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#Jean-Pierre Le Bris
selidren · 20 days
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
1/10
Cher cousin,
Comme voulu par ma mère et mon père, il est temps pour moi de reprendre la correspondance traditionnelle entre nos deux familles. C'est difficile d'imaginer que c'est une tradition plus ancienne que Grand-Mère tant tout, depuis mon enfance, semble tourner autour d'elle.
Je m'appelle Arsinoé Le Bris, mais appelez moi Noé. Personne ne m'appelle par mon nom complet, à part mon père bien sur, ma grand-mère quand elle se veut solennelle, ou mes soeurs quand elles veulent le taquiner. Très honnêtement, je trouve mon prénom complet vraiment pompeux, mais mon père est un original. Je m'estime heureuse de ne pas m'être appelée Isisnofret, ou quelque chose du genre.
Si j'ai bien compris, le rôle de cette correspondance est de maintenir un lien et de s'échanger des nouvelles entre nos deux familles. Ou plutôt notre famille, car deux de nos ancêtres étaient jumeaux. Grand-Mère a connu celui de mon côté, c'est incroyable, même si c'était déjà un vieil homme à cette époque. Il est aussi difficile d'imaginer Eugénie Le Bris comme une jeune fille. Même quand elle nous parle de sa jeunesse, j'imagine une vieille dame avec une canne. Malheureusement, sa santé n'est pas très bonne. Elle a appris cette semaine que Tante Hélène (la dernière de ses filles) est tombée malade, et elle s'inquiète à s'en rendre à son tour malade. Nous sommes habitués à ses malaises, car chez une dame de cent-trois ans, c'est plutôt attendu. Mais cette fois, je suis inquiète. Elle raconte des choses étranges au matin. Elle dit que les esprits de la famille viennent la visiter durant la nuit. Oncle Adelphe dit qu'il ne faut pas s'alarmer, car elle "voit" des fantômes depuis toujours, mais je ne peux pas m'empêcher d'être inquiète tout de même.
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aisakalegacy · 4 years
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Automne 1839, Hylewood, Canada
Cher André, chère famille,
Entre nous, si tu souhaites vraiment épouser cette Eugénie, évitez de passer trop de temps seuls avant vos noces. Une telle réputation pourrait la poursuivre après le mariage, et tu ne voudrais pas cela. C’est tout à ton honneur de vouloir attendre cependant. Adèle me dit qu’il est souhaitable que Madeleine n’ait pas encore d’enfants. Elle s’est mariée très jeune, et les grossesses sont souvent fatales aux femmes à peine sorties de l’enfance.
Joséphine passe plus de temps en dehors de la maison qu’en dedans. Elle n’a pas le droit de sortir pas tant qu’elle n’a pas fini d’aider sa mère avec le ménage, du coup elle se lève à cinq heures du matin et elle ne rentre qu’au crépuscule. Elle s’est lié d’amitié avec un garçon de la famille Bernard. Ils passent leur temps à courir à droite et à gauche, toujours prêts à inventer je ne sais quelles farces. Nous avons même eu des plaintes !
Vous vous souvenez peut-être des Bernard. Il s’agit de nos voisins pauvres, dont la fille aînée a été engrossée par le neveu du Révérend Leloup. Ce sont des gens braves qui font de leur mieux pour survivre alors qu’ils ont été mis à l’écart de la communauté et qu’ils ne sont même plus les bienvenus à l’église. Moi, je n’ai aucun soucis avec le fait que Joséphine fréquente un Bernard. Ce qui me gêne, c’est qu’à force de trainer chez les Bernard, elle ait commencé à côtoyer le bâtard du neveu Leloup. Vous me direz que j’en fais peut-être trop, mais écoute ceci : ils ont un an de différence, et je me doute que l’âge risque de les rapprocher plus. Je n’aimerais pas qu’il lui arrive la même chose qu’à la fille Bernard, et je n’aimerais pas la voir épouser un bâtard, sans aucune perspective ni aucune situation. Je compte surveiller étroitement l’évolution de cette relation, quitte à y mettre un terme.
Jacques
P. S. : Tu me demandes dans ta dernière lettre si la reine Victoria est allemande. Sa famille est hollandaise, pas allemande, et de ce que je sais, elle a toujours vécu en Angleterre ! Allemande, hollandaise... Je crois que nos souverains sont tous cousins de toute manière.
P. P. S. : Monsieur Rumédier m’a dit les députés républicains ont envahi la Chambre au printemps, et qu’ils sont de plus en plus appréciés. Penses-tu que la France pourrait redevenir une République ?
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justforbooks · 4 years
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Joseph Kessel (also known as 'Jef') was born on February 10, 1898. He was a French journalist and novelist. He was a member of the Académie française and Grand officer of the Legion of Honour.
Kessel was born in Villa Clara, Entre Ríos, Argentina, because of the constant journeys of his father, a Litvak physician. From 1905 to 1908, Joseph Kessel lived the first years of his childhood in Orenburg, Russia, before the family moved to France in 1908. He studied in lycée Masséna, Nice and lycée Louis-le-Grand, Paris and took part in the First World War as an aviator. He was also an aviator during the Second World War, in the Free French Groupe de Bombardement n° 1/20 "Lorraine" (342 Squadron RAF) with RAF Bomber Command, with Romain Gary, who was also a talented French novelist.
Kessel wrote several novels and books that were later represented in the cinema, notably Belle de Jour (by Luis Buñuel in 1967). In 1943 he and his nephew Maurice Druon translated Anna Marly's song Chant des Partisans into French from its original Russian. The song became one of the anthems of Free French Forces during the Second World War.
Bibliography
La steppe rouge (1922)
L'Équipage (1923)
Au camp des vaincus ou la critique du 11 mai (1924)
Mary de Cork (1925)
Les captifs (1926; Grand Prix du roman de l'Académie française)
Nuits de princes (1927)
Belle de Jour (1928; it inspired Luis Buñuel's 1967 movie of the same name)
Vent de sable (1929)
Fortune carrée (1932)
Le coup de grâce (1931; made into the movie Sirocco in 1951 with Humphrey Bogart)
Wagon-lit (1932)
La Passante du Sans-Souci (1936; turned into a movie by Jacques Rouffio in 1982)
Hollywood, Ville mirage (Gallimard, NRF, 1936)
Mermoz (1938)
L'Armée des ombres (1943; adapted for a movie by Jean-Pierre Melville in 1969); Army of Shadows (Contra Mundum Press: 2017), featuring an intro by Stuart Kendall
Le Bataillon du ciel (Sky Battalion), (1946; turned into a movie by Alexander Esway in 1947): Free French SAS paratroopers in Brittany in Summer 1944
Le tour du malheur (1950)
Les Amants du Tage (1954)
La Vallée des Rubis (1955)
Le lion (English translation: The Lion; 1958)
Les mains du miracle (Gallimard, 1960). (English translation: The Man with the Miraculous Hands. Translated by Weaver, Helen. Farrar, Straus and Cudahy. 1961.)
