la jeune femme venait d’ouvrir sa paupière droite, dévoilant un trou béant. Les jeunes se sentirent mal, quelques filles hurlèrent. Et soudain, un énorme fracas provint en même temps qu’un hurlement glacial. J’entendais les bruits de verre rebondir sur le carrelage de la grande salle. Je restais dans la pièce utilisée comme salle de repos à me demander quoi faire.
La porte demeurait entre-ouverte. Cependant, je ne pouvais rien voir de ce qui se passait. J’entendais simplement quelques pas résonner dans la bibliothèque. Mais ce qui me choqua fut le silence long, pénible, angoissant. Un silence anormal car ils étaient encore nombreux à étudier dans cette salle. J’avais soudainement froid. Et plus je tendis l’oreille, plus j’entendis une voix douce, une voix de femme triste :
Et un…et deux.
Elle se tut tout en claquant ses talons sur le carrelage, puis elle recommença :
Et un…et deux.
Personne ne réagissait, personne ne parlait. Je n’osais pas signaler ma présence. Il y avait quelque-chose d’horrible dans sa façon de marcher. De même, il y avait de la terreur dans sa façon de parler et de toujours répéter :
Et un…et deux…Et un…et deux…Et un… et deux.
Sans faire de bruit, j’approchai de la porte. Je voulais voir. Je voulais comprendre. Et je l’ai vue. La dame marchait entre les étudiants. Sa figure rayonnait de grâce malgré son atroce blessure à l’œil. Elle gardait toujours le droit fermé. Cependant elle savait où elle avançait, évitant de marcher sur les corps étendus.
Je regardais les étudiants. Ils ne bougeaient plus. Ils ne remuaient pas. Je n’arrivais pas à voir s’ils respiraient, si leur poitrine gonflaient et dégonflaient. La dame se positionna devant une jeune fille. Elle sortit une des fleurs de son bouquet avant de l’enfoncer dans l’œil gauche.
Et un…
Puis, elle se pencha, et à l’aide de ses doigts longs et pointus, elle arracha le second œil en disant :
Et deux…
Elle marcha vers une nouvelle victime. Et elle recommença son manège :
Et un…et deux.
Je ne pouvais rester. Cette chose à l’apparence humaine avait réussi à tuer les étudiants d’un seul cri terrifiant. Je ne me voyais pas intervenir pour la combattre. Je fermais la porte le plus doucement possible afin de l’empêcher de grincer. Malheureusement, il n’y avait pas de fenêtre. Alors, je me cachais bêtement sous la table dans le noir complet. C’était le seul endroit possible. J’espérais qu’elle n’entrerait pas, qu’elle ne remarquerait pas ma présence. Et toujours cette douce voix pourtant horrible :
Et un…et deux…et un…et deux…
Plus j’écoutais, plus je réalisais qu’elle approchait. Je sentais mon cœur battre à cent à l’heure. Je sentais sa présence derrière la porte. Hélas, je ne voyais rien, si ce n’est une silhouette sous la porte, à cause de la lumière du hall. La poignée bougea…la porte s’ouvrit dans un silence absolu. Une lumière apparut rapidement cachée par une longue forme noire. Je me sentais paralysé par sa présence dans la pièce.
Le spectre marcha en claquant ses talons. Il s’arrêta brusquement devant la table. Je restais assis, les jambes recroquevillées pour protéger mon visage. Je ne voulais pas lever la tête. Je fermais les yeux, je retenais ma respiration et attendis. Mon sang se glaçait soudainement. Elle demeurait immobile telle une statue de glace. Puis elle sortit en fermant la porte.
Je restais toute la nuit, sans dormir dans le noir complet, et dans cette position fœtale. J’avais peur de l’entendre revenir ou de la revoir. J’avais peur qu’elle me crève les yeux. Le silence dura jusqu’au matin.
