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#Elena et les Hommes
byneddiedingo · 1 year
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Ingrid Bergman and Mel Ferrer in Elena et les Hommes (Jean Renoir, 1956)
Cast: Ingrid Bergman, Jean Marais, Mel Ferrer, Jean Richard, Juliette Gréco, Pierre Bertin, Dora Doll, Frédéric Duvallès, Renaud Mary. Screenplay: Jean Renoir, Jean Serge. Cinematography: Claude Renoir. Production design: Jean André. Film editing: Boris Lewen. Music: Joseph Kosma.
Like French Cancan (1954) and The Golden Coach (1952), this is one of Jean Renoir's brightly Technicolored entertainments, with ravishing cinematography by his nephew, Claude Renoir, that recalls the rich colors of the paintings by Jean's father and Claude's grandfather, Pierre-Auguste Renoir. And like many of those paintings, the movie opens itself up to criticisms of possessing more style than substance. Elena et les Hommes, which was originally released in the United States under the title Paris Does Strange Things and now bears the title Elena and Her Men, is a giddy, somewhat brainless romp whose chief claim to our attention is that it was the first film Ingrid Bergman made after her break from Roberto Rossellini, who starred her in serious dramas in which she was put to extremes of emotional torment. Making Elena must have been an enormous relief for her, because it shows: She has never been more beautiful onscreen, wearing the opulent finery of 1880s Paris. She has also never been more lively or funny, throwing herself with complete abandon into the nonsense of the plot. It makes me regret that she did so few comedies: Only Indiscreet (Stanley Donen, 1958) and Cactus Flower (Gene Saks, 1969) gave her a real chance to lighten up the way Renoir's film does, although she showed her comic skills by parodying her more glum roles, especially the doughty missionary in The Inn of the Sixth Happiness (Mark Robson, 1958), in her Oscar-winning performance in Murder on the Orient Express (Sidney Lumet, 1974). It's too bad that her leading men in Elena aren't up to her standards: Jean Marais looks like he doesn't understand what's going on (which is understandable when so much is), while Mel Ferrer looks like he gets it but can't quite overcome the handicap of being Mel Ferrer when what is needed is a Cary Grant or a James Stewart to match Bergman's skills.
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payidaresque · 1 year
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Ingrid Bergman as Princess Elena Sokorowska Elena et les hommes (1956)
Costume design by Rosine Delamare Monique Plotin
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nowvoyagerit · 3 months
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Ingrid Bergman and Mel Ferrer in Elena et les hommes (Jean Renoir, 1956)
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Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
"sur la route de l’Espagne..".
Une autre soirée avec Ana, peu de temps après avoir quitté Toulouse et notre adorable amie Elena (je vous raconterai prochainement nôtre dernière soirée commune avant notre départ, mais aussi la suite de cette soirée préhispanique) fut aussi propice a réellement me conforter dans mon attirance, que dis-je ma conversion et ma future dévotion au Candaulisme...
Nous avions promis à Elena de passer au retour sur Toulouse.
Elle était déjà impatiente de nous retrouver et surtout, au vu de nos inclinaisons actuelles, elle comme nous, qu’on puisse se raconter et partager nos aventures de vacances. Ce serait assurément un moment grandiose.
Nous nous mîmes en route tôt pour Perpignan et plus exactement Paulilles, une petite anse de bord de mer magnifique sur le littoral, entre le cap Béar et le cap Oullestrell.
Un site classé en réserve naturelle avec un paysage à couper le souffle et l’immensité d’un parc très agréable d’une ancienne usine désaffectée (Usine Nobel, fabricant de dynamite).
Des plages magnifiques. Bref un petit coin de paradis à côté des immenses et parfois trop impersonnelles stations de la côte Catalane.
L’un de mes amis proches, Robert, y avait été affecté pour l’été à la surveillance des plages.
Je lui avais promis de passer lui dire bonjour et Ana qui avait fait sa connaissance quelque mois plus tôt l’avait beaucoup apprécié.
Aussi avions-nous convenu d’un rendez-vous le soir même en bord de plage où il y avait depuis peu un restaurant et une petite boite de nuit.
Nous avons déjeuné et passé une partie de l’après-midi dans la superbe ville de Perpignan et j’étais réellement fier de m’y promener avec Ana qui pour l’occasion s’était vêtue d’une très belle et courte robe d’été...
Elle était réellement superbe...
Tous les hommes la remarquaient et j’avoue que cela me rendait heureux tout comme elle, qui semblait si heureuse et épanouie. Encore plus me semblait-il depuis l’épisode de sa dernière rentrée universitaire et le fait qu’elle se sache avec moi maintenant complétement libre, libérée et en peine confiance...
C'était ça et aussi surtout ça le Candaulisme pour moi.
Nos dernières soirées Toulousaines et son séjour chez Elena, avaient amplement confirmé nos choix de style de vie : Hot-Wife pour elle et Candaulisme certifié pour moi.
Comme déjà évoqué, nous ne portions jamais de sous-vêtements et si pour moi ce n’était pas si flagrant de le remarquer, pour Ana qui s’amusait si subtilement et savamment à en jouer c’était beaucoup plus évident et nous donna l’occasion de « teaser » un jeune serveur du restaurant où nous avions déjeuné.
Ana bien que ne portant absolument rien avait gardé par habitude et précaution un string blanc et minuscule dans son sac à main.
Aussi lui vint l’idée de faire semblant et d’être surprise à le retirer lorsque le serveur vint prendre la commande...
Elle le fit si bien qu'il en rougit et cela amusa Ana.
J’étais spectateur et si heureux en l’instant de l’être.
Là aussi le Candaulisme me l'avait appris...
À chacun de ses passages à notre table, elle s’amusait à prendre en main ostensiblement ce tissu affriolant mais aussi à en parler suffisamment fort pour qu’il entende (je pense même que les tables voisines entendaient...) quelques phrases du genre :
« Tu vois Chéri, je l’ai fait...Je l’ai enlevé comme tu le souhaitais... Tu sais que je ne peux rien te refuser mon coquin...Tu me veux salope...je suis ta salope... ! »
Mais aussi :
« Il était si mouillé – elle avait versé dessus de l’eau de la carafe avant l’arrivée du serveur à notre table- j’ai tellement toujours envie de toi, tu sais mon Amour... »
Elle termina par lui laisser comme pourboire, bien en évidence sous un billet de cinq Euros...
