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#Bleu minette
historiasdeldivan · 1 year
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arte-inmortal · 2 years
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Tal cual. GENIA
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paris-vienne · 7 months
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ce temps nuageux me déprime. . . mais c'est l'automne. . .
j'aimerais avoir plein de livres sur la sociologie, les sciences humaines, la philosophie, la poésie, le développement personnel, les romans féministes, les romans horrifiques, les romans fantastiques, les thrillers. . .
je veux une grande bibilothèque.
j'en ai au moins 100 tout âge confondus
je veux lire, m'instruire. . . apprendre, comprendre. . . une escale pour moi et mon livre avec un cappuccino. . . mais sans le ronronnement de Minette, décédée le 29 août 2023. je peux écouter RONDOUDOU.
les chrysanthèmes vont bientôt fleurir. . . en France cette fleur représente la mort et au Japon le chrysanthème est signe de longévité. . .
comment embellir mon corps, si je n'arrive plus à perdre du poids, j'aurais des milliers de tatouages. . . mais au fond je m'en fous, je me sens bien dans ma peau, mais la grossophobie, ces gens qui se moquent de mon corps je les ......
ici c'est facile d'écrire, sur mon cahier, la page reste blanche, je n'arrive pas à aligner les mots dans le bon ordre, je n'arrive plus du tout à écrire. . . je me force mais ce n'est pas la meilleure solution. alors pourquoi j'y arrive ici et pas avec mon stylo bleu. . . sur ce cahier illustré de constellations. . .
le temps est mitigé, aucun signe de l'univers, pas de news dans le téléphone, où sont-ils tous passés ? l'une est au lycée, et l'autre doit sûrement dormir. . .
je suis seule, mes parents travaillent, me voilà avec la tentation de la gourmandise, plaisir coupable, le chocolat. . . qui pourrait être aussi ma consolation.
la solitude m'enlace, m'étouffe, me menotte à elle, on est devenues inséparables. heureusement il y a le net, il y a aussi de la musique, et l'envie d'écrire sur mon blog, me libérer de mes fardeaux. . . de ce poids, Point fort, je n'ai plus d'idées noires. . .
comment faire, m'occuper, je sais faire, ranger ma chambre j'ai la flemme, écrire me délivre, j'ai envie de lire, mais quel livre ? en fait non, je n'arrive pas, je manque de concentration, besoin de tout, envie de tout. . . sans prendre de risques, que LOGAN soit banni de mon système, la torture a assez durée. . . je crois au KARMA, la roue tourne et un jour ce sera mon tour, mais je ne veux plus rien faire de mal.
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ya-no-la-quiero · 4 years
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Rosario Gonzalez (Bleu Minette)
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your-mbb · 3 years
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Ser feliz es darse cuenta #LibrodeBleu
Tu comida preferida, la mesa servida con cariño y el llamado a comer urgente de mamá. Una ducha, las sábanas limpias y la cama recién tendida. El perro moviéndote la cola, tus caricias y su incondicionalidad. Un beso con ruido, de esos que te dejan zumbado el oido, las cosquillas inesperadas y la risa incontenible. Un hombro sobre el cual llorar, una charla que no deja nada adentro, una carcajada que hace doler la panza y un grito que libera. Un mensaje inesperado, de esos que te sacan una sonrisa cuando todo parece estar mal. Un beso en la frente como termómetro que mide la fiebre, un té que cura y un abrazo que refugia. Andar en bici por una calle en bajada, el aire puro, el sol en la cara cuando hace frío. Un helado en la plaza y una caminata por el barrio. El olor a bizcochuelo los domingos, la tetera silbando y la familia, esa que a veces molesta, pero que siempre duele cuando falta. El olor a tierra mojada, la brisa por la ventana y los truenos a la hora de la siesta. Los gestos desinteresados y la bondad de un completo desconocido. El perdón, las reconciliaciones, los reencuentros y el amor. Los que están y los que decidieron quedarse. Vos mismo, lo que te impulsa a seguir, lo que te motiva a levantarte todos los días a pesar de todo, de todos y de vos. Tu corazón y el de las personas que querés latiendo. La conciencia de que todo esto algún día se va a terminar, de que es ahora o tal vez nunca.
