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#Civilité
uwmspeccoll · 1 month
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It’s Fine Press Friday! 
This week, in honor of Ramadan, we’re taking a peek at a 1958 Limited Editions Club (LEC) publication of The Koran: Selected Suras from our collection. This modern, handsomely bound and illustrated collection of texts from the Qu‘ran was translated into English by Australian American scholar of Asian studies Arthur Jeffery (1892-1959), and features decorations in grayed blue and red ink from Italian American printmaker, illustrator, and author Valenti Angelo (1897-1982). The title page and the page opposite the opening sura were also hand-illuminated in gold by Angelo. The text, which features Bembo type and Civilité headings, is printed in black ink on custom made tan Arak paper from Curtis Paper Company, a paper mill in Newark, Delaware known for its manufacture of high-quality rag papers using 19th-century Fourdrinier machinery. The work was printed by Abraham Colish (1882–1963, otherwise known as A. Colish) and bound in cloth covered boards which were hand stamped with decorations in blue, red, and gold. It was released in an edition of 1500 copies, all of which were signed by the illustrator.  
رمضان مبارك (Ramadan Mubarak) 
Find more materials related to the Quran (including original manuscripts and alternate translations in Latin, French, and German) in UWM’s Special Collections 
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-- Ana, Special Collections Graduate Intern
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lounesdarbois · 1 month
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suppaiku · 2 years
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Masque fatigue, mais ici, on continue. Le Japon a globalement 20 fois moins de morts que les autres pays occidentaux et nous n’y avons eu qu’un seul confinement - relativement soft- et pas de pass sanitaire du tout. En revanche on est vaccinés, on porte le masque depuis janvier 2020 et on aère partout. Les autorités sanitaires nous encouragent à tomber le masque en extérieur, là où il y a peu de monde. Ailleurs c’est toujours recommandé. J’aime cette forme de pragmatisme et d’attention pour les autres. Gardez le masque. . . #japon #japan #covid_19 #covi̇d19 #coronavirus #tokyo #civisme #civilité #vaccin https://www.instagram.com/p/CexoOqABT2F/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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palafoxiana · 6 months
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Voilà donc le thème de ce blog. L'érotisme et la pornographie à travers les mots. Des auteurs divers, certains récents, d'autres beaucoup plus anciens, quelques uns au style soigné, la plupart sans intérêt littéraire, tous chantent le plaisir (surtout celui de l'homme). Leur imagination est sans limite.
A l'issue de chaque extrait, vous trouverez un lien vers le roman afin de le télécharger si vous souhaitez mieux le découvrir
Table des liens :
On ne naît pas soumise, on le devient - Manon Garcia
Golden Boys lintégrale - Fleur HANA
La vie sexuelle de Blanche-Neige - Etienne Liebig
Confession de mes 7 péchés capitaux - Julie Bray
Contes pour petites filles perverses - Nadine Monfils
L'érotisme arabe - Malek Chebel
Gamiani ou Deux nuits d'excès - Alfred de Musset
Fille à vendre - Dïana Bélice
Pouvoir et soumission - Caralyn Knight
La maison sur le Nil ou les apparences de la vertu - Pierre Louÿs
Les vierges et autres nouvelles - Irène Nemirovsky
Les pornographes - Traduit du japonais par Jacques Lalloz
Haikus érotiques - Jean Cholley
Golden boys 5.2 Final - Fleur Hana
Aphrodite (mœurs antiques) - Pierre Louÿs
La femme du notaire - Esparbec (les interdits)
Jean-Jacques Pauvert - Editeur en roue libre
Lectures amoureuses - Jean-Jacques Pauvert
Pybrac - Pierre Louÿs
Le plan Q - Jean-François Bayart
Poèmes érotiques - Paul Verlaine
La bourgeoise - Gil Debrisac
Baisée par mon prof - Valérie Delatour
Les exploits d'un jeune Don Juan - Guillaume Apollinaire
Baise-moi - Virginie Despentes et Version femmes plurielles, relire Baise-moi de Virginie Despentes - Nadia Louar
Le livre de cul dont vous êtes l'héroïne - Aurélie Stefani
La photographie érotique - Klaus Carl
Le rideau levé ou l'éducation de Laure - Honoré Gabriel Riqueti de Mirabeau
Il a fait de moi sa poupée de chair - Clotilde A.
Histoire de l'œil - Georges Bataille
Anthologie de la fellation en BD - Nicolas Cartelet
Monsieur est servi - Esparbec
Dictionnaire érotique - Alfred Delvau
Les onze mille verges ou les amours d'un hospodar - Guillaume Apollinaire
Dressage d'une secrétaire - Alégarec
Histoire d'O - Pauline Réage et Pour une lecture narratologique d'Histoire d'O - Muriel Walker
Trois filles et leur mère - Pierre Louÿs
Les yeux de Pandora - Manara - Cerami
Manuel de civilité pour les petites filles à l'usage des maisons d'éducation - Pierre Louÿs
Anthologie de la sodomie - Bernard Guerin
Comment draguer la catholique sur les chemins de Compostelle - Etienne Liebig
Fantasme de femme, le faire sans le dire, le dire en le faisant - Esparbec
Liens vers la photothèque :
Master & servant
Sexual healing
Anal
Blowjob
Lolita
Lesbos
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 20
Je retrouve Marc à la maison le samedi après midi. Je lui raconte mes dernières péripéties et de lui faire voir les enregistrements. Il rigole du boss mais trouve le jeune intéressant. Je sais que ce terme recouvre beaucoup plus de choses que l'on pourrait penser. Il me demande plus précisément ce que j'en pense. Je lui dis que Sébastien m'a filé son numéro perso pour que je le rappelle. Que c'est un timide, mais qui à l'air d'apprécier ce qui lui arrive.
