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#Bataille de Lagos
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Bataille de Lagos (detail), 1693 by Théodore Gudin (1802 -1880)
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christophe76460 · 6 months
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L'histoire d'un Milliardaire Chrétien au Nigeria : Cosmas Maduka
La réussite, Cosmas Maduka l’a touché du doigt, mais la galère aussi. Ce Nigérian est aujourd’hui classé 6è fortune du Nigeria. Et pourtant, il y a quelques années, sa vie ne prédestinait pas à une telle position sociale.
Cosmas Maduka est un homme d'affaire chrétien nigérian. De la pauvreté à un succès sans précédent, l’homme a dû mener une bataille importante. Né en 1958, à Jos, au Nigéria, Cosmas perd son père à 4 ans. À l’âge de sept ans (7), il s’est retiré de l’école primaire pour aider sa mère dans Akara (gâteaux de haricots) au Plateau, Jos.
A 12 ans il va servir d’apprenti automobile dans le magasin d’autos de son oncle. Cosmas Maduka dormirait dans la boutique à la fin de chaque journée de travail. A force de travail, de dévouement et d’honnêteté, le jeune fermier gagne la confiance de son oncle qui commence par lui confier des responsablilités de plus en plus grandes. A 14 ans, il est d’ailleur envoyé travailler dans l’une de ses succursales de la strucure de son oncle.
Mais tout va basculer un soir quand il s’absente sans permission pour assister à un programme à l’église. Son oncle resilie immédiatement son apprentissage et le régle plutard avec une somme pitoyable de 200 Naira (1 $). Cette somme qu’il va fructifier en fondant une entreprise de pièces détachées automobiles appelée Frères Maduka avec son frère.
Avec les 300 Naira (à peu près 430 F cfa), en capital, Cosmas lance une nouvelle entreprise en tant que propriétaire unique après le retrait de son frère pour des divergeances d’idéologies. Il a commencé par acheter et vendre des pièces de rechange de moto de Boulos Industries. Le principal produit qui a tourné beaucoup de retours pour lui était la nouvelle innovation de Boulos, l’interdiction de crash de motorcylce. Il achèterait plusieurs d’entre eux et retirerait l’adresse de Boulos du carton afin que les gens ne sachent pas d’où il achetait. Dans une courte période d’une semaine, son capital est passé de 300 Naira (1,5 $) à 3 000 Naira (15 $).
Après avoir épargné un peu de capital, Cosmas Maduka s’est associée à son ami Dave pour créer une nouvelle entreprise appelée CosDave. Peu de temps après leur nouveau partenariat commercial, ils se sont éloignés en raison de désaccords sur les décisions prises. Cette nouvelle rupture l’a amené à démarrer une autre entreprise appelée Coscharis. Le nom de Coscharis a été formé par la combinaison de deux noms différents; Son nom, Cosmas, et son nom de femme, Charity.
En 1982, le gouvernement nigérian a accordé dix (10) licences d’importation de sociétés motrices et ses moteurs Coscharis ont été sélectionnés. Depuis lors, son entreprise a continué à se développer avec plusieurs succursales autour du Nigéria.
En 2015, sa valeur nette personnelle selon Forbes Afrique s’élève à plus de 500 millions de dollars US .
Les moteurs Coscharis ont grandi depuis. Ils ne sont pas seulement l’un des plus grands concessionnaires automobiles du Nigeria, mais est également le distributeur exclusif des automobiles BMW au Nigeria.
En plus de cette fortune colossale, Cosmas Maduka arpente les rues de Lagos pour prêcher l'évangile de Jésus Christ qui ne sauve pas seulement mais rend aussi prospère !
Beaucoup ont fait l'éloge du milliardaire pour être descendu de son haut perchoir et s'être «humilié» pour prêcher la bonne nouvelle aux masses. Ils ont affirmé que son action était digne d'être imitée par d'autres grands hommes et femmes qui ont souvent fait fi de ceux qu'ils jugeaient indignes
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beatlesonline-blog · 1 year
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news24fr · 1 year
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réetty December est un pèlerinage annuel au cours duquel la diaspora africaine descend dans les villes africaines (principalement Lagos et Accra) pour le plaisir, la fête, la culture, les relations d'affaires et un peu de débauche indescriptible. Les fêtes à la piscine et à la plage se déroulent du soir jusqu'au lever du soleil le lendemain. Débarrassez-vous de la pornographie de la pauvreté de Band Aid : chaque mois de décembre, au moins, Accra et Lagos sont les nouvelles Ibiza et Ayia Napa.Alors que le soleil se couchait le jour de décembre de Detty de l'année dernière, avec un festival auquel ont assisté 50 000 personnes (dont Dave Chappelle) et titré par Erykah Badu, le soleil se levait sur la campagne publicitaire du prince Harry pour son nouveau livre extrêmement révélateur et décisif, Spare.Armé d'un pot de pop-corn et d'un cahier, j'ai écouté avec joie l'interview d'ITV aux heures de grande écoute avec Tom Bradby. Et en un clin d'œil, on nous a offert un cocktail par inadvertance de Detty December meet the Windsors.Les mémoires du prince Harry : pourquoi le « Spare » est-il devenu un voyou ? - podcastLire la suite"L'Afrique c'est mon truc, tu ne peux pas l'avoir" la citation en surbrillance par Bradby et attribué au prince William, faisant référence à un désaccord entre Harry et William dans lequel ce dernier revendiquait la propriété antérieure des activités royales/caritatives sur le continent. Le lendemain aux États-Unis, Michael Strahan d'ABC a soulevé le même point dans son entretien avec Harry : « Je sais que l'Afrique est très spéciale pour toi. Mais ton frère a exercé son pouvoir pour dire : 'Non, c'est chez moi. Les éléphants, les girafes sont tous à moi. Pensais-tu qu'il savait à quel point l'Afrique était importante pour toi et ce que tu voulais faire, qu'il l'a fait pour te faire du mal ?Bien que personne n'ait remarqué l'absurdité de ces mots à l'époque, dans les deux entretiens, vous auriez pu vous tromper en pensant que "l'Afrique" était un château vide nouvellement construit à Cornwall ou un chihuahua de compagnie se disputant dans une bataille pour la garde.Que devons-nous penser ? Il n'y a pas beaucoup de place pour le doute : l'Afrique est toujours considérée comme un jouet colonial pour les princes britanniques engagés dans leur propre bousculade personnelle, plutôt qu'un continent vaste et complexe qui abrite la population la plus diversifiée de la planète. De plus, si l'on en croit Harry, les apparemment bonnes intentions du futur monarque, William, n'étaient pas motivées par un désir de faire le bien du peuple africain mais, au moins en partie, un désir de faire mieux que son petit frère.Il y a ici de sombres échos historiques, remontant jusqu'à la « ruée vers l'Afrique » impérialiste de l'Europe. La surenchère parmi la royauté et les empires européens a toujours été un objectif moteur. Reflétant à quel point les choses ont changé mais sont restées les mêmes, l'échange entre les princes a semblé révéler un intérêt plus intense pour la faune africaine, "les girafes, les éléphants", que pour le peuple africain. Cela va de pair avec ce que nous savons, car la concurrence occidentale pour la propriété puis l'influence en Afrique, et la charité occidentale qui a suivi sur le continent, n'ont pas conduit à une amélioration pour les Africains. S'il existe quelque chose comme une «richesse commune» aujourd'hui, cela parle davantage de la relation entre les nations africaines et la Chine plutôt qu'avec la Grande-Bretagne.En novembre 2022, j'ai eu la chance d'assister à la Festival des arts et du livre Aké à Lagos aux côtés d'Abdulrazak Gurnah, lauréat du prix Nobel de littérature, Kojo Koram, auteur de Uncommon Wealth, et d'autres. Lors d'un trajet vers une galerie d'art, Koram et moi avons vu la gare de Mobolaji Johnson, une grande gare moderne assistée par les Chinois dans l'ancienne friche d'Ebute Metta, à Lagos. Le mois dernier, un service de chemin de fer léger de 27 km de construction chinoise à Lagos, une ville de 15 millions d'habitants, a effectué son essai inaugural.
L'optique parle d'elle-même : la Chine travaille avec les Africains sur d'énormes projets d'infrastructures modernes à travers le continent, dont beaucoup ont conduit à l'amélioration de la vie des Africains (malgré la controverse sur les soupçons de piège de la dette) ; pendant ce temps, les princes britanniques se disputent à qui appartient l'Afrique.Cela en dit long sur la race et les médias occidentaux sur le fait que la notion « l'Afrique, c'est mon truc » n'a pas fait la une des journaux. Comment Harry avait perdu sa virginité ou les drogues étaient bien plus intéressants. Comme l'Europe, le continent africain est magnifiquement complexe. Souvent, c'est désordonné. Mais malgré les nombreux problèmes auxquels elle est confrontée, en 2023, des événements tels que Detty December, la croissance du tourisme, l'expansion de la musique africaine dans la culture pop mondiale, la zone de libre-échange continentale africaine, la normalisation de la démocratie et le respect des droits de l'homme, et la diversification loin de la dépendance aux matières premières - toutes sont plus importantes pour les Africains que le prince britannique qui peut revendiquer le continent. L'Afrique avance ; Je ne suis vraiment pas sûr que les Windsor puissent en dire autant. Nels Abbey est écrivain, animateur et ancien banquier. Il est l'auteur du livre satirique Think Like a White Man Avez-vous une opinion sur les questions soulevées dans cet article? Si vous souhaitez soumettre une réponse de 300 mots maximum par e-mail pour être considérée pour publication dans notre section de lettres, veuillez cliquer ici.
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newsaboutmavie · 6 years
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#discoveringaragón No.1: Los Ibones de Anayet
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7:00 du matin. “Mets toi tes chaussures pour la montagne”. Je n’ai aucune idée où on ira. La route serpente vers le levant, les pyrénées. Mon cerveau s'est réveillé entre temps et je me rends compte: on monte à la montagne!
