Tumgik
#Le Carrefour du Crépuscule
Text
La folie est une pute qui s'appele Amande 
Elle à des cheveux Couleur ambre
Une chatte Écarlatte 
Elle éclate le vide ,baise le système 
Amande est la fille à problèmes 
La Folie est une pute et son mac est l'Art brut 
Elle joue de la flute ou de la guitare comme une brute 
Ouai la Folie est une pute 
Elle parle de Krishna ,Bouddha ou Jéhovah 
La Folie est une pute qui s'appele Amande 
Elle est le féminisme trop agressif  ,les chambres d'isolement ,le canif dans le slip ,le cri de l'enfant 
Amande est un virus qui te suce le cerveau ,te le vautre dans le caniveau 
On l'appele travalo ou pute ,marginale ,brute bancale ,hystérique à piquée ou détraquée 
Amande aime bien l'odeur des char-clos
Là ou les voix imaginaires croient entendre le métro 
Elle passe pas sur BFM, branlade de facho moisie 
Elle trépasse la haine ,le fade et fait de la poésie 
Amande fume des tarpé,bois  ou prend de la coke 
Sa plume est chtarbée ,son coeur est pleins de foi mais glauque 
Elle fait la sainte nitouche ,en vérite elle l'est un peut 
Un peut catin ,un peut touche moi pas ,un peut eau et feu 
Amande à des amies imaginaires 
Des nids d'ovni dans l'ether 
Elle traine avec des cassos dans des appart en ruine comme un vieil os
Elle traverse la banlieue en tenue de princesse 
Suce pas ,bois pas ,se came pas et pas d'histoire de fesse 
Elle se souviens des blouses d'hosto pourrave
Le matin ,le flouze de l'âme brulée par la lave 
De ces coeurs en camisole attachées comme des épaves 
La Folie crie ,dessine ,chante et hurle 
La Folie jouie dans les cimes du crépuscule 
Elle pisse dans la rue avec sa grosse chatte 
Elle est castratrice sûre d'elle et t'éclate
La Folie dans les squats 
Chez les bourgeois ou les classe moyennes
Chez les précaires 
Des mères du crack aux pères des flaques d'alcool
Cigarettes demandées dans une cour
Courir pour s'échapper sans détours 
Taxer ,taxer, taxer
Refuser ou dire oui ,à la fois victime et dure 
Entre les cri de la folie et la perfu des murs 
Prend ton valium ou on te le fout dans le cul 
Ferme ta gueule, c'est du chew gum et puis t'est pas à la rue 
Te plaint pas ma couille ,t'avais qu'a pas essayer de te foutre en quatre 
Maintenant ta life est entre les mains du psychiatre
Il t'a violer salope ,va d'abord remettre ta culotte 
Je peut pas te croire ,t'est malade, maussade puis t'est malpropre 
Ici y a un règlement, Amande ,ferme ta gueule sinon on te démambre 
Amande ,un jour tu devra bosser et ta bosse dans le cerveau l'ecraser 
Arrête de croire en Dieu ,soit plus cartésienne, y a pas d'aliens
Puis soit un peut moins revoltée ,un peut moins éveillée
De t' façon l'hôpital à pas de moyen
Alors ferme-la et bouffe ton vieux pain 
Vous avez une dualité Madame ?
Un peut écartelée de l'âme ?
Vous êtes sûrement schizo,un coup de lexo sinon c'est la seringue et sa lame
Folie baltringue ,Folie flingue 
Je crois un jour à un monde ou Amande aura le coeur d'une mangue et un goût d'amour
Qu'Amande sera punk ,pieuse et qu'elle aura plus à courir sans détours 
Au grand carrefour de la liberté pour toujours 
L'éternité à la goût de la poésie 
Et la poésie celui de la folie 
Dans les Nébuleuses gueuses
Loin des infleunceuses faussement heureuse 
Quand l'hosto est un faux lit 
Et que les étoiles fleurent l'ancolie 
J'écris et crépite
Amande ,le cri de tant de vies 
Tumblr media
Nébuleuse 
L'univers éclot quand mon âme est Rose
Tel un ver d'éther, tel une larme en prose 
Mes viscères cessent de pleurer et de vomir
Mes artères se laissent aller au rire et au désir 
Au cou des étoiles
Dans le trou de mes toiles 
Chez le fou et sa voile 
Chez la courbe qui se voile 
Le ciel est nu come la pudeur du temps 
Vraie comme l'éveil des fleurs et des enfants 
Car oui ,tout s'abolie ,la mort est poésie 
Je vous écris et vous dis merci 
Noire ,blanc ,femme
Rose est la larme 
Ma peau la tienne,ta peau la mienne 
Rose sont nos veines 
Le soleil éclot, le ciel qui s'exclame est Rose 
J'arrose l'enclos de mes larmes,embellie la nécrose 
J'ose l'overdose des roses qui crient contre la névrose 
Alors , le mur du son ,je le transperce
Du Rose de l'allégresse 
Je torture les murs et les armes 
Pour faire naître leur murmures et leur âme 
Les fous sont nées dans les roses
Les folles s'y posent parfois morose
L'enfant ne vomie plus ses viscères 
En abolissant ses cimes  ordurières 
Un cafard qui se décompose 
Rêvait de sentir autre chose 
En faisant pousser ses ailes 
Il fleurait le Rose pastel 
Dans la martyr et la violée
Le cri de la cire sauvée 
Fit d'un Icar fou et suicidé 
L'écartèlement doux de la vacuité 
Ce fut le Rose salvateur 
Qui avait sauver cette fleur 
Et par la suite elle osa voler
Dans le fruit des éternités 
Je fume alors le coeur d'une framboise
J'hume son ardeur boisé qui me croise
Dans une cigarette beante en bois de nuage 
Sur une cigale géante qui se dis rois mage 
Elle à la saveur d'une étoile sucrée 
De fleur et de coeur ,de toile en état d'ébriété 
Dans ce Rose qui enivre tout 
Dans la Rose ou nait le fou 
Là ou le Corolle fait naitre un folle
Et où toute camisole meurt dans les fioles
De ces sorcières Rose au coeur tendre comme l'ambre des tremblements 
De ces terres qui implosent et enfantent secrètement le firmament 
Quand le feu jaillit Rose naissant deviens Fushia 
Quand il meurt il deviendra 
Rose de l'Univers en mes doux bras 
Tumblr media
Nébuleuse 
Voila ce qui s'est passé de super samedi
Aujourd'hui j'ai encore reporter du Rose et je me suis rendue compte que cette Couleur était profondément libératrice en moi et pour moi .Le Rose paradoxalement a ce qu'on crois chez moi c'est une grande puissance mais à la fois une immense douceur. C'est le féminisme,la foi ,le courage d'être soi-même dans un monde violent ,la joie ,ce qui est sucré, doux et à la fois affirmé .La petite peste ,la fille gentille ,sensible et à la fois poupée punk .Le Rose c'est la Couleur du crépuscule. C'est mon lien sacré à la chasteté,au Christ ,à la pudeur, l'humilité mais aussi la profonde fierté d'être qui je suis dans la défiance des machos ,dans la force ,la puissance, l'affirmation, l'extravagance .Mon Rose est transgressif, sacré et immortel 
Elle est très officiellement une de mes premières Couleurs préférées  désormais tellement il me fait du bien. 
C'est finit le Rouge et moins de Violet même si je l'adore toujours vraiment !
Le Rose d'ailleurs à toujours été une obsession et une de mes premières Couleur préférée enfant.
En plus j'étais à la fête de la ville samedi avec mon asso ( le GEM horizon soleil)
Y avais un stand musicale du canal 93 ( toutes les assos de la ville étaient la en fait )
Y avais un micro et des jeunes  rappaient un peut sur des instru
Je me suis lancée d'un coup et ai balancée un  freestyle à moitier impro sur une instru avec des trucs que j'avais déjà écris ou dis devant tout le monde 
Tout le monde trouvait ça incroyable et les jeunes à côté étaient tous ebahie .
J'ai discuter avec les gens du stand
La meuf était tellement ebahie qu'elle m'a dis : mais ça dechire !
T'est qui toi?
C'est genial!
Et une autre aussi me l'a dis
y avais même pleins de gens qui sont arrivés tous autours de moi tellement j'avais impressioné et pleins de jeunes. 
Du coup on m'a offert deux places de spectacles et on m'a dis que je pourrais  peut-être faire des choses avec eux. 
On m'a aussi pris en photo et filmée je crois 
Le Rose me donne tellement confiance en moi.
Ça à déclenché des choses extraordinaires chez moi
Du coup dès que je vibre totalement avec le Rose je sent le nirvana monter en moi ,je renait et me sent ivre comme si j'avais pris de l'acide .
C'est une Couleur qui me porte, me transporte, m'anime des tripes au coeur ,de l'âme aux pieds et dans tout mon corps.
Je me sent feministe, vivante dans la Couleur Rose. 
Depuis que ça s'est débloquée totalement en moi du jour au lendemain alors que j'en portais plus du tout ( j'avais tout expliquer par mail ) quelque chose dans ma vie à véritablement changée .
Je revis entièrement.
Je me sent respectée et arrive a imposer totalement le respect sans cette etiquette de  petite fille femme enfant  fragile victime de viol et des autres .
J'ai transformée la signification du Rose de manière intense et énorme en la retournant totalement. 
Je prend de plus en plus confiance en moi.
C'est aussi puissant que le Jaune !!!
D'ailleurs dès que je vibre puissament avec le Rose la toxicomanie disparaît même si le problème est encore loin d'être reglé.
La souffrance est la mais le  Rose la métamorphose comme une danse.
D'ailleurs dès que j'ai des idées noires je m'entoure de Rose ou sent mon Huile Essentielle de Benjoin que j'associe fortement à cette Couleur. 
Le Rose est mon odeur ,ma joie ,ma force dans ce cri si Jaune qui me transporte 
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Nébuleuse 
0 notes
hochgouez-nerzhus · 3 years
Text
Tumblr media
Aux alentours du 31 octobre dans l’hémisphère nord, et du 1er mai dans l’hémisphère sud, Samhain est la fête des morts, une fête du souvenir en l’honneur de nos chers amis et de nos parents décédés.
On dit qu’à Samhain, le voile qui sépare les mondes est plus fin que jamais. Ainsi, notre monde, le monde de “Faerie” et celui des morts se mélangent.
Il n’est donc pas très étonnant que cette nuit soit si enveloppée de superstition. C’est une nuit d’émerveillement et de magie. En cette nuit, la “Cailleach” (appelée aussi “Crone”, “vieille femme sage”, ou “sorciere” chez les anglo-saxons) vient dépouiller les feuilles des arbres, pour accélérer la dégradation de ce qui a constitué la “chair”, la “pulpe” des fruits de cette année, afin qu’elle puisse nourrir la nouvelle vie à venir.
Nous pouvons également lui demander d’emporter avec elle les aspects indésirables des expériences de notre vécu de l’année sur le plan personnel, afin que ceux-ci soient également transformés.
Pourtant, même dans la nuit la plus sombre de Samhain, alors que nos esprits réfléchissent à notre propre mortalité, si nous écoutons attentivement, nous pourrons entendre le vagissement d’un enfant nouveau-né qui pleure pour avoir le sein de sa mère….
Car ce sera bientôt le renouveau de la lumière, lors de la fête d’Alban Arthan, du solstice d’hiver, et la roue de l’Année tournera d’un cran supplémentaire….
Pour les anciens Celtes, l’année avait deux « charnières ».
Il s’agissait de Beltaine (le 1er mai) et de Samhain (le 1er novembre), qui est également le nouvel an celtique traditionnel. Et ces deux jours étaient les moments les plus magiques et souvent les plus effrayants de l’année.