Il me demande alors de faire en sorte de le lui amener, car il verrait bien sa nouvelle tête dans notre groupe de " travail " ! Je lui demande jusqu'où il m'autorise à aller, sa réponse fuse " jusqu'à lui donner ton cul si nécessaire ". au moins ça a le mérite d'être clair, il le veut ! et m'ordonne de le rappeler. Je fais le numéro, 4 sonneries et Seb décroche. Je me présente et après quelques civilités (on s'est quand même vu le matin même !) il me propose de venir courir avec lui le lendemain matin, car il connaît un parcours sympa. Un coup d'oeil à Marc m'autorise à accepter. Nous fixons 10 heures chez lui.
À peine ai je raccroché que Marc se lève. Je n'avais pas vu qu'il avait sorti son service trois pièces et c'est dans ma gorge qu'il lui a trouvé une destination, me défonçant le larynx d'excitation. M'appliquant bien sur toute la longueur de sa hampe, je l'ai amené doucement à me remplir la bouche de son jus délectable avalant à grands traits au fur et à mesure de son éjaculation.
Le dimanche matin, je me levais tôt pour me préparer. Rasage, épilation, lavement, à la sortie de la salle de bain j'étais prêt. Marc avait choisi mes sous-vêtements (short blanc moulant), t-shirt blanc, ma combinaison moto (la une pièce qui me moule comme une deuxième peau) et dans mon petit sac à dos, un jocko, un t-shirt de rechange et un cycliste bien moule burnes avec mes chaussures. J ;"enfilais mon casque sur la tête et après une demi-heure je sonnais à la porte de l'immeuble.
Sébastien déclencha l'ouverture et me donna l'étage de son appart. Il m'attendait sur le palier déjà prêt en jogging. Il me fit entrer. Appart sympa de jeune cadre, type 2 avec balcon, quelques meubles de designers branchés. Il me conduit à sa chambre et me propose de m'y changer. Je me mets à poil devant lui qui est resté pour discuter. J'enfile mon jock strap, il me demande si je porte toujours cela pour le sport? je lui réponds que oui, mais pas que pour le sport ! il rosit un peu, je finis de m'équiper. Nous partons en voiture (il a une A3) jusqu'à une entrée de bois. Là à ma surprise il retire son jogging pour apparaître dans la même tenue que moi, t-shirt et cycliste. Il me demande de choisir entre 5 et 10 ;Km , nous partons pour 5, je tiens à avoir un peu de temps pour le "chauffer". Je le suis, nous nous enfonçons dans le bois suivant un sentier bien balisé. Devant moi, j'ai la vue sur son beau petit cul rond bien appétissant. Nous faisons le parcours d'une seule traite, croisant ou doublant de temps en temps quelques sportifs du dimanche. Nous rejoignons la voiture en sueur, les 100 derniers mètres ayant été sprintés !
Nous regagnons son appart. Il me propose de me doucher. Je lui fais la remarque que je ne serais pas parti sans ! il me conduit à la salle de bain. Je me mets nu et fais couler l'eau sur mon corps. Je cherche le gel douche, rien. J'appelle Seb qui entre aussitôt, à croire qu'il était de l'autre coté de la porte ! je sors la tête de la douche et lui demande le gel. Il me tend le flacon. Je vois bien son sexe bandé sous le Spandex de son cycliste. La douche est grande, je lui dis qu'on gagnerait du temps à la prendre ensemble. Troublé, il dit oui et se met à poil à son tour. Il me rejoint et nous savonnons. Il me tourne le dos, je le lui savonne. Il frissonne (peut-être le souvenir de l'autre fois ?), mais me laisse faire. Je le fais pivoter, baissant un peu ma tête, je lui prends les lèvres puis la bouche mettant toute mon expérience dans ce baiser.
Il fond ! je sens ça bite regonfler entre nous deux et venir appuyer sur mes couilles. Nous restons bien 1/4 heure collés ainsi sous le jet d'eau. Quand j'essaye de m'écarter, il me retient dans ses bras. Je le laisse faire. La fin du ballon d'eau chaude nous expulse de la douche.