7:00 in der Früh. “Zieh deine Wanderschuhe an.” Ich hab absolut keine Ahnung wohin es geht. Auf kurvigen Bergstraßen geht es dem Sonnenaufgang, den Pyrenäen entgegen. Mein Hirn ist mittlerweile ein bisschen aufgewacht, und ich zähle eins und eins zusammen. Auffi aufn Berg geht’s!
Las 7 de la mañana. “Ponte tus zapatos para la montaña.” No tengo ni idea adonde vamos. Nos acercamos al sol amaneciente, la carretera serpentea a través de los valles del Pirineo. Mi cerebro se ha despertado un poco y de repente me doy cuenta: ¡subiremos a la montaña!
2 233 metres above the sea
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Notre guide nous attend devant le bureau de tourisme de Canfranc, le dernier village espagnol avant la frontière française. L’air est fraîche, mais le ciel bleu promet une journée chaleureuse. La montée commence doucement, nous traversons une forêt de sorbiers, au fond de la vallée on écoute un ruisseau, le Canal Roya. Mais nous sommes déjà à 1350 mètres d’altitude, et la forêt s’arrête bientôt. La vallée se ferme toujours plus devant nous, le chemin est bordé de Iris, Erica et Sempervivum. Je n’ai toujours pas d’idée où nous allons, et quand le guide annonce que nous monterons 1000 mètres, mes genoux lâchent un peu. La montée se fait notable, mais mes gènes tyroliens ne me laissent pas seule. Miguel et moi surpassons même le guide! Notre effort vient récompensé: au pied du Pico de Anayet, une montagne d’origine volcanique, plus vieille que les pyrénées, se forment des lacs clairs comme du cristal pendant l’été. Ça coupe le souffle, non ?  (Et aussi le fait que nous venons de monter 1000 mètres en temps record)
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Unser Wanderführer wartet vor dem Tourismusbüro in Canfranc, dem letzten spanischen Dorf vor der französischen Grenze. Es ist noch ziemlich frisch, doch der wolkenlose Himmel verspricht einen heißen Tag. Der Aufstieg beginnt sanft, durch Ebereschenwälder, etwas weiter unten rauscht ein kleiner Bach, der Canal Roya. Wir sind aber bereits auf etwa 1350 Höhenmeter, und der Wald hört bald auf. Vor uns verengt sich das Tal immer mehr, der Weg ist gesäumt von Iris, Erika und Sempervivum. Ich hab übrigens immer noch keine Ahnung was mich erwartet, als der Führer ankündigt dass wir fast 1000 Höhenmeter ersteigen werden muss ich kurz schlucken. Der Anstieg ist mittlerweile sehr merkbar, aber meine tiroler Gene lassen mich nicht in Stich und Miguel und ich überholen sogar den Wanderführer (muss ja keiner Wissen dass wir vielleicht nur halb so alt wie der Rest der Gruppe waren…) Unsere Mühen werden mit einem beeindruckenden Ausblick belohnt: am Fuße des Pico de Anayet formen sich im Sommer nach der Schneeschmelze spiegelglatte, glasklare Seen. In ihnen spiegelt sich der Spitz von Anayet, ein Berg vulkanischer Herkunft, älter als die Pyrenäen selbst. Da bleibt einem doch glatt der Atem weg, oder? (Deswegen und weil man grad 1000 Höhenmeter in persönlicher Rekordzeit zurückgelegt hat)
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Nuestro guía nos espera delante a la oficina de turismo de Canfranc, el último pueblo antes de la frontera con Francia. Hace fresquito, pero el cielo azúl promete un día caluroso. La subida empieza suavecita, pasamos por un bosque de serbales, abajo en el valle  se escucha el ruido del Canal Roya. Pero estamos ya a unos 1350 metros de altura, y el bosque se termina pronto. El valle  se cierra siempre más. Los lados del camino están cubiertos de Iris, Erica y Sempervivum. Sigo sin tener ni idea de cómo será la excursión, y cuando el guía nos anuncia que subiremos unos mil metros de altura, me fallan un momento mis rodillas. La subida es  notable, pero mis genes tirolesos no me abandonan . Miguel y yo pasamos incluso al  guía (nadie necesita saber que teníamos la mitad de la edad del resto del grupo…) Nuestros esfuerzos son recompensados con unas vistas increíbles: Al pié del Pico de Anayet se forman unos ibones durante el verano, unos lagos clarísimos y llanos como un espejo. En ellos se ve el reflejo del pico, una montaña de origen volcánico, más antigua que el Pirineo mismo. Para quedarse sin aliento, ¿no? (También acabamos de subir 1000 metros en tiempo récord pero bueno)
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The tragic beauty of Canfranc
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Avec les jambes tremblantes nous arrivons au parking (les descentes sont pires que les montés), je me prépare mentalement à deux heures de voyage sans clim (il faut économiser où on peut), quand Miguel entre dans l’entrée d’un hôtel. Surprise! Nous guérissons notre coup de soleil dans l’eau fraîche de la piscine du Spa, et après d’un merveilleux dîner nous visitons le village de Canfranc. Aujourd’hui, il y vivent même pas 600 personnes, mais l'énorme gare en style Belle Époque est témoigne d’un temps plus glorieux. Son histoire est tragique: Elle fût inaugurée par le Roi Alfonso XIII en 1928, après cinq années de construction. Vu sa position de connexion entre la France et l’Espagne, elle était une gare très importante. Mais le bonheur ne dura pas longtemps: que trois ans plus tard, un incendie détruisit la bibliothèque, le restaurant et une grand partie du vestibul. Peu après, la guerre civile espagnole commença, le tunnel vers la France était contrôlé. La seconde guerre mondiale commença, et ça fût la fin des trains passagers. Quand en 1970 un train de marchandises dérailla, le tunnel fût fermé et ne jamais réouvert. De nos jours, que des trains de et vers Saragosse s’arrêtent ici. L'édifice a été restauré soigneusement, mais il émane une aire tellement triste, si déplacé entre les murs de la vallée étroits et les petites maisons de village.
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Mit zitternden Beinen kommen wir beim Auto an (Abstiege sind mindestens genauso anstrengend), ich bereite mich mental schon auf die zweistündige Autofahrt ohne Klimaanlage vor (gspart wird wo ma kann), als Miguel plötzlich in eine Hoteleinfahrt einbiegt. Surprise surprise! Wir kurieren unsere Sonnenbrand im kühlen Hotelpool, bevor es gestärkt vom hervorragenden Abendessen nach Canfranc geht, genauer Canfranc Estación. Heutzutage leben keine 600 Personen in diesem Dörfchen, aber der riesige Bahnhof im Stil der französischen Belle Epoque zeugt von einstiger Größe. Die Geschichte des internationalen Bahnhofs ist tragisch: Nach fünfjähriger Bauzeit wurde das Gebäude im Jahr 1928 mit großen Tramtram vom damaligen König Alfonso XIII eröffnet. Der Bahnhof wuselte nur vor (wohlhabenden) Passagieren, die von Frankreich nach Spanien kamen und vice-versa, aber das Glück währte nicht lange, denn schon drei Jahre danach fackelte die Bibliothek, das Restaurant und teile des Vestibüls ab. Und kurz danach begann der spanische Bürgerkrieg, der Tunnel nach Frankreich wurde kontrolliert, der zweite Weltkrieg begann. 1970 wurde nach der Entgleisung eines Güterzuges der Tunnel komplett gesperrt und seitdem nicht mehr geöffnet. Heute fahren nur noch Züge von Zaragoza nach Canfranc, und obwohl das Gebäude aufwändig restauriert wurde, strahlt es eine unendliche Traurigkeit aus, so fehlplatziert zwischen den engen Talwänden und kleinen Dorfhäuschen.
Con las piernas temblantes llegamos al coche (las bajadas son aún más pesadas que las subidas), yo me estoy preparando ya mentalmente para dos horas de trayecto en un coche ardiendo sin aire acondicionado (hay que ahorrar donde se puede), cuando Miguel de repente gira hacía el parking de un hotel. Sorpresa! Nos curamos las quemaduras del sol en el pool fresquito del Spa, y fortalecidos de la excelente cena, nos vamos a Canfranc Estación. Hoy en día, el pueblo no tiene ni 600 habitantes, pero su enorme estación en el estilo de la Belle Époque francesa es testigo de tiempos más gloriosos. La historia del edificio es muy trágica: Después de 5 años de construcción fue inaugurada en 1928 en presencia del Rey Alfonso XIII. La estación era un punto de conexión muy importante entre Francia y España, y siempre estaba llena de gente. Pero su suerte no fue duradera, solo tres años más tarde sufrió un incendio que destruyó la biblioteca, el restaurante y partes del vestíbulo. Si ha ese hecho se le une la Guerra Civil en España (1936 - 1939) y el comienzo de la Segunda Guerra Mundial (1939 - 1945), el destino de esta preciosa estación era evidente. No volvió a ver un viajero cruzar por su puertas. En 1970, cuando ya solo pasaban trenes de mercancía, uno se descarriló, y desde entonces la línea no volvió a ser abierta. Hoy en día, únicamente llegan trenes regionales desde Zaragoza, y aunque el edificio fue restaurado con mucho cuidado, emana un aire muy triste, así desplazado entre los muros del valle estrecho y las pequeñas casas de pueblo.
That’s not how it was planned
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Nous ne sommes pas accoutumés à nous installer dans une voiture tellement fraîche: en été en Saragosse, il faut se mettre des gants pour le four pour toucher le volant. Notre premier arrêt est Jaca, une petite ville avec une grande histoire, grâce à sa proximité à la France. Juste dehors du centre se trouve la citadelle, construite avec les règles de l’architecture au service de la guerre les plus modernes. Mais la citadelle ne fut jamais utilisé par les troupes espagnoles: chaque fois qu’elle entrá en bataille, c’était les français qui étaient dedans. C’était pas pensé pour ça les mecs!