« Tu crois qu’il va bander, me dit-elle en m’embrassant et tout en le fixant du regard et lui adressant un sourire de vraie chienne... ? Peut-être même aller se branler de suite dans les toilettes... ? Non... ? »
Bref, ça plus quelques autres provocations dans la rue en remontant négligemment sa robe sur ses fesses altières et autres audaces vestimentaires déboutonnant de plus en plus sa robe que ce soit en bas ou en haut, rendaient l'après-midi très savoureux et délicieusement chaud et coquin...
Ses seins magnifiques débordaient d’amour et offraient le vertige aux passants tandis que son déhanché naturel accentuait irrémédiablement l’ouverture du bas de sa robe et la vue quasi immanquable de la naissance du galbe de ses fesses mais également parfois de sa vulve...
Sans trop s’en rendre compte (?), c’est aussi et surtout moi qu’elle avait « teasé » tout au long de l'après-midi... !
Aussi, le reste du parcours après avoir repris la route, je ne pu m’empêcher de la doigter...
Son sexe largement ouvert était d’une chaleur, d’une douceur et d’une moiteur absolument folles...
Elle jouit... Je bandais...
J’avoue que j’aurais aimé et même sûrement mérité qu’on aille plus loin et qu’on fasse l’amour...Mais je n’étais pas si impatient...Je savais que nous en aurions la possibilité très rapidement et j’aimais beaucoup aussi, tout comme elle, à jouer à nous « chauffer » et à rester dans une « zone d’attente », tout à la fois coquine et frustrante mais si délicieuse pour qui sait guetter et attendre l’instant paroxysmique qui en découlait immanquablement à chaque fois...
Nous adorions en jouer l’un et l’autre...C’était trop bon...
 Robert, Bob pour nous, ravi de nous revoir, venait de terminer son service et nous invita au café restaurant de la plage pour nous désaltérer. Il était beau, bronzé, charmant et très attentionné.
Il nous fit part de son idée et de ses projets pour la soirée, nous indiquant qu’il serait vain de vouloir se reposer avant deux heures du matin vu la proximité et les horaires de la boite de nuit jouxtant la cahute où nous devions passer la nuit. Il nous informa également, si cela ne nous embêtait pas, que deux de ses récentes amies se joindraient à nous.
Nous lui avons indiqué, pardon, Ana lui a indiqué que nous étions à sa disposition et que plus il y avait de fous, plus il y avait de plaisirs...
Ana était ainsi et ce dont on aurait fait comme reproche de sans gène à d’autres personnes et dont on aurait pu se moquer, Ana faisait passer cela avec un si beau sourire et avec une telle candeur, qu’on la pardonnait volontiers tous ses lapsus...
Elle avait une mémoire assez approximative et souvent « arrangée » des maximes et interprétait souvent à sa façon les citations...
Parfois même elles se transformaient en suggestions quasi explicites de ses sentiments et cela pouvait être torride...
Je pense que Bob en avait plutôt été amusé et le connaissant, ravi...
Je poussais parfois des petits « oh... ! » devant ses répliques spontanées et dynamiques, mais j’en était absolument toujours amusé et bien souvent même, au final, très heureux.
On ne s’ennuyait jamais avec Ana !
Dans l’attente de l’arrivée de ses amies, Clara et Laura, nous avait-il annoncé, Bob nous emmena faire une balade en zodiac avant de diner.
 Nous en avons apprécié la fraicheur après cette longue journée de route due aux bouchons des vacanciers et touristes – nous étions un samedi - jour des arrivées et départs des locations-
Cependant être bloqué et retardé sur une des plus belles routes en corniche de bord de mer desservant de très nombreux et pittoresques villages, n’avait pas non plus constitué un enfer insurmontable, ce d’autant que je j’avais pu ainsi doigter Ana tendrement et très longtemps.
Nous pûmes, et Ana apprécia réellement, prendre un bain un peu plus au large où la fraicheur de l’eau nous requinquât facilement de cette journée passée dans la ville et la voiture.
Personne n’avait prévu de maillot mais aucun d’entre nous ne fut en peine de se mettre nu pour se baigner.
Je remarquais qu’entre Ana et Bob les regards corporels étaient réciproques et je m’en amusais délicieusement.
Bob était généreusement doté par la nature et son physique entretenu sur un bronzage parfait le rendait réellement sexy...
Je les connaissais tous les deux intimement, j’avais fait beaucoup de sport avec Bob, et si nous devions aller plus avant dans nos échanges, je savais que cela serait plaisant pour tout le monde...
Peut-être même l’espérais-je secrètement...
C’était aussi cela mon Candaulisme...
Oser faire profiter ses amis de ses "trésors" et les partager... !
En serais-je capable ?
Bob était un ami... ! Un très bon ami !
Nous n’en avions pas parlé avec Ana mais depuis cette histoire de la rentrée universitaire passée et tout ce que nous avions vécu à Toulouse, ce n’était pour moi qu’un détail que mes pensées même les plus osées soient parfois devancées par les audaces et l'imprévisibilité d'Ana, tant notre relation avait évolué favorablement vers nos désirs les plus profonds et secrets entre elle et moi.
Il s’était instauré une si belle et tendre complicité, parfois même sans concertation et tout en provocation ou test (l’expérience du serveur de ce midi m’en était la preuve...)
Nous n’en avions nullement discuté. Nous étions sur la même longueur d’ondes et même si ses audaces, que j’appréciais au plus haut point chez Ana et que j’apprécie chez les femmes en général, me surprenaient souvent, je ne tardais jamais à la rejoindre tant cela correspondait à ma nature profonde...Mon éducation m’avait parfois retenu ...Elle, elle savait me toucher au plus profond de mon être, me faire réfléchir et sortir, pour mon bonheur, le sien et celui de notre couple, de ma zone de confort...
Je ne l’ai jamais regretté...
Les amies du moment de Bob, charmantes, étaient arrivée à la cahute à notre retour de Zodiac.
Maître-nageur facilite manifestement les contacts et intérêts, et nous préparâmes pour aller au restaurant avant que la boite de nuit n'ouvre vers 23 heures.
 Elle fermait vers 2 heures du matin, arrêté municipal oblige, Bob nous l’avait indiqué mais les échanges entre les fêtards se produisaient en amont et surtout après sur cette même plage...
Il y avait déjà beaucoup de monde qui attendait...Il devait être un peu plus de vingt et une heures.
Ana était vraiment charmée par Bob, je le voyais. Je m’en réjouissais même.
Bob était vraiment un ami.
Ce que nous avions vécu à Toulouse que ce soit dans le restaurant Tex-Mex et surtout après (je vous le raconterai plus tard) avec Elena et quelques-uns de ses amis m’avait conforté dans mes désirs et envies Candaulistes tandis que je remarquais qu’Ana s’y retrouvait tout autant sinon plus encore que moi ...
