#Commandes ouvertes
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Ouverture commande
JâespĂšre que vous allez bien ! Jâouvre la partie ask pour vos commandes si vous en avez đ„°
QUELQUES RĂGLES :
1 nom par commande.
Galerie HD de photoshoot apprĂ©ciĂ©e mais non obligatoire (merci de faire attention quâil nây ait pas de photos dĂ©nudĂ©es - torse nu, sous-vĂȘtementsâŠ).
Petit texte explicatif de votre personnage obligatoire et les moodboard sont toujours appréciés si vous en avez un !
Pas de cĂ©lĂ©britĂ©s de moins de 18ans, dâinfluenceureuses et/ou qui ont eu des comportements discriminants/violents. Ni pour des forums harry potter.
Un like nâest pas un merci, quand on passe du temps sur une commande, un retour est toujours agrĂ©able (mĂȘme si le rĂ©sultat ne vous plait pas, je trouve que le savoir permet de progresser ou de mieux comprendre la demande initiale ;) )
Je me laisse le droit de refuser une commande si je ne suis pas inspirĂ© ou autre đ
đ Pour envoyer un ask, câest par ici .
Merci à vous pour les potentielles demandes, le respect de ces rÚgles et bonne journée !
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#vérifier si un port est ouvert#commande netstat#afficher table de routage#port ouvert#lire les résultat de netstat
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Vous ne rĂȘvez pas, le Fanzine Visiteur du Futur arrive... BientĂŽt !
Ouverture des pré-commandes aujourd'hui !!
36 pages issues de la collaboration entre 14 personnes différentes. Sur ces 36 pages : des illustrations, des fanfictions, des articles. Le tout explorant l'univers autour du Visiteur !
Concernant les pré-commandes : elles démarrent aujourd'hui et sont ouvertes jusqu'au 30 novembre, et se font ICI !
Les fanzines seront ensuite envoyés vers la 2Úme semaine de décembre, de quoi s'offrir un petit cadeau de Noël original !
Surtout, faites tourner ce post et n'hésitez pas à partager la nouvelle autour de vous et sur les réseaux sociaux !
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Liberty Leading the People (1830) đš Eugene Delacroix đïž The Louvre đ Paris, France
Perhaps Delacroixâs most influential and most recognizable paintings, Liberty Leading the People was created to commemorate the July Revolution of 1830, which removed Charles X of France from power. Delacroix wrote in a letter to his brother that a bad mood that had been hold of him was lifting due to the painting on which he was embarking (the Liberty painting), and that if he could not fight for his country then at least he would paint for it. The French government bought the painting in 1831, with plans to hang it in the room of the new king Louis-Philippe, but it was soon taken down for its revolutionary content. Lady Liberty was eventually the model for the Statue of Liberty, which was given to the United States 50 years later, and has also been featured on the French banknote.
Peint de septembre Ă dĂ©cembre 1830 dans l'atelier louĂ© par EugĂšne Delacroix au 15 (actuel n°17 ?) quai Voltaire, Ă Paris ; envisagĂ© pour la deuxiĂšme Exposition au profit des blessĂ©s de Juillet 1830, galerie de la Chambre des Pairs (palais du Luxembourg), Paris, janvier 1831 (n° 508 du livret sous le titre "Une Barricade"), en rĂ©alitĂ© non prĂȘtĂ© ; admis par le jury le 13 avril 1831 et exposĂ© au Salon de 1831 (ouvert du 1er mai au 15 aoĂ»t), Paris, MusĂ©e royal (Louvre), n° 511 du livret sous le titre "Le 28 juillet. La libertĂ© guidant le peuple" (n° 1380 du registre d'entrĂ©e des ouvrages au Salon, sous le titre "La LibertĂ© guidant le peuple au 29 juillet" [sic], aux dimensions de "293 x 358 cm" cadre compris) ; envisagĂ© comme achat de la Liste civile du roi Louis-Philippe Ier, en juillet 1831, au prix de 2 000 francs, finalement achetĂ© Ă l'artiste par le ministĂšre du Commerce et des Travaux publics en aoĂ»t 1831, au prix de 3 000 francs (en remplacement de la commande Ă Delacroix, au mĂȘme prix, d'un tableau d'histoire ayant pour sujet "Le roi Louis-Philippe Ier visitant la chaumiĂšre oĂč il logea prĂšs de Valmy, le 8 juin 1831", annulĂ©e suite au dĂ©sistement de Delacroix) ; prĂ©sentĂ© au musĂ©e du Luxembourg, Paris, en 1832 et en 1833 (n° 160 du supplĂ©ment au catalogue du musĂ©e) ; mis en rĂ©serve vers 1833-1834 ; confiĂ© Ă l'artiste vers 1839 qui le met en dĂ©pĂŽt au domicile de sa tante, FĂ©licitĂ© Riesener, et de son cousin LĂ©on Riesener, Ă FrĂ©pillon (Val-d'Oise) ; rĂ©clamĂ© Ă l'artiste par la direction des MusĂ©es nationaux (ministĂšre de l'IntĂ©rieur) en mars 1848 (Delacroix demande Ă cette occasion une augmentation du prix de 7 000 francs, soit un total de 10 000 francs ; cette augmentation lui est refusĂ©e) ; prĂȘtĂ© par Delacroix au peintre et entrepreneur lyonnais Alphonse Jame entre mai 1848 et mars 1849, en vue d'ĂȘtre exposĂ© Ă Lyon, contre 1000 francs (payĂ©s en deux versements de 500 francs, le 11 septembre 1849 et le 8 mars 1850) ; rentrĂ© Ă Paris et restituĂ© Ă l'administration en mars 1849 ; possiblement prĂ©sentĂ© au musĂ©e du Luxembourg, Paris, Ă partir de juin 1849 jusqu'en 1850 (mais absent du catalogue du musĂ©e) ; mis en rĂ©serve dans les magasins du musĂ©e du Louvre de 1850 Ă 1855 ; prĂ©sentĂ© Ă l'Exposition universelle, Palais de l'Industrie et des Beaux-arts, Paris, 1855, n° 2926 du livret ; mis en rĂ©serve dans les magasins des MusĂ©es impĂ©riaux de 1856 Ă 1863 ; prĂ©sentĂ© au musĂ©e du Luxembourg, Paris, de 1863 Ă 1874 ; dĂ©placĂ© du musĂ©e du Luxembourg au musĂ©e du Louvre en novembre 1874 ; inventoriĂ© pour la premiĂšre fois, sous le n° "R.F. 129", en 1875 et prĂ©sentĂ© Ă partir de cette date dans la salle des Ătats au musĂ©e du Louvre ; mis en sĂ©curitĂ© pendant la PremiĂšre Guerre mondiale au couvent des Jacobins, Ă Toulouse (Haute-Garonne) de 1914 Ă 1918 ; restaurĂ© par Lucien Aubert (nettoyage et rĂ©intĂ©gration de la couche picturale) Ă Paris en 1920 ; mis en sĂ©curitĂ© pendant la Seconde Guerre mondiale au chĂąteau de Chambord (Loir-et-Cher) en 1939, puis dĂ©placĂ© au chĂąteau de Sourches, Saint-Symphorien (Sarthe), le 29 septembre 1943 ; rentrĂ© du chĂąteau de Sourches au musĂ©e du Louvre, Paris, le 16 juin 1945 ; restaurĂ© par Raymond Lepage et Paul Maridat (rentoilage) et par Georges Zezzos (allĂšgement et rĂ©intĂ©gration de la couche picturale), au musĂ©e du Louvre durant l'Ă©tĂ© 1949 ; prĂ©sentĂ© au musĂ©e du Louvre dans la salle Mollien d'octobre 1949 Ă 1969, puis en salle Daru de juin 1969 Ă juin 1994, puis en salle Mollien depuis dĂ©cembre 1995 ; restaurĂ© par David Cueco et Claire Bergeaud (remplacement du chĂąssis, pose de bandes de tension sur les bords de la toile) au musĂ©e du Louvre en janvier-fĂ©vrier 1999 ; restaurĂ© par BĂ©nĂ©dicte TrĂ©moliĂšres et Laurence Mugniot (nettoyage et rĂ©intĂ©gration de la couche picturale) au musĂ©e du Louvre, d'octobre 2023 Ă avril 2024.
#Liberty Leading the People#Eugene Delacroix#Romanticism#1830#oil on canvas#painting#oil painting#The Louvre#Paris#France#Musée du Louvre#La Liberté guidant le peuple#french#art#artwork#art history
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Enfants de l'asepsie, du gel "dĂ©sinfectant" et de la turbine Ă vent, vous n'avez pas connu le charme du ronronnement, du vrombissement de la Golf VR6 (pneus qui crissent), l'odeur d'essence des stations-service la nuit, celle des parfums Cacharel dans le cou des jeunes femmes bien Ă©levĂ©es, la fumĂ©e du tabac qui s'en va par la fenĂȘtre ouverte.