Das Auto ist ungewohnt frisch als wir die Heimreise antreten, normalerweise kann man das Lenkrad nur mit Backofenhandschuhen manövrieren. Wir werden diese Kühle vermissen. Unser erster Halt ist Jaca, eine Stadt so groß wie Hall, mit bedeutender Geschichte (seiner Nähe zur französischen Grenze wegen). Gleich außerhalb der Stadtmauer liegt die Zitadelle, in innovativster bellischer Architektur (fünfeckig um das beste Kampferlebnis zu gewähren). Die Zitadelle wurde aber von den spanischen Truppen nie benutzt: Beide Male saßen die Franzosen drinnen und die Spanier attackierten sie von draußen. So war das nicht geplant.  
El coche está muy fresquito cuando lo cogemos por la mañana, normalmente se puede tocar el volante solo con guantes para el horno. Nuestra primera parada es Jaca, una ciudad chiquita pero con una historia importante, por su cercanía a Francia. Justo al lado del centro está la Ciudadela o Castillo de San Pedro, construida en el estilo bélico más a la moda en su tiempo (en forma pentagonal, para asegurar la mejor experiencia de combate). Pero la fortaleza nunca fue utilizada por las tropas españolas: cada vez que entró en batalla eran los franceses los que estaban dentro y los españoles tuvieron que reconquistarla. ¡No estaba pensada para eso chicos!
The lonely routes of Jacetania
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La plupart des routes d’Aragon sont très très droites. Pour changer un peu le paysage, nous prenons le chemin à travers le Pré-Pyrénéen. D’un moment à l’autre, nous sommes complètement seuls, la route est périmé de la chaleur et du froid. Et à perte de vue, le rien absolue, que des petits arbres secs. Après un nombre infini de curves, un monastère. Mais qui, pour l’amour du ciel, aimerait bien vivre ici??
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Aragóns Straßen sind seeehr sehr gerade. Um uns ein bisschen Abwechslung zu gönnen, nehmen wir auf der Rückreise die Straße durch die Prä-Pyrenäen. Von einem Moment auf den nächsten ist man ganz allein, die einspurige Straße ist von Hitze, Eis und Schnee beschädigt und jahrelang nicht mehr repariert worden. So weit das Auge reicht das Absolute Nichts, nur kleine trockene Bäume. Viel mehr wächst hier wegen der Hitze nicht. Und dann, nach unendlich vielen Kurven, wenn man es sich am wenigsten erwartet, ein Kloster. Warum um Himmels Willen möchte man hier leben?
Una gran parte de las carreteras de Aragón son muuuuy muy rectilíneas. Para cambiar un poco el paisaje, decidimos de coger el camino por el pre-pirineo. De un momento al otro estamos solos, la carretera de carril único tiene profundas grietas causadas por el frío y el calor. Hasta donde llega la vista, la nada absoluta, solo pequeños árboles y arbustos secos. Mucho más no crece aquí por el calor. Y de repente, después de un millón de curvas, un monasterio. ¿Quien quiere vivir aquí por favor?
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La vallée s’ouvre toujours plus vers Saragosse, les villages se font plus récurrents. Notre dernier arrêt est Murillo de Gállego, connu pour ses “Mallos de Riglos”: des tours énormes, formés par des années d'érosion.
Das Tal öffnet sich Richtung Zaragoza immer mehr, die Dörfer werden häufiger. Wir passieren Murillo de Gállego, berühmt für seine “Mallos de Riglos”: riesige Türme, die der selektiven Erosion geschuldet sind.
El valle se abre siempre más hacia Zaragoza, los pueblos se hacen más frecuentes. Pasamos Murillo de Gállego, conocido por sus “Mallos de Riglos”: montañas que parecen torres, debido a la erosión selectiva.
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kingonews · 2 years
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NIGÉRIA: UN POLICIER TUE UN CONDUCTEUR DE TRICYCLE À CAUSE DE 50 NAIRAS.
NIGÉRIA: UN POLICIER TUE UN CONDUCTEUR DE TRICYCLE À CAUSE DE 50 NAIRAS.
Deux personnes ont été abattues lors d’une féroce bataille à main armée entre des officiers de la police nigériane et des membres de l’Association des propriétaires et exploitants de tricycles du Nigéria (TOOAN) à Meiran Road, Lagos. Selon le témoin Nimot Sulaimon, il a constaté que le premier incident impliquant un tricycle s’était produit jeudi 4 novembre 2021 vers 8h20. L’officier de police…
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djibril-tamboura · 3 years
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100 jours de Biden; des américains appellent Donald Trump au secours
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Près de 100 jours après le début du mandat de Joe Biden comme président des États-Unis, son prédécesseur Donald Trump demeure une figure puissante du parti républicain, et un potentiel acteur d’envergure pour l’élection présidentielle de 2024.
Bien installé à Mar-a-Lago, sa résidence hôtelière de luxe en Floride, le milliardaire républicain a dernièrement publié un flot continu de communiqués afin de donner son avis sur des sujets comme l’immigration, ou la vie politique de son parti.
Lundi, il a ainsi utilisé ce moyen pour attaquer les républicains qui n’ont pas soutenu ses accusations sans fondement que l’élection présidentielle de 2020 avait été «truquée».
Le magnat de l’immobilier offre son soutien aux candidats conservateurs, y compris ceux qui défient les élus de l’establishment républicain, et attise sa base en critiquant Biden et les démocrates, une «gauche radicale» selon lui. Banni définitivement de Twitter, Donald Trump est réapparu la semaine dernière sur la chaîne conservatrice Fox News, pour une interview dans laquelle il s’est plaint d’avoir été mis en accusation devant le Congrès, alors qu’il n’avait «rien fait de mal».
Depuis que le milliardaire a quitté le pouvoir, les républicains ont afflué à Mar-a-Lago pour obtenir ses conseils ou son soutien. De retour à la vie civile, l’ancien commandant en chef doit désormais faire face à une litanie de soucis judiciaires, notamment des enquêtes sur ses finances et de possibles accusations d’évasion fiscale et de fraude bancaire.
Donald Trump ne montre pour autant aucun signe de vouloir se retirer des projecteurs. Représente-t-il seulement une faction du parti républicain, ou est-il une force dominante ?», s’interroge dans un entretien avec l’AFP Elaine Kamarck, une chercheuse de la Brookings Institution qui travaille sur la présidence américaine.
Avec d’autres experts, elle observe avec attention certaines batailles aux primaires où l’influence de Trump pourrait être mise au défi, dans la perspective d’une éventuelle nouvelle campagne présidentielle pour 2024.
«S’il perd des primaires, les politiciens qui observent ce genre de choses penseront que peut-être il n’est pas si effrayant que ça», affirme Elaine Kamarck.
«Et s’il les gagne, il sera une force qu’il faudra prendre en compte», a-t-elle ajouté.
Lutte intestine
Les dissensions au sein du parti républicain sont intenses, et à la suite de l’assaut du Capitole de Washington le 6 janvier par des partisans du milliardaire, certaines figures républicaines souhaitent que le parti s’éloigne franchement de Trump et du trumpisme.
L’élue à la Chambre des représentants Liz Cheney a ainsi lancé un avertissement à ses collègues pour qu’ils rejettent l’idée d’un culte de la personnalité, particulièrement après les évènements du 6 janvier. En réponse, Donald Trump a indiqué qu’il soutiendrait tout candidat conservateur qui s’élèverait en 2022 contre la réelection de cette élue du Wyoming.
Mais tandis que certains responsables républicains tentent d’atténuer les voix les plus extrémistes au sein du parti, celles-ci continuent de s’élever.
Samedi, l’élue Marjorie Taylor Greene a prononcé un discours lors d’un meeting «America First» («l’Amérique d’abord», slogan de Donald Trump), où elle a revendiqué son soutien à l’ex-président et ses accusations infondées de fraude électorale.
Marjorie Taylor Greene est l’une des voix les plus proéminentes du trumpisme, et avec certains fidèles de Donald Trump, elle lutte pour voir le milliardaire représenter le parti républicain à l’élection présidentielle de 2024, ou si ce n’est lui, l’un de ses acolytes, comme le gouverneur de Floride Ron DeSantis, ou le sénateur du Missouri Josh Hawley.
Selon Elaine Kamarck, les républicains se trouvent dans une lutte intestine entre «pro-Trump et anti-Trump», tandis que beaucoup au sein du parti «se cachent et espèrent ne pas être étiquetés dans un camp ou l’autre».
«Nous saurons mieux en 2022 à quel point (Donald Trump) est réellement fort», conclut la chercheuse.
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blogapart3bis · 4 years
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Comme promis, voici la chronique du dernier chapitre de la trilogie de l’Interdépendance, à savoir The Last Emperox, de John Scalzi. Posons tout de suite les choses: pas de Fin Scoubidou, ouf!
Alors que l’effondrement du Flux, ce réseau hyperspatial qui relie les divers mondes de l’Interdépendance est de plus en plus inéluctable, il y a cependant quelques lueurs d’espoir qui permettent d’entrevoir une solution à long terme.
Le souci, c’est que cette solution implique un bouleversement en profondeur de l’ordre établi. Et une grande partie de cet ordre établi n’est pas d’accord du tout. Du coup, un énième complot pour abattre l’Emperox se dessine.
On retrouve dans The Last Emperox le quatuor de personnages centraux présents dans les précédents livres: Cardenia / Grayland II, l’Emperox, Kiva Lagos l’administratice mal embouchée, Marce Claremont le scientifique et Nadashe Nohamapetan, la conspiratrice en chef qui veut devenir Emperox à la place de l’Emperox.
The Last Emperox est plus politique et personnel que les deux précédents (The Collapsing Empire et The Consuming Fire), ce qui est quelque part assez étonnant. On pourrait s’attendre à des grandes batailles spatiales, des émeutes, des flammes et des explosions. OK, des explosions, il y en a une; la grande bataille spatiale fait pschitt et la plupart des émeutes se déroulent hors champ.
C’est peut-être un des défauts mineurs de cette série: il y a un côté pas très réaliste à voir ces quatre personnages sauver un empire de vingt milliards de personne presque à elles toutes seules. Mais bon, c’est un roman; suspension volontaire d’incrédulité, tout ça, je veux bien admettre.
Je suis plus circonspect sur la fin, qui m’a paru un peu rushée. Pas au point de Neptune’s Brood, mais un peu quand même. Disons qu’il y a littéralement un deus ex machina, voire carrément un deus ex machina de Tchekov, qui déboule dans les trente dernières pages.
