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#Dans le murmure des feuilles qui dansent
alapagedeslivres · 1 month
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THROWBACK THURSDAY LIVRESQUE : Amoureux de la nature !
J’ai trouvé ce rendez-vous livresque chez My-Book., qui a poursuivi elle-même l’idée créatrice de Bettie Rose Books. L’idée est de présenter une ancienne lecture tout en suivant le thème préétabli chaque semaine… que voici : Sans hésitation, voici ma sélection pour des personnages et des auteurs qui aiment la nature. J’ai choisi des COUPS de COEUR comme…– Un amoureux de l’Afrique (les parcs…
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vague-abondage · 8 months
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Et puis un jour, vous comprenez que la vie est ici, dans l'instant, puisque rien ne dit qu'elle sera encore là demain, et après-demain, et les jours suivants. Alors vous la traversez un peu plus fort, un peu plus doux, un peu plus rire, un peu plus fou.
Agnès Ledig, Dans le murmure des feuilles qui dansent.
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coolvieilledentelle · 3 months
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Un vieux philosophe qui s'appelait Sénèque a dit : «Seul l'arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c'est dans cette lutte que ses racines, mises à l'épreuve, se fortifient. »
- Ça veut dire quoi ?
- Que cette tempête qui souffle sur toi est en train de renforcer tes racines. Tu en sortiras plus solide.
Agnès Ledig- (Dans le murmure des feuilles qui dansent)
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miss-rouge-et-noire · 17 years
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J'aime bien me promener dans la forêt en ce moment, quand le temps est frais. Mes promenades m'inspirent. J'ai fait ce poème à ce sujet :
"Dans la forêt sombre, où l'ombre danse,
Entre les arbres où le silence avance,
Je me promène, âme en transe,
À la recherche de secrets qui avancent.
Les arbres se penchent, murmurent des secrets,
Le vent souffle, et les branches en cadence,
Chuchotent des histoires anciennes, des regrets,
Des mystères cachés, des légendes immenses.
Les feuilles mortes craquent sous mes pas,
Comme si la forêt elle-même me parlait,
De son passé, de ses êtres, de ses drames,
De ces êtres étranges, qui dans l'ombre se pavanent.
Je sens les regards, les yeux invisibles,
Qui me scrutent, me jugent, me rendent vulnérable,
Dans cette forêt maudite, mais si invincible,
Où chaque arbre est un gardien, un tableau remarquable.
Je m'enfonce plus loin, dans ce labyrinthe vert,
Où chaque sentier est une porte vers l'inconnu,
Où chaque cri d'animal résonne comme un concert,
Dans cette symphonie de mystères détenus.
La lune se lève, éclairant faiblement,
Les secrets de la forêt, les mystères éternels,
Je suis un explorateur dans ce monde autrement,
Où le réel et l'imaginaire dansent un ballet cruel.
Alors laissez-moi errer, entre les arbres géants,
Dans cette forêt enchantée, où les âmes se cachent,
Où chaque pas est une aventure, un instant,
Dans ce royaume de mystères, où je me perds sans relâche."
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problematicseries · 4 months
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
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EPISODE 5 : FINAL PART
Tu restes bouche bée, c’est impossible.
« Tu peux fermer la bouche, ça fait un moment qu’on a fini tu sais » dit Intak en ricanant.
« Qu’est ce que tu peux être con » tu lui réponds en lui tapant l’épaule avant de continuer « Pourquoi tu t’es inscrit ici ? »
Il relève le menton, te regarde de haut avant de répondre « Et pourquoi pas ? »
Tu soupires, Intak te gonfle déjà, si il était pas si bon lorsqu’il est entre tes jambes tu l’aurais déjà expulsé de la résidence.
Alors que tu lèves les yeux au ciel tu aperçois des lumières bleues clignotantes arriver vers la résidence ShinSoo, tu pressens que quelque chose de grave vient de se passer.
Tu prends la main d’Intak avant de sortir en courant de la résidence Nymphéa, vous rendant, Intak et toi, à la résidence ShinSoo.
La nuit enveloppe le campus alors que tu cours main dans la main avec Intak.
Le vent frais souffle légèrement, faisant danser les feuilles des arbres et créant une atmosphère mystique.
Les échos de vos pas résonnent sur le chemin désert, se mêlant au murmure de la nuit.
Les lumières des lampadaires éclairent votre chemin, créant des ombres qui dansent au rythme de votre course.
Un sentiment d'urgence mêlé à la proximité avec Intak crée une énergie palpitante dans l'air. Cependant, malgré cette aventure, une ambiance perplexe persiste, te laissant sentir un mélange de stress et d'interrogations face à ce qui se déroule autour de vous.
Alors que vous arrivez à hauteur de la résidence, tu aperçois une foule regardant ce qu’il se passe.
Tu te faufiles avec Intak pour voir de plus près et la seule chose que tu aperçois est Kazuha sur un brancard que les urgentistes font entrer tout de suite dans l’ambulance.
Ton regard croise celui de Mingi, alors qu’il voit également Intak, toujours sa main dans la tienne.
Il lève les yeux au ciel et monte dans l’ambulance.
« ATTENDEZ » tu cries, ne comprenant pas la situation.
« On a vraiment pas le temps pour tes caprices là » te répond Mingi.
Tu regardes un peu mieux dans l’ambulance et aperçoit Kazuha, avec le couteau toujours planté dans son thorax.
Un cri de stupeur s’échappe de ta bouche, sur laquelle tu portes tes deux mains, alors que Mingi ferme la porte de l’ambulance.
Tu sens les larmes monter à tes yeux et te retourne sur le torse d’Intak.
Il te prend dans ses bras et te caresse les cheveux en tentant tant bien que mal de te rassurer.
« Elle va s’en sortir » dit-il en t’embrassant le dessus de la tête.
Tu éclates en sanglots contre le torse d’Intak.
« Je te le promets » continue t’il.
La foule se dissipe alors que les ambulances s’éloignent.
Tu sors ton téléphone portable, tu aperçois pleins de notifications non lues, tu n’en regarde aucune et appelle Ning.
« AH BAH ENFIN » répond Ning.
« T’es où ? » tu lui réponds, essuyant tes larmes sur les pectoraux d’Intak.
« Rez de chaussée, salle principale, je suis avec Iroha, Jake, Julie et Natty » te répond elle.
« ok a tout de suite » tu lui réponds avant de raccrocher.
Les bras forts d'Intak t'entourent alors que vous avancez dans les couloirs de la résidence.
Les lumières tamisées créent des jeux d'ombres.
Ton esprit est partagé entre la réconfortante présence d'Intak et l'inquiétude liée à la situation.
Vous vous dirigez vers Ning, cherchant des réponses dans cette nuit pleine de mystères.
Tu vois Iroha assise sur les genoux de Jake, se massant la nuque.
« Qu’est ce que c’est que ce BORDEL » hurle Jang en se recoiffant.
« mais t’étais où toi encore ? » lui répond Natty en levant un sourcil.
San arrive à son tour, refermant sa braguette.
