#Crevette Records

[2t2r]

Triops cancriformis - l'espèce animale la plus ancienne

Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/triops-cancriformis-lespece-animale-la-plus-ancienne/

Triops cancriformis - l'espèce animale la plus ancienne

[entomoblog]

Usbek & Rica - Des crustacés refusent d'avoir des relations sexuelles à cause des déchets plastiques

See on Scoop.it - EntomoNews

Petits crustacés semblables aux crevettes, les gammares voient leurs comportements sexuels complètement chamboulés par la présence d'additifs plastiques dans l'eau. Certains refusent même d'avoir des rapports sexuels. Explications.

  Emilie Echaroux

6 décembre 2023

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NDÉ

L'étude

  Evaluation of precopulatory pairing behaviour and male fertility in a marine amphipod exposed to plastic additives - Environmental Pollution, https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0269749123019486

  Highlights

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Pairing behaviour was impacted after 1 h exposure to plastic additives

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Environmentally relevant concentrations prolonged re-pairing time and contact time

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TPHP and DBP declined sperm count; NBBS and DEHP showed interindividual variability

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Pairing behaviour is a sensitive endpoint in ecotoxicological studies

Abstract

Plastics contain a mixture of chemical additives that can leach into the environment and potentially cause harmful effects on reproduction and the endocrine system. Two of these chemicals, N-butyl benzenesulfonamide (NBBS) and triphenyl phosphate (TPHP), are among the top 30 organic chemicals detected in surface and groundwater and are currently placed on international watchlist for evaluation. Although bans have been placed on legacy pollutants such as diethylhexyl phthalate (DEHP) and dibutyl phthalate (DBP), their persistence remains a concern.

  This study aimed to examine the impact of plastic additives, including NBBS, TPHP, DBP, and DEHP, on the reproductive behaviour and male fertility of the marine amphipod Echinogammarus marinus. Twenty precopulatory pairs of E. marinus were exposed to varying concentrations of the four test chemicals to assess their pairing behaviour. A high-throughput methodology was developed and optimised to record the contact time and re-pair time within 15 min and additional point observations for 96 h.

  The study found that low levels of NBBS, TPHP, and DEHP prolonged the contact and re-pairing time of amphipods and the proportion of pairs reduced drastically with re-pairing success ranging from 75% to 100% in the control group and 0%–85% in the exposed groups at 96 h. Sperm count declined by 40% and 60% in the 50 μg/l and 500 μg/l DBP groups, respectively, whereas TPHP resulted in significantly lower sperms in 50 μg/l exposed group. Animals exposed to NBBS and DEHP showed high interindividual variability in all exposed groups.

  Overall, this study provides evidence that plastic additives can disrupt the reproductive mechanisms and sperm counts of amphipods at environmentally relevant concentrations. Our research also demonstrated the usefulness of the precopulatory pairing mechanism as a sensitive endpoint in ecotoxicity assessments to proactively mitigate population-level effects in the aquatic environment.

  [Image] Graphical abstract

[voxtrotteur]