Nous nous séchons mutuellement. Une certaine gêne s'installe, et nous regagnons le séjour la serviette sur les reins. Il me propose à boire, j'accepte, il part à la cuisine je le suis sans bruit. Quand il se retourne après avoir pris une bouteille dans le frigo, je plaque mon corps contre le sien le bloquant contre la porte. Je rattrape au vol la bouteille qui allait s'écraser au sol et reprend là où nous nous étions arrêtés c'est-à-dire avec ma langue dans sa bouche ! Nos serviettes glissent et je sens de nouveau sa bite venir buter sur mes couilles.
Brusquement, il se rend compte que ses voisins peuvent nous voir au travers de la porte-fenêtre donnant sur le balcon. Il se baisse pour attraper les serviettes et nous en couvrir le sexe. Il m'entraîne dans le séjour où des rideaux de voile nous cachent de l'extérieur.
Je le couche sur le canapé et commence à le caresser. Mes lèvres glissent de sa bouche sur sa gorge puis descend sur sa poitrine trouvant son téton gauche, je m'y fixe un instant qui s'allonge au vue de la réaction engendrée. Mon nouvel ami m'a l'air bien sensible et alors que je sens gonfler le petit morceau de chair entre mes dents, son souffle s'accélère. Je me redresse et passe à l'autre téton. Même sensibilité, je cesse et reviens l'embrasser. Il me serre très fort dans ses bras. Il se calme et je peux repartir en exploration. Je redescends donnant juste un coup de langue sur le téton en passant. Je laisse traîner ma langue au milieu de ses abdos bien dessinés, m'attarde un instant dans son nombril. De là j'ai une vue en gros plan de son gland. Sa bite bandée au maxi, est plaquée sur son ventre. Comme l'avait prédit Marc elle doit bien avoisiner les 19cm.
Je sors ma langue de son nombril et la pose sur le gland. Sursaut de la "bête". Je recommence, rebelote ! à la troisième fois, je prends tout son gland dans ma bouche, l'empêchant ainsi de m'échapper. Il pousse un cri de plaisir. je le laisse se calmer sans bouger. Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite. Je continue lentement mon pompage, prenant de plus en plus de centimètres dans ma bouche puis ma gorge. Les premiers passages du gland sous ma glotte le surpris agréablement, je l'ai senti relever la tête pour me regarder faire puis, sa curiosité assouvie, il la reposa.
Alors que j'arrivais à l'avaler entièrement, j'ai senti son corps se tendre, j'ai tout arrêté. Il était temps pour un peu il giclait. Alors que j'approchais mon visage du sien, il prit ma tête entre ses mains et m'a attiré pour me rouler une pelle. Il me dit que c'était la première fois qu'on le suçait comme ça. Les quelques meuf qui voulaient bien le sucer prenaient en général pas plus de la moitié. Je lui expliquais qu'il leur manquait l'appétit, mais lui confiais aussi qu'il fallait un peu d'entraînement pour y arriver sans vomir.
Plein de bonne volonté, il me dit de prendre sa place et essaya de me rendre la pareille. Passage de la bouche aux tétons (un peu moins sensibles que les siens) puis il me goba le gland. Doucement il pompa de plus en plus profondément jusqu'à buter sur la luette, il en restait encore bien 8cm en dehors. Après l'avoir laissé s'étrangler à essayer d'en avaler plus, je me suis redressé et lui ai demandé de se coucher sur le dos sur sa table basse. ;Je lui ai placé la tête en dehors du plateau et lui ai poussé la tête en arrière. En même temps je lui expliquais pourquoi cela je me suis agenouillé devant lui. Je lui mis mon gland dans sa bouche puis doucement suis entré jusqu'à la glotte. Alors qu'à ma demande il déglutissait, je me suis enfoncé dans sa gorge. Aussitôt je me suis retiré pour le laisser respirer. J'ai recommencé plusieurs fois, sortant toujours aussi vite pour lui éviter les renvois. Lorsque je suis rentré entièrement, j'ai stoppé la leçon. Je lui avais démontré que lui aussi y arriverait sans problème.
Il me dit avoir aimé cela malgré les contractions de son estomac. Assis sur le tapis, tous les deux cote à côté adossés au canapé, je lui demandais jusqu'où il voulait aller avec moi ? je lui dis alors que j'étais bi tendance très gay. Il me répondit que pour lui la question ne s'était jamais présentée avant moi et que jusque-là les meufs le contentaient. Mais depuis qu'il me connaissait, les découvertes qu'il faisait lui ouvraient de nouveaux horizons.
Là dessus il me bascula et nous avons roulé sur le tapis en s'embrassant. Comme il glissait vers ma bite, je l'ai fait pivoter tête-bêche pour un 69. après avoir bien salivé sur mes doigts, je profitais du fait qu'il perde pieds sous ma fellation pour lui en enfiler un puis deux dans le cul. Trop neuf dans cette pratique, il se mit à jouir et j'ai juste eu le temps de l'expulser de ma bouche avant de recevoir sa crème sur mon cou et mes pecks. Bien que son excitation soit retombée, il se remit à me sucer jusqu'à ce que je jute à mon tour sur mes abdos.