Le peuple celte était superstitieux et fasciné par les temps et les lieux « entre deux mondes”. Les lieux saints sont tous des endroits frontaliers – le rivage, ou l’estran, entre erre et eau (bords de mers, de lacs et de rivières), les ponts, les frontières entre les territoires (surtout lorsqu’elles étaient marquées par des étendues d’eau), les carrefours, les seuils, etc.
Les temps sacrés sont aussi des temps frontaliers – crépuscule et aube – marquant les transitions de la nuit et du jour; Beltaine et Samhain marquant les transitions été / hiver.
En relisant les mythes et les contes de fées vous constaterez que de nombreuses histoires se déroulent dans de tels lieux et à de telles époques.
À Samhain (qui correspond à l’Halloween moderne), le temps a perdu tout sens et le passé, le présent et l’avenir ne font plus qu’un. Les morts et les habitants de l’autre monde marchent parmi les vivants. C’est le temps des fées, des fantômes, des démons et des sorcières.
Si l’hiver est la saison des fantômes, Samhain est la nuit de leur sortie en liberté depuis le “Monde d’en Bas”. Beaucoup de gens allument alors des feux de joie pour éloigner les mauvais esprits.
Souvent autrefois, une torche était allumée et transportée autour des limites de la maison et de la ferme, afin de protéger la propriété et les résidents contre les mauvais esprits tout au long de l’hiver.
De nombreux Celtes irlandais et écossais apaisaient alors leurs morts par le traditionnel “souper silencieux”:
À la veille de Samhain, le dîner était servi dans un silence absolu et une place consacrée en tête de table “aux ancêtres ». On servait à manger et à boire à cet endroit sans regarder directement le siège, car voir les morts porte malheur. Ensuite, l’assiette et la coupe intactes étaient emportées dehors « pour les pookas” * et laissées dans les bois.
*Le Pooka est une créature de la mythologie celtique que l’on trouve notamment en Irlande et au Pays de Galles. Selon la légende, il s’agirait d’un habile personnage capable de se changer en toutes sortes de choses. Mais peu importe son apparence, sa peau est toujours sombre, ses yeux jaunes inquiétants et lumineux et il a pour habitude d’attendre que la nuit tombe pour faire des espiègleries ou pire encore pour faire du mal…terrifiant le bétail, piétinant les récoltes et plus généralement faisant des dégâts dans les fermes des alentours. ..
Dans d’autres traditions, c’est la nuit où nous nous souvenons, honorons et trinquons à nos disparus bien-aimés, car le voile entre les vivants et les morts est plus fin et on dit que la communication avec eux est possible le soir de Samhain.
Les animaux et les denrées alimentaires ont également besoin d’une protection spéciale pendant cette période. Samhain marque l’époque où le bétail, (dont dépendait l’économie des Highlands écossais), était ramené de son pâturage d’été vers son refuge hivernal. On priait les Dieux de protéger le bétail pendant le long hiver rigoureux. C’est à ce moment la que les réserves de nourriture récoltées pour l’hiver étaient stockées.
Voici le poème qu’écrivit Sir Walter Scott : (célèbre auteur d’”Ivanhoé” et de “Quentin Durward”)
La veille de Toussaint, toi qui cherches repos,
Prête attention à la bénédiction de ton lit
Chante y l’Ave Maria et le Credo
Porte le signe de croix et le pain béni
Car en ce jour, la Sorcière de la Nuit chevauchera
Avec les neufs balayeuses à ses cotés
Et quand le vent, tout doucement ou très fort hurlera
Sous les lueurs de la lune ou dans les nuages drapé
Celui qui a osé s’assoir dans le siège de St Swithin
Lorsque la Sorcière nocturne vole dans l’air malsain
Quand de la troisième question, les mots il récitera
Qu’il ose: elle lui répondra.
Samhain est aussi la nuit du Grand Sabbat des sorcières (Ban-Druidh, en gaélique écossais, ce qui signifie: femme-druide). À la Toussaint, toutes les sorcières d’Écosse se rassemblaient pour célébrer, prophétiser et lancer leurs sorts. La tradition veut que cette nuit-là, on les voie voler dans les airs sur des balais et des coquilles d’œufs, sur des chats noirs, des corbeaux ou des chevaux lors de la “chevauchée sauvage de la Toussaint”.
Les paysans n’osaient pas sortir de chez eux tant leur crainte de cette nuit était grande. Certains disaient que la reine des sorcières, est l’Irlandaise “Morrigan” (appelée aussi Morgan le Fay) et dans d’autres traditions, la “Dame au Visage Bleu” – la Cailleach – règne sur cette nuit.
Un bon exemple d’histoire de fantômes des Highlands écossais (comme le raconte Kenneth Wiepert, membre du clan McDonald), concerne la sorcière…
 Il m’a raconté l’histoire suivante: 
« Les MacDonald’s de Glen Coe ont leur propre sorcière. Elle s’appelait Sidiethe et était une sorcière de l’eau à la peau claire et aux cheveux roux. On la voyait toujours vêtue d’une robe blanche et d’une cape noire. Sidiethe chantait souvent sur les rives du Loch Linhe près de Glen Coe et parfois, elle pleurait. Peu de temps avant le massacre de Glen Coe en 1692, elle a été vue en train de laver des vêtements sur le gué de la rivière tout en pleurant. »
(Note: souvent lorsqu’on voit les fées appelées banshees laver des vêtements ou des linceuls tout en pleurant, cela annonce une mort tragique ou une catastrophe.)
Les observations de ce fantôme remontent aussi loin qu’en 1100. Elle est également connue sous le nom de “Sorcière blanche de Glen Coe”. Le  “Loch Linhe” aurait aussi été habité par une kelpie.
Le kelpie est une créature métamorphe mentionnée dans plusieurs légendes issus du folklore écossais et irlandais, souvent vu comme faisant partie du monde des fées . Il possède des caractéristiques chevalines, aquatiques et humanoïdes à la fois, et vit généralement dans les eaux courantes, comme les rivières, et plus rarement, dans les lochs.
Les fées migrent depuis les collines d’été vers les tumuli d’hiver pendant la nuit de Samhain.
Si des membres de votre famille avaient été “capturés par des fées” cette année-là, c’était le seul soir où vous pouviez les reconquérir, en les arrachant de leur monture, lors du passage de la procession des fées . La célèbre légende écossaise de Tam Lin, est l’histoire d’une jeune fille fidèle qui a sauvé son amant de l’emprise des fées lors de cette nuit fatidique.
La plupart des traditions d’Halloween proviennent de coutumes païennes et druidiques. C’est une période de prophéties, de déguisement pour se prémunir du mal, d’accomplissements de rites de protection contre les esprits des morts et de l’au-delà. L’ancienne pratique des druides consistait à encercler le feu de joie de Samhain avec les crânes des ancêtres, qui avaient pour mission de protéger la tribu des démons cette nuit-là.
Dans l’Écosse moderne, les enfants ont hérité de la coutume ancestrale de se costumer. Ils portent des masques ou se noircissent le visage. Ils sculptent de gros navets en forme de crânes et y placent une bougie, pour recréer l’effet inquiétant du crâne.
Les enfants se déplacent de porte en porte et chantent pour réclamer des bonbons. Lorsqu’ils ne sont pas suffisamment récompensés pour leurs facéties, ils ont recours à de mauvais tours.
Ceux qui ont le don de deuxième vue (Taibhsear, en gaélique écossais) sont souvent sollicités cette nuit là pour faire la divination traditionnelle d’Halloween.
Ces personnes sont invitées à des rassemblements pour divertir les invités par leurs dons sacrés. Une de ces méthodes consiste à piquer un œuf et à laisser le contenu s’égoutter dans un verre d’eau claire. Le Taibhsear peut ainsi y lire des formes et y voir des symboles, un peu comme une boule de cristal, et prédire l’avenir.
Les pommes étaient le fruit de l’Autre Monde, une terre parfois appelée Avalon ou Avallach – l’île des Pommes. Elles sont souvent utilisées pour la magie et la divination.
Une jeune femme qui éplucherait une pomme en une seule fois et la jetterait par-dessus son épaule la nuit de Samhain verrait la pelure prendre la forme de la première initiale du nom de son futur mari.
Si vous mangez une pomme devant un miroir en vous peignant les cheveux vous apercevrez l’évocation de l’image de votre véritable amour dans le miroir.
Une autre tradition est la « trempe aux pommes ». Les pommes sont placées dans une cuve d’eau, et les joueurs essaient de les récupérer avec leurs dents. Ceux qui réussissent auront de la chance pour toute l’année suivante.
Les noisettes ont aussi été utilisées dans la divination qui concerne le mariage.
Deux groupes de noisettes, surnommées  “les noisettes des chéries“ sont placées dans le feu: un groupe est marqué des noms des jeunes filles à marier , et l’autre des noms des garcons célibataires du village.
Au fur et a mesure que les noisettes éclatent, on les associe par paires romantiques.
Pour passer à une note plus sombre, les gens plaçaient parfois des noisettes avec leurs initiales dans le foyer. Si les noisettes manquaient le lendemain matin, il était dit que la personne malchanceuse ne survivrait pas à l’année. Le noisetier est un arbre sacré dans la mythologie irlandaise et écossaise.
En Irlande, il est dit que neuf noisetiers poussent autour du puits de Segais, là où vit et nage le saumon sacré. C’est la source de toute la sagesse. L’utilisation de noisettes à Samhain permet aux voyants d’obtenir une part de cette sagesse sacrée.
Tha gliocas un ceann un fhitich!*  (Proverbe gaélique)
Par Susa Morgan Black (Druide et membre de la société de recherches archeologiques ecossaise), traduction WillowMoon
4 notes · View notes
yes-bernie-stuff · 4 years
Text
Verset du jour et ses passages
Dis à la sagesse: « Tu es ma sœur » et appelle l’intelligence ton amie. Proverbes 7.4
Proverbes 7
7 Mon fils, retiens mes paroles et garde mes commandements avec toi! 2 Retiens mes commandements et tu vivras. Garde mon enseignement comme la prunelle de tes yeux! 3 Attache-les sur tes doigts, écris-les sur la table de ton coeur! 4 Dis à la sagesse: «Tu es ma soeur» et appelle l'intelligence ton amie 5 pour qu'elles te préservent de la femme étrangère, de l'inconnue au discours flatteur. 6 Alors que j'étais à la fenêtre de ma maison et que je regardais à travers mon treillis, 7 j'ai vu parmi ceux qui manquent d'expérience, j'ai remarqué parmi les jeunes gens, un garçon dépourvu de bon sens. 8 Il passait dans la rue, près de l'angle où se tenait une de ces femmes, et il prenait le chemin de sa maison; 9 c'était au crépuscule, en fin de journée, au moment où viennent la nuit et l'obscurité. 10 La femme est venue à sa rencontre, habillée comme une prostituée, la ruse dans le coeur. 11 Elle était bruyante et sans pudeur. Ses pieds ne tenaient pas en place chez elle: 12 tantôt dans la rue, tantôt sur les places, à tous les carrefours elle était aux aguets. 13 Elle l'a agrippé et embrassé et, d'un air effronté, lui a dit: 14 «Je devais un sacrifice de communion, aujourd'hui j'ai accompli mes voeux. 15 Voilà pourquoi je suis sortie à ta rencontre pour te chercher, et je t'ai trouvé. 16 J'ai orné mon divan de couvertures, de tissus en lin d'Egypte. 17 J'ai parfumé mon lit de myrrhe, d'aloès et de cinnamome. 18 Viens, enivrons-nous d'amour jusqu'au matin, livrons-nous aux jouissances de la passion! 19 En effet, mon mari n'est pas à la maison, il est parti pour un voyage lointain; 20 il a pris la bourse avec lui, il ne reviendra à la maison qu'à la pleine lune.» 21 Elle l'a attiré à force de persuasion, elle l'a séduit par la flatterie de ses lèvres. 22 Il s'est tout à coup mis à la suivre, pareil au boeuf qui va à la boucherie, au fou qu'on attache pour le corriger, 23 jusqu'à ce qu'une flèche lui transperce le foie. Il était pareil à l'oiseau qui se précipite dans un piège sans savoir que c'est au prix de sa vie. 24 Et maintenant, mes fils, écoutez-moi et soyez attentifs aux paroles de ma bouche! 25 Que ton coeur ne se tourne pas vers les voies d'une telle femme! Ne t'égare pas dans ses sentiers! 26 En effet, elle a fait beaucoup de victimes. Ils sont nombreux, tous ceux qu'elle a détruits. 27 Sa maison, c'est le chemin du séjour des morts qui descend vers les chambres de la mort.
