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#LA PART DU DÉMON
angelitam · 10 months
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La part du démon de Mathieu Lecerf
La part du démon de Mathieu Lecerf – Editions Robert Laffont La part du démon de Mathieu Lecerf, présentation Esperanza Doloria est lieutenant. Elle se rend sur une scène de crime dans un hôtel. Mais elle s’est trompée d’endroit. Elle doit faire équipe avec Manuel de Almeida. Ils ont été appelés suite à la découverte d’un cadavre dans un lac. Avis La part du démon de Mathieu Lecerf La trilogie du…
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kilfeur · 23 days
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Vouloir assurer la sécurité du future du clan est une chose et je le comprends. Mais forcer les enfants à suivre qu'un seul chemin est contre productif. Car les futures générations seront incapable de s'épanouir dans d'autres domaines. Si un jour, le royaume des démons n'a plus besoin de leur ouïe. Qu'est ce qu'il leur restera ? Rien, sans compter que ça exclue Nora car il a des problèmes d'ouïe. Et on peut voir que ça peine Munmu de lui avoir dit ce genre de choses.
J'en avais parlé avec mon ami avant que ce chapitre ne sorte, sur ce conflit générationnel. D'après lui, le problème du plan d'Iruma c'est qu'en voulant se focaliser sur les enfants. Il a négligé inconsciemment les adultes. Car les anciennes générations ont connu que le métier en rapport avec l'ouïe. Et pour ma part, je pense que si Iruma inclut aussi les adultes dans son école, ils pourraient justement comprendre pourquoi les enfants veulent explorer d'autres voies. Mais aussi ceux qui sont intéressé par le métier en rapport avec l'ouïe les adultes pourront leur apprendre. Ainsi ils auraient la sureté et la nouveauté !
Wanting to ensure the safety of the clan's future is one thing, and I understand that. But forcing children to follow a single path is counterproductive. Because future generations will be unable to flourish in other domains. If one day, the demon kingdom no longer needs their hearing. What will be left for them? Nothing, not to mention the fact that Nora is excluded because he has hearing problems. And we can see that it pains Munmu to have said such things to him.
I had talked to my friend before this chapter came out about this generational conflict. According to him, the problem with Iruma's plan was that, in wanting to focus on the children, he unconsciously neglected the adults. Because the older generations only knew the job related to hearing. And for me, I think that if Iruma also included adults in his school, they could understand why children want to explore other paths. But also those who are interested in hearing-related professions could be taught by adults. That way, they'd have safety and newness!
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eaumerta · 9 months
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Back from the grave
Bonjour bonsoir à vous tous et toutes. En ce lundi (assez froid, je ne sais pas pour vous) je tenais à vous souhaiter une bonne année 2024. 💫 Je fais ce post afin d'écrire un peu à cœur ouvert, n'ayant plus et ne souhaitant plus être sur discord, il parlera sûrement aux partenaires que j'ai pu avoir avant la nouvelle année et que j'ai "lâchement" abandonnée du jour au lendemain sans un mot. Sachez que cela n'était pas voulu, je me bats avec de lourds démons (bien que cela n'excuse en RIEN mon comportement) depuis que je suis ado et les fêtes de fin d'années n'ont pas été de tout repos pour moi, bien au contraire. Certain(e)s connaissent déjà mon irrégularité globale, Sans rentrer dans trop de détails, une pause de la vie rpgique, voir même de ma vie irl, et du monde d'internet globalement m'a été imposée, pour mon bien. Je ne dirais pas que je vais à 100% mieux, mais je suis vivante et c'est le plus important. Ce message et donc pour m'excuser avant toute chose, sincèrement, j'aurais terriblement voulu vous prévenir, vous tenir au courant. Mais je n'ai pas eu ce luxe. Je ne bosse plus, je suis au ralenti, le temps d'aller mieux. Mon envie d'écrire est plus que présente, je bouillonne d'une rare envie de partager des écrits avec vous tous et toutes. Mais je ne sais pas, plus, où aller. Je ne veux pas imposer ma présence qui pourrait peut-être, être malaisante pour certain(e)s et je ne souhaite m'imposer nul part. De ce fait, si vous connaissez des forums (je recherche un peu de tout, du sombre city au surnaturel.) n'hésitez pas à balancer vos adresses, en commentaires ou par mp ici, je vous serais éternellement reconnaissante. Cependant dû à ma présence qui sera peut-être aléatoire et à mon inconsistance globale, je ne souhaite pas prendre de pré-lien ou de scénario, pour ne plus décevoir personne. Je m'excuse une nouvelle fois, autant pour ce message probablement brouillon, qu'envers les personnes que j'ai pu blesser sans même m'en apercevoir. Je regrette et culpabilise encore beaucoup, et vous êtes plus qu'en droit de ne pas m'accorder votre pardon, je le comprendrais. Il y aura aussi un changement de pseudo, chandelyer devenant Rage. Pour la rage de vivre, pour la rage de ne plus me laisser abattre, pour me battre.
Merci à vous pour la lecture de ce message, votre pardon, et peut-être votre aide.
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ernestinee · 4 months
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C'est le troisième jour qu'il dort et tousse. Il se réveille pour grignoter ce qui veut bien rentrer dans son estomac et en profiter pour prendre les médicaments qui font passer la fièvre et la toux.
Et moi je prépare des petites assiettes dès les signes de réveil. 1/4 de steak, une pomme en compote, une poignée de macaronis, des salades de fruits, du beurre de cacahuète, des noix, des yaourts... On a acheté des chips pour faire monter sa tension et des bonbons pour blinder ses glucides car il a perdu presque deux kilos depuis mercredi soir.
Je me revois faire pareil il y a 15 ans et quelques mois. Les nuits blanches à scruter les signes de réveil. "Un bébé ne se laisse pas mourir de faim" (spoiler: si, ça arrive) "vous ne savez pas le nourrir, on va devoir le garder". Les journées à cuisiner ce qu'il aime, tester des recettes, des associations, des textures. "On doit le gaver" "Faire des examens supplémentaires".