Il y eut d’abord des cris. Puis, il y eut des sirènes. Il y eut des voix, de nombreuses voix. Et la porte s’ouvrit, la lumière s’alluma. Un homme vêtu d’un uniforme de policier me regarda avant de m’adresser la parole. Je n’ai pas répondu à sa question. Je suis resté muet, le visage blême, les yeux remplis de fatigue et de peur. Avec un de ses collègues, il m’aidèrent à me relever. Puis, des pompiers m’ont assisté et installé sur un brancard
J’ai juste eu le temps de voir, les yeux posés sur la table. Tous les yeux arrachés me regardaient, ils me dévisageaient comme s’ils cherchaient à me culpabiliser d’être le seul survivant. Et lorsque je sortis de la bibliothèque j’entendis un policier dire à son collègue :
Il est bon pour l’hôpital psychiatrique. Mais comment et pourquoi a-t-il fait tout ce carnage ?
J'ai mis longtemps avant de fermer l'oeil et d'arrêter de répéter: 'et un...et deux'.
Alex@r60 – août 2023
Histoire très légèrement inspirée d’une légende urbaine coréenne appelé : one two, one two.
Artwork par Josephine Cardin
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unknown171204 · 1 month
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Starmania 1979
Le Chanteur auteur et compositeur Michel Berger s'est un jour retrouvé captivé par un fait divers détonant ; Patricia Campbell Hearst la fille d'un milliardaire , enlevée par des terroriste avait rejoint leurs mouvement par amour pour l'un des garçons de la bande ! L'histoire le fascinera au point d'une mise en chantier d'un album et d'une futur comédie musicale autour de cette histoire , ce sera "Angelina Dumas" . Finalement le projet n'aboutira pas et seul subsiste du travail de M. Berger une chanson qu'il enregistra en duo avec sa femme également chanteuse : France Gall !
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Michel , frustré par ce qu'il considère comme un échec ne lâchera pas ce qu'il pense ( à juste titre) être un bon filon artistique , grâce à sa femme qui lui fera découvrir puis rencontrer la chanteuse canadienne Diane Dufresne, Michel va découvrir en personne son parolier Luc Plamondon avec qui il écrira l'opéra rock le plus connue de France : Starmania ( ou la passion de Johnny Rockfort selon les évangiles télévisés ) si on doit citer le titre complet !
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L'Histoire se passe dans un futur non daté ( malgré une référence aujourd'hui dépassé à l'An 2000 et aux années 80 ) , les Hommes vivent désormais dans des galeries souterraines ré aménager en une ville immense ; Monopolis . Plus personnes n'est heureux ni épanouies le seul mirage de bonheur des citoyens lambda est l'émission télévisé " Starmania " où tous et chacun peut devenir la star d'un soir.
Nous suivons la vie et les actions de plusieurs personnages :
Johnny Rockfort : un jeune terroriste anarchiste chef des étoiles noires .
Sadia : un / une étudiant (e) travestie co - créateurs ( trice) des étoiles noires .
Marie Jeanne : la serveuse désillusionner de " l'Underground café " .
Ziggy : un disquaire homosexuel mythomane et ambitieux .
Cristal : l' animatrice vedette de Starmania .
Stella Spotlight : une Sex - symbol dépressive sur le déclin .
Zéro Janvier : un politicien extrémiste concurrent pour la présidentiel de l'Occident .
Le Gourou Marabout : un politicien extrémiste également concurrent à la présidentiel de l'Occident .
Roger-Roger : le présentateur Tv présenter comme un évangéliste
L'album mettras un certain temps pour trouver son public , avec brio le duo Berger / Plamondon feront des pieds et des mains afin d'organiser la diffusion d'une émission télévisée spéciale en 1978, afin de présenter le futur spectacle et ses chansons :
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Le spectacle fut jouer pendant un petit mois pour 33 représentations au Palais des Congrès . Mais il reste l'une des plus grandes comédies musicales que la France n'a jamais connue.