« Oh je vois » réponds Natty en levant les yeux au ciel.
Julie se retient de ricaner en voyant l’agacement de Natty.
« PERSONNE M’EXPLIQUE ? » crie Jang.
« TU PEUX PAS FERMER TA GUEULE 5 MINUTES ? » hurle Ning.
un silence s’abat sur la pièce.
tous les yeux sont braqués sur ning, qui vient de demander à Jang de fermer sa gueule.
Vous vous demandez si vous assistez tous à une hallucination collective.
« Pardon ? » répond Jang en clignant des yeux.
« Oui, ferme ta gueule, Kazuha vient de se faire poignarder et toi tout ce que t’es capable de faire c’est de tout ramener à ta petite personne c’est INSUPPORTABLE JANG » continue Ning.
un second silence s’abat sur la pièce.
« Qui a poignardé Kazuha ? » demande Jang d’un regard noir.
« Taesan, il est au poste de police là t’inquiète pas » répond Julie.
Jang enfile son trench et se dirige vers la sortie de la residence.
« San, suis moi » dit-elle alors que San obéit.
« Tu va où ? » tu lui demandes, mais elle ne répond pas et disparaît dans la nuit avec San.
Alors que tu aperçois Iroha grelotter de froid, Jake retire sa veste et la dépose sur les épaules d’Iroha.
Junghwan arrive à ta hauteur et te dit « Heureux de voir que tu vas bien ».
Tu souris et rougis avant de répondre « heureuse de te voir encore debout ».
Intak balaie la scène du regard en fronçant les sourcils avant de prendre la parole « Tu es ? »
« Junghwan, et toi ?» répond Junghwan en insistant le regard avec Intak.
« Son petit ami » répond Intak en t’attrapant par la taille.
Tu tournes la tête, regardant Intak : sa mâchoire est serrée, il ne lâche pas le regard de Junghwan, désireux de prouver sa domination dans la situation présente.
Alors que tu t’apprêtes à repousser Intak, Jay entre dans la pièce à son tour.
« C’est une réunion tupperware ou quoi » dit Natty en se servant derrière le bar.
Jay lève les sourcils en voyant le bras d’Intak autour de ta taille avant de prendre la parole.
« Intak ? qu’est ce que tu fais ici ? » dit-il.
Tu tentes de t’écarter d’Intak mais la poigne de celui ci est bien trop importante pour te décaler ne serait-ce que de quelques centimètres.
Alors que tu repousses légèrement son torse avec tes mains, il resserre sa main sur ta taille et te lance un regard noir.
Tu arrêtes de bouger et regarde Jay, comme si tu était le trophée d’Intak.
« Je me suis inscrit hier et me suis dit que ça allait être sympa de tous vous revoir ce soir » répond t’il calmement, sans relâcher ta taille.
« Vu l’argent sur ton compte tu n’a même pas besoin d’étudier et tout le monde sait que tu va récupérer l’affaire familiale Hwang, pourquoi avoir choisi cette université ? Elle sait se débrouiller sans toi » lui répond Jay avant de te regarder.
« Je ne vois pas de quoi tu parles » répond Intak.
Jay se rapproche de vous.
Il se place devant toi, décale tes cheveux derrière ton oreille, caresse ta joue et t’embrasse langoureusement.
surprise, tu ne bouges pas.
tu sens la poigne d’Intak se resserrer sur ta taille alors que sa pression sanguine est en train de bouillir.
Junghwan sort de la pièce.
Jay arrête de t’embrasser et se recule, s’essuyant la bouche en regardant Intak dans les yeux.
Tu regardes dans le vide, encore choquée de l’acte de Jay.
« T’as kiffé ? » lui demande Intak en le regardant dans les yeux.
Tu sens la poigne d’Intak se relâcher, c’est mauvais signe.
« Ouais mais ma langue s’amuse beaucoup plus entre ses jambes » répond Jay, souriant en coin.
Intak baisse les yeux en souriant, tu sens sa main s’éloigner de ta taille.
« Tu vois ? elle a pas besoin de t- » commence Jay avant de se faire interrompre par Intak qui lui envoie un violent coup de poing dans le visage.
Jay lui renvoie le coup et finissent tous deux par se battre.
« Deux hommes qui se battent pour une fille, vraiment quelle bande de bouffons ces hétéros » répond Natty en sirotant la bouteille de vodka.
« Tu veux pas arrêter de boire toi ? » lui demande Julie.
Natty lève la bouteille dans les airs ainsi que sa deuxième main et dit « Avec l’alcool, la fête est plus folle madame la policière ».
Julie lève les yeux au ciel.
Jake se lève et va séparer les garçons.
« Ça va pas vous deux ??? vous êtes cinglés » leur dit-il.
Iroha le regarde avec des yeux doux.
« Dit à cet enculé de rester éloigné de ma petite amie et ça devrait aller pour lui » dit Intak, s’essuyant la pommette en sang.
« Ta petite amie ? sa chatte est plus remplie qu’un château d’eau » répond Jay en souriant, continuant de le provoquer.
« JE TE JURE QUE JE VAIS T’ÉCLATER TA SALE GUEULE » continue Intak en s’approchant de Jay avant de se faire retenir par Jake.
Jake prend le bras de Jay afin d’aller dehors avec lui.
Iroha attrape une serviette sur la table et la donne à Intak afin qu’il puisse s’essuyer le visage, actuellement ensanglanté.
« merci la blonde » répond t’il encore énervé.
« Iroha » répond t’elle
« Japonaise ? » répond t’il en relevant les yeux de son costume.
« Exact » dit-elle en souriant.
Tu t’avances vers Natty « donne moi un verre j’en ai besoin ».
« Et moi j’ai besoin de toute la bouteille, Hunter m’a largué » continue Ning.
Natty lâche la bouteille au sol, tous les yeux se braquent sur Ning (à nouveau).
« quoi » tu répond en clignant plusieurs fois des yeux, ne croyant pas à ce qu’elle vient de dire.
« Hunter m’a larguée, il était pas sûr de ses sentiments, il m’a dit qu’il voulait pas me faire de mal et qu’on en reste là » continue Ning en regardant dans le vide.
Natty se baisse, attrape un morceau de verre cassé de la bouteille avant de dire « Je vais aller couper les couilles de cet étalon ».
« Je lui en veux pas, il est perdu, ça m’apprendra de m’attacher trop vite » répond Ning, le regard encore perdu.
Tu ne sais pas s’il faut que tu prennes Ning dans tes bras ou pas, tu ne réfléchis pas plus et lui fait un câlin.
« J’en peux plus, je veux rentrer » soupire Ning en pleurant sur ton épaule.
« On rentre » tu lui répond.
« Iroha, prend tes affaires on y va » tu continues en te retournant vers Iroha, encore assise à côté d’Intak.
« à bientôt » dit Intak à Iroha.
Tu fronces des sourcils mais la soirée est déjà trop lourde mentalement pour penser à des choses ennuyantes.
Vous rentrez toutes à Nymphéa.