On n'en n'est plus là, mais les vieux démons ressurgissent. Hier, le médecin a posé des questions d'anamnèse sur son passé d'alimentation. Elle a parlé d'examens supplémentaires. De vérifier les globules blancs. De trouver pourquoi sa tension baisse à ce point.
Des nouvelles peurs s'installent aussi, en particulier sur les tca. Comment lui permettre un développement sain alors qu'il part d'une "anorexie du nourrisson" (dixit pédiatres), comment le rassurer quand il met des semaines à prendre 2kg et quelques jours pour les perdre.
Il est censé rentrer à l'école après-demain, il lui reste 3 semaines de cours avant le blocus et les examens, et il ne tient pas debout plus de 3 minutes.
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lilias42 · 5 months
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La bête aux pieds d'argile
Et pour une fois, je ne vais pas trop faire de blabla au début, je veux juste vous montrer, je vous expliquerait tout après ! Je suis très fière du résultat alors, je veux juste partager au plus vite ! 😃 C'est une idée qu'on a eu en discutant avec @ladyniniane qui faisait remarquer que Delagarde et Hubert ressemblait à la bête de la mer et celle de la terre dans l'Apocalypse alors, voilà le résultat en dessin !
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(je sais, c'est en noir et blanc mais, j'aurais peur de le gâcher si je mettais de la couleur qui bavait sur d'autres parties vu que même si c'est du A3, les zones sont assez petites, mon crayon a pas mal travaillé le papier, et j'y ai déjà passé la moitié de ma nuit, plus mon dimanche donc, on va déjà partir comme ça ^^')
Je vais mettre le développement sous la coupe mais, je serais curieuse de connaitre votre interprétation avant de savoir qui est où et ce que veulent dire certaines formes !
Pour commencer, le sujet était "El et Hubert sont les bêtes de l'Apocalypse de la Mer et de la Terre", et je me suis basé sur cette représentation de ses deux créatures pour faire ma version Fodlan de cette histoire.
Delagarde est donc la Bête de la mer qui fait office d'Antéchrist quand l'Apocalypse approche. Elle est donc représenter comme sur l'enluminure, comme une bête avec des couronnes qui se fait adorer alors qu'elle est le mal incarnée mais, comme si l'artiste voulait se moquer d'elle et la représenter dans toute son horreur et la fragilité de son pouvoir.
Je me suis aussi inspiré des représentations de Baphomet vu que comme l'a souvent fait remarqué Fantasy Invader, elle lui ressemble beaucoup et a la même posture que le démon sur son panneau de fin. Alors, je lui ai donné une poitrine, sa couronne qui est censé être les cornes de l'Immaculée sont devenue des cornes de démons, et elle a des ailes mais, contrairement à Baphomet, ce n'est pas les siennes. Ce n'est pas un ange ou une sauveuse mais, elle veut se faire passer pour tel alors, elle veut des ailes d'anges alors, elle s'est clouée et collées des petites ailes dans le dos. ça sert à rien, elle ne pourra jamais voler avec et elle est plus ridicule qu'autre chose avec ces ailes minuscules qui tiennent à peine avec un clou et de la colle qui dégouline, comme elle ne sera jamais une sauveuse pour Fodlan.
D'ailleurs, elle porte aussi la couronne du Royaume et la bannière de l'Alliance sur ses cornes mais, pour la couronne, elle la porte n'importe comment, elle n'est pas sur sa porte mais comme si elle l'avait mise sur un porte-manteau et risque de tomber au moindre mouvement de tête car, elle ne sera jamais la vraie reine légitime du Royaume. Quant à la bannière de l'Alliance, je ne sais pas si ça se voie vraiment à l'image mais, l'écusson sur le tissu est toujours différent car, elle connait tellement mal Fodlan et s'intéresse si peu aux autres pays à part pour les envahir et leur imposer la civilisation adrestienne, qu'elle ne sait même pas à quoi ressemble l'étendard d'un de ses ennemis, surtout que si on suivait sa logique de façade jusqu'au bout du "les crêtes sont le mal et les gens doivent s'élever selon leur propre mérite !", bah Leicester le fait déjà depuis longtemps étant donné que l'ambition et la capacité personnel à s'enrichir est plus importante que les emblèmes, comme on le voie lorsque le margrave Edmund (nouveau noble grâce à ses capacités d'orateur et tout l'argent qu'il a gagné grâce à ses talents) remplace à la table ronde la famille Daphnel (donc famille à emblème mais, en perte de vitesse depuis que la moitié d'entre eux c'est barré dans le Royaume), ce qui montre qu'elle ne connait rien à ses voisins et veut en fait juste plus de pouvoir pour elle seule. De plus, le tissu est toujours attaché à ses cornes gauches car, si elle est assise sur son trône et que la carte de Fodlan est derrière elle, l'Alliance est à sa gauche et le Royaume à sa droite, sans penser que si elle leur fait face depuis Embarr en se tournant vers le nord, elle a inversé les deux pays sur ses cornes.