Des Perturbations Météorologiques Extrêmes S'installent en Antarctique Les prévisions sont inquiétantes : les phénomènes météorologiques extrêmes, tels que les vagues de chaleur océaniques et la fonte accélérée de la glace, deviennent presque inévitables en Antarctique. Les chercheurs de l'Université d'Exeter tirent la sonnette d'alarme quant à l'impact croissant du changement climatique. Ils estiment que les problèmes observés dans cette région pourraient n'être que la partie visible de l'iceberg. Fragilité de l'Antarctique sous Pression L'étude menée par l'équipe de recherche a porté sur divers éléments : conditions météorologiques, glace marine, température des océans, systèmes glaciaires et plateformes de glace, ainsi que la biodiversité terrestre et marine. Cette analyse approfondie a conduit à une conclusion alarmante : les écosystèmes vulnérables de l'Antarctique pourraient subir des dégâts considérables dans les années à venir. Face à cette perspective, les chercheurs appellent à une action politique urgente. L'Enjeu Mondial des Changements Antarctiques Martin Siegert, auteur principal de l'étude, met en lumière les implications mondiales du problème : "Le changement en Antarctique a des conséquences pour le monde entier. Réduire les émissions de gaz à effet de serre à zéro est notre meilleure chance de préserver cette région, et cela requiert un engagement de tous les pays et individus de la planète." Antarctique : Un Tournant Historique Le Professeur Siegert souligne également que les changements rapides observés en Antarctique pourraient mener plusieurs pays à violer le Traité sur l'Antarctique, accord international qui vise à protéger l'environnement de cette région fragile. "Les pays signataires doivent réaliser que l'exploration, l'extraction et la combustion des combustibles fossiles dans le monde entier affecteront l'Antarctique de manière incompatible avec leur engagement." Vulnérabilité à Divers Événements Extrêmes L'étude a évalué la vulnérabilité de l'Antarctique face à divers événements extrêmes. Les résultats ont montré que des records de chaleur sans précédent et la réduction de la glace de mer menacent sérieusement les écosystèmes. Par exemple, la vague de chaleur record de 38,5 °C au-dessus de la moyenne a frappé l'Antarctique oriental en 2022. De plus, la formation de glace de mer en hiver est à son niveau le plus bas jamais enregistré. Un Impact sur la Biodiversité Les températures élevées affectent également la biodiversité. Les saisons avec moins de krill, une espèce de crevette, peuvent entraîner des échecs de reproduction chez les prédateurs qui en dépendent, comme les bébés phoques à fourrure. Les événements extrêmes touchent tous les aspects de l'écosystème, de la glace marine aux glaciers, demandant une attention et une protection accrues. Les Effets Dévastateurs du Changement Climatique en Antarctique Des Perturbations Climatiques Inévitables L'Antarctique connaît des événements météorologiques extrêmes, tels que les vagues de chaleur et la perte de glace, qui deviendront courants à l'avenir. Impact Varié sur les Écosystèmes Ces perturbations affectent la glace de mer, les températures océaniques, les systèmes de glaciers et la biodiversité terrestre et marine. Un Avenir Préoccupant Les chercheurs affirment que les environnements fragiles de l'Antarctique pourraient subir des dégâts considérables dans les années à venir. Appel à l'Action L'équipe de recherche exhorte à une action politique urgente pour préserver l'Antarctique et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Engagement Mondial Requis Le respect du Traité sur l'Antarctique, signé par plusieurs pays, est crucial pour préserver cette région unique. Sauvegarder l'Équilibre Les impacts sur la biodiversité, la fonte de la glace et les conditions météorologiques extrêmes nécessitent une gestion soigneuse pour protéger ces écosystèmes sensibles.

[docrotten]

THE CRAWLING EYE (THE TROLLENBERG TERROR, 1958) – Episode 129 – Decades Of Horror: The Classic Era

“Alan, we’re in big trouble. The cloud is splitting up!” The cloud is splitting? Run for your lives! Join this episode’s Grue-Crew – Whitney Collazo, Daphne Monary-Ernsdorff, and Jeff Mohr – as they make a trip to Trollenberg for an eyewitness account of the terror known as Tempean’s The Crawling Eye (1958), aka The Trollenberg Terror.

Decades of Horror: The Classic Era Episode 129 – The Crawling Eye (1958)

Join the Crew on the Gruesome Magazine YouTube channel! Subscribe today! And click the alert to get notified of new content! https://youtube.com/gruesomemagazine

ANNOUNCEMENT Decades of Horror The Classic Era is partnering with THE CLASSIC SCI-FI MOVIE CHANNEL, THE CLASSIC HORROR MOVIE CHANNEL, and WICKED HORROR TV CHANNEL Which all now include video episodes of The Classic Era! Available on Roku, AppleTV, Amazon FireTV, AndroidTV, Online Website. Across All OTT platforms, as well as mobile, tablet, and desktop. https://classicscifichannel.com/; https://classichorrorchannel.com/; https://wickedhorrortv.com/

A series of decapitations on a Swiss mountainside appear to be connected to a mysterious, radioactive cloud. The cloud turns out to be inhabited by horrible alien creatures who like to decapitate humans and are also in telepathic communication with certain people.

  Director: Quentin Lawrence

Writers: Jimmy Sangster (screenplay); Peter Key (aka George Kerr, Jack Cross, & Giles Cooper) (story)

Produced by: Robert S. Baker, Monty Berman

Production Company: Tempean Films

Music by: Stanley Black

Cinematography by: Monty Berman (director of photography)

Selected Cast:

Forrest Tucker as Alan Brooks

Laurence Payne as Philip Truscott

Jennifer Jayne as Sarah Pilgrim

Janet Munro as Anne Pilgrim

Warren Mitchell as Professor Crevett

Frederick Schiller as Mayor Klein

Andrew Faulds as Brett

Stuart Saunders as Dewhurst

Colin Douglas as Hans

Derek Sydney as Wilde

Richard Golding as first villager

George Herbert as second villager

Anne Sharp as German woman

Leslie Heritage as Carl

Jeremy Longhurst as first student climber

Anthony Parker as second student climber

Theodore Wilhelm as Fritz

Garard Green as pilot

Caroline Claser as little girl

Jeff chose this one and he loves it! Even though the effects may be a bit cheesy, he stares agog at the title characters. Janet Munro, Forrest Tucker, the terribly but awesomely acted professor, and a well-paced script make The Crawling Eye a fun watch.