Les cavaliers (1967) (filmed as The Horsemen in 1971)
Partout un ami (1972)
Des hommes (1972)
Les temps sauvages (1975)
The escape
Filmography
The Crew, directed by Maurice Tourneur (France, 1928, based on the novel L'Équipage)
Nuits de princes, directed by Marcel L'Herbier (France, 1930, based on the novel Nuits de princes)
L'Équipage, directed by Anatole Litvak (France, 1935, based on the novel L'Équipage)
The Woman I Love, directed by Anatole Litvak (1937, based on the novel L'Équipage)
Nuits de princes, directed by Vladimir Strizhevsky (France, 1938, based on the novel Nuits de princes)
Le Bataillon du ciel, directed by Alexander Esway (France, 1947, based on the novel Le Bataillon du ciel)
Sirocco, directed by Curtis Bernhardt (1951, based on the novel Le coup de grâce)
The Lovers of Lisbon, directed by Henri Verneuil (France, 1955, based on the novel Les Amants du Tage)
Fortune carrée, directed by Bernard Borderie (France, 1955, based on the novel Fortune carrée)
The Lion, directed by Jack Cardiff (1962, based on the novel The Lion)
Belle de Jour, directed by Luis Buñuel (France, 1967, based on the novel Belle de Jour)
Army of Shadows, directed by Jean-Pierre Melville (France, 1969, based on the novel L'Armée des ombres)
The Horsemen, directed by John Frankenheimer (1971, based on the novel Les Cavaliers)
The Passerby, directed by Jacques Rouffio (France, 1982, based on the novel La Passante du Sans-Souci)
Screenwriter
Cessez le feu (dir. Jacques de Baroncelli, France, 1934)
Mayerling (dir. Anatole Litvak, France, 1936)
Les Bateliers de la Volga (dir. Vladimir Strizhevsky, France, 1936)
La Peur (dir. Victor Tourjansky, France, 1936)
Les Secrets de la mer Rouge (dir. Richard Pottier, France, 1937)
The Man from Niger (dir. Jacques de Baroncelli, France, 1940)
Au grand balcon (dir. Henri Decoin, France, 1949)
Le Grand Cirque (dir. Georges Péclet, France, 1950)
Act of Love (dir. Anatole Litvak, 1953)
Oasis (dir. Yves Allégret, France, 1955)
La Passe du diable [fr] (dir. Pierre Schoendoerffer and Jacques Dupont, France, 1958)
The Night of the Generals (dir. Anatole Litvak, 1967)
Kessel was elected at the Académie française in 1962 and died on 23 July 1979 in Avernes, Val-d'Oise of a ruptured aneurysm. He is buried in the Cimetière du Montparnasse in Paris. On his deathbed he was quoted as saying that his greatest accomplishment was the birth of his son, Joseph Kessel, who was born just a few months prior on February 24 of the same year. The Joseph-Kessel Prize (Prix Joseph Kessel) is a prestigious prize in French language literature, given to "a book of a high literary value written in French". The jury counts or has counted among its members Tahar Ben Jelloun, Jean-Marie Drot, Michèle Kahn, Pierre Haski, Gilles Lapouge, Michel Le Bris, Érik Orsenna, Patrick Rambaud, Jean-Christophe Rufin, André Velter and Olivier Weber.
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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Going Down the List #4: ‘Les Huguenots’, Montpellier, 1990
As any of you who have been following me for a long time know, this is one of my favorite operas and I am on a quest to find and watch every available filmed production of this opera. As such, this is my eighth production of Huguenots, and I think the best one I've seen. Here goes:
First things first, any review of a production of this opera has to include some commentary about cuts. I’m happy to say that there are very few of them, the most notable of which is the entire Act III ballet, which still isn’t a huge loss. There are minor cuts elsewhere, such as a section of the Raoul/Marguerite duet that I frequently forget exists (the section, not the whole duet), a small cut in the Act I window scene, a couple tiny cuts in ‘O beau pays de la Touraine’, and some of the Act III finale. Urbain’s Act II aria was omitted as well, but since it was an insert aria in the first place, I don’t see it as that huge of a loss even though I do love it and prefer when it is included.
Also, a warning: the video quality is not great. It’s not horrible, but it’s definitely not ideal. It’s still decent, though, especially for what I’m assuming is an upload of a video ripped from a 1990s TV broadcast of an official in-house recording. There are no subtitles either, which really stinks.
With that out of the way, the production: I’d overall describe it as ‘traditional minimalist with really wonderful direction’.
The sets are where the ‘minimalist’ part comes from: there are only really two sets, one of which is almost entirely white and the other of which is almost entirely black. The sets are slightly modified for each scene, but the first set is essentially ‘huge staircase (most of the time also featuring a couple long tables and a ridiculous number of chairs)’ and the second is essentially a huge open space with black walls, a lot of graffiti that is mostly illegible, and some cut-out door openings. Although personally, I’d prefer a little more detail and variety, I do overall like the sets and I think they work well.
The costumes are beautiful period fashion; the problem with them, however, is that apparently the costume designer thought it would be a good idea to dress large groups of people exactly the same. This is especially a problem with the various Catholic noblemen, to the point where it took me a few minutes to figure out who was playing Nevers because all the Catholic noblemen in Act I wore the exact same outfit. (Perhaps this would have been less of a problem if the video quality were better.) Still, they are gorgeous costumes.
If I had to describe the direction in five words, they’d be, “nuanced, vivacious, and emotionally intense”. I especially love how much the chorus actually moves! That may sound silly, but it’s nice to have an actual street riot in Act III or a frenzied, whipped-up mass of Catholic nobles declaring anathema on the Huguenots in Act IV instead of having the chorus just stand there and sing prettily. The chorus also does an excellent job of reacting in general: they laugh at Nevers’ witty comments, they enthusiastically respond to the calls for a massacre, they recoil in horror when Raoul details the scenes of death and destruction. And the way the ending was staged─ you just had to rip out my heart, didn’t you? That’s all I’ll say about that.
There are some togetherness issues between the onstage forces and the pit; however, these are relatively minor. The orchestra (and its soloists) are very good; the chorus is amazing. Whether it’s a particularly fortuitous sound balance or just a really present chorus, they are always a force to be reckoned with on a scale I don’t think I’ve even heard on any other recording. And as I mentioned earlier, they’re not just great singers, but also great actors. Same goes for the various small roles, with a special shoutout to the six supporting Catholic nobles, who all sound good, look good, and work together very well.
Now for the seven leads:
Danielle Borst was a very adorable Urbain who happened to be dressed like she was from The Addams Family or something (including what appeared to be a very unfortunate black bobbed wig). Regardless, she was all cheer and enthusiasm in the classic trouser-role mold (along with the obligatory flirting with everyone) with a really, really fantastic voice, and she lit up the stage whenever she was on it, whether she was standing on a table or chugging a bottle of wine (during ‘O beau pays’) or spying on the ladies-in-waiting from under a sheet. Her ‘Nobles seigneurs, salut’ in particular was one of the best I’ve ever heard, and I think it’s really a shame she didn’t get a shot at ‘Non, vous n’avais jamais, je gage’.
Marc Barrard was a fantastic Nevers. His voice is really nice and lyrical and beautiful, although owing to the fact that the role is a) relatively short and b) doesn’t have any big solos or even small ensembles, he didn’t get much of a chance to show it off. As a result, as with all baritones playing this role, whether his performance succeeded or not depended on his dramatic skill. He delivered. Depending on what was happening, he was extremely flamboyant, official, gentle, and/or morally outraged— and he managed to do that without overacting, which I appreciate.
