Tumgik
#Dans la question du matin
olympic-paris · 4 days
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saga: Soumission & Domination 276
Espagne 4 les Plongeurs (2013)
Une des relations commerciales d'Ernesto l'appelle pour un plan très particulier. Il aurait besoin de 3 mecs recto verso pour " détendre " une équipe nationale de plongeon. Ernesto essaye d'en savoir plus, notamment la nationalité de l'équipe, pour qu'on puisse voir quels seraient nos clients, mais son contact refuse. Il nous dit juste que notre prix sera le leur. Il connait déjà le sérieux de notre société et compte sur notre discrétion.
Quand Ernesto nous en parle je lui dis qu'il n'a pas besoin de tergiverser. C'est bien sur, oui et qu'en plus ce sont les " patrons " qui s'y colleront en l'occurrence, lui-même, PH et moi. Pas question de laisser passer l'aubaine. Quelque soit l'équipe en question, ils sont tous plus canons les uns que les autres.
Ernesto rappelle son contact. L'accord se conclu sur une nuit à Barcelone dans le penthouse du mec, après que nous lui ayons envoyé nos tofs à PH et moi. Coté financier, la filiale espagnole va enregistrer une rentrée exceptionnelle !
Marc et Henri sont morts de rire quand nous les mettons au courant. Ils nous disent que c'est du flan et que nous allons nous retrouver avec un groupe de vieux à sucer jusqu'au matin. Juan, lui, nous accompagnerait bien.
Le jour dit, nous rejoignons l'appart d'Ernesto pour nous préparer. Epilations et rasages, séance de muscu pour bien faire ressortir nos muscles puis, douches et huilages réciproques. Pas question de passer pour du second choix.
Le client nous ayant demandé d'être ponctuels, nous débarquons chez lui à 21h30. Le mec a 50ans passé et a de beaux restes (pas de ventre et peau encore tendue). Il nous rassure en disant qu'il ne fait que nous héberger. Il nous dit de nous mettre à l'aise. Ernesto lui rappel que c'est un contrat que nous honorons. Il comprend le sous entendu et lui apporte l'enveloppe. Il ne se vexe pas que ce dernier recompte la somme. Les bons comptes font les bons amis !
Devant lui nous nous déshabillons. C'est vite fait, les tennis quittent nos pieds nus et les shorts et marcels les rejoignent au sol. Il nous arrête et nous gardons nos maillots. Nous attendons nos clients autour d'un verre de Coca. Il apprécie le fait que nous ayons refusé l'alcool qu'il nous proposait. Je lui dis qu'il a affaire à des professionnels. Il nous répond que c'est pour cela qu'il avait appelé notre société.
A 22h30 coup de sonnette, et cachés derrière un mec large d'épaule nous arrive trois beaux plongeurs en survêtements. J'en reconnais deux qui étaient parmi les plus canons du plateau de compétiteurs, le troisième n'a rien à leur envier.
Sans parler, le balaise les pousse jusqu'à la chambre et de retour nous dit d'aller les rejoindre. Quand nous arrivons, ils sont en train de quitter leurs survets. Ernesto leur dit d'arrêter et de faire leur premier choix. Cela fait nous nous chargeons de les mettre à poil. Ils sont bien musclés, épilés et bronzé sauf ce qui était protégé par leurs petits maillots. Leurs bites sont dans la normales, la " mienne " est circoncise avec un gland plutôt rond, les deux autres sont entières. Alors que nous n'avons pas encore été plus loin, ils bandent ferme ! À notre tour nous quittons nos maillots et Ernesto attire tous les regards avec ses 24cm !
D'un doigt sur la joue de mon plongeur, je tourne son visage vers moi et lui roule un patin où je mets toute ma science. J'ai le plaisir de voir que cela me détourne des autres. Il prend ma tête entre ses mains pour m'empêcher de me décoller de lui. Je le laisse mener. Il m'a l'air bien affamé et me mange la langue un bon moment. Quand il se décolle enfin je lui en fais la remarque en anglais. Il me dit qu'ils ont terminé la compétition et qu'ils n'avaient pas baisé depuis le début du championnat. Il me reprend la bouche tout en se collant à moi. Nos bites se touchent, se pressent l'une contre l'autre et mon gland pressé entre nos plaquettes d'abdos m'envoi plein de signaux sympas.
Mes mains descendent sur son dos et se posent sur ses fesses. Elles les contiennent sans mal vu leur taille modeste. Le mec est très étroit de bassin et son cul est petit et rond. Il ne réagit pas négativement quand j'écarte ses fesses et que je glisse mes doigts jusqu'à sa rondelle. J'ai même droit à un soupir de bien aise quand je passe mon index dessus. Je crois bien que c'est moi qui serai actif le premier. Je me dégage de ses mains et glisse doucement sur les genoux. Au passage je fais un arrêt tétons. Après les avoir suçotés et faits durcir, je sens que je peux y aller avec les dents. Ses gémissements me prouvent que j'avais raison et ils gonflent encore plus alors que je les mordille. Je descends plus bas et bute sur son gland plus tôt que je ne pensais. En fait s'il n'est pas très épais, il est relativement long et son gland remonte au dessus de son nombril, environ 21 bons cm. Je l'avale en entier. Il est surpris, c'est limite qu'il m'aurait direct juté si je n'avais fortement enserré ses couilles et la base de son pénis, façon cockring avec mes doigts.
Il se calme et lentement je le pipe en gorge profonde. Il me dit que c'est la première fois qu'un mec lui fait ça. Entre deux plongeons sur son intimité, je lui demande alors si une meuf le lui avait fait. Il me dit que de ce coté là il était vierge. Un vrai Pd, ça change de tous ceux qui se disent bi ! Du coup j'y mets encore plus de coeur. Quand il me dit d'arrêter sinon il allait vraiment juter, je le retourne et attaque sa rondelle. Ses deux petites fesses blanches cachaient un anneau rose vif, encore très rond et bien plissé. J'y pose ma langue et le sens frémir. Quand je lui fais la remarque que sa rondelle n'a pas l'air d'avoir beaucoup servie, il me dit entre deux halètement que seulement 3 fois jusqu'à ce soir. Avant de replonger le nez entre ses fesses, je l'assure que s'il aime ça, il va minimum doubler ce chiffre avant demain matin.
J'ai plaisir à le préparer. Je fais appel aux souvenirs des pratiques de Trader sur ma propre rondelle pour sortir le grand jeu. Il aime suffisamment ça pour me demander de l'enculer. Je le mets en levrette, me kpote, graisse ma bite et sa rondelle (pas de poppers, c'est dans le contrat (ils sont susceptible d'être contrôlés à tout moment).
Je pose mon gland sur son petit trou et lui dis de reculer à son rythme pour qu'il me fasse entrer. Il essaye mais se crispe un peu trop. Je reprends les choses en main. Je pose mes mains à sa taille et le tire un coup sec vers moi. Mon gland entre en force. Ça lui arrache un petit cri, vite réprimé. Je lui dis que maintenant il peut reculer à son rythme. Il y va doucement mais à chaque va et vient s'enfonce un bon cm de plus de ma bite dans son trou. Il est étonné quand son dernier coup de rein fait rentrer en contact ses fesses et mon bassin. Je me penche alors sur son dos et lui tourne la tête pour lui rouler une pelle. Nous nous mangeons nos langues jusqu'à ce que je sente sa rondelle se détendre un peu. Je commence alors un limage de compétition, destiné à lui faire comprendre que c'est trop bon pour ne pas recommencer plus tard. Tout en lui labourant le cul, je pense à l'effet que lui fera la bite d'Ernesto.
Je vérifie qu'il bande toujours. Dans ma main je sens la peau de son gourdin tendu sous l'afflux de sang. Il me dit de ne pas le branler, trop proche de l'explosion finale.
Nous changeons plusieurs fois de position. De face, ses chevilles sur mes épaules, il me tire vers lui pour qu'on se refasse une bataille de langues. Je m'enfonce tout au fond de lui et pousse sa tête vers mon téton libre. Il comprend et me tète le pec. Ça m'excite au plus haut point et je ne tarde pas à remplir ma kpote à grands coups de rein qui défoncent à chaque passage sa prostate. J'ai le plaisir de sentir couler entre nos abdos ses jets de sperme. Bloqué tout au fond de lui, je lui roule un patin alors qu'il continu à se vider. J'ai beau savoir que le sperme ne se stocke pas pendant des semaines, c'est pourtant l'impression qu'il me donne. Quelques minutes pour reprendre nos esprits et nous regardons autour de nous. Ernesto se fait enculer par son plongeur (le plus grand des trois). Il a l'air de bien apprécier tout comme PH qui est dans la même situation. Nous les regardons se finir. Les deux sportifs explosent dans leurs kpotes alors que mes " collègues " se retiennent.
Fin du premier round. Passage dans la salle de bain pour tout les 6 puis nous déboulons dans le salon où le balaize discutait avec l'organisateur. Il a l'air un peu gêné de nous voir tous à poils et fait la remarque à ses ouailles qu'ils auraient pu mettre un slip. Je rattrape le miens qui se tournait pour rentrer dans la chambre et, avant qu'un des trois ne réponde, je lui dis que ce n'était pas la peine puisque nous avions loin d'avoir fini. Nous venions juste nous désaltérer et grignoter un peu avant de remettre ça. J'ai le plaisir de voir le mec rougir. L'organisateur lui dis de se calmer que les rideaux sont tirés et que de plus l'appartement n'a pas de vis-à-vis, qu'il n'y a pas de risque de paparazzi. Il est déjà 2h du matin !