The Crawling Eye is a pleasant sight to behold for Daphne, who shows up for the podcast as Daph-eye-ne, complete with costume. She likes how it starts off with a bang, (actually a decapitation) and she loves the “leg-a-cles.” Whitney also describes the effects as wild and cheesy but then reminds Grue-believers how much she loves cheese. The Crawling Eye is a fun, crazy film, what with all the ocular shenanigans. Chad is reminded of a Quatermass film with a tinge of film-noir with some of its dark shots and characters knowingly walking into danger. He lauds the well-thought-out, Jimmy Sangster-penned script.

Your Classic Era Grue Crew unanimously labels The Crawling Eye a fun movie that includes its share of tension. At the time of this writing, the film can be streamed from the Classic Horror Movie Channel and the Classic Sci-Fi Movie Channel.

Jeff shows off his fresh copy of Little Shoppe of Horrors, issue 48, featuring Robert S. Baker, Monty Berman, and the films of Tempean. Of particular use to the Classic Era Grue Crew is “The Trollenberg Terror” by Clive Dawson. New and back issues of Little Shoppe of Horrors (The Journal of Classic British Horror Films), are available at https://www.littleshoppeofhorrors.com/ 

Gruesome Magazine’s Decades of Horror: The Classic Era records a new episode every two weeks. Up next in their very flexible schedule is one chosen by Daphne: Mario Bava’s Kill, Baby… Kill! (1966).

Please let them know how they’re doing! They want to hear from you – the coolest, grooviest fans: leave them a message or leave a comment on the site or email the Decades of Horror: The Classic Era podcast hosts at feedback@gruesomemagazine.com

To each of you from each of us, “Thank you so much for listening!”

Check out this episode!

[morethanboomtschk]

The book “Missing The Club” is substantially illustrated with black and white photography by Thomas Sweertvagher for Brusseleir Digger, with zoomed in record sleeves, with a unique and coloured photographic essay of Crevette Records by Sarah Skoric and with selected pictures from the author himself Kong DJ. He says about his book:

”One year has gone since my last DJ gig or dance floor action. What started as a mixtape project a few months into the pandemic last year, now turned into a 248 pages book. While recording the third and final chapter of this mixtape trilogy and intrigued by the backgrounds and protagonists of the records, I began researching and got into the idea of a book version, where stories about the mixtape’s tracks are alternated with a selection of favorite articles and interviews from my archive as a music journalist - printed on paper to safeguard from digital expiration - plus a few brand new texts and essays. The entirety offers a unique and utterly personal perspective on electronic music, club culture and vinyl record collecting.” [...]

[meihaomiyoshi]

(Crevette Records)

[ul741f]

[windermeresimblr]

The Clan of the Trash Panda: A Neandersim Midnight Sun Legacy (1.3)

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Meeka, in a burst of adorableness and parallel play, dreams of Lobster Thermidor as Droh roasts whatever fish he’s caught. It’s at this time that I say, “I must have her join the family. I can’t bear the idea of her being lost to the time stream.”

Meeka: a̷u̸x̴ ̴c̴r̶e̷v̴e̵t̵t̸e̵s̶,̶ ̵o̴u̸i̷,̸ ̴a̶u̵x̷ ̸c̴r̷e̵v̷e̵t̷t̷e̷s̸,̷ ̸s̶’̷i̵l̷ ̶v̵o̶u̷s̸ ̶p̵l̵a̷i̶t̷.̸.̶.̴ 

(aux crevettes, oui, aux crevettes, s’il vous plait...)

Thanks to NRAAS Master Controller and a Reddit thread, Meeka has successfully joined the family...as Droh’s roommate. However, she is certainly not paying rent. (Money hasn’t been invented yet, but I believe Droh would argue that she contributes to the household’s functioning by keeping him sane. And Meeka, who is queen of this fur tent and assorted bushes and stones, would argue that Droh should pay her to be in her divine presence.)