Jean-Pierre Courtis absolutely nailed it as the Comte de Saint-Bris. His voice is not particularly subtle, but then again, the character isn’t either. What his voice is is commanding and surprisingly beautiful. Seriously. It’s gorgeous. As he should, he absolutely dominated the Conspiracy Scene and came across as very cold, no-nonsense, but still intensely devoted to his country, his faith, and his own ideas about how they should be─ in short, absolutely fanatical. And I said earlier I wouldn’t give away any details about the staging of the ending, but I will here: after discovering his dying daughter, he did something I haven’t seen any other Saint-Bris do that just wrenched my heart: he walked (or to be more precise, backed) offstage. It was pretty ambiguous, but I think it’s the only portrayal I’ve seen that suggested he didn’t really regret anything he did.
Anyway, they were both awesome.
Ghyslaine Raphanel definitely did right by Marguerite de Valois. Her voice is very light and may take some getting used to (it did for me), but overall it’s a beautiful sound that I think works well for this part. In particular, she has some serious coloratura chops, which she took every opportunity to display (including by far the longest ‘O beau pays’ cadenza I have ever heard). She’s also very good at playing the young, charismatic, beautiful royal who wants peace and love but is completely detached from reality, to the point where she still can’t believe what’s happening even when Raoul tells her about the massacre in Act V, scene 1 (the scene ends with her climbing the staircase, turning around, and looking at all the Huguenot noblewomen as if to say ‘…I have no clue what the hell just happened’).
I really loved John Macurdy’s performance as Marcel. His basic voice isn’t my favorite by any means, but I can absolutely say it’s a good voice, with particularly strong low notes. And he’s a great actor! I especially loved his ‘Piff, paff’, for this exact reason: you can hear the hatred Marcel has for Catholicism and women in the way he sings every word. And he has amazing stage presence: even just a little thing, like a gesture at Raoul or the way he put an arm around Valentine and walked her back into the church in Act III, said so much. In other words, he may not be my favorite bass, but he’s a good singer and a virtually perfect dramatic match for the part.
Nelly Miricioiu was a wonderful Valentine de Saint-Bris. Personally, I love her voice although there are some things about it I could see people not liking. Nevertheless, it’s a gorgeous voice that fits the role well, and she’s amazing at everything she does, especially in her two big duets and the final scene. She’s also a very, very good actress who does one of the best acting jobs I’ve seen in this role, and that is no shabby feat, especially in the eyes of yours truly (who once wrote several pages about her character development and posted it on this very blog, although almost no one read it lol). That development I talked about, from very anxious, fragile, and shy to boldly defiant? She absolutely got it.
Gregory Kunde was absolutely phenomenal as Raoul de Nangis. His voice is pretty much perfection in this role, which is especially an achievement considering how many ways the part is demanding─ he has lyric moments and huge dramatic ones alike, and let’s not forget all the insanely high notes! But he nailed it, especially the two arias, which are both very hard in very different ways. Also, his acting was on point: I got all the little bits of his personality─ the romantic dreaminess, the idealism, the moral outrage, the impulsiveness, the stubbornness, all of it. There are so many good little details, from his frequent hesitations at drinking to the fact that even though there’s a massacre going on and he’s trying to rescue the Huguenot nobles, he still takes a few seconds at the end of his Act V aria to bow to Marguerite (and be like, ‘uh, sorry for ruining your big party’) before rushing out. Bravo!
Overall Verdict: Definite recommend; this would be a great first production for anyone wanting to watch this opera, albeit with two caveats: one, there are no subtitles (but I’d be more than happy to send anyone the French-English libretto I have on Google Drive), and two, this production may ruin you for others that are…not of the same quality. 😉
Up next: Due to ongoing difficulties with the Internet at my house, I am going to have to suspend this series until further notice, but as soon as I can, I’ll be doing the 2019 Il trovatore from Beijing!
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artwalktv · 5 years
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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whileiamdying · 5 years
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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merzbow-derek · 7 years
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POST-SCRIPTUM 792
AGITATION FRITE 2 : CES TEMPS-CI, PAR CES SOIRS D’ÉTÉ
Agitation Frite 1, Témoignages de l’underground français est donc sorti chez Lenka lente. Un second volume est en préparation. La forme en est la même : un peu moins d’une quarantaine d’entretiens dont la plupart, cette fois, sont inédits. On en trouvera ici des extraits, régulièrement. Par exemple, Lucien Suel (Station Underground d’Émerveillement Littéraire, The Starscrewer, Potchük).
EXTRAIT…
JACK KEROUAC / STEVE ALLEN, « Readings From On The Road And Visions Of Cody »
Jack Kerouac lisant un extrait de Sur la route, j’entends Dieu qui s’adresse à lui et lui dit : « Go moan for man. » Il parle de son frère mort, de son père mort, de sa mère au loin. Cette lecture accompagnée au piano est dans ma tête depuis le début des années 1970. J’avais réussi à en capter un extrait à la radio, chose rare à l’époque. J’avais aussi une cassette de William Burroughs éditée en Allemagne et j’ai expérimenté mes premiers collages sur bande magnétique en mêlant les voix de Jack Kerouac, Allen Ginsberg et William Burroughs, plus un extrait du premier album des Fugs. C’est de Kerouac que je me suis toujours senti le plus proche, par l’éducation, la religion (catholique par l’éducation, et bouddhiste par l’étude), ce balancement continu entre être dans le monde et se retirer du monde. Et quelle œuvre ! Ces temps-ci, par ces soirs d’été, je me délecte à lire Dharma, le grand inédit posthume qui est en fait un immense collage-journal émouvant, érudit et poétique.
La Beat Generation semble être à l’origine de ta vocation d’écrivain. Tu as d'ailleurs rencontré Claude Pélieu et édité Starscrewer en France. Y a-t-il d’autres écrivains qui t'ont marqué ?
Les écrivains qui m’ont vraiment marqué sont, dans la Beat Generation, Jack Kerouac et William Burroughs ; dans le XXe siècle français, Louis-Ferdinand Céline et Georges Bernanos ; et dans le XIXe siècle, Joris-Karl Huysmans et Léon Bloy ; je peux ajouter le poète Arthur Rimbaud et tous ceux du mouvement Dada. Je fais aussi un cas particulier des Chants de Maldoror, le livre qui a marqué ma jeunesse. Il y a deux ans, à Liège, Jacques Izoard, qui me questionnait en public, s’étonnait de me voir citer Bernanos avec Burroughs, à quoi je répondais que tous ces écrivains ont en commun d’être des révoltés, de dénoncer la société moderne, l’oppression machiniste et technicienne, le contrôle pseudo-démocratique, la tyrannie de l’économie, la destruction de la planète au nom du progrès – et tout cela toujours lié chez eux à un évident souci du langage, du style et de la forme.
PATTI SMITH, « Piss Factory »
J’ai ce 45 tours. « Piss Factory » est la face B avec Lenny Kaye. La face A, c’est « Hey Joe » avec Tom Verlaine à la guitare, et toute l’histoire de Patty Hearst avec la Symbionese Liberation Army. J’aime bien ce côté « talking blues », un truc d’écrivain. J’ai vu Patti Smith lors de son retour sur scène en 1998. Elle est passée à Dranouter, un grand festival folk en Flandre belge, pas loin de chez moi. J’y suis allé avec ma fille Marie qui chante aussi dans un groupe (Gomm). C’était très émouvant de voir Patti Smith, quinquagénaire comme moi, avec cette énergie, cet humour. Elle avait commencé en lisant un extrait de Howl d’Allen Ginsberg qui venait juste de mourir. J’étais vraiment très ému.