Nous retournons dans la chambre chargés d'un plateau recouvert de canettes et de bouffe. Nous discutons un peu et ils se lâchent. Ils sont coaché un maximum et n'ont pas beaucoup de liberté. C'est parce qu'ils avaient eu de très bons résultats qu'on leur avait accordé cette soirée. Je prends le plongeur d'Ernesto pour recommencer la baise. C'est le mieux membré et j'ai préférer ses coups de rein à celui de PH. PH s'occupe du mien et Ernesto s'occupe d'élargir le trou de celui de PH. Il vaut mieux que mon " presque vierge " passe par la sodo de PH avant de se prendre les 24 x 6 d'Ernesto ! Et puis l'apothéose c'est toujours en final.
Nos corps font connaissance. Il est aussi grand que moi et notre 69 est confortable. Quand j'enfonce son gland de l'autre coté de ma luette, il en fait de même avec le mien. Il me semble plus expérimenté que mon premier. Il est plus " mâle " dans son comportement mais il ne pourra m'empêcher de l'enculer quand même ! Coté poils, il est complètement rasé, c'est pas moche. Le premier ma langue dépasse ses couilles et va titiller sa rondelle. Il me rend la pareille et nous nous bouffons un bon moment nos rondelles. J'applique les mêmes principes que pour son pote et ça l'air d'y faire puisque, fréquemment, sa langue quitte mon cul pour soupirer de plaisir. Sous ma langue je le sens se détendre et j'arrive à la faire entrer sur le premier cm. De mon coté je le laisse pénétrer le plus loin qu'il puisse, environ 2cm d'après les sensations qui m'arrivent de ce coté là.
Je pivote, équipe ma bite de son costume en plastique et le tourne sur le dos tout en relevant ses jambes. Il m'aide en posant ses mains sous ses genoux et les tirants vers lui, relève son cul à la bonne hauteur. Je m'empresse de le pénétrer. Ma queue glisse sans grande résistance jusqu'à l'os. Je me penche alors et passant mon corps entre ses cuisses, pose mes lèvres sur les siennes. C'est notre premier baiser. Plus brute que son pote, il m'aspire/tète ma langue. Ma tête fixée à la sienne, je commence à faire bouger mon bassin. Lentement d'abord, j'accélère pour bien le chauffer. Je le baise ainsi un moment avant qu'il ne me demande de me coucher sur le dos. Je me dis que ça va être mon tour mais non, il s'assoit sur ma bite, dirigeant le rythme. Ses mains en appuis sur mes pecs, il joue des cuisses pour s'enfoncer plus ou moins vite et plus ou moins profondément mes 20cm. Sa belle bite bande sans discontinuer depuis que nous avons commencé à jouer. Il se relève complètement et me demande de me placer à genoux. Je m'exécute et cambre bien mes reins. J'entends un " bitch " qui me flatte. Aussitôt après son gland perfore mon intimité. Je le laisse pénétrer jusqu'aux couilles et là, serre mon sphincter. Alors qu'il s'apprêtait à ressortir, il se trouve bloqué. Il est impressionné et me demande comment je fais ça, que ça pourrait lui servir des fois. Je ne le questionne pas sur ce qu'il entend par là et en deux trois phrases, lui explique mes exercices de contractions anales. En attendant je l'ai " libéré " et il me lime sur la longueur totale de sa queue. J'aime effectivement sa façon d'enculer. Il sait faire profiter de son gland débordant et joue souvent sur les 10/15 premiers cm de pénétration, se retirant sèchement dès qu'il sent que ce dernier vient de dépasser ma prostate.  C'est très efficace et plusieurs fois je me serre les couilles pour ne pas partir trop vite. J'explose quand il me prend la main m'empêchant de réfréner mon éjaculation. Tout en jutant, je n'oublie pas de serrer mon anneau et j'ai le plaisir de le sentir venir aussitôt. Il remplit sa kpote alors que je n'ai pas fini de juter.
Quand nous regardons autour de nous, il ne reste que PH en train de labourer le cul de mon petit plongeur avec les conseils d'Ernesto. Je note qu'Ernesto bande encore alors que je suis sur les genoux tout comme les deux autres plongeurs. Ces derniers demandent à Ernesto d'enculer leur copain. Ils ajoutent qu'il est grand temps qu'il se fasse défoncer par du XXL. PH, bien qu'il n'ait pas encore fini cède sa place et se place devant pour se faire sucer. Sa bite bâillonne le petit mec et c'est aussi bien car quand Ernesto le pénètre, il ne peut retenir un râle puissant.
Ernesto fait attention. Il sait bien que sa queue peut être parfois délicate à recevoir. Les deux autres plongeurs encouragent leur copain et lui expliquent de bien se détendre. Ernesto ajoute du gel et il réussit enfin à s'enfoncer jusqu'au bout. PH, déjà bien excité par son passage de l'autre coté, s'achève sur la tête de l'enculé. Nous voyons ses jets de sperme s'enfoncer dans les cheveux courts du plongeur. Une fois ses couilles taries, il nous rejoint au spectacle.
Ernesto dispose maintenant seul du corps de l'athlète. Il nous gratifie d'un véritable spectacle érotique. Il joue du jeune plongeur comme un véritable musicien. Utilisant son corps comme d'un violon, sa bite lui sert archet. Sous ses coups appuyés, le sportif se tord, ondule et en réclame toujours plus. Ses collègues nous disent qu'en une soirée, il aura rattrapé son retard d'expérience. Ils nous disent qu'il n'aura plus aucune difficulté à être régulièrement sélectionné dans l'équipe nationale. Quand nous essayons d'en savoir plus, ils nous demandent d'oublier leur dernière remarque.
De voir ces deux corps prendre du plaisir, nous excite et nous bandons tous à nouveau. Echanges de main, pas question de perdre de vue nos deux baiseurs !
Ils finissent quand même par exploser tous les deux. Le plongeur sous les coups de bite répétés d'Ernesto éjacule sans avoir eu besoin de se branler. Notre ami rempli sa kpote avec de grands coups de rein qui propulsent à chaque fois le ptit mec d'un bon mètre avant qu'il ne le ramène vers lui par les hanches. Nous les rejoignons et, debout, nous jutons les uns après les autres sur leurs corps encore emmêlés. Douches pour tous. Dernières caresses sur leurs peaux douces et imberbes puis nous nous rhabillons. Dans le salon, l'organisateur et le coach nous attendaient. Il demande à ses sportifs s'ils sont contents. Nous avons le plaisir de les entendre dire qu'ils avaient passé une superbe nuit et avant de partir, ils reviennent vers nous pour nous rouler à chacun une pelle.
Nous quittons notre hôte, ravis de la superbe nuit que nous avons passés chez lui.
Jardinier
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thebusylilbee · 5 months
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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coovieilledentelle · 5 months
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Je ne changerai jamais mes amis fantastiques, ma vie merveilleuse, ma famille bien-aimée pour des cheveux moins gris ou un ventre plus plat. En vieillissant, je suis devenue plus amicale envers moi-même et moins critique envers moi-même.Je suis devenu mon ami…Je ne me blâme pas d'avoir mangé des biscuits supplémentaires, de ne pas avoir fait le lit ou d'avoir raté quelque chose de stupide dont je n'avais pas besoin. J'ai le droit d'être désordonnée, d'être extravagante. J'ai vu beaucoup de chers amis quitter ce monde trop tôt, avant de réaliser la grande liberté du vieillissement Qui m'en voudra si je décide de lire ou de jouer sur mon ordinateur jusqu'à quatre heures du matin et de dormir jusqu'à midi? Qui me critiquera de rester au lit ou devant la télé aussi longtemps que je le souhaite. Je vais danser avec ces merveilleux tubes des années 60 70 et 80 et si en même temps je veux pleurer pour un amour perdu …Si je veux, je marcherai le long de la plage en short trop allongé sur un corps en décomposition et plongerai dans les vagues avec abandon, malgré le regard pénalisant des autres . Ils vieilliront également. Je sais que parfois j'oublie, mais il y a des choses dans la vie qui devraient aussi être oubliées. Je me souviens des choses importantes. Bien sûr, au fil des ans, mon cœur s'est brisé. Mais les cœurs brisés nous donnent force, compréhension et compassion. Un cœur qui n'a jamais souffert est immaculé et stérile et ne connaîtra jamais la joie d'être imparfait. J'ai la chance d'avoir vécu assez longtemps pour avoir mes cheveux gris et mon rire juvénile gravés à jamais dans les sillons profonds de mon visage. Beaucoup n'ont jamais ri, beaucoup sont morts avant que leurs cheveux ne deviennent argentés.
En vieillissant, il est plus facile d'être positif. Vous vous souciez moins de ce que les autres pensent. Je ne me remets plus en question. J'ai gagné le droit de faire des erreurs. Donc, pour répondre à votre question, j'aime être vieux. J'aime la personne que je suis devenue. Je ne vivrai pas éternellement, mais tant que je serai encore là, je ne perdrai pas de temps à regretter ce qui a pu être ou à s'inquiéter de ce qui sera. Et si je le veux, je mangerai un dessert tous les jours. Avec du Champagne.
Que notre amitié ne soit jamais séparée, car elle vient du cœur !