« Qu’est ce qu- » s’exclame Julie en voyant tout le sang sur l’îlot de cuisine.
« oh c’est rien, le service de nettoyage doit passer demain matin » tu réponds, ne voulant pas t’étaler sur le sujet.
Julie te regarde de travers avant de s’éloigner dans sa chambre.
« Bonne nuit les filles » vous dit Iroha avant de s’enfermer dans sa chambre.
Tu accompagnes Ning à sa chambre et lui prépare son lit.
« Ça va aller ? » tu lui demandes d’un ton doux.
« Je vais dormir pendant 36heures, ne venez pas me réveiller demain » dit-elle avant de s’affaler sur le lit.
Tu lui fais un bisous sur le front et lui dit « repose toi profites en » avant de fermer la porte.
Tu entres dans ta chambre et va te doucher.
Tu sors de la douche et va dans ton lit.
Tu décides d’envoyer un message à Jang, lui demandant où elle est passée.
Soudain, le sommeil t’emporte et tu t’endors.
*toc toc toc*
« hm » tu réponds.
*toc toc toc*
tu mets ta tête sous le coussin
*toc toc toc*
« UHHHH QUOI » tu réponds.
Jang entre dans ta chambre et se pose sur ton lit.
« aussi chiante et lourde ça pouvait être que toi » tu lui dit.
« bonjour, heureuse de te voir aussi » répond Jang, toujours resplendissante.
Tu regardes l’heure sur ton téléphone : 10:14.
« Que me vaut ta visite matinale ? » tu lui demandes.
« Kazuha va bien, le couteau n’a touché aucun organe vital et n’a rien provoqué de grave, elle devrait revenir en cours demain ! » dit-elle toute contente.
Tu soupires de soulagement avant de continuer « Et Taesan ? ».
« Ne te soucie pas de lui » dit-elle en pinçant ses lèvres.
« Aller debouuuut » dit-elle en te donnant un coup de coussin.
« MAIS C’EST SAMEDI » tu lui réponds.
« Et ? lève toi feignasse » dit-elle en se levant de ton lit.
Tu te lèves, attrapes ton peignoir et te rend dans la cuisine.
À ta grande surprise, la cuisine est impeccable.
Iroha est assise sur l’un des tabourets devant l’îlot en train de manger des céréales alors qu’elle t’aperçoit arriver.
« Bien dormi ?? » te demand t’elle.
« Moui, ça va, et toi ? » tu lui réponds.
« Ouais top !! T’as pas le numéro de Jake ? faudrait que je lui rendes sa veste » continue t’elle.
« hm, oui je te l’envoie en airdrop » tu lui réponds.
« merci !! » te dit-elle toute heureuse.
Jang se retourne sur toi avant de te questionner avec son regard intense « T’as baisé avec Intak depuis que vous vous êtes revus ? »
« euh, je, il est même pas midi Jang » tu lui réponds.
« OHMYGOD IL T’AS BAISÉ » répond t’elle en se tenant la bouche.
Tu fronces les sourcils « t’es obligée d’hurler ? je viens de me réveiller ».
« Et bah tu m’étonnes que t’avais besoin de repos ma cochonne » dit-elle en attrapant un jus d’orange sanguine.
« t’es mal placée pour parler alors que t’as baisé avec San pendant que ton amie se faisait poignarder » tu lui répond en te servant du jus de papaye.
« comment j’étais censée savoir qu’un malade allait poignarder l’une de mes meilleures amie pendant que je me faisais éclater la cha- » te répond Jang avant de se faire interrompre par Kazuha qui entre dans la résidence accompagnée de Mingi.
Tu cours sur elle en la prenant dans tes bras.
« serre pas trop fort ça me fait encore un peu mal » dit Kazuha en souriant malgré la douleur.
« lâche la elle t’a dit » répond Mingi froidement.
Tu lâches Kazuha avant de te redresser devant Mingi.
« C’est quoi ton soucis Mingi ? » tu lui demandes en le fixant.
Il t’attrape le bras et te fais sortir de la résidence en fermant la porte.
Il t’emmène derrière un des murets en vérifiant si personne ne vous écoute.
« C’est bon tu veux te cacher de qui ? t’avais qu’à mettre un masque si tu tiens tant que ça à ton identité » tu lui dis avec sarcasme.
« Donc toi on te ramasse à la petite cuillère à cause d’Intak et tu retournes bêtement dans ses bras dès qu’il se pointe ? » te répond t’il avec un regard noir.
« T’es jaloux ? » tu lui réponds en croisant les bras.
« Jaloux ? tu veux que je te rappelle qui a calé sa queue au fond de ta gorge hier soir ? » dit-il.
« Mingi t’es tellement vulgaire » tu lui répond en regardant ailleurs, ne niant pas ses propos.
« Bref, Intak est mauvais pour toi, reste éloignée de lui, il ne t’apporte que des problèmes et t’es dépendante de lui quand t’es avec lui, c’est un conseil que je te donne » répond t’il.
« Tu veux que je reste éloignée d’Intak pour que tu puisses coucher avec moi sans avoir aucun remord ? ou tu te soucies vraiment de moi ? » tu lui répond en maintenant le regard.
« baisse les yeux » dit-il, ne supportant pas que tu lui tiennes tête.
« sinon quoi ? » tu lui réponds en levant les sourcils.
il se rapproche, son torse n’étant qu’à quelques centimètres de toi, il te regarde de haut, tu avais oublié qu’il était si grand.
« baisse les yeux je t’ai dit » dit-il à nouveau, d’un ton plus ferme.
« sinon quoi monsieur Song ? » tu lui réponds, tenant toujours le regard.
Mingi attrape ton menton, te levant le visage un peu plus haut vers lui et t’embrasse.
Le baiser de Mingi, volé, suscite un mélange complexe d'émotions en toi.
Il y a l'interdit, le frisson de l'inattendu, la saveur sucrée de l'interdit.
Ton cœur bat plus vite, et chaque sensation, du contact de ses lèvres à la légère brise matinale, amplifie l'intensité du moment. C'est un mélange de désir et de confusion, une danse entre la tentation et la réalité qui laisse une empreinte indélébile dans le dédale de tes pensées.
Tu poses tes mains sur le torse de Mingi et recule.
« Arrête de fréquenter Intak » dit-il en te regardant, son regard étant plus doux que d’habitude.
Ce n’était pas un ordre mais plutôt une demande.
« On devrait y retourner, Kazuha va se demander ce qu’il se passe » tu lui dit avant de te diriger vers Nymphéa.
Tu détestes ça, tu es perdue dans tes sentiments, encore.
« Est ce que vous pouvez arrêter de vous absenter tous les deux ? » demande kazuha en ricanant.
Tu souris.
Ning est au bras de Kazuha, comme un bébé singe avec sa maman.
Tu t’assoies à côté d’Iroha et déjeune à ton tour.
« Vous étiez où ? » te demande t’elle.
« on est parti discuter, on a des différents avec Mingi en ce moment » tu lui répond.
« je vois… ça te dit qu’on aille au cinéma cet après midi ? » te demande t’elle.
