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#Gaspard Meier
clubartaesthetic · 9 months
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♡ "If you go, I'll stay
You come back, I'll be right here
Like a barge at sea
In the storm, I stay clear" ♡
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admireforever · 7 months
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Mixte
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ambafaerie · 3 months
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Modern Garmund and Rhaena to me. He fell first and harder, friends to lovers, secret relationship. Rhaena is oblivious at first to Garmund’s feelings until he confesses. He isn’t her first love but he will be her last.
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fablesdelajoie · 7 months
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Just started watching Mixte (2021) and fuck me if Gaspard Meier-Chaurand isn't the Adam Parrish of my dreams !!!!!
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Mixte (2021)
You'd think boys would be glad to see girls attend their high school? Not at all. When Voltaire High becomes coed in 1963 France and for the first time a handful of girls take classes alongside boys, a whole world is knocked off balance.
An original, and wonderful find on Amazon. The show is set in the 60s and explores the sexual revolution. It's coming of age story with very interesting characters. I enjoyed it a lot. If you want something original, witty, engaging and enjoyable then give this one a go. I hope Amazon will renew it for another season @amazonstudios Edit: there won't be a season 2 on Amazon but I read that the producers may try and bring it on another channel. It is still worth watching.
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samsdei · 2 years
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Gaspard Meier-Chaurand
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may8chan · 4 years
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À l'aube
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claralargeron · 5 years
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LUNAIRE - CYPRIEN - 2018 Chef décoratrice 
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Réalisateur : Raphael Descraques Scenario : Cyprien Iov, Raphael Descraques Production : Periple Directeur de production : Antoine Vialle Regisseur général : Damien Dupuy
1er assistant réalisateur : Yasmina Chambenoit 2e assistant réalisateur : Agnès Lepeu
Directeur de la photographie : Antoine Carpentier 1er assistant opérateur : Berenger Brillante Chef electro : Erick Meurice Electros : Arthur Benoist, Alexei Nikichine Chef machino : Xavier Schanen Machino : Colin Guerre
Chef opérateur prise de son : Clément Maurin Assistant opérateur prise de son : Nicolas Régent
Chef décoratrice : Clara Largeron 1ere assistante décoratrice : Ambre Roos
Chef Costumière : Priscillia Delsault Habilleur : Antonin Petit Chef maquilleuse : Marjolaine Vialle Maquilleuse : Fiona Rossini
Chef monteur image : Quentin Eiden Mixage : Samuel Dekyndt Etalonnage : Florian jarry
Casting : Cyprien Iov, Gaspard Meier, Tiphaine Daviot, Julien Drion
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todayclassical · 8 years
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January 09 in Music History
1631 English court Masque established by Ben Johnson and Inigo Jones, with Their Love's Triumph Through Callipolis.
1651 Birth of Italian composer Petronio Franceschini in Bologna. 
1674 Birth of composer Reinhard Keiser. 
1724 FP of J. S. Bach's Sacred Cantata No. 154 Mein liebster Jesus ist verloren
on the 1st Sunday following Epiphany. Was part of Bach's first annual Sacred Cantata cycle in Leipzig 1723-24.1737 Birth of French baritone Henri Larrivee in Lyon. 
1753 Birth of mezzo-soprano Luisa Rosa Todi in Setubal, Portugal. 
1767 Death of mezzo-soprano Francesca Bertolli.
1810 Birth of soprano Anna Bishop in London.
1839 Birth of American composer John Knowles Paine in Portland Maine. 
1844 Birth of tenor Julian Gayarre  in Valle de Roncal. 
1856 Birth of Yugoslavian composer Stevan Mokranjac in Negotin. 
1887 Death of tenor Marius-Pierre Audran. 
1890 Birth of tenor Alessandro Valente in Turin. 
1896 Birth of New Zealand conductor Warwick Henry Braithwaite in Dunedin. 
1902 Birth of British administrator of NYC's MET Opera Rudolph BING in Vienna. 1904 FP of Debussy's Estampes and played by Spanish pianist Ricardo Vines in Paris. 
1909 Birth of American soprano Herva Nelli in Florence, Italy. 
1909 FP of Maurice Ravel's Gaspard de la Nuit Ricardo Vines plays in Paris. 
1921 Birth of American composer Seymour Barab in Chicago, IL.
1931 Birth of soprano Margaret Nisbett in Melbourne, Australia. 
1932 Birth of Vladimiro Ganzarolli Bass-Baritone 
1932 Birth of tenor Jaroslav Kachel in Ostrava, Czechoslovakia. 
1936 Birth of Danish composer and teacher Erik Norby in Copenhagen. 
1939 FP of Bela Bartók's Contrast for clarinet, violin, and piano. Performers were clarinetist Benny Goodman, violinist Joseph Szigeti, and Bartók at the piano.