Reste que, globalement, cette Trilogie de l’Interdépendance est un space-opera géopolitique de très haute volée. Il y a un univers somme toute assez classique, mais bien pensé. Il y a aussi une écriture qui est particulièrement réjouissante, surtout au niveau des dialogues, et des personnages attachants et percutants.
Qui plus est, en VO, ces trois ouvrages font ensemble un pic plus de mille pages, ce qui est plutôt raisonnable. Ça se lit plutôt vite et, pour ma part, j’ai beaucoup ri. Et pour les allergiques à l’anglais, elle est en cours de traduction chez L’Atalante, avec les deux premiers tomes disponibles.
L’article « The Last Emperox », de John Scalzi est apparu en premier sur Blog à part.
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tourcanadaest · 4 years
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09-09-2019 3° giorno: Montreal – Lac a la Tortue - St. Prosper - Lac Delage (Quebec)
Occhi sbarrati alle 04.30 e alzata alle 06.15. Colazione, con foto panoramiche dal nostro ristorante. Partenza alle 08.01. Sostiamo, alle 10.24, all'Aerodrome de Lac a la Tortue vicino ai Parchi de la Mauricie e Saint-Mathieu per una escursione fuori programma. Un volo in idrovolante servito dalla Bel Air Aviation sopra i laghi e i fiumi della zona (CAD 90 con carta prepagata € 63,91). Riempiamo tre monomotori ad ala alta Cessna 206. Due partono contemporaneamente, noi siamo sull'ultimo. Il volo dura 20' e il piccolo velivolo secondo me balla parecchio riportandomi alla brutta esperienza di Nasca. Sono seduto accanto al pilota e mi accorgo tardi di potere indossare le cuffie antirumore per cui sono assordato dal motore. Comunque, faccio finta di niente e scatto più foto possibili in tandem con lo smartphone. Non starò male come a Nasca, ma ringrazio che il tutto dura poco. Esperienza da rifare, per voi, per la quale ci rilasciano un regolare diploma, coma a Nasca, appunto. Alle 11.40 proseguiamo “per St. Prosper per visitare la Ferme La Bisonniere che alleva bisonti gestita da una giovane coppia: Lucie e Kavin.” Arriviamo alle 12.10 e a bordo di un rimorchio coperto da 60 posti, tirato da un trattore, ci inoltriamo su campi fangosi “avvicinandoci a questi magnifici animali, considerati sacri nella cultura degli Indiani d’America.” Pranzo previsto nel bel ristorante rustico della fattoria con decine di animali imbalsamati di contorno. Naturalmente molti piatti sono a base di carne di bisonte tra cui le famose salsicce e il piatto tradizionale del Quebec: La Tourtiere. Buona. Alle 14.00 partiamo per Quebec City. Arrivo alle 15.00 e consigliati da Flavio, anticipiamo la passeggiata guidata prevista in programma per giorno 12 “Quebec City sorge sul promontorio di Cap Diamant sovrastante il San Lorenzo, ed è l’unica città fortificata del Nord America. Fondata nel 1608 da Samuel de Champlain, è il centro che meglio conserva l’antica impronta francese. L’abitato è diviso nella Ville Haute, sull’altopiano, e la Ville Basse, lungo i corsi del San Lorenzo e del Saint-Charles, agevolmente raggiungibile per funivia dalla Terrasse Dufferin. Cuore della città bassa sono la Place Royale e il quartiere Petit-Champlain, dove molti edifici del sei-settecento sono stati restaurati e trasformati in boutique e ristoranti. Il fulcro della città alta è la bella Place d’Armes; la piccola Rue du Trèsor, vicino alla piazza, una sorta di Galleria d’Arte all’aperto. Simbolo della città è il turrito Chateau Frontenac Hotel. Obbligatoria una visita alla Cittadella, fortezza a forma di stella eretta dagli inglesi tra il 1820 e il 1850, d’estate ogni mattina alle 10 si svolge il cambio della guardia. La panoramica Promenade des Gouverneurs corre lungo le mura esterne della Cittadella fino alle Plaines d’Abraham, oggi Parcs des Champs de Bataille, dove nel 1759, si combatté la battaglia tra inglesi e francesi per il possesso di Québec.” Passeggiamo fino alle 16.30 poi proseguiamo per il nostro hotel a Lac de Delage. Arriviamo alle 17.10 al Manoir Lac Delage. Isolati, per passare il tempo ci affidiamo alle attività dell'Hotel: canoa, mini golf, pallacanestro, piscina, bici, etc.. Noi prendiamo due mountain bike e tentiamo il periplo del lago. Non abbiamo fatto il conto con il cambio delle bici, mai usato; le impreviste salite della strada circondariale; e, sopratutto, la nostra età, sottovalutata. Facciamo durare l'escursione un ora e rientriamo. Doccia, e cena prevista in Hotel. Letto alle 22.00.
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frtodaynews · 6 years
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La compagnie allemande renforce sa position sur l’aéroport de Marseille, avec notamment un vol matinal quotidien pour Francfort…
Un avion de la compagnie aérienne allemande Lufthansa. — JOSEP LAGO / AFP
Lufthansa renforce sa présence à l’aéroport de Marseille.
Ses nouvelles connexions ouvrent de nouvelles routes vers l’international.
Un développement entrepris dans le passé par le très puissant aéroport de Nice.
Dans le jargon, on appelle ça un « night stop ». Depuis le mois de mars, un vol de la compagnie Lufthansa permet de relier chaque jour, tôt le matin, l’aéroport de Marseille à Francfort​, avec un départ à 7 h 10 pour une arrivée outre-Rhin dès 8h50. Un autre vol permet de rester sur place la journée, avec un départ à 20h20 pour une arrivée à 21h50.
Cette grille d’horaires n’est pas à reléguer au rang de détail, puisqu’elle s’adresse tout particulièrement aux hommes d’affaires ayant besoin de passer la journée dans cette plateforme financière majeure. « Nous avions de réelles demandes que nous faisaient remonter nos clients et l’aéroport de Marseille », affirme Michael Gloor, directeur des ventes senior pour la France et le Benelux de Lufthansa. Mais surtout, elle ouvre de nouvelles routes, et de nouvelles perspectives de développement du côté de Marseille.
Nice devant dans la bataille internationale
L’aéroport de la deuxième ville de France ne se hisse en effet qu’à la cinquième place nationale avec ses 8,5 millions de passagers annuels, loin derrière le très puissant aéroport de Nice, troisième aéroport de France et premier aéroport provincial. La capitale azuréenne peut en effet compter sur ses nombreuses dessertes internationales directes, à commencer par l’emblématique Nice-Dubaï, qui ouvre aux voyageurs azuréens les portes de l’océan Indien.
Point Presse Groupe #Lufthansa En 2017, le groupe Lufthansa a enregistré près d’un demi-million de passagers au départ de l’#AeroportMarseilleProvence. Un chiffre qui devrait continuer de croître en 2018 grâce au renforcement du groupe à #Marseille.@lufthansaNews
— Aéroport Marseille (@aeroportmp) June 7, 2018
Le groupe Lufthansa, présent à Nice depuis 1959, propose 157 liaisons au départ de Nice, contre 66 à Marseille où il est présent depuis 1988. Des chiffres symptomatiques de la situation actuelle. Du côté de la cité phocéenne, les liaisons aéronautiques vers les différents continents restent plus rares. Ainsi, pour l’heure, le Montréal-Marseille direct fait un peu figure d’exception, tandis qu’il faut souvent transiter par Paris pour ensuite traverser les océans et rejoindre notamment l’Amérique du Nord.
Une liaison avec un hub
Le choix de Lufthansa a ainsi des conséquences de poids pour l’aéroport de Marseille, selon son directeur marketing et communication Julien Boullay. « Ces vols tôt le matin vont permettre des correspondances à Francfort vers plusieurs destinations internationales, il ne faudra plus passer forcément par Paris. »
Point Presse Groupe #Lufthansa Nouvelle fréquence pour la ligne #Marseille–#Francfort (3 vols/jour) permettant aux voyageurs affaires de faire l’A/R dans la journée + accès à 186 destinations via le hub de Francfort notamment vers l’#Amerique du Nord.@lufthansaNews
— Aéroport Marseille (@aeroportmp) June 7, 2018
« Francfort est une importante destination intercontinentale qui permet des connexions dans le monde », analyse Michael Gloor. Avec ses 64,5 millions de passagers en 2017, l’aéroport de Francfort reste en effet un hub de poids, qui permet aux voyageurs marseillais de relier 186 destinations internationales, dont Atlanta, New York ou encore San Francisco.
Une stratégie payante face à Air France ?
Le groupe allemand, par le biais de sa compagnie Swiss, a de plus ouvert depuis fin avril une liaison directe, trois fois par semaine, entre Marseille et Zurich, offrant, là encore, des connexions possibles avec plusieurs continents. Encouragé notamment par la conjoncture numérique française, et une hausse de marché de l’aéronautique, le groupe Lufthansa propose en tout dix nouvelles fréquences au départ de Marseille. « Et depuis leur mise en service, les nouvelles liaisons sont remplies entre 80 à 90 % », affirme Julien Boullay.