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france-the-third · 2 days
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Email from my school:
"Quelques familles nous ont fait remonter des questions pratiques : [...] * Des emplois du temps chargés : les emplois du temps deviennent plus compliqués au lycée. Le lycée est fermé le samedi matin pour tenir compte des contraintes des internes, et certaines classes n'ont pas d'autre demi-journée dans la semaine. Dans ce cas, c'est qu'il n'a pas été possible de faire autrement."
Some families told us about some practical issues: [...] * Very full schedules: schedules become harder in highschool. The school is closed on Saturday mornings [unlike some other highschools, most notably the one I would have gone to had I not been accepted to the English program at my current one] to ... make life easier for the boarding students (not sure about the translation there) et some classes don't have any other half-day at any point in the week. In this case, that meant we couldn't do it any other way.
My schedule is : 10-4/10-5 on Mondays, 8-5 on Tuesdays, 8-6 on Wednesdays, 10-6 on Thursdays and 8-5 on Fridays
My friends' schedules are similar
WDYM WE WERE SUPPOSED TO HAVE HALF DAYS??? WHY IS THIS THE FIRST TIME I'VE HEARD ABOUT THIS
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creatreasurebox · 8 months
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Étape de la création du header pour Wicked Little Town. Je vais tenter d'expliquer comme je peux mon processus de création. Désolé si c'est un peu bordélique. 😅 Vous pouvez cliquer sur afficher davantage pour voir:
J'ai choisi la première photo avec la fenêtre car j'aimais le reflet sur le parquet et que ça marcherait avec l'extérieur enneigé que j'imaginais. J'aimais aussi les moulures sur le mur, je les ai donc gardé mais moins fan du chandelier, surtout qu'il n'était centré, je l'ai fais disparaitre. Puis voulant une scène plus aérée, j'ai utilisé le "generative fill" de photoshop et le "stamp tool" pour agrandir la pièce. Je suis partie à la recherche d'élément qui pourrait raconter l'histoire des personnes qui vivraient dans cette maison, un canapé, un chien, un chat, un couple qui avait une excellente ombre qui marcherait super bien avec ma fenêtre (parfois, je cherche pas trop loin 😂 ). Le design devant représenter la saint Valentin sans être trop "romantique" et le thème de l'anniversaire sans être trop "anniversaire". J'ai rajouté des petits chapeaux sur le chien et le chat, des fanions, une photo du couple sur la commode et sur l'étagère, la décoration de leur gâteau de mariage. A chaque élément ajouté, il fallait donner une ombre, un reflet dans le parquet si nécessaire et changer le coloring des objets pour qu'ils correspondent à l'ambiance de la pièce. Et puis, j'adore les plantes et les livres, donc il fallait évidemment que j'en rajoute. Je trouve que ça donne un côté plus cosy. Pour l'extérieur, étant donné que la ville où se trouve le forum a un lac et est entouré de forêt, je suis partie sur ça. Pour la version sombre, j'ai changé l'image d'extérieur avec une qui avait des reflets de la maison allumée dans l'eau du lac. Et c'était parfait pour le Corgi, il existe tellement de photos d'eux que j'en ai trouvé un allongé, quant au chat, il est parti à l'aventure. J'ai changé le verre d'eau sur la table pour un verre de vin, l'horloge au mur montre maintenant 1h du matin et puis, j'ai allumé les lumières. C'est des petits détails, mais je trouve que ça continue à raconter un peu l'histoire du couple, peut être qu'ils se sont installés sur le canapé pour boire un verre et le chien s'est endormi alors qu'ils discutaient ? 😊 Pour l'animation, j'ai passé les headers à After effects, j'ai trouvé sur pexels une vidéo d'un chat noir, il a donc été rajouté à l'extérieur et il cherche son amie, la chatte à l'intérieur de la maison. (peut être qu'elle est allée le retrouver la nuit 👀), j'ai rajouté un effet neige qui tombe que j'ai trouvé sur youtube et la nuit, un oiseau qui passe rapidement devant la fenêtre. C'est assez discret, mais on peut voir le reflet de la neige animé sur le parquet, surtout la version sombre. Pour la typographie du titre, j'ai utilisé Scotch Display qui est un fond Adobe, je trouvais que une typographie serif donnait un côté plus cosy et romantique. Et pour la tagline, c'est Caslon, parce que j'aime Caslon. 👀 Je pense que j'ai fais le tour, si vous avez des questions, hésitez pas à les poser dans les commentaires de ce poste et merci d'avoir réussi à lire jusque là. 🫣 liste des images utilisées: pexels-eberhard-grossgasteiger-1624503 pexels-serkan-atay-19730755 pexels_videos_1536279 (1080p) Falling Snow Realistic Overlay Loop pexels-curtis-adams-8583905 pexels-taryn-elliott-4440123 pexels-emma-bauso-2253870 pexels-karolina-grabowska-5726036 pickawood-rwa0Yh38FeA-unsplash samantha-gades-BlIhVfXbi9s-unsplash kari-shea-3_cyj5YkhTs-unsplash jeffery-ho-TIN_Lh9-Y7g-unsplash markus-spiske-UaQ1t-nQHyk-unsplash annie-spratt-JruJFy08KB8-unsplash pexels-maksim-goncharenok-4352247 sunguk-kim-WTKvaChRvBg-unsplash pexels-karolina-grabowska-5726036 nataliia-kvitovska-MYwbqIfccvg-unsplash pickawood-rwa0Yh38FeA-unsplash filipp-romanovski-pDbhjYjrWpk-unsplash content-pixie-6CFCrt-7tHw-unsplash fatty-corgi-EpRAM95thHU-unsplash pexels-serkan-atay-19730755 fatty-corgi-wHgkrmuMFOY-unsplash pexels-anna-shvets-4587992 alexander-london-mJaD10XeD7w-unsplash
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e642 · 5 months
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J'ai pas dormi de la nuit. Pas trop de nouvelles de mon copain, il devait rentrer ce soir de vacances et on devait se voir demain. Mais je sais pas je sentais qu'un truc se tramait. Pour pas m'auto gâcher la surprise je fais juste une insomnie sur d'autres sujets existentiels. Ce matin je vais donc au partiel, je me fais détruire comme prévu (j'aimerais bien avoir 8 mes critères sont si bas depuis que jsuis à la fac c'est fabuleux). Je sors de l'enfer et il me bombarde d'appels. Il m'appelle souvent après chaque partiel pour avoir mon ressenti (j'apprécie ça). Et jlui dit "ouais je réponds plus tard je discute avec les meufs du groupe". Bon à un moment donné ça m'a saoulée et jsuis partie, mais genre ça a duré 30 min de discussion stérile à propos des réponses de chacune (je déteste les debrief, c'est se mettre du sel dans la plaie tout seul). Je rentre un peu saoulée et il me re appelle. Donc je décroche, il me demande si ça a été, la basique. Et il me dit "purée il fait grand soleil". Moi jlui dis "c'est bizarre il fait pas beau au 3/4 de la France". Et là je capte doucement. Du coup jlui rep "après à nice c'est vrai qu'il fait très très beau aussi". Eh il rigole. Long silence et il me dit "qu'est ce qu'il te va bien ce pantalon vert purée, ça te fait un de ces culs". Et là je capte vraiment. Jle cherche, il était derrière moi. Omg trop heureuse. Mais jvous qu'il a pas d'affaires jme dis bizarre. On rentre, la vaisselle est faite, mes habits sont pliés, un gros bouquet de fleurs, les courses sont faites, et ses affaires sont dans mon appartement. En fait, le mec a tracé paris-nice de nuit, et il a attendu que je parte en partiel pour s'installer et m'attendre. Non en vrai dinguerie. Ça m'a fait tellement plaisir. Je le vois changer et faire mieux et être capable et c'est vraiment plaisant. J'ai de la chance qu'il ait fait ça. Voilà je suis reconnaissante. Et je me pose moins de questions concernant une rupture. Mais pas juste grâce à aujourd'hui, grâce à quelques semaines où il se montre capable d'avoir une relation mature avec un autre être humain, moi en l'occurrence.
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alexar60 · 1 year
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Changement
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C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue.  Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme  qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question  Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna.  L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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ascle · 2 months
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La lettre P
Pacane
Noix de pécan
Pain doré
Pain perdu
Palette
-> incisive
-> extrémité aplatie d’un bâton de hockey
-> visière
-> (de chocolat) tablette
-> (de bois) même définition que chez vous
Pantoute
Pas du tout, vraiment pas. (Habituez vous a celui-ci parce que vous allez l’entendre 24/7)
Paqueté
Ivre, saoul 🥴
Paqueter
Remplir
Exemples: j’ai paqueté mon char / la salle était paquetée.
Parenté
Groupe de personnes ayant un lien de parenté, famille élargie
Parlable
A qui on peut parler facilement. Facile d’approche, ouvert à la discussion.
Partisans
Supporteurs
Patente
Objet difficile à nommer ou à décrire. Un bidule. Un objet quelconque.
Patenter
Bricoler, réparer, fabriquer quelque chose avec des moyens limités
Patenteux
Bricoleur ingénieux
Patiner
Ne pas répondre aux questions, de trouver des excuses ou faire diversion.
Peinturer
Peindre un mur. (NDLR: peindre sera utilisé presque exclusivement pour décrire l’art de peindre une toile, une fresque…)
Perler
Parler avec l’accent français.