Après un bon 1/4 heure de récupération, je reprends une douche rapide. De l'autre coté du panneau vitré, Seb me mitraille de questions pour savoir comment j'étais devenu homo, pourquoi ? si j'avais aimé ça dès la première fois ? Où j'en étais maintenant ? etc. J'édulcorais pas mal mon parcours pour le rendre plus "politiquement correct", lui avouant quand même être en couple, mais de façon très libre.
Une fois habillé, je suis parti rejoindre mon Marc et tout lui raconter.
JARDINIER
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shebadbaby · 2 months
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Hymne à la femme primordiale :
Imaginez-moi dans les mauvaises herbes
Avant d'apprendre la civilité
J'avais l'habitude de crier férocement
Chaque fois que je voulais
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aurevoirmonty · 5 months
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"Tu ne verras jamais des statues de cinquante pieds de haut de seigneurs de guerre et d'empereurs, ni ne ressentiras le triomphe de la conquête. Tu ne verras jamais l'homme vivre comme les anciens rêvaient qu'il le ferait, tout simplement parce qu'un couple de rats s'est frayé un chemin jusqu'à des positions de pouvoir. Ils ont dit que le passé est faux. Ils ont dit que des envahisseurs devraient prendre ta terre. Ils ont dit que c'est acceptable d'adopter l'apathie. Tu es une victime de la technocratie, d'un abus appelé 'civilité.' On t'a privé d'une vie sincère et épanouissante."
Mike Ma, Architecture du harcèlement
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memoriae-lectoris · 9 months
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Manners books have supplied the sociologist Norbert Elias with data upon which he has built a coherent theory of the development of Western inhibitions since the Renaissance. Elias claims that at that point—specifically from 1530, the date at which Erasmus published his short treatise on manners, which he called de civilitate morum puerilium (On the Civility of the Behaviour of Boys)—momentous changes began in our history.
The medieval concept of manners, called “courtesy” because it was practised by noblemen at court, begins to be called “civility,” a term for a wholly new system of bodily propriety, which is henceforth applicable to all citizens, not merely the elite. “Civility” governs far more behaviour than table manners. The seven chapters of Erasmus’s treatise concern body posture and facial expression, dress, behaviour in church, table manners, conversation, and comportment at play and in the bedroom.
From this point onwards, Elias claims, bodily functions came to be displayed in public less and less. People began to refrain in company from belching, farting, excretion, and spitting. Eventually, even speaking and writing about these things (Erasmus had been quite unembarrassed about mentioning them) was to be banned in polite society.
As Elias puts it, “walls” of restraint and embarrassment grew up between people; where once dinner was handled by the whole group, and cutlery, dishes, and goblets passed about for all to use, now each person had his or her own implements. As time went on it was insisted that no one touch even his own food with his hands except in certain specific cases, and postures were devised which would make even brushing against another person at table as unlikely as possible.
The new manners—both the formal rules of protocol and precedence and the unspoken, more profoundly enculturated rules like table manners—were seen increasingly, according to Elias, as ways in which one did not offend other people. You were controlling yourself, so as to prevent other people from being disgusted or “shocked.” People lived very closely together at Versailles; everyone was watched by everyone else, and actual physical proximity helped raise some of the new sensitivity to other people’s real or imagined susceptibilities.
Men were expected on the whole to give up physical force as a means of getting their way, and—as always when “the graces” are preferred over brute strength—women began to count for more.
Within the aristocratic court circle, people became, in spite of the obsession with rank, far more equal. Secure in the knowledge that just being at court was the pinnacle of prestige, from which most of society was shut out, courtiers could permit themselves to respect each other.
As the bourgeoisie became richer and more indispensable even at court, they demanded—and were given, by self-appointed experts who wrote manuals for them—instruction in how to behave as people did in “the best circles.” In 1672, Antoine de Courtin produced Nouveau traité de la civilité qui se pratique en France parmi les honnestes gens (The New Treatise of the Civility Which Is Practised in France Among Honest People). (“ Honest”—honnête—kept its original association with honour and the opposite-but-supporting notion, shame.)
Where cutlery, dishes, and seating arrangements are concerned, manners in the West have changed in significant respects—although only very slowly, as in the case of the adoption of the fork.
But the old ways, of eating with the fingers and sharing the drinking vessel, involved manners, too—manners particular to those ways of eating and drinking. The careful rules governing those old ways became obsolete as the new implements took over and demanded (as well as being created for) new ways of behaving. The counsel that people should not scratch themselves at table, for instance, becomes less common as access to soap and hot water reduces the discomfort at the root of the habit. In other words technological change, brought about in part by demands for increased physical protection and isolation from other people, in turn forces up the barriers and standards that structure our most intimately personal choices.
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aisakalegacy · 2 years
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Automne 1884, Hylewood, Canada (6/6)
À vrai dire, ce n’est même pas ce qui nous inquiète le plus. Au moins, quand Virgile est dans le jardin, nous savons où il se trouve et ce qu’il fait. Mais il lui arrive de partir sans rien dire à personne et de disparaître plusieurs jours dans le bois. Qui sait ce qu’il y trame ? Il a des délires mystiques et il se dit hellène. Il pratique la religion grecque antique. Il suspend des guirlandes et élève des petits autels de gazon à Pan… Il est aussi adepte de pratiques chamaniques et orientales, comme la méditation. Il peut rester assis des heures à s’extasier du bruit du vent dans les feuilles, et nous rabats les oreilles avec des histoires de « véritable nature humaine ».
