Tumgik
#⠀⠀le printemps me manque .. ⠀
doeyun · 3 months
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一外の雨にさえ気付かない 。
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lerefugedeluza · 2 months
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mmepastel · 4 months
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Quelle découverte !
Toujours pas remise de ma lecture de Gorge d’Or, roman finlandais de cette dernière rentrée littéraire, je cherchais un livre qui puisse lui ressembler, au moins un peu… ça m’a conduite, par ricochets divers, à la découverte de cet écrivain norvégien, né à la fin du XIXe et mort en 1970. Tarjei Vesaas. Un inconnu total pour moi… quoique.. j’avais lu dans Télérama une critique au sujet de ce qui est considéré comme son chef-d’œuvre : Les oiseaux, nouvellement traduit aux éditions Cambourakis.
Alors. Le palais de glace n’a rien à voir avec Gorge d’Or. Mais c’est une merveille. Une lecture qui ressemble à une expérience entre veille et sommeil. Les commentateurs l’identifient comme un conte symboliste, ça me paraît pertinent. Cela ressemble à un conte énigmatique qui parle d’enfants, mais ne leur serait pas vraiment destiné. Ou peut-être que si, s’ils lisent avec les yeux fermés (façon de parler), avec leurs rêves accessibles, sans attendre d’action tonitruante, en écoutant leurs émotions les plus incompréhensibles.
Vous avez le résumé de la nouvelle traduction de l’édition la plus récente. Ce n’est pas celle que j’ai lue, j’ai lu le livre dans l’édition GF, plus ancienne. Je ne peux juger de l’amélioration apportée ou non par Jean-Baptiste Coursaud, mais je serais curieuse de lire cette autre version.
Ce que je peux dire pour l’instant, c’est que le style de l’auteur est très simple. Il progresse dans son récit par petites touches, petites phrases plutôt courtes, qui ne sont pas complexes mais qui sont bien souvent énigmatiques. Il semble vouloir rendre compte des émotions successives et étranges que les petites filles éprouvent l’une pour l’autre, puis à l’égard de quelque chose qui les dépasse, ou bien qui les submerge.
L’attention à la nature est admirable. On passe de l’automne au printemps, du début de la formation de ce palais de glace (une cascade gelée) à son effondrement. Siss, l’une des deux fillettes, passe de l’innocence à la tristesse puis à la tentation nouvelle d’une vie autre qui coïncide au printemps où un garçon la trouble, mais elle ne veut pas trahir son amie avec laquelle elle a passé un pacte impérieux.
Je ne vais pas enfermer ce récit dans mon interprétation, mais je me contenterai de lancer quelques pistes. Les deux fillettes qui s’adorent évoque pour moi quelque chose de tout à fait concret, la dévotion enfantine que l’on peut avoir en amitié ne me paraît pas du tout saugrenue. Elle peut aussi revêtir une dimension symbolique puisque les deux fillettes sont apparemment opposées. On peut se demander si la perte de lune par l’autre ne correspond pas au passage de l’enfance à l’adolescence, qui va de pair avec l’envie de réconfort en même temps qu’un malaise soudain vis à vis des parents.
Peu importe, ce sont des fils, des chemins, tracés dans la neige, des lueurs qui vibrent à travers les parois du palais de glace, si beau, si mystérieux ; un refuge, un danger, un lieu de rêve, un secret, un tombeau. Au lecteur de se laisser prendre par la main par le narrateur qui pose des questions et des bouts de réponses comme des cailloux scintillants dans son récit, au lecteur de les ramasser en fonction de la résonance qu’ils créent en lui. La dimension onirique est si présente qu’elle fait du récit un texte qui résiste à l’analyse, ce qui permet sûrement de survivre aux années, et font de lui un joyau qui est célèbre en Norvège, et qui se fraie apparemment enfin un chemin jusqu’à nous. Une lecture marquante.
PS : c’est chouette de le lire fin décembre, dans un monde qui manque singulièrement d’enchantement. Une lecture qui m’a rappelé Michel Tournier ou Karen Blixen.
PS 2 : j’ai mis la 1ère de couverture de l’édition anglaise de Pinguin Books parce que je la trouvais belle.