Petit bonhomme
-> terme affectueux pour s’adresser à un garçon
-> insulte s’il s’adresse à un adulte (peu utilisé)
-> (au pluriels) dessins animés
Exemple: Écoute moi ben mon p’tit bonhomme! Si mon p’tit bonhomme a envie de regarder ses p’tits bonhommes à 6h le matin c’est pas toi qui va l’empêcher s’tu clair!
Piasse / piastre
Dollars
Pichou
Personne au physique ingrat, très laid.
Picosser
Agacer, lancer des pointes
Picosseux
Quelqu’un de désagréable, qui picosse 🤣
Piler
-Poser pied, marcher sur
Pissant
Très drôle, amusant
Pissou
Peureux, craintif, lâche
Piton
Jeton, touche, bouton
Pitoune
-> (par un homme envers une femme) femme bien roulée. (Par une femme envers une femme) pétasse
-> (petite) affectueux pour une petite fille
-> tronc d’arbre qui flotte (googlez: drave. C’est super intéressant)
Placoter / placotage
-> Bavarder de choses sans importance
-> médisance, ragot, tenir des propos peu aimables
Planter
-> tomber tête première
-> cesser d’être fonctionner
Plaster
(Prononcer « plast-heure ») provient du terme anglais pour sparadrap, pansement
Plate
-> Monotone, ennuyant, barbant, désagréable
-> dommage, décevant
Exemple: Ah c’est ben plate qu’Edith a pas pu venir voir le dernier film de Gilles Lellouche. Mais bon, elle a pas manqué grand chose c’était vraiment plate. 😈
Pleumer
Perdre une couche superficielle de peau, généralement après un coup de soleil. Peler, desquamer.
Poche
-> nul, maladroit, incompétent
-> grand sac
-> scrotum
-> jeu
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Pogner
(Je viens de me rendre compte que ce mot a beaucoup trop de définitions🤣🤣. Attachez vot tuque avec d’la broche on part)
Attraper, avoir du succès, coller, comprendre, devoir, être obligé de, émouvoir, être populaire, être coincé, être timide, être victime de (contracter), prendre, recevoir, rester pris, séduire, se faire attraper, se quereller, surprendre.
(Ouf! J’pense que j’ai fait l’tour)
Poisson
Personne bernée, dupée, crédule, naïve.
Polyvalente
Lycée (cours secondaire qui dure 5 ans, entre 12 et 17 ans)
Poudrerie
Blizzard, neige emportée par le vent
Pourriel
Traduction de « spam » « Junk mail ». Il s’agit de la contraction de « pourriture électronique » et « courriel »
Présentement
Actuellement, aujourd’hui, maintenant.
Mot du jour : pied
Outre le fait de définir la partie du corps, le mot pied est utilisé dans plusieurs expressions. En voici quelques unes.
Être pied
Être maladroit, gauche, nul, mauvais.
Être bête comme ses pieds
Être brusque, impoli, grossier… Parisien quoi! 😬🤣
Se tirer dans l’pied
Se nuire
En pied de bas
Être en chaussette.
Avoir le pied pesant
Conduire vite
Se placer les pieds
Se mettre en position avantageuse
Expressions
Se paqueter la fraise
Boire (alcool) à l’excès.
Paqueter ses p’tits
Ramasser ses affaires et s’en aller
Partir comme un p’tit poulet
Mourir doucement (peu utilisé, mais trop mini)
Partir sur une balloune
-> s’enivrer, parfois durant plusieurs jours (se dit aussi: partie sur une brosse)
-> avoir une lubie soudaine
Pas de chicane dans ma cabane
On ne veut ni querelle ni engueulade dans la maison
Pas si pire
Pas si mal, pas trop mauvais
Passer dans l’beurre
Passer inaperçue, passer dans le vide, rater son coup
Pelleter dans cour du voisin
De débarrasser d’un problème en le refilant à quelqu’un d’autre.
Péter au frette
Mourir subitement
Péter d’la broue
Se vanter
Petit train va loin
C’est en prenant soin de faire les choses correctement qu’on l’assure du succès d’un projet.
Pleuvoir à boire debout
De fortes averses, pluies intenses
Prend ton gaz égal
Façon de dire à quelqu’un de se calmer.
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from-derry · 7 months
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Voici enfin la tant attendue annexe de la vie quotidienne. C’est en réalité la première partie de l’annexe concernant Derry et de ce fait l’une des plus importantes. Elle pose vraiment les bases du lore.
Quelques petites précisions importantes avant d’entamer votre lecture :
- c’est un premier jet ! Compte tenu du nombres de questions qui trouvent leur réponse dans cette annexe, nous la publions maintenant.
- Elle sera sujette à changements, réorganisation, ajouts jusqu’à l’ouverture du forum.
Vie quotidienne
La vie à Derry est résolument tournée vers la survie de la communauté. On organise le quotidien autour de tâches utiles, voire essentielles au bon fonctionnement général. Il est attendu que tout le monde participe à l’effort collectif.
Technologie :
L’eau courante et l'électricité sont présentes à Derry, sans que personne n’en connaisse l’origine. 
Il n’existe aucun moyen de communiquer avec le reste du monde. Internet, le réseau téléphonique, la radio, rien ne semble fonctionner à Derry. Parfois, si on joue avec les stations de radios, il peut vous sembler entendre des voix ou de la musique, mais c’est bien souvent très fugace. 
A l’intérieur de Derry, les communications par talkie-walkies fonctionnent, pour peu d’avoir du matériel fonctionnel. Chaque leader de groupe de la communauté en possède un qui permet de communiquer entre la ville et la maison en cas d’urgence. 
Il arrive que certains objets électroniques s’animent seuls sans que personne n’y touche. Les lumières s’allument aussi parfois seules... ou s’éteignent. Les habitants ont pris l’habitude de l’ignorer. 
À Derry, l’utilisation des appareils électriques modernes est assez aléatoire. Parfois cela fonctionne, parfois pas du tout, sans qu’aucune logique ne se démarque. Il n’est pas toujours possible de recharger ces derniers. 
Nourriture et repas : 
Les habitants de Derry vivent en autonomie complète et ne peuvent consommer que ce qu’ils trouvent ou produisent. Les épices se font rares, de même que les sucreries, le café ou tous vivres de la sorte. Les habitants produisent par contre de l’alcool artisanal, pas toujours très bon, mais efficace. Il est fait souvent à partir de pomme de terre ou de maïs. On y distille aussi de l’excellente eau de vie à partir de la production de fruits. 
Au centre bourg, les repas sont traditionnellement servis au diner et il est de coutume d’aller manger le matin afin de partager avec le reste de la communauté. En journée, le diner est ouvert à tout le monde pour un café ou une collation. Il est possible, pour les habitant·es du centre bourg de venir le soir prendre à manger à emporter pour celles et ceux qui ne cuisinent pas. 
A la maison commune, les repas sont pris en commun et préparés à tour de rôle par les résident·es selon un calendrier pré-établi. Il n’est pas obligé de manger ensemble, mais les repas sont souvent partagés entre la cuisine, la salle à manger et le salon en fonction des conversations. 
Locomotion :
S’il y a des voitures à Derry, on ne trouve pas d’essence autre que celui provenant des véhicules échoués dans la ville. On s’y déplace principalement à pied ou à vélo. Les véhicules fonctionnels sont réservés aux urgences. 
Santé et hygiène :
L’accès aux médicaments est aussi strictement régulé. Ces derniers sont une denrée particulièrement rare. Il arrive parfois à un habitant chanceux de découvrir au hasard de ses promenades une trousse de secours. Pour la majorité des soins, il faut compter sur le savoir collectif qui se transmet au fil des générations et de la formation des nouveaux soignants. Les produits d’hygiène et de soin sont principalement produits par les herboristes. 
Saison et rythme de vie :
La vie de Derry est principalement dictée par les saisons et l’heure à laquelle le soleil tombe. Ainsi, la période hivernale est plus morne que l’été. Les sociabilités se font et se défont au fur et à mesure des saisons. 
Le temps d’activité ne s’organise pas en horaire de bureau, mais en fonction des besoins ou de la demande. Certains rôles sont plus demandeurs que d’autres. A quelques exceptions comme le travail d'élevage, il est rare qu’on occupe toute la journée son poste, c’est plus souvent en demi journée qu’on s'organise. 
Moeurs générales :
Derry vit coupée du monde et de son évolution générale. L’arrivée de nouveaux habitants dans la ville donne toujours la mesure du temps qui est passé, plus que n’importe quelle technologie devenue obsolète. On peut évaluer le temps vécu à Derry à la mentalité de chacun·e. 
Talisman :
Il est de coutume d’accrocher près de l’entrée principale un talisman. Celui-ci est gravé dans le bois, la pierre ou dans un bout de poterie. On y reproduit des symboles dont personne ne connaît le sens exact. La croyance est qu’il empêchent les créatures de passer par l’entrée protégée. On ignore s’ils ont un véritable effet. Personne à Derry ne sait qui a trouvé ou inventé les talismans, mais ils sont en place depuis toujours, semble-t-il. Personne ne s’est risqué à sortir avec un talisman autour du cou la nuit pour s’assurer qu’ils étaient réellement efficaces. Difficiles à reproduire, ils s'abîment rapidement, se brisent assez souvent lorsqu’on fait cuire la poterie et trouver des pierres suffisamment grosses et non friables pour les graver est souvent compliqué. Ils sont donc rares et considérés comme précieux. 
Sanctions :
Il n’existe pas de lois à proprement parler à Derry, outre la convention du partage des biens. Les shérifs des années passées ont néanmoins instauré deux sanctions. 