Ezéchiel 19
19 »Quant à toi, prononce une complainte sur les princes d'Israël! 2 Tu diras: »'Qu'était ta mère? Une lionne. Elle était couchée parmi les lions. C'est au milieu des jeunes lions qu'elle a élevé ses petits. 3 Elle a dressé tout particulièrement l'un de ses petits, qui est devenu un jeune lion. Il a appris à déchirer sa proie, il a dévoré des hommes. 4 Les nations ont entendu parler de lui et il a été pris dans leur piège. Elles l'ont emmené, en mettant des crochets à ses narines, jusqu'en Egypte. 5 »Quand la lionne a vu qu'elle attendait pour rien, qu'il n'y avait plus d'espoir, elle a pris un autre de ses petits et en a fait un jeune lion. 6 Il rôdait parmi les lions, il est devenu un jeune lion. Il a appris à déchirer sa proie, il a dévoré des hommes. 7 Il a violé leurs veuves et détruit leurs villes. Le pays a été dévasté, avec tout ce qui s'y trouvait, au son de ses rugissements. 8 »Contre lui se sont rangées les nations environnantes, venues de leurs provinces. Elles ont tendu leur filet sur lui et il a été pris dans leur piège. 9 Elles ont mis des crochets à ses narines, l'ont placé dans une cage et l'ont emmené auprès du roi de Babylone. Puis elles l'ont conduit dans une forteresse afin qu'on n'entende plus sa voix sur les montagnes d'Israël. 10 »Ta mère était, comme toi, semblable à une vigne plantée près de l'eau. Elle était porteuse de fruits et chargée de sarments, grâce à l'abondance de l'eau. 11 Elle avait de solides branches, qui sont devenues des sceptres royaux. Par sa taille, elle dominait les broussailles. Elle attirait les regards par sa hauteur et par le grand nombre de ses branches. 12 »Cependant, elle a été arrachée avec fureur et jetée par terre. Le vent d'est a desséché ses fruits. Ses solides branches ont été cassées et sont devenues toutes sèches; le feu les a dévorées. 13 Elle est maintenant transplantée dans le désert, dans une terre sèche et aride. 14 Le feu est sorti d'une partie de ses branches et a dévoré son fruit. Elle n'a plus de branche solide qui pourrait devenir un sceptre royal.' »C'est une complainte, à utiliser comme complainte.»
Un service proposé par UniversdelaBible.net
Lire et écouter la Bible
Pour vous désinscrire veuillez envoyer un email à [email protected] | Mentions légales
Modifiez vos abonnements
2 notes · View notes
lamergelee · 4 years
Text
“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 42]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41] Le jour 42, Gustave fut à cheval avec Greta Garbo. Quand Gustave se réveilla, des rêves confus continuaient de tourbillonner autour de lui, comme un essaim de guêpes. Il sentait obscurément une menace dans l’appartement, dans la pièce d’à côté peut-être. Le corbeau venait-il l’insulter jusque chez lui ? Avait-il franchi sans encombre et sans bruit son verrou trois points à gros cylindre ? Il jugea plus prudent de se confiner sous la couette, pour commencer, après avoir poussé une chaise contre la porte de sa chambre. Il avait fait cette nuit le tour de ses nouvelles propriétés avec la voisine, qui avait pris les traits de Greta Garbo dans un film des années trente. Leurs chevaux allaient l’amble sur des sentiers jonchés de pétales roses, le long d’un large fleuve qui s’étalait paresseusement dans un suave crépuscule. Gustave se rappelait qu’il n’était jamais monté à cheval, il tremblait que Greta ne découvre la supercherie, il se souvenait d’avoir lu quelque part que la monture sentait les moindres frémissements des cuisses du cavalier, qu’elle pouvait se cabrer ou partir au galop si elle devinait sa nervosité, il mourrait bêtement dans la boue, son père en ferait des gorges chaudes au-dessus de sa tombe, mais il se calmait en prenant une large inspiration, il tâchait de se tenir droit, de porter son regard loin vers l’horizon comme Napoléon à Austerlitz, et justement, là-bas, oh ! là-bas ! un ravissant moulin de carte postale se dessinait dans la brume. À ses côtés, noble et tranquille, Greta portait une bombe de velours noir, caressait d’une main nonchalante la crinière tressée de sa jument, une fine cravache en bois de houx appuyée contre l’épaule. Oh, pensa Gustave, comme la vie mérite d’être vécue, quand on chemine à cheval avec Greta Garbo dans le domaine de chasse de Geoffroy Roux de Bézieux ! Ils l’avaient peut-être étranglé la veille avec un lacet de soie pourpre, d’un coup sec délicat qui lui avait épargné toute souffrance inutile. Il se souvenait mal. L’air était doux. « It’s good to be alive », disait Gustave à sa compagne, car ils échangeaient en anglais, plus adapté à la richesse, et qui leur venait naturellement dans la bouche au milieu des collines et des bois. Il avait tant de choses à lui dire, le temps pressait, il fallait vite l’inviter au pique-nique dans son couloir, décrire les oiseaux, nommer les arbres, l’éblouir enfin. Il pensait bêtement à son score de fragilité, il ne savait plus s’il devait être élevé ou non pour avoir droit à l’intubation, il pensait aux cellules éthiques de soutien, aux unités aiguës de soins palliatifs, à la main douce et chaude du docteur Rane, puis toutes ces choses lui parurent lointaines et futiles. Elles appartenaient à un monde confus de souffrance. Ici, dans le domaine, on respirait l’air pur des jours heureux. Alors ils échangèrent dans la langue du Financial Times sur le « relâchement de la vigilance des salariés », sur « la première et la deuxième ligne de front », sur le « dévouement des soignants ». « Ah les soignants, ce sont des saints ! » s’exclamait sa compagne en angliche. « They are saints ! » « On pourrait peut-être les béatifier collectivement », renchérit Gustave. Passé les premiers instants de crainte, il sentit ruisseler en lui la belle langue de « l’arbitrage entre contrainte sanitaire et libertés individuelles ». Au moindre début de tremblement, il prononçait tout haut en anglais : « Comité de suivi et de transparence », et toute sa vaine agitation disparaissait. « Conseil national de la résilience », murmurait Greta, et elle lui adressait un sourire doux et compréhensif. « Echanges concordants avec le souverain pontife », rétorquait Gustave, qui apprenait vite. Bien sûr, un petit caillou sur le chemin, une pente imprévue où la monture risquait de le faire culbuter et Gustave, qui ne changeait pas si vite sa nature nerveuse, se surprenait à penser : « Il existe encore des tensions d’approvisionnement », mais aussitôt la voix sonore et riante de Greta s’élevait dans les airs comme la Vierge Marie le 15 août : « Continuité d’activité, Cohérence et efficacité des mesures, Dévouement et gratitude, Comité de liaison avec la société ». Puis il songea malencontreusement à Tahar Azlout, agent d’entretien au Carrefour de Saint-Denis, à Aïcha Issadounène, caissière dans le même établissement, morts tous les deux du virus, et l’enchantement disparut. Quelqu’un avait dû le dénoncer car, contre la porte de sa chambre, il vit qu’un homme trapu aux petits yeux noirs et vifs, dans un complet gris clair, tambourinait avec un bloc-notes à la main. Assez curieusement, il était juché sur un poney Shetland à petite tête et large front. Deux policiers en uniforme se tenaient en arrière, l’air ennuyé. L’un deux bâillait en regardant sa montre. « Gustave F., je présume, vous reconnaissez votre identité ? » dit le trapu. « Oui, oui, bien sûr », marmonna Gustave, encore en slip. « Voici une sage décision, vous facilitez notre travail. Avez-vous des choses à avancer pour votre défense ? » « Si c’est à propos de Geoffroy… il me semble que c’est plutôt Greta qui a eu l’idée… » « Women, shit. Allez mon vieux, habillez- vous, on vous emmène. » (À suivre).
5 notes · View notes
songedunenuitdete · 4 years
Text
Pour passer le temps, j’aime bien faire la liste des romans que j’aimerais acheter et lire chaque mois. Je me suis dit que ça serait sympa de partager ma wish-list (qui se transformera à coup sûr en achat) avec vous. Je vais donc vous présenter tous les livres que j’aimerais lire prochainement (et pourquoi) et qui concernent les sorties du mois d’août 2020 tous éditeurs confondus. Bon, après, il n’y en a pas des tonnes non plus.
Je commence ici par les romances historiques qui me font de l’œil chez J’ai Lu Pour Elle.
Le palais des vauriens (Tome 2) – Le bâtard de la maison Brexford de Julie Anne Long
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 322 Traducteur : Nicole Hibert Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Le Palais Des Vauriens Prix : 7,60€
Son résumé :
Après avoir connu bien des vicissitudes, Angélique Breedlove a enfin trouvé la sérénité au Grand Palais de la Tamise, une respectable pension de famille. Mais le jour où Lucien Durand vient s’y installer, sa tranquillité vole en éclats. Sans doute parce qu’on le disait mort depuis dix ans, et parce qu’il a l’intention d’acheter l’immeuble voisin pour ouvrir une maison de jeu… Et surtout à cause de son charisme redoutable. Angélique s’est jurée de ne plus tomber sous le joug d’un homme, et elle pressent que celui-ci a toutes les chances de lui faire perdre la tête.
Lire un extrait
[/box]
Je ne me souviens pas avoir lu le premier tome, j’ai un doute, mais le résumé et le fait que ce soit un coup de cœur de l’éditrice me donne grandement envie de le découvrir, j’avoue.
Amitié (Tome 1) – L’histoire d’Alexandra de Kerrigan Byrne
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 384 Traducteur : Lili Steehl de Ursecci Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Amitié Prix : 7,60€
Son résumé :
— Voulez-vous m’épouser, Votre Grâce?
Si Alexandra a le culot de poser cette question, c’est que le duc de Redmayne lui apparaît comme son unique recours. Victime d’un maître chanteur, elle a besoin de la protection d’un riche mari. De plus, le duc ne cache pas le désir qu’elle lui inspire. Mais celui qu’on appelle le Diable de Torcliff est bien effrayant avec ses cicatrices et son physique imposant. Et, lorsqu’il accepte de la mener à l’autel, Alexandra pressent un vertigineux plongeon dans l’inconnu…
[/box]
Alors là, je trépigne d’impatience ! Vraiment ! J’adore son autre série même si elle s’essouffle un peu. Celui-ci ne fera pas long feu quand le l’aurais entre mes mains.