However, her needs are totally empty. This probably isn’t terribly safe, and I would not be doing this if it was anything other than a Midnight Sun Challenge where there’s so few Sims that it wouldn’t matter if there’s some...messing around with the coding. But I believe her sweet little face makes up for it. 

I also cheated and made her best friends with Droh, because I thought that would help her allow him to pet her. This is not the case. Again, probably for the best. (Please don’t run out and try to pet your local trash panda. I would be very unhappy to hear you had to get 24 shots in the stomach because you copied something you saw on Simblr.)

Meeka: Yes, I take a liking to big creature. He is useful and one day I will have hot fudz to eat and a basin to worsh mine handz in. Friend?...uh...no comment.

I sent Droh to go play in the ocean to entertain himself, because he needs to do something that isn’t fish, roast fish, roast marshmallows, stick his fur skirt far too close to open flames for my liking, chase Meeka, and sleep. If he was real, he’d be a member of the Polar Bear Club. I also wanted to see if my “swimming gains hygiene” mod was functioning; unfortunately, it was not.

Droh: Come on in, Watcher! The water’s great!

Droh looks far too cute for his own good. He does need some more friends. And a mate, so Meeka does not eat his bones when he eventually passes away from fish poisoning. @schokokokatze​ and I are arranging things behind the scenes, of course...

Droh: Arranging what?

Nothing to worry about. Go back to splashing in the water and giving yourself hypothermia.

Droh: Wheee!

I then had him do some more fishing, since he’d eaten all his fish by that afternoon. 

Droh: I love fishing! And sunsets. 

And then the sun set, so I had him run across the island back to his camp.

Droh: Can I get a canoe? It would take less time and I could carry things.

Well, you need to build the canoe yourself, so that’s a maybe. 

Finally, both Meeka and Droh go to sleep, with one long day behind them and another long day ahead of them. Meeka once again dreams of anachronistic foods, and Droh just snores. It’s a good thing I don’t record video, because Droh snores like a freight truck.

[remykolpakopoul]

Kanal RKK ► Lucas Santtana

Le dernier concert parisien auquel RKK assista ? Lucas Santtana ! Samedi 25 avril 2015 à La Maroquinerie ! Un musicien brésilien, du côté de Ménilmontant, par une nuit de printemps : scène de la vie (peu) ordinaire du ConneXionneur...

▲ Mariana de Moraes, Rémy Kolpa Kopoul & Lucas Santtana @ La Maroquinerie, Paris, 2015 / Photo © Laurent Lafont-Battesti

▲▼ Documents amateurs filmés par Candice Parola

Un an auparavant, Rémy Kolpa Kopoul avait brossé le portrait de Lucas Santtana à la demande du label indépendant Nø Førmat que l'artiste venait de rejoindre. ▼

Son précédent opus, « O Deus Que Devasta Mas Também Cura » avait dépassé « sa » planète Brasil et avait conquis nombre d’oreilles curieuses, en Europe. Voici le nouvel opus, « Sobre Noites E Dias », cette fois sur le label (hexagonal) Nø Førmat. Non pas son second, mais le sixième. Car Lucas Santtana est un homme aux mille vies (musicales et-pas-que…) et à 43 ans, il n’est vraiment reconnu au Brésil que depuis peu. Depuis que dans le reste du monde, on parle de lui comme la relève d’une musique Brésilienne dont les Caetano Veloso, Gilberto Gil, Chico Buarque, héros (pas fatigués) ont atteint un âge « respectable ».

Lucas Santtana, ce sont des cycles, ou plutôt des couleurs : son premier album était percussif, le second, baile funk, le troisième, dub, le quatrième orienté voix et guitare. C’est depuis le cinquième (qui l’a fait connaître en France), qu’il brasse toutes ces influences (et d’autres). « Sobre Noites E Dias », le nouveau, confirme cette confluence, une palette post tropicaliste, à la fois roots et urbaine. En somme, un disque au futur antérieur. Petit cousin d’Arto Lindsay, mais de l’autre hémisphère. Car là où Arto le New Yorkais s’est approprié le portugais du Brésil, Lucas apprivoise l’anglais, d’où un bilinguisme qui les sort tous deux des codes.