Construite devant l’ancienne poste, il y a une boite où l’on enferme les habitants durant une nuit pour les punir d’un petit délit. Ceux-ci sont laissés à l’appréciation du shérif en place. De mémoire actuelle, la boite n’a pas été utilisée. Les crimes (comme le meurtre) sont punis par le bannissement - cela équivaut à une peine de mort puisque sans talisman, personne ne survit longtemps dans les bois entourant Derry.  
Cachettes :
Dans les rares cas où l’on se retrouve dehors à la nuit tombée, il existe quelques cachettes connues des habitants. D’un confort rudimentaire, elles ne sont à investir qu’en cas d’extrême urgence et ne garantissent pas une aussi bonne protection que les habitations.  
Confort de vie :
De nombreux objets du quotidien en dehors de Derry manquent ou se font rares. Le plus souvent, c’est le système débrouille qui prime. On recycle beaucoup, on reprise énormément et on tire les machines jusqu'à ce qu'elles rendent l'âme.
Armement :
Les armes à feu sont interdites à Derry, du moins en principe. Il y en a quelques unes à dispositions chez le Shérif et sous contrôle d’Isidro à la maison commune, mais il est admis que sauf raisons particulières il n’est pas autorisé d’en posséder. Bien sûr, il est toujours possible de contourner la règle et d’en dissimuler mais si on découvre la vérité, gare aux conséquences. 
Relations centre-bourg / maison commune :
Les relations entre la maison commune et le Centre-bourg sont dans l’ensemble plutôt bonnes. L’ouverture de la maison commune a laissé néanmoins des traces dans la mémoire de Derry que l’on peut retrouver aujourd’hui. Les habitant·es de la maison commune ont tendance à rester ensemble, si bien que lorsqu’ils descendent en ville dans les lieux communs, on peut ressentir une sorte de réserve mâtinée de méfiance. Les habitant·es du Centre-bourg ont toujours l’impression artificielle qu’on vient piquer dans leur garde-manger. C’est notamment grâce au chassé-croisé des activités dans les différentes communautés que l’ambiance reste agréable malgré tout.
Éducation :  
La ville compte très peu d'enfants, l'école ne possède donc qu'une classe unique. On y apprend à lire, écrire, compter ainsi que les connaissances pratiques pour survivre au quotidien à Derry, comme faire son savon, planter des graines, raccommoder ses vêtements, etc. 
Animaux :
On trouve quelques animaux à Derry et plusieurs cas de figure. Certains sont arrivés avec leur propriétaire dans la ville. Certains apparaissent de façon inconnue. Il est possible de les attraper et de tenter de les domestiquer. Le bétail est assez limité : quelques vaches, quelques chèvres, quelques cochons, quelques poules. 
 Concernant le gibier, on trouve principalement de petits animaux sauvages : lapins, oiseaux, lièvre, faisan, etc. Le grand gibier existe mais se fait plus rare. Il faut souvent s’enfoncer loin dans les bois pour le débusquer et cela n’est pas sans risque. 
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ernestinee · 16 days
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Je me posais des questions cette nuit sur le bruit, ou plus précisément sur les bruits et ce qu'on en fait, dans notre cerveau et dans notre cœur. Je me suis réveillée avec le bruit de la chatière et d'un couvercle de Pringles frotté sur le sol par mon chat. Et quand je dis "mon chat" je ne parle pas de Nougat, qui est surtout à l'homme, ni d'Oreo qui est surtout à l'ado, ni de Muffin, qui n'appartient qu'à lui-même. Ils sont tous les trois incapables d'ouvrir une chatière, si bien que j'ai dû mettre du collant pour la maintenir ouverte, et ils sont pragmatiques au point de ne jouer qu'avec des jouets de chats, et certainement pas avec des couvercles de Pringles. Non, j'ai rêvé de ces bruits et ça m'a réveillée, j'ai rêvé de ces bruits propres à Félix et à sa petite routine de nuit, qui était d'aller dans sa litière, puis trouver un couvercle de Pringles, jouer deux minutes avec et venir le déposer près de moi, avant de se lover contre mon ventre pour se rendormir, et ronronner à en faire vibrer le matelas, les murs et mon monde tout entier.
Maintenant j'ai trois chats qui se bastonnent aux pires heures, quand ça ne sert plus à rien d'essayer de se rendormir. L'ambiance est différente.
Bref il y a comme ça des bruits qui n'existent plus qu'à l'intérieur de nous. Ça m'a fait penser à "Réparer les vivants", le livre que j'ai lu récemment et dont je n'ai pas encore su parler, quand la mère de l'adolescent décédé téléphone au père et que sa voix a le timbre de quelqu'un pour qui le monde ne s'est pas encore effondré, comme s'il était dans le passé, comme une faille temporelle entre deux personnes, comme si la temporalité était tordue.
J'ai pensé aux bruits qui n'existent plus. La bouilloire qui siffle et le son étouffé par les quelques portes qui séparaient ma chambre de la cuisine. La tasse de café posée sur la table au petit matin par mon père qui se levait tôt pour voir le jardin s'éveiller. Les anneaux en bois des rideaux qui frottent sur la tringle pour laisser rentrer un peu de lumière du matin. La pompe du thermos lorsqu'il se ressert un café. Le filet d'eau qui éclabousse l'évier lorsqu'il rince sa tasse. La chaudière qui s'allume, l'eau qui passe dans les tuyaux des radiateurs un peu après. Le coq du voisin, ce coq là, à ce moment-là. Il me manque.
Je me demande s'il y a des bruits d'aujourd'hui qui vont me manquer. Ceux de l'ado, très certainement, car je suis à ce moment où je compte avec un peu d'appréhension les années comme des bonus avant qu'il quitte la maison.
Peut-être qu'un jour je serai vieille et hospitalisée, avec la mémoire qui laisse tout filer, et que rien ne me manquera, parce que je ne m'en souviendrai plus et en fait ça me terrorise encore plus.
Ça rend le manque très doux, doux comme un souvenir.
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olympic-paris · 14 days
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saga: Soumission & Domination 266
Renouvellement des motos de la maison - GP de France
J'ai décidé de remplacer toutes les motos de la maison, celles de Marc aussi. Avec PH, nous sélectionnons les marques et modèles qui vont renouveler nos montures.
Pour Marc nous remplaçons son 850 VFR par le modèle 2013 tout comme son 900 CBR et le 1100XX par un VFR 1200 et un CBR 1000RR.
Pour PH, le Kawa FZ8 cède la place à un Z 1000SX chez le même constructeur. Quand à moi, ma YZF R1 noire mat 150CV est remplacée par sa nouvelle mouture avec une ligne d'échappements Racing titane, débridée elle aussi. Ma ZX10R de 2011subit le même changement, elle avec un échappement Akrapovic. Je ne remplace pas la Honda CB1000R qui, finalement faisait doublon avec elle. Je l'offre à Arnaud (notre voisin de la campagne) qui désirait changer sa première moto mais n'osait ni demander encore à son oncle (qui l'a à charge), ni entrer déjà dans mon écurie. Ma vielle 600 Diversion aussi part sans remplacement. J'achèterai une nouvelle moto en fonction de ce que la législation autorise aux nouveaux pilotes comme Kamal.
Nous utilisons les compétences de Daniel et le garage du père de Cédric pour regrouper les achats. Il sert aussi pour l'acquisition des pièces nécessaires aux modifications (kits full power de ma R1 et celui de la Z1000SX de PH). Car c'est dès l'achat que les fourches, durites aviation et autres améliorations autorisées en France sont commandées.
J'aime trop le noir mat et sur le nouveau ZX10R il est trop beau tout comme sur le R1. La première sortie avec nos nouvelles montures est le grand prix de France au Mans. Avec les amis c'est un groupe de 12 motards qui se déplace ensemble (avec nous trois, Eric et Cédric, Daniel, Phil et Luc, Arnaud qui étrenne son permis sur grande distance, Franck avec son petit Louis sur sa selle). Kamal insiste pour nous accompagner. Je me laisse faire et le prend sur ma selle...
Le temps est prévu plus que moyen, du coup Samir et Ammed nous suivent avec la 300C remplie de matériel (pantalons, blousons, vêtement de rechange et bouffe...). Marc a retenu, depuis déjà quelques semaines, un gite à proximité du circuit pour les 3 jours (vendredi soir au lundi matin). Il n'est pas question de rouler avec un milligramme d'alcool dans le sang.
WE Grand Prix de France
Si nous roulons de concert avec Eric et son passager, les autres nous rejoignent directement au gite.
Je dois calmer plus d'une fois mon petit passager (Kamal) très excité par la perspective de passer son premier WE sans son Alexandre depuis longtemps. Assis derrière moi sur les quelques cm² que lui réserve la selle passager de mon R1, il se colle à mon dos, ses mains bien accrochées à la protubérance de mon paquet recouvert du cuir de la combi. Dès l'entrée sur l'autoroute, et après quelques pointes de vitesse nous stabilisons à un niveau plus raisonnable. Je sens alors les doigts de mon petit passager masser mon entrejambe jusqu'à me faire bander à mort ! PH qui roule à mes cotés le menace d'une correction. Rien n'y fait et il continu à me maintenir bien raide jusqu'à notre premier arrêt carburant/café. Chose promise chose due, alors que nous allons payer nos pleins, PH attrape Kamal et lui coince le cou sous son bras pour lui frictionner la tête. Ruades de mon passager mais il n'a aucune chance contre mon PH qui me fait signe de le rejoindre. Nous le coinçons dans un des WC de la station et nous lui faisons son affaire, ce qu'il espérait, même pas secrètement !