Les mauvais garçons (Tome 2) – L’amazone aux yeux verts de Sarah Maclean
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020
Nombre de pages : 385 Traducteur : Agathe Nabet Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Série : Les mauvais garçons (Tome 2) Prix : 7,60€
Son résumé :
À vingt-neuf ans, lady Henrietta a renoncé au mariage. Désormais, il est temps de s’affranchir des convenances pour prendre en main son destin. Et pourquoi ne pas s’occuper de la compagnie maritime que son père n’est plus apte à diriger? Oui, cette année, elle va enfin réaliser ses désirs. Elle en est persuadée. Mais elle n’avait pas prévu de devoir affronter, sur les docks de Covent Garden, Saviour Whittington, dit La Bête, roi des bas-fonds de Londres. Un homme dangereux, un homme sans honneur. Et si fascinant qu’elle a très envie d’être déshonorée…
Lire un extrait
[/box]
Comment dire… Là aussi, je meurs d’impatience, parce que je garde une excellente impression de l’univers et du contexte du premier tome ! J’ai de grands espoirs concernant cette série !
La lune voilée de Karen Robards
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Date de sortie : 19 août 2020 Nombre de pages : 417 Traducteur : Pascal Guinard Thème : Romance Historique Collection : Aventures & Passions Prix : 7,60€
Son résumé :
Déguisée en garçon, Caitlyn O’Malley vit de petits larcins dans les rues de Dublin. Lorsqu’elle essaie de faire les poches de Connor d’Arcy, comte d’Iveagh, ce dernier la prend sur le fait. Au lieu de la dénoncer, il lui propose de l’arracher à sa misère. Ce que la jeune fille ignore, c’est que Connor mène une double vie : aristocrate le jour, il se transforme en Robin des Bois la nuit, volant les riches Anglais pour nourrir les Irlandais affamés. Bientôt, Caitlyn maîtrise les ficelles de la rapine et suit son bienfaiteur dans ses expéditions. Jusqu’à une nuit tragique où elle consent à faire un terrible sacrifice pour sauver Connor.
Lire un extrait
[/box]
Bon sang ! Je l’ai lu il y a des années (plus de 20 ans) et je m’en souviens vaguement ! Toutefois, je sais que j’avais adoré et du coup, j’espère ne pas trop m’en rappeler lorsque je le relirais. Je ne résiste pas à vous mettre l’ancienne couverture (perso, je la kiffe trop !)
Je vous mets ci-dessous la couverture de la première parution française (là encore, ça me rend nostalgique…)
Ensuite, il y a ce titre fantasy jeunesse qui me fait de l’œil depuis son annonce chez Bayard édition 😍 :
Rule Tome 01: Rule de Ellen Goodlett
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 512 pages Traducteur : Éric Moreau Editeur : Bayard Jeunesse Date de sortie : 26 août 2020 Série : Rule (1) Prix : 17,90€
Son résumé :
Une couronne, trois prétendantes prêtes à tout pour accéder au pouvoir.
Zofi, Ren et Akeykah vivent au royaume de Kolonya. Elles ne se connaissent pas et n’ont rien en commun. Lorsque le roi les convoque, elles s’attendent au pire. Chacune d’entre elles cache un lourd secret qui pourrait porter atteinte à leur vie. Quand le souverain leur révèle qu’elles sont ses seules héritières, le combat est lancé et chacune est bien décidée à prouver qu’elle mérite de régner. Mais quelqu’un à Kolonya connaît leurs secrets, et ne reculera devant rien pour les manipuler et les empêcher de conquérir le trône…
[/box]
Sa couverture est sublime ! Je suis vraiment curieuse de découvrir l’intrigue de ce roman !
Là, je passe chez les adultes concernant la fantasy avec deux titres (enfin trois) à paraître aux éditions Bragelonne :
Les dieux silencieux (Tome 1) : Le Maître des Chagrins de Justin Travis Call
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 552 pages Editeur : Bragelonne Traducteur : Nenad Savic Date de Sortie : 12 août 2020 Collection : Les Dieux silencieux (1) Prix : 25€
Son résumé :
Vous connaissez déjà cette histoire – celle d’un orphelin élevé par un vieil homme sage, d’un garçon qui découvre qu’il possède des pouvoirs et apprend à s’en servir pour protéger le monde d’un grand mal. Mais qu’arriverait-il si ce héros et ce mal ne formaient qu’un ? Sauverait-il le monde, ou le détruirait-il ?
Parmi les avatars de l’Académie, Annev de Breth est une exception. Au contraire de ses camarades, qui furent dérobés à leurs familles dans la capitale lorsqu’ils n’étaient que des nourrissons, Annev est né dans le village de Chaenbalu. Ayant survécu à un sacrifice, il a été élevé par ceux-là mêmes qui ont tué ses parents. Dix-sept ans plus tard, Annev porte le fardeau d’une magie interdite. Pris en étau entre les idées déclinantes de son mentor et les maîtres de l’Académie, il doit choisir entre un avenir prometteur et ses amis proches. Chacune de ses décisions le mène à un nouveau dilemme, jusqu’à ce qu’Annev soit contraint de se lancer dans une quête qui lui est étrangère. Acceptera-t-il de s’engager sur une voie potentiellement dévastatrice ?
Lire un extrait
[/box]
Bon, le résumé, le fait que l’on compare ce titre à du Eddings, et surtout les avis, m’intrigue !
La Roue du temps T7 : Une couronne d’épées de Robert Jordan
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 768 pages Editeur : Bragelonne Réédition du broché prévu pour août Série : La Roue du Temps (7) Prix : 25€
Son résumé :
Après avoir échappé à la Tour Blanche, Rand a réussi un exploit : obtenir la fidélité de certaines Aes Sedai renégates. Mais il est toujours pris en tenaille entre les Suppôts des Ténèbres et les Seanchaniens, une pression dont il se passerait bien alors qu’il réunit ses forces pour s’attaquer au bastion de Sammael. De leur côté, Elayne et Nynaeve cherchent un moyen de briser l’emprise du Ténébreux sur le climat. Quant à Egwene, elle conduit une armée vers Tar Valon. L’Ultime Bataille approche.
[/box]
Bon. En vrai ce tome est sorti en 2015, mais je suis toujours en cours de lecture de la saga. Je devrais commencer le tome 6 incessamment sous peu et pour le coup, je vous présente le tome 10 qui lui sort en août (oui, je suis en retard ^^)
La Roue du temps T10 : Le Carrefour du Crépuscule de Robert Jordan
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 744 pages Editeur : Bragelonne Traducteur : Jean Claude Mallé Date de sortie : 12 août 2020 Série : La Roue du Temps (7) Prix : 28€
Son résumé ( à ne pas lire si comme moi, vous n’avez pas encore lu les tomes précédents… croyez-moi, j’ai fermé les yeux pour ne rien voir !) :
La Roue du Temps tourne et les Âges naissent et meurent, laissant dans leur sillage des souvenirs destinés à devenir des légendes.
[toggle title=”Résumé avec des spoilers si vous n’avez pas lu les tomes précédents” state=”close”]Tandis qu’il fuit Ebou Dar, Mat déploie tout son charme pour faire fondre la glace entre lui et la Fille des Neuf Lunes, sa promise. Sachant qu’il l’a enlevée et quelque peu maltraitée, ce n’est pas gagné d’avance. À Tar Valon, Egwene assiège la Tour Blanche. Elle doit vaincre très vite et verser le moins de sang possible, car la réunification des Aes Sedai est à ce prix. Et si elle échoue, il ne restera plus que les Asha’man pour défendre le monde contre le Ténébreux. Bien qu’il ait réussi à purifier le saidin, Rand reste engagé dans une partie dont il est lui-même l’enjeu. Une situation peu enviable, quand on ignore combien d’ennemis se cachent parmi ceux qu’on tient pour des alliés…[/toggle]
[/box]
Fullmetal alchemist perfect T04 de Hiromu Arakawa
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Broché : 272 pages Editeur : Kurokawa Date de sortie : 20 août 2020 Prix : 11.90€
Son résumé :
Avec son subtil mélange d’action, d’humour, de suspense et de tragédie, Fullmetal Alchemist est le titre incontournable pour toute mangathèque !
Après quelques péripéties dans la région de Rush Valley, Edward et Alphonse quittent leur amie Winry, qui veut se perfectionner en mécanique, pour continuer leur voyage vers le sud du pays. Toujours en quête d’informations concernant la transmutation humaine, nos deux alchimistes se rendent chez leur maître, la terrible Izumi Curtis. C’est l’occasion de se remémorer les conditions de leur rencontre et le terrible entraînement qu’elle leur a fait subir.
[/box]
Eh oui, un manga ! Ce titre là, je le fais avec mon chéri, donc ça ira plus dans sa mangathèque que la mienne, mais ce n’est pas grave ^^.
Bon, comme vous le voyez il y a quand même pas mal de titres qui me font de l’œil (surtout en romance historique), et mon porte-monnaie va sérieusement souffrir ! Il n’aura même pas le temps de se remettre (le pauvre) car il y a de sacrées parutions pour le mois de septembre que je compte bien acquérir également !
Et vous, quels sont vos choix du mois d’août ? Dites-moi tout, peut-être que j’ai manqué des titres qui pourraient me plaire 🥰!
Les sorties d'août 2020 qui me font de l’œil et que j'aimerais franchement lire🙏😍 sont chez @Jailupourelle -@BragelonneFR - @BayardEditionsJ et @Kurokawa 💖 Et vous, quels sont vos tentations du mois d'août ? Je veux tout savoir 🥰☀ Pour passer le temps, j’aime bien faire la liste des romans que j’aimerais acheter et lire chaque mois…
0 notes
isufferofpoetry · 5 years
Text
La lune (Grand Palais,Paris)
Maîtresse de la Nuit, elle accompagne les sorcières et veille les morts après les batailles. A la fois lugubre et sublime, elle ne pouvait que plaire aux romantiques.  “Elle est aujourd’hui aussi objet d’une convoitise inquiétante pour le futur, tentation d’un monde terrestre toujours avide de trouver et d’épuiser ailleurs de nouvelles ressources” 
Tumblr media
ma riconoscerai ch’i’ son Piccarda, che, posta qui con questi altri beati, beata sono in la spera più tarda.
Dante Alighieri, Paradiso Canto III  Illustrazione Gustave Doré
________________________________________________
Tumblr media
Lune creuse / La réserve, Gilles Barbier 2007
Tumblr media
Journey to the Moon, William Kentrige
Tumblr media
Roy Ward Baker, Moon Zero Two
En 1968-69, alors que la course à l’espace entre les États-Unis et l’URSS fait rage, les Européens s’en emparent avec humour. Dans le générique du western spatial Moon Zero Two, l’astronaute et le cosmonaute en viennent aux mains en s’arrachant leur drapeau respectif. Quant aux Français, ils sont incarnés par les Shadoks, ces misérables créatures qui tentent de coloniser la Lune à l’aide d’échelles tout à fait inadaptées.
Tumblr media
James Turrell 
Tumblr media
Plenilunii Lumina austriaca Philippica / [Michael Florentius van Langren] Van Langren, Michael Floris (1612-1675)
La face visible de la Lune porte les cicatrices du passé chaotique du Système Solaire. Les mers lunaires, gigantesques régions sombres, sont d’anciens bassins d’impact. Aux premiers instants du Système Solaire, il y a près de 4,5 milliard d’années, de nombreux corps massifs impactaient la surface des planètes et satellites nouvellement formés. Les plus grands ont creusé sur la face lunaire de gigantesques cratères, faisant fondre la surface à l’impact. La lave ainsi formée a rempli les bassins, puis en refroidissant a crée ces régions sombre appelées mers lunaires. 
Hécate, déesse du passage entre notre monde et l’au délà: elle préside aux destins funèbres, aux sortilèges et aux tourments. Hécate préside aux seuils des maisons, aux carrefours et aux passages de la vie et de la mort
Elle fait partie de la Triade Lunaire, avec Séléné et Artémis.  * Séléné la pleine lune, qui symbolise la maturité dans le cycle de vie ; Artémis le croissant de lune, qui symbolise la naissance.