Siempre digo que ser feliz es darse cuenta, y mucha gente me pregunta: 《¿Darse cuenta de qué?》, como si la frase estuviera incompleta. Pero no puedo decirte de qué tenés que darte cuenta. Los regalos que te dio la vida a vos tal vez no sean los mismos que me dio a mí. Sos vos quien tiene que verlos, sos vos quien tiene que dejar de pensar que las circunstancias ajenas siempre son mejores. Sos vos quien tiene que valorar, abrir los ojos y entender que por algo estás acá viviendo esto que te toca. Que la felicidad no es perfección, que está hecha de instantes y que a cada instante hay una razón para ser feliz. Que aún en medio de los tiempos difíciles habrá cosas, momentos o personas que te den un motivo para sonreír. Podés tenerlo todo, rodearte de las mejores personas o estar en el mejor lugar, pero si no te das cuenta, es lo mismo que nada. Para ser feliz tenés que darte cuenta.
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casitodoesletras · 5 years
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Extraño a personas que todavía están, pero que ya son otras.
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adalua · 4 years
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-93
Que te aceptes no significa que te conformes, sino que te quieras y te respetes incondicionalmente. Tienes que ser consciente de tus fallas y tratar de corregirlas, pero no es justo que te odies o te castigues por no ser perfecto.
–Bleu Minette.
–❤.
-13/05/19.
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learning-stuff314 · 5 years
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Basta, dale.
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Donc hier soir, je suis allée chercher une petite minette trois couleurs. Non seulement elle a trois couleurs, mais en plus elle est semi angora, et sa mère adulte a les yeux clairs (si ça se trouve elle va garder ses yeux bleus). Elle vient d'une ferme, a un mois et demi et sa mère ne la nourrissait plus. En 24h elle s'est bien habituée à sa nouvelle maison.
Et cette après j'ai fait un concert avec mon groupe, c'était pépère et ceux qui sont en master, on s'est tous souhaités d'échouer.
Que du bonheur et ça fait du bien.
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historiasdeldivan · 2 years
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arte-inmortal · 2 years
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coeurencrise · 3 years
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LOVICIDE / 1
    L'amour, responsable de la transition d'un homme à un monstre. L'amour transitoire est idiot, facile et désinvolte. On tombe sur une minette de dix-huit ans, haute comme trois pommes, avec du rose aux joues cachant une pâleur inhabituelle, on la chope, on se sent un peu salaud et on s'en entiche autant par affection que par affliction. Lana et moi, c'était ça mais en plus dingue.     Pourquoi elle plutôt qu'une autre ? En voilà, une bonne question ; une vraie, qui sermonne moins qu'elle n'interroge. Lana était chétive, inconsciente, bavarde. A priori, on se dit que c'est une frivole, l'exact opposé d'une mijaurée mais en pire, en coincée. Elle se tient comme une enfant de chœur, à l'autre bout de la pièce, avec une robe à fleurs lui arrivant aux genoux, et vous observe de ses joyaux oculaires tout ronds, faits d'opale et d'ambre. Il y a du miel dedans, la chaleur du crépuscule et le rabougrissement de l'aube, alors qu'ils demandent « ça va ? » sans eux-mêmes pouvoir y répondre.     Jamais elle ne changeait de robe. Fallait toujours qu'elle enfile la même à toutes les fichues soirées. Un champ de pâquerettes s'étendait du haut de ses jambes jusqu'à son col, sur lequel elle mettait un cache-cœur, un gilet, quelque chose. Elle ne faisait jamais la tête, la moue ou autre. C'était tantôt un oiseau en cage, tantôt un petit chat errant. L'instinct ne peut pas tromper sur son compte, elle était totalement ce qu'elle montrait. Vierge effarouchée ? Son hymen avait depuis des lustres été réduit au silence mais ses yeux à elle, troublés comme indifférents, non, habitués, parlaient. Ils parlaient en continus florilèges de parole. C'était de l'eau qui coulait, et parfois avec des larmes salées, océaniques. Lana était blonde « vénitienne », qu'elle répétait. Moins bête et moins intelligente qu'elle ne pouvait le laisser penser. Folle amoureuse mais plus