« bonne idée » tu lui répond.
*toc toc toc*
La porte s’ouvre sur Jake et Intak.
« Oh Jake, j’allais t’envoyer un message » dit Iroha en prenant une petite voix, se levant de sa chaise et se dirigeant vers Jake.
« Tu vas bien ? » lui demande t’il en la regardant avec un regard on ne peut plus pure.
« oui merci » répond t’elle en souriant.
Intak s’approche de toi, posant sa tête sur ton épaule.
« Et toi ? bien dormi ? » te demande-t-il en t’embrassant dans le cou.
Mingi vous regarde depuis le canapé et regarde à nouveau l’écran de son téléphone.
« Intak, arrête s’il te plaît » tu lui demande en te retournant.
Intak soupire, agacé.
Tu lui demandes de te suivre dans ta chambre, ce qu’il fait tout de suite.
« Intak, je n’ai jamais dit qu’on s’était remit ensemble, arrête de faire comme si il ne s’était rien passé à Paradise » tu lui dit en fronçant les sourcils.
Il s’adosse contre la porte en te regardant de haut avant de te répondre « Donc, ce qu’on a fait hier soir ne représente rien pour toi ? »
Tu soupires et te retournes, afin de regarder par la baie vitrée.
« Je t’ai fait l’amour comme je n’ai jamais fait l’amour à qui que ce soit, je suis revenu jusqu’ici pour toi et tu me dis que tu ne veux plus de moi ? » te répond t’il.
« Qui t’as demandé de faire ça Intak ? Pas moi » tu lui répond sans le regarder.
Tu l’entends marcher derrière toi.
« Tu ne me l’a pas demandé, mais tu es une femme complexe, je sais que tu ne veux pas être avec moi mais je sais également que je ne te rends pas indifférente, je suis à la fois ce que tu adores mais également ce que tu détestes. Cependant, je ne peux pas m’accrocher à une âme qui refuse catégoriquement ma présence » répond Intak.
« Qui t’a dit que je t’adorais ? » tu lui demandes en te retournant.
« Tu peux mentir, mais ton corps lui ne mens pas. Je vois ton language corporel, je connais chaque partie de ton corps, je sais ce que tu aimes et ce que tu détestes, tu es mon unique obsession » continue t’il en s’approchant de toi.
« Intak… » tu gémis.
Il pose son pouce sur ta lèvre.
« Je te laisserai le temps qu’il te faut » dit-il.
Alors qu’Intak te prend dans ses bras, tu regardes par la baie vitrée.
Tu n’en crois pas tes yeux.
Tu pourrais reconnaître cette voiture entre mille.
FIN DE L’ÉPISODE 5
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carolemm · 7 months
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Comme j’aime l’écriture d’Agnès Ledig ! Cette façon bien à elle de mettre des mots sur nos sentiments. Je pense fort à mes amis disparus…
Dans « Le Murmure des feuilles qui dansent », on rencontre des êtres cabossés par la vie. On découvre petit à petit les liens et les secrets qui unissent ces personnages.
Mon petit cœur d’artichaut en prend pour son grade avec la forêt comme fil conducteur.
« Un vieux philosophe qui s'appelait Sénèque a dit:
«Seul l'arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c'est dans cette lutte que ses racines, mises à l'épreuve, se fortifient. »
- Ça veut dire quoi ?
- Que cette tempête qui souffle sur toi est en train de renforcer tes racines. Tu en sortiras plus solide. »
« Dans le murmure des feuilles qui dansent, il y a surtout les petits bouts d'âme de ceux qu'on aime mais qu'on ne peut plus prendre dans ses bras. »
« L'être humain est probablement le seul animal à être capable de se faire du mal par la simple pensée. »
« Hervé, amas de cellules vibratoires ou expansibles, selon les cas/les chats... »
« Je te promets de penser à toi en couleurs. De ne pas laisser le noir m'envahir. »
« Et puis un jour, vous comprenez que la vie est ici, dans l'instant, puisque rien ne dit qu'elle sera encore là demain, et après-demain, et les jours suivants. Alors vous la traversez un peu plus fort, un peu plus doux, un peu plus rire, un peu plus fou. »
« Ce n'est pas la perfection et la beauté qui font la séduction, c'est l'intensité qu'on met dans un regard, le fait qu'il pétille, la douceur d'un sourire, et tout ce que complète notre âme, au travers des discours et des actes. »
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unjourdemai · 9 months
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L'été tire doucement sa révérence, comme un artiste quittant la scène après une performance éblouissante. Les jours ensoleillés commencent à s'étirer, les nuits deviennent plus fraîches, et dans l'air, flotte une mélancolie douce.
Les arbres, qui étaient parés de feuilles vertes luxuriantes, commencent à esquisser des touches d'or et de rouge sur leur toile de fond. Les champs se transforment en une mer de blés mûrs, prêts à être récoltés, tandis que les jardins offrent leurs dernières récoltes, un festin coloré de fruits et de légumes gorgés de soleil.
Les rires des enfants qui jouent dehors sont maintenant ponctués par le doux bruit des feuilles qui tombent, comme des pépites d'or se détachant d'un trésor. Les soirées sont accompagnées par le chant des grillons, tandis que les lucioles dansent parmi les herbes hautes.
Les plages, autrefois bondées de baigneurs et de châteaux de sable, retrouvent leur calme, tandis que les vagues murmurent des adieux à ceux qui ont trouvé refuge dans leurs eaux chaudes.
La fin de l'été est une étreinte nostalgique avec la nature, une promesse que, bien que les jours chauds s'effacent, ils reviendront inévitablement l'année prochaine. C'est une saison de transition, où l'on se prépare à accueillir l'automne avec ses couleurs flamboyantes et ses soirées douillettes près du feu.
Alors que le soleil se couche sur cette saison estivale, il peint le ciel de teintes roses et oranges, comme un dernier au revoir enflammé. Et dans nos cœurs, la fin de l'été laisse place à l'excitation de ce qui est à venir, tout en nous rappelant de savourer chaque instant, car l'été, comme la vie elle-même, est éphémère et précieux.
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cogito-ergo-absens · 9 months
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La Danse Éphémère de la Réalité: Trancher le Brouillard des Possibilités
Dans le vaste théâtre de l'existence, nous, les acteurs éphémères, évoluons dans un brouillard de possibilités. La réalité, telle une brume mystique, se dévoile à nous, et c'est en notre âme que réside le pouvoir de déterminer où nous voulons poser notre regard. Telles des feuilles portées par le vent, nous naviguons à travers les nuances infinies de la perception, découvrant que l'absolu se dérobe sous nos pas. Dans cette danse énigmatique, les philosophies orientales nous invitent à contempler la relativité de la réalité et à embrasser le choix conscient qui réside en chaque instant.