Point Presse Groupe #Lufthansa Désormais @FlySWISS propose une nouvelle ligne #Marseille–#Zurich à raison de 3 vols/semaine
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@lufthansaNews #AeroportMarseilleProvence #MarseilleAirport
— Aéroport Marseille (@aeroportmp) June 7, 2018
La compagnie aux 35 millions d’euros de chiffre d’affaires consolide ainsi son offre à Marseille et développe sa présence sur les aéroports provinciaux, à l’heure où Air France se retrouve fragilisé. De quoi favoriser le groupe allemand ? « Oui, confesse Michael Gloor. Le dynamisme économique en France est très important, et on observe sur le mois de mars une demande inhabituelle. » Selon Julien Boullay, « en 2018, Lufthansa entre pour notre aéroport à la 4e place, aux côtés de poids lourds que sont Air France ou Ryanair. »
20minutes Economie
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olivierdemangeon · 6 years
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    Synopsis : Après les événements qui se sont déroulés dans Captain America : Civil War, T’Challa revient chez lui prendre sa place sur le trône du Wakanda, une nation africaine technologiquement très avancée. Mais lorsqu’un vieil ennemi resurgit, le courage de T’Challa est mis à rude épreuve, aussi bien en tant que souverain qu’en tant que Black Panther. Il se retrouve entraîné dans un conflit qui menace non seulement le destin du Wakanda, mais celui du monde entier…
Origine du film : États-Unis Réalisateur : Ryan Coogler Scénaristes : Ryan Coogler, Joe Robert Cole Acteurs : Chadwick Boseman, Michael B. Jordan, Lupita Nyong’o, Danai Gurira, Martin Freeman, Daniel Kaluuya, Letitia Wright, Winston Duke, Angela Bassett, Forest Whitaker, Andy Serkis Musique : Ludwig Göransson Genre : Action, Aventure, Science-fiction, Super-héros Durée : 2 heures et 14 minutes Date de sortie : 14 février 2018 (France) Année de production : 2018 Sociétés de production : Marvel Studios Distribué par : Walt Disney Studios Motion Pictures Titre original : Black Panther Notre note : ★★★★☆
Notre commentaire : “Black Panther” est un film de super-héros américain basé sur le personnage du même nom issu des Marvel Comics, datant de 2018, co-écrit et réalisé par Ryan Coogler, à qui l’on doit également “Creed” (2015). Les acteurs principaux sont Chadwick Boseman, qu’on a pu voir dans “Gods of Egypt” (2016), Michael B. Jordan, qu’on a pu voir dans “Chronicle” (2012), Lupita Nyong’o, qu’on a pu voir dans “Le Réveil de la Force” (2015), Danai Gurira, qu’on a pu voir dans “All Eyez on Me” (2017), Martin Freeman, qu’on a pu voir dans “La Bataille des Cinq Armées” (2014), Daniel Kaluuya, qu’on a pu voir dans “Get Out” (2017), Angela Bassett, qu’on a pu voir dans “La Chute de Londres” (2016), Forest Whitaker, qu’on a pu voir dans “Rogue One” (2016), et Andy Serkis, qu’on a pu voir dans “Avengers: l’Ere d’Ultron” (2015). Ce métrage est le dix-huitième film du Marvel Cinematic Universe (MCU).
Wesley Snipes avait fait part de son intention de travailler sur un film basé sur le personnage Black Panther en 1992, et ce projet passera par de multiples réinitialisations au cours de la décennie qui suivit, sans que jamais il ne se concrétise. Un film sur Black Panther a été annoncé comme étant l’un des dix films basés sur un des personnages Marvel qui seront développés par Marvel Studios en septembre 2005. “Black Panther” a été officiellement annoncé en octobre 2014, Chadwick Boseman apparaissant pour la première fois dans “Captain America: Civil War” (2016). À la fin de l’année 2015, les scénaristes Joe Robert Cole et Ryan Coogler se sont joints à l’équipe, et d’autres membres de la distribution sont venus rejoindre le film à partir de mai 2016, faisant de ce Marvel le premier film du MCU avec une distribution majoritairement noire. Le tournage principal du film a eu lieu de janvier à avril 2017, aux EUE / Screen Gems Studios dans la région métropolitaine d’Atlanta, ainsi qu’à Busan, en Corée du Sud.
Il faudra certainement un petit peu de temps pour qu’on se rende compte que “Black Panther” occupe/occupera une position particulière dans l’univers des films Marvel, mais peut-être même dans l’univers du cinéma. En tant que vivier de dizaines d’acteurs majoritairement blancs les Marvel Studios étaient, jusque-là, accusés à juste titre, d’un manque de diversité, et voilà qu’ils lâchent ce qui est sans doute l’un des plus gros films hollywoodiens avec un casting composé majoritairement d’acteurs “noirs”. Ryan Coogler, le réalisateur devait donc faire de cette aventure d’un nouveau super-héros, un événement marquant dans la réalisation de ce métrage. À l’arrivée, on peut aisément dire que c’est un excellent nouvel ajout au Marvel Cinematic Universe, bien qu’il soit probablement son meilleur quand il ne ressemble pas à un film de Marvel.
Se situant à la suite des évènements bouleversants présentés dans “Captain America: Civil War” (2016), le prince T’Challa, alias Black Panther (Chadwick Boseman) succède à son défunt père en tant que roi de la nation secrète et super-avancée de Wakanda. Mais alors que le jeune souverain est occupé à neutraliser Ulysses Klaue (Andy Serkis) qui cherche à s’enrichir grâce à la technologie wakandaise, un homme, Erik Stevens, alias Killmonger (Michael B. Jordan), un ancien soldat d’élite américain, menace de stabiliser le royaume et de prendre le pouvoir.
Le MCU a tenté de dépeindre une image globale, pour ne pas dire mondiale, en emmenant les personnages dans différents endroits de la planète, de Berlin à Londres en passant par Séoul et Lagos, mais cette volonté de diversité ne permet pas de faire en sorte que cela apparaisse comme étant simplement de l’ordre du symbolique. Par contre, le Wakanda que construit Ryan Coogler est magnifique, et si cela semble parfois être le remake du Roi Lion en action, cela s’apparente à un vrai pays prospère, propulsant les CGI permettant de donner vie à Asgard (Thor) dans les abîmes.
“Black Panther” a été construit comme un thriller d’espionnage du type James Bond, avec un passage à vide pour le héros, afin qu’il puisse revenir plus fort pour remporter la décision finale. Cependant, c’est aussi une aventure de science-fiction dans une utopie futuriste, pleine de technologies avancées et de costumes excentriques et très colorés. Les codes ont d’ailleurs leur importance afin de déterminer qui sont les bons et les méchants, notamment lors des scènes de bataille opposant une multitude de protagonistes.
Au-delà des superbes scènes d’action, au-delà des magnifiques et impressionnants effets spéciaux, notamment ceux de la course-poursuite dans les rues de Busan en Corée du Sud, il y a d’autres choses à chercher dans “Black Panther”. Alors que la plupart des films Marvel ont tendance à s’interroger sur la basique question qui consiste à savoir comment neutraliser le méchant, le réalisateur et co-scénariste, Ryan Coogler, se permet de soulever quelques questions difficiles qui sont loin d’être inintéressantes sur le traitement des Africains et de leurs descendants américains. Comment affronter les crimes de vos ancêtres et quel est le devoir d’une superpuissance mondiale envers les pays prospères ? Cela dit, si ce questionnement est soulevé, Ryan Coogler, nous invite à explorer ces problèmes par nous-mêmes sans nous donner de leçons.
Chadwick Boseman est plus drôle qu’il ne le fût dans “Civil War” (2016). L’ensemble du casting a été intelligemment choisi pour trouver l’équilibre entre des performances amusantes et charismatiques. Comme Okoye, chef des gardes du corps royal de T’Challa, incarné par Danai Gurira, qui vole fréquemment la vedette avec rien de plus qu’un regard sévère ou une réplique lapidaire. Letitia Wright incarne Shuri, la jeune sœur géniale de T’Challa, qui lui prépare des gadgets à l’instar d’un Q. Dans tous les cas, la comédie du film passe par leurs dialogues et leurs actions. L’équilibre entre les sexes est à peu près égal et Michael B. Jordan endosse le rôle de méchant en ayant une motivation convaincante et en partageant un temps d’écran décent avec son rival.
En conclusion, “Black Panther” est un très bon film d’action, disposant d’une histoire intéressante, mais faisant appel à une intrigue classique. L’originalité vient de par le développement et de par la nature des personnages. Un Marvel qui sort du moule habituel tout en assurant le spectacle par des courses-poursuites spectaculaires, des combats nerveux, modernes et traditionnels, et des scènes de batailles impressionnantes. La distribution offre de très bonnes prestations, et on reconnaîtra de nombreux visages familiers d’Angela Bassett jusqu’à Forest Whitaker en passant par l’indispensable Andy Serkis. Les effets spéciaux sont, comme toujours dans les Marvel, parfaitement orchestrés et étourdissants. L’ensemble est donc un sympathique divertissement.
  Bande-annonce :
BLACK PANTHER (2018) ★★★★☆ Synopsis : Après les événements qui se sont déroulés dans Captain America : Civil War, T’Challa revient chez lui prendre sa place sur le trône du Wakanda, une nation africaine technologiquement très avancée.
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christophe76460 · 2 years
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L'histoire d'un Milliardaire Chrétien au Nigeria : Cosmas Maduka
La réussite, Cosmas Maduka l’a touché du doigt, mais la galère aussi. Ce Nigérian est aujourd’hui classé 6è fortune du Nigeria. Et pourtant, il y a quelques années, sa vie ne prédestinait pas à une telle position sociale.
Cosmas Maduka est un homme d'affaire chrétien nigérian. De la pauvreté à un succès sans précédent, l’homme a dû mener une bataille importante. Né en 1958, à Jos, au Nigéria, Cosmas perd son père à 4 ans. À l’âge de sept ans (7), il s’est retiré de l’école primaire pour aider sa mère dans Akara (gâteaux de haricots) au Plateau, Jos.
A 12 ans il va servir d’apprenti automobile dans le magasin d’autos de son oncle. Cosmas Maduka dormirait dans la boutique à la fin de chaque journée de travail. A force de travail, de dévouement et d’honnêteté, le jeune fermier gagne la confiance de son oncle qui commence par lui confier des responsablilités de plus en plus grandes. A 14 ans, il est d’ailleur envoyé travailler dans l’une de ses succursales de la strucure de son oncle.
Mais tout va basculer un soir quand il s’absente sans permission pour assister à un programme à l’église. Son oncle resilie immédiatement son apprentissage et le régle plutard avec une somme pitoyable de 200 Naira (1 $). Cette somme qu’il va fructifier en fondant une entreprise de pièces détachées automobiles appelée Frères Maduka avec son frère.