L'existence de millions de gens se rapproche chaque jour davantage des rĂšgles de sĂ©curitĂ© d'un avion, elles-mĂȘmes frĂŽlant celles de la prison. L'avion oĂč l'on pouvait jadis fumer pĂ©pĂšre... Cette prise directe avec les odeurs, les sons et les choses n'a rien Ă voir avec la vie par prise Ă©lectrique, par mĂ©dias, mĂ©diations, identifiants et mots de passe, encodage de numĂ©ro et musculation climatisĂ©e, chambres Ă©tanches et "isolation conforme", programme rationnel, project management et nourriture pesĂ©e. Nous savons tant de choses, et nous savons Ă peine vivre. JournĂ©es sans musique ni entraĂźnement, ni massage, ni danseuse, ni baignade, ni priĂšre. Pour une part croissante de la population, y compris CSP++ le mode de vie actuel n'est supportable que sous psychotropes. Les accĂ©lĂ©rateurs le jour, coke, cafĂ©ine, redbull, crack. Les ralentisseurs le soir, shit, alcool, anxiolytiques, hĂ©roĂŻne, qualude, ritaline.


Face Ă un tableau de commandes mĂ©caniques vous ĂȘtes aux commandes. Vous enfoncez des boutons poussoirs, actionnez des loquets, manoeuvrez des leviers, palonniers, curseurs, vous surveillez des jauges et des aiguilles et les rĂ©veillez d'une pichenette, ainsi la Technique est un outil dans votre main. Face Ă un Ă©cran digital vous ĂȘtes le singe captif d'une parcelle du super-ordinateur mondial, vous n'avez aucun contrĂŽle. Les conducteurs de voitures Ă©lectriques "folles" n'ont su que trop tard qu'ils Ă©taient les outils dans la main de la Technique. Saurons-nous un jour s'ils Ă©taient les pionniers malheureux d'une entreprise plus funeste et plus vaste?
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commandes d'avatars
Ă titre exceptionnel, j'ouvre mes commandes d'avas composĂ©s pour 5 spots uniquement ! â„ïž Les petites conditions et mon mode de fonctionnement, comme d'hab :
Je privilĂ©gie actuellement les faceclaims sur lesquels je n'ai encore jamais graphĂ© ! đ (cf. sommaire des avas si tu as un doute)
Les commandes se font seulement via le formulaire google ci-joint ; comme j'ouvre pour 5 places, je tĂącherai d'ĂȘtre vigilante et de le fermer dĂšs que la limite sera atteinte. Merci de ne m'adresser AUCUNE COMMANDE PAR ASK OU MP SVP, ça arrive Ă chaque fois et je n'ai littĂ©ralement plus de patience pour ça.
Des précisions complémentaires sur mes conditions sont indiquées sur le formulaire, merci de bien les lire ! Toute demande ne respectant pas ce qui est noté sur ce billet ainsi que le formulaire ne recevra pas de réponse et sera directement supprimée.
HĂąte de lire vos idĂ©es et dĂ©couvrir vos personnages đ„° CĆur sur vous !
PS: Pour celleux qui cherchent des avatars âsimplesâ (colo + composition minimale), mes ask sont ouverts Ă tout moment, Ă raison de trois noms maximum par personne en une fois, merci !
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( commande ouverte )
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Hello bonjour bonsoir!
New theme, new me (c'est faux). ⚠J'ai décidé de changer de theme pour pouvoir ravoir une search bar, la seule, l'unique, l'outil bien pratique qui vous permettra en un clic de voir si j'ai graphé sur votre fc, ou de retrouver des avatars que vous aviez repérés!
J'ai aussi dĂ©cidĂ© de faire un pinned post (celui-lĂ mĂȘme) pour tenir au courant plus facilement celleux qui seraient intĂ©ressĂ©s par le statut des commandes et/ou des suggestions, qu'iels soient sur ordinateur ou sur tĂ©lĂ©phone, tablette, etc. Dans le cadre des suggestions, elles devront ĂȘtre faite sous ce post uniquement pour que je puisse m'y retrouver. Celles envoyĂ©es ailleurs ne seront pas comptabiliser! đ«
Commandes d'avatars : fermé. Suggestions de fc : ouvert.
Merci Ă celleux qui continuent de me suivre malgrĂ© mon activitĂ© en dents de scie, ça fait extrĂȘmement plaisir de vous voir toujours aussi nombreux.euses. đ„čđ©·
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bonjour Ă tous đŸ
â crĂ©ditez icarian/ickarian.
â mes commandes sont ouvertes. c'est plutĂŽt rare que je refuse des commandes mais ça peut toujours arriver si je n'aime pas le fc, sait-on jamais. mes avatars sont tous de taille 400x640. et n'hĂ©sitez pas, si vous le voulez Ă aussi m'envoyer un moodboard ou playlist, ça peut me permettre de trouver de l'inspiration pour le texte, sinon vous risquez d'ĂȘtre victimes de ce qu'il y a dans mon pinterest ou dans mes oreilles (Ă vos risques et pĂ©rils donc)
â mes suggestions sont aussi ouvertes. vous pouvez en faire en rĂ©pondant Ă ce post ou par ask, je les ferais selon mon inspiration đââïž
merci de votre lecture et bonne journĂ©e đ
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saga: Soumission & Domination 340
Février le Ski-2
Jour 2
La seconde journĂ©e est plus fun que la premiĂšre. AprĂšs une vĂ©rification que les conseils de la veille avaient Ă©tĂ© bien mĂ©morisĂ©s, notre militaire nous emmĂšnent vers une piste de bosses. ArrivĂ©s en haut, c'est impressionnant. Certaines bosses sont trĂšs prononcĂ©es et rien que d'imaginer la descente, on sait qu'on va se faire secouer. Petit briefing avant d'entamer la descente. Rester souple sur ses cuisses, lĂ©gĂšrement en arriĂšre et dans un premier temps ne pas se focaliser sur la ligne droite ! Merci quand mĂȘme. En fin de matinĂ©e, nous nous en sortons honorablement mais les batteries Ă©puisĂ©es. On dĂ©cide d'une pause. Le chalet d'altitude propose une carte rĂ©duite mais suffisante. Les prix sont inversement proportionnels ! Un vrai racket, mĂȘme si les charges sont Ă©levĂ©es. Avant que le rĂ©flexe " Ă©conomie " de notre moniteur se manifeste, je commande pour lui. Comme il fait beau, on mange en terrasse et nos combinaisons grandes ouvertes sur nos torses imberbes (pour faciliter la production de vitamine D bien sĂ»r) attirent les regards. Sans se jeter des fleurs, nous Ă©tions la plus belle brochette de jeunes mecs de la terrasse. Et quand l'Ă©quipe N°1 est arrivĂ©e, c'est devenu plus chaud. Quelques jeunes filles ont Ă©tĂ© déçues quand Ludovic et PH m'ont roulĂ© une pelle avant d'aller commander dans le chalet. On parle de nos descentes. Eux se sont fait quelques noires partantes du sommet. Jona qui voudrait enchainer dessus l'aprĂšs-midi se fait calmer par notre Lieutenant qui nous dit que nous devons encore faire des progrĂšs. L'aprĂšs-midi est plus calme et c'est tant mieux pour nos cuisses qui commencent Ă chauffer dur. Entre les courbatures de la veille plus le travail de la journĂ©e, nous investissons le spa de l'hĂŽtel afin de dĂ©nouer nos muscles martyrisĂ©s. Clem se dĂ©voue et nous sommes quelques-uns Ă bĂ©nĂ©ficier de la magie de ses mains. JoĂŁo et SosthĂšne nous dĂ©voilent leurs talents cachĂ©s de masseurs et viennent Ă sa rescousse. Nous avons juste le temps de  monter nous habiller pour le dernier service du diner. Avant de remonter, nous prenons un alcool au bar. Il ne faut pas beaucoup de temps pour nous faire aborder les uns les autres, aussi bien par des meufs que des mecs, dont quelques Ă©trangers que notre groupe intrigue. Alors que nous pensions y rester 1/2 heure, finalement nous ne remontons qu'1h1/2 plus tard et certains avec un n° de tĂ©lĂ©phone supplĂ©mentaire. Sur notre palier je prĂ©viens que chacun est libre de baiser avec qui il veut en dehors du groupe mais pas Ă cet Ă©tage. C'est la seule contrainte que j'y mets avec le port de kpotes Ă©videmment. Ils comprennent tous pourquoi. En attendant les couples se mĂ©langent pour la nuit. Ce n'est pas souvent qu'ils se retrouvent tous ensemble au mĂȘme endroit aussi longtemps. Ăa leur rappelle le 1er de l'an qui a durĂ© 3 jours pour certains. Mes deux russes se font coiffer au poteau par Max et Enguerrand. Quand ils arrivent pour leur 2Ăšme nuit avec nos lieutenants, ils trouvent les deux benjamins dĂ©jĂ coulĂ©s au fond du lit alors que leurs hĂŽtes sont encore dans la salle de bain. Je surveille l'explication de texte qui s'ensuit. Au final les jeunes gagnent et Viktor et NicolaĂŻ arrivent se faire consoler chez nous. Ils ne vont pas regretter leur changement de plan. Nous sommes 6 Ă pouvoir les satisfaire. Et ça ne manque pas. Entre la dĂ©fonce de leurs rondelles et l'usage immodĂ©rĂ© de leurs bites autant dans des bouches que dans des culs, ils s'effondrent cassĂ©s dĂ©finitivement.