Comme depuis toujours, Lucas compose sa matière, seul ou (parfois) avec complicité de proches, de musiciens qui comme lui échappent aux ornières. Des textes souvent pétris de références féminines, où la poésie fraie avec l’absurde, comme cette « Mariazinha morena clara » : vous vous rendez compte, le soleil du Brésil ne vaut pas les crevettes de la Hollande de… van Persie ! On voit bien là la fibre familiale de son (vrai) oncle Tom Zé. Ses textes en anglais sont plus atmosphériques, comme s’il étirait nonchalamment le temps, à la façon d’un autre cousin des Amériques, Devendra Banhart.

Ses digressions foutraques dignes d’un Pierrot descendu de sa lune reçoivent un emballage, voire un canapé, qui vont du quatuor à cordes à la grosse basse dubstep, du trio hautbois / basson / clarinette aux guitares du fleuve Niger. Là, le gaillard, caméléon des six cordes, possède son sujet. Tout comme il maîtrise les machines, d’ailleurs organique et synthétique créent un paysage à mille facettes.

Hors Brésil, ses compagnons de jeu sont autant de surprises, comme dans « Human Time » où Fanny Ardant vient pour un final onirique susurrer une équation d’amour, ou bien ce « Diary of a bike » où Féfé (oui, l’ex Saïan Supa Crew !), passé par Rio, a posé ses lyrics « cyclistes » avec un flow pétillant. Autre talent hors Brésil mis à contribution, Vincent Segal, magister de l’archet sur son violoncelle, grand gourmet du Brésil. Et encore le DJ et producteur allemand Daniel Haaksman.

Parmi les Brésiliens embarqués dans l’aventure, citons notamment ceux qu’on se dispute au Brésil, le fidèle Bruno Buarque (de Barbatuques à Céu), Kiko DiNucci et Thiago França, les trublions de Metá Metá, Une disparate association de bienfaiteurs, des artisans du son.

On avait quitté Lucas Santtana contant dans son album précédent sa rupture un jour d’orage de fin du monde. On le retrouve amoureux, à la fois taquin et apaisé, incitant les oreilles curieuses à batifoler. Pas étonnant qu’il soit dans la lignée des ses aînés, Baïanes comme lui, Caetano Veloso et Gilberto Gil (avec qui il a d’ailleurs commencé, il y a plus de quinze ans). Il s’est d’ores et déjà affranchi de ce glorieux mais pesant héritage. Mais, puisqu’on est à Salvador de Bahia, il s’attèle à un frevo rigolo comme on aime les reprendre au Carnaval.

A présent, c’est lui qui bâtit un héritage. Après tout, passé la quarantaine, on peut revendiquer d’être maître à bord, tout en s’affirmant comme une découverte. Il mérite sa place dans le bien nommé label Nø Førmat. Le premier Brésilien à faire partie de la famille. Bienvenue ! Seja bem vindo ! RKK

Depuis le départ de Rémy, la carrière de Lucas se poursuit; sa discographie s'enrichit d'enregistrements inédits et de rééditions choisies.

Toujours chez Nø Førmat, et dans la même veine, "Modo Avião" (2017) confirme le savoir-faire de son auteur-compositeur-interprète, à la recherche de sophistication sonore. Le suivant, "O Céu É Velho Há Muito Tempo" (2020) prend une autre direction. Épuré, tout en douceur, empreint de gravité mais résolument optimiste, ce superbe album privilégie la simplicité de la voix accompagnée par la guitare acoustique, dans le style de João Gilberto. Le plaisir qu'il procure méritant d'être prolongé, un EP intitulé "O Céu É Velho Há Muito Tempo (Variations)" paraît en 2021.

En duo avec la chanteuse de Recife Duda Beat, le single "Meu Primeiro Amor" raconte une histoire sentimentale au-delà des différences sociales.

"Ninguém Solta A Mão De Ninguém" appelle à la résistance et à la solidarité face aux discriminations exercées par le pouvoir en place.

Plus orienté vers le danceflor, "Eletro Ben Dodô (20 Anos)" célèbre l'anniversaire du premier LP de Lucas Santtana paru à l'orée du nouveau millénaire (Natasha Records) mais toujours très efficace.

"Mensagem De Amor", délicate reprise du groupe rock Os Paralamas Do Sucesso, contraste radicalement avec les autres morceaux du disque ainsi qu'avec sa version originale.

Remasterisé en 2021, le paradoxal "3 Sessions In A Greenhouse" (avec le groupe Seleção Natural, 2006, Mais Um Disco) - à la fois spontané et extrêmement produit - marque une étape décisive dans le parcours de Lucas Santtana : un accomplissement dub et tropicaliste.

La vidéo de "Lycra Limão" en illustre le processus créatif.