Elle tient aussi Ayrm avec sa queue, dont le bout est en tire-bouchon comme celle des cochons qui sont associé au poison de l'ignorance dans le bouddhisme (qui est également le poison auquel elle est le plus rattaché si je me souviens également bien des billets de Fantasy Invader) et qui n'est pas forcément l'animal qui a la meilleure réputation étant donné qu'il mange tout ce qui traine, ce qui oblige à bien faire bouillir sa viande si on veut la manger, voir à interdire complètement sa consommation pour des raisons d'hygiène, ce qui est surement à l'origine du fait que plusieurs religions interdisent d'en manger. Delagarde se sert de l'arme que lui ont donné les agarthans pour imposer sa tyrannie (et la lie encore plus au Diable vu que cette arme est liée à l'emblème de la Bête) mais là aussi, elle est pas vraiment en bon état : elle est cassée, certaines dents sont pourries et elle tombe en miette histoire de montrer que malgré toute son horreur, son pouvoir reste fragile vu qu'au moment où Aymr n'est plus brandit ou que les agents d'Hubert ne sont plus opérationnels, elle aura beaucoup plus de mal à imposer ses quatre volontés (tout en permettant de se moquer d'elle au passage vu que sa hache ignoble en forme de bouche qui dévore tout sur son passage, est en fait une grosse hache édentée qui tombe en morceaux et avec des morceaux pourris)
Comme la bête de la mer, Delagarde a plusieurs têtes qui crachent du feu dans tous les sens pour symboliser qu'elle s'attaque à tout ce qui l'entoure mais, aucune ne regarde le sol, personne ne peut la contester sur son territoire alors, elle ne regarde même pas ces sujets qui sont en train de la prier. De plus, j'ai fait en sorte qu'à part quand elle est plus ou moins de face à celui qui regarde le dessin, on ne voie jamais ses yeux avec sa coiffure qui lui bouche la vue comme des oeillères, comme Delagarde se met souvent des oeillères et refusent de voir la réalité en face. Là, elle ne voie que ce qui est devant elle et veut voir : ce que vont consumer ses flammes et tout ce qu'elle va cramer pour obtenir le pouvoir.
Cependant, ça l'empêche aussi de voir que ses pattes sont argiles, fragiles, qui craquèlent de partout et qu'elle est attaquée. Sous son ventre, on a Bernadetta qui est en train de graver l'emblème de Seiros de Rhéa sur son flan avec une de ses flèches afin de souligner son rattachement à la résistance et son soutien à l'Eglise que Delagarde persécute, pendant que Ferdinand est en train de couper une de ses pattes avec une hache, étant également dans la résistance et s'opposant à Delagarde et son impérialisme. Dans mon canon, ils sont même les deux chefs d'un des groupes résistants les plus importants de Fodlan. Enfin, derrière eux et sans que Delagarde ne le remarque, Petra est derrière elle et bande son arc pour décocher une flèche sur une des têtes de la bête, Brigid se battant farouchement pour leur indépendance et refusant de se soumettre (raison pour laquelle, elle est dans sa tenue de civil qui est surement un habit brigilène, même si ça ne se voie pas beaucoup, j'était sur le bout de ma page...)
Ensuite, on a Hubert qui est la bête de la Terre. Dans la légende, cette bête fait des tours pour convaincre les humains les humains que la bête de la mer est le Sauveur, et les faire tomber dans les griffes d'un antéchrist (de mémoire, si j'ai bien compris l'histoire) mais sur le modèle, il ressemble vraiment à un petit chien à sa mémère en fait ^^' Je l'ai alors représenté comme couché devant sa maitresse en se frottant les pattes mais, ses oreilles sont celles d'un chien : une dressé comme celle d'un chien de garde, une aplati sous sa mèche toute douveteuse comme celle d'un Cavalier King Charles pour le côté pelucheux et animal de compagnie de Delagarde. Sa queue est aussi celle d'un chien de chasse courant derrière les ennemis de sa maitresse, le foxhound anglais (et à la réflexion en l'écrivant, ça colle encore mieux vu qu'il courre après Ferdie qui a les cheveux roux). Pour ses cornes, j'ai voulu prendre celle de Grima de FE Awakening en exemple vu qu'il ressemblait vraiment à un être maléfique mais, vu que je l'ai fait de mémoire, je ne me souvenait plus qu'il n'avait pas 3 paires de cornes mais seulement une... enfin, il fait encore plus bêtes maléfiques avec des cornes de diable comme ça.
Il a aussi sa grosse mèche et un sourire carnassier de voir que leur plan se déroule comme sur des roulettes avec les roturiers qui prient El mais, au cas où, il a quand même les griffes de ses pattes arrières qui sont des couteaux, afin de rappeler qu'il assassinera quiconque représentant une menace pour son impératrice qu'il défendra jusqu'au bout, même si lui aussi ne se rend pas compte qu'elle se fait attaquer en douce.
Pour son oeil visible qui est vide, c'était à la base un oubli de ma part, j'ai oublié de dessiner son globe oculaire au brouillon mais, une fois passé à l'encre, je ne l'ai pas rajouté car, je trouvais que ça faisait ressembler son regard à celui des Agarthans comme Thalès ou Solon qui ont les yeux vides, Hubert utilisant les mêmes méthodes et la même magie qu'eux malgré tous les discours d'El "oui mais en fait, on les aime pas car c'est eux qui m'ont expérimenté, même si je les utilise pour le moment car ils sont pratique, MAIS je les tuerais quand j'aurais plus besoin d'eux ! Donc, ça passe ! Je les aide pas à continuer à faire des atrocités !".
Ensuite, pour les personnes face à Delagarde, ce sont des roturiers qui, abreuvés des mensonges d'El et la propagande, se mettent à la vénérer comme leur chef suprême et la nouvelle tête de proue de Fodlan, et même comme une Déesse (ce que Dimitri l'accuse de vouloir devenir dans leur face à face et vue la fin en duo d'Hanneman et Manuela, ça semble être le cas vu que l'église existe toujours après CF mais, tourne autour de l'empereur et de son idéologie), la première d'entre elle étant Dorothéa, à genoux devant elle, la priant et l'idolatrant. C'est elle qui a ce rôle car, c'est celle qui croit le plus à la rhétorique d'El et est sa pompom girl la plus fidèle dans le jeu, tout en étant aussi hypocrite qu'elle (surtout que je la voie bien pouvoir sortir "quand on veut, on peut" vu qu'elle a pu se sortir du caniveau grâce à sa voix et donc, elle pourrait appliquer cette même logique à tout le monde, sans comprendre que ce n'est pas possible que tout le monde devienne une diva à succès pour des milliers de raisons) donc, elle a le rôle de fidèle fanatique au regard vide à part son admiration pour son idole, biberonnée à la propagande qui vénère l'Impératrice comme sa nouvelle Déesse mais, sans se rendre compte qu'elle est un monstre.