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aisakalegacy · 27 days
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (10/20)
Malgré le manque de légèreté de nos conversations, cela m’a fait plaisir de revoir mon ancien camarade. D’ailleurs, à l’heure où je vous écris, il est maintenant fiancé : il a correspondu toute la guerre avec celle qu’il pensait voir devenir sa future belle-sœur, Marie Rumédier, dont je vous parlais plus tôt, qui lui a remonté le moral et permis de tenir dans les tranchées. Quand Earnest Simmon l’a délaissée pour ma fille alors qu’elle se remettait à peine de la disparition de son frère, il lui a finalement rendu la pareille…
[Transcription] Jules Le Bris : Je suis heureux de voir que ton moral n’a pas pris de coup. Bert Simmon : Pour tout de dire, si, il en a pris, et mon frère te dirait sûrement que je bois trop. Mais on avance, hein ? Jules Le Bris : Tu sais, ça fait des mois que je me demande ce qu’il se serait passé si j’étais resté avec vous. Jules Le Bris : Rumédier a disparu, Zéphir est mort… Et nous, on reste debout. Qu’est-ce qu’on a de plus qu’eux ? Jules Le Bris : J’ai été réformé si tôt… Et vous, vous êtes restés dans la boue et dans le feu. Bert Simmon : Tu y as laissé ta jambe, Le Bris. Elle est déjà payée, ta dette. Jules Le Bris : Je sais que c’est irrationnel, mais j’ai souvent le sentiment de vous avoir abandonnés. Bert Simmon : Tu n’y es pas. Le petit, et moi, et même Rumédier, on se disait souvent : « qu’aurait fait Le Bris ? ». Quel que soit l’obstacle, on se disait que toi, tu y aurais survécu, avec peut-être une balafre en plus ou deux. Tes histoires d’ours et de persévérance, même après ton départ, elles nous ont aidé à tenir. Jules Le Bris : La cérémonie va bientôt commencer… Bert Simmon : J’ai compris. C’est une petite île, on se recroisera. Je connais deux ou trois vétérans. On aime bien se retrouver pour manger un morceau, boire un coup, et discuter un peu. Je te présenterai à l’occasion. Jules Le Bris : Les bottines doivent suivre les babines, comme on dit. Bert Simmon : Je m’y tiendrai !
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ernestinee · 1 year
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Bon ça va ? Ça ne va pas ? J'en sais rien en fait on est en mars et au lieu de me réjouir du printemps qui va bien finir par arriver, je suis en boucle sur des trucs douloureux, que dis-je, sur un seul truc douloureux qui date d'il y a un an bientôt tout pile quand il a décidé que ce que nous étions chamboulait trop sa vie. Totalement d'accord avec lui. Quel chamboulement. Cela dit, ça reste chamboulé alors que nous ne sommes plus rien donc utilité zéro son ghosting de merde là. En plus je suis sûre qu'il n'est pas fier de lui donc franchement technique de merde le ghosting faites pas ça c'est nul.
Est ce que je laisse un évènement passé prendre l'ascendant sur tous les évènements du moment ? Absolument. Je suis en colère et je déteste ça. Pourtant il y a plein de trucs positifs en ce moment. L'amitié, le boulot, la fin de ma grosse formation qui dure depuis 3 ans et les projets que ça va pouvoir démarrer, la nouvelle formation qui se profile à l'horizon, le challenge que représente le spectacle de trapèze, les nouveaux apprentissages... C'est ça la vie peut-être on laisse des petits trucs prendre trop d'importance c'est normal d'être subjectif on n'est pas des robots. Enfin bref du coup je suis en mode colère tristesse nostalgie, même qd il se passe un truc chouette.
Je pense à tout ce qui n'est plus là. En plus il a fait mauvais pendant mes congés et ensoleillé juste après. En plus mon chat me manque tellement. Oreo et Muffin sont sympas mais bien sûr c'est différent d'un chaton d'amour qui a partagé ma vie pendant 17 ans. Ils m'ont quand même sentie triste depuis quelques jours et dorment près de moi la nuit, du coup j'ai un peu mieux dormi.
J'essaie de me focaliser sur des anciennes sensations. L'autre jour en voiture j'ai bien aimé les ombres entremêlées des branches d'arbres. Quand j'étais petite, je fermais les yeux et ça clignotait rouge noir rouge noir rouge noir super vite.
Bon, je conduisais, j'ai pas fermé les yeux.
Il y a aussi eu la mousse au chocolat de Michel et Célestin, ou Lucien et Augustin ? Qqchose dans le genre, une marque qui joue très fort sur le "comme si c'était fait à la maison il y a longtemps par la grand-mère" et ohlala leur mousse au chocolat c'est pépite.