Elle aimait être belle et elle l’était, être au centre des attentions, parfois même provoquer...
Elle était belle radieuse, lumineuse, détendue, heureuse...
Je la voyais en permanence rire, sourire et cela me convenait parfaitement. Cela m’enchantait et me faisais en retour le plus grand bien...
Je me sentais tellement heureux, en confiance, encore plus homme... !
C’est assez paradoxal de dire cela tandis qu’on autorise d’autres mâle à courtiser sa femelle et même parfois à la saillir, mais cela me rendait dix fois plus sûr de mon attrait, ce qu’Ana me confirmait jour après jour en me revenant quoiqu’il arrive encore plus et toujours amoureuse.
Je ne doutais plus de moi...Je ne doutais plus d’elle...On partageait tout en confiance et en bonheur...Et même les partages en devenaient plus intenses et s’inscrivaient dans le temps de par les souvenirs tendres qu’ils nous laissaient immanquablement...C’était comme si, au lieu de les vivre une fois, de « consommer » un ou des plaisirs, ils s’additionnaient sans cesse et se potentialisaient.
J’avoue alors que j’étais maintenant sans cesse curieux, voire excité, tant je connaissais les regards de mon amie, ses attitudes, ses envies qui rejoignaient, voire anticipaient, bien souvent les miennes... Je les vivais avant, pendant, après...
Le candaulisme avait pour moi cette vertu de catalyser, d’exacerber nos relations et les rendaient irrésistibles, divines, mille fois plus intense...
C’était comme savoir perdre ou lâcher pour gagner plus encore...Plus encore même que l’on peut imaginer...Oui c’était réellement un bénéficie tel que même nos imaginaires ou plutôt nos habitudes s’en trouvaient chamboulées, rendues caduques devant tant de jouissances et réjouissances proposées et surtout vécues...
Oui, c’était tout cela qui se manifestait à moi et devant moi maintenant, devant Ana, devant nous.
Un espace incommensurable de libertés, de bonheurs, de récompenses...
Mon ami Bob, mâle assuré et extraverti n’avait aucune peine à voir que nous étions heureux.
Il était également heureux que nous nous soyons arrêtés...
Il nous avait indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un grand confort dans ce qui lui servait de logement, en fait le local SNSM du site, et s’en était par avance excusé nous disant que nous n’aurions que des matelas gonflables dans un espace exigu pour trois pour toute couche et que la douche ne serait que celle de la plage une fois les vacanciers partis où avant qu’ils ne reviennent.
Je connaissais auparavant les lieux car j’y avais moi-même été Maître-Nageur quelques étés auparavant et Ana avait trouvé que cela serait sûrement une expérience intéressante et sympathique, en tout cas certainement un agréable souvenir...
La soirée fut assez arrosée et les esprits ne tardèrent pas à s’échauffer...
Bob nous proposa à l’issue du restaurant et dans l’attente que la boite n’ouvre de goûter un petit Banyuls qu’une charmante plagiste qu’il avait parfaitement comblée et sautée lui avait récemment offert...
Bob était un « chaud-lapin » et un insatiable baiseur.
C’est d’ailleurs ce qui nous avait fait nous rencontrer et même détester dans un premier temps au sein de notre club de musculation puisque nous avions jeté notre dévolu sur la même et accorte jeune femme....
Nous avions à terme sympathisé et fini par proposer à la belle de l’époque un plan à trois qu’elle n’avait pas accepté, nous traitant publiquement et en peine séance de cardio dans une salle pleine, de dépravés, pervers et autres amabilités...
Elle ignorait que c’est ce qui nous fit devenir encore plus amis et même, si elle avait su la belle, nous offrit de multiples occasions de trios et autres parties fines avec quelques femmes ayant assisté à l’esclandre mais qui elles, loin de nous juger, profitèrent pleinement de nos désirs, saisissant l’opportunité de savoir que deux libertins gaillards pouvaient proposer ce genre de chose...
Ce qui me rassurait aussi de lui.
Je savais qu’il était tout autant partageur que moi et que seul le sexe l’intéressait...
Il aurait pu faire un parfait Candauliste s’il n’avait pas accordé trop d’importance au challenge, à la compétition et donc aussi souvent au jugement et à la jalousie...
Un trop plein d’égo jouait aussi en sa défaveur ainsi qu’une culture « machiste » exacerbée par une éducation stricte à l’Italienne donnée par son beau-père pour admettre un instant que d’autres que lui puissent toucher celle qui serait sa « Madonne »).
Dans l’attente de l’ouverture de la piste de danse, il nous invita à nous installer sur une petite digue bétonnée surplombant l’anse un peu à l’écart et permettant d’admirer le coucher de soleil...
Chacun d’entre nous s’installa ainsi sans ordre pré-établi mais pour autant, c’est en quinconce que nous nous retrouvâmes : une femme, un homme (moi), une femme (Ana en l’occurrence), un homme (Bob) et enfin sa seconde amie ...
Nous nous étions serrés du fait de l’angle de vue du soleil couchant à cet endroit et nous étions très proches les uns des autres...
Bob déboucha la bouteille de vieux Banyuls à la couleur mordorée.
Nous admirions la beauté du site et la descente lente et majestueuse du soleil dans la mer... On aimait ainsi toutes et tous la beauté et le charme du lieu. La soirée était vraiment très agréable.
La gourmandise du vin gorgé de sucs et de soleil, d’un bonheur et une douceur incroyable, ne tarda pas à nous enjouer plus encore...
Ana m’embrassait de temps à autre et se lovait tendrement contre mon épaule...
Bob n’était pas en reste avec sa voisine de droite...
À un moment celle-ci osa même caresser et taquiner Bob, d’abord sur ses cuisses fuselées et musclées, puis par-dessus son short au point de le rendre assez visiblement bandant...
Ana s’en aperçu aussi et me demanda à l’oreille si, et c’était son péché mignon que de caresser un sexe offert et tendu près d’elle ou vers elle, elle pouvait se joindre à la belle pour profiter pleinement de l’instant :
« On est là aussi pour ça, non, c’est les vacances ? me dit-elle en me glissant un clin d’œil... ça t’ennuie si c’est avec Bob ? Profite aussi mon chéri...L’autre amie de Bob, Clara je crois, serait déçue de ne pas participer...Tu as vu comment elle te dévorait des yeux pendant le dîner ? Elle est belle non, me dit-elle en riant ? Je sais qu’elle te plait tout comme tu sais que Bob me plait... ! »
Que lui répondre, je n’en eu pas le temps d’ailleurs, si ce n’est qu’en lui adressant un vrai regard complice et un baiser tendre et passionné, lui signifiant entre autres :
« Va ma belle, sois belle...Sois heureuse, fais-toi plaisir...Prends et donne du plaisir...Je suis si amoureux et fier de toi...Que puis-te refuser... ? »
« T’inquiètes...dit-elle partant d’un éclat de rire que tout le monde put entendre, je m’occupe de lui et reviens vers toi aussi, tu connais ma gourmandise... ! »
Aussi, Ana saisi de sa main gauche mon membre qui n’avait pas lui non plus tardé à gonfler au travers de mon léger pantalon de soirée, le sortit de son écrin (on ne portait ni elle ni moi aucun sous-vêtement en été...) et commença à me masturber adroitement et plaisamment.