Jour 3
Le rĂ©veil est plus dur pour certains ce matin. Les plus inexpĂ©rimentĂ©s ont des courbatures et les moniteurs leur promettent une journĂ©e plus cool oĂč ils vont peaufiner les techniques apprises
Le nÎtre nous prévient qu'il va passer à la vitesse supérieure. Si nous voulons rejoindre le groupe 1 et le laisser avec juste Jona et François, il ne nous en voudra pas. Je regarde mes autres collÚgues à qui s'adresse cet avertissement. Ils refusent de laisser tomber et espÚrent bien en apprendre encore plus. Nous montons au plus haut de la station et partons en hors-piste. Nous commençons à descendre une combe quand nous sommes rejoints par une demi-douzaine d'autres chasseurs alpins en uniformes eux. Chacun de nous se fait " cornaquer " par un des militaires. Dans l'ensemble, ils sont aussi jeunes que les nÎtres et trÚs pros aussi. Les premiÚres 10aines de mÚtres nous chutons, le temps d'adapter notre position sur les skis à la surface poudreuse de la neige. Je comprends pourquoi notre lieutenant a appelé du renfort. Nous progressons tous à une vitesse différente et du coup nous sommes en sécurité avec notre " moniteur " personnel. Le mien est trÚs bon car je ne mets pas longtemps avant de prendre le coup. Un peu plus en arriÚre que normalement, les fesses vers les talons, je progresse bien et mes lacets perdent rapidement en amplitude. Le mec me félicite d'avoir pris le coup aussi vite. A mes cÎtés ça se défend pas mal non plus.
Jona et François sont eux encore plus encadrĂ©s. Une premiĂšre pause nous est octroyĂ©e Ă mi-chemin de la station Ă la limite haute des sapins. Les militaires sortent de leurs sacs Ă dos des barres de protĂ©ines. Ils nous en offrent. Je ne sais pas ce qu'il y a dedans mais c'est bon et nous redonne des forces. Il y a sĂ»rement des sucres rapides aussi. On fait plus connaissance le cul isolĂ© de la neige par des branches de sapin. Ils sont tous militaires de mĂ©tier bien sĂ»r et depuis 6 Ă 7 ans. Et tous cĂ©libataires aussi / surtout ! Nous finissons la matinĂ©e de combe en combe pour rejoindre la station. Il est encore tĂŽt, Ă peine midi. Notre lieutenant propose que nous dĂ©jeunions avant de remonter. Alors qu'ils sortent de nouvelles barres, je vise le restau du bas des pistes vide encore. Sans manger Ă se faire Ă©clater l'estomac, prendre un plat chaud ne sera pas du luxe. J'impose ma dĂ©cision. Mon " lieutenant " nous suit alors que ses collĂšgues nous disent qu'ils attendront dehors. Hors de question que le groupe se scinde ! Je les invite et notre militaire doit les convaincre que c'est OK. Sans alcool, la tartiflette remplis les deux offices : nous rĂ©chauffer et remplir les batteries. Une tarte aux myrtilles plus tard nous sommes prĂȘts Ă partir. Enfin dĂšs que Enguerrand et son coach seront sortis des toilettes. C'est chose faite avant que nous chaussions tous nos skis. Mon Enguerrand tout sourire et le militaire un peu rouge quand mĂȘme. S'il ne s'est pas fait le cul de mon beau-frĂšre, je veux bien ĂȘtre pendu !
Nous repartons pour le sommet de la station et partons sur l'autre versant. Nous sommes plus Ă l'aise et nous enchainons les parties nues et boisĂ©es sans plus de problĂšme. La traversĂ©e d'un bois plus touffu nous disperse tous. Quand nous en sortons, c'est en ordre dispersĂ© et il nous manque Max et son chasseur. Quand ils nous rejoignent, l'excuse est que Max s'Ă©tait empĂȘtrĂ© dans une taille de sapin et qu'il avait mis du temps Ă remonter. Je crois qu'avec lui aussi je vais avoir une conversation. En fin de journĂ©e, ils nous donnent rendez-vous pour le lendemain puisqu'ils restent jusqu'Ă la fin de notre semaine. Ils sont logĂ©s Ă la gendarmerie de la station. Ils se font tirer l'oreille pour accepter de diner avec nous Ă l'hĂŽtel. Mais je sais qu'ils vont affoler mes autres comparses et je sens mes " benjamins " demandeur. Comme je ne peux rien leur refuser Ă ces deux-lĂ ...
En rentrant Ă l'hĂŽtel je rĂ©serve une de leur salle de rĂ©union pour notre dĂźner. On retrouve l'Ă©quipe dont certains sont dĂ©jĂ sous la douche. Je prĂ©viens Marc et les autres de nos invitĂ©s pour le dĂźner. D'une seule voix, Max et Enguerrand disent aux autres qu'ils sont super sympas et super canon aussi. Je les retrouve aprĂšs ma douche. Ils sont encore sous l'eau tous les deux. Je les questionne sur les " viols " qu'ils ont opĂ©rĂ©s sur leurs " chasseurs " particuliers. Max Ă©clate de rire et nous dit que le sien Ă©tait bon et heureusement car les fesses Ă l'air, il n'avait pas fait chaud sauf pour sa rondelle. Enguerrand renchĂ©ri que le sien Ă©tait super bien montĂ© en plus. Deux " chaudasses " !! Mes escorts et nous mĂȘme apportons un soin particulier Ă nos tenues, effets des invitĂ©s probablement. Les jeans les plus slims sortent des valises, les t-shirt collent les pecs et les abdos mieux que des combinaisons de lutte !
Quand nos invitĂ©s nous rejoignent, eux aussi ont fait des efforts. Mon lieutenant y est sĂ»rement pour quelque chose, tout comme le choix des Chasseurs alpins.  En civil, ils gardent un intĂ©rĂȘt pour les vĂȘtements moulants eux aussi. Et ce sont de vraiment beaux bestiaux ! Ils sont sous-officiers mais loin d'ĂȘtre bourrins pour autant.
Le plus jeune intĂ©resse vraiment mon Marc. Evidemment !! Ernesto, lui, semble fixer l'intĂ©rĂȘt d'un des nouveaux, surtout ce qui est outrageusement moulĂ© en haut de ses cuisses. Ils se rĂ©partissent entre mes escorts autour de la grande table. Ils acceptent un apĂ©ro avant le diner. Ils sont venus Ă pied. Ils se mettent vite dans l'ambiance et c'est parce que je fais particuliĂšrement attention que je m'aperçois qu'il en manque un, celui d'Enguerrand et bien sĂ»r ce dernier ! Je m'esquive vers les toilettes rĂ©servĂ©es Ă notre salle. Ils y sont Ă©videmment. Un seul WC est fermĂ©. Je prends celui d'Ă cĂŽtĂ© et montĂ© sur le siĂšge, je mate par-dessus la cloison. Mon petit beau-frĂšre est en train de tailler une pipe sur une bite bien Ă©paisse. Quand il la sort complĂštement, je vois qu'elle est aussi d'une bonne longueur, a vue de nez dans les 20cm x 6. Il me voit alors qu'il lĂšve la tĂȘte et demande Ă son militaire si ses gorges profondes lui plaisaient. Son clin d'oeil ne passe pas inaperçu et le pompĂ© lĂšve Ă son tour la tĂȘte et panique Ă voir ma tĂȘte. Enguerrand le retient par les fesses et je descends et frappe Ă la porte. Ils m'ouvrent.
Je tombe sur un fessier bien rond, musclĂ© par des annĂ©es de ski et de sport.je bandais dĂ©jĂ de les mater. LĂ , ça devient inhumain. Le temps d'ouvrir mes jeans, de kpoter ma bite et je la pousse entre les fesses. En voulant sortir, il recule et s'encule par la mĂȘme occasion. Enguerrand a suivi me mouvement et ne lĂąche pas le morceau. Sa dĂ©glutition sur le gland enfoncĂ© dans sa gorge distrait le militaire juste Ă point nommĂ© pour que je conclue l'enculage. Je ne sais pas s'il est uniquement actif oĂč mĂȘme un hĂ©tĂ©ro qui s'Ă©tait fait dans l'aprĂšs-midi un petit cul de mec, mais lĂ , je sens bien qu'il n'utilise pas souvent sa rondelle dans cette activitĂ©. Je suis super serrĂ© et mĂȘme bloquĂ© le temps qu'il se dĂ©tende. Enguerrand fait tout ce qu'il peut pour cela. Il suce sa bite mieux qu'une pompe Ă vide ! Je me presse car on va bientĂŽt s'apercevoir de nos absences. Je l'encule Ă petits coups rapides et jouis en 5mn chrono. Enguerrand se recule juste au moment fatidique et s'en prend plein la figure. On se rajuste, se rafraichit et Enguerrand lui roule une pelle avant que nous sortions.