folle, plus déraisonnable qu'amoureuse. Bornée, insoumise en dépit des coups qu'elle acceptait, enfin, contre lesquels elle ne luttait pas. C'était pas une fille facile mais pas une fille difficile non plus. Elle disait ni oui, ni non. Bizarre pour une personne aussi bavarde, pas vrai ? Bizarre de parler de tout sauf soi quand on a tant à dire sur le monde. En fait, je crois que son monde, c'était son reflet, ce pourquoi elle parlait jamais d'elle. Si elle voyait du jaune, si elle l'avait ancré en son petit cœur tout mou et enflé ; si j'étais fautif, elle l'était aussi. Effet boomerang ? Elle a pris chacun de mes crimes, l'a porté, l'a supporté dans le silence des agneaux offerts en sacrifice, croyant que dire « je t'aime » avec sa bouche, c'était donner le permis de tuer avec ses yeux. Elle jouait à la marelle en boitant, petite, et n'a jamais guéri de ça. Pour ça qu'on l'appelle ainsi : petite. Petite, tu boites. Petite, ta jambe est cassée. Petite, ça va ? Mais cette réplique là, c'était la sienne.     Dans son cercueil, je l'entends y répondre pour la première fois. Oui, ça va. Je ne souffre plus. Elle peut enfin le dire, bordel. Ses paupières closes, maquillées même pas subtilement pour cacher les bleus et les plaies, le disent. Je l'ai achevée, ai mis fin à ses vingt-neuf ans de torture. Elle était une création à laquelle on n'ose pas donner la finalité. Parce qu'elle est entamée, on ne peut plus reculer, faire comme si elle n'avait jamais existé et la jeter ; il faut la terminer. Dès qu'elle est née, il l'a fallu. Elle était pas tombée sur la bonne famille. La loterie de la vie lui a infligé tous les tourments avec lesquels on châtie normalement un homme comme son paternel – ou moi.       Je peux pourtant jurer que jamais je n'ai voulu la blesser, qu'aucun matin ne m'a connu avec un tel but en tête. Me réveiller avec aurait suffit à m'incriminer. Que je l'aimais, je le jure. J'étais un monstre, mais je l'aimais.     Il m'arrivait de lui chanter des berceuses, croyant puérilement que ça panserait ses blessures. Sa tête sur mes genoux, j'observais la forme de son crâne, sur lequel paraissaient être implantés des mèches de cheveux mal coupées. On aurait dit un mur où avait poussé du lierre tant elles partaient dans tous les sens, ou une Barbie maltraitée, et mes doigts grimpaient habilement dessus, très délicatement, pour lui rappeler que j'avais de la délicatesse. Mais j'entendais ses poumons siffler, sa pneumonie s'étant aggravée, et étais blessé par ce plein revers. Afin de moins avoir à endurer cette sonore manifestation de souffrance, je chantais plus fort et la camouflais comme on nettoie une scène de crime dans l'urgence et la détresse.     Une chanson douce pour Lana, moins hargneuse que le désinfectant et moins oppressante que les bandages, qu'il faut bien serrer pour sentir. Un air que l'on fredonne pour contrer l'insipidité de la vie fatiguée par la peau car la vie, c'est la putain de peau ; c'est le palpitement muet, palpable au sein des formes creuses et abjectes sommeillant en elle, que l'on désire à tout prix réveiller. Juste pour être sûr qu'on existe, ce caprice à la con.     Gamine, va. Sa peau, je la revois, toile où s'étiolaient les péchés sanguinaires. Nos amours étaient si réelles qu'elles semblaient se noyer dans l'imaginaire ; je sais qu'elles nous dépassaient tous les deux. Effarée, malingre et à la gestuelle bancale, sublimée par l'effroi du détour d'un couloir. Beauté inepte, carcérale, jamais froide, elle était la reine d'un royaume brûlant sous l'insoutenable étreinte du soleil. Effrayée elle était, c'est vrai, avec des poumons sifflants comme le grésillement d'un disque rayé que l'on force à tourner. Elle déambulait dans l'appartement, balbutiant à ma vue comme on distribue des sourires à de familiers inconnus. Des « bonsoir mon amour » aux « bonjour assassin » qu'elle devait intérieurement hurler, il n'y avait qu'un pas, qu'une claque.     « Quand tu me tueras, s'il te plaît, pose des lilas sur ma tombe », m'a-t-elle un jour dit, alors je l'ai fait. J'ai posé ce putain de bouquet de lilas avant de me mettre à pleurer. De m'agenouiller, le front contre le marbre dur et gris renfermant des histoires dont si peu ont idée. À celles et ceux qui regardent cette épitaphe indifféremment, permettez-moi de vous dresser le portrait d'un homme dont l'amour a fait un meurtrier.