Dans le même mouvement et alors que l’amie de droite de Bob avait elle aussi dégagé le splendide sexe de Bob de son short trop moulant pour le caresser plus aisément, Ana se pencha et engloutit avidement l’engin de mon ami, grillant un peu la priorité à Laura en impatiente gourmande...
Laura, l’amie audacieuse de Bob ne s’en offusqua pas et caressa même tendrement les cheveux ondulés d’Ana tout en encourageant son initiative en aidant le mouvement de tête de ma belle prenant à pleine bouche l’engin majestueux de mon ami...De son autre main elle dégagea habillement les pointes déjà hautes et acérées des seins sublimes d’Ana pour les caresser en les effleurant...Ana émettait déjà de doux et si plaisants gémissements qui ravissaient tout le monde...
La nuit nous avait fort heureusement déjà légèrement couverte de sa discrétion et peu de personnes malgré le monde présent sur la plage pouvait nous voir ou nous entendre...
Aurait-ce d’ailleurs été un drame tant il me semble que le spectacle que l’on offrait pouvait être assez sensuel et beau...
Ana étant néanmoins de nature partageuse, ne tarda pas à laisser et partager le sexe de Bob qui devenait turgescent et impatient...
Ana revint ainsi comme promis vers moi et m’engloutis à mon tour tout en attrapant la main de Clara, l’autre amie de Bob assise à ma gauche, pour la diriger vers la base de mon sexe complétement sorti et accessible. Elle lui signifia de me caresser les couilles que j’avais par nature fermes et développées...
Pendant ce temps, mes mains avaient elles aussi pris le chemin de la chatte de ma voisine que je trouvais entrouverte et déjà humide sans aucun sous-vêtement sous sa courte jupe d’été...
Ses seins dardaient également sous le mini haut qu’elle portait et mes lèvres furent irrépressiblement attirées par ses pointes majestueuses...
Nous formions alors un îlot et une chaîne d’amour.
Je crois que c’est aussi réellement cette capacité de partage absolu et d’amour du beau qui définissent le Candaulisme...J’en suis convaincu.
Le soleil s’était maintenant éclipsé en grande partie tandis que nous ne commencions qu’à nous élever vers nos plaisirs et jouissances partagées et à nous engouffrer dans une pleine et entière nuit d’amour...
C’était certain...
Bob osa un : « On n’est pas bien là... ? », et la nuit débuta...
Bob s’était levé et les deux belles, Ana et Laura s’étaient mises à genoux devant son mat « bordé » à mort pour l’emboucher et le partager savamment tour à tour...
Il les accueillait dignement et de ses mains les encourageait à venir au plus loin de son bout...
De son côté Clara, à peine Ana m’avait-elle délaissée pour goûter pleinement au fier mât de Bob, s’était directement empalée sur mon dard le recouvrant de son cul et l’insérant adroitement dans sa fente déjà brûlante et inondée...
Je l’aidais délicatement en prenant à pleines et douces mains ses fesses charnues en la levant selon ses désirs et les rythmes qu’elle souhaitait...
Ana se redressa et se mit debout, laissant Bob se laisser dévorer par sa copine et vint placer au plus près de ma bouche sa chatte impatiente : « Dévores-moi mon Amour...Bouffes-moi la chatte comme tu sais si bien le faire...Chauffes-moi...Rends-moi liquide et chaude comme cet après-midi dans la voiture...Je veux que Bob quand il aura joui une première fois dans la bouche de sa copine me prenne en levrette devant toi... Je te sucerai aussi en même temps quand Clara aura bien fini de t’exciter...
Nos copines nous caresserons alors de partout avant que chacune d’elle vienne prendre ma place, que vous les honoriez, les baisiez et qu’on vous fasse jouir comme jamais vous n’avez joui vous les hommes... »
Souvent, les audaces et envies d’Ana dirigeaient les ébats...Il en fut encore le cas ici...
Les deux amies de Bob s’exécutèrent comme captivées et envoûtées par les désirs d’Ana qui venait les encourager tout à tour de ses mots crûs et choisis qu’elle leur glissait à l’oreille et des caresses adroites et précises de ses mains...
Ce fut une apothéose de jouissances avant qu’Ana, une nouvelle fois directrice, nous invite à la suivre dans le noir bleuté de la mer si proche, pour un bain de minuit revigorant...
J’ai pu la prendre tendrement un instant dans mes bras tout en la perforant de mon sexe de nouveau bandant et partageant nos « je t’aime » tout aussi vrais qu’intenses...
Bob s’occupait de ses deux amies pas très loin de nous dans cette mer si belle et accueillante...
Nous nous rhabillâmes tranquillement au milieu d’autres personnes dont la nuit maintenant tombée pouvait à peine nous cacher les ébats et nous dirigeâmes vers la cahute de la SNSM pour tous nous refaire un visage humain à la lumière d’une frontale avant de rejoindre la boite et sa piste bondée où nous nous mirent à danser et de nouveau à picoler...
La soirée n’était visiblement pas terminée...
Il devait être une heure du matin maintenant...
Un peu avant et pendant qu’Ana se refaisait une beauté, elle était incroyable d’aisance dans ce domaine tant en peu de temps et avec peu de chose elle semblait sortir tout droit d’un magasin chic, fashion et à la mode..., je discutais avec Clara et Laura de leurs vacances dans cet endroit...
Elles y étaient pour une semaine et avaient rapidement fait connaissance de Bob qui les avait déjà invitées dans la boite de nuit et s’étaient retrouvées à le câliner à deux, une première pour elles m’avouèrent -elles, dans cette même cahute que nous devions occuper ce soir avec Ana et Bob, un ancien casot de la vigne proche où nous aurions à passer la nuit.