Ah et il y a aussi eu un rêve familier que j'avais totalement oublié et qui est revenu. Depuis super longtemps, mais genre vraiment longtemps, depuis l'adolescence, je rêvais régulièrement que j'etais étudiante dans une école un peu cosy avec des vieilles boiseries, des petites classes où on étudie des trucs intéressants dans une bonne ambiance. Avant j'avais limite une seconde vie dans ce rêve, je le faisais souvent et il se passait des trucs absolument pas bizarres, j'étais juste étudiante, et ma petite vie d'étudiante avec des potes évoluait la nuit lors de ces rêves. Ça doit faire 15 ans que je n'avais plus rêvé de tout ça. Et la nuit passée hop me revoilà à l'école, toujours étudiante mais il y avait quand même la notion de "ça fait longtemps" pcq une pote me faisait la gueule pcq je n'étais plus venue depuis trop longtemps, et une autre - mon amoureuse - était super contente de me revoir. Je l'avais oubliée aussi mais elle m'a reconnue de dos pcq j'étais arrivée en classe avant elle et elle m'avait fait un bisou sur la joue en frôlant mes omoplates avec ses doigts. Puis alors qu'elle était assise, je me suis assise à côté d'elle en l'embrassant sur la bouche. J'ai encore la sensation du bisou là maintenant en écrivant. J'étais un peu deg de me réveiller du coup.
Puis j'ai fait un autre rêve qui a aussi mis en scène une personne du passé. C'était une longue accolade très douce dont j'essaie de ne pas perdre la sensation parce que j'en avais bien besoin.
Bref mon inconscient a bien compris que j'avais besoin d'ancrage, de retrouver des racines, des socles, parce que trop de choses m'émeuvent en ce moment.
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angelkarafilli · 7 months
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Paul Éluard born Eugène Émile Paul Grindel was a French poet and one of the founders of the Surrealist movement.
In 1916, he chose the name Paul Éluard, a matronymic borrowed from his maternal grandmother. He adhered to Dadaism and became one of the pillars of Surrealism by opening the way to artistic action politically committed to the Communist Party.
During World War II, he was the author of several poems against Nazism that circulated clandestinely. He became known worldwide as The Poet of Freedom and is considered the most gifted of French surrealist poets.
Tout dire
Le tout est de tout dire, et je manque de mots
Et je manque de temps, et je manque d΄audace
Je rêve et je dévide au hasard mes images
J΄ai mal vécu, et mal appris à parler clair.
Tout dire les roches, la route et les pavés
Les rues et leurs passants les champs et les bergers
Le duvet du printemps la rouille de l΄hiver
Le froid et la chaleur composant un seul fruit
Je veux montrer la foule et chaque homme en détail
Avec ce qui l΄anime et qui le désespère
Et sous ses saisons d΄homme tout ce qui l΄éclaire
Son espoir et son sang son histoire et sa peine
Je veux montrer la foule immense divisée
La foule cloisonnée comme un cimetière
Et la foule plus forte que son ombre impure
Ayant rompu ses murs ayant vaincu ses maîtres
La famille des mains, la famille des feuilles
Et l΄animal errant sans personnalité
Le fleuve et la rosée fécondants et fertiles
La justice debout le pouvoir bien planté
Pouvoir Tout Dire (1951)
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tournesolaire · 1 month
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La vie retrouve le goût du printemps
Le soleil a chauffé ma peau aujourd'hui
Ce matin je me suis presque mise en retard parce que je voulais absolument profiter du contact de sa peau contre la mienne. Ça me manque, ça me manque vraiment beaucoup
Je me suis préparée et j'ai essayé de me faire un peu jolie avec ce que j'avais à disposition pour passer une bonne journée puis hophophop direction la terrasse de la fac
Le cours de civilisation était super intéressant mais sur le TD j'en ai surtout profité pour regarder des vidéos sur Perpignan et regarder les appartements sérieusement, et waaaaw
Les apparts la bas c'est vraiment pas comme ici. Tout est si peu cher mais tellement grand, presque tous les appartements ont une terrasse (orientée plein sud en plus 🥹), une cave et une place de parking et puis surtout ils sont tous super super lumineux avec DES SOLS EN MOSAIQUE D'ORIGINE POUR LA PLUPART !!! Vraiment je me projette tellement
J'ai vraiment hâte de vivre là-bas même si tout ce qui va arriver avant et le processus me font peur
Ce midi j'ai mangé à la cantine avec Nathan c'était trop bien, j'ai mangé un repas complet et j'ai même pu prendre un kiwi pour le goûter hehe :)
En sortant on a beaucoup papoté au soleil et puis on a fini chez lui pour qu'il étende sa lessive
On est allés en culture visuelle, c'était long comme à chaque fois mais c'est pas grave. Quand le cours s'est terminé je suis rentrée a l'appartement pour prendre mes affaires et rentrer mais mon amoureux m'attendait ?
