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#Le palais des vauriens
abd-delcourt · 4 years
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LES INDES FOURBES - éditions Delcourt Par Alain Ayroles et Juanjo Guarnido, assisté aux couleurs par Hermeline Janicot-Tixier
https://www.academie-bd.fr/temoignages/hermeline-janicot
De l’ancien au Nouveau Monde, la fabuleuse épopée d’un vaurien en quête de fortune… En 160 pages au très grand format, le dessinateur de Blacksad et le scénariste de De Cape et de Crocs nous offrent cet album d’exception qui constitue leur Livre d’Or !
Fripouille sympathique, don Pablos de Ségovie fait le récit de ses aventures picaresques dans cette Amérique qu’on appelait encore les Indes au siècle d’or. Tour à tour misérable et richissime, adoré et conspué, ses tribulations le mèneront des bas-fonds aux palais, des pics de la Cordillère aux méandres de l’Amazone, jusqu’à ce lieu mythique du Nouveau Monde : l’Eldorado !
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songedunenuitdete · 4 years
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Pour passer le temps, j’aime bien faire la liste des romans que j’aimerais acheter et lire chaque mois. Je me suis dit que ça serait sympa de partager ma wish-list (qui se transformera à coup sûr en achat) avec vous. Je vais donc vous présenter tous les livres que j’aimerais lire prochainement (et pourquoi) et qui concernent les sorties du mois d’août 2020 tous éditeurs confondus. Bon, après, il n’y en a pas des tonnes non plus.
Je commence ici par les romances historiques qui me font de l’œil chez J’ai Lu Pour Elle.
Le palais des vauriens (Tome 2) – Le bâtard de la maison Brexford de Julie Anne Long
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 322 Traducteur : Nicole Hibert Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Le Palais Des Vauriens Prix : 7,60€
Son résumé :
Après avoir connu bien des vicissitudes, Angélique Breedlove a enfin trouvé la sérénité au Grand Palais de la Tamise, une respectable pension de famille. Mais le jour où Lucien Durand vient s’y installer, sa tranquillité vole en éclats. Sans doute parce qu’on le disait mort depuis dix ans, et parce qu’il a l’intention d’acheter l’immeuble voisin pour ouvrir une maison de jeu… Et surtout à cause de son charisme redoutable. Angélique s’est jurée de ne plus tomber sous le joug d’un homme, et elle pressent que celui-ci a toutes les chances de lui faire perdre la tête.
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Je ne me souviens pas avoir lu le premier tome, j’ai un doute, mais le résumé et le fait que ce soit un coup de cœur de l’éditrice me donne grandement envie de le découvrir, j’avoue.
Amitié (Tome 1) – L’histoire d’Alexandra de Kerrigan Byrne
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 384 Traducteur : Lili Steehl de Ursecci Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Amitié Prix : 7,60€
Son résumé :
— Voulez-vous m’épouser, Votre Grâce?
Si Alexandra a le culot de poser cette question, c’est que le duc de Redmayne lui apparaît comme son unique recours. Victime d’un maître chanteur, elle a besoin de la protection d’un riche mari. De plus, le duc ne cache pas le désir qu’elle lui inspire. Mais celui qu’on appelle le Diable de Torcliff est bien effrayant avec ses cicatrices et son physique imposant. Et, lorsqu’il accepte de la mener à l’autel, Alexandra pressent un vertigineux plongeon dans l’inconnu…
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Alors là, je trépigne d’impatience ! Vraiment ! J’adore son autre série même si elle s’essouffle un peu. Celui-ci ne fera pas long feu quand le l’aurais entre mes mains.
Les mauvais garçons (Tome 2) – L’amazone aux yeux verts de Sarah Maclean
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020
Nombre de pages : 385 Traducteur : Agathe Nabet Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Les mauvais garçons (Tome 2) Prix : 7,60€
Son résumé :
À vingt-neuf ans, lady Henrietta a renoncé au mariage. Désormais, il est temps de s’affranchir des convenances pour prendre en main son destin. Et pourquoi ne pas s’occuper de la compagnie maritime que son père n’est plus apte à diriger? Oui, cette année, elle va enfin réaliser ses désirs. Elle en est persuadée. Mais elle n’avait pas prévu de devoir affronter, sur les docks de Covent Garden, Saviour Whittington, dit La Bête, roi des bas-fonds de Londres. Un homme dangereux, un homme sans honneur. Et si fascinant qu’elle a très envie d’être déshonorée…
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Comment dire… Là aussi, je meurs d’impatience, parce que je garde une excellente impression de l’univers et du contexte du premier tome ! J’ai de grands espoirs concernant cette série !
La lune voilée de Karen Robards
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 417 Traducteur : Pascal Guinard Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Prix : 7,60€
Son résumé :
Déguisée en garçon, Caitlyn O’Malley vit de petits larcins dans les rues de Dublin. Lorsqu’elle essaie de faire les poches de Connor d’Arcy, comte d’Iveagh, ce dernier la prend sur le fait. Au lieu de la dénoncer, il lui propose de l’arracher à sa misère. Ce que la jeune fille ignore, c’est que Connor mène une double vie : aristocrate le jour, il se transforme en Robin des Bois la nuit, volant les riches Anglais pour nourrir les Irlandais affamés. Bientôt, Caitlyn maîtrise les ficelles de la rapine et suit son bienfaiteur dans ses expéditions. Jusqu’à une nuit tragique où elle consent à faire un terrible sacrifice pour sauver Connor.
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Bon sang ! Je l’ai lu il y a des années (plus de 20 ans) et je m’en souviens vaguement ! Toutefois, je sais que j’avais adoré et du coup, j’espère ne pas trop m’en rappeler lorsque je le relirais. Je ne résiste pas à vous mettre l’ancienne couverture (perso, je la kiffe trop !)
Je vous mets ci-dessous la couverture de la première parution française (là encore, ça me rend nostalgique…)
Ensuite, il y a ce titre fantasy jeunesse qui me fait de l’œil depuis son annonce chez Bayard édition 😍 :
Rule Tome 01: Rule de Ellen Goodlett
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 512 pages Traducteur : Éric Moreau Editeur : Bayard Jeunesse Date de sortie : 26 août 2020 Série : Rule (1) Prix : 17,90€
Son résumé :
Une couronne, trois prétendantes prêtes à tout pour accéder au pouvoir.
Zofi, Ren et Akeykah vivent au royaume de Kolonya. Elles ne se connaissent pas et n’ont rien en commun. Lorsque le roi les convoque, elles s’attendent au pire. Chacune d’entre elles cache un lourd secret qui pourrait porter atteinte à leur vie. Quand le souverain leur révèle qu’elles sont ses seules héritières, le combat est lancé et chacune est bien décidée à prouver qu’elle mérite de régner. Mais quelqu’un à Kolonya connaît leurs secrets, et ne reculera devant rien pour les manipuler et les empêcher de conquérir le trône…
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Sa couverture est sublime ! Je suis vraiment curieuse de découvrir l’intrigue de ce roman !