▼ Lucas Santtana ? Le revoilà ! Il vient passer l'été 2021 sur les scènes d'une France déconfinée et ensoleillée. Seja bem vindo ! LL

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[thesunlounge]

Reviews 305: Puma & The Dolphin

I came to the music of Puma & The Dolphin, real name Nikolay Todorov, via Elsewhere MCMXIII on ICI, that first DJ soFa curated compilation from his enigmatic series that has now spread across four volumes and four labels (Elsewhere MMDLXXVI on Kalahari Oyster Cult, Elsewhere CDXLIV on Crevette Records, and Elsewhere LVI on Emotional Response). Todorov has gone on to appear on all of these subsequent volumes, each time giving a small but essential taste of his evocative worlds of firedance mystery, krautrock playfulness, and futurist jungle exploration. Thus the Primitive EP lands with no small amount of anticipation, as the 12” allows full immersion into Puma & The Dolphin’s esoteric dreamspace…a fourth world amalgam of space age abstractions and shamanic body grooves seeing shadowy post-punk rhythms, primal drug-dub basslines, and ethnological hand-drums disco dancing and future funk trancing through alien deserts and exo-planetary rainforests. As well, the Primitive EP marks the first release of Chambre Noire, a radio show and mix/visual collage series run by Peter Bunzinelli, also of Cosmic Tones, that is now expanding its operations to include a record label. And pushing the whole package over the edge is a truly far-out remix from Michal Turtle, who strips Puma & The Dolphin’s “The Dress” down into its spiritual dub essence, letting immersive layers of world percussion and low slung basslines execute a ritualistic funk dance amidst universes of shifting sonic sorcery, with the organic and the virtual blending together as reality distorts into a blur of tropical psychedelia.

Puma & The Dolphin - Primitive EP (Chambre Noire, 2019) The “Jungle Futura” is alive with monkey screams and birdcalls, which splatter into feverish abstraction. A two-note bassline grooves through exotica motions over low slung disco magic…a four-four kick locking in, snares moving through uptempo militance, and the spectrum colored by tambourines, cabasas, guiros, and ethnological hand drum hooks. Burning drone clouds stoke hallucinations and insectoid squiggles arc across the sky as voices speak mysterious enchantments…all while synthetic heatwaves and whooshing bursts of static suffuse the background. Animalistic whistles transmute into solar feedback sorcery and sonar tones ping across the spectrum while virtual flutes scat through melodies of exo-planetary rainforest ritualism and later, squelching synthetics dance through Arabian mysticisms…as if multiple fusion leads are weaving neon tracers through a desert oasis. “Camel in Dub” starts with electrified marbles bouncing through hyperspace and a sweaty post-punk and doped-out disco funk rhythm cracking to life while chaotic clap patterns rocket into the third dimension and hissing hat hypnotics support smashed 80s snares. Looped basslines slide through ping ponging hypno-grooves with an otherworldly sexuality evoking Holger Czukay and as we settle into a stoner zoner delirium jam, the vibe is ultra propulsive...like highway cruising through machine breaths, glowing ghost hazes, and screeching tapestries sourced from birds of paradise. Masculine and feminine conversations spectrally morph as they flutter in from the outer edges of the cosmos while inter-dimensional computations are captured by malfunctioning satellites. Elsewhere, marimbas execute tropical dream dances and tribal chants enter the scene, pushing the inherent conga line atmospherics to the fore as an infectious “oh / ah” call and response lands right on the beat.

The layered rhythms of “The Dress” work themselves into a delirious dubfunk stomp, with electronic and acoustic drums hitting just out of phase and droning insect wings suffusing the humid jungle air. Infectious bass riffs drop in and out, electronic cymbals decay, and panoramic hand percussions jangle as mutant waveforms cycle across the spectrum…their LSD tracers flashing while abstracted voices repeat “satellite.” Steel drum tropicalisms waver through a mirage of ring modulation and robotic calculations are repurposed into sci-fi jazz scats, with the track eventually taking on an even more militant tribal energy. Drums pound maniacally and the bass guitar abandons its cloudform dub descents in favor of a downlow drug chug while tiger screams transmute into noise. And after strange melodies recalling the Twilight Zone fade like a daydream, we explode once more into future freak jam magic. The intro of “Cobra Dance” sees anthemic glam synthesizers riffing through stargate kingdoms before giving over to low slung bass funk and post-punk motorik militance. Crowd noises surround everything until sweeping oscillations wash the mix clean, leaving the basslines and hypno-drums to charge alone through the liquid night. The primitive dance incantations are helped along by polyrhythmic hand drum clusters awash in Latin jazz spirituality while elsewhere, dial-tone leads scat on sunbeams as those anthemic synth riffs from the intro return and saw across a neon sky. Monotone voices speak mysterious nothings, crazed clap patterns fire through the air, and bending waves of acidic light induce futuristic visions, with the mix giving over to crazed fourth world sequencing and minimalist panoramas of muted gold. Timbales rattle and alien approximations of Middle Eastern mysticisms entrance the mind as everything mutates through a white noise wormhole and eventually, as we snap back into the mutant glamfunk firedance, snake charmer oscillations howl over Afro-beat idiophonics.