Le Voile de Dualité:
La dualité, telle une illusion séduisante, tisse son voile sur notre perception. Bien et mal, noir et blanc, jour et nuit - ces paires de contraires nous enchantent par leur simplicité. Cependant, les sages orientaux nous murmurent à l'oreille que ces oppositions ne sont que des nuances changeantes, des constructions de l'esprit qui dépendent des perspectives individuelles et des cultures dans lesquelles nous sommes immergés. Lorsque nous plongeons au-delà du voile de dualité, nous découvrons un océan infini de nuances gracieuses où les frontières s'effacent.
La Maison aux Mille Visages:
Imaginez une maison, symbole de stabilité et de refuge. Mais au-delà de l'apparence évidente, nous nous aventurons dans un labyrinthe de perceptions. La maison peut être vue comme une structure de murs et de toit, comme une accumulation de molécules harmonieusement agencées, ou encore comme une danse délicate de particules élémentaires qui vibrent en harmonie. Où se trouve le noyau de la réalité de la maison ? Est-ce dans l'ensemble ou dans les infiniment petits ? La sagesse orientale nous susurre que ce choix repose en chacun de nous, un voyage intérieur où nous tranchons le voile du manifeste pour contempler l'essence sous-jacente.
La Conscience Qui S'Éveille:
Dans notre quête d'exploration de la réalité, la conscience de soi est notre guide fidèle. C'est en nous éveillant à notre propre nature que nous devenons les artistes de notre perception. Les philosophes orientaux nous exhortent à méditer, à plonger dans les eaux calmes de notre esprit pour y découvrir la source de notre conscience. En écartant les illusions qui nous voilent, nous nous rapprochons de notre essence véritable, transcendante et connectée à l'univers tout entier. Dans cette communion profonde, la frontière entre le sujet et l'objet s'efface, et nous sommes un avec la danse éternelle de la réalité.
La Sagesse de l'Instant Présent:
Dans la philosophie orientale, la notion d'éphémère est célébrée. Tout est en perpétuel changement, évoluant selon les lois du cosmos. Les saisons se succèdent, les étoiles dansent dans le ciel, les fleurs s'épanouissent puis se fanent. Dans cet écoulement perpétuel, la réalité se métamorphose en une symphonie enchanteresse. Les sages orientaux nous incitent à vivre dans l'instant présent, à savourer chaque note de cette mélodie fugace. Car c'est dans l'instant présent que réside le pouvoir de choisir, de créer et de donner un sens unique à notre réalité.
En conclusion, les philosophies orientales nous rappellent que la réalité est une toile tissée de brouillard, où chaque nœud de perception est un choix délibéré de notre esprit. En tranchant le voile de dualité et en plongeant dans la contemplation, nous éveillons notre conscience à l'immensité des possibles. La maison devient alors une symphonie de vibrations, le bien et le mal se fondent dans les nuances, et nous embrassons la danse éphémère de la réalité avec gratitude et sérénité. Alors, dans l'essence de chaque instant, nous trouvons la clé pour déchiffrer les mystères de l'univers.
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manieresdedire · 4 years
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Retour à Ambialet
Il aime bien Ambialet. Il en a fait la découverte il y a moins de dix ans. Ils étaient alors quatre. Il sont désormais moins nombreux. Mais il y retourne souvent. Regarde et se souvient. La terrasse du "Café de la presqu’île" entourée d’une vieille et costaude glycine, l’été, l’ombre délicieuse de ses vieux arbres, le temps qui passe lentement et les conversations, les bains près du pont, le chemin de croix et les éminences rocheuses au sommet desquelles trônent églises et prieuré, la géométrie spectaculaire du méandre, et son isthme, pincement sévère sur lequel campe lourdement une usine hydraulique aux airs de château de fées.
Marchant le long de la sente principale, étroite et pentue, du petit village qui domine la gigantesque boucle que fait le Tarn, frôlant la porte d’entrée abîmée d’une maison ancienne, il trébucha et se retint à la poignée. Une inscription à la peinture bleue, en lettres capitales, attira son regard : "Bonjour facteur, c'est là que tu peux déposer les lettres d'amour et les récits de voyage". Le gracieux dessin d’une flèche désignait une fente grossière pratiquée dans la porte.
Une jolie fantaisie, l’évocation poétique du battement des cœurs et du désir d’ailleurs que ressentent les femmes et les hommes. Des contrastes saisissants : entre la couleur pastel de l’invitation et le gris des murs, un lieu à l’étroit et l’immensité du monde, la tristesse émanant de la petite demeure et l’appel au bonheur. L’harmonie du bleu des lettres avec, ce jour-là, la couleur du ciel et celle des mers, des rêves et des fleurs.
Les murs de la maison sont enduits de ciment gris, taché de vert et de noir, les marques de la pluie qui coule trop souvent aux mêmes endroits, dans les irrégularités du crépi où elle stagne un peu. Les volets sont fermés. La maison est plutôt austère comme l’est son environnement immédiat.
C’est vrai, elle aurait besoin qu’un peu de passion la transfigure, l’illumine et la replace dans un monde imaginaire où tout serait bien plus beau, recréé par la lecture de journaux de voyages et transfiguré par des mots d’amour.
L’enveloppe attendue, postée par l’amoureux ou le voyageur, ne devra pas être trop épaisse ni trop large. Elle ne contiendra pas plus de trois feuillets, soigneusement pliés. Sur lesquels des mots seront tracés habilement pour dire le merveilleux.
Pourvu que des lettres n’aient pas été perdues, dérobées, mal aiguillées, abandonnées à tous les vents, avec leurs phrases qui disaient les sentiments, les émotions, le désir, les plaisirs et décrivaient les côtes sauvages battues par les vents et l’océan, la barre de rocher aux sommets enneigés qui défient les grimpeurs, le soleil qui, à l’aplomb des dunes de sable, brûle les visages et fait fondre les corps, les oasis réconfortantes, les jonques chargées qui se faufilent entre les récifs, pleines de poissons à bord, la savane et la forêt tropicale, les geysers et les volcans d’où coulent d’épaisses rivières rouges qui détruisent tout sur leur chemin puis deviennent des terres fertiles, les villes et les ruines, modernes et millénaires, les glaces des hivers polaires, les couples qui dansent, marchent ou nagent, l’agitation et l’indolence des corps sur les plages et dans les lits que forment les prairies, les mousses et les fougères des sous-bois, les courants d’air traversant un ryad où se fait entendre le doux murmure de la fontaine placée en son centre...
"Dis, auteur de ces mots bleus, es-tu toujours là ? Je ne viendrais pas te raconter mes voyages inaboutis et mes amours interrompues". Voilà ce que lui, a écrit sur la feuille pliée dans une enveloppe et glissée dans la fente du vieux bois.
Yves Rebouillat (publié dans “Le Tarn Libre” du 20/11/2020)
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kris33390 · 4 years
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Regards croisés sur “la bacchante” d’André Lhote avec JJ Issouli et Isabelle Beccia.
Article relatif à la sortie culturelle sur Bordeaux le 19 février 2020.
Intervention passionnée et passionnante de Jean-Jacques Issouli professeur agrégé de lettres classiques sur “la bacchante” d’André Lhote avec Isabelle Beccia. Œuvres citées en rapport avec le thème, certaines m’ont échappées.