« Ne t’inquiète pas me dit Clara avec son franc sourire et sa confiance tout en adressant un clin d’œil à Laura, il y a de la place pour trois...Il faut juste être comme nous partageurs et visiblement vous l’êtes, me dit-elle, en me caressant l’avant-bras... C’est bien...Ana est superbe, tu as beaucoup de chance »
« Est-elle réellement bi, me demanda innocemment Laura (?) ou est-ce juste par jeu qu’elle nous a caressée ? Clara et moi le sommes. Nous vivons aussi en couple, comme vous, et nous autorisons à draguer les hommes, souvent le même, ce soir étant une exception car vous êtes deux avec une si charmante femme, nous nous ressemblons tellement dans nos goûts... 
Oui, je te demande ça car Ana est vraiment douée pour caresser les femmes...on en a parlé avec Laura et on ne sait pas si elle est bi...Quand nous dragons une femme bi, ce qui est très rare car il faut vraiment qu’elle nous plaise à toutes les deux, nous nous demandons la permission avant et il faut que toutes les deux on accepte...C’est notre code et notre conduite ...Là, vous nous avez un peu surpris et nous ne savions pas toutes les deux si nous pouvions nous lâcher avec elle... Bob ne nous avait parlé que d’amis venant le rejoindre... ! On n’en avait pas parlé avant, Bob et toi étaient là et nous ne savions pas si vous aussi vous aimiez voir et regarder des femmes entre elles...On ne connaissait pas Ana et ne savions pas si elle aimait les femmes... ? Il semble que oui...ou en tout cas ce serait dommage qu’elle ne soit pas bi... Vraiment dommage... !
Elle est si attirante, belle, radieuse et lumineuse...Laura est d’accord aussi pour la draguer et aller plus loin avec elle...Tu penses que c’est possible ?
Que répondre à ces gourmandises ?
Il y a quelques mois, j’aurais pu hésiter mais là non...
Plus du tout même après tout ce qui s’est passé à Toulouse avec Elena et d’autres encore ...
« Oui, oui et oui les filles, mais attention, elle est aussi douée avec et pour les femmes que pour les hommes...C’est à vos risques et périls...Tu as vu tout à l’heure comment elle est capable de prendre les choses en main... »
Cette expression la fit éclater de rire tandis qu’Ana apparaissait effectivement magique et envoûtante...
« On parle de moi..., dit-elle d’un sourire faussement jaloux...Attention, j’aime ou je pourrais aimer !
Tu peux y aller mon Chéri...
Venez les filles, pendant qu’ils se préparent à leur tour, on va dire du mal de nos hommes, de la soirée et pourquoi pas se faire un plan cul entre filles vu qu’on les a déjà sûrement pas mal usés...Et pourquoi pas aller mâter d’autres mecs... ? Il doit bien y en avoir des canons dans cette boite... Et les nôtres sont certainement déjà fatigués », ajouta-t-elle, fidèle à son goût de la provocation...
Laura et Clara étaient rassurées, riaient aux éclats, déjà séduites et impatientes du reste de la soirée...
Oui, c’était vrai que j’étais chanceux d’être le partenaire d’Ana et plus encore depuis cette soirée estudiantine et le début de nos vacances de cette année...
Ana avait franchi un cap vers son épanouissement sexuel dont je profitais et me ravissais avec délectation et gourmandise tant c’était également ce à quoi j’aspirais depuis toujours...
Mon Candaulisme longtemps refoulé et surtout mal cerné m’apparaissait aujourd’hui au grand jour, et vu qu’il était pleinement et entièrement partagé par Ana, que pouvais-je demander de mieux... ?
J’étais aux anges et sur mon petit nuage depuis quelques jours et l’avenir, déjà cette soirée, s’annonçait réellement radieux.
Suite prochaine...
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moon-girls-stories · 2 years
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~ The Vampires Diaries ~ Mikaelson’s Brother X Sis!Reader
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Synopsis : Tu es la soeur adoptive des Mikaelson. Lors de leur fuite il y a mille ans, tentant d’échapper à Mikael, ils t’ont abandonnés à lui.  A présent tu les retrouves à Mystic Falls, le coeur rempli de colère, l’envie de vengeance coulant dans ton sang depuis mille ans. Les rumeurs sur le nouvelle doppelgänger sont aussi revenu à tes oreilles et tu comptes bien faire tout ce qui est en ton pouvoir pour mettre des bâtons dans les roues de ton chère bâtard de frère.
Point de vue omniscient :
-Klaus, calme toi, rappelle toi que nous devons trouver un arrangement sans bain de sang. Rappel Elijah alors qu’il force son jeune frère à se rassoir sur le canapé en cuir marron.
L'hybride émet un sifflement d’agacement avant de se laisser faire. Damon tient fermement le bras de Elena dans sa main, la gardant proche de lui au cas où Klaus décide de rompre leur contrat. Stefan est installé en face de Klaus, un air sérieux plaqué au visage.
Tout d’un coup les portes de la maison Salvatore s’ouvre en grand, laissant apparaître une jeune femme brune tenant fermement la gorge de Matt, prête à lui briser la nuque à tout moment. Stefan se lève rapidement, ne comprenant absolument pas ce qu’il se passe. Damon emmène Elena à vitesse vampirique en dehors de la maison, partant aussi loin qu’il le peut. Il ne sait pas qui elle est mais il ne veut prendre aucun risque avec les originels dans les parages.
La jeune femme relâche le jeune homme et l’hypnotise avant de le faire repartir chez lui. Elle entre sans aucun problème dans la maison avec un grand sourire.
-Asteria. Murmure Klaus entre ses dents alors qu’il se relève à son tour. 
-Je t’en prie Eli, toi comme moi savons que cet accoutrement de gentleman n’est qu’un déguisement. Tu es ridicule.
-Cela faisait bien longtemps. Gronde Elijah, ignorant la remarque de sa soeur adoptive.
-Mille ans pour être exact. C’est marrant le destin… Je vous retrouve tous les deux là où vous m’avez abandonné lâchement à Mikael.
-Cela ne s’est pas passé comme ça. Se défend Klaus en avançant d’un pas, visiblement touché par la présence de la jeune femme ainsi que par ses paroles.
Asteria s’approche de Stefan qui plisse les yeux. Elle lui tend sa main qu’il serre, incertain, ne sachant pas comment réagir face à cette femme qu’il ne connaît absolument pas.
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gatutor · 1 year
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Cartel película "Elena y los hombres" (Elena et les hommes) 1956, de Jean Renoir.