1939 Death of composer Julius Bittner.
1940 Birth of American Mezzo-Soprano Jean Kraft in Mena
1940 Birth of soprano Louise Lebrun in Montreal. 
1941 Birth of American composer Jeraldine Saunders Herbison in Richmond, VA.
1947 FP of Roger Sessions' Symphony No. 2. San Francisco Symphony, Pierre Monteux conducting.
1947 FP of Kurt Weill's opera Street Scene at the Adelphi Theater in NYC. 
1948 FP of Walter Piston's Symphony  No 3, by Boston SO under S. Koussevitzky. Pulitzer Prize (1948). 
1949 Death of mezzo-soprano Armida Parsi-Pettinella.
1953 Death of tenor Eduard Lichtenstein. 
1956 Birth of German Mezzo-soprano Waltraud Meier in Würzburg. 
1957 Death of American composer and teacher Mary Carr Moore in Inglewood, 
1958 Birth of Finnish soprano Hillevi Martinpelto. 
1962 Birth of English oboist Nicholas Daniel.
1967 Birth of American composer James Sale
1968 Death of French pianist and composer Louis Francois Aubert in Paris. 
1969 Death of Czech music critic and composer Ladislav Vycpalek in Prague. 
1976 FP of William Bolcoms Seasons for guitar, in NYC. 
1987 FP of Joan Tower's Silver Ladders. St. Louis Symphony, Leonard Slatkin conducting. 
1988 FP of Alvin Singleton's After Fallen Crumbs for orchestra. Atlanta Symphony, Michael Palmer conducting.
1990 Death of bass Tadeusz Wierzbicki. 
2003 FP of Behzad Ranjbaran's Violin Concerto. Conductor Gerard Schwarz and violinist Joshua Bell with the Royal Liverpool Philharmonic Orchestra.
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clubartaesthetic · 9 months
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annick, the best in everything ♡
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admireforever · 7 months
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Mixte
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journaljunkpage · 6 years
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VISIONS DEMAIN
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Henry Clemens / Peu m’importe si l’histoire nous considère comme des barbares de Radu Jude - D.R
Adossé à la ville aux cent clochers, un festival singulier convoque depuis plus de quarante ans le coeur battant de la jeune production cinématographique française et mondiale. Jusqu’au 7 décembre, le chef-lieu de la Vienne devient une destination parfaite pour des cinéastes en herbe, vibrionnant au coeur d’un environnement tout à fait cocoonant. Aldric Bostffocher, directeur cinéma du Poitiers Film Festival, préserve coûte que coûte sa mission originelle de découvreur.
Les anciennes Rencontres internationales Henri Langlois, devenues en 1990 le Poitiers Film Festival, demeurent un festival défricheur de pépites. Noémie Lvovsky, Arnaud Desplechin, Ursula Meier, Benjamin Renner, Asif Kapadia ou encore Pascale Ferran y ont un jour accompagné leurs premiers films. Les rencontres internationales des écoles de cinéma sont à ce titre un laboratoire unique dans lequel vous découvrirez cette année encore les productions surprenantes et libres de cinquante cinéastes venus de Roumanie, de Hongrie, de France, du Portugal, d’Allemagne, etc. Les films en compétition proviendront de trente et une écoles, seront issus de vingt-trois pays. Le comité a visionné pour cette édition plus de 1 300 premiers films pour n’en retenir que cinquante.
Poitiers se confondra, cette année encore, avec ce lieu revigorant où vous verrez indifféremment des fictions, des docus ou des films d’animation. Une sélection sans contrainte de durée qui permet à des réalisateurs de s’emparer de sujets divers à travers des genres cinématographiques très différents. Ce festival reste à ce titre une sollicitation forte à ne pas se laisser enfermer par les formats, les durées et les genres.
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Deux fils de Félix Moati - ©Nord Ouest-Victor Moati
Premières diffusions
La chargée de programmation Camille Sanz rappelle que le Poitiers Film Festival occupe une place toute particulière dans le coeur des cinéastes du monde entier dans la mesure où il est bien souvent le lieu d’une première diffusion et l’endroit de la première rencontre avec un vrai public. Aldric Bostffocher raconte qu’Asif Kapadia primé ici avec The Sheep Thief en 1997 est revenu à Poitiers en 2017 en arborant fièrement son prix, indiquant à quel point celui-ci avait compté dans sa belle carrière de documentariste multi-récompensé.
Le festival drainera cette année encore entre 15 000 et 20 000 spectateurs et se targue de rester un lieu privilégié d’échanges entre public et cinéastes en devenir. La grande structure du Théâtre Auditorium, véritable centre névralgique de l’événement, le permettra grandement.