D'ailleurs, elle n'a pas de pupille, ce qui rend son regard encore plus vide, et aucun des fidèles de Delagarde n'a d'yeux visibles. Même s'ils ont les cheveux attachés pour certains, ils ont toujours une grosse mèche devant les yeux qui leur bouche les yeux, ce qui permet de faire plus foule et de dire qu'ils ne voient pas qui est Delagarde pour ce qu'elle est vraiment, ont cru aux mensonges et au tour d'Hubert, et ils se mettent à la vénérer comme une Déesse, tous la priant devant elle. ça me permet également de me moquer du fait que si El dit détester la religion, elle pourrait se faire passer pour une Déesse et le Messie, elle le ferait sans hésiter à cause de son complexe du Sauveur. Donc, on donne un grand coup dans ses discours "Religion et Déesse = MECHANT PAS BO !!!" et on l'a fait vénérer par ses sujets.
Par contre, une d'entre eux à des yeux complets, et c'est la seule roturière qui est derrière eux et ne regarde pas Delagarde mais, célèbre plutôt l'arriver des vrais sauveurs. Elle porte d'ailleurs un habit d'évêque du jeu pour la rattacher à l'Eglise (et les vrais auront reconnu Margherita à son collier en forme de coeur [qui apparaitra peut-être un jour à Fodlan si je trouve l'occasion], même si elle n'a pas les cheveux attachés en deux couettes sortant d'une sorte de chignon [elle est inspirée par le design de Miku mais, avec une coiffure à la Sailor Moon], je trouvais que ça ressemblait trop à la coiffure en macaron de Delagarde et que ça ne rendait pas bien alors, elle a les cheveux détachés et libres). C'est la seule à voir El pour ce qu'elle est et à fêter l'arriver de ceux qui vont les sauver de cet Antéchrist et la guerre en Fodlan.
Enfin, tout en haut à droite de l'image, Byleth arrive en tenue de Prophétesse (même si la veste est celle de la version masculine, pas question que je dessine au premier degré Byleth dans la version féminine de cette tenue) et plante l'Epée du Créateur dans une des pattes de Delagarde, toujours pour la rattacher à l'église et pour signifier que le vrai prophète arrive pour chasser l'Antéchrist et pour ramener la paix de Sothis dans Fodlan. Elle porte également le bouclier de Seiros pour rappeler Rhéa et le fait qu'elle travaille ensemble. Enfin, elle est accompagnée et soutenue par un Lion pour Dimitri et Faerghus, un Cerf pour Claude et Leicester, et l'Immaculée pour l'Eglise, afin de montrer que tout Fodlan s'oppose à Delagarde et s'opposera toujours à sa tyrannie ! Je l'ai également dessiné plus grande que toutes les autres pour faire si elle était la Déesse elle-même venue pour arrêter le mal avec les bêtes protectrices du reste du continent, ainsi que souligner son importance dans la scène (et me simplifier la vie car il y a vraiment beaucoup de détail dans la tenue de Prophète - -' )
Et voilà ! Je crois que j'ai fait le tour de tout ce qu'il y avait à dire sur ce dessin ! J'espère qu'il vous plait !
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 22
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour à tous !
Comme je le disais dans l’article précédent, pour m’excuser de ma lenteur caractéristique, je livre trois reviews de chapitre plutôt qu’une seule cette fois-ci (les reviews des chapitres 21, 22 et 23).
La dernière fois, nous rencontrions enfin un changelin, Monsieur X, qui avait l’horrible idée d’embrasser une mineure sous l’apparence de son ex-petit ami. Nous apprenions aussi la machination ayant donné lieu aux missions d’assassinat.
Mais bon, nous allons laisser ça de côté pour retrouver Mara dans un chapitre que j’espère être moins pénible que le dix-neuvième, intitulé « Mara, ou comment faire du vaisseau spatial-stop. »
Let’s go
« Mara essuya son poignard. Devant elle, le cadavre de Selenba gisait, dans une mare de sang.
Elle releva la tête vers la silhouette holographique ténébreuse de Magister qui la regardait en silence.
La jeune fille était détendue. Elle avait fait exactement ce que voulait Magister. Elle désigna le corps de son couteau et demanda dédaigneusement :
— Voulez-vous que je lui tranche la tête et que je vous la rapporte ? Ce sera salissant, mais ça ne me gêne pas.
Magister semblait surpris.
— Comment as-tu fait ? fit-il de sa voix de velours liquide. »
Même s’il est évident que tout ça est mis en scène et que Selenba n’est pas réellement morte, j’apprécie TRÈS FORTEMENT ce début sans préambule. Surtout après toute l’exposition qu’on s’est chopé au dix-neuvième chapitre. Bon Dieu que ce dix-neuvième chapitre était long.
Ah oui, et sidenote : je ne sais pas si j’ai déjà lu la remarque quelque part, mais « la voix de velours liquide » de Magister est une paraphrase qui me fait beaucoup rire. Je suppose que le velours liquide est un type de tissu (je ne m’y connais pas assez en textile pour le dire), mais pour une non initiée comme moi, on dirait que deux consistances différentes sont associées à un truc qui n’est pas censé avoir de consistance, la voix. Et puis là où je peux me figurer des « pattes de velours », les deux se rapprochant plutôt bien, la voix de velours me rend plus perplexe. Je pense que c’est une façon d’exprimer les intonations plutôt que le ton de voix, mais ça veut dire que Magister a constamment une voix caressante, même quand il se transforme en loup et se vautre sur sa propre queue. Perplexe.
C’est comme si je disais de quelqu’un « je n’ai jamais supporté ses grands airs conditionnés ». Genre ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu’il s’agit d’une image, mais alors va te conceptualiser l’image mon gars.
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Yay yay yay c’est de nouveau le moment pour moi de parler de découpage de répliques !!
C’est mal foutu !
Voilà !
Plus sérieusement, la première phrase, pas de souci, ça marche. Je dirais même que ça donne à Mara une façon de parler intéressante.