Notre retour n'est perçu que par Marc, Ludovic et mon lieutenant. Je vois l'enculeur de Max retrouver son pote et l'écarter pour le questionner. Diner sympa et aprÚs avoir discuté avec le chef du détachement (mon lieutenant), je décide de les inviter tous à prendre un dernier verre à notre étage. Mon initiative à l'air de plaire à tous. Mes escorts et ma petite " famille " c'est évident mais aussi aux militaires qui ont sympathisé. Les deux qui étaient moins chauds se sont fait entrainer par les autres. Les nouveaux venus trouvent leurs collÚgues nettement mieux logés qu'eux qui dorment sur des lits de camps militaires. Les installations sanitaires aussi sont plus luxueuses. Cognac, Jet 27, Génépi coulent dans les verres. Nos militaires font baver leurs collÚgues en ajoutant qu'ils disposent en plus des autres installations de l'hÎtel, piscine, spa, sauna...
Mes escorts se mettent à l'aise c'est-à -dire en shortys et boxers. Leurs plastiques tout comme les nÎtres appellent des commentaires. Quand ils apprennent que nous savons nous battre, il y a comme une ironie de leur part. Jona leur demande alors de désigner leur meilleur élément et qu'il allait se le faire. Piqués dans leur virilité / spécificité (ce sont des combattants) / orgueil, ils désignent le plus lourd d'entre eux. Alors qu'on dégage le mobilier du salon de notre suite, le militaire se met en slip (blanc réglementaire). Je pense un moment que mon Jona va avoir du fil à retordre. Le mec doit lui prendre au moins 15 Kg de muscle !
Il roule un peu des mĂ©caniques et est soutenu par ses collĂšgues. De notre cĂŽtĂ© nous encourageons Jona. Seul François garde son calme et demande si on fait des paris. Les provocations fusent, sexuelles bien sĂ»r. On en arrive Ă ce qu'ils mettent en jeu leurs culs contre les nĂŽtres. J'interviens. Je leur dis que les nĂŽtres, ce ne sera pas un problĂšme, ils les auraient eu mĂȘme sans gagner, du moins certains. Je propose alors de les loger comme leurs collĂšgues puisqu'il reste encore trois chambres inoccupĂ©es Ă cet Ă©tage. L'hĂŽtel ne fera surement aucunes difficultĂ©s Ă me les louer. La moquette est Ă©paisse, elle amortira les chutes. Ils commencent par se tourner autour. Jona le laisse venir. Le militaire prend l'initiative. Il attaque et est surpris de ne trouver que le vide. Par contre il sent bien le coup de pied qui lui " tue " la cuisse droite. Il vient de se rendre compte que son adversaire a du rĂ©pondant. Les attaques se succĂšdent des deux cĂŽtĂ©s. Il est bon en dĂ©fense aussi le milit. Mon lieutenant qui avait eu un aperçu de nos capacitĂ©s souri de voir son collĂšgue en difficultĂ©. Ils combattent pendant une demi-heure avant que je fasse signe Ă Jona de donner le coup de grĂące. 30 secondes plus tard, le milit est sur le ventre, le pied de Jona entre ses omoplates et le bras droit en extension arriĂšre prĂȘt Ă la luxation.
ArrĂȘt du combat aprĂšs comptage jusqu'Ă 10.
Jardinier
co-workers
on the work-place ~~
~~
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corey mylchreest.
il n'y a aucune cohérence, je n'avais pas ouvert photoshop depuis des mois mais j'ai testé quelques petits trucs pour la commande de @manderleystuff sur @rewritetheorders !
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[COMMANDE OUVERTES]
Si vous ne pouvez pas me passer commande, partagez, aimez, mettez en favoris, commentez, interagissez pour que ça atteigne des gens qui pourrait potentiellement aider
Aujourdâhui un post un peu spĂ©cial, en effet jâai dĂ©cidĂ© dâouvrir des commissions dâurgence pour mâaider Ă payer des frais personnels qui sont vital pour mon travail et mon entreprise.
En effet je ne touche plus de revenus Ă©tant donnĂ© que je suis devenue auto entrepreneuse et je nâai le droit Ă aucune aide de lâĂ©tat.
Pour toute questions, contactez moi en DM!!
#emergency commissions#commission#commissions open#emergency commissions open#please help#send help#digital art#digital artist#small business
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Le Restant De L'éternité - Katherine Pierce
Masterlist
Résumé : Katherine repense à la façon dont vous avez fini ensemble.
Warnings : sorciÚre!reader, consommation d'alcool (l'alcool est à consommer avec modération!), Katherine qui tue des gens, sous-entendus de sexe, Katherine est jalouse, petite référnece à Interview With The Vampire, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 2.7K
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Mastermind par Taylor Swift
Une lĂ©gĂšre brise entre dans la chambre par la fenĂȘtre ouverte, faisant bouger les rideaux. La fraĂźcheur de la nuit ne dĂ©range pas Katherine, toute son attention focalisĂ©e sur ton corps Ă ses cĂŽtĂ©s, ta tĂȘte est posĂ©e sur sa poitrine alors que tu es endormie. Katherine te regarde avec tendresse tandis que sa main caresse ton bras. Ses yeux posĂ©s sur ton visage, Katherine ne peut sâempĂȘcher de repenser aux diffĂ©rents Ă©vĂšnements qui lâont amenĂ©e jusquâĂ ce moment prĂ©cis.

Les annĂ©es folles battaient son plein. Katherine fuyait Klaus, mais ça ne lâempĂȘchait pas de sâamuser. Elle frĂ©quentait souvent des Speakeasies, câĂ©tait lâendroit parfait pour trouver une victime trop alcoolisĂ©e pour se dĂ©fendre.Â
Ce soir-lĂ , Katherine avait dĂ©couvert un Speakeasy par le biais de son repas de la veille. En arrivant, une douce voix avait tout de suite attirĂ©e son attention. En tournant la tĂȘte, elle tâavait dĂ©couvert sur la scĂšne en train de chanter, tu Ă©tais complĂštement captivĂ©e par la musique, chantant comme si tu Ă©tais seule. Ă cet instant prĂ©cis, Katherine avait su quâelle devait apprendre Ă te connaĂźtre. Elle nâavait pas ressenti ce genre dâattirance depuis plusieurs dĂ©cennies.Â
En attendant la fin de ton spectacle, Katherine Ă©tait allĂ©e au bar, se commandant un cocktail, ses yeux ne tâavaient pas quittĂ© une seule seconde. Assise sur un tabouret de bar, Katherine sirotait sa boisson, sa tĂȘte bougeant au rythme de la musique. Quand tu avais fini de chanter, tu avais Ă©tĂ© acclamĂ©e. Une grand sourire aux lĂšvres, tu avais fait la rĂ©vĂ©rence avant de descendre de la scĂšne. Tu avais trottinĂ© jusquâau bar et avais demandĂ© un bourbon au barman. Katherine Ă cĂŽtĂ© de toi, elle nâavait pas attendu une seconde de plus avant de se pencher lĂ©gĂšrement vers toi, un sourire charmeur au visage.
-Jâai beaucoup aimĂ© votre performance.
-Merci, je suis ravie de lâentendre, avais-tu rĂ©pondu tout en prenant une gorgĂ©e de ta boisson fraĂźchement prĂ©parĂ©e. Vous ĂȘtes nouvelle ici, je me trompe ? Il ne me semble pas avoir vu votre visage auparavant.
-Vous ne vous trompez pas, avait-elle affirmĂ©, elle Ă©tait prĂȘte Ă rajouter autre chose quand une voix masculine lâavait devancĂ©e :Â
-Y/N, le patron veut te voir.Â
Katherine avait lancĂ© un regard noir Ă lâhomme qui vous avait interrompues. Elle nâavait quâune envie, se lever et lâhypnotiser pour quâil vous laisse tranquille. Toutefois, avant quâelle puisse faire quoique ce soit, tu tâĂ©tais levĂ©e de la chaise, buvant ton verre cul sec. Avant de retrouver lâhomme, tu avais plongĂ© tes yeux dans ceux de Katherine et posĂ© ta main sur son avant bras.Â
-Je dois y aller. Je chante chaque samedi, jâespĂšre vous revoir.
-Vous pouvez en ĂȘtre sĂ»re.Â
Satisfaite de sa rĂ©ponse, tu lâavais regardĂ©e de haut en bas langoureusement puis tu avais tournĂ© les talons vers lâhomme. Katherine tâavait regardĂ©e quittĂ© les lieux et la seule pensĂ©e quâelle avait en tĂȘte Ă©tait âje lâaurai, rien ne mâarrĂȘtera.â
Comme Katherine te lâavait assurĂ©, le samedi suivant, elle Ă©tait revenue au Speakeasy pour te revoir. Cette fois, elle avait prĂ©parĂ© mĂ©ticuleusement un plan afin de discuter plus quâune minute avec toi. Elle nâallait pas te laisser lui filer entre les doigts une nouvelle fois.Â
Katherine tâavait regardĂ©e te produire avec autant dâĂ©toiles dans les yeux que la premiĂšre fois. Elle nâarrivait toujours pas Ă comprendre ce qui lui arrivait. Comment une simple humaine pouvait lui retourner autant le cerveau ? Tu avais occupĂ©e chacune de ses pensĂ©es pendant une semaine entiĂšre et elle avait dĂ©testĂ© et aimĂ© ça.Â
DĂšs que tu avais fini de chanter, tu avais acceptĂ© les quelques fleurs que lâon tâavait offertes en plus de discuter rapidement avec certaines personnes. AprĂšs une dizaine de minutes, tu avais enfin pu te rendre dans ta loge.Â
Devant ton miroir, tu avais commencĂ© Ă enlever certains de tes bijoux quand tes yeux sâĂ©taient posĂ©s sur le reflet de Katherine en face de toi. Un sourire narquois avait pris place sur ton visage alors que Katherine Ă©tait adossĂ©e contre lâembrasure de la porte.