Même en faisant attention, les bruits qui passent la porte ne sont pas ceux attendu dans ce genre d'endroit. Marc frappe bientôt à la porte et nous demande de le finir vite. A ce moment là, c'est moi qui suis en train de l'enculer. J'accélère et éjacule dans ma kpote alors qu'il fait juter PH contre le carrelage. Je passe la main sous son ventre et je sens qu'il a juté lui aussi.
Nous nous remettons corrects, pas la peine de se rhabiller puisque seuls les braguettes et le pantalon de Kamal étaient baissés. De l'autre coté de la porte, Marc avait été rejoint par les autres. Ils avaient veillé à vider la pièce avant que nos bruits ne soient compris et qu'il y ait scandale.
Eclatés de rire, nous sortons des toilettes hommes et regagnons nos motos. La fin du voyage est plus calme et nous trouvons le gite comme prévu. Les autres arrivent en début de soirée et nous passons un bon diner après un apéritif corsé. Du coup en fin de repas, lors de l'attribution des chambres, nous décidons d'utiliser la plus grande comme dortoir. Châssis de lits dégagés tout comme les quelques meubles présents, nous apportons tous les matelas et après un peu de " Tétris ", nous disposons de 20m² de surface de jeux. Ils sont aussitôt testés ! Ça commence à baiser alors que nos deux hommes de service finissent d'enfiler les couettes dans leurs housses. Nous les recevons sur le dos tout comme les oreillers et traversins. Vu la proximité du repas, les pipes ne sont pas aussi profondes que d'habitude mais on se fait quand même plaisir ! Du coup c'est rapidement que les queues s'enfoncent dans les culs.
Phil et Luc, toujours ensemble et toujours objets sexuels des deux frères (de mes anciens clients), sont content de nous revoir. Même s'ils passent leurs vacances à trouver d'autres clients/baiseurs, ils apprécient le retour aux sources. Le calibre d'Eric leur fait toujours le même effet que quand ils apprenaient à piloter sous ses conseils. Ils se rappellent leurs premières touzes organisées à la maison quand moi aussi j'ai commencé l'apprentissage de la moto. Le Louis de Franck est mis à contribution pour son grand plaisir. S'il est toujours aussi amoureux de son mec, il n'a plus aucune appréhension aux baises multiples. Et son coté " salope " ressort dès qu'il en est à son troisième mec. Ce comportement étonne toujours Franck. Alors que je l'encule de face, Franck me dit qu'avec lui, Louis n'est pas aussi " libéré " même s'il est très chaud. Il n'en dit pas plus alors que mes coups de bite commencent à lui faire de l'effet dans son cul, plus rarement utilisé. J'aime ! Il est bien serré, ce que j'aime par-dessus tout avec une rondelle de mec. Marc me remplace bientôt et je vais butiner ailleurs.
Quelques mètres de reptation et je trouve Eric en train de labourer Arnaud. Roulage de pelle aux deux et je continue mon périple à 4 pattes. Je tombe sur Luc en train de limer Daniel. Ils m'excitent, surtout les insultes qu'ils s'échangent. Aux " enculé " succèdent des " salope ", " p'tite bite ", " trou à bite ", et autres compliments. Je m'enfile une kpote, pousse Luc sur Daniel et l'encule dans la foulée. Je ne pensais pas être le premier et n'avais pas ajouté de gel à celui présent sur le plastique. Luc s'en est bien aperçu et un rugissement à accompagné les quelques secondes qui m'ont suffi pour coller mon bassin à ses fesses. Tous les autres ont regardé vers nous puis sont repartis à leurs occupations.  Il nous faut quelques 10aines de secondes pour accorder nos rythmes et c'est parti pour une bonne baise à trois. Comme Luc était en train de baiser Daniel de face, je peux voir  sur le visage de ce dernier la montée de son plaisir. Luc alterne les pelles. Quand il tourne la tête pour me donner sa langue, c'est moi qui impulse le tempo de l'enculage occupé qu'il est à chercher à me manger la langue.
Daniel est le premier à céder et explose entre leurs abdos. Je vois même quelques gouttes de son jus arriver sur sa gorge. Luc explose dans sa kpote et ses spasmes annaux déclenchent mon plaisir. Daniel supporte vaillamment nos deux poids additionnés avant de nous faire glisser sur le coté. Je lève la tête. La plus part sont au même point que nous, seul Eric s'agite encore dans Phil. Nous les regardons tous finir. Il se retire à temps et kpote arrachée, recouvre le dos de Phil d'une belle couche de sperme blanc.
C'est le signal de fin de jeux. Nous nous répartissons dans les 3 salles de bain. Je me retrouve sous la douche avec Kamal. Je lui lave le dos et lui glisse un doigt dans le cul. Il rentre facile ! Je lui demande qui s'en était servi. Il me cite dans le désordre, PH, Franck et aussi Eric avant qu'il ne se finisse dans Phil. Je lui demande de serrer son anneau. Il comprime bien la phalange que j'y ai mise. Nous finissons nos ablutions et je nous nous séchons mutuellement. PH nous rejoint et me propose de le garder entre nous cette nuit. Petit grignotage et dodo.
Samedi
Petit dèj avec baguette fraiche, trop bon ! Merci Samir. Quelques minutes de moto et nous sommes au circuit. Les réjouissances ont déjà commencées et le rugissement des moteurs nous accueille. Après un passage en face des stands, nous déambulons le long du circuit. Nous ne nous cachons pas et mon bras droit enserre les reins de PH dont le bras gauche remonte dans mon dos sa main posée sur mon épaule. A nos cotés Cédric, lui, est collé à son Eric d'amant.
C'est plus nos combis de marques, assez moulantes, qui attirent les regards que notre comportement. Même si nos n'avons pas échappés à quelques remarques homophobes qui s'évanouissaient quand le groupe se retournait pour faire face aux " contradicteurs ". Seul deux conards un peu trop imbibés d'alcool ont poussé le bouchons suffisamment loin pour, qu'avec PH, nous mettions en pratique nos leçons de Krav Maga. Le reste du groupe s'est chargé d'écarter les éventuels amis de ces messieurs. Mise au tapis des deux malotrus en quelques minutes ! J'avoue avoir fait durer un peu le plaisir ! Ce qui nous a le plus amusé ce sont les applaudissements qui ont accompagnés les chutes provenant d'une 20aine de mecs venus nous encercler. Petites courbettes devant le public et j'ai attrapé mon PH pour lui rouler un patin de chez patin ! Nous abandonnons les deux cons et partons boire une bière.
Nous accaparons une table et quelques uns de nos " spectateurs " se joignent à nous. Ils sont ouverts et la discussion est sympathique. Ils nous demandent si c'était du karaté ou quoi. Je leur explique vite fait le Krav Maga. Evidemment il y en a un pour nous demander si PH et moi nous étions " ensemble ". Je me lève et arrivé dans le dos de PH, lui roule un patin puis je vais jusqu'à Marc et réitère la chose. Je finis par leur dire que ces deux là sont mes deux mecs et que les autres sont nos amis. Ils sont un temps sciés par ce qu'ils ont vu. Nous discutons encore un peu et leur disons au revoir. Entre courses (moto) et courses (boutiques), le samedi après midi passe vite. Samedi soir nous rentrons tard mais pour diner quand même. Samir et Ammed avaient cuisiné toute l'après midi pour assurer les repas du WE (ce diner et celui du dimanche soir). Evidement nous n'oublions pas l'apéro. Comme la veille, la soirée se termine en touze. Je me fais plaisir avec la grosse bite d'Eric après m'être fait préparer par une sodo  bien hard de mon Marc et un assouplissement réalisé par Cédric. A se la prendre régulièrement dans le cul, il connait exactement le besoin d'ouverture nécessaire pour bien profiter du sexe de son mec.
Cédric ajoute donc au limage en règle de mon homme, une finition perso à grands coups de langue et de pénétrations graisseuses de ses doigts fins. Je suis tellement parti (sexe, poppers...) que je ne réagis que quand il essaye de me rentrer sa main entière dans mon trou. Il me calme en me disant qu'elle n'est pas plus grosse que la bite d'Eric. PH qui est arrivé à mes cotés me le confirme. Du coup je les laisse faire, j'ai toute confiance en lui pour m'éviter d'être " cassé ".
Doucement, il enfonce de plus en plus loin sa petite main dans mon fondement. PH me surdose de poppers et ajoute régulièrement de la graisse sur mon trou. Sensation de libération quand mon anus se referme sur son poignet. J'ai failli en éjaculer direct ! Les doigts fins de Cédric trouvent ma prostate et me la caresse au travers de la paroi intestinale. C'est hyper kiffant !!! Parti dans mon délire, c'est à peine si j'entends PH demander à Cédric s'il le faisait souvent vu sa dextérité sur ma rondelle. Cédric lui réponds qu'Eric aime bien qu'il prépare ainsi les culs qu'il va baiser à la suite. Je suis réellement entre ses mains. L'une à l'intérieur de moi et l'autre sur ma bite à me branler lentement il contrôle totalement mon excitation. Je n'ai encore jamais connu ça et pourtant je crois avoir essayé pas mal de truc et de bites différentes actionnées par autant de mec aux savoirs faire variés.