Avec les 300 Naira (à peu près 430 F cfa), en capital, Cosmas lance une nouvelle entreprise en tant que propriétaire unique après le retrait de son frère pour des divergeances d’idéologies. Il a commencé par acheter et vendre des pièces de rechange de moto de Boulos Industries. Le principal produit qui a tourné beaucoup de retours pour lui était la nouvelle innovation de Boulos, l’interdiction de crash de motorcylce. Il achèterait plusieurs d’entre eux et retirerait l’adresse de Boulos du carton afin que les gens ne sachent pas d’où il achetait. Dans une courte période d’une semaine, son capital est passé de 300 Naira (1,5 $) à 3 000 Naira (15 $).
Après avoir épargné un peu de capital, Cosmas Maduka s’est associée à son ami Dave pour créer une nouvelle entreprise appelée CosDave. Peu de temps après leur nouveau partenariat commercial, ils se sont éloignés en raison de désaccords sur les décisions prises. Cette nouvelle rupture l’a amené à démarrer une autre entreprise appelée Coscharis. Le nom de Coscharis a été formé par la combinaison de deux noms différents; Son nom, Cosmas, et son nom de femme, Charity.
En 1982, le gouvernement nigérian a accordé dix (10) licences d’importation de sociétés motrices et ses moteurs Coscharis ont été sélectionnés. Depuis lors, son entreprise a continué à se développer avec plusieurs succursales autour du Nigéria.
En 2015, sa valeur nette personnelle selon Forbes Afrique s’élève à plus de 500 millions de dollars US .
Les moteurs Coscharis ont grandi depuis. Ils ne sont pas seulement l’un des plus grands concessionnaires automobiles du Nigeria, mais est également le distributeur exclusif des automobiles BMW au Nigeria.
En plus de cette fortune colossale, Cosmas Maduka arpente les rues de Lagos pour prêcher l'évangile de Jésus Christ qui ne sauve pas seulement mais rend aussi prospère !
Beaucoup ont fait l'éloge du milliardaire pour être descendu de son haut perchoir et s'être «humilié» pour prêcher la bonne nouvelle aux masses. Ils ont affirmé que son action était digne d'être imitée par d'autres grands hommes et femmes qui ont souvent fait fi de ceux qu'ils jugeaient indignes
Café de Jesus
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utopiedujour · 7 years
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Voici comme votre monde pourrait prendre fin, par Peter Brannen
Billet invité. Ouvert aux commentaires. Merci à Alexis Toulet pour la traduction.
Dans cet extrait de son livre Fins du Monde (Ends of the World), le journaliste scientifique Peter Brannen étudie les extinctions massives et l’issue catastrophique de l’augmentation des températures pour l’ensemble de la population mondiale.
Les conséquences sur les sociétés humaines d’un réchauffement même en apparence modéré sont souvent gravement sous-estimées.
Original en anglais – Peter Brannen, © The Guardian, 9 septembre 2017
Feu de forêt, Californie 2014. Le réchauffement climatique devrait augmenter la fréquence des feux de forêts, avertissent les scientifiques
Beaucoup d’entre nous partagent une sourde inquiétude que le monde est en train d’échapper à tout contrôle, que « le centre ne peut tenir »  (1) Feux de forêts, tempêtes « du millénaire » et vagues mortelles de chaleur sont devenus des leitmotive des journaux télévisés – tout cela après que la planète se soit réchauffée de même pas 1°C par rapport aux températures préindustrielles. Mais voici ce qui est vraiment effrayant.
Si l’humanité consomme toutes ses réserves de carburants fossiles, le potentiel existe d’un réchauffement de la planète allant jusqu’à 18°C ainsi que d’une élévation du niveau de la mer de plusieurs dizaines de mètres (2) Ce serait un réchauffement d’une plus grande amplitude encore que celle de l’extinction de la fin du Permien (3) Si les pires scénarios se réalisent, le système océan-climat légèrement menaçant d’aujourd’hui apparaîtra bien terne en comparaison. Même un réchauffement d’un quart de ce chiffre ferait apparaître une planète qui n’aurait rien à voir avec celle où les êtres humains ont évolué et où la civilisation a été construite. La dernière fois qu’il faisait 4°C plus chaud, il n’y avait aucune glace ni à un pôle ni à l’autre et la mer était 80 mètres plus haute qu’aujourd’hui.
J’ai rencontré le paléoclimatologue Matthew Huber, de l’Université du New Hampshire, à un dîner près de son campus à Durham. Huber a passé une bonne partie de sa carrière de chercheur à étudier l’environnement de serre chaude dans lequel vivaient les premiers mammifères, et il pense que dans les prochains siècles nous pourrions en revenir au climat de l’Eocène il y a 50 millions d’années, quand des palmiers poussaient en Alaska et des alligators se baignaient au cercle polaire.
Le monde moderne se rapprochera d’un champ de bataille. La fragmentation de l’habitat rendra beaucoup plus difficile de migrer. Mais si nous restons en-dessous de 10°C de réchauffement, au moins il n’y aura pas trop de morts par hyperthermie.
En 2010, Huber et son co-auteur Steven Sherwood publièrent l’un des articles scientifiques les plus inquiétants de mémoire d’homme Limite à l’adaptation au changement climatique par stress thermique (An Adaptability Limit to Climate Change Due to Heat Stress) (4).
« Les lézards iront bien, les oiseaux iront bien » dit Huber, remarquant que la vie a prospéré dans des climats plus chauds que même les pires projections du réchauffement climatique anthropique. C’est l’une des raisons de soupçonner que l’effondrement de la civilisation pourrait survenir bien avant que nous n’atteignions une extinction de masse à proprement parler (5) La vie a persisté dans des conditions qui seraient impensables pour une société mondiale en réseau partitionnée par des frontières politiques. Nous nous inquiétons bien sûr tout naturellement du sort de la civilisation, et Huber suggère que, extinction de masse ou pas, c’est notre dépendance incertaine envers une infrastructure vieillissante et inadéquate, le plus inquiétant peut-être les réseaux électriques, couplée avec les limites de la physiologie humaine, qui pourrait bien faire tomber notre monde.
En 1977, quand l’électricité a été en panne un seul jour d’été à New York, certaines parties de la ville retombèrent en quelque chose ressemblant à un état de nature hobbesien. Des émeutes balayèrent la ville, des milliers de commerces furent détruits par les pillards et des incendiaires allumèrent plus de 1 000 feux.
En 2012, quand la mousson ne s’est pas levée en Inde (elle ne le fera pas du tout dans un monde plus chaud), 670 millions de personnes – c’est-à-dire 10% de la population mondiale – ont perdu l’accès à l’électricité lorsque le réseau fut paralysé par une demande anormalement haute de la part des fermiers luttant pour irriguer leurs champs, tandis que les températures élevées poussaient beaucoup d’Indiens à chercher des climatiseurs avides de kilowatts.
Inde occidentale, Août 2012. Quand la mousson n’arriva pas, les villageois durent migrer par manque d’eau
« Le problème, c’est que les êtres humains ne peuvent même pas supporter une journée chaude aujourd’hui sans que le réseau électrique ne coupe régulièrement » dit Huber, remarquant que le réseau électrique vieillissant des Etats-Unis est construit avec des composants de bric et de broc que l’on attend parfois plus d’un siècle avant de remplacer. « Pourquoi penser que la situation sera meilleure lorsque la température moyenne l’été sera ce qui aujourd’hui est la plus chaude journée en cinq ans, et les températures les plus chaudes seront absolument sans précédent ici ? C’est pour 2050. »
En 2050, suivant une étude du MIT de 2014, il y aura aussi cinq milliards de personnes vivant dans des régions sous stress hydrique (6)
« Dans environ 30 à 50 ans commenceront les guerres de l’eau » selon Huber.
Dans leur livre Terribles Prédictions (Dire Predictions), Lee Kump et Michael Mann de l’Université de l’Etat de Pennsylvanie décrivent ce qui n’est qu’un exemple de la manière dont sécheresse, augmentation du niveau des mers et surpopulation pourraient se combiner pour faire sauter les rivets de la civilisation.
Des sécheresses de plus en plus sévères en Afrique occidentale susciteront une migration de masse de l’intérieur densément peuplé du Nigeria vers sa mégapole côtière, Lagos. Déjà menacée par l’augmentation du niveau de la mer, Lagos ne pourra pas faire face à cet afflux massif de gens. Les disputes autour des réserves en voie d’épuisement du delta du Niger, combinées avec la corruption d’Etat, s’ajouteront aux facteurs contribuant à une agitation sociale massive.
« Agitation sociale massive » doit ici être compris comme une expression relativement anodine masquant le chaos total submergeant un pays déjà déchiré par la corruption et la violence religieuse.
C’est le scénario du cauchemar en quelque sorte. Aucun des économistes ne modélise ce qui arrive au PIB d’un pays si 10% de la population est constituée de réfugiés vivant dans des camps. Mais regardez le monde réel. Que se passe-t-il si une personne qui travaillait en Chine doit se déplacer au Kazakhstan, et n’y travaille pas ? Dans un modèle économique, ils seraient immédiatement au boulot. Mais dans le monde réel, ils resteront juste là et commenceront à s’énerver. Si des gens n’ont pas de perspective économique et sont déplacés, ils ont tendance à devenir fous et à faire sauter des choses. C’est le genre de monde où les principales institutions, y compris des nations tout entières, voient leur existence menacée par la migration de masse. C’est dans cette direction que je vois les choses évoluer vers le milieu du siècle.
Et ça ne s’améliore pas après 2050. Mais les prédictions de désintégration de la société sont des spéculations sociales et politiques et n’ont rien à voir avec les extinctions de masse. Huber s’intéresse davantage aux limites infranchissables de la biologie. Il veut déterminer quand les êtres humains eux-mêmes commenceront à se désintégrer. Son article de 2010 sur le sujet fut inspiré par une rencontre avec un collègue.