Là, je passe chez les adultes concernant la fantasy avec deux titres (enfin trois) à paraître aux éditions Bragelonne :
Les dieux silencieux (Tome 1) : Le Maître des Chagrins de Justin Travis Call
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 552 pages Editeur : Bragelonne Traducteur : Nenad Savic Date de Sortie : 12 août 2020 Collection : Les Dieux silencieux (1) Prix : 25€
Son résumé :
Vous connaissez déjà cette histoire – celle d’un orphelin élevé par un vieil homme sage, d’un garçon qui découvre qu’il possède des pouvoirs et apprend à s’en servir pour protéger le monde d’un grand mal. Mais qu’arriverait-il si ce héros et ce mal ne formaient qu’un ? Sauverait-il le monde, ou le détruirait-il ?
Parmi les avatars de l’Académie, Annev de Breth est une exception. Au contraire de ses camarades, qui furent dérobés à leurs familles dans la capitale lorsqu’ils n’étaient que des nourrissons, Annev est né dans le village de Chaenbalu. Ayant survécu à un sacrifice, il a été élevé par ceux-là mêmes qui ont tué ses parents. Dix-sept ans plus tard, Annev porte le fardeau d’une magie interdite. Pris en étau entre les idées déclinantes de son mentor et les maîtres de l’Académie, il doit choisir entre un avenir prometteur et ses amis proches. Chacune de ses décisions le mène à un nouveau dilemme, jusqu’à ce qu’Annev soit contraint de se lancer dans une quête qui lui est étrangère. Acceptera-t-il de s’engager sur une voie potentiellement dévastatrice ?
Lire un extrait
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Bon, le résumé, le fait que l’on compare ce titre à du Eddings, et surtout les avis, m’intrigue !
La Roue du temps T7 : Une couronne d’épées de Robert Jordan
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 768 pages Editeur : Bragelonne Réédition du broché prévu pour août Série : La Roue du Temps (7) Prix : 25€
Son résumé :
Après avoir échappé à la Tour Blanche, Rand a réussi un exploit : obtenir la fidélité de certaines Aes Sedai renégates. Mais il est toujours pris en tenaille entre les Suppôts des Ténèbres et les Seanchaniens, une pression dont il se passerait bien alors qu’il réunit ses forces pour s’attaquer au bastion de Sammael. De leur côté, Elayne et Nynaeve cherchent un moyen de briser l’emprise du Ténébreux sur le climat. Quant à Egwene, elle conduit une armée vers Tar Valon. L’Ultime Bataille approche.
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Bon. En vrai ce tome est sorti en 2015, mais je suis toujours en cours de lecture de la saga. Je devrais commencer le tome 6 incessamment sous peu et pour le coup, je vous présente le tome 10 qui lui sort en août (oui, je suis en retard ^^)
La Roue du temps T10 : Le Carrefour du Crépuscule de Robert Jordan
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 744 pages Editeur : Bragelonne Traducteur : Jean Claude Mallé Date de sortie : 12 août 2020 Série : La Roue du Temps (7) Prix : 28€
Son résumé ( à ne pas lire si comme moi, vous n’avez pas encore lu les tomes précédents… croyez-moi, j’ai fermé les yeux pour ne rien voir !) :
La Roue du Temps tourne et les Âges naissent et meurent, laissant dans leur sillage des souvenirs destinés à devenir des légendes.
[toggle title=”Résumé avec des spoilers si vous n’avez pas lu les tomes précédents” state=”close”]Tandis qu’il fuit Ebou Dar, Mat déploie tout son charme pour faire fondre la glace entre lui et la Fille des Neuf Lunes, sa promise. Sachant qu’il l’a enlevée et quelque peu maltraitée, ce n’est pas gagné d’avance. À Tar Valon, Egwene assiège la Tour Blanche. Elle doit vaincre très vite et verser le moins de sang possible, car la réunification des Aes Sedai est à ce prix. Et si elle échoue, il ne restera plus que les Asha’man pour défendre le monde contre le Ténébreux. Bien qu’il ait réussi à purifier le saidin, Rand reste engagé dans une partie dont il est lui-même l’enjeu. Une situation peu enviable, quand on ignore combien d’ennemis se cachent parmi ceux qu’on tient pour des alliés…[/toggle]
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Fullmetal alchemist perfect T04 de Hiromu Arakawa
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 272 pages Editeur : Kurokawa Date de sortie : 20 août 2020 Prix : 11.90€
Son résumé :
Avec son subtil mélange d’action, d’humour, de suspense et de tragédie, Fullmetal Alchemist est le titre incontournable pour toute mangathèque !
Après quelques péripéties dans la région de Rush Valley, Edward et Alphonse quittent leur amie Winry, qui veut se perfectionner en mécanique, pour continuer leur voyage vers le sud du pays. Toujours en quête d’informations concernant la transmutation humaine, nos deux alchimistes se rendent chez leur maître, la terrible Izumi Curtis. C’est l’occasion de se remémorer les conditions de leur rencontre et le terrible entraînement qu’elle leur a fait subir.
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Eh oui, un manga ! Ce titre là, je le fais avec mon chéri, donc ça ira plus dans sa mangathèque que la mienne, mais ce n’est pas grave ^^.
Bon, comme vous le voyez il y a quand même pas mal de titres qui me font de l’œil (surtout en romance historique), et mon porte-monnaie va sérieusement souffrir ! Il n’aura même pas le temps de se remettre (le pauvre) car il y a de sacrées parutions pour le mois de septembre que je compte bien acquérir également !
Et vous, quels sont vos choix du mois d’août ? Dites-moi tout, peut-être que j’ai manqué des titres qui pourraient me plaire 🥰!
Les sorties d'août 2020 qui me font de l’œil et que j'aimerais franchement lire🙏😍 sont chez @Jailupourelle -@BragelonneFR - @BayardEditionsJ et @Kurokawa 💖 Et vous, quels sont vos tentations du mois d'août ? Je veux tout savoir 🥰☀ Pour passer le temps, j’aime bien faire la liste des romans que j’aimerais acheter et lire chaque mois…
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yes-bernie-stuff · 3 years
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l’Évangile au Quotidien
Dimanche 28 Mars
Livre d'Isaïe 50,4-7.
Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. Chaque matin, il éveille, il éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute.
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Psaume 22(21),8-9.17-18a.19-20.22c-24a.
Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
« Il comptait sur le Seigneur : qu'il le délivre !