A ringing triangle begins Michal Turtle’s remix of “The Dress” before the track gives way to a mutant dub groove, wherein bass riffs vibrate ecstatically as they move through hypnotic octave motions…like skanking on bulbous sunbeams. Feminine voices trip through the cosmic spectrum and a world percussion panorama locks into tribal riddim ritualism, with cricket chirps looping ear-to-ear. Ethnological string instruments decay through delirium webs, mutating steel drums splash through foaming puddles of starshine, and primitive electronics attempt to converse with songbirds as everything smears into a slapback fever dream. The hypnotic drum processional is content to vibe out in a psychedelic paradise…a mediative world of fourth world abstraction and evocative harmonic magic…and at times, snare rhythms drop as the beat takes on an even more pronounced dubfunk jungle swagger, with clap patterns firing in support. During key moments, Turtle washes the mix through with ethereal waves of synthesis…these jaw dropping pads infused by DMT vocal mutations and blasting across universal expanses while trailed by sea-spray color hazes. And later, the drums drop away, leaving the track to zone out in a beatless headspace of oceanic exotica, with sparkling crystal structures growing from nothingness, new age energy fields wavering through deep ocean mirages, and hand drums pulsing…as if generated by breath. As the kick returns, seabirds emit supersonic tracers and jaguars roar amidst forest whispers and rattling pellet drums while elsewhere, the snare drops yet again and morphs the track into an ecstatic ritual of stoner dub and spectral space funk, with equatorial idiophonics beaming in from some outer-dimensional tropical paradise and a background tapestry alive with hallucinogenic panning fx and enigmatic voice incantations.

(images from my personal copy)

[lesgenouxdanslegif]

Lui, c`est Matt Carpenter.

Si tu tapes ce nom sur Google c’est un joueur de baseball qui sortira mais c’est bien le coureur qui nous intéresse, plus que le gars qui a un morceau de bois dans les mains. Matt, c’est peut-être le plus grand coureur en altitude de tous les temps. Non, ton pote qui habite en Gironde ne pourra jamais rivaliser. Matt, c’est aussi 90 de VO2max. Bordel, ça calme. Il nous faudrait un bouquin pour placer tout son palmarès mais en gros : Matt est un pionnier du Skyrunning, il n’est pas grand et très léger, il a gagné sur de l’ultra, il adore les spaghettis, il a de beaux cheveux et surtout il a giflé plusieurs fois Pikes Peak Marathon, une course mythique chez les ricains qui culmine à 4300 mètres. Le bougre est d’ailleurs toujours en possession du record depuis 1993, 3h16’39’’. Un truc vertigineux et qui semble aussi difficile à améliorer que ce gigot immangeable chez tes beaux-parents. Comme dans tous les films avec des super-héros, Kilian Jornet va certainement vouloir s'y frotter. Ça tombe bien, c’est en ce moment. Si Kilian détruit le record de Matt il n'aura plus grand chose à se mettre sous la dent. On vous prévient, faudra pas s'étonner de le voir s'attaquer au record du monde de Rubik's Cube ou de décorticage de crevettes grises.

[puma-and-the-dolphin]

(44,100Hz Social Club)

[openreeltoreel]

You and......... NAGRA CREVETTE TAPE RECORDER - 1967 Developped in 1967 for the French Navy, the “Crevette” (Prawn or shrimp in English) was a recorder designed to fit inside a submarine torpedo. Fired from a submarine inside a “blank” torpedo, it recorded the ballistic data from the internal gyro’s and navigation systems of the torpedo so that engineers could later perfect the tracking trajectory and guidance systems within the torpedo. https://www.instagram.com/p/CE3oNCBJtzS/?igshid=y53caesa19uz

[journaldunegeekdijonnaise-blog]

JAPAN’S TRIP 2016: 11/10 : JOURNÉE À SHIBUYA, APRÈS-MIDI À MEIJI-JINGU ET SOIRÉE À TOKYO TOWER

Et c'est parti pour une journée shopping à Shibuya!