Il me " lâche " quand Eric lui dit que je suis prêt. Il appelle Marc et lui demande de se coucher pour que je le chevauche. Sa queue ballotte dans mon trou encore un peu trop grand. Je me doutais de ce qui allait m'arriver, Eric pousse sa bite dans mon cul et je gueule sous l'extrême sensation, qu'à deux, ils me procurent.
Sous le regard de PH en train de se faire pomper par Cédric, ils me font délirer grave et j'explose sous le limage intense qui ravage mon cul. Mon sperme couvre les pecs et le cou de Marc. Encore chaud, je le lèche et la bouche pleine, je roule un patin à mon mec. Je ne sais si c'est ça mais il jute peu après et je le sens en moi. Ça favorise encore les glissements d'Eric et il se retire bientôt. Je sens aussitôt après dégouliner sur mon dos de grosses coulées chaudes.
A PH qui vient de se vider sur Cédric, je souffle qu'il devra essayer ça rapidement tellement c'est bon !
Jardinier
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thebusylilbee · 2 months
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" Après 2024, 2030 sera-t-elle une nouvelle année olympique en France ? Le Comité international olympique (CIO) a désigné mercredi 24 juillet les Alpes françaises comme site organisateur des Jeux olympiques d’hiver. Après plusieurs semaines d’incertitude liée à l’actuelle vacance du pouvoir, c’est une victoire pour Emmanuel Macron qui a défendu personnellement la candidature de la France devant le comité mercredi 24 juillet au matin. 
Le CIO conditionne néanmoins la validation définitive de ce projet à la présentation des garanties financières et juridiques par lesquelles le pays hôte s’engage à couvrir les éventuels déficits de l’événement et à livrer les équipements en temps voulu. [...]
À quarante-huit heures de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, le sujet des Jeux d’hiver apparaît lointain. C’est pourtant maintenant qu’il faut s’en préoccuper, tant qu’il est encore temps de les arrêter. Coûts financiers, flou budgétaire, impact environnemental et verrou dans un modèle économique mortifère pour l’écosystème alpin : les problèmes posés par d’éventuels JO dans les Alpes sont nombreux et sérieux.
Si les plans climat et les schémas bas-carbone adoptés tant bien que mal par nos institutions ont un sens, si le souci budgétaire affiché par l’exécutif est réel, le projet de JO 2030 devrait être remis en question. Mettre en suspens la candidature et offrir aux citoyennes et citoyens la possibilité de se prononcer sur sa pertinence serait un signe de santé démocratique.
Ce serait aussi un geste de confiance envers la population, trop peu consultée sur les grands projets. Ceux-ci engagent pourtant les habitant·es, riverain·es et contribuables pour des années dans des trajectoires souvent polluantes et coûteuses.
Un demi-milliard de dépenses publiques
Le budget de fonctionnement annoncé pour les JO d’hiver s’établit à 2 milliards d’euros, selon le rapport du mois de juin de la commission de futur hôte – document qui comprend l’analyse du projet par un jury désigné par le CIO.
Cette enveloppe représenterait un coût de 462 millions d’euros pour la puissance publique – à partager entre l’État et les régions organisatrices. C’est autant que l’aide exceptionnelle débloquée par le gouvernement en février pour les hôpitaux. Ou que les financements annoncés en 2023 pour le plan logement devant permettre aux personnes sans domicile d’accéder à des solutions de logement pérennes. Ou encore que le fonds annuel de rénovation du bâti scolaire. C’est donc beaucoup d’argent, surtout dans le contexte du plan d’économie de 10 milliards d’euros décidé par Bruno Le Maire en février 2024.
Est-ce le meilleur usage à faire des subsides publics ? La question est d’autant plus pertinente que le montant à débourser sera en réalité sans doute beaucoup plus élevé : 2,4 milliards d’euros au total, pour une dotation publique comprise entre 800 et 900 millions d’euros, selon un rapport de l’Inspection générale des finances non publié, mais cité par le media La Lettre. Matignon, qui a commandé ce rapport, n’a pas répondu aux questions de Mediapart.
Une forte contribution de l’État
Dans le détail, les quelques informations publiques sur le volet budgétaire de cette candidature interrogent. La part de financement public, autour de 23 %, est beaucoup plus élevée que dans les dossiers d’autres pays, a remarqué Delphine Larat, membre du collectif No JO : 0 % pour la Suède pour les JO de 2026 – et retoqué de ce fait, 4 % pour l’Italie, 6 % pour la Chine (2022), 14 % pour le Kazakhstan (2022). Le montant et la part de provisions pour imprévus sont également « hors norme », autour de 258 millions d’euros pour la France, ajoute-t-elle.
Or les économistes des infrastructures ont bien documenté la sous-estimation systématique du coût des JO, dont les budgets ne prennent pas en compte tout un ensemble de dépenses plus ou moins cachées : les exonérations fiscales (nombreuses), les dépenses de sécurité ou de transports publics, etc.
Les rapporteurs de la commission de futur hôte s’inquiètent d’ailleurs à plusieurs reprises de la soutenabilité financière du projet, citant la construction des villages olympiques et d’une patinoire à Nice (Alpes-Maritimes).
Constructions massives dans les Alpes
Tout en promettant de « s’attaquer aux conséquences du changement climatique », le dossier des JO 2030 prévoit des constructions massives. Pas moins de cinq villages olympiques sont annoncés, avec 700 lits en projet au Grand-Bornand (Haute-Savoie), 700 supplémentaires à Bozel (Savoie), 1 500 à Nice – où la patinoire pourrait coûter 50 millions d’euros. Celle-ci pourrait prendre place sur des terrains destinés initialement à construire des logements sociaux. Et le projet serait particulièrement énergivore compte tenu du climat méditerranéen de la ville – un choix baroque pour des Jeux d’hiver.
Un « réseau routier olympique » devra par ailleurs être mis en place, notamment pour pallier les routes « étroites » dans les zones de montagne. L’empreinte carbone de l’ensemble est estimé entre 700 000 et 800 000 tonnes équivalent CO2 – sans aucun élément pour le vérifier –, soit autant que la consommation annuelle moyenne de 80 000 personnes en France.
Avec le réchauffement des températures, la neige tient de moins en moins en petite et moyenne montagne. Lors de l’édition 2022 de la Coupe du monde de biathlon au Grand-Bornand, en Haute-Savoie, elle a dû être livrée par camion avant la tenue des épreuves. Comment imaginer que la situation sera différente en 2030 ? Les canons à neige et retenues collinaires sont très consommatrices en eau, et, de ce fait, remis en cause par les défenseurs des écosystèmes. En 2022, la justice a suspendu l’autorisation d’une retenue d’altitude à La Clusaz, en Haute-Savoie, que la mairie voulait construire pour produire de la neige artificielle. C’est l’un des lieux choisis pour les JO de 2030.
Opacité antidémocratique
En l’absence de consultation et de référendum sur la tenue de JO d’hiver en France en 2030, il n’y a pas eu d’information correcte du public : le budget n’est pas publié en détail et le dossier de candidature n’est pas consultable en ligne. La clé de répartition entre État et régions n’est pas connue. Il n’y a pas eu d’étude alternative à la construction des nouvelles infrastructures, ni de contre-expertise du budget présenté par la France.
Avoir des JO dans les Alpes en 2030 « serait formidable pour inventer le modèle de Jeux d’hiver de demain qui doit être plus durable, qui doit s’adapter aux changements climatiques », a encore déclaré Emmanuel Macron au JT de France 2. Le chef de l’État semble se tromper de priorité : plutôt que le business olympique, c’est la montagne, son milieu naturel et les personnes qui y vivent qui doivent être défendus pour avoir une chance de perdurer.
La bonne question à poser est simple : cela est-il compatible avec des JO d’hiver ? Car, au vu des investissements nécessaires, ils enfermeraient ces territoires en plein bouleversement climatique dans un modèle touristique inadapté et dépassé.
Jade Lindgaard "
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perduedansmatete · 20 days
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être lui c’est devoir répondre à une heure du matin à la question à quel niveau je suis handicapée sociale tu penses ? en me disant que je ne le suis pas et que je suis très intelligente parce que juste avant il m’avait dit un truc que j’avais pas compris et que je comprends souvent rien aux trucs qu’on me dit et aux références comme si j’étais toujours à côté de la plaque même dans mes relations avec les gens simplement où j’ai l’impression d’interagir toujours bizarrement mais il m’a dit que j’étais juste pas internet coded donc j’ai cherché ce que j’étais coded il m’a dit tu es calée films rock concerts et musiques cool que personne ne connaît mais du coup je me suis dit que c’était nul parce que je me sens seule dans mon truc et ça m’a mené à la réflexion que oui j’ai jamais eu les codes de tout le monde car mes parents m’ont éduqué comme des mormons mais rock et un peu snob sur les bords à ne pas trop aimer les trucs populaires à avoir une vieille télé avec juste six chaînes internet super tard et des téléphones portables encore plus tard à nous donner des références que personne ne connaît sauf des gens de quarante ans un peu snobs et du coup je crois que je suis simplement mormon rock snob coded et je ne sais pas quoi faire de cette information
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lexiie-xd · 1 month
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16 août 24
Quand tu discutes avec un mec sur Wannonce en fin de soirée et qu'il t'invite à passer chez lui.
Quand tu as tellement envie de baiser que tu traverses Mulhouse à 1h du matin.