Le numéro 11 de Starscrewer est consacré au punk, quelque chose d’important pour toi.
J’ai publié un poème inédit de Patti Smith dans le n°11 de Starscrewer, en 1978-1979. C’était une grande époque de créativité, après la récupération des idées des années 1960. Bazooka Production, néo-Dada, la destruction de la mode, la musique faite par tous. De nouveau, on trouvait des 45 tours à acheter : Desperate Bicycles, Spherical Objects, Buzzcocks, X-Ray Spex... Ça n’a malheureusement pas duré très longtemps.
Quand tu as fait de la radio, tu as programmé beaucoup de groupes de garage et de hardcore.
En 1982, j’ai participé à la création de Radio-Banquise, une radio libre associative. J’avais une émission, Bris-collage, et je diffusais toutes ces musiques non commerciales, bruitistes, faites à la maison, et qui m’arrivaient par la poste. Être punk aujourd'hui, ça ne veut plus dire grand-chose. Par contre, on peut encore être dans l’underground, le non-académique (en gros, ce dont on ne parle pas dans les médias dominants), dans une logique de l’échange, voire du don, en dehors du profit.
WILLIAM S. BURROUGHS, « K-9 Was In Combat With The Alien Mind-Screens »
William Burroughs, je connais tellement bien sa voix. J’avais vu une photo de lui dans un dossier du Magazine Littéraire, le n°1, en 1967 je pense. C’est seulement trois ans plus tard que j’ai pu lire ses livres. Et depuis, je crois bien que je les ai tous lus, jusqu’au dernier, Ultimes paroles, que j’ai découvert cette année avec beaucoup d’émotion.
Comment as-tu découvert le cut-up et qu’a-t-il représenté pour toi ?
J’ai tout de suite essayé et adopté le cut-up. C’est beaucoup plus satisfaisant que l’écriture automatique des surréalistes. L’idée de couper dans des textes existants, de les manipuler, d’utiliser le « hasard » pour produire des images et stimuler l’imagination, détruire les discours imposés, briser les lignes d’association, comme le dit William Burroughs, recycler de la littérature morte, écrire avec une paire de ciseaux ou un cutter, tout ça me convient parfaitement, dans ce monde, à cette époque.
C’est une évidence de dire que nous vivons sur le mode « cut-up » du collage, du mixage des productions, des sensations. Le tout est de s’en rendre compte, d’être en éveil, toujours, à chaque instant et de s’en servir.
Je viens d’écrire un opuscule intitulé Coupe-Carotte, dans lequel je présente ma pratique du cut-up et comment celui-ci a influencé mon écriture entre 1972 et 1997. Ce petit volume doit paraître prochainement aux Éditions Derrière La Salle De Bains.
Quels sont les divers aspects qu’a pris ce travail du texte au cours des années et des expérimentations successives ?
J’avais déjà utilisé la méthode Dada des mots placés dans un chapeau et transcrits dans l’ordre de leur apparition. Ensuite, je suis passé au cut-up classique réalisé à partir de pages de mes carnets de notes dans les années 1970 (pages coupées en quatre et scrupuleusement réassemblées selon les principes mis au point par William Burroughs et Brion Gysin). Allant plus loin, j’ai testé le cut-up de cut-up avec effets sonores ajoutés (tout ce travail était mené parallèlement à l’usage du magnétophone à bande, découpes, manipulations, épissures, toutes choses qu’on fait aujourd’hui d’un mouvement de souris). J’ai aussi pratiqué le cut-up mental. Par exemple, en prenant des notes, dans un train, dans une réunion. La prise de notes se fait automatiquement, donc en sautant des mots et des phrases. Le sens n’a aucune importance (on écrit ce que l’on entend au moment où l’on écrit), d’autant que s’ajoutent aux bribes du discours initial, des considérations personnelles sur le cadre de l’action (lieu, bruits, odeurs), et sur les particularités des protagonistes.
Je suis arrivé au poème express lorsqu’au lieu de couper, j’ai commencé à raturer les textes, à caviarder les pages, depuis les tracts politiques ou syndicaux, jusqu'aux prospectus publicitaires en passant par les romans à succès. Le poème express est, comme le cut-up, une réponse à l’angoissante (hum !) question de la page blanche, puisqu’il commence à partir d’une page déjà écrite, imprimée, le plus souvent, page arrachée d’un roman d’amour ou d’un roman policier. Il suffit de biffer le maximum de mots, de lignes, jusqu’à arriver à une combinaison satisfaisante pour l’esprit ; une autre façon de briser les lignes d’association... Le mixage dérive du cut-up, lorsqu’on mélange des bribes de journal avec, par exemple, des paragraphes découpés dans un roman pornographique. Le même procédé permet aussi la création de situations pseudo- romanesques. C’est ainsi que j’ai rédigé un court roman expérimental intitulé Le Lapin mystique, dont les deux premiers chapitres ont été composés en mixant quelques pages d'un roman policier de Mickey Spillane avec des lettres de la carmélite Xavérine de Maistre. Le reste du roman a pour fonction de justifier les « bizarreries » initiales. Le résultat donne une intrigue cyclique puisque le livre achevé, on peut le relire dans une optique « logique ».
Qu’est-ce que l’écriture justifiée ? Comment t’en est venue l’idée ?
L’écriture en vers justifiés que je préfère maintenant appeler « vers arithmogrammatiques » (l’expression est de Jean-Pierre Bobillot) est presque..., ..., ...
( Jack Kerouac, par là )
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jfblamagieaviation · 5 years
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Aviation : les machines volantes - Art philatélique, bloc feuillet émis par la France en 2006
Cliquez sur les photos pour les zoomer. ════════════ ❄❄ 
Prix : 43 € - envoi avec suivi dans une enveloppe cartonnée rigide
════════════ ❄❄ 
Histoire de l'aviation, Montage numérique de photos 
Vous cherchez un vieux coucou !
Regardez ce bloc qui a raté son atterrissage et se retrouve fixé sur une photo. Seul véritable objet philatélique dans cet article, il est protégé par son sachet protecteur.
Cette photo sera imprimée et le bloc de timbres y sera collé, par le biais de son sachet protecteur. 
C'est ce que vous pouvez découvrir sur la première vue.
Quelques informations techniques :
papier photo de 270 g à séchage immédiat.
Emission du bloc de timbres dentelés  par la France en 2006 
sur feuillet de 143 x 105.