J’ai présenté à une conférence un article sur les températures tropicales dans les époques géologiques passées et Steve Sherwood [climatologue de l’université de Nouvelle-Galles-du-Sud] était dans l’auditoire. Il a écouté ma présentation et a commencé à se poser cette question très simple : « A quel point peut-il faire chaud et humide, avant que des choses commencent à mourir ? ». C’était littéralement juste une question sur l’ordre de grandeur. J’imagine qu’en y pensant il s’est rendu compte qu’il ne connaissait pas la réponse, et n’était pas sûr que qui que ce soit la connaisse… Notre article initialement n’était vraiment pas motivé par le climat futur, parce que quand nous avons commencé nous ne savions pas si un quelconque climat futur réaliste pouvait sortir de cette limite à l’habitabilité. Quand nous avons commencé, c’était « Faut voir. Peut-être il faut aller jusqu’à, disons, 50°C de température moyenne mondiale ». Puis nous avons mouliné toutes sortes de résultats de modèles, et ça nous a plutôt alarmés.
Sherwood et Huber ont calculé leurs seuils de température en faisant intervenir la température au thermomètre-globe mouillé (TTGM) (7) qui mesure en gros de combien vous pouvez vous refroidir à une température donnée. Si l’humidité est élevée par exemple, la sueur et le vent sont moins efficaces pour vous refroidir, et la température au thermomètre-globe mouillé en tient compte.
Si vous regardez un cours de météorologie, pour calculer la TTGM on met un thermomètre en verre dans une chaussette humide serrée et on en enveloppe votre tête. Donc en supposant que cette limite de température s’applique à un être humain, vous êtes en train d’imaginer un vent violent soufflant sur un être humain dénudé, trempé, pas éclairé par le soleil, immobile et ne faisant rien d’autre que son métabolisme de base.
Aujourd’hui, les maximums ordinaires pour la TTGM dans le monde sont entre 26 et 27°C. Une TTGM à partir de 35°C est mortelle pour l’humanité (8) Au-dessus de cette limite, il est impossible aux êtres humains de dissiper indéfiniment la chaleur qu’ils dégagent, et ils meurent d’hyperthermie en quelques heures, aussi fort qu’ils essaient de se refroidir.
Donc nous essayons de faire passer le message que physiologie et adaptation et ce genre de choses n’ont aucune influence sur cette limite. C’est la limite de la cuisson au four. Vous vous cuisez vous-mêmes, très lentement.
Ce qui veut dire que cette limite est probablement bien trop large s’il s’agit de survie humaine.
Quand vous faites un modèle plus réaliste, vous atteignez la limite bien plus tôt, parce que les êtres humains ne sont pas des chaussettes mouillées.
Suivant la modélisation de Huber et Sherwood, un réchauffement de 7°C commencerait à rendre de grandes régions du monde mortellement chaudes pour les mammifères. Que le réchauffement aille plus loin, et des parties vraiment immenses de la planète, aujourd’hui habitées, dépasseraient la une TTGM de 35°C et devraient donc être abandonnées (9) Sinon, leurs habitants seraient mourraient par cuisson, littéralement.
On pense toujours « Bon, ne peut-on pas s’adapter ? » et c’est possible, jusqu’à un certain point. C’est ce qui se passe après dont je parle.
Déjà, dans le monde d’aujourd’hui, réchauffé de moins de 1°C par rapport à l’époque préindustrielle, les vagues de chaleur sont devenues plus mortelles. En 2003, deux semaines chaudes tuèrent 30 000 personnes en Europe. On appela ça un événement qui arrive une fois tous les 500 ans. Il arriva à nouveau trois ans plus tard (avec 497 ans d’avance). En 2010, une vague de chaleur tua 15 000 personnes en Russie. En 2015, presque 700 personnes moururent rien qu’à Karachi du fait d’une vague de chaleur qui frappa le Pakistan alors que beaucoup jeûnaient pour le Ramadan. Mais ces épisodes tragiques sont à peine l’ombre de ce qui est prévu.
A moyen terme – 2050 ou 2070 – le Midwest américain sera parmi les plus frappés. Il y a un panache d’air chaud et humide qui se dirige vers le haut à travers le centre des Etats-Unis durant exactement la bonne saison, et qu’est-ce qu’il est chaud et collant. Ajoutez juste deux ou trois degrés et ça devient vraiment chaud et collant. Nous parlons de seuils. Ce n’est pas une progression en douceur. Qu’un certain chiffre soit dépassé et vous serez vraiment touchés gravement.
La Chine, le Brésil et l’Afrique doivent faire face à des prévisions tout aussi infernales, tandis que le Moyen-Orient déjà étouffant connaît ce que Huber appelle « des problèmes existentiels ». Les premiers signes de cette catastrophe au ralenti sont peut-être familiers aux Européens qui ont du mal à loger les dizaines de milliers de réfugiés à leurs frontières : l’effondrement et la migration de masse de la société syrienne est survenue après une douloureuse sécheresse de quatre ans. D’autres encore ont remarqué que le Hadj, qui amène deux millions de pèlerins à la Mecque chaque année, sera dans quelques petites décennies une obligation religieuse impossible à accomplir à cause des limites du stress thermique dans la région.
Mais dans les pires scénarios d’émission [NdT : de gaz à effet de serre], les vagues de chaleur ne seraient pas simplement une crise de santé publique ni un « multiplicateur de menaces », comme le Pentagone appelle le réchauffement mondial. L’humanité devrait abandonner la plus grande partie de la Terre qu’elle habite aujourd’hui. Dans leur article, Huber et Sherwood écrivent :
Si un réchauffement de 10°C devrait vraiment survenir dans les trois prochains siècles, la zone rendue probablement inhabitable du fait du stress thermique serait bien plus grande que celle touchée par le relèvement du niveau de la mer.
Huber continue :
Demandez à n’importe quel écolier « Que faisaient les mammifères au temps des dinosaures ? », il vous dira qu’ils vivaient sous terre et ne sortaient que la nuit. Pourquoi ? Eh bien, le stress thermique est une explication très simple. Il est intéressant de noter que les oiseaux ont une température interne plus élevée – la nôtre est à 37°C, les oiseaux sont plus proches de 41°C. Il me semble que c’est là une relique évolutive très ancienne. Parce que la température au thermomètre-globe mouillé allait probablement jusqu’à 41°C au Crétacé, pas 37°C.
Au dîner dans le New Hampshire, Huber m’a raconté son « histoire préférée » : la parabole réaliste de l’US Army dite de l’Homme de Pointe Motivé (10) En 1996, un peloton d’infanterie légère passa des jours dans la jungle de Puerto Rico pour s’acclimater à la chaleur et l’humidité étouffantes, surveillant avec soin leurs apports en eau avant de simuler un raid de nuit. Le peloton avait « certains des soldats les plus motivés et les mieux en forme du bataillon ». Quand arriva le soir du raid, le chef de peloton commença à mener ses soldats à travers la jungle, se traçant un chemin à la machette à travers les fourrés. Bientôt abattu par la fatigue, il délégua son commandement à un subordonné. Quand le deuxième soldat s’avéra incapable de mener le peloton assez vite, le chef exigea d’être en tête à nouveau. Mais il se retrouva rapidement hyperthermique et incapable de marcher. Ses hommes durent l’asperger d’eau froide et lui faire des injections intraveineuses. En définitive, quatre soldats durent le porter. Les efforts supplémentaires eurent tôt fait de ronger le peloton tout entier, tous les hommes commençant à souffrir de stress thermique. L’exercice dut être interrompu avant qu’il ne débouche sur un massacre.
Soldats américains à l’entraînement dans la jungle. La résistance a des limites physiologiques
Je regarde ça et je me dis que même la nuit, même acclimatés, des gens très en forme peuvent se désintégrer tout simplement en un ramassis d’inutiles sur des brancards. Voilà ce que je vois arriver à la société, à des cultures. Si vous voulez savoir comment arrivent les extinctions de masse, voilà comment. Quand les gens parlent de l’extinction de la mégafaune du Pléistocène ou des gens de la culture Clovis, parfois ils font comme si tout cela était mystérieux. Mais c’est arrivé exactement de la même manière. Voilà quelque chose qui abat les plus forts, les plus faibles tentent de colmater la brèche, ils en sont encore moins capables, et le tout s’écroule.
Vous voulez savoir comment les sociétés s’effondrent ? Voilà comment.
Ce qui disparaît quand la température augmente
+0,6°C – Quand les températures commencent à augmenter par rapport au niveau préindustriel, une extinction très large des amphibiens commence.
+1,0°C – Le réchauffement commence à faire fondre les plaques de glace, les populations de krill sont touchées, menaçant la principale source de nourriture des pingouins.
Manchots empereur en Antarctique
+1,6°C – Environ la moitié de la toundra boisée est perdue, augmentant la pression sur ses habitants tels les élans, lynx et ours bruns.
+2,2°C – Un réchauffement très légèrement supérieur à la limite définie dans l’accord de Paris sur le climat (11) suffit à conduire à l’extinction 25% des grands mammifères d’Afrique.
+2,6°C – Grandes pertes dans les forêts tropicales et les espèces qui y habitent, par exemple orang-outang, paresseux et jaguars.
Supérieur à +4°C – A ces températures, plus de 70% des espèces s’éteindraient, les massifs coralliens mourraient et les déserts s’étendraient dans le monde.
=========================================== 1 – « The centre cannot hold » extrait du poème The Second Coming de Yeats (1919) décrivant l’atmosphère en Europe juste après la Première Guerre Mondiale – Voir une traduction ici.
2 – Environ 70 mètres en cas de fonte totale des inlandsis de l’Antarctique et du Groenland. Une telle fonte s’étalerait cependant sur plusieurs siècles ou millénaires, à cause de l’inertie thermique de ces masses énormes de glace.
3 – L’extinction de la fin du Permien il y a 252 millions d’années a été la plus grande des cinq extinctions de masse ayant frappé la biosphère, avec la disparition de 80 à 96% des espèces marines et 70% des espèces de vertébrés terrestres. Voir une description ici.
4 – L’article est accessible ici.
5 – La sixième extinction de masse, celle que provoquerait l’être humain, est pour l’essentiel un risque pour l’avenir. Même les actuelles dégradations impressionnantes de la biosphère ne sont que prémices de ce que serait une véritable extinction de masse
6 – Voir page 24 du document complet (PDF) La population totale sous stress hydrique en 2050 varierait entre 3,5 et 5 milliards suivant les scénarios, dont 3 milliards en stress permanent.