-Avez-vous soudoyĂ© celui qui surveille ma loge ? avais-tu demandĂ© avant de marquer une pause. Ou lâavez-vous hypnotisĂ© ?
-Vous savez ce que je suis, sâexclame Katherine en entrant dans la piĂšce.
Doucement, tu tâĂ©tais levĂ© de ta chaise, marchant avec prĂ©cision vers elle.Â
-Je sais qui vous ĂȘtes, Katerina Petrova. Quoiquâon vous appelle Katherine Pierce de nos jours, câest ça ?Â
-Ăa me touche de savoir que jâai une rĂ©putation, avait-elle dit en fermant la porte.
-Ce nâest pas forcĂ©ment une bonne chose. AprĂšs tout, vous ĂȘtes connue pour avoir Ă©nervĂ© Klaus Mikaelson et Ă©galement pour votre Ă©goĂŻsme.
Katherine sâĂ©tait sentie flattĂ©e face Ă ta phrase. Bien quâelle avait peur que Klaus la retrouve, elle Ă©tait contente de savoir quâelle Ă©tait connue comme celle ayant tenu tĂȘte Ă un Originel. Katherine avait fait un pas vers toi avant de te tourner autour avec un sourire malicieux.Â
-Je me protĂšge, peut-on me blĂąmer ?
-Je ne sais pas pourquoi vous ĂȘtes ici, mais sachez que je me mĂȘle des affaires des vampires seulement si ça mâapporte quelque chose, tâĂ©tais-tu exclamĂ©e avant dâutiliser ta magie pour la forcer Ă sâarrĂȘter en face de toi.
-Vous ĂȘtes une sorciĂšre. IntĂ©ressant.Â
-Alors, que voulez-vous ?
-Oh, je voulais juste vous voir, avait-elle chuchotĂ© dans ton oreille avec un faux air innocent, te donnant des frissons. Mais maintenant que je sais ce que vous ĂȘtes, je pense quâon peut faire une alliance, avait ajoutĂ© Katherine en faisant un pas en arriĂšre. La derniĂšre sorciĂšre avec qui je travaillais mâa lĂąchĂ©e.
-Vous voulez dire que vous lâavez trahie ?
-Ăa dĂ©pend du point de vue, je dirais, avait avouĂ© Katherine aprĂšs avoir fait semblant de rĂ©flĂ©chir.Â
-Pourquoi ferais-je une alliance avec vous ? Klaus me tuera sâil sait que je vous aide.Â
-Je suis sĂ»re que vous avez plus dâun tour dans votre sac pour Ă©viter ceci. Vous pouvez mâaider Ă me protĂ©ger de mes ennemis et je vous apporterai ma protection.
-Je suis une sorciĂšre ĂągĂ©e de trois cents ans, ma magie est assez puissante pour me protĂ©ger, lâavais-tu informĂ©e avec un air arrogant.
-Eh bien, disons que le jour oĂč vous aurez besoin dâun service, vous nâaurez quâĂ me demander et je promets Ă©galement de ne jamais me retourner contre vous. Avons-nous un marchĂ© ? avait proposĂ© Katherine en tendant sa main.
-Nous en avons un, avais-tu répondu en la serrant.
Vous vous Ă©tiez serrĂ©es la main pendant quelques secondes, puis pris dâun Ă©lan de confiance, Katherine tâavait tirĂ©e vers elle, posant ses lĂšvres sur les tiennes. Dâabord surprise, il tâavait fallu un petit temps avant de rĂ©pondre Ă son baiser avec fougue. Entre deux baisers, Katherine avait souri, fiĂšre dâavoir rĂ©ussi la premiĂšre partie de son plan.Â
Ă partir de ce soir-lĂ , une alliance sâĂ©tait créée. Katherine faisait souvent appel Ă toi que ce soit pour rester hors des radars de Klaus, changer son bijou pour marcher au soleil ou pour manipuler son petit monde, Katherine savait quâelle pouvait utiliser ta magie. De ton cĂŽtĂ©, tu ne pensais pas quâun vampire te serait aussi utile, mais ĂȘtre une sorciĂšre voulait dire ĂȘtre une cible facile et Katherine avait toujours su tâaider et lorsque tu voulais tester des sorts, elle sâĂ©tait toujours portĂ©e volontaire pour tâaider.Â
En plus de votre relation âprofessionnelleâ, une plus intime sâĂ©tait Ă©galement créée. Rien dâofficiel, bien sĂ»r, Katherine nâĂ©tait pas connue pour les relations sĂ©rieuses. Elle avait toujours Ă©tĂ© fidĂšle Ă elle-mĂȘme et personne dâautre. Pourtant, avec les annĂ©es, tu avais commencĂ© Ă devenir lâexception qui confirmait la rĂšgle. Il nâĂ©tait pas rare que vous vous retrouviez mĂȘme quand vous nâaviez pas besoin dâun service afin de passer des moments intimes ensemble oĂč, parfois, vous finissiez par vous confesser sur votre passĂ© respectif, montrant une part de vous que vous aviez toujours cachĂ© aux autres.Â
Au fil du temps, tu avais fini par dĂ©velopper des sentiments, ce que tu avais essayĂ© de nier pendant des annĂ©es. Aimer Katherine ne finissait jamais bien, tu le savais, alors tu ne pouvais pas laisser de stupides sentiments ruiner ton alliance avec elle. Par consĂ©quent, tu prenais le peu que Katherine te donnait.Â
Cependant, un soir, alors que vous Ă©tiez allongĂ©s dans ton lit, le drap couvrant Ă peine vos corps nus, tu avais osĂ© amener le sujet. Tu nâavais pas dit que tu lâaimais romantiquement, tu avais seulement demandĂ© si vous Ă©tiez exclusives. Katherine avait lĂ©gĂšrement rigolĂ© et avait affirmĂ© quâelle couchait avec dâautres personnes alors tu pouvais bien faire ce que tu voulais de ton cĂŽtĂ©. Ă la regarder tâavouer ceci, tu avais eu lâimpression quâelle Ă©tait plus dĂ©tachĂ©e que toi. Cependant, si tu avais pu lire dans les pensĂ©es de Katherine, tu aurais entendu des cris paniquĂ©s.Â
Katherine avait fini par sâattacher Ă toi plus quâelle nâavait prĂ©vu et bien quâelle voyait effectivement dâautres personnes, elle nâavait dâyeux que pour toi. La seconde oĂč les mots âtu peux faire ce que tu veux avec qui tu veuxâ Ă©taient sortis de sa bouche, Katherine avait eu envie de se frapper. CâĂ©tait lâopposĂ© de ce quâelle voulait. Katherine Ă©tait connue pour son Ă©goĂŻsme mais aussi pour sa jalousie, et malgrĂ© elle, elle venait de te pousser dans les bras dâinconnus avec un grand sourire.Â
Ton cĆur sâĂ©tait lĂ©gĂšrement brisĂ© en lâentendant dire ceci, mais tu nâavais rien laissĂ© paraĂźtre. AprĂšs tout, sortir avec Katherine Ă©tait perdu dâavance, alors autant ne pas se fatiguer. Par consĂ©quent, vous aviez continuĂ© Ă coucher sans vous engager tout en allant voir ailleurs.Â
Toutefois, tout avait changĂ© un soir, quinze ans aprĂšs votre rencontre. Tu Ă©tais Ă un bar oĂč tu avais rencontrĂ© une femme magnifique. Tu lui avais payĂ© un verre et vous aviez commencĂ© Ă discuter. De fil en aiguille, vous Ă©tiez sorties du bar afin de vous bĂ©coter Ă lâabri des regards. DerriĂšre le bĂątiment, tu avais ton dos collĂ© au mur de briques tandis que la femme - dont tu nâavais pas pris la peine de retenir le nom - tâembrassait avec passion. Les yeux fermĂ©s, tu apprĂ©ciais chacun de ses baisers, surtout lorsque ces derniers Ă©taient passĂ©s de ta bouche Ă ton cou. Tes mains Ă©taient sur ses hanches, tentant de la rapprocher le plus possible alors que les siennes passaient sous ton haut. Elle Ă©tait sur le point de le retirer quand elle avait Ă©tĂ© tirĂ©e en arriĂšre par Katherine. Avant que tu ne puisses rĂ©agir, cette derniĂšre avait plantĂ© ses crocs dans le cou de ton plan du soir. Remis de ton choc, tu avais lancĂ© un sort Ă Katherine pour quâelle la lĂąche.
-Mais ça ne va pas ? Quâest-ce qui tâa pris de faire ça ? avais-tu criĂ©, Ă©nervĂ©e.Â
-Jâavais faim. Promis, je me chargerai du corps, avait-elle dĂ©clarĂ© avec un regard vide dâĂ©motion.
-Et tu ne pouvais pas trouver quelquâun dâautre ? Jâavais prĂ©vu de passer la nuit avec elle, au cas oĂč tu nâavais pas remarquĂ©.