Oui, vraiment, nous sommes très inquiets. Outre celui de Marie, laquelle nous rend très fiers, le passage à l’adolescence de mes filles avait été compliqué, et je croyais avoir été épargné en ce qui concernait mes fils. Nous nous sommes malheureusement trompés…
Vous me demandez, dans votre lettre précédente, des conseils concernant la relation privilégiée que votre frère Maximilien entretien avec votre neveu Adelphe, au détriment de son fils Constantin. Je pense qu’il est naturel qu’il souhaite compenser l’absence de parents disparus, en démontrant davantage d’affection à cet enfant. Constantin vous parait-il négligé ou en souffrance quant à cette situation ? Je ne sais pas si je suis la bonne personne à qui demander des conseils en matière d’éducation : voyez comment mes enfants ont tourné… 
Mille civilités cordiales et empressées,
Auguste Le Bris
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whatdoesshedotothem · 2 years
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Sunday 11 May 1834
7
1 ¼
fine but dullish F51 ½° at 8 25 – downstairs at 8 ½ - ¾ hour with my father and Marian – breakfast alone in the drawing room in 20 minutes – at my desk at 9 40 to 12 – then in 50 minutes read prayers and one of Mr Knight’s sermons to my aunt - Letter 3 pages and 2/3 page 1 crossed from Miss Walker Heworth Grange - Matthew arrived at 6 ½pm  yesterday – Sarah to be at Lidgate at 7 ½ pm on Tuesday – the lodging to be kept probably till 2 June - the theatre dividend to be paid to me – to sketch at Richmond not Rokeby – Mr Brown will be there at 12 at noon next Wednesday week – being off from York per coach at 8am on that day – 44 miles in 4 hours! must be some mistake – I am not to get at Heworth Grange till 20th – will I go forward on that day or set off at 6am the day following – shall Miss W- write in my name to the Inn and have rooms ready for us? have written back no! I will be
SH:7/ML/E/17/0030
at Heworth Grange at noon on Tuesday week, order horses en passant and Miss W- being ready we will go forwards immediately – be at liberty as to sleeping and stop for the night where it may suit us best - I shall not let her go 44 miles in the morning and then sketch all the afternoon – shall manage so that she may have as little fatigue as possible – say I shall send this evening to let Mrs Fitton know of Sarah’s return and write note to Washington to tell him of it and tell him to pay Miss W-‘s theatre dividend to me and to tell widow Mallinson about her little boy going to the national school in my sister’s name and a little girl (if she has one she wishes to go) going in Miss W-‘s name – wonder what Miss W- is so busy about that I am not to be with her before the 20th - if Mrs H.S.B- (going to  Harrogate on Thursday) can’t go with her to return the call (of last Thursday) of Mrs Milne and Miss Belcombe, Miss W- to go by herself and talk as much as she can and stay 10 minutes or ¼ hour – had before and after prayers (before writing to Miss W-) written 3 pages and ends and under the seal and ¾ the 1st page crossed pretty small and close to IN- advice and addresses for Paris - she asked if they should go to Meurices - by all means to go to Meurice’s - rather dearer but more comfortable and less fear of imposition - to write and tell him to have rooms ready for them to be from 100 to 150 francs per week - to provide carriage and laquais de place - the latter to meet them at the diligence bureau whether Meurice could take them in or not - to write to Quillacq to have rooms ready for them, and commissionnaire waiting for them on landing, and to take coupé for them in the diligence of Lafitte Caillard and compagnie, if he could on account of its stopping nearer to Meurice’s - to order gloves chez Privat the 1st thing, and also order Galignani’s messenger for a fortnight, to have it rather cheaper and more regularly than they would know all that was to be seen - wrote in red ink between the top lines of page 1, the following ‘Form of note to ask to see anything  ‘Madame Norcliffe offre ses civilités très empresses  à --------- et le or la (him or her) prie de vouloir bien lui accorde une permission pour aller voir ---------------- to a tradesperson  Madame Norcliffe prie monsieur, or madame, or mademoiselle ------------- de vouloir bien passer chez elle ce matin, ce soir, pendant la journée, demain, l’après demain, or whenever you like’  say (under the seal) I shall leave here early on the 20th for Heworth Grange, and be off in the afternoon on one little excursion which Mrs Norcliffe knows all about - ‘you shall hear more about myself when we meet - I am exceedingly satisfied and comfortable - now room to tell you more now - I beg my best love to you all and am and shall be always my dearest Isabella very very affectionately yours AL’ - asked her to write on her return home - she would have no time while away, and I should surely hear of her from her mother - asked her if she had occasion to call at Lafitte’s, but not otherwise, to inquire if they had received my small packet of French plate from Calais - dinner at 6 – coffee – Marian and come to me and stood talking till 8  -then wrote the whole but the 1st line and half of today - just added (under the seal) that  Joseph brought a good account of Sarah’s daughter (sent him off at 6 ½ with my note to Mr Samuel Washington Crownest and with the message to Lidgate vide line 5 et seq. last page) and sent off at 8 40 my letter to ‘Miss Norcliffe Langton Hall Malton’ and to ‘Miss Walker Heworth Grange York’ - note today after church printed from the Literary and philosophical society to say the monthly meeting for May will on the 12th inst. and that the 1st stone of the museum will be laid on Friday the 16th inst. on which occasion the attendance of the members and subscribers is requested - ‘it is further proposed, that, in celebration of the occurrence they afterwards dine together, at the White Swan - tickets for the dinner (restricted to the members and subscribers and the families) 15/. each. Dinner to be on the table at 4 o’clock precisely’ - ‘it is desirable that those gentlemen who purpose attending the dinner leave their name  with the Keeper of the Museum, on or before Tuesday, the 13th inst.!!!’  from 9 to 12 except 20 minutes with my aunt wrote 3 prayers to M- tolerably small and close - reading the morning Herald till 12 50 - very fine day F56° now at 12 50 tonight
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halfabird · 2 days
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Antoine Boute, Stéphane de Groef, Adrien Herda, Manuel de civilité Biohardcore
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ttantta · 23 days
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La Ilustración. Aún mejor, la Ilustración francesa: charlas y comer y porcelana y cortesía y civilité y todo es posible.