Tumblr media
Hécateion 389 ap. J.-C. Mithraeum, Sidon (Saïda, Liban) Marbre Cette représentation d’Hécate, déesse d’Asie mineure associée à Mithra en raison de son omnipotence sur le monde souterrain, appartient au groupe de sculptures du Mithraeum de Sidon. Elle porte autour de sa base l’inscription : « [Moi] Fl. Gerontios, pater nomimos, en témoignage de reconnaissance j’ai consacré [cette statue] en l’an 500 de l’ère de Sidon, soit 395 ap. J.-C. ». Hécate est fréquemment représentée sous cette forme de pilier triple entouré d’une ronde de danseuses. Don H. de Boisgelin (collection de Clercq), 1967 Département des Antiquités orientales
Tumblr media
L’influence de la lune sur la teste des femmes
Dans la majorité des pays du monde, sauf au Japon où il s’agit d’un dieu nommé Tsukiyomi et en Polynésie où il s’appelle Fati, la Lune est associée à une divinité féminine. Deux raisons sont souvent évoquées pour expliquer ce fait. La première est la similitude du nombre de jours du cycle lunaire et du cycle (dit normal) des femmes. Ainsi, la Lune est censée influer sur le cycle féminin. L’on sait aujourd’hui que c’est totalement faux, sans cela, toutes les femmes seraient réglées en même temps. Dans l’Egypte antique, la grossesse des femmes était également comptée en mois lunaires, soit 10 lunes. Chez les égyptiens anciens, c’est pourtant le plus souvent le dieu Thot qui est associé à la Lune. Le maître des savoirs et des archives divines porte sur le monde un regard extérieur.  
Tumblr media
William Dyce, Francesca da Rimini 
E quella a me: «Nessun maggior dolore che ricordarsi del tempo felice ne la miseria; e ciò sa ’l tuo dottore.                            123 Ma s’a conoscer la prima radice del nostro amor tu hai cotanto affetto, dirò come colui che piange e dice.                               126 Noi leggiavamo un giorno per diletto di Lancialotto come amor lo strinse; soli eravamo e sanza alcun sospetto.                         129 Per più fiate li occhi ci sospinse quella lettura, e scolorocci il viso; ma solo un punto fu quel che ci vinse.                         132 Quando leggemmo il disiato riso esser basciato da cotanto amante, questi, che mai da me non fia diviso,                           135 la bocca mi basciò tutto tremante. Galeotto fu ’l libro e chi lo scrisse: quel giorno più non vi leggemmo avante»
Dante Alighieri, Canto V Inferno - Divina Commedia
Tumblr media
Étienne Dinet, Le Croissant, 1910
Le mois du ramadan débute avec l’apparition du premier croissant au crépuscule. Ainsi, des musulmans de bonne foi peuvent déterminer le commencement de ce mois de jeûne prière, qui s’achève le premier jour du mois suivant par la fête d’Ail el-Fitr. 
Tumblr media Tumblr media
1760 - Pour établir leurs calendriers, les Anciens ont utilisé soit le Soleil, soit la Lune, soit les deux. Les calendriers solaires sont basés sur les dates de retour des saisons et les calendriers lunaires sur les phases de la Lune. 
Horloge astronomique 1669 Paris Mouvement de Pierre Fardoil, bronzes de Caffieri, carton de Coypel, plusieurs fabriquants
La partie centrale de l’horloge est munie de quatre cadrans, encadrés par deux pilastres ornés des allégories du Jour et de la Nuit, incarnées par Diane et Apollon. Le fronton qui les surmonte est décoré en son centre d’une tête de Saturne avec une aile d’aigle qui représente le jour, et une aile de chauve-souris qui symbolise la nuit. Le dôme, agrémenté de feuilles d’acanthe en bronze doré, est muni de deux timbres. Le premier sonne les heures égales, le second les heures inégales.
Tumblr media Tumblr media
Johannes Müller de Königsberg, Regiomontanus - Calendarium
Tumblr media
Angelo Caroselli Scene de Sorcellerie
Tumblr media
Karl Friedrich Thiele Apparition de la Reine de la Nuit La flute enchantée, I, VI, 1819, Mozart
_____________________________________________________
1 note · View note
Text
@Pigalle ピガール
https://www.youtube.com/watch?v=GYy2iRlF_hM
フランスのジョルジュ・ユルメール(1919-1989)の歌。 いろんな歌手が歌っているが、創唱はこの人。デンマーク生まれでフランスに帰化した。 ピガールはパリにある広場で、あまり治安のよくない地区にある。 A French singer, Georges Ulmar made this song. He was born in Denmark and became a French. Pigalle is a square in Paris which is not safe place. この歌は1946年にできたので、大戦直後の世相を反映した内容でもある。 今もアダルト商品の店が多くて夜は行かない方がよさそうだ。 This song was made in 1946, so it reflects the situation soon after the war.
歌詞と意味 Un petit jet d'eau, une station de métro Entourée de bistrots Pigalle 小さな噴水 メトロの駅 ビストロに囲まれた ピガール Grands magasins, ateliers de rapins Restaurants pour rupins Pigalle 百貨店 絵描きのアトリエ 金持ちのレストラン ピガール
Là, c'est l'chanteur des carrefours Qui fredonne les succès du jour Ici, l'athlète en maillot Qui soulève les poids d'cent kilos そこには道端で歌う歌手が その日の成功を祈っている ここに100キロを持ち上げる ベストを着たアスリートがいる
Hôtels meublés discrètement éclairés Où l'on n'fait que passer Pigalle 光に照らされた家具付きのアパート 人が通り過ぎるところ ピガール
Et vers minuit un refrain qui s'enfuit D'une boîte de nuit Pigalle 真夜中ごろ 歌が聞こえる ナイトクラブから ピガール
L'on y croise des visages communs et sensationnels L'on y parle des langages connues à la tour de Babel Et quand vient le crépuscule c'est le grand marché d'amour C'est le coin où déambulent ceux qui prennent la nuit pour le jour
どこにもある素晴らしい顔の前に人は十字を切る バベルの塔として知られる言葉で話す 夕闇の頃 そこは大きな愛の市場になる その夜を過ごすために彷徨う人々の溜まり場になる Girls et mannequins, gitanes aux yeux malins Qui lisent dans les mains Pigalle
Clochards, camelots, tenanciers de tripot Trafiquants de coco Pigalle ショーガールとモデル 賢い目のジプシーが 手相を見る ピガール 放浪者 露天商 ギャンブルの店のオーナー ココの悪徳商人 ピガール
Petites femmes qui vous sourient En vous disant, tu viens chéri Et Prosper qui dans un coin Discrètement surveille son gagne pain 少女たちが微笑んで 君に言う おいで可愛い人 街は賑わう 勝利のパンをこっそり見守って
Un petit jet d'eau, une station de métro Entourée de bistrots Pigalle
Et vers minuit un refrain qui s'enfuit D'une boîte de nuit Pigalle 小さな噴水 メトロの駅 ビストロに囲まれた ピガール 真夜中ごろ 歌が聞こえる ナイトクラブから ピガール
Pigalle
Pigalle
Un petit jet d'eau, une station de métro Entourée de bistrots Pigalle
Ça vit, ça gueule, les gens diront c'qu'ils veulent Mais au monde y'a qu'un seul Pigalle 小さな噴水 メトロの駅 ビストロに囲まれた ピガール 生きている どなる 人は全て求める でも世界に一つしかない ピガール
0 notes
christophe76460 · 2 years
Text
Tumblr media
1 Mon fils, retiens mes paroles et imprègne-toi de mes préceptes. 2 Suis mes préceptes et tu vivras, garde mes enseignements comme la prunelle de tes yeux. 3 Porte-les comme un anneau à ton doigt, grave-les sur les tablettes de ton cœur. 4 Dis à la sagesse : « Tu es ma sœur », et considère l’intelligence comme ta parente, 5 pour qu’elles te préservent de la femme d’autrui, de l’inconnue aux paroles enjôleuses. 6 Un jour, je regardais à travers le treillis de ma fenêtre, 7 et je vis un de ces jeunes sans expérience, j’observai un jeune homme écervelé. 8 Il passait dans la rue près du coin où se tenait l’une de ces femmes, se dirigeant vers sa maison. 9 C’était au crépuscule, le jour baissait, et l’obscurité de la nuit commençait à se répandre. 10 Or, voici que cette femme vint à sa rencontre, habillée comme une prostituée et l’esprit plein de ruse. 11 Elle parlait fort, impertinente, elle ne tenait pas en place chez elle. 12 Tantôt dans la rue, tantôt sur les places, elle faisait le guet à tous les carrefours. 13 Elle attrapa le jeune homme, l’embrassa et, l’air effronté, elle lui dit : 14 « J’avais à faire un sacrifice de reconnaissance, je viens, aujourd’hui même, de m’acquitter de mes vœux. 15 Voilà pourquoi je suis sortie à ta rencontre, je cherchais à te voir, et je t’ai trouvé. 16 J’ai garni mon lit de couvertures et d’étoffe brodée en fils d’Egypte. 17 J’ai parfumé mon lit de myrrhe, d’aloès et de cinnamome. 18 Viens, grisons-nous d’amour jusqu’au matin, livrons-nous aux délices de la volupté, 19 car mon mari n’est pas à la maison : il est parti pour un voyage au loin. 20 Il a emporté une bourse pleine d’argent, il ne rentrera qu’à la pleine lune. » 21 A force d’artifices, elle le fit fléchir ; par ses propos enjôleurs, elle l’entraîna. 22 Alors il se mit soudain à la suivre comme un bœuf qui va à l’abattoir, comme un fou qu’on lie pour le châtier, 23 jusqu’à ce qu’une flèche lui transperce le foie, comme un oiseau qui se précipite dans le filet sans se douter qu’il y va de sa vie. 24 Et maintenant, mes fils, écoutez-moi ! Prêtez attention à mes paroles ! 25 Que votre cœur ne se laisse pas entraîner par une telle femme ! Ne vous égarez pas dans ses sentiers, 26 car nombreuses sont ses victimes blessées à mort, et ceux qu’elle a fait périr comptent parmi les plus robustes. 27 Sa maison est le chemin du séjour des morts qui mène directement aux demeures de la mort. (‭‭Proverbes‬ ‭7‬‬:‭1-27‬ BDS)
0 notes
Text
Lithium : l’or blanc de la transition écologique n’est pas tout vert
A 3400 mètres d’altitude dans le nord-ouest de l’Argentine, au cœur du triangle du lithium, l’or blanc de la transition écologique est convoité. Mais dans les salines sous lesquelles il est enfoui, les multinationales se heurtent à certains endroits à des communautés indigènes décidées à préserver leur territoire et leur eau. Car l’extraction du précieux métal n’est pas aussi verte que les voitures électriques qu’il permet de faire rouler.
Augustin Campos Master « Journalisme » CUEJ - Strasbourg
Les 30° C estivaux ont laissé place à la fraîcheur du crépuscule. Dans le nord-ouest argentin, à une centaine de kilomètres du Chili, le coucher de soleil se confond presque avec les collines ocre qui dissimulent en leur creux le village de Susques. Seul le bourdonnement du générateur électrique, à quelques centaines de mètres de là, vient perturber la quiétude du bourg et ses 1600 habitants [1], coincés à 3600 mètres d’altitude. Au carrefour de deux rivières, ou de ce qu’il en reste.
« L’année passée a été très sèche, il n’a pas plu : les habitants ont vu des lamas et des chèvres mourir dans leurs champs », constate Carlos Guzman, « il n’y a plus d’agriculture, les gens l’ont abandonnée » raconte cet autochtone, de l’ethnie Atakama.