Qu'il le sauve, puisqu'il est son ami ! »
Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m'entoure.
Ils me percent les mains et les pieds ;
je peux compter tous mes os.
Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !
Tu m'as répondu !
Et je proclame ton nom devant mes frères,
je te loue en pleine assemblée.
Vous qui le craignez, louez le Seigneur.
Lettre de Paul Apôtre aux Philippiens 2,6-11.
Le Christ Jésus, ayant la condition de Dieu, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu.
Mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes. Reconnu homme à son aspect,
il s’est abaissé, devenant obéissant jusqu’à la mort, et la mort de la croix.
C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom,
afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre et aux enfers,
et que toute langue proclame : « Jésus Christ est Seigneur » à la gloire de Dieu le Père.
Évangile de Jésus-Christ selon Marc 14,1-72.15,1-47.
La fête de la Pâque et des pains sans levain allait avoir lieu deux jours après. Les grands prêtres et les scribes cherchaient comment arrêter Jésus par ruse, pour le faire mourir.
Car ils se disaient : « Pas en pleine fête, pour éviter des troubles dans le peuple. »
Jésus se trouvait à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux. Pendant qu’il était à table, une femme entra, avec un flacon d’albâtre contenant un parfum très pur et de grande valeur. Brisant le flacon, elle lui versa le parfum sur la tête.
Or, de leur côté, quelques-uns s’indignaient : « À quoi bon gaspiller ce parfum ?
On aurait pu, en effet, le vendre pour plus de trois cents pièces d’argent, que l’on aurait données aux pauvres. » Et ils la rudoyaient.
Mais Jésus leur dit : « Laissez-la ! Pourquoi la tourmenter ? Il est beau, le geste qu’elle a fait envers moi.
Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, et, quand vous le voulez, vous pouvez leur faire du bien ; mais moi, vous ne m’aurez pas toujours.
Ce qu’elle pouvait faire, elle l’a fait. D’avance elle a parfumé mon corps pour mon ensevelissement.
Amen, je vous le dis : partout où l’Évangile sera proclamé – dans le monde entier –, on racontera, en souvenir d’elle, ce qu’elle vient de faire. »
Judas Iscariote, l’un des Douze, alla trouver les grands prêtres pour leur livrer Jésus.
À cette nouvelle, ils se réjouirent et promirent de lui donner de l’argent. Et Judas cherchait comment le livrer au moment favorable.
Le premier jour de la fête des pains sans levain, où l’on immolait l’agneau pascal, les disciples de Jésus lui disent : « Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? »
Il envoie deux de ses disciples en leur disant : « Allez à la ville ; un homme portant une cruche d’eau viendra à votre rencontre. Suivez-le,
et là où il entrera, dites au propriétaire : “Le Maître te fait dire : Où est la salle où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?”
Il vous indiquera, à l’étage, une grande pièce aménagée et prête pour un repas. Faites-y pour nous les préparatifs. »
Les disciples partirent, allèrent à la ville ; ils trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit, et ils préparèrent la Pâque.
Le soir venu, Jésus arrive avec les Douze.
Pendant qu’ils étaient à table et mangeaient, Jésus déclara : « Amen, je vous le dis : l’un de vous, qui mange avec moi, va me livrer. »
Ils devinrent tout tristes et, l’un après l’autre, ils lui demandaient : « Serait-ce moi ? »
Il leur dit : « C’est l’un des Douze, celui qui est en train de se servir avec moi dans le plat.
Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux celui par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! »
Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le rompit, le leur donna, et dit : « Prenez, ceci est mon corps. »
Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, et ils en burent tous.
Et il leur dit : « Ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé pour la multitude.
Amen, je vous le dis : je ne boirai plus du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai, nouveau, dans le royaume de Dieu. »
Après avoir chanté les psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers.
Jésus leur dit : « Vous allez tous être exposés à tomber, car il est écrit : Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées.
Mais, une fois ressuscité, je vous précéderai en Galilée. »
Pierre lui dit alors : « Même si tous viennent à tomber, moi, je ne tomberai pas. »
Jésus lui répond : « Amen, je te le dis : toi, aujourd’hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu m’auras renié trois fois. »
Mais lui reprenait de plus belle : « Même si je dois mourir avec toi, je ne te renierai pas. » Et tous en disaient autant.
Ils parviennent à un domaine appelé Gethsémani. Jésus dit à ses disciples : « Asseyez-vous ici, pendant que je vais prier. »
Puis il emmène avec lui Pierre, Jacques et Jean, et commence à ressentir frayeur et angoisse.
Il leur dit : « Mon âme est triste à mourir. Restez ici et veillez. »
Allant un peu plus loin, il tombait à terre et priait pour que, s’il était possible, cette heure s’éloigne de lui.
Il disait : « Abba… Père, tout est possible pour toi. Éloigne de moi cette coupe. Cependant, non pas ce que moi, je veux, mais ce que toi, tu veux ! »
Puis il revient et trouve les disciples endormis. Il dit à Pierre : « Simon, tu dors ! Tu n’as pas eu la force de veiller seulement une heure ?
Veillez et priez, pour ne pas entrer en tentation ; l’esprit est ardent, mais la chair est faible. »
De nouveau, il s’éloigna et pria, en répétant les mêmes paroles.
Et de nouveau, il vint près des disciples qu’il trouva endormis, car leurs yeux étaient alourdis de sommeil. Et eux ne savaient que lui répondre.
Une troisième fois, il revient et leur dit : « Désormais, vous pouvez dormir et vous reposer. C’est fait ; l’heure est venue : voici que le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs.
Levez-vous ! Allons ! Voici qu’il est proche, celui qui me livre. »
Jésus parlait encore quand Judas, l’un des Douze, arriva et avec lui une foule armée d’épées et de bâtons, envoyée par les grands prêtres, les scribes et les anciens.
Or, celui qui le livrait leur avait donné un signe convenu : « Celui que j’embrasserai, c’est lui : arrêtez-le, et emmenez-le sous bonne garde. »
À peine arrivé, Judas, s’approchant de Jésus, lui dit : « Rabbi ! » Et il l’embrassa.
Les autres mirent la main sur lui et l’arrêtèrent.
Or un de ceux qui étaient là tira son épée, frappa le serviteur du grand prêtre et lui trancha l’oreille.
Alors Jésus leur déclara : « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus vous saisir de moi, avec des épées et des bâtons ?
Chaque jour, j’étais auprès de vous dans le Temple en train d’enseigner, et vous ne m’avez pas arrêté. Mais c’est pour que les Écritures s’accomplissent. »
Les disciples l’abandonnèrent et s’enfuirent tous.
Or, un jeune homme suivait Jésus ; il n’avait pour tout vêtement qu’un drap. On essaya de l’arrêter.