Cartas a Camondo
Edmund de Waal
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Les textes mentionnant que les titres de civilité ne constituent pas un élément de l'état civil dans un cadre relatif à l'identité de genre sont les décisions MLD-2014-058 du 27 mars 2014 et MLD-2015-228 du 6 octobre 2015.
De plus, la MLD-2015-228 :
Rappelle que les établissements bancaires doivent prendre toutes les mesures nécessaires afin de : - procéder sans délai à la modification des prénom(s) en cas de changement judiciaire de prénom, et à la modification des prénom(s) et du sexe qui auraient fait l’objet d’une modification à l’état civil ; - permettre l’usage du prénom usuel, notamment des personnes transgenres; - permettre la suppression des titres de civilité, qui ne constituent pas un élément de l’état civil, pour les personnes transgenres dont le sexe figurant à l’état civil n’a pas été judiciairement modifié sur leurs documents bancaires courants (relevés de compte, cartes bancaires, chéquiers, etc).
Pour plus de documents du Défenseur des Droits sur les identités de genre, il est possible de trier les recherches. Tout les documents ne sont cependant pas en ligne et tous ne sont pas des décisions.
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pbo · 1 month
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"Quand la pluie est passée, on cherche là où elle est passée et on en trouve."
L'homme spirituel est une chose, et son enveloppe terrestre et physique, une autre chose. Que la nature , cette immense combinaison de corrélations de forces physiques toujours en route vers la perfection, doit se servir des matériaux qu'elle a sous la main : elle modèle et remodèle sans cesse au fur et à mesure qu'elle avance dans son œuvre et, en couronnant cette œuvre par l'homme…
L’homme est pour peu que les circonstances sociales lui soient favorables un animal honnête, travailleur, coopératif, aimant qui, dans un contexte rationnel donné, sait aussi haïr.
Or, il n’est pas possible de desserrer la structure caractérielle de l’homme d’aujourd’hui et de pénétrer dans sa couche profonde et pleine de promesses sans écarter auparavant la couche superficielle, inauthentique et faussement sociable. Si le masque de la civilité tombe, ce qui apparaît n’est pas d’abord la sociabilité naturelle, mais la couche de caractère perverse, sadique.
Plus tard, il fut appliqué à un idéal éthique et social défini, de vie disciplinée, de conduite droite, de noblesse, de pureté, de courage, de franchise, de courtoisie, de bienveillance, d'humanité, de compassion, de protection des faibles, de libéralité, de désintéressement, d'avidité pour la connaissance, de respect pour les savants et les sages, d'accomplissement de tous les devoirs, et de perfection sociale.
Pour les Védas, les Aryens étaient ceux que réunissait une commune aspiration, un même idéal de vie intérieure et extérieure.
Car tel était ainsi l'idéal combiné du Brahmane et du Kshatrya. Tout ce qui s'écartait de cet idéal tout ce qui apparaissait obscur, grossier, mesquin, sordide, faux ou méchant était qualifié de "non-aryen". En vérité il n'y a pas de mot qui ait eu plus noble sens dans la langue humaine….
@Noël Mottais 
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 20
Je retrouve Marc à la maison le samedi après midi. Je lui raconte mes dernières péripéties et de lui faire voir les enregistrements. Il rigole du boss mais trouve le jeune intéressant. Je sais que ce terme recouvre beaucoup plus de choses que l'on pourrait penser. Il me demande plus précisément ce que j'en pense. Je lui dis que Sébastien m'a filé son numéro perso pour que je le rappelle. Que c'est un timide, mais qui à l'air d'apprécier ce qui lui arrive.