Enfin je veux dire, il m'attendait vraiment, il m'a dit que je lui avais manqué. Il m'a fait plein de câlins, de sa propre initiative
Il m'avait même attendu pour manger (il savait pas que j'avais déjà pris mon repas :/) et en plus il m'avait roulé un joint pour que je me pose en rentrant ? Il m'a fait des bisous aussi
Ça m'a vraiment fait plaisir
J'aimerais bien que ça redevienne notre quotidien tout ça
J'aimerais vraiment
J'ai hâte qu'on soit de nouveau heureux, chacun individuellement et ensemble
(ah oui et sur la route pour rentrer j'ai pris une dame en stop)
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rayondelun3 · 2 months
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Le printemps arrive. J'ai hâte du printemps, des fleurs... Les magnolias sont magnifiques et les jonquilles fleurissent un peu partout.
Aujourd'hui j'ai prié fort pour qu'on m'arrache de la salle d'attente. Il y avait des types étranges qui me faisaient flipper. Mon infirmière part dans un mois et je compte lui offrir des chocolats avant qu'elle parte... Ou peut-être quelque chose d'autre à manger mais des chocolats c'est plus commun et ça fait moins bizarre ? Je lui ai demandé si c'était ok. Elle m'a dit que j'étais « toute belle » alors que bon j'étais à peine maquillée et je portais mon leggings avec une robe et un haut (assez habillé remarque). Elle m'a aussi dit que je la faisais souvent rire - quand je vais mieux évidemment quand je suis en rechute j'ai du mal à la faire rire.
J'ai enfin remonté un peu la pente. Il y a cette peur des gens et ce stress quand je suis avec eux - y compris mes amies proches, qui s'est installée et qui ne part pas.
J'ai un dossier à rendre pour la semaine prochaine. J'espère ne pas faire de hors sujet parce qu'on me demande 9 pages et je me connais... J'écris comme je parle même si je fais plus attention dans mes devoirs. Je pense qu'il faudra que je prenne le temps de faire une double correction (voir triple mais ce sera trop risqué vu que c'est à rendre pour jeudi).
J'ai perdu du poids et ça c'est vraiment chouette.
Il faut que je m'occupe de ce devoir et de ma chambre.
Liam a eu 21 ans... Je ne l'ai pas vu grandir. Il me manque. Mais je pense que je le revois bientôt.
Photo : Elly qui m'a demandé de l'accompagner pour lui montrer comment on empruntait un livre à la BU ; je m'en suis occupée telle une professionnelle haha. Foutue BU qui ne m'a pas embauchée...
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selidren · 10 months
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Printemps 1906 - Champs-les-Sims
13/19
Albertine, ainsi que Grand-Mère peu de temps après, s'est aperçue qu'elle portait un enfant. Elle a attendu plusieurs mois, le temps de profiter encore un peu de leur lune de miel, mais elle n'avait pas envie de donner naissance à son enfant loin de son foyer. Foyer qu'elle n'avait d'ailleurs pas eu le temps d'apprivoiser. Au cours des semaines suivantes, nous avons fait les préparatifs et la chronologie de sa grossesse n'a cessé de changer. Un jour elle pensait être à quelques mois du termes, parfois plus, parfois moins. D'où l'urgence de la faire voir par un médecin du cru au plus vite. Elle était par ailleurs fort indisposée de ne pas pouvoir anticiper la date de la naissance.
Une fois rentré, nous l'avons laissée se reposer quelques jours. De mon côté, j'ai été assez peu présent car les retrouvailles avec mon épouse et mes enfants ont été effusives. Ma fille ne me reconnaissait pas, ce qui m'a brisé le coeur et m'a fait jurer en mon fort intérieur de ne plus les laisser aussi longtemps. J'ai donc passé du temps à tisser de nouveaux liens avec elle. Par la suite, mes affaires professionnelles laissées en suspens m'ont grandement absorbé.
Quand je suis revenu aux préoccupations de Constantin, très anxieux à l'idée de devenir père, le médecin avait rendu un verdict inattendu. Il pensait pouvoir se tromper mais qu'il avait entendu plusieurs battements de coeur distincts pendant l'examen. Il pense donc que la grossesse est moins avancée qu'escomptée. Albertine doit apparemment s'attendre à mettre au monde au moins trois enfants selon lui. Constantin n'a pas semblé excessivement paniqué face à la nouvelle, commentant simplement que du coup, cela remontait à leur visite du cénotaphe. Quoi que cela veuille dire.
Transcription :
Albertine : L'Egypte te manque, pas vrai ?
Constantin : Oui, mais c'était important de rentrer pour prendre soin de ta santé. Tu es mon épouse et je t'aime, alors ta santé est importante pour moi.
Albertine : Qu'est-ce qui te tracasse alors ?
Constantin : Je ne sais pas comment faire pour être père.
Albertine : Cela s'apprend sur le tas j'imagine. Comme tu as fait en Egypte avec Monsieur Hautbourg.
Constantin : Ne le prends pas mal, mais je n'ai jamais eu envie d'avoir des enfants. Je sais comment... et bien comment cela arrive, mais je ne pensais jamais que cela arriverai vraiment.