Mais lui, lâchant le drap, s’enfuit tout nu.
Ils emmenèrent Jésus chez le grand prêtre. Ils se rassemblèrent tous, les grands prêtres, les anciens et les scribes.
Pierre avait suivi Jésus à distance, jusqu’à l’intérieur du palais du grand prêtre, et là, assis avec les gardes, il se chauffait près du feu.
Les grands prêtres et tout le Conseil suprême cherchaient un témoignage contre Jésus pour le faire mettre à mort, et ils n’en trouvaient pas.
De fait, beaucoup portaient de faux témoignages contre Jésus, et ces témoignages ne concordaient pas.
Quelques-uns se levèrent pour porter contre lui ce faux témoignage :
« Nous l’avons entendu dire : “Je détruirai ce sanctuaire fait de main d’homme, et en trois jours j’en rebâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme.” »
Et même sur ce point, leurs témoignages n’étaient pas concordants.
Alors s’étant levé, le grand prêtre, devant tous, interrogea Jésus : « Tu ne réponds rien ? Que dis-tu des témoignages qu’ils portent contre toi ? »
Mais lui gardait le silence et ne répondait rien. Le grand prêtre l’interrogea de nouveau : « Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni ? »
Jésus lui dit : « Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant, et venir parmi les nuées du ciel. »
Alors, le grand prêtre déchire ses vêtements et dit : « Pourquoi nous faut-il encore des témoins ?
Vous avez entendu le blasphème. Qu’en pensez-vous ? » Tous prononcèrent qu’il méritait la mort.
Quelques-uns se mirent à cracher sur lui, couvrirent son visage d’un voile, et le giflèrent, en disant : « Fais le prophète ! » Et les gardes lui donnèrent des coups.
Comme Pierre était en bas, dans la cour, arrive une des jeunes servantes du grand prêtre.
Elle voit Pierre qui se chauffe, le dévisage et lui dit : « Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth ! »
Pierre le nia : « Je ne sais pas, je ne comprends pas de quoi tu parles. » Puis il sortit dans le vestibule, au dehors. Alors un coq chanta.
La servante, ayant vu Pierre, se mit de nouveau à dire à ceux qui se trouvaient là : « Celui-ci est l’un d’entre eux ! »
De nouveau, Pierre le niait. Peu après, ceux qui se trouvaient là lui disaient à leur tour : « Sûrement tu es l’un d’entre eux ! D’ailleurs, tu es Galiléen. »
Alors il se mit à protester violemment et à jurer : « Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. »
Et aussitôt, pour la seconde fois, un coq chanta. Alors Pierre se rappela cette parole que Jésus lui avait dite : « Avant que le coq chante deux fois, tu m’auras renié trois fois. » Et il fondit en larmes.
Dès le matin, les grands prêtres convoquèrent les anciens et les scribes, et tout le Conseil suprême. Puis, après avoir ligoté Jésus, ils l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate.
Celui-ci l’interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui le dis. »
Les grands prêtres multipliaient contre lui les accusations.
Pilate lui demanda à nouveau : « Tu ne réponds rien ? Vois toutes les accusations qu’ils portent contre toi. »
Mais Jésus ne répondit plus rien, si bien que Pilate fut étonné.
À chaque fête, il leur relâchait un prisonnier, celui qu’ils demandaient.
Or, il y avait en prison un dénommé Barabbas, arrêté avec des émeutiers pour un meurtre qu’ils avaient commis lors de l’émeute.
La foule monta donc chez Pilate, et se mit à demander ce qu’il leur accordait d’habitude.
Pilate leur répondit : « Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ? »
Il se rendait bien compte que c’était par jalousie que les grands prêtres l’avaient livré.
Ces derniers soulevèrent la foule pour qu’il leur relâche plutôt Barabbas.
Et comme Pilate reprenait : « Que voulez-vous donc que je fasse de celui que vous appelez le roi des Juifs ? »,
de nouveau ils crièrent : « Crucifie-le ! »
Pilate leur disait : « Qu’a-t-il donc fait de mal ? » Mais ils crièrent encore plus fort : « Crucifie-le ! »
Pilate, voulant contenter la foule, relâcha Barabbas et, après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour qu’il soit crucifié.
Les soldats l’emmenèrent à l’intérieur du palais, c’est-à-dire dans le Prétoire. Alors ils rassemblent toute la garde,
ils le revêtent de pourpre, et lui posent sur la tête une couronne d’épines qu’ils ont tressée.
Puis ils se mirent à lui faire des salutations, en disant : « Salut, roi des Juifs ! »
Ils lui frappaient la tête avec un roseau, crachaient sur lui, et s’agenouillaient pour lui rendre hommage.
Quand ils se furent bien moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau de pourpre, et lui remirent ses vêtements. Puis, de là, ils l’emmènent pour le crucifier,
et ils réquisitionnent, pour porter sa croix, un passant, Simon de Cyrène, le père d’Alexandre et de Rufus, qui revenait des champs.
Et ils amènent Jésus au lieu dit Golgotha, ce qui se traduit : Lieu-du-Crâne (ou Calvaire).
Ils lui donnaient du vin aromatisé de myrrhe ; mais il n’en prit pas.
Alors ils le crucifient, puis se partagent ses vêtements, en tirant au sort pour savoir la part de chacun.
C’était la troisième heure (c’est-à-dire : neuf heures du matin) lorsqu’on le crucifia.
L’inscription indiquant le motif de sa condamnation portait ces mots : « Le roi des Juifs ».
Avec lui ils crucifient deux bandits, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche.
[…]
Les passants l’injuriaient en hochant la tête : ils disaient : « Hé ! toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours,
sauve-toi toi-même, descends de la croix ! »
De même, les grands prêtres se moquaient de lui avec les scribes, en disant entre eux : « Il en a sauvé d’autres, et il ne peut pas se sauver lui-même !
Qu’il descende maintenant de la croix, le Christ, le roi d’Israël ; alors nous verrons et nous croirons. » Même ceux qui étaient crucifiés avec lui l’insultaient.
Quand arriva la sixième heure (c’est-à-dire : midi), l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure.
Et à la neuvième heure, Jésus cria d’une voix forte : « Éloï, Éloï, lema sabactani ? », ce qui se traduit : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
L’ayant entendu, quelques-uns de ceux qui étaient là disaient : « Voilà qu’il appelle le prophète Élie ! »
L’un d’eux courut tremper une éponge dans une boisson vinaigrée, il la mit au bout d’un roseau, et il lui donnait à boire, en disant : « Attendez ! Nous verrons bien si Élie vient le descendre de là ! »
Mais Jésus, poussant un grand cri, expira.
Le rideau du Sanctuaire se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas.