• Euripide Bacchantes : http://remacle.org/bloodwolf/tragediens/euripide/bacchantesfr.htm
• Ovide Métamorphose 11ieme : http://www.theatre-classique.fr/pages/pdf/OVIDE_METAMORPHOSES_11.pdf (…) Non loin de là, des boeufs paisibles, courbés sous le joug, traçaient dans les champs de larges sillons. D’agrestes laboureurs, d’un bras nerveux, avec la bêche ouvraient la terre, et préparaient les doux fruits de leurs pénibles sueurs. À l’aspect des Ménades, ils ont fui, épouvantés, abandonnant, épars dans les champs, leurs bêches, leurs longs râteaux, et leurs hoyaux pesants : chacune s’en empare. Dans leur fureur, elles arrachent aux boeufs même leurs cornes menaçantes, et reviennent de l’interprète des dieux achever les destins. Il leur tendait des mains désarmées. Ses prières les irritent. Pour la première fois, les sons de sa voix ont perdu leur pouvoir. Ces femmes sacrilèges consomment leur crime ; il expire, et son âme, grands dieux ! s’exhale à travers cette bouche dont les accents étaient entendus par les rochers, et qui apprivoisait les hôtes sauvages des forêts.
• Robert Garnier Hyppolite : https://www.persee.fr/docAsPDF/albin_1154-5852_2008_num_20_1_1109.pdf PHEDRE : Derechef, ô cruel, à vos pieds je me jette, Prenez compassion de moy vostre sujette.
HIPPOLYTE : Retirez-vous de moy, ne me venez toucher, Ne me toucher le corps, de peur de me tacher. Comment ? elle m’embrasse ? Il faut que mon espee, Vengeant si grand forfaict, soit de son sang trempée. Jamais, chaste Diane, à ton nom immortel Un sang mieux consacré n’humecta ton autel.
PHEDRE : C’est ce que je demande. A ceste heure, Hippolyte, Piteux, mettrez-vous fin à ma douleur despite. Hippolyte, il ne peut m’arriver plus grand heur Que mourant par vos mains conserver mon honneur.
HIPPOLYTE : Allez, vivez infame, et que jamais cette arme, Pollue en vous touchant, le chaste corps ne m’arme. En quel Tigre, en quel Gange, en quel gouffre aboyant, En quelle ondeuse mer m’iray-je nettoyant ? (v. 1473-1488)
• Tableau Bacchante avec une chèvre William Bouguereau. 1825-1905. Paris. Une Bacchante ou Bacchante lutinant une chèvre 1862.
• J. Maria de Heredia trophée : https://www.lacauselitteraire.fr/les-trophees-poesies-completes-jose-maria-de-heredia
Les bacchanales : Une brusque clameur épouvante le Gange. Les tigres ont rompu leurs jougs et, miaulants, Ils bondissent, et sous leurs bonds et leurs élans Les Bacchantes en fuite écrasent la vendange.
Et le pampre que l’ongle ou la morsure effrange Rougit d’un noir raisin les gorges et les flancs Où près des reins rayés luisent des ventres blancs De léopards roulés dans la pourpre et la fange.
Sur les corps convulsifs les fauves éblouis, Avec des grondements que prolonge un long râle, Flairent un sang plus rouge à travers l’or du hâle ;
Mais le Dieu, s’enivrant à ces jeux inouïs, Par le thyrse et les cris les exaspère et mêle Au mâle rugissant la hurlante femelle.
• Baudelaire POÈME LE THYRSE À FRANTZ LISZT
Qu’est-ce qu’un thyrse ? Selon le sens moral et poétique, c’est un emblème sacerdotal dans la main des prêtres ou des prêtresses célébrant la divinité dont ils sont les interprètes et les serviteurs. Mais physiquement ce n’est qu’un bâton, un pur bâton, perche à houblon, tuteur de vigne, sec, dur et droit. Autour de ce bâton, dans des méandres capricieux, se jouent et folâtrent des tiges et des fleurs, celles-ci sinueuses et fuyardes, celles-là penchées comme des cloches ou des coupes renversées. Et une gloire étonnante jaillit de cette complexité de lignes et de couleurs, tendres ou éclatantes. Ne dirait-on pas que la ligne courbe et la spirale font leur cour à la ligne droite et dansent autour dans une muette adoration ? Ne dirait-on pas que toutes ces corolles délicates, tous ces calices, explosions de senteurs et de couleurs, exécutent un mystique fandango autour du bâton hiératique ? Et quel est, cependant, le mortel imprudent qui osera décider si les fleurs et les pampres ont été faits pour le bâton, ou si le bâton n’est que le prétexte pour montrer la beauté des pampres et des fleurs ? Le thyrse est la représentation de votre étonnante dualité, maître puissant et vénéré, cher Bacchant de la Beauté mystérieuse et passionnée. Jamais nymphe exaspérée par l’invincible Bacchus ne secoua son thyrse sur les têtes de ses compagnes affolées avec autant d’énergie et de caprice que vous agitez votre génie sur les cœurs de vos frères. — Le bâton, c’est votre volonté, droite, ferme et inébranlable ; les fleurs, c’est la promenade de votre fantaisie autour de votre volonté ; c’est l’élément féminin exécutant autour du mâle ses prestigieuses pirouettes. Ligne droite et ligne arabesque, intention et expression, roideur de la volonté, sinuosité du verbe, unité du but, variété des moyens, amalgame tout-puissant et indivisible du génie, quel analyste aura le détestable courage de vous diviser et de vous séparer ?
Cher Liszt, à travers les brumes, par delà les fleuves, par-dessus les villes où les pianos chantent votre gloire, où l’imprimerie traduit votre sagesse, en quelque lieu que vous soyez, dans les splendeurs de la ville éternelle ou dans les brumes des pays rêveurs que console Cambrinus, improvisant des chants de délectation ou d’ineffable douleur, ou confiant au papier vos méditations abstruses, chantre de la Volupté et de l’Angoisse éternelles, philosophe, poëte et artiste, je vous salue en l’immortalité !
• Maupassant “Une partie de campagne ”
https://short-edition.com/fr/classique/guy-de-maupassant/une-partie-de-campagne
Extrait : La jeune fille pleurait toujours, pénétrée de sensations très douces, la peau chaude et piquée partout de chatouillements inconnus. La tête de Henri était sur son épaule ; et, brusquement, il la baisa sur les lèvres. Elle eut une révolte furieuse et, pour l’éviter, se rejeta sur le dos. Mais il s’abattit sur elle, la couvrant de tout son corps. Il poursuivit longtemps cette bouche qui le fuyait, puis, la joignant, y attacha la sienne. Alors, affolée par un désir formidable, elle lui rendit son baiser en l’étreignant sur sa poitrine, et toute sa résistance tomba comme écrasée par un poids trop lourd. Tout était calme aux environs.