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aramielles · 1 year
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Il y a quelque chose chez Tchekhov qui est magnifique, et que mon cher professeur de français a très bien qualifié. Il le décrit comme un « désespéré à l’énergie prodigieuse », et c’est ce qu’il est. Quand on y pense, il y a des thèmes qui reviennent toujours dans ses pièces : l’amour et la persévérance du travail, et le sentiment de ne jamais voir cet accomplissement, mais qu’y participer amène le bonheur. Chez lui, le travail c’est l’objet de réussite d’un bonheur qu’on ne verra jamais, mais qui sera profitable au monde. Jamais ses personnages ne seront heureux au moment où ils sont écrits, car ils ne sortiront jamais de leur désespoir. Mais leurs états d’âme et leurs luttes acharnées permettront à la beauté du monde. Dans quasiment toutes ses pièces, il dit « dans deux cents ou trois cents ans », « dans mille ans » / « la vie sera incroyablement belle ». Les malheurs que les personnages vivent les empêchent de voir à quel point le monde est beau, et seul l’avenir trop lointain portera la marque de leur misère transfigurée.
Il y a aussi les amours qui échouent, et pourtant la beauté de ces échecs les transfigurent et les subliment. Beaucoup de critiques et de théoriciens disent par exemple que Verchinine est « pitoyable », mais ce mot est mal choisi. Il inspire la pitié et il est à plaindre, mais pas dans son sens péjoratif. Dans cette même veine, alors Vania et Trigorine le sont aussi. Les hommes jeunes ou dans la fleur de l’âge sont toujours idéalistes, encore si l’on peut dire, mais les vieillards sont nostalgiques du passé et réalistes. Les femmes, elles, désemparées et désillusionnées et j’ai envie de dire, Nina est l’exception parce que malgré sa vie, elle continue à garder sa force et sa foi dans le théâtre.
Avec @kaantt on disait justement que les personnages de Tchekhov étaient profondément humains. Ils le sont car ils échouent constamment, ils répètent leurs erreurs et vivent dans des illusions de vie meilleure malgré leur malheur. Treplev pense qu’il est bon auteur, Elena pense être une bonne épouse et mère, Verchinine pense qu’il peut se laisser aller dans son amour pour Macha parce qu’elle seule lui apporte une véritable compréhension de son être, Lioubov s’enferme dans son déni de la vente de la cerisaie… et lorsqu’ils prennent la parole dans les monologues, à partir du moment où ils la prennent, leur parole est vouée à l’échec car elle est formulée. Ils ne s’écoutent pas eux-mêmes, et les autres non plus. La prise de parole annule la pensée elle-même. C’est une mise à nu, un dévoilement pudique mais qui ne s’adresse qu’au spectateur.
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masterofbiography · 1 year
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Stefan Salvatore est né le 1er novembre 1846 à Mystic Falls de Guiseppe et Lily. Il a un frère Damon, qui a sept ans de plus. Durant son enfance, sa mère tombe malade de la tuberculose. Stefan fait alors tout pour l'éviter tant qu'il souffre de la voir ainsi. Son père, un homme strict et inquiétant, envoie la pauvre femme loin de chez eux et c'est là-bas qu'elle meurt, sans avoir revu ses fils. Cet épisode a profondément marqué Stefan. Les deux frères se retrouvent alors seuls avec leur père et, malgré leur différence d'âge, s'entendent à merveille. D'après les flashbacks, il est évident que Stefan était le fils préféré de Giuseppe. En tant qu'humain, Stefan était gentil, chaleureux, compatissant, intelligent, introverti, responsable, respectueux et noble. En somme, c'était un jeune homme respectable qui jouissait en plus d'un physique plaisant. Un jour durant l'année 1864, Katherine Pierce et sa servante Emily Bennett arrivent à Mystic Falls. Stefan tombe fou amoureux de Katherine, jeune fille sensuelle et joueuse au charme irrésistible. Il ignore cependant que celle qu'il aime est en fait un vampire fourbe et sans pitié. Elle lui fait boire régulièrement son sang contre son gré (elle l'hypnotise pour obtenir ce qu'elle veut.) et lorsque Stefan est tué par son père pour avoir voulu protéger Katherine de la mort, il se transforme en vampire. Il achève sa transformation en se nourrissant du sang de son propre père. Connu sous le nom du "Boucher de Monterey", il hante la région et assassine sauvagement tous ceux qui ont le malheur de croiser sa route. Lorsqu'il boit du sang humain, Stefan devient incontrôlable et d'une cruauté sans bornes. C'est à ce moment-là qu'il rencontre la jolie Lexi, un vampire qui lui redonne goût à la vie, à l'amour, et le remet dans le droit chemin en le mettant au régime du sang animal. Stefan revient à Mystic Falls après avoir sauvé Elena Gilbert (chose qu'elle apprendra plus tard) de l'accident de voiture qui a coûté la vie à ses parents. Il avait alors remarqué l'exacte ressemblance d'Elena avec Katherine et est, de ce fait, fortement intrigué. Il ira jusqu'à se faire passer pour un lycéen pour l'approcher. Bien qu'ils vivent ensuite une histoire d'amour, celle-ci prendra fin quand Stefan perdra son humanité sous l'hypnose de l'hybride Klaus. Sans cette humanité, Stefan est un vampire incontrôlable sur sa soif de sang. Lorsqu'il succombe à ses désirs, il est plus que sauvage, une bête capable d'arracher une tête par sa simple morsure. Malgré cela, à la fin, il remet toujours la tête de sa victime sur son corps comme pour réparer. Je joue Stefan uniquement sans son humanité suite à cette hypnose. Dans ma version, s'il n'est pas asservi à Klaus, il cherche un moyen de se venger de l'Originel en cherchant un moyen de le tuer. Une chose pas évidente à cause du lien qui l'unit à tous les autres vampires de sa lignée. Je refuse de jouer avec des Elena Gilbert vampire, car elle m'insupporte plus que d'habitude dans cette version-là.
Joue avec : Rebekah Mikaelson - Damon Salvatore
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MARDI 21 MAI 2024 (Billet 3 / 4)
« BORDER LINE » (1h 17min)
Un film de Juan Sebastian Vasquez et Alejandro Rojas, avec Alberto Ammann, Bruna Cusi…
Titre original : "La llegada" et "Upon Entry" dans le monde anglo-saxon
Une fois n’est pas coutume, plutôt qu’une critique, nous avons préféré pour ce film vous faire suivre un extrait d’une interview accordée par l’un des deux réalisateurs du film à un journaliste de Télérama.
Nous n’ajouterons rien de plus si ce n’est que les spectateurs, sur le Site AlloCiné lui ont donné une moyenne de 3,9, que Marina a attribué à ce film ❤️❤️❤️❤️,5 et JM, ❤️❤️❤️❤️ sur 5… Sachant que les critiques Pro l'ont noté 3,6 (voir ci-dessus), vous aurez ainsi une petite idée de sa réception auprès de tous ceux qui l'ont vu.