-Oh, je lâavais bien compris, mais elle ne te mĂ©ritait pas.
-CâĂ©tait juste pour ce soir, jâallais pas lâĂ©pouser, avais-tu ajoutĂ© en roulant tes yeux.
-Alors, pourquoi tâen fais tout une histoire que je lâai tuĂ©e ? Je suis sĂ»re que quelquâun dâautre voudra rentrer avec toi. Il y avait plus dâune femme qui te dĂ©vorait des yeux, avait lancĂ© Katherine avec venin.
-Quoi ? avais-tu questionnĂ© avant dâouvrir grand les yeux. Attends, tâes jalouse ?Â
-Non, jâaime juste pas quâon sâapproche de toi.
-Câest exactement ce que âjalousieâ veut dire. Je croyais que je pouvais faire ce que je voulais avec qui je voulais, quâentre nous, câĂ©tait seulement une histoire sans importance, alors pourquoi ça te dĂ©range tant que ça ? avais-tu demandĂ© et Katherine avait senti la rage montĂ©e en elle lorsque tu avais utilisĂ© ses mots contre elle. Je lâembrassais et jâallais coucher avec elle, câest tout.
-Jâai entendu ton cĆur manquĂ© un battement ! sâĂ©tait-elle Ă©criĂ©, te perdant un peu plus.
-Quâest-ce que tu racontes ?
-Quand elle tâa complimentĂ©, âoh, tu es Ă couper le souffle, je ne comprends pas comment tu peux ĂȘtre cĂ©libataire,â avait dit Katherine en imitant la voix de la femme.Â
-Tu mâas observĂ©e toute la nuit ? Est-ce que tu as fait ça dâautres fois ?
-Si tu veux tellement le savoir, oui ! AprÚs tout, je ne peux pas perdre mon alliée, alors je dois bien te surveiller.
-Oh, donc tout cette histoire est par rapport Ă notre alliance ? Et rien dâautre ?Â
-Peut-ĂȘtre.
-Tu racontes que des conneries, tâĂ©tais-tu exclamĂ©e, agacĂ©e. Assume pour une fois ! Pourquoi est-ce tu agis comme ça ?
-Parce que je tâaime ! avait fini par confesser Katherine Ă bout de nerfs. Contente ? Et je ne sais pas comment mây prendre, dâaccord ? Jâai toujours Ă©tĂ© en position de force, Ă manipuler les gens comme je le voulais, mais avec toi ? Jâarrive Ă peine Ă te suivre. Je te veux, mais tu mâĂ©chappes. Je ne sais pas quoi faire ! Alors, oui, je suis jalouse que tu sois avec dâautres femmes que moi, mĂȘme si je tâai dit que tu pouvais. Je te veux toi et je veux que personne dâautre ne tâait. Je sais que je suis beaucoup et que je suis manipulatrice, certains diraient que je suis machiavĂ©lique, mais je tiens Ă toi. Je suis illogique, jâen ai conscience, mais tu mâas prise au dĂ©pourvu et je ne sais pas comment agir. Jâai appris Ă tenir les gens autour de moi Ă distance et câest ce que jâai fait avec toi alors que câest la derniĂšre chose que je veux. Te voir lâembrasser ce soir a Ă©tĂ© la goutte de trop, je nâai pas pu tenir plus longtemps.
-Je te jure que tu me fatigues parfois, avais-tu soupirĂ© avant de la tirer vers toi et de lâembrasser.
Katherine avait posĂ© ses mains de part et d'autre de ton visage, approfondissant le baiser. Contrairement Ă tous les autres que vous aviez partagĂ©s, celui-ci Ă©tait doux et rempli dâamour tout en Ă©tant vulnĂ©rable. Sans perdre une seconde, vos langues sâĂ©taient mĂ©langĂ©es alors que Katherine tâavait fait reculer jusquâĂ ce que ton dos heurte le mur de brique. Vous aviez continuĂ© de vous embrasser pendant plusieurs minutes avant de vous sĂ©parer, un sourire aux lĂšvres.

La lumiĂšre du soleil entre lĂ©gĂšrement dans la piĂšce, illuminant ton corps, le rendant encore plus beau que dâhabitude. Te sentant doucement bouger contre elle, Katherine arrĂȘte de retracer votre relation afin de se concentrer sur son prĂ©sent avec toi. Une fois les yeux ouverts, tu regardes Katherine avant de lâembrasser chastement. Juste en un regard, tu devines que tu lâas tirĂ©e de ses pensĂ©es.
-Ă quoi pensais-tu ? demandes-tu en caressant sa joue.Â
-Ăa fait vingt ans quâon est ensemble, tu imagines ?
-Qui aurait cru que Katherine Pierce, la vampire au cĆur de pierre, serait fleur bleue, rigoles-tu.
-Hey ! Câest de ta faute, tout ça. Tu mâas rendu faible, rĂ©plique Katherine en faisant semblant dâĂȘtre vexĂ©e.
-Mais bien sûr.
-Et puis, je suis fleur bleue quâavec toi, personne dâautre.Â
-Plus sérieusement, à quoi tu pensais ?
-Ă nous, avoue-t-elle avec un regard rempli de tendresse. La premiĂšre fois que je tâai vue, je savais que je te voulais et jâavais tout prĂ©vu pour te revoir. Quand jâignorais encore que tu Ă©tais une sorciĂšre, je pensais simplement flirter et avoir une relation avec toi, mais aprĂšs, jâai rĂ©alisĂ© que je pouvais faire mieux et quand tu as acceptĂ© mon idĂ©e dâalliance⊠Je savais que je devais tout faire pour tâĂȘtre utile, je ne pouvais pas te laisser me glisser entre les doigts. Toutes les fois oĂč jâavais besoin de toi et oĂč jâai fait en sorte que tu aies besoin de moi, tous ces moments faisaient partie dâun plan bien prĂ©cis, rien nâĂ©tait accidentel.Â
-Donc, me proposer une relation sans engagement pour ensuite me piquer une crise de jalousie faisait partie de ton grand plan ? questionnes-tu avec un regard moqueur.
-Dâaccord, ça, ça ne faisait pas partie de mon plan et câest bien pour ça que ça a Ă©chouĂ© Ă ce point, mais Ă part cet accroc, tout Ă©tait calculĂ© Ă lâinteraction prĂšs.
-Oh, je sais, confesses-tu avec un sourire en coin, la prenant au dépourvu.
-Tu sais ?Â
-Tu es Katherine Pierce, je savais dĂšs le dĂ©but que tu avais une idĂ©e derriĂšre la tĂȘte, lui affirmes-tu.
Katherine ne peut sâempĂȘcher de ressentir de la fiertĂ©, rĂ©alisant que tu es la seule personne au monde Ă la connaĂźtre aussi bien et Ă accepter toutes ses facettes, les bonnes comme les mauvaises. Ă ce moment prĂ©cis, Katherine sait quâelle nâaurait pu trouver meilleure personne pour partager le restant de lâĂ©ternitĂ©.
Masterlist
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commandes, requĂȘtes
requĂȘtes; ouvertes.
J'ai récemment reçu quelques messages, me demandant si j'acceptais des commandes pour des crackships. bien que je n'ai jamais eu la prétention de me penser suffisamment talentueuse pour cela, si cela peut en aider certains, je me dis que pourquoi pas. Toutefois, je souhaiterais instaurer quelques rÚgles.
Je n'ai pas l'intention de faire de cette activité une contrainte. Je ne m'impose pas de limite de temps.
Merci de m'envoyer un premier message avec les célébrités dont vous souhaitez obtenir des crackships, pour savoir si cela m'inspire.
Petite information, je fais ça par plaisir, je n'ai pas envie de m'arracher les cheveux Ă trouver des ressources de cĂ©lĂ©britĂ©s inconnues au bataillon. Si votre cĂ©lĂ©britĂ© Ă peu de ressources, tentez quand mĂȘme, on ne sait jamais, mais si c'est trop compliquĂ© ou si je ne suis pas inspirĂ©e, ne le prenez pas pour vous.
Majoritairement, je prendrais des requĂȘtes de deux cĂ©lĂ©britĂ©s uniquement. Vous pouvez toujours demander d'avantage, pour des crackships famille par exemple, mais si ça devient trop nombreux ou trop compliquĂ©, pas sĂ»r que j'accepte.
Enfin, je trouve souvent plus facile de faire des crackships d'acteurs que de chanteurs ou d'influenceurs. Mais encore une fois, poser la question n'engage Ă rien.
Si vos célébrités m'inspirent, je répondrais à votre demande en vous posant des questions concrÚtes.
Le film (ou le clip, ou autre) dans lequel votre célébrité a joué qui vous fait le plus penser à votre personnage.
Le lien entre les deux personnages concernés.
L'ambiance (colÚre, tristesse, amour) et la couleur (vous trouverez mon coloring sur mes précédents crackships, c'est celui-ci ou du noir et blanc, je n'utilise pas d'autres couleurs).
Vous pouvez m'envoyer vos demandes par message privé. Le minimum de politesse est toujours apprécié. S'il vous plaßt, attendez d'abord de savoir si je suis inspirée avant d'entrer dans les détails techniques.