Le centurion qui était là en face de Jésus, voyant comment il avait expiré, déclara : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu ! »
Il y avait aussi des femmes, qui observaient de loin, et parmi elles, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques le Petit et de José, et Salomé,
qui suivaient Jésus et le servaient quand il était en Galilée, et encore beaucoup d’autres, qui étaient montées avec lui à Jérusalem.
Déjà il se faisait tard ; or, comme c’était le jour de la Préparation, qui précède le sabbat,
Joseph d’Arimathie intervint. C’était un homme influent, membre du Conseil, et il attendait lui aussi le règne de Dieu. Il eut l’audace d’aller chez Pilate pour demander le corps de Jésus.
Pilate s’étonna qu’il soit déjà mort ; il fit appeler le centurion, et l’interrogea pour savoir si Jésus était mort depuis longtemps.
Sur le rapport du centurion, il permit à Joseph de prendre le corps.
Alors Joseph acheta un linceul, il descendit Jésus de la croix, l’enveloppa dans le linceul et le déposa dans un tombeau qui était creusé dans le roc. Puis il roula une pierre contre l’entrée du tombeau.
Or, Marie Madeleine et Marie, mère de José, observaient l’endroit où on l’avait mis.
 - © AELF, Paris
Voilà notre Roi
Le bon Jésus, la source de toute miséricorde, pour nous témoigner la douceur de son extrême bonté, n'a point pleuré amèrement une fois mais plusieurs fois sur notre misère. Une première fois sur Lazare, puis sur la Ville: sur la croix, ses yeux très miséricordieux répandirent enfin des torrents de larmes pour l'expiation de tous les péchés. (...) Ô cœur dur, (...) vois ton médecin en pleurs et « prends le deuil comme sur un fils unique » (Jér 6,26). (...)
Après la résurrection de Lazare, après que le vase de parfum eut été répandu sur la tête de Jésus, et après que le bruit de la renommée de Jésus se fut propagé dans le peuple, prévoyant que la foule se porterait au-devant de Lui, Jésus monta sur un ânon, afin de donner un exemple admirable d'humilité au milieu des applaudissements du peuple accouru. Mais tandis que la multitude coupait des rameaux, étendait ses habits le long du chemin et entonnait un cantique de louange, Il n'oubliait pas leur misère et Lui-même entamait sa lamentation sur la destruction de leur cité.
Lève-toi donc, servante du Sauveur, pour contempler, comme l'une des filles de Jérusalem, « ton roi Salomon » (Ct 3,11) dans les honneurs que lui rend avec vénération sa Mère la Synagogue, en ce mystère de l'Église naissante. Accompagne fidèlement le Maître du ciel et de la terre assis sur le dos de l'ânon. Accompagne-le avec les branches d'olivier et les palmes de tes œuvres de piété et des triomphes de tes vertus.
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sakrum1 · 4 years
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Lundi 15 juin 2020 : Premier livre des Rois 21,1-16.
En ce temps-là, Naboth, de la ville de Yizréel, possédait une vigne à côté du palais d’Acab, roi de Samarie. Acab dit un jour à Naboth : « Cède-moi ta vigne ; elle me servira de jardin potager, car elle est juste à côté de ma maison ; je te donnerai en échange une vigne meilleure, ou, si tu préfères, je te donnerai l’argent qu’elle vaut. » Naboth répondit à Acab : « Que le Seigneur me préserve de te céder l’héritage de mes pères ! » Acab retourna chez lui sombre et irrité, parce que Naboth lui avait dit : « Je ne te céderai pas l’héritage de mes pères. » Il se coucha sur son lit, tourna son visage vers le mur, et refusa de manger. Sa femme Jézabel vint lui dire : « Pourquoi es-tu de mauvaise humeur ? Pourquoi ne veux-tu pas manger ? » Il répondit : « J’ai parlé à Naboth de Yizréel. Je lui ai dit : “Cède-moi ta vigne pour de l’argent, ou, si tu préfères, pour une autre vigne en échange.” Mais il a répondu : “Je ne te céderai pas ma vigne !” » Alors sa femme Jézabel lui dit : « Est-ce que tu es le roi d’Israël, oui ou non ? Lève-toi, mange, et retrouve ta bonne humeur : moi, je vais te donner la vigne de Naboth. » Elle écrivit des lettres au nom d’Acab, elle les scella du sceau royal, et elle les adressa aux anciens et aux notables de la ville où habitait Naboth. Elle avait écrit dans ces lettres : « Proclamez un jeûne, faites comparaître Naboth devant le peuple. Placez en face de lui deux vauriens, qui témoigneront contre lui : “Tu as maudit Dieu et le roi !” Ensuite, faites-le sortir de la ville, lapidez-le, et qu’il meure ! » Les anciens et les notables qui habitaient la ville de Naboth firent ce que Jézabel avait ordonné dans ses lettres. Ils proclamèrent un jeûne et firent comparaître Naboth devant le peuple. Alors arrivèrent les deux individus qui se placèrent en face de lui et portèrent contre lui ce témoignage : « Naboth a maudit Dieu et le roi. » On fit sortir Naboth de la ville, on le lapida, et il mourut. Puis on envoya dire à Jézabel : « Naboth a été lapidé et il est mort. » Lorsque Jézabel en fut informée, elle dit à Acab : « Va, prends possession de la vigne de ce Naboth qui a refusé de la céder pour de l’argent, car il n’y a plus de Naboth : il est mort. » Quand Acab apprit que Naboth était mort, il se rendit à la vigne de Naboth et en prit possession.
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voyagelitteraire · 5 years
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Ce rêve bleu: Et si Aladdin n'avait jamais trouvé la lampe ? - Liz Braswell
Entre début formidable et une fin pleine de déception je vous propose une nouvelle chronique sur Ce rêve bleu: Et si Aladdin n'avait jamais trouvé la lampe ? de Liz Braswell ♡
Résumé: Aladdin est un vaurien.
Comme les autres habitants d’Agrabah, un pays pauvre, le jeune homme tente tant bien que mal de survivre. La princesse Jasmine, quant à elle, est sur le point de subir un mariage arrangé. Elle ne désire qu’une chose: échapper à son destin, découvrir ce qui se cache derrière les murs du palais.
Mais tout bascule lorsque le conseiller du sultan, Jafar, prend…
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When Crusaders come home
Son regard se porta vers la côte.... De nombreux bateaux aux bannières croisée flottaient au vents. Aujourd'hui son fils revenait de la Croisade en conquérant. À ses côtés de jeunes nobles qui c'étaient illustré dans les batailles et parmi eux, une femme. Morganna Holmes dit Lady Luck c'était  illustrée dans les plus grands combats de ces croisades et avait mise à ses pieds les plus grands généraux sarrasins... La Reine Mère descendait le grand escalier en marbre noire du château dans ses habits noirs. Dans la cour du palais, se trouvait les meilleurs chevaliers et parmi eux, un homme en armuré doré, dont une couronné semblait incrusté dans son casque. Sur son immense cheval noir il trônait, en majesté. Son roi, son fils. La Reine Mère s'inclina en souriant alors que le cavalier en armure sauta du dos de son cheval avant de relever la reine en balançant son casque sur une mannequin.