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Le pitch : Diego et Elena s’envolent vers Miami. Lui est vénézuélien, elle espagnole. Le couple veut s’installer aux États-Unis. Mais lors de leur escale à New York, leur vie bascule… Alejandro Rojas et Juan Sebastián Vásquez, tous deux vénézuéliens, s’inspirent de leurs expériences personnelles pour réaliser « Border Line ». Ce huis clos glaçant est une véritable secousse, témoignage du pouvoir d’une bureaucratie violente et arbitraire.
Réaliser un premier film à deux, n’était-ce pas un défi ?
Juan Sebastián Vásquez et moi nous sommes rencontrés il y a vingt ans au Venezuela, puis retrouvés à Barcelone, il y a dix ans. Nous avions déjà évoqué l’idée de faire un court métrage autour de l’interrogatoire d’un couple au consulat des États-Unis. Tristement, nous avions tellement d’histoires qui nous étaient arrivées ainsi qu’à nos proches lors de passages de la frontière des États-Unis, que nous avons décidé d’en faire un film. Si la co-réalisation peut être difficile, cela n’a pas été le cas pour nous. Nous avions les mêmes références et étions sur la même longueur d’onde.
Quelles étaient ces références communes ?
Sidney Lumet, le réalisateur de « Douze Hommes en colère », pour sa manière de filmer, ce travail très précis, très dirigé. Nous nous en sommes beaucoup inspirés, notamment pour rendre la caméra la plus invisible possible, que le spectateur soit plongé avec nos personnages.
Pourquoi avoir fait le choix du huis clos ?
Une des premières choses sur laquelle nous sommes tombés d’accord était de placer notre intrigue uniquement à l’aéroport. C’est un endroit très particulier dans un pays, qui n’est pas encore vraiment le territoire, mais pas l’extérieur non plus. C’est comme un test pour les personnes qui arrivent. Il était important de rester le plus possible dans la pièce d’interrogatoire, en tension.
Vous abordez une forme d’immigration peu médiatisée, celle de l’Amérique du Sud vers les États-Unis…
Pour les Vénézuéliens, entrer aux États-Unis est presque toujours un problème. Dans le film, Diego est vénézuélien et sa compagne, Elena, vient de Barcelone. Si au début, le passage de la frontière n’est pas un problème pour elle, il le devient. Lui se cache dès le début. Même si les personnages sont privilégiés — pour immigrer, ils vont voyager en avion, avec leurs papiers —, cette situation génère de l’angoisse et la violence des institutions bureaucratiques est réelle. Aux frontières, des personnes peuvent décider de faire basculer des vies en quelques minutes, de façon très arbitraire. Ce sont des endroits où l’on est très seul et vulnérable. Il était important pour nous de raconter cette histoire dans le contexte du couple. Notre point de départ était : qu’arriverait-il si quelque chose que tu n’as pas dit auparavant était révélé au pire endroit ?
Cette vulnérabilité est palpable dans le film. Comment avez-vous travaillé sur le rythme, qui est presque celui d’un thriller ?
Bien que je sois monteur de formation, nous avons décidé de travailler avec quelqu’un d’autre, afin d’avoir un autre regard sur le film. C’est avec lui que nous avons trouvé ce rythme si particulier, comme une horloge, sans changement de cadence, ce qui maintient la tension tout au long du film. Les personnes qui ont visionné « Border Line » l’ont souvent qualifié de thriller, mais pour nous c’est presque le rythme d’un film d’horreur !
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js-a-writer · 11 months
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Where Hope Should Not Exist
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Hey! So I was writing this story and lost motivation I thought maybe someone on here might like it, so here you go!
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The date was September 6th, 1940. The girl, 17, was walking with her friends through the dimlit streets of Paris, France. They were doing no harm, just simply walking through the streets having a laugh together. Elizabeth Deliai is a kind, and intelligent girl with olive skin, deep brown, almost black, curls that just go past her ears, beautiful olive green eyes, and freckles in the most perfect spots, she was wearing a gorgeous, ruffle-strapped, plaid dress, with all kinds of greens, and a matching green cardigan to keep from freezing. Elizabeth's father, James Duncan, was currently gone on a "business trip", or atleast that's what he told her and her mother. And Elizabeth's mother, Stellaluna, otherwise known as Stella, Deliai, beautiful as ever, was in their small tenement probably reading, or praying, Elizabeth thought. But what she didn't know would be her worst nightmare. As I said, Elizabeth and her friends were walking, Mary John, a pale, blue-eyed girl with long, pin-straight, blonde locks, was on Elizabeth's left, wearing a beautful skinny-strapped dress with gorgeous blues. And Elena Alenore, a tan-skinned, brown-eyed girl, with very long, almost black, wavy locks and uneven bangs, most likely cut herself, tied up in braids, stood to Elizabeth's right, wearing a striped dress of yellow, and a matching sweater slung over her shoulder. As they passed an alley on their way back from having a late night picnic near the Eiffel Tower, four men jumped out at them, wearing uniforms that Elizabeth and her friends had never seen before. Elena, who was carrying the torah, was thrown down to the ground as the men grabbed Mary and Elizabeth. It was a horrifc sight, Elizabeth saw her mother, looking outside their tenement window, just a few meters from where Elizabeth and her friends were once standing. The men started to whack Elena with the book as Mary and Elizabeth shouted at them to stop, the men grabbed the torah and started ripping it to shreds right infront of the girls eyes. Elizabeth's mother came rushing out of the building, being held hostage, much like Mary and Elizabeth, crying and screaming for the men to stop. They picked up Elena, taking them all back to the tenement. They told them to grab everything that was attatched to their religion and to bring it out. Stella, Elizabeth's mother rushed into her room to grab anything to help them survive, or anything of great importance, then went into the girls rooms and grabbed a few of their favorite items to smuggle with them, wherever they may be headed. Meanwhile the girls are just a few rooms down finding everything having to do with the religion which they believe in, every torah, bible, every menorah, every necklace, decoration, and quilted blanket or plate setting. Giving them all to the men, scared their lives would be compromised if not cooperating. Stella comes out with a few objects herself as to not grow any suspicion that she was doing someting else back there, standing next to the girls. The men grabbed themand started leading them down the stairs of their once peaceful tenement full of celebration of their religion, now a torn up shabby looking place, where you would have never known they were Jewish. "But we gave you all of the things you asked, we cooperated, why are you taking us still?!" Elizabeth shouted, not understanding what else the men could want from them. Reste calme et écoute les hommes El." Her mother warned, using the nickname she had given her from a young age. So she did. El kept cooperating and stayed quiet, just as her mother had odered her to. Before they knew it they were all being violently thrown into a beat-up looking vehicle, being taken somewhere, but where exactly no one knew.