Souvent, quand on écrit, on a la tentation de donner aux personnages des phrases bien pensées et découpées, exprimant un raisonnement digne d’une thèse ; ce qui en soi fonctionne dans certains types de bouquins, pas de problème. Mais personnellement, je suis très fan des histoires où les répliques des personnages reflètent leur psychologie, dans la façon dont elles sont articulées, la taille des phrases, la façon dont les informations sont mises ─ phrases brèves avec toutes les informations nécessaires synthétisées, ou points de suspension et explications hachées.
Tenez, par exemple, en réécrivant ce passage :
« - S… Selenba a été transformée en vampyr. En vampyr normale, je veux dire, par… par ma sœur, je veux dire Tara, je crois. Donc elle n’était plus le Chasseur. Elle… 
Après une hésitation, Mara se tourna pour présenter son bras cassé à Magister, avant de lui désigner l’entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ ici, Mara est stressée, elle se corrige, se répète, a du mal à finir ses phrases. Ses phrases sont courtes ; les phrases brèves peuvent parfois être symptomatiques d’une personne qui ne veut pas parler en public et lâche l’information qu’elle a sous sa forme la plus simple pour parler le moins longtemps possible.
Par opposition :
« — Selenba a été transformée en vampyr normale, elle n’était plus le Chasseur, répondit Mara en dévoilant son bras cassé qui pendait et l’énorme entaille souillée de sang sur son ventre. »
→ Ici, Mara est froide, elle exprime un fait. C’est une didascalie et non une narration qui précise qu’elle dévoile ses plaies ; or, placer des actions en didascalie en retire généralement le « poids », leur donnant une allure de geste machinal. En effet, une action qui intervient entre deux bouts de phrases d’un personnage suggère que le personnage peut tranquillement parler tout en accomplissant l’action. (Je précise que c’est mon interprétation d’une action placée en didascalie, vous avez le droit de ne pas être d’accord, ça relève pour beaucoup de comment je lis les histoires personnellement).
Bref, la première phrase marche bien. Ce sont celles qui suivent qui m’embêtent.
« Elle a commencé à m’expliquer qu’elle voulait avoir une vie « normale » et blablabla, elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si elle s’attendait à ce que je l’attaque après lui avoir dit que j’avais volé quelque chose pour vous et que vous m’aviez demandé de la tuer en échange. Pour sauver Cal. »
Une réplique de quatre lignes, c’est non. Déjà, une réplique sous-entend que quelqu’un la prononce, or je ne vois pas quelqu’un prononcer cette phrase sans devoir s’interrompre au mauvais endroit pour souffler. Vous me direz qu’il y a les virgules pour prendre le temps, mais ces virgules-là ne sont pas là pour prendre des pauses, puisque « elle n’a pas vu en moi l’assassin, elle n’a vu que l’Héritière, même si... » sont des bouts de phrases tous connectés logiquement qui perdraient de leur sens avec des pauses trop marquées.
En plus, en coupant l’aspect machinal d’une phrase courte, on dirait qu’elle cale le plus d’infos possibles en une seule phrase, ce qui change un peu l’état d’esprit qu’on lui imagine. Enfin, la dernière phrase est très drôle : pourquoi tu mets un point entre « vous m’aviez demandé de la tuer en échange » et « pour sauver Cal ? » La pause fait un effet plus bizarre qu’autre chose.
Bref, réplique mochouille, continuons.
Satisfait qu’elle ait rempli sa mission, Magister transmet les coordonnées à Mara, qui se barre sur un vaisseau, laissant Selenba sur place. Mara ouvre ensuite une vidéocristal pour regarder Tara se rendre au concert.
Et c’est tout ! Le chapitre était très court, restez tuned pour le suivant.
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a-room-of-my-own · 11 months
Note
Tu as expliqué le problème de manière très précise. Je suis revenue sur le sujet et il se trouvent que le groupe a interprété ce tweet et son auteure comme étant une suprémaciste nationaliste blanche qui serait prête à laisser crever les femmes du tiers-monde parce qu'elle voulait renvoyer les immigrés chez eux. A ceci viennent se rajouter des insultes à caractère religieux comme "ghoule" ou "démon" comme si elle faisait partie du Mal. Puis d'autres commentaires disant que le féminisme (Pt1)
radical est foutu à cause de femmes comme elle, etc... Une attitude sectaire me rappellant le transactivisme et ses servantes, mais autour de la race + pays d'origine. Une Sud-Africaine a même traité une meuf noire anti-immigration de traitre à la race en appuyant que les mecs (et femmes au vu des événements) blancs ne la verront jamais comme humaine ou une personne à part entière. Je pense que la propagande autour de Gaza joue une part importante.
- - -
Je pense que la situation internationale sert de catalyseur, mais après c’est une idéologie qu’on entend depuis des années. J’ai toujours dit, quand on a commencé à parler d’intersectionalité, que c’était un concept qui ne pouvait pas fonctionner de la manière dont il était interprété, parce que n’importe quel mouvement a besoin de définir des priorités et qu’à partir du moment où tu dis que toutes les causes se valent en fait les priorités vont se définir toutes seules, et pas en fonction de critères logiques.
En réalité, quand tu refuse de définir des priorités, tu fais rentrer le loup dans la bergerie. Tu te rends compte qu’à partir du moment où tu fais rentrer des hommes, peu importe ce qui leur arrive, les priorités des hommes vont devenir celles du mouvement, c’est comme ça que tu te retrouves avec des mouvements féministes qui défendent la prostitution, les migrations de masse d’hommes, issus de pays extrêmement misogynes, le trans-activisme, la GPA, etc…
Et il faut pas oublier que les femmes sont de toutes façons éduquées à prendre soin des autres et à être les gardiennes de la famille et de la communauté. Si tu les mets en position de devoir se défendre elles-mêmes ou de défendre des hommes, malheureusement tu vas trouver la majorité qui défendra les hommes ou qui trouvera que les problèmes des hommes sont plus graves que les leurs ou sont prioritaires. Dans une certaine mesure on a aussi besoin de se protéger de nous-mêmes.