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kaylinsmind · 3 years
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Lettre à Élise - Chapitre 1 : la rencontre
Élise est probablement le meilleur chat que j’ai et que j’aurai de toute ma vie.
Nous avons toujours eu des chats ; quand je suis née il y avait un chat dans mon berceau, et nous n’avons jamais vraiment vécu sans un de ces félins. Du moins, pas dans mes souvenirs. Au fil des ans, vivre avec des chats est devenu aussi vital que respirer. Et aujourd’hui, ce sentiment est encore plus profondément ancré en moi. Je suis malheureuse et mélancolique sans mes chats, c’est une vérité, un sentiment profond.
Ma mère faisait le ménage chez des particuliers. J’avais 21ans et j’habitais toujours chez elle car j’étudiais à l’université. Nous vivions avec deux chats, l’un était à elle et l’autre à mon petit frère. Et je dois dire que je me sentais seule. J’avais besoin d’un chat à moi, un chat avec lequel dormir, qui vivrait à mes côtés, dans ma chambre, un chat à qui parler, un chat qui ne refuserait pas mes câlins, un chat qui m’écouterait. Une dame chez qui ma mère travaillait avait une minette grise qui allait et venait au gré de ses envies dans le jardin. Elle n’habitait pas très loin de chez nous, et un jour, cette chatte est revenue pleine de bébés. Malheureusement, sa maîtresse ne pouvait pas garder les chatons et allait devoir les placer. Quand ils sont nés, ma mère leur rendait visite toutes les semaines, et elle les voyait partir les uns après les autres. A la fin, alors qu’il n’en restait plus que trois, et après une longue discussion avec son mari, ma mère a réussi à garder un chaton pour moi. Je n’avais qu’à choisir. Il restait deux mâles et une femelle, et je voulais une femelle. Elles sont généralement plus douces, plus affectueuses. Et quand j’ai vu ces petites boules grises aux grands yeux bleus, mon cœur n’a pas pu résister. Mais il me fallait à présent choisir un prénom pour ma future nouvelle amie. Je voulais donner un “vrai” prénom à cette petite boule de poils. Naturellement, ma mère m’a proposé “Plume”, puisque c’était l’année des “P”. C’était mignon, mais je ne parvenais pas à m’y faire. C’était également une époque où j’approfondissais ma culture musicale en écoutant de la musique classique et j’étais tombée amoureuse d’une composition en particulier : “La lettre à Élise”, de Beethoven. Lorsque je lui ai fais part de mon choix, ma mère n’a pas particulièrement apprécié, mais aujourd’hui, elle adore ce prénom et trouve que cela lui va à ravir.
Un jour, j’eus le droit de rendre visite à Élise afin de confirmer mon choix. Ses frères restant venaient jouer avec moi mais elle, elle restait cachée sous le canapé et je ne parvenais pas vraiment à la voir, mais cela ne m’étonnait pas. Ma mère me racontait que lorsqu’elle venait faire le ménage et qu’elle observait les petits félins, elle voyait toujours Élise dans son coin. Elle était la plus petite, la plus craintive et la plus calme. Cela ne fit que renforcer l’amour que j’avais déjà pour elle.