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DISTRIBUTION :
Daniel Balavoine : Johnny Rockfort
France Gall : Cristal
Fabienne Thibeault : Marie-Jeanne
Étienne Chicot : Zéro Janvier
Diane Dufresne : Stella Spotlight
Grégory Ken : Ziggy
Nanette Workman : Sadia
Roddy Julienne : le gourou
René Joly : Roger-Roger
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Dû a sa courte présence sur scène le spectacle n'a malheureusement pas eu le droit à une captation mais heureusement l'audio du spectacle est elle disponible dans son entièreté ! Pour ce faire une idée de l'identité visuel du spectacles il faut fouiller dans les archives TV :
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Les répétitions :
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L'audio complet du spectacle :
LES SINGLES :
Une grande partie des chansons du spectacles sont considérer comme culte , les plus connus sont Monopolis , quand on arrive en ville , le blues du business man, la complainte de la serveuse automate un garçon pas comme les autres et le monde est stone .
Mais la chanson la plus mémorable est sans surprise : SOS d'un terrien en détresse , une chanson réputée inchantable qui lancera la carrière de Balavoine et des années plus tard celle du gagnant de la star academy 4 : Grégory Lemarchal .
ANECDOTES :
L'album original contient deux chansons absente du spectacle finale :
Petite Musique terrienne Partie 2
L'air de l'extraterrestre
Cet extraterrestre est un personnage supprimé qui n'est apparu physiquement que dans une seule production ( 1986 Québec) On découvrait que Roger-Roger était en réalité un extra-terrestre en visite ! la chanson , ou plutôt son refrain / son thème musicale à été recyclée dans plusieurs versions ultérieur .
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Le spectacle contient également plusieurs chansons inédites et absente de l'album qui pour la majorité ne serons jamais réutilisé !
la serveuse et les clients
jingle de Stella
Sex shops , cinéma porno
Les parents de Cristal
Le tango de l'amour et de la mort
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La romance entre Johnny et Cristal , est clairement inspiré de Angelina , le projet de base de Michel Berger , la boucle est donc bouclée !
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Si Claude Dubois ( Le Zero Janvier de l'album original ) ne jouera jamais le rôle sur scène c'est malheureusement à cause de ses addictions à la drogue , Michel Berger qui lui chanter la première version de " Paranoïa " laissera sans explication son rôle de gourou à Roddy Julienne .
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Dans cette version en plus d'agresser au hasard des gens aisés dans la rue, de rayer leurs voiture et de violer des filles dans les parkings , les étoiles noirs de 79 sont un poil plus extrême que dans les autres versions ( les paroles original les décrit au passage comme des zonard jusque dans la version rouge de 1988 ) dans le spectacle Roger Roger précise dans un de ses flash info que les terroristes ont volontairement débrancher les ventilations d'oxygène d'un quartier entier tuant tous ses habitant ! Ce meurtre gratuit sera effacer des autres versions .
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Le nom de Johnnie Rockfort n'est peut être pas un hasard , le producteur du spectacle Roland Hubert n''étant pas convaincu par Balavoine complètement inconnu à l'époque à mené bataille auprès de Berger pour que le rôle soit offert à Johnnie Halliday !
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Le jour ou Balavoine à LITTERALEMENT tabasser un spectateur :
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Coluche qui discute de Starmania et de Balavoine avec Berger :
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France Gall parle de Starmania :
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Pour plus de Starmania
ou pour découvrir d'autres comédie musical française :)
Lien Masterlist : https://www.tumblr.com/unknown171204/748996810302980096/masterlist?source=share
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profenscene · 1 year
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Mercredi 17 mai
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Dans le dessin animé Utena, il y a ce moment qui se répète dans chaque épisode. L'héroïne doit gravir, marche après marche, un escalier en haut duquel l'attend un combat. La musique qui l'accompagne m'a toujours paru sinistre. Du synthé bien 90's, des chœurs à la fois graves et aigus.