Les avions qui apparaissent :
l' "Hélicoptère" du vicomte Ponton d' Amécourt
la "Demoiselle" d' Alberto Santos-Dumont
la "Barque ailée" de Jean-Marie Le Bris
l' "Avion III" de Clément Ader
l' "Hydravion" d'Henri Fabre
le "Ballon à rames" de Jean-Pierre Blanchard
à titre indicatif, bloc coté 10 € dans le catalogue 2019.
poids de l'enveloppe cartonnée : 90 g
Matériaux utilisés : carton, papier cristal, film fleuriste, pastilles adhésives, papier photo 280 g
Couleurs : multicolore
Taille :  A4 c'est-à-dire 210 x 297 mm, en mode portrait
Style : Rétro, Historique
Thème : Aviation,  les machines volantes
Destinataire : tous publics
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ozkamal · 5 years
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Directed by Colin Solal Cardo Story by Christine and the Queens & Colin Solal Cardo Screenplay by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz
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selidren · 2 years
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Eté 1895 - Champs-les-Sims
5/5
Je suis aussi très heureux de vous annoncer que les grands travaux d’aménagement de notre domaine sont pour l’instant terminés. Après des années de chantier, les environs de la maison ont encore pu être aménagés pour que notre domaine ait de domaine autre chose que le nom. En plus des travaux lancés par mon oncle pour aménager des terrasses et un jardin pour nos promenades, j’ai en sus investi dans une écurie que nous allons  incessamment pouvoir peupler, alors que nous louions jusqu’à présent une carriole aux De Chastel.
J’ai en plus complètement rénové la distillerie. Oncle Maximilien s’était contenté de garder la ferme de mes aïeux en l’état, en y ajoutant simplement les pressoirs et les casiers de vieillissement. C’était une sale sombre et lugubre, et le développement de notre affaire exige de nous des locaux plus adéquats. J’ai fait percer des fenêtres plus grandes, abattre des cloisons et réorganiser l’espace afin que nos ouvriers puissent travailler en y voyant clair. J’ai en outre fait revoir l’isolation afin que nos caves permettent un meilleur vieillissement de nos vins et y contrôler davantage l’humidité. 
Tante Lucrèce m’avait raconté autrefois de quelle façon votre père avait transformé la maison de son enfance en la riche demeure où vous avez grandit. Je sais vos aspirations plus champêtres et peut-être n’en pensez vous pas moins, mais je pense pouvoir comprendre ce sentiment de satisfaction qui a pu le prendre une fois les travaux achevés. Envoyez moi vite de vos nouvelles.
Avec l’assurance de mes salutations les plus cordiales, 
Adelphe Barbois
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aisakalegacy · 4 years
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Été 1833, Hylewood, Canada (3/3)
Je te parlais plus tôt de ma conversation avec le Révérend. Il est d’accord pour que je te parle de son problème, car il me lit toute tes lettres, il a connaissance de leur contenu, et il pense que tu seras de bon conseil. 
Le frère du Révérend est un veuf qui a dû élever seul ses trois fils : Jean-Marie, Matthieu et Raphaël. La famille du Révérend est censée être le modèle de la famille chrétienne pour le reste de la communauté. L’aîné, Jean-Marie, doit reprendre la propriété de son père. Il y a quelques temps, une fille de l’île est venue devant sa porte avec un enfant et l’a accusé d’en être le père. Le Révérend ne l’a pas crue et il a défendu son neveu, qui affirmait alors ne lui avoir jamais parlé. La fille est rentrée dans sa famille, et ils sont depuis exclus de la communauté. Tout le monde pensait cette affaire réglée, mais l’autre jour,  la même fille s’est représentée, enceinte. Le Révérend a surpris Jean-Marie en pleine discussion avec elle : ils n’avaient pas du tout l’air étrangers, le contraire même, et la fille en larmes lui reprochait de ne pas avoir tenu sa promesse et qu’il avait dit qu’il l’épouserait. Jean-Marie lui a répondu une goujaterie, et le Révérend, qui en avait trop entendu, s’est fait voir et a réussi à lui faire admettre que toutes les accusations de la fille sont avérées, mais qu’il refuse de l’épouser : sa famille est pauvre, vois-tu, et il aspire à mieux en tant qu’héritier. Les Leloup sont dans une très mauvaise position, car ils ne peuvent pas le contraindre et son refus entache la réputation de toute la famille car toute l’île est au courant, sauf le père, ce pauvre homme, qui est parti en ville pour quelques mois. Ce garçon reste son neveu, et malgré son indignité, il ne peut pas se résoudre à le rejeter. Le Révérend a donc réuni les mères des trois plus anciennes familles de de l’île afin d’avoir leur avis et prendre une décision le concernant. 
Étaient donc présents les trois frères Leloup, le Révérend, le nouveau pasteur qui l’assiste, la mère Rumédier, Christine Fontenot - tu te souviens sûrement de Christine et moi-même. 
Matthieu bouillonnait tout du long, et sa colère était alimentée par le faux air innocent qu’affectait Jean-Marie. Des trois fils, il est celui qui a le sang le plus chaud, et je pense qu’il aurait sauté à la gorge de son frère si je n’avais pas été là. 
Le Révérend, Christine et Raphaël Leloup étaient partisans de pardonner à Jean-Marie à condition qu’il dédommage la famille de la fille et qu’il prenne à sa charge l’enfant. Matthieu Leloup, le Pasteur Hérintois et la mère Rumédier demandaient à ce qu’il épouse la fille Bernard, sans quoi il devrait quitter l’île. 
Je n’avais pas vraiment d’avis et je trouvais que tout le monde en faisait trop : tout le monde est pécheur, et il me paraissait injuste de punir un jeune homme pour une erreur de jeunesse : dédommager les Bernard pourrait le ruiner, et je pense que ce n’est pas correct de forcer un jeune homme avec toute la vie devant lui à épouser une fille dont il ne veut pas. Mes propos ont fait immédiatement réagir Christine Fontenot. Elle m’a pris à part, et elle m’a fait réaliser quelque chose. 
Tout ce temps, je ne m’étais mis qu’à la place du garçon. Je m’imaginais les impacts que tout cela pouvait avoir sur sa vie, mais à aucun moment je n’avais considéré le point de vue de la fille. Lui pouvait perdre un peu d’argent, un peu de réputation, mais en aucun cas devenir infréquentable. Elle allait perdre toute sa vie : rejetée par tout le monde, peut-être exclue par sa famille, embauchée nulle part sauf en faisant semblant d’être veuve, jamais épousée. J’avais toujours pensé : « et si cela m’arrivait ? ». Maintenant, je me dis : « et si un homme faisait cela à ma Joséphine ? ».
J’aurais aimé que Papa me fasse prendre conscience de cela plus tôt. Toi qui as trois fils, comment ferais-tu face à une telle situation ? Quand je vois mon fils, je ne peux m’empêcher de me dire qu’un jour, peut-être, il deviendra cet homme que je redoute.
Ton frère,
Jacques
Transcription
Jean-Marie Leloup : Je ne comprends pas pourquoi j’ai l’impression qu’on me met en procès. Je suis très clairement la victime de cette situation.
Matthieu Leloup : Si j’entends encore un mot  qui sort de ta grande gueule, Jean-Marie, je jure devant Dieu que je te butte moi-même !
Révérend Théophile Leloup : N’invoque pas le nom du Seigneur en vain, Matthieu. Nous sommes tous là pour trouver une solution.
Liliane Rumédier : Les propos de Matthieu sont extrêmes, mais je suis d’accord avec lui. Jean-Marie doit épouser celle à qui il a fait du tort, ou bien il doit partir.
Jean-Marie Leloup : Je suis innocent, vous dis-je ! Autant que l’agneau qui vient de naître !
Matthieu Leloup : LA FERME !