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Elizabeth Deliai Mary Johns Elena Alenore
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basilepesso · 1 year
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Evidemment tous les patriotes s'excitent car il s'agirait "forcément" d'un arabe.
Rien ne le dit, ce que nous savons pour l'instant est que le jeune homme est handicapé et était harcelé. Il y a un précédent barcelonais (2 015, IES (Institut d'Etudes Secondaires)), et il ne s'agissait pas non plus d'un arabe mais selon mes souvenirs d'un Mexicain).
Cela dit son identité est cachée partout à présent, ainsi que ses origines.
Basile Pesso, 29 septembre 2 023 (Fb)
"Conmoción en Jerez tras el ataque de un estudiante a tres profesores y un alumno.
Conmoción en el municipio gaditano de Jerez de la Frontera, donde un menor ha sido detenido este jueves acusado de herir a tres profesores y dos niños con un arma blanca en una agresión producida en el Instituto de Educación Secundaria (IES) Elena García Armada." (Canal Doce Melo - avec vidéo)
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lyrianabook · 1 year
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Bonjour à tous 😊 aujourd'hui je vous met le résumé de Redemption through love, il sera surment retravailler au fur à mesure mais le voici 🫣:
Elena, étudiante en littérature, mène une double vie secrète en tant que fille d'un puissant chef de mafia, Antonio Moretti. Pour préserver son rêve de devenir professeure, elle jongle entre sa vie d'étudiante et les sombres missions que son père lui confie. Cependant, sa vie bascule lorsqu'elle rencontre Alessio, un mystérieux jeune homme au passé trouble. Entre amour interdit et loyauté familiale, Elena devra faire des choix difficiles qui mettront tout en jeu, alors que les secrets se dévoilent et que les destins s'entremêlent.
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Une étudiante en apparence, une tueuse redoutable en réalité. Quand les masques tombent, l'enfer se déchaîne...
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jogallice · 1 year
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Médias : une journaliste indépendante russe passée à tabac en Tchétchénie.
See on Scoop.it - JamesO
Violences : Elena Milachina travaille pour le journal Novaïa Gazeta. Comme son avocat, elle a été agressée par des hommes à son arrivée dans cette république du Caucase où elle allait assister à un procès.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (temps de lecture : 1 minute) publié par Franceinfo (France Télévisions) avec l’AFP (Agence France-Presse) le mardi 04/07/23.
  0️⃣ % addictif ‼️
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  #violences
#médias #presse #journalistes
#Tchétchénie #Caucase #international
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cerulane · 1 year
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La tueuse de vampires Elena Deveraux sait qu'elle est la meilleure. Ce qu’elle ne sait pas en revanche, c’est si elle est à la hauteur pour sa nouvelle mission. Engagée par le magnifique et tout aussi dangereux archange Raphaël, un être si meurtrier que nul mortel ne veut attirer son attention, une seule chose est claire: l'échec n'est pas une option … même si la tâche est impossible. Parce que cette fois, ce n'est pas un vampire rebelle qu’elle doit traquer. C'est un archange qui a mal tourné. Ce travail va entraîner Elena au milieu d'un massacre pas comme les autres … et sur le fil du rasoir de la passion. Si la chasse ne la détruit pas, peut-être en sera-t-il autrement si elle succombe au séduisant Raphaël. Car quand les archanges jouent, ce sont les mortels qui paient les pots cassés.
Le début de l’histoire m’a un peu perturbée. Le lecteur est projeté dans un monde bizarre et un peu malsain dans lequel les anges sont au sommet de l’échelle sociale. Ils transforment des humains en vampire contre une servitude d’une centaine d’années. Il est assez vite sous entendu que les anges ont tout pouvoir et peuvent faire ce qu’ils veulent quasiment sans conséquence.
L’héroïne quant à elle est assez classique. Une jeune femme assez badass avec une particularité physique distinctive et un passé traumatisant.
J’ai eu du mal à m’habituer au style de l’auteur. J’ai plusieurs fois été perdue au début de ma lecture, en me demandant de qui on parlait à certains moments.
Néanmoins, j’ai assez vite été happée par l’intrigue et le jeu du chat et de la souris entre Elena et Raphaël. Leur relation est un peu malsaine, étant donné le déséquilibre des pouvoirs entre l’archange et l’humaine. La manière dont l’archange répète souvent qu’il pourrait faire plier la chasseuse s’il le voulait m’a assez dérangée. La vision un peu sexiste qu’i veut qu’une femme veuille toujours un homme fort pour la protéger également. Par ailleurs, leur je t’aime moi non plus accapare beaucoup trop le roman et fait passer la chasse au second archange au second plan, alors qu’il est décrit comme puissant, dangereux et fou.
J’ai également aimé les jeux de pouvoirs entre les archanges du Conseil. Elles n’ont pas un rôle prépondérant dans ce premier tome mais amorce la suite de la saga.
Au final, c’est un livre qui se lit bien. L’intrigue est prenante. On a envie de voir la relation entre Elena et Raphaël progresser et de les voir capturer l’archange. Néanmoins, la romance entre les deux protagonistes prend un peu trop de place au détriment de l’enquête de la traque.
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roxsana · 1 year
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Love me - Chapitre 1 (on Wattpad) https://www.wattpad.com/1347730105-love-me-chapitre-1?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_reading&wp_uname=Ina_Queen1&wp_originator=By%2FWnHDmN0LOE8Dv7huedE0nP97Qn5J6cjf5VLdUf%2BsGO0IX%2B4ttkZcNZM60duHp8ofn%2BweTKpq46qrgC21y60J7L9r4UfIveyK7I%2Fz7LO5Mr49e51kNGnPfRnydRKWQ Elena est une fille de 21 ans , elle a perdu ses parents et maintenant travaille de puis son jeune âge comme un agent secret , elle serais envoie dans une autre entreprise et un autre pays ou elle rencontrerais Enzo . Enzo un mafieux qui déteste les brunes alors que Elena est une , Enzo est un grand homme respecte par tout les monde a par Elena , il a 23 ans et il est marie a une femme qu'il n'aime pas , Il va rencontré Elena pendant une de ses mission comme agent secret mais il n'auras pas la chainse de voir son visage juste son tatouage sur son dos
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gatutor · 1 year
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Jean Marais-Mel Ferrer-Ingrid Bergman "Elena y los hombres" (Elena et les hommes) 1956, de Jean Renoir.
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