Quand j'étais adolescent, j'ai cru que ce serait comme ça, ma vie. Difficile et triste. J'aimais pas trop mes semblables, alors. Et quand j'ai découvert ce qu'était la vie sentimentale adolescente, ça m'a paru rajouter de la souffrance. Je ne voulais pas de ça. Je partais du principe que c'était obligatoire et que les autres faisaient ça parce que c'était obligé. Qu'il fallait éprouver du déplaisir mais sourire.
Un ou deux ans et je pige que ce n'est pas ça, le souci. Le souci, c'est que j'aime les garçons, pas les filles. Et d'un coup, l'escalier me semble bien plus haut. Bien plus emberlificoté. Brutalement, je suis devenu cet être fictif qu'on s'amuse à balancer vers les autres pour les insulter : le pédé, la tapette, la fiotte. On reçoit cette effigie avec un rire de dégoût et on la rebalance à d'autres. On ne s'est pas fait grand-mal, on sait qu'on n'est pas cet hideux pantin.
Sauf que je le suis.
On est dans les années 90. On parle davantage "des homosexuels". Mais avec prudence. Comme si on ignorait encore s'il faut accepter le mot, le bannir, le traiter avec compassion, commisération ou sévérité. Je regarde avec terreur "Ceux qui m'aiment prendront le train", en compagnie de mes parents. "Ce doit être tellement, tellement difficile." entends-je. L'homosexualité, dans ce film, est complexe, claustrophobe, inévitable. Je frissonne. Ce sera ça ma vie. Pas totalement, je le sais, je suis pas idiot. Mais il va y avoir un germe de nuit, de souffrance. Ce sera le tronc d'où pousseront les branches de ma vie.
J'habite dans de petits villages. Pas vraiment le moyen de parler. Et puis, socialement, je suis hyper maladroit et renfermé. Je rêve. Je tente d'analyser. Est-ce que c'est parce que mon premier 45 tours, c'était les Rita Mitsuko ? Que quand j'étais môme, je voulais être davantage Viviane que Merlin ?
Ça recouvre tout le reste de gris. Je ne veux pas passer ce manteau qui est le mien. Alors je décide que la vie sentimentale, je la dissimulerai aussi longtemps que possible. C'est cool, ça fait de moi un bon élève, un étudiant assez brillant.
Heureusement, le monde, autour de moi, change. Des gens luttent, très fort. Je n'aurai pas participé à ce combat. Paralysé et ignorant.
Utena, ce sera le symbole de ces rayons de lumière générés par des humains qui auront lutté pour que, pas à pas, nous puissions commencer à exister. Une jeune fille veut devenir un prince pour sauver une princesse captive. Il existe des fictions comme celles-ci, il existe d'autres manières d'envisager l'existence. Et petit, à petit, extrêmement doucement, je vais découvrir que tout n'a pas à être gris, hostile et tordu. Dans les derniers épisodes d'Utena, ils remplacent l'escalier par un ascenseur qui monte vite, de plus en plus vite, vers l'action, vers l'essentiel, vers le combat dont dépend la vie des deux héroïnes.
Mon histoire m'appartient, il est tout à fait possible - probable - que personne n'éprouve la même chose que moi.
Il n'empêche.
Il n'empêche que j'ai désormais les possibilités physiques et intellectuelles de me battre, pour que ces droits, qui m'ont été attribués par d'invisibles et héroïques présences, soient préservés et amplifiés. Pour que plus jamais on ne pense que la vie sentimentale n'est qu'une souffrance ajoutée à celles que l'on combat déjà. Pour que plus jamais un adolescent ne referme silencieusement sur lui le couvercle d'un cercueil de tristesse ou d'indifférence.
Pour que personne ne meure d'éprouver ce que j'ai éprouvé.
Et cette volonté, il ne se passe pas un jour sans qu'elle n'enflamme ce que je suis.
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calydriarpg · 1 month
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Les tenues au sein de l'armée et de l'académie.
Le style vestimentaire des combattants d'Erydor change en fonction de leur unité (défini par leur académie) cependant une fois sur le front, ils se doivent tous de porter la même tenue.