A la sortie du métro, je me dirige droit vers la statue d'Hachiko qui est cernée de touristes!! Ce jour-là, un chat s'était logé entre les pattes de la statue et était devenu la star de la journée.

Après une séance photo, je me retourne et j'ai vue sur...Shibuya Crossing!! Je me perche sur un muret afin de chercher un point photo intéressant.

Direction Shibuya 109, (ichi-maru--kyū) une tour de 8 étages dédiée à la mode féminine (la version homme est juste en face). Le bâtiment a été très bien pensé: la forme circulaire du centre commercial oblige chaque visiteur a passer devant chaque magasin avant de monter à l'étage supérieur!  C'est vraiment le temple de la mode, il y a de tout que ce soit vêtements, chaussures, parfums ou accessoires ainsi que marques ou styles. Le hic: les prix sont très élevés et pour nous autres pauvres occidentales, les tailles se limitent souvent au 34/36. Personnellement, j'ai plus admiré les produits qu'autre chose. Le style japonais ne se fond pas vraiment avec le style occidental.. J'adore leur style mais clairement il ne peut s'appliquer partout. Ah et mesdemoiselles! Evitez d'amener vos hommes car les vendeuses du 109 sont toutes mimi à la taille mannequin!

Petite virée à Tower Records, le plus grand magasin de musique du Japon facilement reconnnaissable à sa tour jaune de 9 étages au slogan "no music no life". J'y suis restée 1h30!! Je suis repartie avec des albums inédits de Bob Dylan pour mes frangins et le BluRay du concert de Joe Hisaishi au Budokan. Comme je suis une gaijin, j'ai été exonérée des taxes^^

Le shopping continue au Tokyu Hands (Creative Life Store), encore une chaîne de centre commercial de 8 étages (décidément!!) facilement repérable par son logo en forme de main verte. En gros, c'est une espèce de farfouille géante: produits de la vie quotidienne, de voyage, pour bricoler, pour cuisiner, etc. On y trouve tout même des cosplays! C'est avec le Don Quijote, le meilleur endroit pour trouver des souvenirs pas trop chers. Pour ma part, j'y ai acheté des cartes postales et des timbres, (et oui car c'est très dur d'en trouver!!!) un copain de frigo et des accessoires pour la cuisine. J'y suis restée facilement 2h30/3h! Et sur les marches de chaque escalier sont inscrites le nombre de calories que vous perdez! Elle est pas belle la vie? Vous faîtes du shopping et vous perdez du poids en même temps!

Pause déjeuner:hamburger et séance d'écriture de cartes postales

Direction le temple de Meiji-Jingu dans le quartier de Harajuku. C'est un immense sanctuaire shintoïste. On y accède en longeant une allée de fûts de saké, on passe sous un grand torii puis on traverse une forêt de plus de 100 000 arbres pour accéder au temple.

Malheureusement, le temple ferme très tôt et je n'ai pas eu le temps d'en profiter au tant que je l'aurais voulu du coup j'enchaîne sur la visite de la Tokyo Tower. De nuit, la tour est magnifique!! Je suis à 333 mètres et la vue sur la ville est superbe. Comme c'est bientôt Halloween, les employés vous proposent de vous déguiser, c'est plutôt sympa.

Petit riz sauté aux crevettes en guise de dîner et dango en dessert^^

Let's go for a shopping's day in Shibuya!

At the exit of the subway, Iyou can see the statue of Hachiko. When you turn round, you can see the famous Shibuya Crossing.

Then I took the direction of Shibuya 109, a  fashion's shopping mall of 8 stairs.

I went to Tower Records, a music store of 9 stairs  and Tokyu Hands. This departement store focuses on hobby, home improvement and lifestyle products :toys, games, gift cards, costumes, travel products, hobby materials, household hardware, tools, do-it-yourself kits, pet supplies, calligraphy, painting,  lighting,etc..

Hamburger for lunch

I walked to Meiji-Jingu temple the I visited Tokyo Tower. By night, the tower is beautiful!! Jthe view is so amazing !!

[abelkia]

Céline Gillain (Concert, Crevette Records, Bruxelles, 23/06/2017) #celinegillain #lexidisques #crevetterecords #bruxelles #brussels #rueblaes #instoresession #recordstore