Liliane Rumédier : *soupire longuement*
Pasteur Pierre Hérintois : Si Monsieur Leloup avait montré des signes de remords, je l’aurais volontiers accompagné sur les chemins  de la rédemption, mais je dois avouer qu’il ne nous aide pas beaucoup…
Révérend Théophile Leloup : Le seigneur ramène toujours les pêcheurs en son sein !
Christine Fontenot : S’il dédommage la fille et qu’il s’engage à entretenir l’enfant tout au long de sa vie, je ne vois aucun problème à ce qu’il reste sur l’île. 
Raphaël Leloup : Je suis d’accord avec Madame Fontenot. Nous pardonnerons à Jean-Marie, mais à la condition qu’il montre sa volonté de se faire pardonner à la famille Bernard.
Matthieu Leloup : Qu’il les dédommage ?! Vous vous foutez de moi ? Avec cette « solution », c’est notre famille entière qui se trouve lésée ! Il l’épouse ou il se barre ! Qu’il assume tout seul ses actes !
Jacques Le Bris : Tout doux, Matthieu,  on arrivera à rien si on s’étripe. Je trouve qu’on s’excite pour peu de choses et je n’aime aucune de vos solutions. Il n’a que vingt-quatre ans, il ne devrait pas avoir à payer toute sa vie pour une erreur de jeunesse.
Christine Fontenot : « Erreur de jeunesse » ? Venant de toi, ce genre de propos ne  me surprend même pas. Tu es toujours là pour prendre, mais quand il s’agit de donner, on ne peut plus compter sur toi.
Jacques Le Bris : Je suis désolé de t’avoir éconduit, Christine, mais c’est vraiment pas le moment de parler de ça.
Christine Fontenot : Parce que tu crois que c’est de cela qu’il s’agit ? En tant que femmes, nos seules richesses, c’est notre réputation. Les hommes comme toi sont prêts à sacrifier nos dignités pour vos menus plaisirs. Mais j’ai une question à  te poser : si cela arrivait à ta fille, serais-tu toujours aussi clément à l’égard de celui qui l’a déshonorée ?
Jacques Le Bris : Je suis désolé. Je n’avais pas…
Christine Fontenot : Ne te donne pas la peine.
___________________________________________________________
Je voulais essayer un nouveau format, car je me sens limité par le format strictement épistolaire qui ne donne pas la parole aux personnages et qui ne montre que ce que Jacques et le Révérend veulent bien en dire. Je ne sais pas si je referai d’autres formats de la sorte, on verra bien !
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motioncollector · 5 years
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Christine and the Queens - La vita nuova via https://youtu.be/EIdSORj_dd0 // La vita nuova New EP available here: https://ChristineAndTheQueens.lnk.to/lavitanuova_Yo Story by Christine and the Queens and Colin Solal Cardo Directed by Colin Solal Cardo Produced by Rémy Solomon Executive producers: Julien Berlan, Elsa Rakotoson, Marie Fioriti DOP: Crille Forsberg Choreographer: Ryan Heffington Editor: Tianès Montasser Costume Designer: Jonathan Huguet Set Designer: Jeanne Ader Color grading: Fabien Pascal Guest starring: Caroline Polachek and Félix Maritaud as “The Fauna” Dancers: Brandon Masele, Emmanuelle Soum, Enzo Boffa, Josh Wild, Liza Lapert, Maji Claire, Patric Kuo, Silvia Contento Extras:Adam Dahibi, Adam Grandval, Alan Tardif, Alexia Pereira, Aminata Thiboult, Bonnie El Bokeili, Coli-Fary Diouf, Erwan Fale, Eva Studzinski, Fabian Lamy, Fatoumata Diawara, Fleur Dujat, Jordy Van Beghin, Laurent Benhenni, Mariana Benenge, Mélissa Bocoum, Melvin Malheurty, Nicolas Lecourt Mansion, Pricile Ugena, Reihane Grandguillaume, Roxanne Ky, Ryan Meng, Sahné Rasoanaivo, Serena Freira, Stencia Yambogaza, Thomas Lelong, Tidiane Diop, William Dybele Line Producer: Ophélie Stavropoulos Production Coordinator: Mélanie Gilbon First Assistant Director: Juliette Mabille Second Assistant Director: Elsa Michon Assistant Choreographer: Benjamin Milan Casting Extras: Dourane Fall, Conan Laurendot Leader Extra: Fiona Bègue Assistant: Hugo Dao First Assistant Camera: Loup Lebreton Second Assistant Camera: Dimitri Sorel Third Assistant Camera: Jimmy Nguyen Steadicam Operator: Rémi Quilichini B Camera Operator: Julien Pujol Art Department Coordinator: Marie-Aubrey Molès Second Assistant Art Director: Isabelle Lawson Prop Master: Victor Delbos Set Decorators: Lisa Boukobza, Gilles Garnier, Clothilde Cras De Belleval, Timon Milon, Laurent Saint-Gaudens, Océane Dufau Unit Manager: Kim Shewy Unit Assistants: Marion Prieux, Jean-Fred David, Djibyrile Sy, Romane Botquin, Penelope Ader, Charles Crapart, Alexandre Do, Emilia Massias, Jérôme Babinard, Sacha Hayon Gaffer: Basile Barniské Electricians: Adrien Lallau, François Auclair, Vincent Taberlet, Marchal Bedy, Frédéric Chevrier, Lucas Janiszewski, Matthieu Legoupil Key Grip: Tristan Morin Grips: Zaher Megdiche, Camille Conroy, Tanguy Bourgeois, Thomas Canivet, Ugo Villaume Make-Up Artist: Manu Kopp Hair Stylist: Pawel Solis First Assistant Costume Designer: Sarah Bernard Second Assistant Costume Designer: Lise Breton Adjuster: Brice Fernandes Stylist Extras: Pierre De Mones Stylist Extras Assistants: Jill Gattegno, Louise Pisselet Sfx Make-Up Designers: Raphaël Guionnet, Charlotte Arguillere, Antoine Wayne, Cindy Bohn, Joël Mogade, Alexis Kinebanyan, Christophe Mureau Sound Recordist: Charles Darnaud Sound Mix: Alban Lejeune, Eliott Sebbag Sound Mastering: Ash Workman Post Production: Everest Head Of Post Production: Sylvain Obriot Color Grading: Fabien Pascal Post Producer Fx: Chloé Juillard Editing Assistant: Ella Dixon Technical Post Producer: Jeremy Le Bris Graphists: Vincent Heine, Stephane Gassin, Francois Puget, Damien Thiebot Title Designer: Julien Seiller Typographer: Julien Priez Set Photographer: Jonathan ‘Ojoz’ Adelaide Special thanks to: Les équipes de l’Opéra national de Paris, Nicolas Lecourt Mansion, Julien Pujol, Silverway, Kodak, Everest, Rvz http://www.christineandthequeens.com Like Christine on Facebook: https://www.facebook.com/christineandthequeens/ Follow Christine on Twitter: http://www.twitter.com/queenschristine Follow Christine on Instagram: https://www.instagram.com/christineandthequeens/ Subscribe to the channel : http://bit.ly/ChristinetheQueens
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karlperi · 7 years