Et pour le reste, vous pouvez créditer stubborn love, n'oubliez pas que tumblr n'est pas un crédit.
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Une étoile et un réverbÚre
an idezawa fanfic for @dnrarepairweek day 3 - pining
rated G / 1,928 words / in french for now (the english translation is coming very soon !)
additional tags: canon-compliant, one-sided attraction
read on ao3 or below the cut !
31 décembre 2004
Le vent lui mord les joues, mais il ne fait pas assez froid pour que Shuishi prenne le temps de mettre son Ă©charpe. Il est dĂ©jĂ assez en retard comme ça, Matsuda nâĂ©tant pas capable de rendre un rapport Ă lâheure, mais bon, il savait dans quoi il sâengageait en revenant dans le bureau dâenquĂȘte. Il devrait ĂȘtre en congĂ©s Ă lâheure quâil est, et il nâose songer au nombre dâappels manquĂ©s qui lâattendent quand il rouvrira son tĂ©lĂ©phone⊠Mais il avait prĂ©venu sa femme, il se pourrait bien quâil soit de service, oui, mĂȘme le soir du nouvel an, oui, mĂȘme aprĂšs ses horaires de service habituels. Câest la premiĂšre fois quâil rate le nouvel an depuis la naissance de leur fille, mais bon. En grinçant des dents, il lui avait dit quâil faudrait probablement sây faire.
La poignĂ©e de la porte ne tourne pas. Shuishi fouille frĂ©nĂ©tiquement ses poches Ă la recherche de son badge, mais rien nây fait.
« Putain de merde ! Manquait plus que ça ! »
La faim lui tiraille lâestomac, surtout quâil nâa pas eu le temps de dĂ©jeuner, mais lâascenseur est en panne et il nâa vraiment aucune envie de se taper les huit Ă©tages Ă pied juste pour un badge Ă la con.
« On va manger un truc ? »
La voix derriĂšre lui le fait sursauter, et Shuichi porte la main Ă sa poche par rĂ©flexe â il ne devrait plus avoir son arme sur lui, malgrĂ© ses heures sup, mais ça fait mĂȘme pas deux mois queâŠ
Enfin. Câest pas comme si un pistolet arrĂȘtait le pouvoir du Death Note.
« Ide, tâes encore lĂ Â ? Je pensais que tout le monde serait partiâŠÂ » Il nâavait pas levĂ© la tĂȘte de la journĂ©e, trop maussade pour vraiment souhaiter la bonne annĂ©e Ă ceux qui rentraient chez eux avant lui.
« Un ou deux dossiers Ă finir. Je rattrape les notes du bureau dâenquĂȘte, voir ce que jâai ratĂ© pendant que jâĂ©tais pas lĂ . »
Shuichi ne sait pas quoi rĂ©pondre à ça. Lui-mĂȘme nâa pas touchĂ© la masse assez inquiĂ©tante de paperasse que Light et les autres ont accumulĂ©e, prĂ©fĂ©rant se joindre au directeur adjoint pour Ă©plucher les derniĂšres nouvelles en provenance de Yotsuba. Les quelques mois passĂ©s avec Ide Ă tĂątonner lui ont donnĂ© la rage, et depuis la mort de L, câest dur de ne pas ĂȘtre dĂ©faitiste. Shuichi prend le temps de le regarder pour la premiĂšre fois aujourdâhui, remarquant ses traits tirĂ©s et la mĂšche grisonnante Ă sa tempe, qui nâĂ©tait pas lĂ quelques semaines auparavant. Lui-mĂȘme ne doit pas avoir meilleure mine, ils subissent tous le contrecoupâŠ
AprĂšs un silence presque trop long, Ide se racle la gorge. « Du coup⊠je te voyais plus Ă ton poste, je me suis dit que tâĂ©tais parti chercher Ă dĂźner. Y a un izakaya au coin de la rue quâest pas trop mal. »
Un dĂźner en tĂȘte Ă tĂȘte, comme dâhabitude finalement. Shuichi esquisse un sourire. « Jâte suis. »
Ide commande une biĂšre, un okonomiyaki et deux assiettes de poulet frit, Shuishi se contente dâune assiette de yakisoba. Il ressort du restaurant en ayant encore un peu faim, mais, sâil a de la chance â et que sa femme nâest pas trop en colĂšre â il y aura une assiette de dessert soigneusement mise de cĂŽtĂ© quand il rentrera⊠dâici trois ou quatre heures. Il entend Ă peine lâanecdote quâIde lui raconte sur les mĂ©saventures de Matsuda.
Shuichi sâarrĂȘte net sous un rĂ©verbĂšre, aveuglĂ© un instant par la lumiĂšre qui lâenveloppe de toute part, et lĂšve les yeux vers la devanture dâune supĂ©rette encore ouverte malgrĂ© lâheure tardive. « Viens, je tâoffre un taiyaki. »
« Tâes sĂ»r ? » Ide nâa pas lâair de vouloir refuser, un air presque somnolent sur son visage dâordinaire pincĂ©. Shuichi sâoffusquerait presque de ce regain de politesse, câest pas comme sâils nâavaient jamais pris un verre aprĂšs le boulot !
« Y aura probablement dâautres desserts, mais si tu viens pas avec moi, je choisis pour toi. »
Hideki le remercie, les joues rosies par le froid, et ils sâengouffrent dans le magasin en se chamaillant sur le meilleur dessert Ă emporter.
5 mai 2007
Il fait trĂšs beau, mais Hideki nâest pas sĂ»r que ça soit la raison pour laquelle Aizawa ne cesse de regarder par la fenĂȘtre. Le ciel semble dâun bleu presque trop foncĂ©, la mĂ©tĂ©o donne plus envie de sâallonger dans un parc que de rester enfermĂ© Ă relire en boucle les mĂȘmes documents, mais ils sont de service. Le bureau dâenquĂȘte est toujours officiellement Ă la recherche de Kira, et ils ne manquent pas de morts sur lesquels creuser un peu, mĂȘme si les hauts gradĂ©s commencent Ă se lasser des innombrables rapports indiquant la cause du dĂ©cĂšs comme « crise cardiaque », et le coupable prĂ©sumĂ© comme « Kira »âŠ
Les rayons du soleil dansent sur ses boucles quand Aizawa secoue la tĂȘte, de petites Ă©toiles qui clignotent en reflets roux, et il replonge son regard las sur un rapport dâautopsie. Il a parlĂ© de les couper, Hideki nâest pas sĂ»r dâen avoir envie, mais ce nâest pas Ă lui de dĂ©cider. Ă lâinverse, il se laisse pousser la barbe, et un bouc encadre maintenant ses lĂšvres qui font la moue.
Les mots lui Ă©chappent alors quâil secoue la tĂȘte pour tenter de se ressaisir. « Vous avanciez plus, quand L Ă©tait lĂ Â ? »
Aizawa sursaute â il a la fĂącheuse manie de le surprendre, mais Hideki sait quâil ne lui en tient pas rigueur. « Euh. Ouais, on peut dire ça. »
Ses yeux parcourent rapidement leur bureau, comme pour vĂ©rifier quâils sont seuls. Hideki ne se serait pas risquĂ© Ă poser la question autrement, pour ne pas froisser le directeur adjoint et son fils dâune part, et dâautre part, pour ne pas essuyer un des innombrables rĂ©cits hĂ©roĂŻques (et sans nul doute embellis) de Matsuda.
« CâĂ©tait plus facile dâessayer de trouver des preuves quand on avait un suspect sous le nez, mĂȘme si lâobsession de L pour accuser Light ne nous a pas menĂ©s bien loin. AprĂšs ça⊠On a mis des mois avant de retrouver la trace du carnet chez Yotsuba, et je suis parti quand la police nous a posĂ©s un ultimatum, et que jâen ai eu assez des mĂ©thodes de L. TâĂ©tais lĂ , pour le reste. »
Un soupir. Hideki se demande sâil pense Ă la mĂȘme chose. Quâils avaient autant progressĂ© tous les deux, isolĂ©s au sein dâune unitĂ© de police hostile, obligĂ©s de chercher des informations en cachette et avec une fraction des ressources quâils ont maintenant Ă leur disposition. Mais avec infiniment plus de rĂ©sultats quâen trois ans, depuis la mort de L. Plus souvent quâil ne devrait, il se dit quâil aurait prĂ©fĂ©rĂ© continuer comme ça. MalgrĂ© tout son mĂ©pris partagĂ© pour les mĂ©thodes de L, celles de Light ne font en rien leurs preuves, et il se sent Ă©touffer dans ce bureau inutile. Au moins, quand il nây avait que lui et Aizawa⊠ils Ă©taient seuls contre tous, mais il avait entiĂšre confiance en son partenaire. Câest de moins en moins le cas avec ses collĂšgues actuels.
Hideki suit du regard le stylo dâAizawa, quand il le porte Ă ses lĂšvres avant de parler.