« Majesté » fit la Reine
« Maman. » fit le Roi avec un sourire amusé
« Mon fils » dit-elle en caressant sa joue « Vous voilà triomphant » dit-elle
« Oui Maman... » il fixa ses officiers « Puis-je vous présenter, Lady Morganna Holmes, Sir Faust Hart, Sir Jaejoong Kim, Sir Mark Lee et Sir Yunho Jung » fit le Roi
« De jeunes anobli, si l'on oublie Lady Holmes et Sir Hart. » dit la Reine Mère. « Mon fils avez vous trouvez le temps de décider du sort de votre sœur ? » demanda la Reine
« Taeyeon restera au château avec moi. » fit le Roi calmement « Jusqu'à ce qu'on ait trouver un bon mari. »
« Et dans vos jeunes anobli, n'y a-t-il aucun homme qui ferait un bon mari ? » demanda la Reine Mère
« Le seul homme  qui serait digne de Taeyeon, n'est pas un homme et déjà fiancé de surcroît. » fit Elrick amusé.
« C'est de vous ma chère Lady Holmes, que parle mon fils ? » demanda la Reine
« Je crois bien qu'il est effectivement question de moi. » dit la chevalière en souriant. Son armure argenté à la cape verte lui donnait une majesté impressionnante  
« Que je regrette de n'avoir eu le temps de demander votre main à votre père. Lord Winchester m'a devancer. » fit la Reine Mère
« Je n'aspire pas à être Reine. Je souhaite simplement veiller sur notre domaine. » dit Morganna en riant « Mais j'ai parmi mes frères un homme qui serait selon moi digne de la main de la Princesse. » fit Morganna
« Tu nous l'amène pour le tournoi. » dit le Roi en riant « Tu comptes y participer ? » demanda-t-il
« Et te botter le cul mon cher Elrick. » fit Morganna en remettant son casque « on m'attend au château. »
« Va donc » fit le Roi amusé
-
Morganna avait chevaucher avec ses hommes à travers la Lande pour arrivé au château des trèfles et  sourit en voyant la bannière volant au vent. Elle sourit en voyant un jeune homme dévalé le rempart   en criant... Elle arriva dans la cour du château et mit pieds à terre, à peine eurent-ils touché le sol que le jeune homme des remparts lui sauta dans les bras. Jeno. Son petit frère adoré. Il avait tellement grandi depuis son départ il y a 4 ans... Elle caressa ses cheveux et sourit tendrement avant de le suivre à l'intérieur.
« Alors les Croisades ? C'est comment ? » demanda Jeno
« Je ne te souhaite pas d'y participer. » fit Morganna avec tendresse.
« Dis Momo, tu vas vraiment l'épouser, le gars qui n'a pas pu partir en guerre ? » demanda Jeno
Morganna rit doucement. Elle monta les marches avec son frère main dans la main et sourit au gens présent dans la grandes salle. Son père s'y trouvait entouré de ses autres frères. Morganna posa son épée sur la table et mit un genoux à terre.
« Le nom Holmes j'ai portée. La bannière j'ai dressée. Mon sang j'ai versée. Notre Honneur j'ai sauvée. » fit Morganna
« Pour notre nom tu as saignée, pour notre bannière tu as tuée, pour notre honneur à la guerre tu es allée. Une véritable Holmes tu es restée. » fit son Père solennellement puis il se radoucit « Bienvenue à la maison mon trésor. »
« C'est tellement bon de vous revoir. » fit Morganna en souriant
« TU AS QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ?!!!!!! » la voix stridente de Lady Diana des Roses traversait le grand hall des miroirs
« J'ai donner la main de Lilia au Prince Siwon. » fit Jack, le Lord.
« MA FILLE AVEC UN STERILE !!!!? UN PORTE POISSE ?!!! UN INCOMPETENT ?!!! UN IMPUISSANT ?!!!! MAIS TU ES TOMBER SUR LA TETE MA PAROLE ?!!!!!!!!!!!!!!! » hurla la Lady
« Et j'ai donner la main de Lily a Lord Winchester pour qu'il la marie avec l'un de ses vassaux. » dit Jack
« MA FILLE AVEC UN DE CES VAURIENS INCAPABLE DE MENER UNE GUERRE ?!!!!!!!!!!!!!!! » hurla la lady
« Et Lucie.. oh ma petite Lucie, ça me fend le cœur, mais je le fais pour son bonheur. » dit Jack « Elle part avec le Prince Leeteuk ce soir. »
« PAS MA LUCIE!!!! TU N'AS PAS LE DROIT !!!!!!!!! » hurla Diana en larmes
« Ma chérie. J'ai tous les droits. Je suis ton mari rappelle toi. » fit Jack simplement
-
Lucie ramassait un bouquet de rose du jardin et regardait l'homme en armure à ses côtés. Le Prince Leeteuk revenait de la bataille de Poitiers et malgré la guerre il était à ses yeux, l'homme le plus séduisant du royaume. Un homme qui l'avait demander en mariage... et l'homme qui deviendrait son époux. Elle sourit à cet homme et caressa sa joue avant de se hisser sur son cheval blanc pour le suivre vers la capitale. Un Prince de conte de fée, voilà ce qu'elle épouserait. Et en passant devant le château c'est des bruits de porcelaine et de verre qu'elle entendit.
« Je crois que Mère est en colère... » fit Lucie tendrement
« Il me semble que Lady Diana déteste ma mère adoptive. » dit le Prince
« Détester … c'est peu dire. » soupira Lucie « Ma mère la hait. »
« Pourquoi donc ? » fit le prince
« Parce que Lady Darlyne à eut le Roi et ma mère pas. » fit Lucie en souriant
« Et vous Dame Lucie ? » demanda Prince « Serez vous heureuse de n'être que l'épouse d'un Prince qui n'a aucun droit au Trône ? »
« Mon sort me va. » dit Lucie « Car je me marie par amour. »
Leeteuk se tint le cœur... Bordel... il avait survécu à 6 guerres et cette femme … cette femme serait sa mort. Sa beauté était époustouflante, sa douceur renversante et son sourire .. ah son foutu sourire. Tout en elle était ravissant. De la tête au pieds jusqu'au plus profond de son cœur. Et il l'aimait oh oui il l'aimait comme un fou. Et il jurait, qu'il rendrait cette femme heureuse.  