Quand tu découvres qu'il vit dans un quartier que même ton GPS ne trouve pas l'adresse.
Quand il n'y a plus d'éclairage de rue et que tu dois marcher une plombe en talon dans l'obscurité pour rejoindre son immeuble.
Quand tu te dis que tu as vraiment faim pour en être là.
Quand tu te dis aussi que c'est tellement agréable de marcher dans la rue habillée comme une pute.
Quand tu arrives au 7ème étage (avec ascenseur... ouf!!!) et que tu te rapproches du bonheur.
Quand le mec ouvre et te dit qu'il a fait une connerie en te disant de venir parce qu'il est shooté à mort!
Quand tu te dis qu'il faut vite se barrer parce que les mecs drogués c'est pas ton truc.
Quand tu lui dis que c'est pas grave et que tu penses le contraire mais que tu ne veux pas faire d'histoires.
Quand tu redescends les 7 étages (avec ascenseur... ouf!!!) complètement frustrée et encore plus en manque.
Quand tu traverses le hall de l'immeuble et qu'un mec rentre.
Quand tu dois assumer d'être habillée comme une pute en croisant un mec dans un hall d'immeuble éclairé.
Quand tu dis bonsoir le plus naturellement possible.
Quand le mec te répond gentiment et que tu vois dans son regard qu'il a mis moins de 3 secondes à comprendre la situation.
Quand il y a un flottement dans l'action en cours.
Quand le mec s'arrête, te sourit, te montre son bas ventre et une porte à côté de toi.
Quand tu lis sur la porte que c'est la cave et que tu as peu de temps pour te décider.
Quand le mec te sourit toujours et te dit "on y va?"
Quand c'est trop dur de réfléchir, que tu es encore sous la surprise, que t'as un peu peur et beaucoup envie.
Quand tu suis bêtement le mec dans la cave.
Quand à peine arrivée en bas des escaliers il te plaque le dos contre le mur en béton.
Quand tu es surprise, apeurée et qu'il t'embrasse à pleine bouche sans te laisser le temps de respirer.
Quand il défait sa ceinture et baisse son jean en t'embrassant toujours à pleine bouche.
Quand tu penses à ton rouge à lèvres qui va faire la gueule et que déjà il te pousse à te mettre accroupie devant lui.
Quand il te met sa queue déjà dure dans la bouche et que tu n'as encore pas pu prononcer un mot.
Quand tu as la tête coincée contre le mur et qu'il te bourrine la gorge.
Quand tu commences à étouffer, que tu baves carrément et que tu n'arrives plus à réfléchir.
Quand d'un coup il te relève, te retourne face au mur, qu'il t'enlève ta veste et t'arrache ton string violemment.
Quand il t'embrasse dans le coup et te mordille la nuque en te traitant de salope.
Quand décidément tu n'as toujours pas pu parler, ni pu réfléchir.
Quand tu as moins peur.
Quand il te rentre sa queue bien gonflée en continuant à te mordiller la nuque et en te tenant par le hanches.
Quand tu peux enfin réfléchir, tu te dis qu'il aurait pu te lubrifier et mettre une capote.
Quand tu te dis finalement qu'au minimum il aurait au moins pu te le demander.
Quand il te besogne à fond et que tu te dis que visiblement ce n'est pas le genre de mec à poser des questions.
Quand tu en es là de tes réflexions et que tu sens qu'il s'active plus vite.
Quand tu as le visage contre le béton froid et qu'une de ses mains est toujours sur ta hanche.
Quand son autre main t'écrase la gorge et que tu te demandes s'il va vraiment t'étrangler.
Quand il fini de s'activer et qu'il te lâche la gorge.
Quand il reste immobile au fond de toi pour savourer son plaisir.
Quand tu comprends que ton plaisir il s'en fiche.
Quand il sort et qu'il te dit de lui nettoyer la bite avec la langue.
Quand tu t'éxécutes sans discuter parce que tu as compris que c'était inutile.
Quand tu t'accroupis avec le cul encore ouvert.
Quand tu penses à la flaque que tu vas laisser par terre à la femme de ménage.
Quand tu finis de lui nettoyer la queue et qu'il te dit de te casser.
Quand devant lui tu attrapes vite fait ton sac à mains et ta veste et que tu te sauves, en bredouillant un merci.
Quand il te répète de te casser vite fait, salope.
Quand tu finis d'enfiler ton manteau dans le hall de l'immeuble et que tu penses à ton maquillage.
Quand tu retraverses le quartier dans l'obscurité, un filet de jus qui coule sur les cuisses, en espérant ne rencontrer personne.
Et bien finalement tu te dis qu'il existe encore des vrais mecs!
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bttf-rpg · 9 months
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LES GROUPES...
Les groupes sont au nombre de trois sur Back to the Future, ils définissent la relation des personnages avec la technologie.
📌GREASE
La technologie, pour quoi faire ? Vous êtes de celleux qui ne voient pas l’utilité de collectionner les engins électroniques, puisque le monde fonctionnait parfaitement sans. Pas besoin de smartphone ou d’ordinateur personnel, il vous suffit d’aller à la bibliothèque quand vous avez besoin d’une recherche. Vos temps libres vous les passez plutôt à lire ou à vous balader dehors, à faire des travaux créatifs et prendre le temps de discuter en chair et en os avec vos proches.
📌FOOTLOOSE
La plupart du temps vous pouvez vous passer des derniers modèles et des applications à la mode, mais il faut bien avouer que la technologie peut avoir ses bons côtés. Parfois il est tout de même utile de pouvoir contacter des gens qui se trouvent à l’autre bout du monde, ou simplement avoir la réponse à une question urgente en quelques tapotements de doigts. Vous êtes loin de vivre aux crochets de la technologie et vous n’avez pas envie de l’introduire outrageusement dans votre quotidien, mais vous n’êtes pas contre non plus et pouvez y voir les avantages.
📌TERMINATOR
S’il y a bien une chose qui vous fait râler, c’est le manque constant de réseau à Mariposa. Vous aimez les gadgets, c’est vrai, alors vous collectionnez les smartphones ou les montres intelligentes, votre frigo vous dit bonjour tous les matins et sait vous inventer des recettes selon ce qu’il y a dans ses étagères. Oui, mais à quoi bon avoir tout ça dans une ville où vous ne pouvez pas vous en servir ? Vous aimeriez voir les choses changer et que la ville fasse un bond dans le temps pour revenir au vingt-et-unième siècle.
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e642 · 16 days
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Mon dieu. Quelle journée. Jvais spill the tea c'est trop. Ce matin jme réveille pas parce que j'ai pas dormi donc on part sur irritabilité et fatigue. À 8h yavait les inscriptions pédagogiques de la fac, genre le choix des options de merde qui vont définir un peu nos choix de master en vrai. Donc à 8h pétante j'y suis, je valide, je sors mon contrat, c'est écrit que je suis inscrite mais que j'ai pas de groupe. Gros coup d'angoisse. Si j'ai pas les choix que je veux, bye bye les masters déjà que jsuis pas brillante en plus. J'appelle la fac, ils me disent que globalement ils en ont rien à branler. Démentiel coup d'angoisse bis. Mon père passe dans le salon et me pose la question fatale en cas de panique "ça va ? Ça n'a pas l'air d'aller ?". Jrep avec la voix tremblante + 2/3 larmes. Le mec pète son front, il me dit "t'en as pas marre de pleurer tout le temps ? Tes faible. J'tai pas éduquée pour que tu deviennes une chialeuse". Bon. Bon. Bon. Bouche bée. Il m'a scotchée. Énorme coup d'angoisse tris (bis mais pour trois aled). Jpensais pas que la toxicité pouvait aller jusque là mdrr. Ensuite on doit partir pour que je rentre à nice et accompagne ma mère à l'hôpital pour son cancer. Premier degré, il y a eu 4 accidents sur la route. Donc on arrive en retard. Quand on arrive, la meuf du secrétariat nous dit "tenez les papiers, amusez vous bien". J'ai cru serrer. Ça se voit qu'elle a jamais eu de cancer elle putain de conne là. Ma mère part en consultation. Après on doit reprendre un rdv et j'ai la brillante idée de demander si dans leur hôpital de merde ya pas des psy cancéro pour accompagner les patients malades. La meuf me rép "si mais ils prennent pas de stagiaire, ils pensent que c'est trop traumatisant de voir des malades". J'étais en mode wtf, c'est le but d'un psy voir des gens malades (physique ou psychique), du coup jlui dis que ça tombe bien parce que ma mère traine son cancer depuis 10 ans mdrrr. Du coup elle a ronchonné, puis cédé en mode "je les appellerai". Jamais elle va les appeler. Je rentre à mon appartement et jme rends compte que j'ai besoin de ranger chaque M2 sinon jvais me sentir mal. Donc je range, ça m'a pris des plombes purée. Puis soudain, je suis tombée sur un petit mot que mon mec m'a écrit en scred. Un mot en langage soutenu visiblement, pour le citer: "pipi, prout, je t'aime". Ça a fini de m'achever jcrois. Et là jme retrouve seule comme une débile à attendre la mort. J'ai pas hâte de cette année en vrai. J'ai 50 problèmes qui se déclarent tous en même temps. Puis jme suis dit qu'il faudrait que je m'inscrive à un sport pour grappiller des points (on en est vraiment là), le seul sport encore dispo c'était.. roulement de tambour.... Badminton. Non c'est bon. Jpeux plus endurer cette journée faut que j'aille dormir.
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