7 – Il s’agit d’un « indice composite de température utilisé pour estimer les effets de la température, de l’humidité, et du rayonnement solaire sur l’homme (…) le seul indice de température ressentie à tenir compte du rayonnement solaire ».
8 – Il est utile de remarquer que les limites de TTGM sont bien plus basses s’agissant des travailleurs, entre 28 et 32,5°C suivant l’intensité et la durée de l’activité. Or, pour qu’une région soit véritablement habitable par l’homme, encore faut-il qu’il soit possible d’y effectuer quelque travail… Voir les normes de santé au travail ici
9 – Et qu’en serait-il des régions où l’être humain ne pourrait vivre qu’à condition de n’accomplir strictement aucun travail, ou bien seulement des travaux légers et une partie de la journée ? « Vivre » de cette manière a tendance à rendre difficile la simple survie…
10 – Voir la source ici au chapitre 9.
11 – Et dont cet accord définit très peu comment au juste elle pourrait être respectée. La date définie par l’accord pour parvenir à un pic des émissions de gaz à effet de serre – dont il faut espérer que les instances internationales vérifieront bien qu’elle n’est pas dépassée – est « dès que possible ». Une étude parue en juillet 2017 estime à 5% la probabilité de rester en-dessous de cette limite, et arrive plutôt à une « valeur la plus probable » de 3,2°C pour le réchauffement au cours du siècle. Encore cette valeur suppose-t-elle des efforts notables pour limiter les émissions, n’allant cependant pas jusqu’aux mesures véritablement draconiennes indispensables rapidement pour respecter la limite de 2°C. Voir un article sur cette étude ici.
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news24fr · 1 year
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Dans un retard historique, le chef républicain de la Chambre, Kevin McCarthy, faisait face mardi à une longue bataille pour obtenir le marteau du président après avoir échoué à remporter les trois premiers votes le jour de l'ouverture du nouveau Congrès.L'élection de Kevin McCarthy pour le président de la Chambre ne sait pas s'il a besoin de votes - en directLire la suiteUn quatrième vote – et peut-être plus, dans la nuit – a été évité lorsque la Chambre s'est ajournée, par vote vocal, jusqu'à midi mercredi.Avant cela, les deux premiers scrutins pour décider du prochain orateur ont vu 19 républicains s'opposer à McCarthy, lui laissant 15 voix en deçà des 218 nécessaires pour gagner. Lors du troisième vote, McCarthy a perdu un partisan de plus, intensifiant les craintes qu'il ne parvienne pas à unir son caucus.Autre signe démoralisant pour la nouvelle majorité républicaine, le démocrate Hakeem Jeffries a obtenu plus de voix que McCarthy lors des trois premiers scrutins.McCarthy est le premier nominé pour conférencier en 100 ans échouer à remporter le premier vote pour le marteau. Un consultant politique républicain de Californie a déclaré que c'était, pour McCarthy, "le jour le plus humiliant de sa carrière politique", une ligne qui a été repris dans les journaux à travers McCarthy état d'origine.McCarthy avait reconnu qu'il était peu probable qu'il remporte la présidence au premier tour de scrutin, ouvrant la voie à un délai potentiellement long avant que de nouveaux membres de la Chambre puissent être assermentés. McCarthy a suggéré qu'il était à l'aise de battre le record de la plus longue élection à la présidence de l'histoire, lequel des stands à deux mois et 133 scrutins. Cette impasse électorale a eu lieu en 1856, peu avant la guerre civile américaine."Nous pourrions avoir une bataille sur le terrain", a déclaré McCarthy aux journalistes. "Mais la bataille est pour la conférence et le pays, et ça me va."Mardi soir, Donald Trump a refusé de dire s'il continuerait à soutenir McCarthy comme conférencier, dire à NBC News: "Nous allons voir ce qui se passe. Nous verrons comment tout cela fonctionnera.Les commentaires de Trump sont venus malgré la loyauté de McCarthy envers l'ancien président, qui comprenait s'envoler pour Mar-a-Lago pour rencontrer Trump peu après son départ de la Maison Blanchequelques semaines seulement après l'insurrection du 6 janvier."Nous en avons fini avec Kevin McCarthy", membre du Congrès de Virginie Bob Good a déclaré à CNN mardi soir, arguant que les votes républicains contre McCarthy ne feraient qu'augmenter lors des prochains tours de scrutin.L'opposition républicaine à McCarthy a été dirigée par des membres du House Freedom Caucus, un groupe d'extrême droite qui a fait pression pour que les règles de la chambre soient modifiées. Scott Perry, le président du Freedom Caucus, a réitéré son opposition mardi et a accusé McCarthy de ne pas travailler de bonne foi avec son groupe.Le chef de la minorité républicaine de la Chambre, Kevin McCarthy, au centre, est applaudi par les républicains après avoir été nommé pour le prochain président de la Chambre. Photographie : Evelyn Hockstein/Reuters« À presque chaque tournant, nous avons été écartés ou résistés par McCarthy et tout progrès perçu a souvent été vague ou contenait des lacunes qui ont encore amplifié les inquiétudes quant à la sincérité des promesses faites », a déclaré Perry. « Kevin McCarthy a eu l'occasion d'être président de la Chambre. Il l'a rejeté.Les alliés de McCarthy se sont déchaînés contre Perry et d'autres résistants, affirmant qu'ils avaient donné la priorité à leurs propres ambitions par rapport au bien-être du parti.Nommant officiellement McCarthy avant le premier vote, Elise Stefanik de New York a approuvé sa candidature et a livré des critiques à peine voilées de ses adversaires."Personne dans ce corps n'a travaillé plus dur pour cette majorité républicaine que Kevin McCarthy", a déclaré Stefanik. "Fier conservateur avec
une éthique de travail infatigable, Kevin McCarthy a mérité la présidence de la Chambre du peuple."Lors du premier vote, une troisième nomination a été proposée par le membre du Congrès de l'Arizona Paul Gosar, un républicain d'extrême droite qui a proposé son compatriote arizonien, Andy Biggs, comme alternative conservatrice. Sur 19 républicains qui se sont opposés à McCarthy au premier tour de scrutin, 10 ont soutenu Biggs, qui a perdu face à McCarthy lors du concours de nomination de novembre, 188-31.Au deuxième tour, Jim Jordan, de l'Ohio, a remporté le soutien des 19 républicains qui se sont opposés à McCarthy lors du premier vote. Cela est venu après que Jordan lui-même ait nommé McCarthy, dans une tentative de démonstration d'unité. Dans son discours, Jordan a décrit le programme des républicains et a exhorté ses collègues à mettre de côté les divergences."Nous devons nous rallier à lui [and] rassemblez-vous », a déclaré Jordan.Mais McCarthy a en fait perdu son soutien au troisième tour de scrutin. Byron Donalds de Floride est passé de McCarthy à Jordan, portant le nombre de détracteurs républicains à 20."La réalité est … Kevin McCarthy n'a pas les votes", a déclaré Donalds sur Twitter. "Notre conférence doit faire une pause et se blottir et trouver quelqu'un ou élaborer les prochaines étapes … mais ces votes continus ne fonctionnent pour personne."Une réunion de conférence mardi n'a pas réussi à résoudre les problèmes entre McCarthy et ses détracteurs. Matt Gaetz, l'un des critiques les plus virulents de McCarthy, a déclaré que ceux qui refusaient de soutenir étaient menacés d'être retirés des comités."Si vous voulez drainer le marais, vous ne pouvez pas confier l'exercice au plus gros alligator", a déclaré Gaetz aux journalistes. "Je suis un homme de Floride et je sais de quoi je parle."Gaetz et ses collègues n'ont montré aucun signe de relâchement. Leur opposition a soulevé la perspective du premier long combat au sol sur la présidence de la Chambre en 100 ans. Le dernier spectacle de ce genre déroulé en 1923."Nous n'allons pas reculer jusqu'à ce que nous soyons dans une pièce et que nous décidions comment nous pourrons nous lever et nous battre pour le peuple américain, peu importe qui est l'orateur", a déclaré Chip Roy du Texas à Fox News. "Je ne clignote pas."Le républicain de deuxième rang, le représentant de la Louisiane Steve Scalise, est considéré comme un choix de compromis potentiel, mais jusqu'à présent, il s'est concentré sur le ralliement du soutien derrière McCarthy."Nous n'allons pas reculer jusqu'à ce que nous soyons dans une pièce et que nous décidions comment nous pourrons nous lever et nous battre pour le peuple américain, peu importe qui est l'orateur." "Je ne clignote pas." pic.twitter.com/BGY2RmucQ8– Bureau de presse du représentant Chip Roy (@RepChipRoy) 3 janvier 2023 Les démocrates se sont ralliés à leur chef, Jeffries."Il ne plie pas le genou à quiconque chercherait à saper notre démocratie", a déclaré Pete Aguilar de Californie, le troisième démocrate de rang, dans un discours nommant Jeffries comme conférencier.Chambre des représentants américaine : qui est qui dans la nouvelle direction ?Lire la suiteLe Sénat s'est réuni sans incident. Les démocrates ont accueilli deux nouveaux membres, dont John Fetterman de Pennsylvanie, qui a aidé son parti à obtenir une majorité de 51 voix contre 49.Dans ses remarques au premier étage du nouveau Congrès, le chef de la majorité, Chuck Schumer, a félicité son homologue, le chef républicain du Sénat, Mitch McConnell, d'être devenu le chef de parti le plus ancien de la chambre.Alors qu'une ère de gouvernement divisé commence, après deux ans de contrôle démocrate, Schumer a reconnu que la voie législative « ne sera pas facile », mais était néanmoins optimiste."Après tout ce que nous avons accompli dans un Sénat également divisé et une Chambre étroitement divisée", a-t-il déclaré, "il n'y a aucune raison pour que les deux parties ne puissent pas continuer à travailler ensemble pour le bien de notre pays, notre pays bien-aimé".
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camer24 · 7 years
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yamar-org · 7 years
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