Albertine : Si tu ne voulais pas en avoir, il fallait me le dire. Je me serai procuré de quoi faire en sorte que nous n'en ayons pas.
Constantin : Je le sais, c'est ma faute. Pardon. Je ne t'ai jamais posé la question, mais tu veux avoir des enfants ?
Albertine : J'en ai toujours voulu, mais j'aurai été d'accord pour attendre. Nous aurions du en parler bien avant, à présent c'est trop tard. Et ne t'inquiète pas, je suis heureuse. Et toi ?
Constantin : Si toi tu l'es, moi aussi. Je demanderai à Adelphe comment faire pour bien s'occuper de ses enfants. Alexandre et Emma ont l'air heureux, je dois donc le prendre pour modèle.
Constantin : Hum... je n'entends rien. Les enfants de cet âge ne sont pas très bruyants.
Albertine : Bientôt, il donnera des coups. Je te ferai sentir.
Constantin : Quand j'y réfléchis, c'est plutôt une bonne chose pour moi d'avoir un enfant. Grand-Mère m'a toujours dit que c'était mon devoir d'avoir un héritier pour perpétuer le nom et l'héritage de la famille. Je devrai peut-être nommer l'enfant moi-même dans ce cas.
Albertine : C'est vrai que c'est la prérogative du mari. Tu as déjà des idées ?
Constantin : Si c'est un garçon, nous le nommerons Khäemouaset. Si c'est une fille, ce sera Nebettaouy.
Albertine : Réflexion faite, il me semble que la mère de l'enfant à aussi son mot à dire.
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bea-lele-carmen · 2 months
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Ce soir je serai la plus tendre quand tu me diras, diras
Tous les mots que je veux entendre murmurer par toi, par toi
Je fonde l'espoir que la robe que j'ai voulue
Et que j'ai cousue point par point
Sera chiffonnée et les cheveux que j'ai coiffés
Décoiffés par tes mains
Quand la nuit refermait ses ailes, j'ai souvent rêvé, rêvé
Que dans la soie et la dentelle, un soir je serai la plus belle
La plus belle pour aller danser
Oui, la plus belle pour aller danser
La plus belle pour aller danser
Tu peux me donner le souffle qui manque à ma vie
Dans un premier cri de bonheur
Si tu veux ce soir cueillir le printemps de mes jours
Et l'amour en mon cœur
Pour connaître la joie nouvelle du premier baiser, je sais
Qu'au seuil des amours éternelles il faut que je sois la plus belle
La plus belle pour aller danser
La plus belle pour aller danser
Oui, la plus belle pour aller danser
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mrlafont · 2 months
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Tristesse infinie de constater que je ne parviens toujours pas à surmonter certaines faiblesses. L'impression d'avoir colmaté les failles par lesquelles elles s'engouffrent, principalement l'alcool, les centres d'intérêts inutiles, mais je n'atteins pas la source du problème qui est un terrible manque de confiance en moi et une terrible inaptitude au bonheur. Je sais tout, pourtant je ne peux rien. Je sais tout, j'ai toutes les bonnes raisons de prendre confiance en moi, tout sauf le pouvoir de me changer moi-même, d'appliquer cette compréhension à mon esprit et mes sens. Rien à faire, je m'autodéprécie, je me compare, je me trouve ennuyeux, plat, je sens que je n'ai rien à dire, au fond je sais que je ne suis pas heureux. Moi qui revendique gaieté, légèreté, joie, rigolade first !, si je fais de tout cela des lignes de conduite absolues, si je suis sûr de ces choses, si je crois dur comme fer qu'elles contiennent tout ce qu'il faut pour être heureux dans la vie, je ne parviens pas totalement à les faire miennes. Je ne sais pas pour moi où est la joie, dans quoi est la joie. Je ne sais pas si c'est moi qui possède une tristesse fondamentale ou bien si les autres ignorent leur malheur, mais quelque chose en moi m'empêche d'éprouver une joie profonde, radieuse, totale. Mon âme est fêlée. Tout me semble pourriture et je n'arrive pas à être du côté du printemps des choses. Pourtant je sais bien que tout n'est qu'une question de voir le verre à moitié plein ou à moitié vide, et que la vie sans cesse renouvelée semble être le but de ce duel perpétuel. Et pourtant mon cœur s'affole, se renfrogne, tombe dans l'estomac, et c'est la nausée, l'asphyxie, la bouche sèche d'angoisse. L'amour semble un duel où je ressors perdant encore une fois. J'essaye, pourtant, de garder la tête haute, la tête hors de l'eau, je prends sur moi, je sers les dents, je souris, mais c'est difficile. J'ai besoin de retrouver confiance en la vie, confiance en moi-même, besoin de trouver ma place, mon terrain de jeu où déployer et jouir de mes capacités à exister. Fatigue du métier, aussi, avec ce sentiment d'humiliation devant un labeur qui ne semble pas toujours avoir de sens, quand d'autres gagnent bien mieux leur vie en faisant un métier bien moins épuisant. Je l'ai choisi, certes. Je ne saurais pas quoi faire d'autre. Fatigue, bien évidement, de l'époque, de sa médiocrité. Cela je l'ai dit mille fois. En bref, le cœur du problème est que je n'arrive pas à me suffire moi-même, et de trouver vraiment des choses qui m'apportent une joie réelle. Bien sûr, l'idée de fonder une famille me plait, mais pour cela il faut avoir confiance en l'amour qui nous porte.