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lupiot · 7 years
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Article par Bloup
Un livre où les héros sont des hors-la-loi égoïstes et égocentriques, ça vous dit ?
Dans la ville portuaire de Ketterdam, une terrible rumeur court : une nouvelle drogue aurait envahi les rues, une drogue inédite qui rendrait les Grishas (humains aux dons particuliers) surpuissants… et totalement dépendants.
Un riche marchand s’en inquiète et offre une belle récompense à Kaz (membre éminent d’un gang, celui des « Dregs ») pour enlever Bo Yul-Bayur (suspecté d’être à l’origine de la drogue). Ce dernier est enfermé au Palais de Glace, dans le royaume voisin de Fjerda.
Pour mener à bien sa mission, Kaz s’entoure des meilleurs complices :
Inej, acrobate hors pair surnommée Le Spectre ;
Jesper, tireur imbattable ;
Nina, elle-même Grisha spécialiste du corps et des émotions ;
Matthias, ancien soldat connaissant bien le Palais de Glace ;
et Wylan, expert en explosions.
Bourrés de vices, traumas, tares et faiblesses, les « Six of Crows » (du Crow Club, QG des Dregs) doivent pourtant apprendre à travailler ensemble s’ils veulent une chance de sortir vivants de leur mission…
Guerres de gangs, misère humaine, enjeux personnels… Oubliez paillettes et bons sentiments dans ce roman original au rythme haletant !
POURQUOI C’EST GÉNIAL
#1. Un univers nouveau
Ketterdam est la capitale de Kerch, île au milieu de la mer qui borde d’autres royaumes : Fjerda, Ravka, Shu Han… Autant de noms aux consonances étranges, qui permettent un dépaysement total dès la première page. À Ketterdam notamment, les noms de rue et des personnages (rue Burstraat, Hoost, Van Eck, etc.) induisent un milieu néerlandais que l’on n’a pas tant l’habitude de rencontrer en littérature jeunesse.
Intervention de Lupiot qui passe la tête dans l’entrebâillement : Ça me rappelle l’univers slave du très beau Combat d’hiver de Jean-Claude Mourlevat. Malgré la fantaisie de l’univers (magie, races hybrides…), les noms et descriptions évoquent clairement des villes comme Prague, par exemple !
En ce qui concerne l’époque, on peut penser à notre XIXe siècle et sa révolution industrielle, nouvelles villes et magie en plus. Tous les codes à la Dickens sont là : ambiance des bas-fonds, alcools, jeux et dettes, petits et grands vauriens, lutte des classes…
Ambiance à la Oliver Twist, bande de (sales) petits voleurs…
Nous avons donc un univers qui utilise des codes connus et les renouvelle avec brio — et ça claque !
#2. Des thèmes humains évoqués avec subtilité
Dans ce contexte d’univers alternatif assez noir, un point de tension est exploré plus que les autres : la loyauté.
Jesper, illu. de marty-mc
Aveugle loyauté envers un leader malgré la connaissance de tous ses défauts (Jesper).
Dilemme de la loyauté envers ses racines/son éducation ou envers l’être aimé (Nina et Matthias) ;
Loyauté familiale (Kaz)…
Chacun des protagonistes est, à un moment ou à un autre, confronté à cette question, et l’auteure déploie suffisamment de personnalités différentes pour nous offrir un éventail de réactions humaines riches et saisissantes.
Les passions (amour, haine, patriotisme, religion…) ou le manque de passion (amertume, abandon, désespoir…) sont également subtilement évoqués tout au long du récit, de manière à nous fait ressentir une  forte empathie pour cette équipe de torturés.
Là où le roman est d’autant plus humain, c’est que Kaz, Inej, Jesper, Nina, Matthias et Wylan permettent d’explorer tout au long du récit des enjeux sociaux importants : prostitution, endettement, déracinement, multiculturalisme, mais aussi, plus particulièrement et tout en subtilité, homosexualité.
Des persos si fascinants qu’ils ont donné lieu à des myriades de fanarts et fanfictions dès la sortie. Ici, les illustrations de Kevin Wada.
On a rarement vu un cast de persos aussi riche en termes de représentation. Y’ a pas à dire, elle est cool, cette bande.
#3. Un récit articulé autour de ses (anti-)héros
Tout le rythme du récit tient au fait que chaque chapitre change de point de vue narratif en fonction d’un membre de la bande (excepté le premier et le dernier chapitre). Cela nous permet d’apprendre à connaître chacun d’entre eux grâce (notamment) à de nombreux flash-back. Résultat ? Les 6 héros sont, objectivement, de parfaits vauriens, mais ils nous sont tous rendus absolument attachants… et imprévisibles !
Le suspens est donc parfaitement au rendez-vous ; pas de « ventre mou » dans ce roman aux abdos d’acier.
Ce qui permet le rythme effréné de l’intrigue, c’est donc ce lot de personnages atypiques, souvent vulgaires (les dialogues font très authentiques), à l’incarnation très soignée. Même Kaz, qui apparaît d’abord comme le superhéros génial et inébranlable, cache des blessures profondes (que l’on découvre au fur et à mesure). Jusqu’au dernier moment, on se demande si … (SPOILER) va trahir la bande ou encore si … (SPOILER) ne va pas mourir prématurément.
Malgré toutes ses qualités à effet bombe atomique, j’ai remarqué quelques légers, tout petits, mini, ridicules… « moins ».
POURQUOI (même si c’est génial) CE N’EST PAS (exactement) PARFAIT
#1. Il faut un peu de temps pour rentrer dans l’histoire
Nouveau monde, nouveaux repères culturels et linguistiques… Les détails de mise en place de l’univers sont (très) nombreux et l’immersion dans le récit peut paraître difficile au début, notamment pour se situer dans l’espace.
#mon sens de l’orientation
Heureusement, le livre commence par deux cartes de ce monde créé par l’auteure et c’est plutôt un bon point si, comme moi, vous n’avez pas la boussole infuse.
#2. Des ados d’une maturité étonnante
Les « Six of Crows » ont tous des passés très lourds et des caractères forts et indépendants. Ils font notamment preuve d’une maturité impressionnante, de sorte qu’on a tendance à oublier leur âge : ils ont seulement entre 15 et 18 ans !
Heureusement que c’est rappelé à plusieurs reprises.
#3. Et Wylan, alors ?
Parmi « les six », le personnage de Wylan est le moins développé, malgré son grand potentiel et sa place centrale dans l’intrigue. C’est dommage de constater un traitement différent des autres membres de l’équipe, qui eux sont déployés de façon assez équilibrée.
Heureusement, le tome 2. La cité corrompue est sorti en France le 24 mai et j’ai grand espoir de voir Wylan « grandir » et s’affirmer au sein de l’équipe.