L’oiseau se mit à chanter. Il jeta d’abord trois notes pénétrantes qui semblaient un appel d’amour, puis, après un silence d’un moment, il commença d’une voix affaiblie des modulations très lentes. Une brise molle glissa, soulevant un murmure de feuilles, et dans la profondeur des branches passaient deux soupirs ardents qui se mêlaient au chant du rossignol et au souffle léger du bois.
Une ivresse envahissait l’oiseau, et sa voix s’accélérant peu à peu comme un incendie qui s’allume ou une passion qui grandit, semblait accompagner sous l’arbre un crépitement de baisers. Puis le délire de son gosier se déchaînait éperdument. Il avait des pâmoisons prolongées sur un trait, de grands spasmes mélodieux.
Quelquefois il se reposait un peu, filant seulement deux ou trois sons légers qu’il terminait soudain par une note suraiguë. Ou bien il partait d’une course affolée, avec des jaillissements de gammes, des frémissements, des saccades, comme un chant d’amour furieux, suivi par des cris de triomphe.
Mais il se tut, écoutant sous lui un gémissement tellement profond qu’on l’eût pris pour l’adieu d’une âme. Le bruit s’en prolongea quelque temps et s’acheva dans un sanglot.
Christian Loverde http://bit.ly/CLoverde
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La Bacchante d’André Lhote Regards croisés sur "la bacchante" d'André Lhote avec JJ Issouli et Isabelle Beccia. Article relatif à la sortie culturelle sur Bordeaux le 19 février 2020.
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alapagedeslivres · 5 years
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Agnès LEDIG : le cimetière des mots doux
Agnès LEDIG : le cimetière des mots doux
Je n’ai aucune catégorie pour classer ce livre sur mon blog puisque je n’ai pas l’onglet “ALBUM”. Cependant, inévitablement, pour poursuivre la lecture de Dans le murmure des feuilles qui dansent, il me fallait ces images et ce texte.
Rappelez-vous… mon coup de coeur pour ce roman ! Agnès LEDIGa signé là un roman poignant, fort et profondément mature que j’ai adoré. Aujourd’hui, elle poursuit…
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Dans le murmure des feuilles qui dansent28 mars 2018 de Agnès Ledig
Dans le murmure des feuilles qui dansent28 mars 2018 de Agnès Ledig
https://www.amazon.fr/gp/product/2226403132/ref=as_li_qf_asin_il_tl?ie=UTF8&tag=ym0e06-21&creative=6746&linkCode=as2&creativeASIN=2226403132&linkId=e7d0766151f31ff70b317c8829fc54e1
Anaëlle, une jeune femme dont la vie a été bouleversée par un accident, se reconstruit doucement, entre son travail et sa passion pour l’écriture. Thomas raconte des histoires merveilleuses d’arbres et de forêt pour…
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000ooooo000 · 6 years
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Dans le murmure des feuilles qui dansent, il y a surtout les petits bouts d'âme de ceux qu'on aime mais qu'on ne peut plus prendre dans nos bras.
Agnès Ledig, Dans le murmure des feuilles qui dansent
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lupitovi · 6 years
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Les feuilles d’automne qui ce matin dansent dans le vent, faisant des révérences en lents menuets, tournoyant prises de vertige en bacchanales, se balançant, hésitantes, sur la pointe des pieds, tandis que le vent murmurait depuis de lointaines collines, et les nuages comme des voiles blanches, voguant dans des cieux limpides vert de glace, ont traverse la palissade et les trois rangs de barbelé; ils ont sauté par-dessus la palissade malgré la baïonnette de la sentinelle. Sous la direction d’un caporal trois soldats en kaki les balaient, balaient les feuilles d’automne des feuilles d'érable cramoisies, éclaboussées de safran, d'ocre et de crème, des feuilles brunes de marronniers… et les feuilles dansent et font la révérence autour des balais, pleines de joie, pensant au voyage que le vent leur a promis. Ce matin les feuilles flottent tapageuse, téméraires, prises de vertige par les danses du vent au-dessus de la palissade verte et les trois rangs de barbelé. Maintenant elles sont balayées et mises dans une poubelle avec des mégots et des chiques mâchouillés de tabac. d'allumettes brûlées, de vieilles chaussettes, de journaux du jour déchirés, et de poussière des couvertures des soldats. Et le vent souffle moqueur au-dessus de la gueule de la poubelle, murmure, Au loin, sur un ton moqueur, Au loin … Et moi aussi je suis balayé et mis à la poubelle avec de la cendre de cigarettes fumées et des chiques mâchouillées de tabac; je suis tombé sous la domination de la grande reine de la poussière… Ennui, déesse de fer, vêtue de toile d'araignée déesse de toutes les choses inutiles, de greniers encombrés de vieilles chaises jamais utilisées depuis des siècles, de solides membres se tortillant sur des tabourets de bureau, d'anciens chevaux de fiacre et de fiacres qui dorment tout le jour dans de silencieuses places ensoleillées, de campements liés avec du barbelé et des palissades vertes — aveugle-moi de ta proche poussière bouche mes oreilles de tes grises toiles d’araignée afin de ne plus voir les nuages qui voguent dans le ciel, loin, moqueurs, pour que je ne puisse entendre le vent qui se moque et murmure et s’en est allé à la poursuite de l’horizon.
John Dos Passos - Ode à l'ennui
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covid3 · 4 years
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J8
Le ciel est devenu si sombre qu’il a fallu allumer la lumière en plein après-midi. On l’a vu arriver, la ouate tendre des nuages si dense qui remuait comme des serpents emmêlés juste au dessus de nos têtes. Et le vent qui se lève... Ma colocataire, le nez collé à la vitre, veille sur le tumulte du ciel. Je l'observe s’agiter dans l’appartement, le regard au ras des pages de mon livre ouvert. Elle fouille dans son téléphone, traverse la pièce, rajuste la pince dans ses cheveux, plonge dans son sac à dos, vire, volte. Elle relève juste le nez pour surveiller la tempête comme le lait sur le feu. Elle m’inquiète dans son urgence, ses yeux si grands et le ciel si noir. J’abandonne définitivement ma lecture et m’approche de la baie vitrée. On ressent avec une certaine tension la puissance qui grandit là, chaque seconde est une nouvelle humeur, une nouvelle couleur sombre. Elle s’approche de moi dans un silence agité, je devine à sa respiration une certaine excitation. « OK, t’es prêt ? » Voilà des mots que j’aurais aimé pouvoir anticiper. Sans attendre ma réponse, elle tire sur la poignée de la vitre qui glisse à la volée. Dans un bruit assourdissant, la tempête s’engouffre dans l'appartement, faisant voler les rideaux, les feuilles de son carnet posé juste à nos pieds. J’ai senti sa main dans la mienne me serrer fort avant de nous précipiter dehors. Elle a eu juste le temps d’appuyer sur play et de lancer son téléphone sur le canapé. La tempête nous percute de plein fouet, on tangue, happés dans les rouleaux des vagues invisibles. Les bras au ciel, mon tee-shirt bat mes côtes, mon ventre. Nos cheveux dansent autour de nos visages, comme deux torchent luttant dans le vent. Dans l’accalmie sourde des tourbillons avant chaque bourrasque, j’entends à peine les sons électroniques de Rone que crache l’enceinte. Les rafales plus intenses les une que les autres nous portent, nous percutent, et ça me fait du bien. Des branches s’envolent, des pancartes tremblent, et nous, on se cramponne dans le vent, sentant les premières gouttes nous fouetter le visage. Le temps d’y penser et un rideau de pluie s’abat sur nos cris de surprise. Je le sens dans ma gorge, racler toute l'impuissance de notre sort, de la frustration, de la joie. Inaudible offrande, délivrance délicieuse. Sous le courroux celeste qui nous trempe jusqu’à l’os, j’ai comme un sentiment doux qui m’enveloppe, une sensation de ne plus sentir la pesanteur de la vie. Nous ne sommes rien, nous sommes nous. Je ferme les yeux, et c’est son visage que je vois, celui d‘il y a quelques minutes entrain d’écrire dans son carnet. Quand j’ouvre les yeux, c’est encore son visage que je vois, les cheveux collés à ses joues, les larmes de pluies qui glissent à l’horizontale défiant toute loi de gravité. Nos corps ne touchent plus sol, et nos âmes se fracassent l’une sur l’autre au grès des bourrasques délicieuses. Je tire sur la main qui ne m’avait pas lâchée pour retourner nous abriter. Le retour au calme n’est qu’une illusion car l’enceinte nomade crache tout ce qu’elle peut sur la table basse.