Après, concernant la situation actuelle, je pense qu’on paye aussi très cher la naïveté qui a consisté à penser pendant des années que ces population n’avaient pas d’opinion politique. C’est quelque chose que j’ai entendu même il y a maintenant une quinzaine d’années quand j’étais en fac. C’était très ancré aussi bien à gauche qu’à droite que ce sont des populations non politisées qu’il fallait éduquer. En fait c’est totalement faux.
C’est juste qu’on a perdu la capacité à penser l’adhésion totale à une religion comme une opinion politique, puisque la marche du progrès en Occident est allée vers la séparation du politique et du religieux. En fait ce qu’on observe dans le monde Arabo musulman c’est que c’est exactement l’inverse qui s’est produit, il y a eu un refus de la modernité à partir des années 70 qui a des causes évidemment complexes.
Mais le fait est que les mouvements qui ont pris l’ascendant sur ces pays et qui sont arrivés chez nous par les migrations, ce sont des mouvements fondamentalement anti modernes et extrêmement politisés puisque c’est ce sont des mouvements qui ont un agenda politique qui est international. Mais on a pas eu en France et ailleurs en Occident la clairvoyance de comprendre justement ce qui était à l’œuvre politiquement.
Il est évident qu’on a pêché par racisme, en voyant ces personnes comme incapables d’adhérer à une idéologie conquérante de masse, et là ce qu’on est en train de voir, notamment avec les manifestations qui ont lieu partout dans le monde, avec les prises de position guerrières de gens comme le président turc, c’est qu’il y a vraiment une conception politique de la communauté au sens international et que cette communauté peut potentiellement se retourner complètement contre ses pays d’accueil.
La question de l’allégeance va très vite se poser quand les attentats vont reprendre - car je crains qu’on en soit qu’au début. Parce qu’il y a une minorité agissante mais il y a aussi une majorité qui depuis une dizaine d’année maintenant soit reste silencieuse soit excuse des comportements qui vont d’anti-sociaux à meurtriers en accusant les états d’accueil de ne pas en faire assez.
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sh0esuke · 8 months
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" Oasis "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Desert King Sir Crocodile.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Crocodile était puissant dans tous les sens du terme, que ce soit de part le fruit du démon, le Suna Suna no Mi, qu'il avait mangé lui conférant ainsi les pouvoirs d'un homme sable ou son charisme et intelligence qui lui permirent de créer une organisation criminelle redoutée de tous, le Grand Corsaire s'en sortait à merveille. Il gérait son entreprise d'une main de fer, veillant à ce que son nom ne soit que rarement cité ainsi que ceux de ses employés. Certains ne furent même jamais découverts. Mister 1 n'était pas l'unique exemple, de même pour Mister 2, il existait tant d'autres agents qui agissaient dans l'ombre, et, sans surprise, Crocodile avait ses favoris. Ceux-ci se faisaient d'autant plus discrets. L'un d'entre eux n'avait jamais vraiment fait parler d'elle, si Crocodile aurait dû la décrire utiliser l'adjectif : agent fantôme aurait été le plus approprié. Et pour cause, grâce à ses attributs physiques, elle ne laissait jamais rien sur son passage, son efficacité n'avait aucun égal. Et, aux yeux du Grand Corsaire -qui n'étaient peut-être pas aussi objectifs qu'il l'aurait cru- sa présence lui était indispensable.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟓𝟖𝟗.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Rain Dinners, comme à son habitude, prospérait. Malgré l'heure tardive, la lune brillant haut dans le ciel, les clients provenant des quatre coins du nouveau monde affluaient avec une vigueur consternante. Les temps n'étaient pas aux problèmes financiers et psychologiques mais plutôt à l'amusement et à l'argent, il était question de jouer à en avoir des ampoules au bout des doigts, à boire quitte à se mettre trembler et chuter, de draguer et de fanfaronner. Ça, les habitants et vacanciers de Rainbase l'avaient bien compris. Voilà pourquoi, au lieu de rester chez eux et de jouir de leurs biens déjà acquis, ils s'étaient tous réfugiés dans cette pyramide à l'aspect alléchante et perdus parmi des montagnes de jetons et de machines.
Le bruit incessants de ceux-ci brisait les tympans des employés, pourtant habitués à ce boucan infernal, beaucoup étaient étourdis, la vue trouble et le corps couvert de sueur. Ils restèrent professionnels. Le lieu était réputé non seulement pour ses divertissements inégalables, mais aussi son service irréprochable.
Malgré l'absence du patron dans la salle principale, les employés ne purent souffler, sentant les quatre coins du casino les écouter et épier leurs moindres mouvements. Ils se résolurent à afficher leur plus joli sourire et à obéir au doigt et à l'œil des consommateurs. Ils guidaient des clients perdus, rendaient services en en rafraichissant certain ou s'occupait de superviser des parties de poker.
Et si le Grand Corsaire manquait à l'appel, c'était tout simplement parce qu'il était occupé ailleurs, vagabondant dans les couloirs souterrains du QG de son organisation secrète. Crocodile était seul, livré à lui-même.
Pas de Nico Robin en vue, pas de membre de Baroque Works traînant dans les parages, l'endroit était désert. Seul le bruit des Banana-crocos flottant sur sa droite, sa gauche, sous ses pieds ainsi qu'au dessus de sa tête rythmait le bruit de ses pas. Crocodile ne les regardait pas. Leur taille était pourtant impressionnante, un seul coup d'œil aurait suffit à pétrifier une armée entière. Leur couleur verte marais contrastait avec le bleuté de l'eau dans lequel ils résidaient. Les Banana-crocos imitaient Crocodile, néanmoins, pas pour les mêmes raisons. Car tandis que le Grand Corsaire les ignorait par pure lassitude, les créatures marines, quant à elles, cherchaient à l'éviter le plus possible. Non pas en se reculant de lui et en le fuyant ⸺cela aurait attisé sa colère⸺ mais en détournant constamment le regard et en faisant mine de ne pas l'avoir remarqué.