« Tu sais, Ide. Câest la premiĂšre fois que je suis de service pendant le Jour des Enfants. MĂȘme en 2004, jâavais facilement nĂ©gociĂ© de pouvoir rentrer chez moi. » Un nouveau soupir. « Eriko a rien dit, je crois que câest limite pire que quand elle mâengueule⊠Jâai emmenĂ© mes gosses au parc hier, mais bon. Vu le boulot dâaujourdâhui, ils auraient pu me mettre dâastreinte Ă un autre moment. Câest encore plus frustrant dâĂȘtre coincĂ© ici, alors que je sers Ă rien. »
Hideki émet un vague son pour lui exprimer sa sympathie, et Aizawa grimace en remerciement. Ils se remettent à travailler, et Hideki propose de ranger seul leurs affaires pour le laisser partir plus tÎt.
31 décembre 2009
Il y a des moments oĂč Shuichi se demande pourquoi il fait tout ça. Six ans, depuis lâapparition de Kira, depuis les meurtres quasi quotidiens, six ans quâil sâenferme de plus en plus dans un bureau Ă©touffant en compagnie de gens quâil a, dans lâensemble, de plus en plus de mal Ă supporter.
Son regard croise celui dâIde, qui secoue la tĂȘte sombrement â au moins, quelquâun dâautre partage son exaspĂ©ration pour le merdier dans lequel ils sont embourbĂ©s. Et, sâil a correctement interprĂ©tĂ© ses actions, Near devrait bientĂŽt mettre un terme Ă cette affaire.
Quand il a vu Light appeler sa mĂšre pour lui dire quâil ne serait pas avec elle pour le nouvel an â une Ă©vidence, et Shuichi songe amĂšrement Ă sa propre famille quâil nâa pas revue depuis des semaines â il a presque eu envie de lui foutre un pain.
Il est sorti prendre lâair, une pause bien mĂ©ritĂ©e aprĂšs cette soirĂ©e qui nâen finissait plus. Il ne fait pas si froid, mais la colĂšre lui a fait oublier son manteau, et il tente de se convaincre de rentrer avec les autres plutĂŽt que de rester appuyĂ© sur ce rĂ©verbĂšre quand une main se pose sur son Ă©paule.
Pour une fois, il ne sursaute pas.
« Merci, » dit-il simplement en acceptant son manteau et son écharpe. « Je sais pas ce que je ferais sans toi. »
« Des merveilles sur un chalutier. » Devant son air ahuri, Ide continue, « quoi, tu penses pas que tu te serais reconverti, au bout dâun moment ? Tâen aurais eu trop marre, tâaurais claquĂ© la porte, et tu serais parti Ă la pĂȘche au hareng. »
Shuichi Ă©clate de rire. « Tâen as dâautres, des idĂ©es comme ça ? Tu ferais quoi toi, expert comptable ? Ou peut-ĂȘtre bibliothĂ©caire, tâas toujours eu un don avec les enfants. Les petites me demandent encore quand est-ce que tu passeras la prochaine fois. »
La bouche tordue en une Ă©trange grimace, Hideki secoue la tĂȘte. « Ouais, on est bien oĂč on est, finalement. » Il lĂšve la tĂȘte vers les quelques nuages, la voix un peu distante. « Câest bientĂŽt finiâŠÂ »
« Oui. »
Ide se tourne vers lui, et sa grimace se transforme en sourire. « Si on sort de tout ça indemne, je serai drÎlement content de reprendre du service à tes cÎtés, comme avant. »
« Faut que tâarrĂȘtes de faire des plans sur la comĂšte, mon vieuxâŠÂ » Shuichi lui serre briĂšvement lâĂ©paule avant de rentrer dans lâhĂŽtel.
5 novembre 2011
Near a fini par leur dire oĂč L Ă©tait enterrĂ©. Hideki a comme lâimpression quâil nâen avait aucune idĂ©e avant quâAizawa lui en fasse la demande, et que lâinformation nâa pas Ă©tĂ© simple Ă obtenir â ni la permission de les y emmener, dâailleurs. Aizawa sait se montrer trĂšs butĂ© quand lâenvie lui prend, et ils y sont, maintenant. Devant une tombe si incroyablement neutre quâils ne lâauraient probablement jamais trouvĂ©e seuls, perdue dans un cimetiĂšre prĂšs dâun orphelinat anglais.
Aizawa recommence Ă faire pousser son afro. Il aurait perdu un pari avec ses filles, soi-disant, mais Hideki pense plutĂŽt que câest la vie qui commence Ă reprendre son cours. Pour ceux encore en vie pour en avoir lâoccasion.
« Tu viendras dßner à la maison, Ide ? Quand on sera rentrés. »
Son regard croise celui dâAizawa, et Hideki se rend compte quâil le fixait depuis quelques minutes. Il a Ă peine jetĂ© un Ćil Ă la tombe de L, mais de toute façon, il ne lui a jamais accordĂ© une grande estime. Depuis le dĂ©but, sa loyautĂ© va Ă Aizawa â Ă ses collĂšgues.
« Bien sûr. »
Il ressent dĂ©jĂ un lĂ©ger pincement au cĆur Ă lâidĂ©e quâAizawa lâaccueillera de la mĂȘme façon que dâhabitude, coutumiĂšre comme ces films qui passent Ă la tĂ©lĂ© tous les hivers. « Fais comme chez toi. »
#dnrarepairweek25#death note#aizawa shuichi#ide hideki#idezawa#dn#fic#olorea makes#PHEW i'm glad i could at least finish the french version on time !! for some reason this one did NOT come in english to me#title is from âencore et encoreâ by francis cabrel bc i am always on my cabrel propaganda grind <3333#v v v tired i sleep now but !! excited to write and excited to read what everyone did when i'm not hammering on my keyboard anymore !#if u see anything wonky in this. first of all bisous la francophonie. second of all plz tell me. this is very obviously not beta read lmao#txt
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Ouverture (officielle) de La Piscine
Bonjour tout le monde đ
Ici @1019-code, je viens vous annoncer l'ouverture (officielle) de La Piscine, un discord de commandes et d'entraide pour forums Forumactif dans les domaines du codage et du graphisme.
Vous pourrez :
trouver des Ă©preuves, "challenges", pour tester votre crĂ©ativitĂ© ou faire fleurir l'inspiration (et accessoirement peut-ĂȘtre rĂ©ussir Ă booster le libre-service),
rejoindre des équipes pour gagner des POINTS qui ne servent à RIEN !!!
si vous ĂȘtes prestataire, discuter entre nous dans le but de se mettre d'accord sur nos pratiques ou trouver de l'aide dans le monde merveilleux du freelance,
trouver un répertoire de prestataires pour réaliser des commandes payantes en code ou en design,
partager votre plateforme, tumblr, forum, etc pour présenter votre travail,
partager du libre-service que ce soit en code ou en design,
nous faire part de vos meilleures ressources (et en trouver !) que ce soit en code ou en design,
vous entraider et réussir à traquer les bugs ou à comprendre comment on fait des incrustations trop classes sur des banniÚres,
présenter votre travail en cours et recevoir tous les compliments du monde pour faire un peu de bien à votre ego,
recevoir des feedbacks si vous le souhaitez, que ce soit sur un design, une création ou un code,
demander de l'aide pour trouver l'inspiration, finie la page blanche,
présenter vos objectifs de la journée, du mois, de l'année, au choix,
partager vos coups de coeur en terme de codage ou de design, que ces derniers soient des forums oĂč d'autres sites qui n'ont absolument rien Ă voir,
partager vos meilleurs memes sur le burn-out,
et tout simplement discuter de codage et graphisme !
Et en plus on a déjà 280 membres !
J'ai récemment terminé la configuration du serveur (aprÚs 2 ans, oups...), de fait j'en fais maintenant la publicité !

Le but de La Piscine
Avec La Piscine, j'espÚre composer une vraie communauté d'entraide autour de Forumactif, mais aussi une plateforme de partage de ressources, de tutoriels, et aussi d'idées "irréalisables".
On a quelques scripts inĂ©dits et totalement rĂ©volutionnaires qui sont uniquement prĂ©sents lĂ -bas, faute de temps de leurs crĂ©at·eur·rice·s (oups, je parle peut-ĂȘtre que des miens). On a par exemple le processus complet de @code-lab concernant la gĂ©nĂ©ration de fiches de prĂ©sentation, mais on a aussi des tentatives de bases de donnĂ©es de membres pour permettre des bottins automatiques mais aussi des listes de membres avancĂ©es, style masterlist, entre autre choses.
Ce que j'aimerais également, c'est que ça booste la création de libre-service. Que ce soit en design ou en code, qu'on propose + de contenu libre. Donc si vous créez réguliÚrement du libre-service (maquettes ou code), n'hésitez pas à nous rejoindre pour remplir les placards de vos créations !

Vous ĂȘtes dĂ©butant·e ?
Pas de panique : La Piscine est ouverte Ă TOUS les niveaux ! On est lĂ pour vous aider, mĂȘme si c'est pour quelque chose d'ultra simple mais que vous ne maĂźtrisez pas. Et vous n'ĂȘtes vraiment pas seul·e !
Vous ĂȘtes professionnel·le ?
On est plusieurs Ă l'ĂȘtre ! et parfois on parle de nos projets en-dehors de Forumactif. Donc si vous avez besoin d'aide sur des choses plus avancĂ©es, y a peut-ĂȘtre moyen que vous trouviez quelqu'un pour vous aider lĂ -bas !
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