Il me demande alors de faire en sorte de le lui amener, car il verrait bien sa nouvelle tête dans notre groupe de " travail " ! Je lui demande jusqu'où il m'autorise à aller, sa réponse fuse " jusqu'à lui donner ton cul si nécessaire ". au moins ça a le mérite d'être clair, il le veut ! et m'ordonne de le rappeler. Je fais le numéro, 4 sonneries et Seb décroche. Je me présente et après quelques civilités (on s'est quand même vu le matin même !) il me propose de venir courir avec lui le lendemain matin, car il connaît un parcours sympa. Un coup d'oeil à Marc m'autorise à accepter. Nous fixons 10 heures chez lui.
À peine ai je raccroché que Marc se lève. Je n'avais pas vu qu'il avait sorti son service trois pièces et c'est dans ma gorge qu'il lui a trouvé une destination, me défonçant le larynx d'excitation. M'appliquant bien sur toute la longueur de sa hampe, je l'ai amené doucement à me remplir la bouche de son jus délectable avalant à grands traits au fur et à mesure de son éjaculation.
Le dimanche matin, je me levais tôt pour me préparer. Rasage, épilation, lavement, à la sortie de la salle de bain j'étais prêt. Marc avait choisi mes sous-vêtements (short blanc moulant), t-shirt blanc, ma combinaison moto (la une pièce qui me moule comme une deuxième peau) et dans mon petit sac à dos, un jocko, un t-shirt de rechange et un cycliste bien moule burnes avec mes chaussures. J ;"enfilais mon casque sur la tête et après une demi-heure je sonnais à la porte de l'immeuble.
Sébastien déclencha l'ouverture et me donna l'étage de son appart. Il m'attendait sur le palier déjà prêt en jogging. Il me fit entrer. Appart sympa de jeune cadre, type 2 avec balcon, quelques meubles de designers branchés. Il me conduit à sa chambre et me propose de m'y changer. Je me mets à poil devant lui qui est resté pour discuter. J'enfile mon jock strap, il me demande si je porte toujours cela pour le sport? je lui réponds que oui, mais pas que pour le sport ! il rosit un peu, je finis de m'équiper. Nous partons en voiture (il a une A3) jusqu'à une entrée de bois. Là à ma surprise il retire son jogging pour apparaître dans la même tenue que moi, t-shirt et cycliste. Il me demande de choisir entre 5 et 10 ;Km , nous partons pour 5, je tiens à avoir un peu de temps pour le "chauffer". Je le suis, nous nous enfonçons dans le bois suivant un sentier bien balisé. Devant moi, j'ai la vue sur son beau petit cul rond bien appétissant. Nous faisons le parcours d'une seule traite, croisant ou doublant de temps en temps quelques sportifs du dimanche. Nous rejoignons la voiture en sueur, les 100 derniers mètres ayant été sprintés !
Nous regagnons son appart. Il me propose de me doucher. Je lui fais la remarque que je ne serais pas parti sans ! il me conduit à la salle de bain. Je me mets nu et fais couler l'eau sur mon corps. Je cherche le gel douche, rien. J'appelle Seb qui entre aussitôt, à croire qu'il était de l'autre coté de la porte ! je sors la tête de la douche et lui demande le gel. Il me tend le flacon. Je vois bien son sexe bandé sous le Spandex de son cycliste. La douche est grande, je lui dis qu'on gagnerait du temps à la prendre ensemble. Troublé, il dit oui et se met à poil à son tour. Il me rejoint et nous savonnons. Il me tourne le dos, je le lui savonne. Il frissonne (peut-être le souvenir de l'autre fois ?), mais me laisse faire. Je le fais pivoter, baissant un peu ma tête, je lui prends les lèvres puis la bouche mettant toute mon expérience dans ce baiser.
Il fond ! je sens ça bite regonfler entre nous deux et venir appuyer sur mes couilles. Nous restons bien 1/4 heure collés ainsi sous le jet d'eau. Quand j'essaye de m'écarter, il me retient dans ses bras. Je le laisse faire. La fin du ballon d'eau chaude nous expulse de la douche.
Nous nous séchons mutuellement. Une certaine gêne s'installe, et nous regagnons le séjour la serviette sur les reins. Il me propose à boire, j'accepte, il part à la cuisine je le suis sans bruit. Quand il se retourne après avoir pris une bouteille dans le frigo, je plaque mon corps contre le sien le bloquant contre la porte. Je rattrape au vol la bouteille qui allait s'écraser au sol et reprend là où nous nous étions arrêtés c'est-à-dire avec ma langue dans sa bouche ! Nos serviettes glissent et je sens de nouveau sa bite venir buter sur mes couilles.
Brusquement, il se rend compte que ses voisins peuvent nous voir au travers de la porte-fenêtre donnant sur le balcon. Il se baisse pour attraper les serviettes et nous en couvrir le sexe. Il m'entraîne dans le séjour où des rideaux de voile nous cachent de l'extérieur.