Cet accord durait depuis déjà un an.
Crocodile les nourrissait, faisait nettoyer et leur eau quotidiennement, tout ça pour qu'en retour, ils lui servent de décoration. Et les créatures ⸺pourtant à la force physique monumentale et à l'appétit monstrueux⸺ s'en réjouissaient.
Crocodile continua donc d'avancer. Il ne regarda rien d'autre que le bout du couloir, accompagné par le son de ses mocassins encontrant le sol marbré. L'échos résonnait profondément contre le verre, il semblait sans fin, s'éloignant mais ne disparaissant point. Sa silhouette camouflée sous son épais manteau de fourrure paraissait immense. Son torse l'était tout autant. Crocodile n'était pas seulement imposant, il était aussi grand. À marcher ainsi dans le couloir souterrain, l'aura qui se dégageait de lui fut écrasante. Son expression dure n'aidait pas, elle accentuait le tout, formant un lot effrayant chassant quiconque aurait eu l'audace de s'approcher de lui.
Lorsque l'échos d'un rire cristallin parvint à ses oreilles cela changea du tout au tout. Crocodile fronça les sourcils. Il serra les dents et zieuta la grande porte boisée présentée devant lui.
Autour de lui, des plantes et tableaux servaient de décoration. Cette partie du couloir, c'est-à-dire sa fin, étaient composée de murs, d'un sol et d'un véritable toit. La séparation entre verre et construction solide n'était pas caché derrière de quelconques artifices, elle était bel et bien visible juste derrière lui. Crocodile ne s'y attarda point. Il zieutait les décorations le temps de se préparer mentalement, prenant compte de l'assèchement d'une quelques verdures, avant de poser sa main sur la poignée. Il l'abaissa et ouvrit la porte.
Un éclat de lumière l'aveugla. Puis, le même rire cristallin se fraya un chemin jusqu'à ses oreilles.
Le Grand Corsaire referma la porte derrière lui le temps d'habituer ses yeux meurtris. Il grogna dans sa barbe, les yeux plissés et le corps rigide.
« Je t'avais bien dit que tu n'allais pas aimer, Hector. Pourquoi tu ne m'écoutes donc jamais ? »
Le ton joueur de la voix résonnait dans la pièce immense et vide. En réponse, le grognement d'une bête s'éleva, et, un troisième rire survint.
« Tu es têtu ! Non, je t'en redonne pas ! »
Lorsque Crocodile rouvrit les yeux, il la vit. La langue pendue, les paupières fermées et la peau brillante. Ce fut la première chose qu'il remarqua.
La sirène se tenait devant un immense banana-croco, défiant la créature avec malice. Auprès de ses clavicules nues, elle serrait un panier d'algues odorantes et raffermit sa prise dessus en entendant la créature geindre. Le monstre était si gigantesque qu'il la surplombait et lui faisait de l'ombre. Cependant, elle ne semblait pas le moins du monde effrayée. Au contraire.
Le sourire gravé sur ses jolies lèvres pulpeuses en était le témoin.
La pièce était ronde. Au plafond, des plaques de lumière illuminaient l'endroit. Peut-être un peu trop d'ailleurs, en vue du temps de réaction qu'il fallut au Grand Corsaire pour s'y habituer. Les lumières n'étaient pas tamisées. Elles étaient d'un blanc pur, se mariant avec les murs de la même couleur, décorés par des éclats de dorure et des reliefs de style royal. Le sol en marbre clair reflétait les lumières qui rebondissaient déjà sur les murs. Le tout était parfaitement harmonieux, majestueux. La pièce était grande, avec au milieu, un bassin menant à la demeure des Banana-crocos, et, sur ses contours, quelques meubles, fauteuils, plantes et bibliothèques comblaient le vide. Il n'y avait ni salle de bain, ni cuisine ou chambre, l'endroit n'existait que pour la satisfaction personnelle du Grand Corsaire.
Et il n'y avait aussi pas d'autre porte.
La pièce était sans issue outre celle derrière le pirate, le bassin était effectivement une option, mais ne menant pas vraiment quelque part -outre l'aquarium des Banana-crocos-, la question ne se posait pas.
Satisfait par sa petite observation, Crocodile contourna le bassin pour rejoindre la sirène assise sur le bord à gauche. Sa queue était plongée sous l'eau, mais son bassin était assis. Elle posa son panier à côté d'elle et éclaboussa gentiment la créature devant elle.
Le banana-croco prenait presque toute la place dans le bassin, sans parler de son immense taille qui lui faisait entrer en contact avec le plafond. Sans sa peau d'écailles aussi dure que du métal, son épiderme aurait brûlé depuis longtemps. Aucun d'entre eux ne remarqua la présence du Grand Corsaire. Les deux amis continuèrent de chahuter ⸺l'un grognant et l'autre riant⸺ jusqu'à ce que le bruit des pas du pirate furent suffisamment proche pour se faire remarquer.
La sirène ne le comprit pas immédiatement, bien trop prise dans son fou-rire, cependant, le banana-croco, lui, ne fut pas aussi chanceux.
Croisant le regard las du Grand Corsaire, l'animal se pétrifia sur place. Ses yeux s'écarquillèrent. Sa gueule s'ouvrit, laissant un bruit mixé entre la terreur et l'appréhension lui échapper. Crocodile s'arrêta alors de marcher, à trois mètres d'eux, et fit un rapide geste de la main en direction du bassin. Le banana-croco fut incapable de réagir. Son cœur battait à la chamade. Malgré le fait que cela soit physiquement impossible, il suait même à grosses gouttes. Il fut incapable de comprendre ce que cherchait à dire le noiraud, soudain devenu comme sourd. Ses grosses pattes furent prises de secousses. Et, au moment où le Grand Corsaire prit la parole, son corps sursauta.
« Disparais. »
Le Banana-croco prit ses jambes à son cou. Il fuit, se cognant la tête contre le plafond de lumières au passage, et éclaboussant la jolie sirène. Le bassin fut pris de secousses, de l'eau atterrit sur ses contours et le bruit que cela provoque sortit la demoiselle de sa transe. Étourdie, elle regarda autour d'elle.