D'abord les tenues d'apparat servant pendant les cérémonies et représentation officiel :
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Passons à la tenue globale d'un soldat. Pour les bottes, nous avons deux versions :
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Les élémentaristes de l'air et chevaucheurs aiment avoir beaucoup d'emplacement pour le poignard, étant des unités se battant beaucoup à distance.
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Les armures peuvent être mises rapidement grâce à un système développé par les alchimistes, cependant des mesures régulières doivent être prises selon les changements physiques des soldats. Les armures sont composées à base d'écaille de dragons qui sont résistants à beaucoup de projectile.
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Les ceintures ne sont ni obligatoire ni réglementé, elles sont propres à chacun.
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Tenue d'entraînement commune à chacune des académies. C'est aussi la tenue qu'ils doivent utiliser sur le front lorsqu'ils sont en missions durant leur année de formation.
Argenfels (région) + académie des chevaucheurs
Région très montagneuse avec des pics en aiguille. L'académie se trouve entre deux montagnes et les étudiants ont souvent des cours d'escalade dangereuse les formants à la monte de leur monture dans des conditions difficiles.
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Les tenues officielles des chevaucheurs sont les suivantes :
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À base de cuir souple fourré de laine dans les pantalons et les gants pour tenir chaud pendant les vols. Le haut est facilement relevable pour que les cavaliers ne meurent pas de chaud en été lorsqu'ils sont en tenues de vol sans être dans le ciel.
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Ces tenues sont autorisées dans l'enceinte de l'académie, mais sont interdites pour les sessions de vols, car non réglementé. Elles sont plus légères et agréables à porter pour les étudiants qui les préférés la plupart du temps surtout pendant l'été.
Les chevaucheurs sont principalement des combattants aux dagues et armes à distance comme l'arc. Ils sont un soutient aérien aux autres unités et ne sont pas censés se retrouver sur la terre ferme sans leur Ethéria.
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Drakonia (région) + académie des élémentaristes
Entouré de cascade, de montagne. Cette région est celui qui à l'environnement le plus ancré de magie de chaque élément.
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Les tenues officielles pour les élémentaristes sont les suivantes :
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Elles représentent le mélange de chacune des couleurs et particularité des six éléments. (À noter que sur la tenue de droite le soleil au niveau du plexus solaire n'existe pas sur les tenues de base, mais peuvent toutefois apparaître selon vos personnages).
Il est cependant possible d'opter pour des versions moins colorées pour ceux préférant les tons neutres.
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Les armes utilisées par les élémentaristes sont évidemment leur pouvoir, mais parfois, il faut également savoir se défendre avec des armes, c'est pourquoi ils sont spécialisés dans le maniement des armes long comme des bâtons, des sabres, mais également des étoiles (pour les élémentaristes d'air qui les envoient grâce à leur pouvoir).
Valatoria (région) + académie des alchimistes
Isolé sur le rebord d'une montagne permettant de faire des tests sur les inventions sans mettre en danger les populations alentours ni l'environnement. L'académie est difficile d'accès, car le chemin est long en vue de la hauteur de cette dernière.
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Les tenues officielles pour les élémentaristes sont les suivantes :
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Il existe une version avec pantalon (pour l'image de droite) voir de robe pour ceux préférant ce type de vêtements.
Les alchimistes sont censés être sur l'arrière front contrairement aux élémentaristes et chevaucheurs. Ils apprennent à se défendre, mais ne sont pas forcément spécialistes dans les arts martiaux ni au combat avec des armes, car ils ne sont pas censés se retrouver en contact direct avec l'ennemi. Leur présence se repose sur leur capacité à fournir des potions, runes et réparer les équipements. Ils participent tout de même à des cours de self défense, bien que moins poussés que dans les deux autres académies.
J'espère que ces présentations vous auront plu et vous permettront de vous mettre directement dans le bain pour vos personnages !
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