À la question mille fois posée du dénominateur commun entre toutes les productions de la sélection actuelle, la programmatrice répond que toutes se démarquent par leur fantaisie, leur volonté de n’appartenir à aucune chapelle. L’éclectisme comme un privilège de la jeunesse et de l’insouciance de l’âge. Autant dire que le Poitiers Film Festival s’apparentera pour beaucoup de spectateurs à un saisissant bain de jouvence.
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C’est ça l’amour de Claire Burger © Mars Films
Projection roumaine
À travers le panorama d’un cinéma roumain renaissant, à l’honneur cette année, Aldric Bostffocher indique vouloir faire découvrir une production foisonnante, engage le public à en mesurer la vitalité et la qualité, loin des idées reçues. L’Université nationale des Arts du Théâtre et du Cinéma de Bucarest sera à n’en pas douter une belle invitée. Héritière d’une dictature tragique, qui a vu naître Cristian Mungiu ou encore Corneliu Porumboiu, l’école a également donné vie à une toute nouvelle génération de réalisateurs, dont Paul Negoescu – invité d’honneur de cette 41e édition –, auteur de courts métrages primés et sélectionnés dans de nombreux festivals internationaux, parmi lesquels Cannes (Semaine de la Critique, 2012), Berlin, Karlovy Vary, Slamdance ou Rotterdam.
Dans le cadre de ce panorama, une sélection de dix-huit films rares sera projetée, dont l’attendu Peu m’importe si l’histoire nous considère comme des barbares de Radu Jude ou encore The Story of a Summer Love de Paul Negoescu. À n’en pas douter : de salutaires séances de rattrapage pour bon nombre d’entre nous. Air (vicié) du temps, cette année, Camille Sanz note l’arrivée en force de films hongrois… Trois films sélectionnés parmi une offre importante qui permet cette fois de s’intéresser aux enfants d’Alexander Korda ou de Bela Tarr et de mesurer l’iconoclastie d’une production en rupture avec une certaine Hongrie.
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120 battements par minutes de Robin Campillo © Céline Nieszawer
Leçons de cinéma
La présence de Christophe Honoré sera, parions-le, le joli point d’orgue de cette semaine pour cinéphiles heureux. Ce dernier animera, mardi 4 décembre, une précieuse leçon de cinéma sur la question de la transmission, thème central de Plaire, aimer et courir vite, sélection officielle du 71e Festival de Cannes.
À noter que dans le cadre de ces masterclass, le compositeur Arnaud Rebotini et le réalisateur Robin Campillo reviendront sur leurs deux collaborations pour Eastern Boys et 120 battements par minute, auréolées de nombreux prix en France et dans les grands festivals internationaux. L’occasion aussi d’évoquer, comme le rappelle la programmatrice, la place grandissante de la musique électronique dans le cinéma contemporain.
Une autre séquence importante de ce festival, décidément riche, nous invite à nous pencher sur le parcours du jeune acteur Félix Moati. L’occasion pour le fils prodigue, – vu dans Simon et Théodore en 2017 ou encore Gaspard va au mariage en 2018– , de présenter son premier long métrage : Deux fils.
Réalisateurs fidèles
L’ouverture du festival, censée donner le la, initiera de la meilleure des façons une semaine placée sous le sceau de la fidélité avec la présentation en avant-première de C’est ça l’amour de Claire Burger, coréalisatrice confirmée du très beau Party Girl (2014) Caméra d’Or à Cannes. Aldric Bostffocher ne cache pas une certaine émotion à l’idée de ce retour à Poitiers pour celle qui avait accompagné Forbach, son premier court métrage en sélection, et obtenu le prix spécial du jury en 2008, pour celle encore qui a été membre du jury l’année suivante et qui était revenue présenter ses films en 2016 à l’occasion de la célébration des 30 ans de la Fémis.
Un attachement et une fidélité des réalisateurs au Poitiers Film Festival comme un gage de qualité ou comme la vérification de l’importance du grand festival de la terre du milieu.
Alors même que Camille Sanz et Aldric Bostffocher feront les comptes, mesureront le succès de cette 41e édition à la lumière de la qualité des rencontres, de l’affluence, le film de clôture devrait convaincre de la vitalité du cinéma francophone, avec vendredi 7 décembre, la présentation de Continuité de Joachim Lafosse, adaptation d’un roman de Laurent Mauvignier.
La dimension revigorante et iconoclaste du PFF s’exprime parfaitement lors de la séance So French du mercredi soir, qu’on nous promet joyeuse et ludique. Un moment grand public durant lequel sont projetés onze courts métrages avec un vote à l’issue de la séance, histoire de réconcilier puristes et non puristes autour d’un même plaisir de la découverte cinématographique.
www.poitiersfilmfestival.com
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clubartaesthetic · 9 months
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admireforever · 7 months
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samsdei · 4 years
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Gaspard Meier-Chaurand
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samsdei · 6 years
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Gaspard Meier-Chaurand
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