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 15
Mon dernier passage chez la mère de Jean pour l'hivernage du jardin vient d'avoir lieu.
Quand j'arrive, elle est là à m'attendre. Je lui dit bonjour alors qu'elle se colle à moi, en manque depuis 4 semaines que je ne suis venu. Elle me dit de la baiser avant même le travail car sa chatte est brûlante d'envie. Je la calme de suite en lui rappelant que d'après ce que je sais, elle n'est pas restée en jachère très longtemps et que je sais qu'elle s'est fait des puceaux entre temps ! Elle rougit et m'explique que son fils Jean la fait chanter et qu'il lui amène des copains pour les dépuceler.
Je lui demande si ils ont profité de son cul ? Elle me dit que non, seulement de sa chatte. Je lui dis alors qu'à partir de ce jour, moi seul pourra utiliser ce trou. Qu'elle continue avec son fils et ses potes avec sa chatte et pour le prouver, je la pousse dans la salle à manger, lui écrase les seins sur la table et après lui avoir écarté les jambes et enfilé une Kpote (lubrifiée quand même) je lui fais le cul. Ma pénétration à la hussarde de son anus lui arrache un cri dans une velléité d'esquive, bloquée par le meuble.
Les deux mains posées sur ses épaules pour qu'elle ne puisse se relever et pour bien ancrer mon pieu au fond, je la lime à grand coups de reins. Le bruit de la table glissant sur le parquet attire Jean. Comme je le vois en train de bander, je lui dis de s'installer devant sa mère pour qu'elle lui taille une pipe. Pendant que nous faisons coulisser nos bites dans sa mère, je l'informe des nouvelles règles, lui précisant que lui et ses copains pourrons utiliser sa bouche et sa chatte mais que son cul m'est réservé. Je me libère dans la Kpote quand Jean retourne à sa mère une partie de lui même (c'est cyclique !). Alors que je pars dans le jardin travailler, je demande à jean de me retrouver plus tard car cela fait longtemps que je ne me suis fait son cul.
En fin de journée, il me rejoint sous la douche. Il me sèche, puis se met nu. Je lui demande de Kpoter ma bite raidie par les frottements/massages de la serviette. Je le soulève, il n'a pas pris un gramme depuis que je le connais (mais aussi, vu les exercices auxquels je le contrains, le contraire serait étonnant). Je positionne mon gland sur sa rondelle et le relâche pour qu'il s'enfile ma bite jusqu'aux couilles tout en l'empêchant de basculer en arrière.
A sa mère venue grappiller une séance de sexe supplémentaire, je dis qu'elle devra se contenter des dépucelages jusqu'au printemps ! (c'est faux mais ça me fait tripper qu'elle le croit !) et je continue la défonce en règle du cul de son fils. Mes mains posées sous ses fesses, je le fais coulisser sur ma queue. Sa mère encore présente, Jean fait sa salope, me demandant de le " défoncer comme une pute ", de " l'engrosser de mon sperme ", de " faire jouir son esclave ". Là, sa mère ne tient plus et nous laisse enfin seuls.
Même s'il est léger, ses 55 Kg finissent pas me fatiguer. Je le pose, dos sur une table de jardin et relevant ses jambes tout en les écartant, je reprend le travail de son anus par de long va et vient où je décule entièrement avant de replonger jusqu'au fond. Malgré l'usage important pour ne pas dire intensif de mon petit Jean et du gabarit hors normes de ce qu'il prend dans le cul, sa rondelle reste bien musclée et enserre bien les 5cm de diamètre de ma bite. A ma demande, il serre encore plus et je ressens les pulsions comme un massage.