Il est président du collectif Apacheta, qui depuis 2012 s’oppose à Sales de Jujuy, la seule mine exploitant le lithium dans la province de Jujuy, à 60 kilomètres de là dans le salar d’Olaroz-Cauchari. L’association s’inquiète des besoins en eau colossaux que nécessite l’extraction du métal blanc – concentré dans les saumures sous la croûte de sel – dans une région qui en manque déjà.
Boom du lithium
« Nous défendons notre Pachamama (littéralement « terre mère »en quechua), celle qui nous rassemble parce que nous sommes autochtones, de descendance ancestrale. Mais notre mode de vie est en train de changer, on nous enlève ce qui fait partie de nous pour autre chose », s’alarme ce père de dix enfants. Et pour cause, la saline se trouve au cœur du triangle du lithium formé par la Bolivie, l’Argentine et le Chili, qui renferme 68% des réserves mondiales [2].
A l’heure où les ventes de voitures électriques dans le monde explosent, « l’or blanc » de la transition écologique, qui permet de stocker l’énergie dans les batteries rechargeables, suscite l’intérêt de nombreuses multinationales.
Le « boom » du métal précieux –16 500 $ / la tonne en mai 2018 – fait régulièrement la une, dans les médias nationaux autant qu’au sein de la Casa Rosada (le palais présidentiel). « Quand le gouvernement a changé en Argentine en 2016 et que l’impôt à l’exportation minière a été supprimé, le nombre de projets a beaucoup augmenté, et en même temps la pression sur les communautés indigènes », analyse Pia Marchegiani, présidente de l’association de défense de l’environnement FARN. Mais la question des autochtones n’est que très peu évoquée.
Le président Mauricio Macri a surtout rappelé récemment sa volonté de faire de son pays, aujourd’hui troisième, le premier producteur mondial d’ici cinq ans [3] : les 49 projets d’exploration de salars répertoriés en mars 2017 dans le pays en témoignent. Dont huit pour la seule province de Jujuy.
C’est dans la capitale de cette même province, San Salvador, qu’a été organisé en 2011 le premier séminaire international du lithium. C’est ici aussi que 1000 millions de dollars d’investissement au total [4] ont été annoncés par les mines Exar – en cours d’exploration – et Sales de Jujuy dans le salar d’Olaroz-Cauchari, annonce largement reprise par les autorités.
« Le lithium va être un levier très important pour la croissance de la province. Nous travaillons pour promouvoir les explorations » assure le ministre du développement économique de Jujuy, Juan Carlos Abud, confortablement installé dans son spacieux bureau.
100 000 tonnes de carbonate de lithium dans cinq ans : c’est l’objectif de production régionale. Assortis de 5 000 emplois directs et indirects.
A l’heure actuelle, Sales de Jujuy, la seule mine qui exploite le métal léger, en a extrait 12 000 tonnes en 2017, au lieu des 17 500 annoncées. Consortium formé par l’australienne Orocobre (66,5%), Toyota (25%) et l’entreprise locale et publique Jemse (8,5%) [5], elle compte 230 employés au total, dont une centaine d’autochtones, selon le délégué du syndicat AOMA Oscar Alejo.
La localité d’Olaroz Chico, soutien indéfectible de l’entreprise depuis le début, a été la première à en profiter. Dans ce village isolé, perché à 4 200 mètres d’altitude à quatre heures de route de la capitale provinciale San Salvador, 70 personnes ont un emploi grâce à l’exploitation du salar d’Olaroz-Cauchari.
« Avant on travaillait dans le borax pour une misère, c’était très dur, en plein soleil, il n’y avait aucun contrôle ni sécurité », se souvient Apolinar Nieva, le leader de la communauté de 350 habitants. Avec le lithium « les conditions de travail se sont beaucoup améliorées », en même temps que les salaires. Les plus bas s’élèvent à 18 000 pesos (620 euros).
L’entreprise a aussi investi dans l’école, la bibliothèque et dans la formation des adultes, notamment. Mais selon Apolinar Nieva, elle ne sollicite que très peu les PME locales et a mis de côté ses promesses d’emplois pour les femmes. « Ce ne sont pas eux qui en supporteront les conséquences. Ils viennent, ils travaillent, et s’en vont ».
20 litres d’eau douce par seconde
A Susques, chef-lieu du département homonyme, les sept familles du collectif Apacheta, qui possèdent 1000 hectares de terres adjacentes à la saline où pâturent leurs lamas, craignent, elles, pour leur eau. Elles réclament, depuis que Sales de Jujuy a investi le salar en 2010, une consultation préalable et informée en vertu d’une convention de l’ONU, dont l’Argentine est signataire. Minoritaires, les opposants disent ne pas avoir été écoutés. « On m’a proposé un pick-up », retient seulement Carlos Guzman. Une bien maigre compensation. La mine, elle, n’a pas souhaité répondre.
Les besoins en eau de l’extraction du lithium sont pourtant un enjeu majeur dans la Puna, cette région altiplanique aride. Au maximum de ses capacités, Sales de Jujuy pompe 240 litres de saumure par seconde – évaporés ensuite –, puis 20 l/s d’eau douce pour purifier le carbonate de lithium une fois la première étape achevée, selon l’étude d’impact environnemental réalisée par l’entreprise [6].
« Il y a des doutes sur la quantité d’eau douce qu’ils pompent : c’est cette même eau dont a besoin le village à proximité. S’ils en prennent beaucoup, les habitants pourraient donc manquer d’eau », analyse Victoria Flexer, directrice du premier centre d’investigation sur le lithium d’Argentine, basé à Jujuy. Cette chimiste reconnue dirige actuellement la recherche d’un procédé d’extraction du lithium alternatif à la technique actuelle basée sur l’évaporation, « qui est déficiente des points de vue économique et durable ».
Outre la question de l’eau, Apacheta dénonce, preuve à l’appui, une falsification des signatures des habitants de Susques sur l’acte d’octroi du permis d’exploitation, plusieurs signatures y apparaissant en double ou en triple. On en compte 147 au total, tandis qu’en réalité on serait plus proche de 40 personnes selon l’avocat du collectif, Jorge Iglesias, dont le recours en justice en 2014 a été rejeté.
Le gouvernement provincial a depuis changé, mais le secrétaire des mines, Miguel Soler, assure que « les habitants ont été consultés, au cours de nombreuses réunions, et que la majorité a soutenu le projet ».
A 100 kilomètres plus à l’est, dans les touristiques déserts de sel des Salinas Grandes à proximité desquelles vivent 6 500 indigènes, la lutte des autochtones pour préserver leur territoire dure maintenant depuis huit ans. Ici, l’agriculture vivrière et l’élevage de lamas et de chèvres demeurent un moyen de subsistance pour de nombreuses familles, une bonne partie de l’année. La saline, elle, donne du travail à plusieurs dizaines d’habitants des deux villages bordant la seule route asphaltée de la Puna, qui rejoint le Chili : le tourisme (artisanat, guides) y côtoie le travail ancestral du sel.
Dans ce bassin, la province n’a toujours pas attribué les titres de propriété aux habitants, au mépris de la loi, au nom de laquelle les autorités ont été condamnées en 2006. Mais, malgré cela, l’associationLa Table des 33 communautés des Salines Grandes, dont le noyau dur compte une vingtaine de villages, exige depuis 2010 la mise en œuvre d’une consultation globale avant tout projet d’exploration. En vain, ou presque.
Car jusqu’à maintenant, si des dizaines d’entreprises ont exploré ou explorent encore les immenses déserts blancs, aucun projet n’a été concrétisé. « On essaie de les empêcher de franchir le pas. Car une fois qu’on parle d’exploitation, la donne change », explique Clémente Flores, le dirigeant de l’organisation.
La visite en 2011 du rapporteur de l’ONU pour les droits indigènes, puis le recours constitutionnel devant le Cour suprême, en 2012, qui s’est finalement déclarée incompétente [7], ont, à défaut d’avoir fait avancer la cause indigène, refroidi plusieurs compagnies qui avaient entamé des prospections dans les salines.
Mais selon la chimiste Victoria Flexer, il y aurait d’autres explications, liées au procédé peu coûteux d’extraction du lithium par évaporation : « Chacun des salars de la Puna a une composition chimique distincte, une composition stratigraphique distincte, et des conditions climatiques distinctes. Et donc la recette qui fonctionne dans telle saline peut ne pas fonctionner dans l’autre ». Avec en plus un résultat qui n’arrive que très tard : l’évaporation prend « entre 8 et 24 mois ».
Le long des salines, il faut s’enfoncer cinquante kilomètres vers le nord sur une piste poussiéreuse pour apercevoir le petit village Agua de Castilla, adossé à une montagne derrière laquelle la mine El Aguilar extrait depuis 80 ans argent, plomb et zinc. Comme de nombreux autochtones, Rito Benicio, 61 ans, y a travaillé. Il a été mineur pendant 16 ans.
Aujourd’hui retraité, il s’occupe de ses lamas et de son potager où il a creusé un étroit canal d’irrigation. Lorsqu’il ne pleut pas, les habitants tour à tour montent ouvrir les vannes de la retenue d’eau qui surplombe la lagune, et arrosent le village, chaque matin pendant deux heures. « On ne sème pas beaucoup car on ne sait jamais si l’année sera bonne ou non, on plante juste ce qu’il faut pour qu’il y ait de l’eau pour tout le monde », explique ce père de huit enfants, la plupart partis travailler en ville ou à la mine.
Le lithium l’inquiète, lui aussi. Récemment, un immense panneau de promotion pour une exploitation à venir à fait son apparition près de la saline. « Nos terres bordent le salar, les vaches et les lamas y vivent. J’ai connu El Aguilar, je sais qu’aucune mine ne prend soin de l’environnement, malgré ce qu’ils disent, ils ne contrôlent pas tout », assure-t-il.
Les autochtones ont pour la plupart leur avis sur le lithium, mais peu d’informations précises, malgré la proximité des projets. Logique, selon Alicia Chalabe, l’avocate de la Table des 33 : « les entreprises contactent les chefs de communauté, et leur laissent la copie du projet, mais c’est tellement technique que souvent c’est incompréhensible pour la majorité ».
Mais le plus souvent, l’information n’arrive même pas. « On a un gros problème pour avoir accès à l’information sur les projets, et parfois il arrive qu’on ne puisse pas obtenir le rapport d’impact environnemental. C’est très opaque », constate Pia Marchegiani, de la FARN, qui travaille régulièrement avec les communautés. Et de poursuivre, « il n’y pas d’études d’impact environnemental indépendantes, les seules qui existent sont celles des entreprises ».
Malgré les ambitions des autorités nationales et provinciales, qui ont annoncé l’ouverture prochaine à Jujuy de la première usine de batteries ion-lithium d’Amérique latine [8], selon de nombreux acteurs rencontrés il leur sera difficile de concrétiser cette frénésie du lithium si elles ne prennent pas en compte les communautés. « Les salines pour nous c’est quelque chose qui ne se vend pas, c’est sacré » lâche, en forme d’ultime rappel, un chef de communauté.
[1] « Mapas georeferenciados Censo 2010 – Jujuy », Dirección provincial de estadística y censos, San Salvador de Jujuy, 2010.
[2] « Situación actual y perspectivas, Informe especial, mercado de litio », Chambre de commerce argentine, Buenos Aires, mars 2017.
[3] « Macri aspira a que el país sea el mayor productor de litio del mundo », El Cronista, Buenos Aires, 18 janvier 2018, www.cronista.com
[4] « Litio : proyectan inversión de casi 1000 millones de dólares para Jujuy », Jujuy al día, San Salvador de Jujuy, 29 juin 2017, www.jujuyaldia.com.ar
[5] « Salar de Olaroz Lithium facility », Orocobre Limited, Brisbane, www.orocobre.com
[6] M. Grageda, P. Vargas, S. Ushak, ABC del litio sudamericano, soberanía, ambiente, tecnología e industria, F. Nacif et M. Lacabacana, Buenos Aires, 2015.