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VÉTÉRANS ET AMIS DE LA POLICE NATIONALE D'HAÏTI (VAPONAH). Pour l'histoire. - Une âme policière qui nous convie à travers ses écrits, à ressasser le passé historique de la Police Nationale d'Haïti (P.N.H.) Témoin des premières heures de la création de la Police Nationale d'Haïti (PNH), on est en mésure d'en parler. Après le coup d'état en 1991, le Président Jean-Bertrand Aristide en exil plaidait partout où il passe pour avoir une force de Police en Haïti. Des jeunes recrutés, soit à la base militaire américain de Guantamo, à Cuba, à Régina, au Canada, à l'académie militaire, à frères, d'autres au Chili, en Équateur, et aussi quelques membres des Forces Armées d'Haïti (FAD’H). L'institution est un meli melo, et de là, déjà pas d'homogeneité. On assimilait à ceux etudiés à Régina, au Canada des hommes du Président Jean-Bertrand Aristide et pourtant. Pour la vérité et pour l'histoire, les policiers, ayant été formés, sur la baie de Guantamo, à Cuba: Chouchous (les préférés) du chef d'état. Maître Léon Jeune ne fut jamais Commandant en chef de la Police Nationale d'Haïti (PNH), mais Sécretaire d'État à la Sécurité Publique (S.E.J.) et remplissiez ce rôle. Le premier Directeur Général ai. de la Police Nationale d'Haïti (PNH) fut l'avocat Adrien Rameau et le premier Inspecteur Général en chef (IGC) de la Police Nationale d'Haïti (PNH) fut également Maître Luc Eucher Joseph. Au commencent, ce furent les ex-Officiers des Forces Armées d'Haïti (FAD'H) qui furent au commandement des détachement de la Police Nationale d'Haïti. À la base du Corps d'Aviation bas de la route de Delmas, Quartier Général des nouveaux Policiers venus de la base Guantamo (ils s'habillaient en gris) et le Capitaine Étienne St. Gourdin, responsable et le Lieutenant formé a West point Réginald Delva, Administrateur et deux autres officiers des Forces Armées d'Haïti (FAD'H) et deux Policiers formés à Régina. Et, dans la suite les premiers commissionnés en Haïti furent les Évans Bryant, Emmanuel Limage et eux aussi avec d'autres les premiers de Brigade Criminelle (BC) de la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ). Autre chef d'état, mésures nouvelles. Le Président René Préval nomma Pierre Denizé nouveau Commandant en chef de la Police Nationale d'Haïti (PNH) et ce dernier fut le premier Directeur Général de cette institution, qui a été ratifié par la haute chambre (le Sénat de la République). Du nouveau, Robert Manuel, Sécretaire d'État à la Sécurité Publique (SEJ). Des changements, transferts, révocations, mutations et la création du "Groupe d'Intervention de la Police Nationale d'Haïti (GIPNH), communément appelé "SWAT Team". Les hommes de Régina, la cible, des éléments de Tabarre à l'écart. Mr. Robert Manuel forme son équipe, les Policiers de l'Équateur, tous Commissaires de Police, responsables des Commissariats: de Delmas, de Pétion-Ville, de Mirebalais, de Carrefour, des Croix-des-Bouquets, et ajoute à sa formation, l'ex-Capitaine des FAD'H, Etienne St Gourdin, premier Commandant du GIPNH/SWAT Team. La Police Nationale d'Haïti (PNH) entre les mains de Mr. Robert Manuel et Mr. Pierre Denizé approuve tout. Les hommes en kaki de Dany Toussaint, certains d'entre eux Commissaires, ceux du Corps de Sécurité Ministeriel (CSM) (les hommes de Guantamo, au corps d'aviation dispersés à travers la République et les Commandants révoqués et moment de repos à la pension de la rue du centre. Et retour à la maison blanche. Des changements au sein de la PNH. Le Président Jean-Bertrand Aristide aux rênes du pouvoir. Le nouveau chef de la Police Nationale d'Haïti sort du tiroir de la Présidence, mais en réalité Oriel Jean tirait et tissait toutes les ficelles de l'institution. D'autres chefs, d'autres hommes. Et les Policiers formés à Régina sont à l'honneur, Commissaire Divisionnaire Hermione Léonard Directrice Départementale de l'Ouest (DDO), à Pétion-Ville, Carrefour, Caféteria, au Bureau de Renseignement et d'Information (BRI), Ah les victimes du passé! Le temps passe, le pouvoir file comme des poissons en eau douce, hommes forts de René Garcia Préval, froids par prudence, ce sont eux les vrais de la démoralisation de notre Police Nationale. L'histoire est vraiment longue, peut-être un autre, dans ses écrits ou dans les pages d'un livre vous parlera comment ca marche, d'intrigues en intrigues, la jalousie, l'ambition de tels postes et le moral des autres subalternes à zéro constatent tout et perdent toute confiance. Mais notre institution vivra car le but, le seul: est de PROTÉGER ET SERVIR. --Auteur Anonyme.
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reves-reguliers · 8 years
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Nuit 16-17 février 2017 07:26
Les trois premières parties sont interchangeables. Je ne me rappelle plus de l'ordre. On est dans un marché bondé. Pierre me tient par la taille. Il me dit de payer pour lui. Je m'embrouille entre des billets en serviette en papier et des vrais. On suit un spectacle. Avec une fille qui chante très bien une chanson de dessin animé, genre Maya l'abeille. Elle est petite et j'ai du mal à la suivre. Je crois que c'est Sarah Borenstein Je suis en terrasse d'un café. On entend la voix d'un hacker au travers du bassin du bébé de Philippe Jeusette. Il fait des prédications. Le mec parle de hacker news, il dit que ça ne va pas. Il dit que tout coïncide, Charlie Hebdo, les bandes dessinées, il cite les les pages exactes où les évènements étaient prédis. Pierre est troublé preuve qu'il connait toutes ces référence. On lui demande s'il tape sur clavier ou s'il parle par un micro. Il dit : "peu importe puisque vous m'entendez". Je visite une maison avec des bris de verre au sol et une moquette bleue nuit. La maison est vide et immense. Personne n'y vit plus, mais pas depuis si longtemps. Je suis avec Sylvain. On parle à qqun par un robinet de la baignoire. Il fallait que j'aille rincer un truc sur mon corps. Je crois qu'on baise en parlant à la proprio par ce genre de robinet. Ou l'ancien locataire. La salle de bain est nivelée. Comme une cascade étroite mais en matière plastique baignoire. On parle à une protuberance de plastique de cette structure. De part et d'autre de la structure il y a des marches carrelées bleues. On fait visiter à un mec la maison d'à côté. Un viel arabe. Il veut louer la maison. Je suis dans un café avec d'autres gens. Je mets les pieds dans le plats d'une surprise que Jean-Maël veut faire à sa femme (je crois que c'est Lisa Kriwin). Il dit qu'il veut prendre l'air, je l'accompagne et il fond en larmes dans mes bras. Maintenant c'est le frère mort de Avigaël Lowi. Qui m'explique que ça ne va du tout dans sa relation amoureuse. Il pleure. Beaucoup. Je le serre dans mes bras. Il dit qu'il Il ne sait plus quoi faire avec cette relation. Il me plaît. Je lui propose un café la semaine prochaine. Il veut bien. Il essuye ses larmes. Je suis bien contente de ce rendez vous avec un jeune beau cadre sup' désespèré. Je rejoins les filles qui m'attendent sur un chemin de terre au soleil fin de journée hivers, elle me disent que ça fait longtemps (genre 20 min) quelles m'attendent. C'est à cause du mec en pleurs que je suis en retard. C'est le mec de l'une d'entre elles sauf que c'est Laura Friedlander maintenant. Elles sont trois. Elles ont le même âge que moi mais elle me paraissent plus âgées. Peut-être parce qu'elles veulent se marier et avoir des enfants. Peut être qu'elles en ont déjà. Aussi parce qu'elles ont de gros culs. Je dis que je suis désolée pour l'attente. Qu'il fallait qu'elles y aille, que je les aurais rattrapées. Qu'on se serait appelées. Que Pierre ne m'attend plus jamais, que je le rejoins. En écrivant ces lignes je me rends compte qu'en vrai, Pierre m'attend tout le temps.
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selidren · 7 months
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Hiver 1916-1917 - Champs-les-Sims
5/7
Je suis bien loin d'être une spécialiste aussi informée que Constantin, mais il me semble que les autres bustes que nous possédons sont également de la XXème dynastie. Personnellement j'ai un attrait plus particulier pour l'art de la XVIIIème et XIXème, mais je trouve cela fascinant de voir que nous avons dans notre collection des reliques datant d'une lignée de princes de sang, qui se sont autrefois passés le pouvoir de mains en mains. Bien que l'on puisse reprocher aux pharaons de la XXème l'affaiblissement progressif de l'Egypte, il y a quelque chose d'émouvant dans tous ces portraits qui reprennent le nom et la forme d'un ancêtre prestigieux. Cela me rappelle ma petite Eugénie. Le jour où Madame Eugénie nous quittera, elle sera là pour se souvenir d'elle.
Nous possédons aussi une très belle collection de vases canopes que nous exposons dans le bureau, de même que mes photographies. J'espère pouvoir un jour vous les montrer et je sais que Constantin en serait également extrêmement fier.
Transcription :
Eugénie « Tu es bien gentil d’accompagner ta vieille grand-maman à sa promenade mon garçon. Et quelle élégance, tu me rappelles ton grand-père au même âge ! »
Marc-Antoine « Votre mari, André ? »
Eugénie « Oh grand Dieu non ! Tu n’as rien pris de lui le ciel soit loué ! Non, je parlais de Maximilien. Et tu lui ressembles presque trait pour trait. Chez lui, l’élégance n’était pas qu’une question d’allure mais aussi de physionomie. Et tu as la même prestance. »
Marc-Antoine « Merci Grand-Mère, c’est gentil. Allons nous monter jusqu’à l’étang ? »
Eugénie « Non, le froid fait mal à mes vieilles articulations. Nous allons rester dans le domaine pour aujourd’hui si tu le veux bien. Cela te ferait plaisir que nous montions à l’étang un jour ? »
Marc-Antoine « Oui beaucoup ! Il y a une très belle vue sur le village de là-haut. »
Eugénie « Alors dès que le temps le permettra nous irons. Aujourd’hui, j’ai envie de venir ici. Tu sais ce qu’est cet endroit ? »
Marc-Antoine « Oui, enfin un peu. Les filles n’aiment pas venir jouer ici car elles trouvent que c’est un peu glauque. Et vous dites que des fois, les fantômes des morts sortent. C’est terrifiant je trouve. »
Eugénie « Oh ils ne peuvent pas nous faire de mal. Pas plus qu’il n’en ont fait de leur vivant pour certains, en tous cas. »
Eugénie « Je voulais venir ici avec toi, spécifiquement toi. Tu sais qui repose ici j’imagine ? »
Marc-Antoine « Oui, nos ancêtres. »
Eugénie « Exactement. Tous les Le Bris qui sont nés qui sont nés sur cette terre de la Butte aux Chênes, depuis plus de cent ans. A quelques exceptions bien sur. Il y a ton grand-père, Maximilien, dont tu tiens tellement. Il y a son frère, Matthieu, et deux de ses sœurs, Lazarine et Daphné. Mes enfants enterrés bien trop tôt. Il y a aussi feu mon mari, qui malgré ses actions détestables a eu à coeur le bien être de notre famille. Il y a aussi ses parents, Jean-Pierre et Marianne, tes arrière-arrière grand-parents, ceux qui ont rebâti sur les cendres du domaine familial. »
Marc-Antoine « Et un jour... »
Eugénie « Oui, un jour il y aura tes parents, ton oncle Adelphe, puis toi, tes enfants, et les enfants de tes enfants. Et bien sur, d’ici quelques temps, vous m’y enterrerez également. »
Marc-Antoine « Vous ne mourrez jamais Grand-Mère. Oncle Adelphe dit que vous êtes une force de la nature inébranlable et bien trop têtue pour céder aux caprices du destin. »
Eugénie « C’est adorable. Mais vois-tu, j’ai déjà enterré trop d’enfants et de petits-enfants. Je suis trop usée, mon petit. Comme beaucoup de gens de mon âge, j’aspire au repos après tant d’années de bons et loyaux services. Chaque personne enterrée ici a fait son devoir au service de cette famille. »
Marc-Antoine « Quel devoir ? J’ai des devoirs envers qui ? »
Eugénie « La famille, mon petit. Nous sommes chacun ici un individu, une pièce d’un immense ensemble que nous appelons la famille Le Bris, et durant notre vie, nous ajoutons notre pierre à l’édifice. De tous ceux qui reposent ici, je crois que c’est ton grand-père Maximilien qui le comprenait le mieux. »
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selidren · 3 years
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Eté 1873 - Champs-les-Sims
5/7
Maximilien a quand a lui atteint l’âge de dix-neuf ans, et la fin de son adolescence a été marquée par une poussée de croissance tout bonnement spectaculaire. Il est aujourd’hui, de très loin, plus grand que n’importe qui dans la famille. La maturité venant avec la hauteur sans doute, il a commencé à seconder Père dans son entreprise et se montre d’une incroyable efficacité. Il a en effet trouvé un catalyseur à ses mauvais penchants et semble à présent verser dans la concurrence agressive. 
Je ne souhaite pas vous ennuyer avec nos petites histoires de village, mais la production viticole est tenue au domaine Senecaux, à l’autre bout de la commune, et mon père comme mon grand-père y travaillèrent autrefois comme ouvriers. Il a été racheté il y a de cela quelques années par une riche veuve, Madame Brunet, qui prévoit de transmettre le domaine à ses fils. Le fait que les Le Bris tente de démarrer un commerce les a sans doute fait sourciller, mais ne les a guère inquiété. Et à raison, car Père a de grandes ambitions, mais pas la clairvoyance et la rapacité communes au monde des affaires. Ce n’est apparemment pas le cas de mon frère. 
Transcription :
Maximilien : Madame Brunet ?
Madame Brunet : Oui c’est bien moi.
Maximilien : Je me présente, Maximilien Le Bris. Mon père possède la Butte au Chêne et j’y travaille avec lui. 
Madame Brunet : Ah oui Le Bris ! L’homme qui s’est un jour rêvé vigneron mais qui n’a jamais été capable de produire autre chose que de la piquette. Un drôle d’homme votre père !
Maximilien : Oui d’ailleurs, à ce propos...
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