Lorsque je sort, je lui demande de bien serrer avant de replonger dedans, ça me donne l'impression d'enfiler un cul vierge jusqu'à ce qu'il relâche la pression. De sa propre initiative, il s'accroche à mon cou, se retrouvant ainsi plié en 2 sur mon torse. Il me demande de me coucher par terre, ce que je fais, puis ramenant ses jambes sous lui s'agenouille. Il se met alors à monter et descendre sur ma bite à toute vitesse. La chaleur monte. Je le bloque soudain bien assis sur mes cuisses pour faire retomber un peu la pression. Cette position lui ouvre bien les fesses et je peux entrer la totalité de mes 20cm dans son trou. Pour finir, je le mets dans la même position que sa mère, plié, le torse écrasé sur la table de jardin, les jambes écartées, je m'empare de son anus d'un long coup de reins. Accroché à ses hanches, je le lime violemment jusqu'à exploser dans la Kpote. Ce n'est qu'à ce moment là qu'il jouit lui aussi. Il commence à bien comprendre comment le monde marche ! Je termine ma douche seul, sous le jet délassant de l'eau brûlante.
Alors que je traverse la maison pour partir, je passe voir Jean dans sa chambre pour revoir avec lui le planning de ses prestations auprès des TTBM. Il me tend une enveloppe, je l'ouvre et fait le compte. Je lui dis qu'il y a beaucoup plus que prévu. Il me dit alors qu'il y a mis une part de ce qu'il gagne sur le " dos " de sa mère. Je m'étonne du montant mais il m'assure que ses potes sont tous des gosses de riches et qu'il n'hésite pas à les taxer grave ! J'en ris et lui dis qu'il peut continuer. Quand je vais pour quitter la maison, sa mère me tend mes émoluments. J'en contrôle aussi le montant et de même perçoit un plus non négligeable. Je l'interroge du regard, elle me dit que c'est ma " prime de fin d'année ". Elle me demande si l'année prochaine je continuerai à entretenir son jardin. Je lui dis que tant qu'elle obéira à mes ordres je m'occuperai d'elle et par extension de son jardin.
Lorsque je sors, je croise le mari. Il me retient pour savoir comment s'est passée mon année d'entretien du jardin, me félicitant du résultat car plusieurs fois des amis l'ont félicité pour l'état impeccable des parterres. Il me demande de l'accompagner jusqu'à son bureau. Quand sa femme me voit revenir avec son mari, elle pâlit un peu. Je lui fais un grand sourire par dessus l "épaule de son mec et rentre à sa suite dans son bureau. La conversation commence sur le jardin mais assez vite dévie sur sa femme, me demandant de façon subtile, si lors de mes journées d "entretien, je n'aurais rien remarqué de spécial. Je lui assurais le contraire, le remerciant pour l'extrême civilité de son épouse qui veillait à mon bien être en assurant ma réhydratation.
Il me remercie de l'avoir rassuré et me demande ce que je deviens. Je lui dis avoir trouvé un job comme paysagiste chez un entrepreneur horticole. Il me demande alors si je vais continuer à faire leur jardin. Je l'assure que pour l'année à venir ce sera encore le cas. Il me dit alors qu'il avait remarqué que j'avais bien grandi, et que j'étais devenu un beau jeune homme, que si j'avais besoin, la piscine était à ma disposition lorsque je passais (il savait que mes parents n'en disposaient pas)....
Je me demande si il n'était pas en train de me draguer. Ce serait le comble de me faire le père après la mère et le fils !! faut voir... mais ce serait juste pour le fun, c'est pas mon type de mec ! Toujours est il que je suis ressorti de son bureau avec une autre prime.
Pour la moto c'est sur je vais pouvoir sans souci en acheter une neuve pour rendre le X11, même si c'est sans problème que Marc me le laisse.
JARDINIER
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quemajoiedemeure · 1 year
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Je suis encore malade, ça fait plus d'un mois je sais même plus, du coup je mange rien parce que j'ai la gerbe et jai la force de rien faire, c'est le printemps on dirait je vois des fleurs partout quand je promène le iench et je pense "Mon père kiffait quand c'était la fin de l'hiver", on fait des visios où il manque quelqu'un, si je traverse une foule des fois j'ai l'impression de le voir, quand je suis à un concert je me dis qu'il aurait aimé être là aussi, je pense aux places de théâtre et de concert que ma mère a du choisir de donner à quelqu'un d'autre pour nous accompagner (Guillaume Meurice, Thiefaine), j'ai envie d'imaginer qu'il m'accompagne un peu des fois, genre comme une présence invisible, et puis après je pense que ca craindrait vachement en vrai, ma vie mérite vraiment pas d'être observée parce que je fais que de la merde
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natsutaki · 8 months
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Les 4 saisons,
J’ai connu avec toi les 4 saisons
Quand je t’ai vu la 1ère fois au printemps,
Mon cœur que je croyais détruit, mais il a réscucité à cause de toi il a aimé avec passion
Mon erreur c’est d’avoir trop cru en tes paroles, de t’avoir donné trop de temps
L’éclat des 4 saisons
Belle parole, fausses promesse, pourquoi devrais je encore accepter ton pardon ?