Quand j’ai pu la ramener à la maison, je l’ai tout de suite enfermée dans ma chambre afin qu’elle s’y habitue. Je voulais qu’elle vive avec moi. Et c’est ce qui s’est passé. Le lien que nous avons tissé toutes les deux est le plus fort que j’ai pu créer avec un chat. Elle dormait toujours sur moi : sur mes bras, lorsque j’étais à l’ordinateur (entravant ainsi certains de mes mouvements, mais cela n’avait pas l’air de la déranger) ; sur ma poitrine puis entre mes jambes la nuit dans mon lit ; à mes côtés sur le bureau lorsque je dessinais. Une relation forte s’était créée entre nous. Et celle-ci se renforçait de jour en jour. Élise devenait peu à peu mon âme sœur féline.
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phinae-simblr · 4 years
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Sept ans après !!!.... (Seven years later !!!)
Sept ans après, j’ai décidé de reprendre le cours de la vie des sims de la famille Lothario, laissée en plan pour.... hem... ils m’ont terriblement inspirée et dans le fond on ne s’était jamais vraiment quittés.
Il y a sept ans, donc, à l’été 2012 (au moment où j’ai créé ce tumblr), j’ai cessé de jouer avec eux. Ils ont déjà une longue histoire que j’avais contée sur mon ancien blog, que j’ai depuis privatisé puisqu’il ne s’y passait plus rien.
Je n’étais pas sûre d’avoir conservé une sauvegarde de mon jeu mais, après quelques recherches dans mon bazar de clés USB, j’en ai retrouvé une et, sept ans après, j’ai pu rouvrir cette maison et rejouer avec ces sims ! Hourrah !!
Je les avais quittés à Zarbville, où je les avais installés après moultes aventures. Mais j’ai préféré repartir d’une sauvegarde précédente où ils vivaient dans la baie de Belladonna. J’avais peu joué à Zarbville et cela ne change pas grand-chose au cours de l’histoire.
Revoici donc Don Lothario et sa petite famille :
Rose, sa femme, ancienne étudiante de l’université, qui travaille dans le journalisme, très belle brune à la peau noire et aux yeux bleus, l’un des très rares townies de la fac avec un physique agréable.
Yelinda, sa fille adolescente, née d’une brève liaison avec Sandra Gothik, qu’il n’a pas épousée. Yelinda vit avec lui depuis qu’il a quitté Montsimpa.
Donnie (que j’ai rebaptisé Jamie), le fils qu’il a eu avec Dina Caliente, veuve de Vladimir Gothik. Celui-ci vit avec sa mère, tous deux habitent une maison proche de celle de Don (qu’ils ont suivi à Belladonna).
Les deux ados portent le nom de leur père (merci Simpe), qui a noué de fortes relations avec eux.
Et enfin la petite dernière, Scarlett, née de Don et de Rose.
N’oublions pas Cricri, une minette siamoise qui travaille au cinéma en tant que star.
Don est chef de staff et a complété son désir à long terme, aussi il est d’aspi platine à vie, ce qui lui permet d’user et abuser de l’élixir de vie rajeunissant (sinon il serait senior depuis déjà un moment). Ses enfants sont tous trois du signe du Gémeaux et ont tous comme lui la passion du fitness. Rose en attend un quatrième, qui était né garçon à Zarbville. Cette fois, à ma reprise du jeu, elle était déjà enceinte et elle a eu une fille.
Je cherche un nouveau nom à leur quartier... J’ai townifié tous les autres sims, pas envie de jouer avec eux. 
Les images ci-dessus sont celles de leurs vacances d’il y a 7 ans, dans leur maison de vacances de Twikki, que Don a achetée (Sans tricher. Il a créé son patrimoine en accumulant les promos et les primes). Yelinda y avait rencontré son petit ami, un vendeur de plage. J’avais fait toute une vidéo avec elle en vedette, à l’époque, très sympa, mais Youtube avait censuré la musique à cause des droits d’auteurs. C’était “Moi Lolita” d’Alizée, parfaite en la circonstance.
J’ai un vrai plaisir à tous les retrouver pour rejouer avec eux, comme de vieux amis qu’on revoit après tant d’années !
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