Après la tempête du dehors c’est la tempête du son dans nos corps. Le mouvement, libre, le son, un moteur. Nos âmes siphonnées en veulent encore. On danse, trempés, éclaboussant le présent, sautant à pieds joints sur le canapé, jusqu’à la fin du morceau. Je reste accroché à elle sans vraiment savoir pourquoi. J’ai attrapé une serviette oubliée sur le fauteuil et commence à essuyer son visage, les cheveux. La lumière rouge qui baigne la pièce clignotait parfois. Elle me laisse faire dans un silence religieux, les prunelles aussi calme que la tempête est tourmentée. J’ai l’impression qu’elle me regarde comme une icône, je sens presque mes contours se détacher dans la lueur criarde des néons derrière moi. Elle écarte des boucles qui perlent sur mon visage pour mieux me voir. Elle penche la tête sur le côté pour que j’essuie son cou, puis baisse les bretelles de son débardeur pour le faire glisser jusqu’à sa taille. D’une main, elle remonte la bretelle de son soutien gorge sur son épaule sans dire un mot. Je la regarde se dénuder, son short qui tombe de ses fesses, prends le temps d’admirer la course des gouttes qui roulent sur sa poitrine avant de s’échouer au creux de la dentelle noire. Je caresse avec la serviette sa gorge et dessine le rond de ses seins emprisonnés dans leur cocon de soie. Ses mains guident les miennes avec précaution avant de me libérer de ma tache. Elle s’approche et relève le tee shirt qui colle ma peau par dessus ma tête avant de l’abandonner à nos pieds. À son tour, elle essuie du bout des doigts chaque centimètre de mon torse. Elle est si proche que je sens contre ma peau la chaleur de son corps irradier. Elle descend encore, glissant tout contre mon ventre, effleurant l’orée de mon nombril, et continue jusqu'à mes chevilles, pour remonter contre moi, a demi nu. À bout de souffle, au bord du précipice que sont ses lèvres, je voudrais y plonger. Mais son regard m’habite, profond abîme, je cours à ma perte si je le lâche d’un cil. C’est si intense que je sens son désir en moi, il me traverse, courant électromagnétique. Je veux la goûter, je veux la prendre, exécuter sa volonté. La fleur de sa peau frissonne sous mes mains. Elle ne bouge pas et pourtant, c’est bien sa langue qui pénètre ma bouche, lèche mes lèvres. Elle m'embrasse sans me toucher. Quelle est cette drogue, cette sorcellerie ? D’un regard animal qui me tient a distance je sens pourtant mes sens brûler. Je le sens, sa respiration devient profonde, saccadée. L’iris de ces yeux s’ouvre comme une anémone, et je la sens jouir en moi. Irruption solaire et brutale qui me coupe le souffle, mon plaisir jaillit de plus belle et nous percute. Dans le déchaînement de la tempête, c’est Tokyo tout entière qui vibre et craque avec nous. Nos corps tremblent sous cette déflagration exquise qui se mélange avec langueur. Il nous a fallut quelques minutes pour reprendre notre souffle, reprendre possession de nos moyens. On s’enroule dans le plaid sur le canapé qu’on a tiré face à la fenêtre, regardant la tempête dehors comme un écran de cinéma. On dirait presque que les immeubles penchent tant les câbles et les grues au loin sont battus par le vent. Comme à mon habitude, je la regarde regarder. Mais ces yeux sont posés sur le sol. Devant nous, je découvre alors son carnet, ouvert, gisant dans la flaque du typhon qu’elle a invité. Les pages lavées de toute leur encre font naitre une larme au coin de ses yeux qu’elle essuie dans la seconde. Elle pose sa tête sur mon épaule et brise le silence pour murmurer: « Je voulais te dire un truc, mais j’ai oublié. »
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Et voilà ! La moitié de l’année 2020. Cette année apocalyptique qui n’en finit pas et qui, à la fois, passe beaucoup trop vite. Qui dit moitié de l’année dit aussi BILAN. Voilà pourquoi j’ai pensé faire un petit article pour vous situer où je me trouvais niveau lecture après ce premier semestre.
On fait le point de toutes les manières possibles : challenge Goodreads, challenge crayonnage ainsi que le top 5 de mes plus belles lectures jusqu’ici. C’est parti !
Challenge Goodreads
Il se porte plutôt pas mal puisque j’ai une avance de 8 livres sur mon challenge de 100 lectures pour l’année 2020. Je vais être bien occupée dans les mois qui viennent (bébé arrive en octobre…) mais je pense que tout est encore faisable, surtout avec les quelques semaines de congé qui m’attendent 🙂
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Mes 5 plus belles lectures
La chambre des merveilles
Dans le murmure des feuilles qui dansent
Troisième humanité
Red Queen
Demain j’arrête
Ma fresque crayonnée de 2020
C’est devenu un rituel de crayonner les tranches des livres que je termine de lire. Comme un moyen de leur dire merci et au revoir après leur passage entre mes mains. Petit à petit… la voici qui grandit ! Et cela fait une super déco dans mon salon et un chouette moyen de visualiser tout ce que j’ai lu cette année.
#gallery-0-10 { margin: auto; } #gallery-0-10 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-10 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-10 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
… et bien entendu, une petite vue d’ensemble pour apercevoir cette beauté dans son entièreté 🙂
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Je vous souhaite à tous un très bel été !
☀️☀️☀️
[Bulletin du premier semestre 2020] – Crayonnage et top 5 de mes lectures Et voilà ! La moitié de l'année 2020. Cette année apocalyptique qui n'en finit pas et qui, à la fois, passe beaucoup trop vite.
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