Quand on Aime, on respecte l’autre, on ne le poignarde pas dans le dos, il n’y a aucune raison
Mon cœur est détruit il n’aime plus, il est mort par tes actes à la douleur du poison
Mon cœur avait tellement fondu d’amour au fil du temps
La chaleur de cet été, bouillonnant d’amour pour toi
J’ai pris tellement sur moi, fait tellement de sacrifice pour toi
Parceque peu importe ce qui ce passait je suis fou de toi, attiré comme un aimant
L’éclat des 4 saisons,
Entre mes maux, la noirceur de la vie, j’ai cru en toi, comme  personne
J’avais cru que tu était sincère et unique, maintenant la vie sans toi c’est comme une ame à l’abandon
Tes actes, tes gestes mensonges au plus profond de mon ame encore résonne
Il n’y a rien qui justifie de faire du mal à quelqu’un
De trahir, de mentir et de se faire passer limite pour une victime
Rappelle toi l’époque ou on ne faisait plus qu’un
Cet automne, tu m’as brisé trop de fois, je t’ai trop pardonné
L’éclat des 4 saisons
C’est toi, c’était toi et moi, me rendre fou en un regard seulement,
Pose toi les bonnes questions si je te manque, si tu m’aime encore, es tu dans la raison ?
Tes mensonges me ronge, tu n’es pas sincère mais à toi, est ce que tu te ment ?
Mon cœur meurtrie par la froideur de la balle tiré en plein cœur
Cet hiver il s’est entièrement détruit
Je ne sais plus aimer, je ne sais plus la signification du mot confiance, trop forte est la douleur
Pourquoi ? si j’étais ta moitié as-tu cédé aux tentation, et toi, pose toi les bonnes question si tu pense que tu t’es détruit ?
L’éclat des 4 saisons,
Amour meurtrie, à la couleur passion,
Amour de ta vie, à la douleur du poison
Amour perdu, à la noirceur de notre amour fracassé qui rythme à l’unisson
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aisakalegacy · 3 days
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Hiver 1919, Hylewood, Canada (4/21)
Vous me demandez comment va Louise… Je pensais que Jules vous en aurait parlé. Elle a disparu au printemps dernier, peu après le départ de mon mari. Nous n’avons aucune nouvelle depuis, pas une seule lettre. Nous pensons qu’elle a essayé de suivre son ancien fiancé. Peut-être l’a-t-il contactée, nous ne savons pas. Nous n’avons rien trouvé dans son secrétaire qui nous indique où elle s’est rendue et pourquoi. Earnest Simmon n’est pas réapparu non plus, et tant mieux pour lui, car si son père et ses oncles l’attrapaient, je pense qu’il passerait un mauvais quart d’heure. Elle nous manque énormément.
[Transcription] Eugénie Le Bris : Vous auriez pu vous habiller… Marie Le Bris : Pourquoi faire ? Il n’y a pas école, et Maria est en congés. Eugénie Le Bris : Tu n’as pas besoin de Maria pour t’habiller. Quand j’avais ton âge, je m’habillais toute seule. Agathon Le Bris : Louise ne s’habillais jamais seule, elle. Tout le monde : …
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papyanar · 1 year
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                                              Demain matin, a huit plombes Un premier janvier, une élévation annuelle De mes années civiles, non de mon âme; M’élèvera au rang des aînés ou seniors; Du genre vu tomber le Mur de Berlin À casser du pavé, au printemps; À danser les slows mais dans les poches; À baiser Violette, une rouquine à la Foire du trône Mais un an de plus au calendrier De la vie, ce mot court ou long, c'est selon ta chance Les ans se grisent, je craque un peu; J'ai l'émotion du poète; La larme au coin des mots Des baisers pour Vous, Toi ou Nous; Je conjugue toujours, par correction Et éducation judéo-chrétienne ; Les folies qui me plaisent Je vous écrirai demain les maux glauques Les chants d'amour pour les dames; Les chants joyeux pour les fleurettes; Les mots doux pour... Après tout, vous lirez; Je vous embrasse au vent glacial; Aux neiges vierges! Ont the road 66 avec mon Kerouac crevé; Léo qui me manque, Et Gene Krupa aux drums; Et notre Pape qui prescrit la vaccination Omacron, qui m’emmerde, Omicron qui pollue Nos vies, le pognon, qui règne toujours; Les meufs libérées par mi and To; J’ai soif de ma plume, d’écrire toujours; À en crever, au Cap Horn. Prenez soin de vous et courage !                                          
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