Je le couche sur le canapé et commence à le caresser. Mes lèvres glissent de sa bouche sur sa gorge puis descend sur sa poitrine trouvant son téton gauche, je m'y fixe un instant qui s'allonge au vue de la réaction engendrée. Mon nouvel ami m'a l'air bien sensible et alors que je sens gonfler le petit morceau de chair entre mes dents, son souffle s'accélère. Je me redresse et passe à l'autre téton. Même sensibilité, je cesse et reviens l'embrasser. Il me serre très fort dans ses bras. Il se calme et je peux repartir en exploration. Je redescends donnant juste un coup de langue sur le téton en passant. Je laisse traîner ma langue au milieu de ses abdos bien dessinés, m'attarde un instant dans son nombril. De là j'ai une vue en gros plan de son gland. Sa bite bandée au maxi, est plaquée sur son ventre. Comme l'avait prédit Marc elle doit bien avoisiner les 19cm.
Je sors ma langue de son nombril et la pose sur le gland. Sursaut de la "bête". Je recommence, rebelote ! à la troisième fois, je prends tout son gland dans ma bouche, l'empêchant ainsi de m'échapper. Il pousse un cri de plaisir. je le laisse se calmer sans bouger. Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite. Je continue lentement mon pompage, prenant de plus en plus de centimètres dans ma bouche puis ma gorge. Les premiers passages du gland sous ma glotte le surpris agréablement, je l'ai senti relever la tête pour me regarder faire puis, sa curiosité assouvie, il la reposa.
Alors que j'arrivais à l'avaler entièrement, j'ai senti son corps se tendre, j'ai tout arrêté. Il était temps pour un peu il giclait. Alors que j'approchais mon visage du sien, il prit ma tête entre ses mains et m'a attiré pour me rouler une pelle. Il me dit que c'était la première fois qu'on le suçait comme ça. Les quelques meuf qui voulaient bien le sucer prenaient en général pas plus de la moitié. Je lui expliquais qu'il leur manquait l'appétit, mais lui confiais aussi qu'il fallait un peu d'entraînement pour y arriver sans vomir.
Plein de bonne volonté, il me dit de prendre sa place et essaya de me rendre la pareille. Passage de la bouche aux tétons (un peu moins sensibles que les siens) puis il me goba le gland. Doucement il pompa de plus en plus profondément jusqu'à buter sur la luette, il en restait encore bien 8cm en dehors. Après l'avoir laissé s'étrangler à essayer d'en avaler plus, je me suis redressé et lui ai demandé de se coucher sur le dos sur sa table basse. ;Je lui ai placé la tête en dehors du plateau et lui ai poussé la tête en arrière. En même temps je lui expliquais pourquoi cela je me suis agenouillé devant lui. Je lui mis mon gland dans sa bouche puis doucement suis entré jusqu'à la glotte. Alors qu'à ma demande il déglutissait, je me suis enfoncé dans sa gorge. Aussitôt je me suis retiré pour le laisser respirer. J'ai recommencé plusieurs fois, sortant toujours aussi vite pour lui éviter les renvois. Lorsque je suis rentré entièrement, j'ai stoppé la leçon. Je lui avais démontré que lui aussi y arriverait sans problème.
Il me dit avoir aimé cela malgré les contractions de son estomac. Assis sur le tapis, tous les deux cote à côté adossés au canapé, je lui demandais jusqu'où il voulait aller avec moi ? je lui dis alors que j'étais bi tendance très gay. Il me répondit que pour lui la question ne s'était jamais présentée avant moi et que jusque-là les meufs le contentaient. Mais depuis qu'il me connaissait, les découvertes qu'il faisait lui ouvraient de nouveaux horizons.
Là dessus il me bascula et nous avons roulé sur le tapis en s'embrassant. Comme il glissait vers ma bite, je l'ai fait pivoter tête-bêche pour un 69. après avoir bien salivé sur mes doigts, je profitais du fait qu'il perde pieds sous ma fellation pour lui en enfiler un puis deux dans le cul. Trop neuf dans cette pratique, il se mit à jouir et j'ai juste eu le temps de l'expulser de ma bouche avant de recevoir sa crème sur mon cou et mes pecks. Bien que son excitation soit retombée, il se remit à me sucer jusqu'à ce que je jute à mon tour sur mes abdos.
Après un bon 1/4 heure de récupération, je reprends une douche rapide. De l'autre coté du panneau vitré, Seb me mitraille de questions pour savoir comment j'étais devenu homo, pourquoi ? si j'avais aimé ça dès la première fois ? Où j'en étais maintenant ? etc. J'édulcorais pas mal mon parcours pour le rendre plus "politiquement correct", lui avouant quand même être en couple, mais de façon très libre.
Une fois habillé, je suis parti rejoindre mon Marc et tout lui raconter.
JARDINIER
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gaboninfoslive · 1 month
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Le Président de la République, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, a reçu ce vendredi 29 mars 2024 au Palais Rénovation le nouveau bureau du barreau du Gabon conduit par monsieur Raymond Obame Sima, bâtonnier de l’ordre des avocats du Gabon. Il s’est agi pour les membres du bureau du barreau de présenter leurs civilités au Chef de l’État et d’échanger sur les problématiques rencontrées dans…
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