[7] Bruno Fornillo, Geopolítica del litio, industria, ciencia y energía en Argentina, Editorial El colectivo, Buenos Aires, 2015.
[8] « La Argentina da sus primeros pasos para fabricar baterias de litio », La Nacion, Buenos Aires, 21 janvier 2018.
from Les Amis du Monde diplomatique https://ift.tt/2RN8WIb via IFTTT
1 note · View note
lupitovi · 7 years
Quote
pour que tu restes en suspens dans ta nuit de yeux fermés et de lèvres humides après cette tâche extrême de la mousse où mon corps se livre à ses faucons               sous le zénith mystérieux qui déploie               les formes balbutiantes de ta voix               l’écume reprend ses énumérations               et à nouveau la déesse y surgit. la soif alors s’exalte dans la jonction des deux rivières blanches qui se croisent — Diane des ultimes carrefours sans issue. lune de sang parmi les chiennes noires —             machine de méduse et d‘unicorne             où s’emmêle le temps à qui on arrache             le masque sans regard de l‘instant              quand on tombe à partir du plus profond un halètement, le silex d'une plainte  une chose interminable qui s'effondre jusqu'à ce que l'aile tourbillonnaire des mouettes  dessine un labyrinthe déjà effacé              contre l'oreiller d'algues et de salive               le gémissement alterné renouvelle              un double crépuscule où pas à pas                défile une lente théorie de panthères
Julio Cortazar
33 notes · View notes
seneweb · 4 years
Text
Le calvaire des populations à cause des fortes pluies.
Une pluie diluvienne du crépuscule de ce jeudi 10 août vient d’empirer la situation des inondations déjà compliquée avec les précédentes averses torrentielles. Dakaractu/Kolda s’est rendu dans les quartiers sous la pluie pour constater le calvaire des populations à cause de la pluie, en temps réel. Sur place, nous avons constaté des routes coupées voire impraticables, des maisons et des poulaillers remplis d’eau entre autres. Ce décor triste fait entrevoir un manque de plan directeur d’assainissement dans la commune. Les habitants de ces quartiers vivent chaque année la même situation. En plus des eaux de ces dernières pluies fortes ajoutées à celles aujourd’hui, la vie devient difficile pour de nombreuses personnes, accentuée par la coupure d’électricité. Mais grâce aux lampadaires solaires installées dans la commune, certains ont pu limiter les dégâts. 
Au quartier Saré Moussa, toutes les routes internes sont gorgées d’eau ainsi que plusieurs maisons entre autres. Avec la coupure d’électricité certains se fraient difficilement un chemin en s’éclairant à la torche sous les eaux. Mais également d’autres avec les mêmes moyens rudimentaires,  tentent d’évacuer l’eau de leurs concessions. 
Hawa Barry est l’une d’entre ces nombreuses personnes qui vivent ce calvaire. Elle tente d’évacuer l’eau de sa maison avec des moyens de fortune. À ce titre, elle avance avec un seau dans la main « depuis que je vis ici la situation ne s’améliore pas. Toute notre habitation est remplie d’eau, nos chambres, la véranda, la cour. Dans notre quartier beaucoup de maisons sont dans cette situation d’angoisse perpétuelle due aux fortes pluies. Nous ne savons pas comment dormir aujourd’hui ». Plus loin, un père de famille et ses enfants tentent tant bien que mal de sauver leur poulailler inondé avec une maison remplie d’eau. Pour y pénétrer, il faut marcher sur des briques alignées dans la cour pour accéder dans les chambres.  
Ce dernier d’avancer avec une torche et une pelle à la main « nous vivons difficilement les hivernages. Notre quartier n’a pas d’assainissement et je risque de perdre mon poulailler. Je tente de le sauver avec les enfants en utilisant nos moyens du bord torche, pelle, balais, seaux, bols entre autres. Aujourd’hui, nous pataugeons dans les eaux et nous risquons de dormir avec l’obscurité et l’insécurité ». 
Un tour au quartier Gadapara signifiant en peul rizière offre un tableau sombre avec des maisons, routes, écoles remplies d’eau. Nous croisons au carrefour du poste de santé des jeunes qui cherchent à se frayer un chemin dans les eaux pour ne pas tomber ou heurter un objet tranchant ou autre. Dans les maisons, on reconnait les silhouettes des individus grâce aux lumières de leurs torches en tentant d’évacuer l’eau. Dans ce quartier le seul canal d’évacuation des eaux pluviales est rempli et constitue un danger permanent pour les usagers.  
Presque partout dans les quartiers périphériques et même au centre-ville un sérieux problème d’assainissement se pose. D’ailleurs, cette nuit beaucoup de familles vont dormir ou patauger dans les eaux pluviales ou voir leur habitation détruite. Et cette tendance est la même presque dans toute la région. La pluie continue de tomber au moment où nous écrivons ces lignes…
Crédit: Lien source
The post Le calvaire des populations à cause des fortes pluies. appeared first on Seneweb.fr.
source https://seneweb.fr/le-calvaire-des-populations-a-cause-des-fortes-pluies/
0 notes
Text
Brandissez ! Hissez les flaques de sang pour les detraqués
L'abolition des sangles est née 
Ce soir j'ecarlate, j'écartèle et j'éclate 
Pour les tarlouze ,les bouseux ,les gueux
Pour les handicapés et les putes
Pour les mal baisées,les trop prudes ou brutes
Les putes a crack ,celles qui s'injectent des flaques et des litres 
Les prudes,les épouses du vide et les pitres !
Pour les obèses qui ont les ovaires d'être à l'aise 
Pour les pas aisés et celles qu'on appele les mal baisées 
Brandissez ! Mouillez la justice ! Donnez de l'amour aux clodos ,toxicos et pas aux botoxés du cerveau
Ce soir la justesse nait dans les caniveaux 
Brandissez ! Hissez les flaques d'amour pour les carrefours sans chemins et les dingues sans destins et les fous du matins
A tout ces gens clandestins ,à tout ces gens sans turbin
A celui ou celle qui à retourner sa veste ,pas pour vous baiser par les fesses mais pour être à l'ouest ,dans les astres et le désastre qui conchie l'hérésie des codes ,des modéles et des modes
A celle qui ose démonter par la prose ,à toutes celles qui arrosent,explosent ,exposent et démontrent 
A celles et ceux qui osent aimer la mort et pas la montre 
 Car la si belle absurdité de l'aurore n'est qu'une chatte dans un monde où les pion se croient rois ,mordant des millions en obéissant à des fausses lois
Pour les bâtards ,les trop tardifs ,les tarés ,les taspés tordues  ,les mal branlés et baisées fendues, les illuminés perdues 
A tout les looser géniaux aux gueules de travioles,pleins de bémols ,à tout les coeurs pleins de défauts sans code ni banderole 
Brandissez ! Hurlez l'Amour !Pour les êtres trop colorées ,en colères ,tout le temps en colle à l'école ,tout le temps sortie d'une camisole 
C'est le chant des voyous hardcore ,des baltringues multicolores  ,des ringards bizarres  ,des fous mal foutus et des excentriques cosmiques 
Des trop basanés ,des trop sucrés ou des trop salé, des trop grand bazars éclopés dans le noir
C'est le chant de l'incomprise qui fait sourire une clodo juste en lui souriant sans dire un mot 
Continue à t'exploser par terre dans la rue et relève toi en dansant 
Si le sourire s'éclipse sur la piste ,soleil renaît de son sang
Entre extraterrestres c'est la révolution des passions ,des poux ,des astres fous et des morpions 
Pas besoin de came ,d'arme ,la poésie est une flamme qui encastre et castre le vide qui se fait putride devant la grandeur de l'éther et de ton coeur 
Brandissez le drapeau Rouge -Orange !Faites péter tout les murs par les cris de votre écriture !
 Brandissez ce qui dérange !
Que tu crois en Dieu et n'importe lequel ,au feu ,à la lumière de tes propres yeux ou même à une hirondelle 
Là où les costards pissent droit ,tu rentre dans le car et t'est maladroit
T'est le tocard qui pleure le crépuscule et fait brûler ta bulle 
Sortie d'hp,de zonzon ,de l'enfer du viol ,du fer d'une famille difficile , de la souffrance de l'école où de l'alcool 
 De n'importe quelle jeux de pions ou l'amertume te rend fou ou  folle 
Le fil de rasoir disparaîtra de tes bras ,TS ou  ,embrouille s'éclipsera 
Et dans le noir des déboires je te promet qu'un jour l'oiseau s'envolera 
Nébuleuse 
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Moi ,mon corps et mon âme nous somme Rouge comme un tueur en série,comme l'amour et le battement du coeur de la poésie.
Nous sommes insolent et pur , l'incarnation même et souvent totale de cette Couleur.
Nous sommes les sourcils en poil de sexe dans le carnaval du trouble féministe splendide et de la provocation
Moi ,le Rouge ,je suis la saleté et l'ardeur pourtant si claire.
Je suis le triomphe des soleils voyous en pleine extase puissant.
Elle me colle à la peau .Que je l'aime avec violence et danse cette salope de couleur car elle est moi et moi je suis le crachat indécent mais aussi la générosité qui viens du sang
Je suis un cri d'amour et de folie qui tente d'atteindre l'éternité
Je suis la force ,la faiblesse ,le vice ,le délice ,la pureté ,l'oxymore ,la mort et la vie
Je suis la sale connasse artiste pleine d'humanisme explosif et de vérité ,l'excentrique trop maquillée , fringuée et pleine de pics poétiques dans les cabarets,les scènes ou les théâtres
Je suis l'insoumise ,la banquise en feu ,le coup de pied dans les couilles des banques
Je suis la démarche d'un mec bien plus qu'affirmé ,je suis l'écriture et le pot d'encre est remplie de sang quand le stylo est une seringue
Je suis le bilingue de cri et de poésies ,le flingue qui crépite de joie,la foi,la défiance ,l'extase euphorique ,l'embrasement de l'essence de l'âme
La baltringue pourtant somptueuse ,divine même si elle est hideuse et dingue comme belle et immortelle
Je suis tout les paradoxes unis dans un être qui se rassemble ,toxico à la poudre de Vérité qui est une drogue belle mais violente
Je suis le cri qui cherche Dieu
La fragilité ,la puissance ,l'amour ,la rage ,la révolution de la personnalité et des opprimés en rimes tordues
La main et le coeur tendues aux sans abris
Je suis le non ,l'opposé ,la contradiction ,l'interdiction bafouée car je ne supporte aucune règles juste celle de mon sexe
Je suis l'enfermement et la liberté ,je suis la grande joie et la colère des detraqués
Car il pleut dans mon sang et je suis cette décadence pourtant si pieuse
Car il pleure dans les sangles et j'abolit cette pisse rance avec ma nébuleuse
Car je suis la timidité et la beauté
Ce qui est fébrile ,fragile pourtant glorieux
Je suis également l'espagnole des terres chaudes,du flamenco et des urines ensanglantées de femmes sur Franco
Je suis la masturbation féminine qui fait un doigt d'honneur
Je suis la passion ,la création ,la pulsion fatale et merveilleuse qui sauve du suicide .
Je suis la peureuse trop courageuse qui ose quand même et brutalement être
Je suis la justice mais je ne suis pas la lois
Je suis ce qui jamais ne glisse en dehors de sa foi
De l'exhibition qui parle trop fort à la grande pudeur plus mystérieuse et profonde que la mort et la matrice
Le mal et le bien ,la souffrance ,la transe ,la chaleur sans limite d'un crépuscule fou et libre
Je suis ce qui brûle ,la vie et sa trop grande complexité
Je suis le taureau qui fonce sur l'exclamation de la liberté mais qui n'est qu'une poussière incomprise à la fois grandiose et si petite devant le cri de l'éternité
Nébuleuse
Tumblr media Tumblr media
9 notes · View notes
guenaelboutouillet · 7 years
Photo
Tumblr media
« Parfois je m’assois dans les églises pour penser à ma mère ; je lui parlerais presque. Je ne crois en rien, nous sommes seuls et nous ne serons pas secourus, mais j’aime les églises alanguies dans le creux des après-midi. Je ne parle ni des cathédrales orgueilleuses ni des basiliques perchées, ni de la Madeleine ni de Saint-Germain des- Prés, ni de Saint-Étienne-du-Mont ni de Saint-Sulpice, je parle des églises sans qualités, des églises de semaine, assoupies, à peine frottées de catéchèse par des dames de bonne volonté que chapeaute de loin un prêtre encore jeune, expéditif et souriant. Même dans les villes, même à Paris, à l’heure du goûter, la trépidance ordinaire reflue dans le ventre des modestes églises de quartier ; la température y est à peu près constante, la lumière aussi, le temps s’y oublie, on y berce à bas bruit des douleurs irrémédiables, personne ne demande rien à personne, le confessionnal est vide, les araignées s’affairent, ça sent la poussière froide, ça sent gris, c’est assez laid, on ne sera ni dérangé ni bousculé. Je pousse de lourdes portes capitonnées, je surprends des silences, je hume des ferveurs muettes qui me sont interdites, je me rassemble. La première fois c’était le 3 octobre 2001, un mercredi, le jour de l’anniversaire de ma mère, elle n’aurait pas quatre-vingt-trois ans, je ne lui téléphonerais pas vers midi et demi, à l’heure qui avait été celle de la fermeture du magasin, elle ne me dirait pas que c’était gentil de l’aider à encaisser une année de plus ; elle ajoutait, encaisser je l’ai fait toute ma vie pourvu que ça continue encore longtemps. Quelque chose manquait, quelque chose était perdu. En sortant du bureau, sans y avoir réfléchi, je n’avais pas pris le métro à Pasteur, j’avais marché vers le sud dans le crépuscule transparent de la ville stridente, l’air était doux, on appelle ça l’été indien et cette expression me fait toujours penser à une chanson de Joe Dassin que j’ai sue par coeur. Je m’étais retrouvée au carrefour d’Alésia et j’étais entrée dans l’église Saint- Pierre-de-Montrouge dont je connais le nom parce que j’ai vécu dans ce quartier les dix-huit années passées avec Karim. Je ne m’étais pas assise, j’avais allumé quatre cierges, un pour mon père, un pour chacun de mes trois frères et leurs tribus, j’avais glissé un billet de dix euros dans le tronc, et j’avais pleuré pour la première fois depuis l’enterrement. »
(Marie-Hélène Lafon, Nos vies, Buchet Chastel,  août 2016)
6 notes · View notes
Text
J’ai oublié
J’ai oublié de dire je t’aime à mes proches, à ma famille à mes amis
J’ai oublié de leur dire leur importance dans ma vie
J’ai oublié de dire adieu à l’enfance
J’ai oublié de laisser derrière moi mon arrogance
De faire preuve de bienveillance
J’ai oublié de regarder les étoiles
Et d’admirer de célèbres toiles
Pour remplir mes yeux et ma putain de culture
J’ai aussi oublié de ne pas fixer le voile
Fixer le voile mais aussi les entraves, la haine et la guerre
J’ai oublié de faire le tour de la terre
Et aussi de l’espace, de sillonner les mers
J’ai oublié de remplir mes promesses
De faire gage d’allégresse
J’ai oublié de sauver les demoiselles en détresses
J’ai oublié les femmes et leur finesse
J’ai oublié de profiter des disparus
J’ai oublié le chemin, avec eux, parcouru
Mais je pense avoir frappé à la bonne adresse
Toquant à la tombe par précaution
Regardant autour avec circonspection
J’ai oublié de tomber dans une chute
Ouvrir au dernier moment le parachute
J’ai oublié l’adrénaline et la passion
De l’amour et des loopings
J’ai aussi oublié de faire du jogging
Me retrouvant face au miroir avec des formes et des rondeurs
J’ai oublié la belle diction
J’ai oublié l’alinéa et j’ai omis l’introduction
J’ai oublié les règles du Français
La conjugaison, la grammaire, l’orthographe
J’ai mis tout cela dans une poubelle
Comme on jetterait un vieux poème
J’ai oublié de parler aux gens
De faire des rencontres épatantes
J’ai oublié la sensation du rire
Qui emporte et secoue les entrailles
J’ai oublié la forme d’un sourire
Ne vivant plus que dans le noir
J’ai oublié de me regarder dans le miroir
J’ai oublié de dire au revoir à la vie qui m’a accueillie
J’ai aussi oublié l’intensité des couleurs
La diversité des paysages et du monde
J’ai oublié de faire preuve de tolérance pure
Et d’aller à la rencontre d’autres cultures
Et de ne pas compter passer les secondes
M’ouvrir, voyager, courir, Marcher
J’ai oublié moi-même de sourire
Malgré tout ce que j’ai pu écrire
J’ai oublié les belles conclusions et les développements acharnés
Pour appuyer telle ou telle thèse ou encore la réfuter
J’ai oublié la flamme éternelle qui habitait mon cœur
J’ai oublié la tendresse des liens fraternels
Egalement j’ai oublié L’ardeur des mots artificiels
J’ai oublié la colère et la peur
J’ai oublié de me mêler aux autres
Je me suis éloignée des populations
J’ai aussi oublié l’exaltation du nouveau-né
La fierté, la joie et le soulagement
J’ai oublié tout cela
J’ai oublié comment respirer
J’ai oublié de lever la tête de mon Iphone
De regarder le ciel et les nuages
De ne pas suivre la mode, et la consommation compulsive
J’ai oublié de fermer Facebook et snapchat
De ne plus être active sur le net et sur le chat
J’ai oublié de manger 5 fruits et légumes par jour
Pour me maintenir en bonne santé
Cette bonne vieille absurdité !
J’ai oublié les multiples détours pour arriver au bon carrefour
J’ai oublié l’humour et les bonjours
J’ai aussi oublié de liker et de commenter à longueur de journée
J’ai oublié de me défaire de cette absorption hypnotique et de cette fascination pour les écrans
J’ai oublié de sauver les flammes sur Snap pour « sauver » une amitié
J’ai oublié de sortir de cette jeunesse influençable
Dans laquelle si tu n‘est pas cool, tu n’es rien
J’ai oublié de connaitre le néant même si ça ne m’aurait pas vraiment plu
J’ai oublié le plaisir des épicuriens et les crimes des vauriens
J’ai oublié d’essayer d’être végétarien et de m’engager pour la cause des animaux
J’ai oublié de parler de tous mes maux
De ne rien garder en moi
J’ai oublié la différence entre persuader et convaincre
J’ai oublié la différence entre chaque sentiment
Comment s’appellent-ils ? Cela ne me revient pas
J’ai oublié la pollution anthropique
La couche d’ozone et le réchauffement climatique
J’ai aussi oublié de prendre des risques
De tenter le tout pour le tout et de partir à l’aventure
    A l’aube de ma vie, et à son crépuscule
J’ai volontairement oublié la période de ma maladie
De toute façon une autre a suivi
J’ai oublié le visage de ma fille, de mon mari
J’ai oublié les prénoms
J’ai oublié les gestes mécaniques
J’ai oublié les recettes de cuisine
J’ai oublié de ne pas être amnésique
De ne pas prendre des anthalgiques
J’ai oublié de dormir, les nuits passées sur ma chaise
Pour faire face le jour et remplir des listes de foutaises
J’ai oublié de prendre des photos, d’immortaliser les bons moments
J’ai oublié la sensation de marche, le corps penché sur l’acier
Dans mon fauteuil mouvant, les mains posées sur les roues
Moi qui adorait courir
J’ai oublié la sensation d’effort, d’exténuation
J’ai oublié la sensation tirante des muscles
J’ai oublié comment repousser mes limites
J’ai aussi oublié comment parler vite
La danse des langues qui se rencontrent et les corps fusionnants
J’ai oublié la passion, la folie et l’adoration
J’ai oublié comment faire l’amour, partager la passion
J’ai oublié l’échange charnel
J’ai oublié que j’ai vécu la guerre
Les corps tombants les uns après les autres
J’ai voulu oublier ces visions avec l’alcool
J’ai oublié ce qu’étais la sobriété
J’ai aussi oublié de vous parler
J’ai vu le visage de ma fille
Tuméfié et déformé
Mais surtout marqué par l’abattement et de la souffrance
Je ne l’ai pas oublié
Je l’ai arraché des griffes de la dépression
Elle qui avait souffert d’un outrage à son intimité
Elle qui avait subi la violation de son corps et la violence de ce crime
Faisant face avec courage à cette digression
A cette soumission et cette impuissance
J’ai oublié de la rassurer
Je me suis laissé entouré par cette rage profonde
J’ai oublié de partager mon temps
J’ai oublié d’être la pour elle
La douleur était trop forte
J’ai oublié de me confesser, d’avouer toutes ces négligences
J’ai oublié énormément de choses
J’ai oublié de faire part de mon histoire
Et de raconter mes mémoires
J’ai oublié que j’étais malade
Victime d’un grave trouble
J’ai oublié que j’étais sur le point de mourir
Le temps d’un souffle
J’ai oublié de profiter de la vie et de vous tous.
0 notes
victorjorgeartist · 6 years
Text
Néo Tokyo
Taisez-vous ! Les morts parlent… Ils discutent de leurs accidents respectifs Ils se plaignent tous du lieu commun de leur grand saut Trop froid ! Ils aimeraient reprogrammer leur crépuscule d’êtres vivants dans un autre paysage que celui dans lequel ils sont à présent Ils discutent au carrefour Néo Tokyo Où les lumières bleues et la tôle froissée sont dérangeantes Le carrefour reste entier Plein comme un œuf de morts qui réclament la parole et d’autres plus âgés le silence Silence ! Le carrefour est une esplanade Les anges s’y rendent à l’aide d’échelles ralliant la lune Et fixées aux quatre puissants réverbères Néo Tokyo est là tout entier L’endroit de passage où le réel sombre dans la fiction Toutes les frénésies vertigineuses de Néo Tokyo envahissent  l’esprit de celui qui passe la nuit au carrefour Et qui se tait pour les morts ! On ne les déconcentre pas en chantant au carrefour On ne les déconcentre pas en chantant au carrefour On se tait Et on accélère…
0 notes
m-olenska · 7 years
Text
Quand il sort pour rêver, et qu’il erre incertain,  Soit dans les prés lustrés, au gazon de satin, Soit dans un bois qu’emplit cette chanson sonore Que le petit oiseau chante à la jeune aurore,  Soit dans le carrefour bruyant et fréquenté,  - Car Paris et la foule ont aussi leur beauté,  Et les passants ne sont, le soir sur les quais sombres,  Qu’un flux et qu’un reflux de lumières et d’ombres ; - Toujours, au fond de tout, toujours dans son esprit,  Même quand l’art le tient, l’enivre et lui sourit,  Même dans ses chansons, même dans ses pensées Les plus joyeusement écloses et bercées,  Il retrouve attristé, le regret morne et froid Du passé disparu, du passé, quel qu’il soit !
Victor Hugo Les Feuilles d’automne, les chants du crépuscule
0 notes