« Oh ! C'est vous ! »
Crocodile s'accroupit devant elle.
Il posa son crochet sur son genoux et la dévisagea avec intrigue.
« Qu'est-ce que tu fais à converser toute seule, hein ? »
La sirène arqua un sourcil. Elle se rapprocha de lui tandis qu'il levait sa main dans sa direction. Le Grand Corsaire replaça une mèche de ses cheveux trempé derrière son oreille, celle-ci ayant été secouée par le Banana-croco qui l'avait trempée. La sirène frissonna au contact de sa peau rugueuse et chaude. Elle poussa un doux soupir d'aise et ferma les yeux.
« Je n'étais pas seule. »
Sa contestation affirmée, elle les rouvrit.
« J'étais avec mon ami Herbert. »
« Et qu'est-ce qu'il te voulait ? »
« Mon repas.. » elle avoua dans une mine renfrognée.
« C'est fâcheux, ça. »
« N'est-ce pas ! Ce sont mes algues... »
La sirène argumenta ses propos en plongeant une de ses mains dans son panier posé au sol et en en saisissant une ferme poignée. Elle la fourra vigoureusement entre ses lèvres. Une fois sa bouchée avalée, elle plissa les yeux. Elle affirma un air déterminé sur les jolis traits de son visage, les sourcils froncés et la bouche tirée en une grimace.
Quelques gouttes provenant de son repas étaient coincées entre ses lèvres. Celles-ci perlèrent le long de son visage jusqu'à atterrir entre ses seins. Ceux-ci aucunement habillés ⸺outre les écailles gravées à la place de ses tétons⸺, se retrouvèrent trempés. Les perles salées roulèrent jusqu'à toucher sa queue et se mêler parmi ces mêmes écailles de couleur vert pâle.
Crocodile se chargea de passer son pouce sur son menton, récoltant le jus et l'apportant à ses propres lèvres. Il ignora son cigare fumant et grimaça.
« Infect.. » il maugréa.
La sirène apporta soudain ses poings sous son menton et questionna du regard le pirate. Elle lui fit plutôt les yeux doux, mais cela passa inaperçu.
« Qu'est-ce qui vous amène ici, monsieur Crocodile ? »
« J'aimerais que tu me rendes un service. »
La demoiselle hocha vigoureusement la tête.
« Entendu, tout ce que vous voudrez. » s'empressa-t-elle de répondre.
Crocodile relâcha le visage de la jolie créature pour extirper un bout de papier de son costume. Plié et coincé entre son index et majeur, il le lui tendit. La sirène le réceptionna et vérifia son contenu pendant que le pirate reprit la parole.
« Miss Father's Day et Mister six se chargeront de te fournir la bombe une fois arrivée à destination. »
Elle leva les yeux dans sa direction.
« Je dois faire sauter un navire ? »
« Tu comprends vite. »
La sirène rangea le morceau de papier auprès de ses algues, presque immédiatement, celui-ci se retrouva gorgé de jus. À présent, il était illisible. La demoiselle ne s'en préoccupa point, elle était bien trop intéressée par l'homme devant elle pour jeter son dévolu sur de simples écritures qu'elle avait déjà mémorisé dans son esprit. Depuis sa venue, son sourire n'avait pas fané, il était rêveur, enjôleur, transpirant l'amour et l'intérêt qu'elle lui portait. Crocodile n'y était pas immunisé, malgré son air indifférent, le fait qu'il reste aussi proche d'elle et qu'il se permette de la toucher en disait beaucoup.
« Le roi Cobra a demandé à un royaume voisin de les épauler, tu comprends bien qu'on peut pas se le permettre. » argumenta le Grand Corsaire. « Ça serait dommage que nos efforts soient réduits à néant après tout ce temps. »
« Oui, je comprends. »
« Je n'en attendais pas moins de toi. »
« Est-ce que.. »
D'un ton hésitant, la sirène frappa le bord de l'eau de sa nageoire. Ce geste nerveux fit arquer un sourcil au pirate. Elle chercha à le fuir du regard, mais elle se retrouva immédiatement tirée de nouveau dans sa direction. Elle n'était pas en mesure de lui résister. Elle serra les poings sur sa nageoire, plissa ses lèvres en une fine ligne et déglutit. La question lui brûlait les lèvres. Voilà des jours qu'elle y réfléchissait, voilà des mois qu'elle hésitait. Plus que tout au monde elle le désirait, néanmoins, face à lui, elle perdait tous ses moyens. Incapable de soutenir l'intensité de son regard, écrasée par son aura imposante, elle sentit son organe vital s'emballer. Des papillons se mirent à virevolter dans son bas ventre et en réponse, sa queue s'excita davantage. De l'eau éclaboussa la tempe de Crocodile, la sirène regretta immédiatement.
« Qu'est-ce que tu as ? » demanda-t-il.
« Je me demandais si... »
Sa main s'agrippa à son avant-bras. La sirène planta d'un geste désespérément ses ongles couvert d'un vert métallisé dans sa chemise et se rapprocha de lui.
« Si vous accepteriez de voir un coucher de soleil avec moi. »
Crocodile fronça les sourcils. Sa confusion se traduisit par de la contrariété aux yeux de la demoiselle. Celle-ci commença alors à paniquer.
« Pas aujourd'hui, bien évidemment ! Ma mission est de la plus haute importance, j'en suis consciente ! » affirma-t-elle. « Mais je me disais, pourquoi pas après ? Je sais que vous êtes un homme prit et demandé, mais ce serait juste pour un soir.. Un seul. »
« Tu veux.. »
Crocodile posa sa main sur la sienne.
« Tu me fais du rentre-dedans ? » s'étonna-t-il.
« Quoi ? »
La mine de ma sirène s'illumina sous la confusion. Elle contempla le Grand Corsaire avec pure intrigue, comme si ses paroles étaient dans une autre langue.
« