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#L’histoire d’Alexandra
toutmontbeliard-com · 6 months
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Les événements culturels d'avril 2024 à Montbéliard
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Le Pôle culturel de la Ville de Montbéliard, regroupant Musées, Médiathèque, Archives, CCSV (Centre Culturel Simone Veil), vous présente les événements culturels d'avril 2024 à Montbéliard : Exposition « Jardins, parterres et labyrinthes » JUSQU’AU 27 AVRIL 2024 Présentation de l’ouvrage acquis par la Médiathèque et la Société d’Emulation de Montbéliard " Le Thrésor des parterres de l’univers " de Daniel Loris publié en 1629. Un choix de photographies et d’archives municipales illustreront l’histoire et l’évolution des jardins de Montbéliard. Bibliophilie, livres anciens, documents d'archives et herbiers sur le thème des jardins complèteront la présentation. Entrée libre. Plus d’informations au 03 81 99 24 24. Médiathèque. Atelier origami SAMEDI 6 AVRIL DE 14H30 À 16H30 Sur le thème des fleurs et des jardins dans le cadre de l’exposition « Jardins, parterres et labyrinthes » A partir de 8 ans. Gratuit. Réservation au 03 81 99 24 24. Médiathèque. L’instant baroque - COMPLET DIMANCHE 7 AVRIL À 10H "Un bijou d’architecture" Musée d’Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel Dimanche au musée : Quand le végétal s’emballe ! DIMANCHE 7 AVRIL À 14H30 ET 16H Visite commentée adultes à 14h30. Visite-atelier en famille à 16h. Guirlandes florales, feuillages en dorure ou marquetés, boutons brodés... : scrutons et explorons ces ornements raffinés. Roses, œillets, pivoines, feuilles d’acanthes, tiges en rinceaux parent objets et mobilier des collections. Après la visite commentée, le parcours se poursuit en famille, pour chasser les détails ou esquisser quelques croquis ! Gratuit. Réservation conseillée au 03 81 99 22 57. Musée d’Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel Club lecture avec Benoit Camus LUNDI 8 AVRIL À 18H Venez et échangez autour du livre "L'archiviste" d’Alexandra Koszelyk. Une archiviste ukrainienne est contrainte de falsifier le patrimoine artistique et culturel de son pays dans le but de le rendre compatible avec les intérêts de son envahisseur. Un roman onirique sur l’identité et la mémoire des peuples. Gratuit. Réservation au 03 81 99 24 15. Centre culturel Simone Veil. Midi de la Médiathèque JEUDI 11 AVRIL À 12H15 Partage de coups de cœur entre les bibliothécaires et leur public. Possibilité d'apporter son sandwich. Entrée libre. Réservation au 03 81 99 24 24. Médiathèque. Cinéma documentaire SAMEDI 13 AVRIL DE 14H30 À 16H Projection d’une conférence d’une conférence de Christian MONJOU qui nous emmènera aux quatre coins du monde et à différentes époques pour nous faire découvrir des jardins remarquables et nous en expliquer le sens, leur raison d’être, les origines de leurs aménagements. Séance introduite par Marc Truttmann, amateur d’art. Entrée libre. Médiathèque. Atelier scientifique : Voler ! Le rêve de l’homme depuis la nuit des temps ! LUNDI 15 AU VENDREDI 19 AVRIL Des expériences à vivre avec François Herzig, passionné de bricolage scientifique. Atelier proposé en préambule de l'exposition sur Etienne Oehmichen. Les lundi et mardi pour les 5-8 ans, de 10h à 12h. Tarif : 20€/Enfant pour les deux jours Les mercredi, jeudi et vendredi pour les 9-13 ans, de 14h à 17h. Tarif : 35€/Enfant pour les trois jours. Pour les 5-8 ans et pour les 9-13 ans. Inscriptions et tarifs au 03 81 99 24 15. Centre culturel Simone Veil. Atelier création collective d'un parterre végétal en mosaïque MARDI 16 AVRIL DE 14H À 15H Création collective d’un parterre végétal en mosaïque avec le concours d’un jardinier du service Espaces verts de la Ville de Montbéliard. À partir de 8 ans. Gratuit. Sur réservation au 03 81 99 24 24. Atelier "gravez le végétal" MERCREDI 17 AVRIL DE 14H À 17H Par l’Artothèque-Ascap Une déambulation graphique parmi les parterres inventoriés ou inventés. Imaginez, composez, puis gravez votre jardin avec une presse à gravure ! Adultes et adolescent À partir de 12 ans. Gratuit. Réservation au 03 81 99 24 24. Médiathèque. Ciné kids surprise SAMEDI 20 AVRIL À 10H30 Du cinéma rien que pour les enfants ! Plus de 7 ans. Gratuit. Réservation au 03 81 99 24 24. Médiathèque. infos > www.montbeliard.fr Read the full article
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alapagedeslivres · 1 year
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L'histoire d'Alexandra - Amitié (tome 1) de Kerrigan BYRNE
Parmi les auteurs de romances, Kerrigan BYRNE est une référence, selon moi. J’ai eu plusieurs coups de coeur pour les histoires de cette écrivaine, telles Le brigand de Ben More (tome 1 de la série Sans foi, ni loi). Aujourd’hui, je tente la série Amitié et le premier tome, L’histoire d’Alexandra. Le résumé des éditions J’AI LU – 19 août 2020 : — Voulez-vous m’épouser, Votre Grâce ?Si Alexandra…
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songedunenuitdete · 4 years
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L'histoire d'Alexandra de Kerrigan Byrne
Je vous propose de lire mon #avis sur une romance historique que j'attendais avec impatience 🤗 : ✨ L'histoire d'Alexandra de @Kerrigan_Byrne -@Jailupourelle Un très bon premier tome servi par une très grande plume 💖. Je ne suis pas du tout déçue 🥰
En ce moment, je lis beaucoup de romance historique entre deux titres de fantasy adulte et jeunesse. Comme vous le savez, j’adore ce genre, mais je deviens de plus en plus difficile à séduire.
Toutefois, quand j’ai appris que les éditions J’ai Lu Pour Elle, allaient publier une nouvelle série de Kerrigan Byrne, je dois admettre que j’avais grand-hâte de l’avoir entre les mains.
C’est une trilogie
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#Réaction : Séance #06 L’identité dans un monde d’avatars
Réaction au billet « Séance #06 L’identité dans un monde d’avatars »d’Alexandra Reix-Le May
Facebook, Instagram, Lindkn, toutes ces plates formes numériques où la création d’un profil est maintenant devenue presque indispensable. J’ai utilisé le terme création puisqu’il est aisé de dire ou de faire ce que l’on veut avec nos profils. On peut de nos jours, présenter nos profils comme nous le voulons, et ce, de manière tout aussi fantastique que la technologie qui l’accueille.
Le billet auquel j’ai choisi de réagir traite de la présentation numérique qu’un individu peut faire de lui-même sur les réseaux sociaux. Alexandra véhicule que « l’identité numérique est une version de la perfection au détriment de l’identité réelle d’un individu» (Reix-Le May, 2018 : En ligne, 2e par.). Elle présente aussi l’idée que «cette quête de visibilité déroge des valeurs humaines concernant la confiance et l’acceptation de soi et peut amener à l’épuisement.» (Reix-Le May, 2018 : En ligne, 2e par.).
Suite à la lecture du billet de ma collègue, je me suis demandée pourquoi je voulais bien paraître sur ces différentes plateformes. J’en suis venue à la conclusion que pour certains, avoir une saine réputation sur le web contribue à créer une image profitable aux yeux des professionnels, collègues ou membres de la famille qui entourent un individu. Selon la compagnie Master your Reputation, il y a certaines règles pour contribuer à conserver une bonne réputation sur Internet.
Premièrement, il faut se rappeler qu’une fois sur le web, le contenu est bien difficilement effaçable. En ce sens, si une personne a décidé de garder une image de vous dans son propre ordinateur, on ne pourra pas lui enlever. En plus, comment savoir qui a le contenu en sa possession? Comment savoir s’il n’est pas partagé par une autre plate-forme?
Deuxièmement, il faut bien paraître. Vous avez surement déjà entendu parler de l’histoire où un patron avait découvert des photos compromettantes d’un de ses employés et l’avait renvoyé? Imaginez-vous que vos profils sont en fait des curriculums vitae. Supprimez les photos et le contenu indésirable afin d’éviter toute controverse.
Et puis troisièmement,  «construisez votre image».  Faites savoir ce que vous aimez, sur quel projet vous travaillez, pour quelles causes vous militez et parlez de choses intelligentes puisque c’est cette représentation que les internautes connaissent.
Suite à la lecture du billet de ma collègue ainsi que de ces règles traitées par Master your Reputation, je crois qu’une présentation numérique positive et dite comme parfaite ne comporte pas que des points négatifs. En effet, je crois qu’en véhiculant ce type d’image, une personne peut davantage contrôler sa réputation ainsi que les commentaires et les photos qui circulent à son sujet. De plus, en présentant une bonne image de soi, nous offrons aux employeurs et à nos collègues une image professionnelle et compétente qui correspond à certains critères sociaux.
Et si le bien paraître n’était pas uniquement une question de likes, mais aussi une question de contrôle de l’image et de contrôle de l’information sur soi ?
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Bibliographie
Guernalec, F. (2014). E-réputation : les 5 règles à connaître sur les médias sociaux. En ligne http://www.e-marketing.fr/Thematique/Medias-1006/Reseaux-sociaux-10032/Breves/reputation-regles-connaitre-medias-sociaux-232811.htm Consulté le 1 décembre 2018.
Reix-Le May, Alexandra. 2018. « Séance #06 L’identité dans un monde d’avatars ». Tumblr. En ligne. 8 octobre. URL : https://reixkrispies.tumblr.com/post/178853798804/séance-06-lidentité-dans-un-monde-davatars. Consulté le 1 décembre 2018.
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educfresnoy · 4 years
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Le jeudi 22 octobre, une projection du film La Baleine et l’escargote a eu lieu au Fresnoy, accompagnée d’un spectacle de marionnettes d’Alexandra Basquin de la compagnie de Fil et d’os.
Cette séance spéciale s’inscrit dans le dispositif « La première toile », en partenariat avec l'association De la suite dans les images qui est à l'initiative de ce dispositif. C’est une séance pour accompagner les plus jeunes spectateurs et spectatrices lors de leur première expérience du cinéma. Ce sont des films adaptés à la compréhension et au temps de concentration des enfants à partir de 3 ans, avec un accueil et un accompagnement spécifiques des spectateurs et des spectatrices.
Pour cette séance, les enfants ont été transportés dès leur arrivée dans un monde fantastique, celui des marionnettes. A travers des comptines et petites histoires, Alexandra Basquin a plongé les enfants dans un voyage les amenant en salle de cinéma et en les transformant en acteurs de la mise au noir avant la projection du film, permettant aux enfants de découvrir l’histoire d’une amitié insolite entre une baleine et une escargote de mer, les plongeant dans une odyssée fabuleuse au cœur de la nature, de l’infiniment petit à l’infiniment grand.
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les-tentatrices · 4 years
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Amitié, Tome 1 : L'Histoire d'Alexandra - Kerrigan Byrne
Dès que j'ai vu que Kerrigan Byrne sortait une nouvelle série, je n'ai pas hésité longtemps avant de me plonger dedans. J'adore cette auteure et particulièrement sa série "Sans foi ni loi" qui, je trouve, renouvelle le genre avec ses personnages atypiques.
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Amitié, Tome 1 : L’Histoire d’Alexandra – Kerrigan Byrne – Éditions J’ai Lu (Août 2020)
Dès que j’ai vu que Kerrigan Byrne sortait une nouvelle série, je n’ai pas hésité longtemps avant de me plonger dedans. J’adore cette auteure et particulièrement sa série “Sans foi ni loi” qui, je trouve, renouvelle le genre avec ses personnages atypiques. 
J’ai beaucoup aimé ce premier tome, engagé et…
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booksnunicorns · 4 years
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Amitié, Tome 1 : L’histoire d’Alexandra — Kerrigan Byrne
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— Voulez-vous m'épouser, Votre Grâce?
Si Alexandra a le culot de poser cette question, c'est que le duc de Redmayne lui apparaît comme son unique recours. Victime d'un maître chanteur, elle a besoin de la protection d'un riche mari. De plus, le duc ne cache pas le désir qu'elle lui inspire. Mais celui qu'on appelle le Diable de Torcliff est bien effrayant avec ses cicatrices et son physique imposant. Et, lorsqu'il accepte de la mener à l'autel, Alexandra pressent un vertigineux plongeon dans l'inconnu...
De Kerrigan Byrne publié en Aout 2020 chez J’ai Lu [ Amazon ] 448 pages
:: trigger warning ::
C'était du Kerrigan Byrne, je suis une inconditionnelle depuis que j'ai succombé à sa série Sans foi ni loi. Vous allez me dire qu'il n'y avait qu'une série en France... alors comment peut-on devenir aussi accro ? Parce que vous ne l'avez pas encore lu, en Romance Historique être capable d'être moderne sans pour autant enlever ce qui fait le charme de la RH est pour moi hyper rare. Ou on a le talent ou on ne l'a pas.
Je serais d'avis de mettre un Trigger Warning pour les lecteurs potentiels. Elle s'attaque à un sujet épineux et je trouve qu'elle le traite avec justesse et sans partir dans le drama que les auteurs ont tendance à utiliser. J'ai trouvé qu'elle parvenait à le décrire sans pour autant tomber dans le glauque ou le voyeurisme, elle donne ainsi un passé à son héroïne mais pas pour autant quelque chose qui la définirait. Alexandra n'est pas son traumatisme, mais elle en a les séquelle et son évolution est bien faite. Quant à l'homme qui lui fait face, difficile de ne pas se l'imaginer... encore un anti-héros comme elle les aime les faire. Et au-delà de son impressionnante carcasse/personnalité, l'héroïne lui trouve du charme... de la douceur, de l'humour. Une histoire alors sensuelle et douce se met en place, leurs échanges sont assez drôles avec le côté professoral d'Alexandra. Une fois que je l'ai commencé, impossible pour moi de m'arrêter car les ingrédients sont là pour me tenir jusqu'au bout, un vrai plaisir de la retrouver et j'ai hâte de continue et cette série, et plein d'autres encore en plus de Sans foi ni loi.
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trendsdresscom · 4 years
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Nos 10 podcasts préférés, la suite #2
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Après notre premier article sur le sujet en octobre dernier, voici un nouvel article avec de nouveaux podcasts à découvrir. Une autre manière d’occuper son temps durant le confinement si vous n’avez pas envie d’allumer la télé : le podcast. Vous pouvez les écouter pendant que vous travaillez (cela peut être un bon moyen de s’isoler), pendant la sieste de vos enfants, pendant une séance de sport… bref, il y a vraiment beaucoup d’occasions pour écouter un podcast et dans tous les cas, c’est un bon moyen de prendre du temps pour soi.
2 heure de perdues
Chaque semaine, l’équipe de chroniqueurs de 2HDP choisit un film et le décortique pendant environ une heure ; certains épisodes sont enregistrés en public. Chaque film est d’abord introduit et résumé avant que chaque chroniqueur ne donne son avis sur le film. Tout y passe côté film : Harry Potter, Jurassic Park, Un Indien dans la ville ou encore Twilight. C’est très drôle et caustique, vous éclaterez surement de rire seul (l’avantage du confinement, c’est que ça sera moins gênant que dans la rue). Chaque épisode est conclue par la lecture de commentaires laissés en ligne sur Amazon ou Allociné. Alors oui, vous perdrez peut-être deux heures mais vous rirez bien !
La leçon
La leçon c’est le podcast de Pauline Grisoni. Dans le but de démystifier l’échec, elle fait parler des invités au parcours inspirant d’un échec qu’ils ont vécu dans leur vie personnelle ou professionnelle et de comment celui-ci les a façonnés. Le but est d’en tirer une leçon. Je trouve que cela fait du bien de parler d’échec. C’est tellement important de montrer que nous ne sommes pas parfait, que nous avons le droit d’échouer et que c’est en fait primordial pour apprendre et évoluer.
Histoire de prénoms
Histoire de prénoms, c’est le podcast d’Alexandra. Elle interroge des parents sur l’histoire qui est derrière le choix du prénom de leur enfant. Il est toujours touchant et émouvant d’entendre ces petites histoires et le vécu mais aussi de découvrir, aussi, de nouveaux prénoms. Ce sont des épisodes assez courts qui sont très agréables à écouter. Et j’ai même eu l’honneur d’y participer récemment, pour parler du prénom de mes enfants…
Les équilibristes
C’est en revenant de son congé maternité et qu’on lui a proposé un poste de manager à responsabilités que Sandra a eu l’idée de ce podcast. Elle s’est retrouver à devoir jongler avec ses déplacements et son nouveau rôle de maman. Dans Les Equilibristes elle part donc à la rencontre de femmes (principalement, mais on peut y entendre quelques hommes aussi) qui parlent donc de comment elles parviennent à trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Ce podcast permet de déculpabiliser un peu et de voir que l’on est pas seul(e) à chercher ce fameux équilibre.
Histoire de succès
C’est Fabrice Florent qui a créé Histoire de succès dans lequel il interview des personnes connues ou inconnues sur leur succès. Il prend le temps de creuser et de revenir sur toutes les choses qui les ont menées au succès. J’aime bien ce podcast car on entend pas forcément des gens qu’on a l’habitude d’entendre dans les podcast comme par exemple Panteros666 ou Tryo.
Regard
Regard est un podcast produit par Birchbox dans lequel toutes les deux semaines, une femmes est invitée à répondre à la question « Qu’est-ce qui vous rend belle ? ». Dans chaque épisode sont questionnés les injonctions de la société et le regard que l’on porte sur soi-même. Cela fait réfléchir et prendre du recul sur ce que l’on pense de soi-même et cela fait du bien.
Les baladeurs
Les baladeurs c’est un podcast qui invite au voyage et je pense que c’est plus que nécessaire dans le contexte actuel. Chaque épisode est l’occasion d’écouter le récit de véritables aventuriers : on peut surfer avec Justine Dupont lors de sa session hivernale à Nazaré, escalader les montagnes d’Iran avec Sophie Massieu ou encore suivre la dessinatrice Aurélie Calmet lors d’une expédition scientifique sur la côte Est du Groenland.
Pow[HER]
Vous ne m’en voudrez pas de vous refaire un peu d’autopromo pour Pow[HER], le podcast que nous avec lancé avec Emilie Le Guiniec, mon amie et associée. Un lundi sur deux nous vous proposons l’interview d’une femme inspirante. Nous souhaitons donner la parole à toutes les femmes pour que vous puissiez toutes vous y retrouver ou vous identifier. Et aussi parce que nous sommes convaincues qu’il n’existe pas un seul mode de réussite… Il nous reste encore quelques épisodes à vous dévoiler et on a hâte d’en enregistrer de nouveaux.
Septem Club
J’ai découvert Septem Club par ma soeur, qui m’avait envoyé le lien du podcast cet hiver. J’ai dévoré rapidement tous les épisodes et j’ai même découvert, derrière le podcast, la superbe marque de prêt à porter qui est le fil conducteur des discussions. Bref, je vous le recommande !
Entre nos lèvres
Un podcast qui parle de sexualité sans tabou avec ses invitées… Entre nos lèvres aborde tous les sujets librement. Les nouveaux épisodes sortent un jeudi sur deux. J’ai particulièrement aimé l’épisode de Laëtitia, très poignant.
Et vous, quels sont vos podcasts incontournables ?
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Charlotte
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riguetblogw · 5 years
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Le temps d'un hôtel
Le temps d’un hôtel
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Le temps d’un hôtel
Le défenseur du temps et deux hôtels, c‘est ce que nous propose aujourd’hui Alexandra Delrue, animatrice des balades d’Alexandra.
Rappelons qu’Alexandra est une historienne qui a déjà publié notamment trois livres sur l’histoire des rues de Paris. Elle a réalisé les premier, deuxième et troisième arrondissements. Pour l’avenir, je suppose qu’elle rédige actuellement le…
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playvodma-films · 5 years
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PlayVOD Maroc vous propose de découvrir « Flashdance »
Si vous recherchez un film musical à succès des années 1980, alors pensez à regarder « Flashdance » d’Adrian Lyne. La fiction, disponible en VOD sur PlayVOD Maroc, raconte l’histoire de Jennifer Beals, dans la peau d’Alexandra Owens qui a un talent pour la danse.
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autumnandlatte · 5 years
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The Mermaid (2018) • Christina Henry
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Christina Henry a fait des réécritures de « contes » une de ses spécialités et elle leur donne un côté très sombre et torturé, parfois malsain. Elle a déjà sévi dans les univers d’Alice au Pays des Merveilles avec Alice et Red Queen et celui de Peter Pan avec Lost Boy qui se prêtent parfaitement à des visions très noires. Au regard du titre et en connaissant un peu l’auteur, j’ai commencé cette lecture dans cette perspective, en pensant lire une nouvelle écriture du conte d’Andersen avec un côté un peu glauque. Dans cette veine, j’avais eu un coup de coeur pour le premier roman d’Alexandra Christo, … Ces derniers mois, je suis vraiment captivé par l’univers des sirènes, de la mer et de ces créatures fantastiques. 
De ce fait, je n’ai pas été totalement déçue de ne pas lire une pure réécriture de la Petite Sirène. Certains éléments sont communs comme une créature de la mer attirée par la terre ferme et une vie humaine, des touches de magie… La ressemblance s’arrête là, à vrai dire. Finalement, quelques jours après avoir terminé ce roman, je me rends compte que le monde des sirènes est très peu développé. Rien n’est dit ou très peu de la vie d’Amelia sous l’océan. Christina Henry se concentre surtout sur sa vie terrestre, la manière dont elle s’est plus ou moins adaptée, comment les autres la percevait en créant un fort contraste entre sa vie dans le Maine où, en définitif, les gens ne semblaient pas attacher d’importance à ses origines et à ses bizarreries et New York, ville foisonnante de monde où elle devient un objet de toutes les curiosités. En définitif, avoir la vie d’une sirène sur terre, dans ce cas précis, était presque plus intéressant. 
Elle permet de développer la question, certes classique, de qui sont en réalité les monstres : les hommes ou les créatures surnaturelles. Plusieurs fois, le texte insiste sur le fait qu’elle n’est pas une créature de Dieu, même si elle a une forme humaine la plupart du temps. Pour créer ce contraste, Christina Henry oppose à Amelia, la sirène, un personnage historique, P.T. Barnum et place la majeure partie de son intrigue dans le musée des monstres et bizarreries de ce dernier. Il a fait récemment l’objet d’une comédie musicale qui a beaucoup fait parler d’elle quand elle est sortie, The Greatest Showman. J’ai beaucoup aimé ce film, mais qui donne aussi une belle image de cet homme, proche de sa famille et qui semble donner une deuxième famille aux personnes qu’il a à sa charge. Pourtant, il a aussi quelques scandales à son actif. Le roman est loin de cette image très policée, lisse de celui qui aurait inventé le show business. 
En effet, l’auteur convoque un homme plus intéressé par son enrichissement personnel au détriment souvent du personnel qu’il embauche, notamment ceux qui créent des performances autour de certaines de leurs particularités ou de leurs talents cachés. Il est présenté comme avare, aimant accumuler mais n’aimant pas dépenser, même pour améliorer quelque peu le quotidien de sa femme et de ses filles, ou pour la sécurité d’Amelia. C’est un homme austère, antipathique, arrogant et prêt à tout pour s’enrichir. Cet aspect est vraiment très bien montré dans les différents rapports de force entre lui et la sirène concernant sa performance, sa rémunération, la fin de son contrat… Le lecteur sent qu’il veut se l’attacher comme un objet et non une personne humaine, vu qu’elle n’est pas une créature de Dieu, surtout qu’elle lui rapporte beaucoup. Cette dualité entre créatures surnaturelles plus humains que les hommes et les hommes qui sont presque des bêtes cruelles est presque grossière avec la pureté et la gentillesse d’Amelia contre la grossièreté et la dureté de Barnum. Elle n’est pas subtile, mais, dans la dynamique du roman, elle fonctionne. En tant que lectrice, je me suis prise au jeu. C’est aussi tout un enjeu de l’histoire : savoir si Amelia va réussir à sortir des griffes de Barnum, comment, si elle va retourner à la mer ou dans son village… 
Ce point est ce qui m’a motivée à continuer le roman. Cette sirène est terriblement attachante, même si elle parle peu et montre peu ses sentiments. Il y a quelques choses de pur et d’innocent en elle qui fait que le lecteur prend vite son partie et déteste très rapidement Barnum qui l’arrache à sa tranquillité pour en faire un objet de musée, qui ne prend pas de précaution pour la protéger. Malgré ce côté manichéen, il y a du suspens pour savoir lequel des deux, finalement, va remporter le duel. Une fois commencé, j’ai eu du mal à lâcher The Mermaid, même si j’avais rapidement quelques idées sur la manière dont l’histoire se terminerait et certaines de mes hypothèses se sont révélées justes. Outre le fait de vouloir connaître le destin d’Amelia, le roman est aussi bien écrit. Christina Henri a une écriture fluide et prenante, elle arrive parfaitement à mélanger la part de fantastique et de magie avec l’époque historique qui voit le développement des cirques et des curiosités, avec aussi une population encore proche de la religion. Le contexte a également beaucoup joué dans l’appréciation globale de ce roman qui reste vraiment une très bonne lecture.
Christina Henry, malgré les défauts que j’ai pu pointer, a su me passionner d’un bout à l’autre avec cette histoire. Elle est bien racontée, dans une plume fluide et agréable avec des personnages attachants. Ce n’est prise de tête et pas aussi sombre que ce à quoi je m’attendais (surtout en ayant lu Alice où, dans ce cas, c’est vraiment très sombre et torturé, mettant le lecteur un peu mal à l’aise). The Mermaid m’a fait pensé à un film sorti sur Netflix cet hiver, La Petite Sirène avec William Moseley et Poppy Dayton.
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songedunenuitdete · 4 years
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Pour passer le temps, j’aime bien faire la liste des romans que j’aimerais acheter et lire chaque mois. Je me suis dit que ça serait sympa de partager ma wish-list (qui se transformera à coup sûr en achat) avec vous. Je vais donc vous présenter tous les livres que j’aimerais lire prochainement (et pourquoi) et qui concernent les sorties du mois d’août 2020 tous éditeurs confondus. Bon, après, il n’y en a pas des tonnes non plus.
Je commence ici par les romances historiques qui me font de l’œil chez J’ai Lu Pour Elle.
Le palais des vauriens (Tome 2) – Le bâtard de la maison Brexford de Julie Anne Long
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 322 Traducteur : Nicole Hibert Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Le Palais Des Vauriens Prix : 7,60€
Son résumé :
Après avoir connu bien des vicissitudes, Angélique Breedlove a enfin trouvé la sérénité au Grand Palais de la Tamise, une respectable pension de famille. Mais le jour où Lucien Durand vient s’y installer, sa tranquillité vole en éclats. Sans doute parce qu’on le disait mort depuis dix ans, et parce qu’il a l’intention d’acheter l’immeuble voisin pour ouvrir une maison de jeu… Et surtout à cause de son charisme redoutable. Angélique s’est jurée de ne plus tomber sous le joug d’un homme, et elle pressent que celui-ci a toutes les chances de lui faire perdre la tête.
Lire un extrait
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Je ne me souviens pas avoir lu le premier tome, j’ai un doute, mais le résumé et le fait que ce soit un coup de cœur de l’éditrice me donne grandement envie de le découvrir, j’avoue.
Amitié (Tome 1) – L’histoire d’Alexandra de Kerrigan Byrne
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 384 Traducteur : Lili Steehl de Ursecci Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Amitié Prix : 7,60€
Son résumé :
— Voulez-vous m’épouser, Votre Grâce?
Si Alexandra a le culot de poser cette question, c’est que le duc de Redmayne lui apparaît comme son unique recours. Victime d’un maître chanteur, elle a besoin de la protection d’un riche mari. De plus, le duc ne cache pas le désir qu’elle lui inspire. Mais celui qu’on appelle le Diable de Torcliff est bien effrayant avec ses cicatrices et son physique imposant. Et, lorsqu’il accepte de la mener à l’autel, Alexandra pressent un vertigineux plongeon dans l’inconnu…
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Alors là, je trépigne d’impatience ! Vraiment ! J’adore son autre série même si elle s’essouffle un peu. Celui-ci ne fera pas long feu quand le l’aurais entre mes mains.
Les mauvais garçons (Tome 2) – L’amazone aux yeux verts de Sarah Maclean
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020
Nombre de pages : 385 Traducteur : Agathe Nabet Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Les mauvais garçons (Tome 2) Prix : 7,60€
Son résumé :
À vingt-neuf ans, lady Henrietta a renoncé au mariage. Désormais, il est temps de s’affranchir des convenances pour prendre en main son destin. Et pourquoi ne pas s’occuper de la compagnie maritime que son père n’est plus apte à diriger? Oui, cette année, elle va enfin réaliser ses désirs. Elle en est persuadée. Mais elle n’avait pas prévu de devoir affronter, sur les docks de Covent Garden, Saviour Whittington, dit La Bête, roi des bas-fonds de Londres. Un homme dangereux, un homme sans honneur. Et si fascinant qu’elle a très envie d’être déshonorée…
Lire un extrait
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Comment dire… Là aussi, je meurs d’impatience, parce que je garde une excellente impression de l’univers et du contexte du premier tome ! J’ai de grands espoirs concernant cette série !
La lune voilée de Karen Robards
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 417 Traducteur : Pascal Guinard Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Prix : 7,60€
Son résumé :
Déguisée en garçon, Caitlyn O’Malley vit de petits larcins dans les rues de Dublin. Lorsqu’elle essaie de faire les poches de Connor d’Arcy, comte d’Iveagh, ce dernier la prend sur le fait. Au lieu de la dénoncer, il lui propose de l’arracher à sa misère. Ce que la jeune fille ignore, c’est que Connor mène une double vie : aristocrate le jour, il se transforme en Robin des Bois la nuit, volant les riches Anglais pour nourrir les Irlandais affamés. Bientôt, Caitlyn maîtrise les ficelles de la rapine et suit son bienfaiteur dans ses expéditions. Jusqu’à une nuit tragique où elle consent à faire un terrible sacrifice pour sauver Connor.
Lire un extrait
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Bon sang ! Je l’ai lu il y a des années (plus de 20 ans) et je m’en souviens vaguement ! Toutefois, je sais que j’avais adoré et du coup, j’espère ne pas trop m’en rappeler lorsque je le relirais. Je ne résiste pas à vous mettre l’ancienne couverture (perso, je la kiffe trop !)
Je vous mets ci-dessous la couverture de la première parution française (là encore, ça me rend nostalgique…)
Ensuite, il y a ce titre fantasy jeunesse qui me fait de l’œil depuis son annonce chez Bayard édition 😍 :
Rule Tome 01: Rule de Ellen Goodlett
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 512 pages Traducteur : Éric Moreau Editeur : Bayard Jeunesse Date de sortie : 26 août 2020 Série : Rule (1) Prix : 17,90€
Son résumé :
Une couronne, trois prétendantes prêtes à tout pour accéder au pouvoir.
Zofi, Ren et Akeykah vivent au royaume de Kolonya. Elles ne se connaissent pas et n’ont rien en commun. Lorsque le roi les convoque, elles s’attendent au pire. Chacune d’entre elles cache un lourd secret qui pourrait porter atteinte à leur vie. Quand le souverain leur révèle qu’elles sont ses seules héritières, le combat est lancé et chacune est bien décidée à prouver qu’elle mérite de régner. Mais quelqu’un à Kolonya connaît leurs secrets, et ne reculera devant rien pour les manipuler et les empêcher de conquérir le trône…
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Sa couverture est sublime ! Je suis vraiment curieuse de découvrir l’intrigue de ce roman !
Là, je passe chez les adultes concernant la fantasy avec deux titres (enfin trois) à paraître aux éditions Bragelonne :
Les dieux silencieux (Tome 1) : Le Maître des Chagrins de Justin Travis Call
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 552 pages Editeur : Bragelonne Traducteur : Nenad Savic Date de Sortie : 12 août 2020 Collection : Les Dieux silencieux (1) Prix : 25€
Son résumé :
Vous connaissez déjà cette histoire – celle d’un orphelin élevé par un vieil homme sage, d’un garçon qui découvre qu’il possède des pouvoirs et apprend à s’en servir pour protéger le monde d’un grand mal. Mais qu’arriverait-il si ce héros et ce mal ne formaient qu’un ? Sauverait-il le monde, ou le détruirait-il ?
Parmi les avatars de l’Académie, Annev de Breth est une exception. Au contraire de ses camarades, qui furent dérobés à leurs familles dans la capitale lorsqu’ils n’étaient que des nourrissons, Annev est né dans le village de Chaenbalu. Ayant survécu à un sacrifice, il a été élevé par ceux-là mêmes qui ont tué ses parents. Dix-sept ans plus tard, Annev porte le fardeau d’une magie interdite. Pris en étau entre les idées déclinantes de son mentor et les maîtres de l’Académie, il doit choisir entre un avenir prometteur et ses amis proches. Chacune de ses décisions le mène à un nouveau dilemme, jusqu’à ce qu’Annev soit contraint de se lancer dans une quête qui lui est étrangère. Acceptera-t-il de s’engager sur une voie potentiellement dévastatrice ?
Lire un extrait
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Bon, le résumé, le fait que l’on compare ce titre à du Eddings, et surtout les avis, m’intrigue !
La Roue du temps T7 : Une couronne d’épées de Robert Jordan
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 768 pages Editeur : Bragelonne Réédition du broché prévu pour août Série : La Roue du Temps (7) Prix : 25€
Son résumé :
Après avoir échappé à la Tour Blanche, Rand a réussi un exploit : obtenir la fidélité de certaines Aes Sedai renégates. Mais il est toujours pris en tenaille entre les Suppôts des Ténèbres et les Seanchaniens, une pression dont il se passerait bien alors qu’il réunit ses forces pour s’attaquer au bastion de Sammael. De leur côté, Elayne et Nynaeve cherchent un moyen de briser l’emprise du Ténébreux sur le climat. Quant à Egwene, elle conduit une armée vers Tar Valon. L’Ultime Bataille approche.
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Bon. En vrai ce tome est sorti en 2015, mais je suis toujours en cours de lecture de la saga. Je devrais commencer le tome 6 incessamment sous peu et pour le coup, je vous présente le tome 10 qui lui sort en août (oui, je suis en retard ^^)
La Roue du temps T10 : Le Carrefour du Crépuscule de Robert Jordan
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 744 pages Editeur : Bragelonne Traducteur : Jean Claude Mallé Date de sortie : 12 août 2020 Série : La Roue du Temps (7) Prix : 28€
Son résumé ( à ne pas lire si comme moi, vous n’avez pas encore lu les tomes précédents… croyez-moi, j’ai fermé les yeux pour ne rien voir !) :
La Roue du Temps tourne et les Âges naissent et meurent, laissant dans leur sillage des souvenirs destinés à devenir des légendes.
[toggle title=”Résumé avec des spoilers si vous n’avez pas lu les tomes précédents” state=”close”]Tandis qu’il fuit Ebou Dar, Mat déploie tout son charme pour faire fondre la glace entre lui et la Fille des Neuf Lunes, sa promise. Sachant qu’il l’a enlevée et quelque peu maltraitée, ce n’est pas gagné d’avance. À Tar Valon, Egwene assiège la Tour Blanche. Elle doit vaincre très vite et verser le moins de sang possible, car la réunification des Aes Sedai est à ce prix. Et si elle échoue, il ne restera plus que les Asha’man pour défendre le monde contre le Ténébreux. Bien qu’il ait réussi à purifier le saidin, Rand reste engagé dans une partie dont il est lui-même l’enjeu. Une situation peu enviable, quand on ignore combien d’ennemis se cachent parmi ceux qu’on tient pour des alliés…[/toggle]
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Fullmetal alchemist perfect T04 de Hiromu Arakawa
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 272 pages Editeur : Kurokawa Date de sortie : 20 août 2020 Prix : 11.90€
Son résumé :
Avec son subtil mélange d’action, d’humour, de suspense et de tragédie, Fullmetal Alchemist est le titre incontournable pour toute mangathèque !
Après quelques péripéties dans la région de Rush Valley, Edward et Alphonse quittent leur amie Winry, qui veut se perfectionner en mécanique, pour continuer leur voyage vers le sud du pays. Toujours en quête d’informations concernant la transmutation humaine, nos deux alchimistes se rendent chez leur maître, la terrible Izumi Curtis. C’est l’occasion de se remémorer les conditions de leur rencontre et le terrible entraînement qu’elle leur a fait subir.
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Eh oui, un manga ! Ce titre là, je le fais avec mon chéri, donc ça ira plus dans sa mangathèque que la mienne, mais ce n’est pas grave ^^.
Bon, comme vous le voyez il y a quand même pas mal de titres qui me font de l’œil (surtout en romance historique), et mon porte-monnaie va sérieusement souffrir ! Il n’aura même pas le temps de se remettre (le pauvre) car il y a de sacrées parutions pour le mois de septembre que je compte bien acquérir également !
Et vous, quels sont vos choix du mois d’août ? Dites-moi tout, peut-être que j’ai manqué des titres qui pourraient me plaire 🥰!
Les sorties d'août 2020 qui me font de l’œil et que j'aimerais franchement lire🙏😍 sont chez @Jailupourelle -@BragelonneFR - @BayardEditionsJ et @Kurokawa 💖 Et vous, quels sont vos tentations du mois d'août ? Je veux tout savoir 🥰☀ Pour passer le temps, j’aime bien faire la liste des romans que j’aimerais acheter et lire chaque mois…
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reflexionsnouvelles · 7 years
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Journées du Matrimoine : les bâtisseuses d’Histoire à l’honneur
Ce weekend, du 16 au 17 septembre, avaient lieu les 34e Journées européennes du Patrimoine. Elles ont rassemblé près de 12 millions de visiteurs. Mais sur 17 000 sites ouverts en France combien ont été bâtis par une femme ? Si elles ont inspiré de grands bâtisseurs, elles ont aussi construit l’Histoire. En parallèle de cet événement, les Journées du Matrimoine mettent en lumière l’héritage au féminin.
Le Palais de l’Elysée, l’Hôtel de Matignon, la Sainte Chapelle, le Parlement de Bretagne à Rennes ou encore l’Hôtel de Ville de Lyon. Tous ces monuments historiques étaient ouverts au public lors des Journées européennes du Patrimoine 2017. Et s’ils sont le reflet de notre héritage culturel français, ils ont aussi en commun d’avoir été bâtis par des hommes. « Oui, et alors ? », me direz-vous. Et alors, où sont les femmes ? Citez-moi, par exemple, le nom d’une architecte française… Vous séchez ? Et bien, moi aussi.
Patrimoine + matrimoine = notre héritage culturel
« Les Journées du Patrimoine ne mettent pas suffisamment en valeur l’héritage culturel au féminin », se désole Edith Vallée, membre du collectif HF Île-de-France, à l’origine des Journées du Matrimoine. L’ambition de cet événement, créé il y a trois ans, est d’alerter les Français et les Françaises sur le manque de représentation des femmes qui ont fait l’Histoire et leur absence au sein de l’espace public. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon une enquête de l’ONG Soroptimist, sur 63 500 rues françaises, seules 2% portent le nom d’une femme ; à Paris, sur 302 stations de métro, seule la révolutionnaire Louise Michel a eu le droit à sa plaque en faïence bleue.
La ville de Paris tente de rattraper le retard en attribuant désormais en majorité des noms de femmes à ses rues. D’autres mairies en font de même. À Vitry-sur-Seine, par exemple, cinq nouvelles voies créées se sont vu donner des noms de figures du féminisme. @Louise Pluyaud
« Regardez aussi les bâtiments, ils ont tous été construits par des hommes. Et les statues dans les villes ! La grande majorité sont à l’effigie d’hommes qui ont mérité la reconnaissance de la postérité, constate Edith Vallée. Il y a beaucoup de femmes dans la statuaire urbaine. Mais il ne s’agit que d’allégories. » Or, les femmes ont aussi créé. Elles n’étaient pas « que des muses ! », martèle le slogan des Journées du Matrimoine.
Elles s’animent
Les Journées du Matrimoine avaient lieu dans d’autres villes de France dont Lyon, Toulouse et Grenoble.
Pour le prouver, le collectif HF avait organisé ce weekend différents événements gratuits. Parmi eux, deux expositions et trois visites « dans les pas de femmes architectes », réalisées en partenariat avec le Mouvement pour l’équité dans la maîtrise d’oeuvre (MéMo). Les participant(e)s ont également pu assister à deux adaptations théâtrales : une performance dansée autour de l’oeuvre de l’urbaniste Iwona Buczkowska, au Blanc-Mesnil ; et une pièce retraçant le procès du Bobigny, en 1972, étape majeure vers la dépénalisation de l’IVG, à Bobigny.
Mais ce qui a le plus attisé la curiosité et suscité l’enthousiasme des foules, ce sont les fameux « parcours Matrimoine » dont Edith Vallée a le secret. Parisienne et historienne de l’art, elle a mis au point, pour cette nouvelle édition des Journées du Matrimoine, trois des quatre parcours urbains dédiés « à la mise en lumière des créatrices du passé » : « Sorcières » et alchimistes dans le 4e arrondissement, Les audacieuses de Montmartre dans le 18e et Les dames du Tram dans le 19e. Le parcours sur Alice Guy, la première cinéaste au monde, ayant été conçu par la programmatrice dans le cinéma, Sonia Jossifort.
Visiter Paris « à la façon d’Alexandra David-Néel »
« J’avais envie de découvrir mon quartier d’une façon inattendue », confie Mauricette, qui participait dimanche 17 septembre au parcours des Dames du Tram. En tout, ils étaient une cinquantaine – en majorité des femmes – à avoir répondu présents pour partir à la découverte de trois illustres figures féminines ayant donné leur nom à une station du Tram 3B. Pour animer cette visite, ils ont pu compter sur l’humour fantasque de deux comédiennes, déguisées en randonneuses. L’une incarnant le cliché de la touriste désireuse de découvrir les monuments les plus connus de Paris, et l’autre défendant une autre façon de visiter la capitale, « à la façon d’Alexandra David-Néel ». Autrement dit, en faisant le pari des femmes.
Le parcours les Dames du Tram, animé par les comédiennes Anne-Laure Grenon et Christelle Evita. Christelle Villeneuve, de la maison d’édition Des Femmes, a également ponctué la visite de lectures issues du Dictionnaire universel des créatrices. @Louise Pluyaud
Sous le regard amusé des visiteurs, elles ont donc commencé par retracer le parcours de cette infatigable exploratrice. Puis, se dirigeant vers le canal de l’Ourcq, elles ont rendu un vibrant hommage à d’autres femmes remarquables : la chanteuse de jazz Ella Fitzgerald, la réalisatrice Delphine Seyrig, et la militante américaine Rosa Parks. Avec pour chaque description biographique, les interventions mélodieuses de la soprano Estelle Menu. De quoi faire résonner un peu plus la voix de ces héroïnes du passé !
Mettre en lumière les rôles-modèles
Pour l’anecdote : la visite s’est terminée par l’intervention inattendue de deux vigiles en blouson noir du Parc de la Villette. « Le PC (Poste de Contrôle) nous a prévenus qu’un cortège de femmes étaient en train de manifester. Ils nous ont parlé d’au moins 500 personnes rassemblées le long du canal !« , ont-ils raconté à Marie Guérini, coordinatrice du parcours. Non sans cacher son amusement, la membre du collectif HF a fait part de son étonnement : « Vous voyez bien que c’est une erreur. Il s’agit d’une visite culturelle pour les Journées du Matrimoine. Même si, effectivement, nous aurions bien aimé être 500. »
Car, si faire rentrer le mot même de « matrimoine » dans l’imaginaire du plus grand nombre est l’un des objectifs de HF, il s’agit aussi de donner aux générations futures – filles et garçons – des rôles-modèles au féminin pluriel. « On en manque terriblement, surtout dans les manuels scolaires », souffle Marie Guérini. En effet, un rapport du HCE publié en février 2017, montrait que dans les manuels d’histoire de seconde 97 % des biographies sont consacrées à des hommes.
Dernier rapport du @HCEfh : former aujourd’hui les enseignant.e.s pour construire la société égalitaire de demain >> https://t.co/9MR22Rja1P http://pic.twitter.com/dC3MoMQqQR
— HCE (@HCEfh) February 22, 2017
« D’autant que les représentations très stéréotypées et sexistes perdurent dans le domaine culturel. C’est grave ! À cause de cela, les femmes ne peuvent pas avancer », n’en décolère pas Edith Vallée. Elles auraient l’impression qu’elles ont « toujours tout à réinventer ». « Qu’avant le XXIe siècle – où enfin les femmes ont pu se rassembler dans des mouvements qui les projetaient en avant, qui les rendaient plus libres et maîtresses de leur destin  -, il n’y avait pas grand chose, observe l’historienne qui prépare actuellement un livre sur le matrimoine. Or, ce n’est pas le cas ! Par le passé, il y a eu de nombreuses femmes qui ont su s’imposer dans la vie sociale de manière très pertinente. Tout cela a été occulté, et notre boulot c’est de le remettre en lumière.« 
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mictol · 3 years
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Belle Green : « Trop noire pour les blancs, trop blanche pour les noirs »
Belle Green : « Trop noire pour les blancs, trop blanche pour les noirs »
Couleur de peau, héritage culturel amour des livres et de la beauté… Belle Da Costa Green est révélée en majesté par le bon roman d’Alexandra Lapierre chez Flammarion. L’histoire New York, dans les années 1900. Une jeune fille, que passionnent les livres rares, se joue du destin et gravit tous les échelons. Elle devient la directrice de la fabuleuse bibliothèque du magnat J.P. Morgan et la…
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bonniejstarks · 4 years
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Nos 10 podcasts préférés, la suite #2
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Après notre premier article sur le sujet en octobre dernier, voici un nouvel article avec de nouveaux podcasts à découvrir. Une autre manière d’occuper son temps durant le confinement si vous n’avez pas envie d’allumer la télé : le podcast. Vous pouvez les écouter pendant que vous travaillez (cela peut être un bon moyen de s’isoler), pendant la sieste de vos enfants, pendant une séance de sport… bref, il y a vraiment beaucoup d’occasions pour écouter un podcast et dans tous les cas, c’est un bon moyen de prendre du temps pour soi.
2 heure de perdues
Chaque semaine, l’équipe de chroniqueurs de 2HDP choisit un film et le décortique pendant environ une heure ; certains épisodes sont enregistrés en public. Chaque film est d’abord introduit et résumé avant que chaque chroniqueur ne donne son avis sur le film. Tout y passe côté film : Harry Potter, Jurassic Park, Un Indien dans la ville ou encore Twilight. C’est très drôle et caustique, vous éclaterez surement de rire seul (l’avantage du confinement, c’est que ça sera moins gênant que dans la rue). Chaque épisode est conclue par la lecture de commentaires laissés en ligne sur Amazon ou Allociné. Alors oui, vous perdrez peut-être deux heures mais vous rirez bien !
La leçon
La leçon c’est le podcast de Pauline Grisoni. Dans le but de démystifier l’échec, elle fait parler des invités au parcours inspirant d’un échec qu’ils ont vécu dans leur vie personnelle ou professionnelle et de comment celui-ci les a façonnés. Le but est d’en tirer une leçon. Je trouve que cela fait du bien de parler d’échec. C’est tellement important de montrer que nous ne sommes pas parfait, que nous avons le droit d’échouer et que c’est en fait primordial pour apprendre et évoluer.
Histoire de prénoms
Histoire de prénoms, c’est le podcast d’Alexandra. Elle interroge des parents sur l’histoire qui est derrière le choix du prénom de leur enfant. Il est toujours touchant et émouvant d’entendre ces petites histoires et le vécu mais aussi de découvrir, aussi, de nouveaux prénoms. Ce sont des épisodes assez courts qui sont très agréables à écouter. Et j’ai même eu l’honneur d’y participer récemment, pour parler du prénom de mes enfants…
Les équilibristes
C’est en revenant de son congé maternité et qu’on lui a proposé un poste de manager à responsabilités que Sandra a eu l’idée de ce podcast. Elle s’est retrouver à devoir jongler avec ses déplacements et son nouveau rôle de maman. Dans Les Equilibristes elle part donc à la rencontre de femmes (principalement, mais on peut y entendre quelques hommes aussi) qui parlent donc de comment elles parviennent à trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Ce podcast permet de déculpabiliser un peu et de voir que l’on est pas seul(e) à chercher ce fameux équilibre.
Histoire de succès
C’est Fabrice Florent qui a créé Histoire de succès dans lequel il interview des personnes connues ou inconnues sur leur succès. Il prend le temps de creuser et de revenir sur toutes les choses qui les ont menées au succès. J’aime bien ce podcast car on entend pas forcément des gens qu’on a l’habitude d’entendre dans les podcast comme par exemple Panteros666 ou Tryo.
Regard
Regard est un podcast produit par Birchbox dans lequel toutes les deux semaines, une femmes est invitée à répondre à la question « Qu’est-ce qui vous rend belle ? ». Dans chaque épisode sont questionnés les injonctions de la société et le regard que l’on porte sur soi-même. Cela fait réfléchir et prendre du recul sur ce que l’on pense de soi-même et cela fait du bien.
Les baladeurs
Les baladeurs c’est un podcast qui invite au voyage et je pense que c’est plus que nécessaire dans le contexte actuel. Chaque épisode est l’occasion d’écouter le récit de véritables aventuriers : on peut surfer avec Justine Dupont lors de sa session hivernale à Nazaré, escalader les montagnes d’Iran avec Sophie Massieu ou encore suivre la dessinatrice Aurélie Calmet lors d’une expédition scientifique sur la côte Est du Groenland.
Pow[HER]
Vous ne m’en voudrez pas de vous refaire un peu d’autopromo pour Pow[HER], le podcast que nous avec lancé avec Emilie Le Guiniec, mon amie et associée. Un lundi sur deux nous vous proposons l’interview d’une femme inspirante. Nous souhaitons donner la parole à toutes les femmes pour que vous puissiez toutes vous y retrouver ou vous identifier. Et aussi parce que nous sommes convaincues qu’il n’existe pas un seul mode de réussite… Il nous reste encore quelques épisodes à vous dévoiler et on a hâte d’en enregistrer de nouveaux.
Septem Club
J’ai découvert Septem Club par ma soeur, qui m’avait envoyé le lien du podcast cet hiver. J’ai dévoré rapidement tous les épisodes et j’ai même découvert, derrière le podcast, la superbe marque de prêt à porter qui est le fil conducteur des discussions. Bref, je vous le recommande !
Entre nos lèvres
Un podcast qui parle de sexualité sans tabou avec ses invitées… Entre nos lèvres aborde tous les sujets librement. Les nouveaux épisodes sortent un jeudi sur deux. J’ai particulièrement aimé l’épisode de Laëtitia, très poignant.
Et vous, quels sont vos podcasts incontournables ?
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SAMEDI 17 MARS 2018 (Billet 1 / 3)
Est-ce parce que la tante de JM (90 ans) est désormais en fauteuil, en tout cas sûrement pas pour une quelconque affinité avec Frank Dubosc dont nous avons même du mal à supporter ne serait-ce que sa photo... peut-être à cause de bonnes critiques sur le « traitement » du handicap dans ce film, un peu/beaucoup/surtout pour Alexandra Lamy que nous apprécions et à qui nous avons toujours souhaité, de par son talent, une carrière beaucoup plus importante que celle qu’elle a eue jusqu’à présent... Bon, cessons de tourner autour du pot, nous sommes allés voir « TOUT LE MONDE DEBOUT » de et avec Franck Dubosc, et nous avons bien aimé. Certes, les 5 premières minutes nous ont fait craindre le pire, mais dès l’arrivée d’Alexandra dans l’histoire, le film décolle... et dans la bonne direction. « TOUT LE MONDE DEBOUT » est un film sympathique à regarder et, pour la première fois de sa vie, Franck Dubosc n’en fait pas des tonnes. Il est même (presque) sobre.
Mention spéciale pour le second rôle de la secrétaire interprété par Elsa Zylberstein. Il y a une très belle scène, on ne vous dira pas laquelle, qui devrait ravir ceux qui nous font l’amitié de suivre nos conseils. Si nous considérons que de donner ♥♥♥, c’est « notre » moyenne, nous attribuons tous les deux à « TOUT LE MONDE DEBOUT » ♥♥♥,5.
____________________________
Au contraire de certains d’entre vous, nous lisons les critiques, soit avant, soit après, mais le plus souvent avant de voir un film. Par contre, nous ne regardons pas que celles du Figaro. Sur le Site « Allo Ciné », nous lisons TOUTES les critiques. Les différences peuvent être culturelles, sociologiques, voire politiques. Mais il est quand même rare, quoique cela peut arriver, qu’un film soit descendu par une majorité de critiques et qu’il soit bon. Ou l’inverse.
Concernant « TOUT LE MONDE DEBOUT », on rejoint tout à fait l’avis du magazine « ELLE » qui n’est pas toujours tendre, loin s’en faut, avec les sorties cinématographiques.
_________________________
« TOUT LE MONDE DEBOUT » : la bonne surprise ciné de la semaine !
Franck Dubosc signe cette semaine sa première réalisation. Oubliez l’humour un peu beauf de ses précédents rôles et laissez vous surprendre par « Tout le monde debout », une comédie romantique rafraîchissante. Trois bonnes raisons d’aller la voir au cinéma.
1.    Pour la finesse d’écriture qui surprend
Franck Dubosc a signé la réalisation et le scénario de son premier film. Et force est d’avouer qu’on est rapidement séduits par son ton : drôle et bouleversant, tendre et fin d’esprit à la fois. Le pitch ? Dans « Tout le monde debout », Jocelyn, dragueur et menteur, profite d’un malentendu pour faire croire à une jolie jeune femme qu’il est en fauteuil roulant. Jusqu’à ce que cette dernière lui présente sa sœur aînée, réellement handicapée, elle...  Franck Dubosc parvient à jouer avec les sentiments du spectateur, sans le trahir. En une réplique, il passe du rire aux larmes. Côté mise en scène, le jeune réalisateur surprend avec de belles idées comme cette scène du dîner sur sa terrasse privée. On ne vous en dira pas plus...
2.    Pour voir Alexandra Lamy rayonner
Alexandra Lamy, c’est un peu le soleil du film. Dès qu’elle apparaît à l’écran, on a envie de l’avoir comme amie et de rire avec elle. Elle incarne avec beaucoup de justesse et de légèreté, sans jamais tomber dans le pathos ou la surenchère, une violoniste de 40 ans qui vit dans un fauteuil roulant suite à un accident de la route. La comédienne française est lumineuse.
3.    Pour la galerie de personnages secondaires
La force d’une comédie repose sur ses dialogues mais aussi sur ses personnages secondaires. Et de ce côté, Franck Dubosc a plutôt été bien servi. On applaudit, entre autre, Elsa Zylberstein, aussi touchante que loufoque dans le rôle de Marie, l’assistante de Jocelyn au courant du pot-aux-roses qui nous régale avec sincérité.
(Source : « elle.fr »)
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