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Art par marty-mc
(Surtout sur Wylan, il est pitchoun, quoi.)
EN CONCLUSION
Une aventure originale et haletante, avec des protagonistes ambigus et une morale loin d’être pieuse (#CestSiBonDEtreVilain)… Une très belle découverte que je recommande à tous ceux qui cherchent le dépaysement !
Bonne lecture,
Bloup
Un roman d'aventure semi fantasy semi uchronie, avec pour héros un gang de sales gamins rebelles & névrosés? C'est Six of Crows. Tu connais? Article par Bloup Un livre où les héros sont des hors-la-loi égoïstes et égocentriques, ça vous dit ?
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songedunenuitdete · 4 years
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Lady Derring prend un amant de Julie Anne Long
[Chronique roman - Mady] Mon #avis sur Lady Derring prend un amant de Julie Anne Long, paru aux éditions J'ai lu pour elle ~@Jailupourelle : Une histoire et des personnages que j'ai adoré ! Coup de cœur !
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Nombre de pages : 320 pages Éditeur : J’ai lu Date de sortie : 5 février 2020 Collection : Aventures & Passions Langue : Français ISBN-10 : 2290224596 ISBN-13 : 978-2290224595 Prix éditeur : 7,60 € Disponible sur liseuse : oui à 5,99 €
De quoi ça parle ?
Delilah Swanpoole, comtesse de Derring, hérite de son perfide époux une bâtisse délabrée dont elle décide…
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yes-bernie-stuff · 4 years
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evangelizo.org l’Évangile au Quotidien«
Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68  Lundi 15 Juin
Premier livre des Rois 21,1-16.
En ce temps-là, Naboth, de la ville de Yizréel, possédait une vigne à côté du palais d’Acab, roi de Samarie.Acab dit un jour à Naboth : « Cède-moi ta vigne ; elle me servira de jardin potager, car elle est juste à côté de ma maison ; je te donnerai en échange une vigne meilleure, ou, si tu préfères, je te donnerai l’argent qu’elle vaut. »Naboth répondit à Acab : « Que le Seigneur me préserve de te céder l’héritage de mes pères ! »Acab retourna chez lui sombre et irrité, parce que Naboth lui avait dit : « Je ne te céderai pas l’héritage de mes pères. » Il se coucha sur son lit, tourna son visage vers le mur, et refusa de manger.Sa femme Jézabel vint lui dire : « Pourquoi es-tu de mauvaise humeur ? Pourquoi ne veux-tu pas manger ? »Il répondit : « J’ai parlé à Naboth de Yizréel. Je lui ai dit : “Cède-moi ta vigne pour de l’argent, ou, si tu préfères, pour une autre vigne en échange.” Mais il a répondu : “Je ne te céderai pas ma vigne !” »Alors sa femme Jézabel lui dit : « Est-ce que tu es le roi d’Israël, oui ou non ? Lève-toi, mange, et retrouve ta bonne humeur : moi, je vais te donner la vigne de Naboth. »Elle écrivit des lettres au nom d’Acab, elle les scella du sceau royal, et elle les adressa aux anciens et aux notables de la ville où habitait Naboth.Elle avait écrit dans ces lettres : « Proclamez un jeûne, faites comparaître Naboth devant le peuple.Placez en face de lui deux vauriens, qui témoigneront contre lui : “Tu as maudit Dieu et le roi !” Ensuite, faites-le sortir de la ville, lapidez-le, et qu’il meure ! »Les anciens et les notables qui habitaient la ville de Naboth firent ce que Jézabel avait ordonné dans ses lettres.Ils proclamèrent un jeûne et firent comparaître Naboth devant le peuple.Alors arrivèrent les deux individus qui se placèrent en face de lui et portèrent contre lui ce témoignage : « Naboth a maudit Dieu et le roi. » On fit sortir Naboth de la ville, on le lapida, et il mourut.Puis on envoya dire à Jézabel : « Naboth a été lapidé et il est mort. »Lorsque Jézabel en fut informée, elle dit à Acab : « Va, prends possession de la vigne de ce Naboth qui a refusé de la céder pour de l’argent, car il n’y a plus de Naboth : il est mort. »Quand Acab apprit que Naboth était mort, il se rendit à la vigne de Naboth et en prit possession. Psaume 5,2-3.5-6ab.6c-7. Écoute mes paroles, Seigneur,comprends ma plainte ;entends ma voix qui t'appelle,ô mon Roi et mon Dieu ! Tu n'es pas un Dieu ami du mal,chez toi, le méchant n'est pas reçu.Non, l'insensé ne tient pasdevant ton regard. Tu détestes tous les malfaisants,tu extermines les menteurs ;l'homme de ruse et de sang,le Seigneur le hait. Évangile de Jésus-Christ selon Matthieu 5,38-42. En ce temps- là, Jésus disait à ses disciples : « Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Œil pour œil, et dent pour dent’.Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu’un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l’autre.Et si quelqu’un veut te poursuivre en justice et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau.Et si quelqu’un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille avec lui.À qui te demande, donne ; à qui veut t’emprunter, ne tourne pas le dos ! »
- © AELF, Paris « La loi parfaite, celle de la liberté » (Jc 1,25) « A qui prend ta tunique, dit le Christ, donne aussi ton manteau ; à qui prend ton bien, ne réclame pas ; et ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux » (Mt 5,40 ;Lc 6,30-31). De la sorte, nous ne nous attristerons pas comme des gens qu'on aurait dépossédés contre leur gré, mais au contraire nous nous réjouirons comme des gens qui auraient donné de bon cœur, puisque nous ferons un don gratuit au prochain plus que nous ne céderons à la contrainte. « Et, dit-il, si quelqu'un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en avec lui deux mille ». De la sorte nous ne le suivons pas comme un esclave, mais nous le précédons comme un homme libre. En toutes choses donc le Christ t'invite à te rendre utile à ton prochain, ne considérant pas sa méchanceté, mais mettant le comble à ta bonté. Il nous invite ainsi à nous rendre semblable à notre Père « qui fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes » (Mt 5,45).    Tout cela n'est pas le fait de quelqu'un qui abolit la Loi, mais de quelqu'un qui l'accomplit et qui l'étend pour nous (Mt 5,17). Le service de la liberté est un plus grand service ; notre libérateur nous propose une soumission et une dévotion plus profondes à son égard. Car il ne nous a pas libérés des contraintes de la Loi ancienne pour que nous nous détachions de lui...mais pour que, ayant reçu plus abondamment sa grâce, nous l'aimions davantage et que, l'ayant aimé davantage, nous recevions de lui une gloire d'autant plus grande quand nous serons pour toujours en présence de son Père.
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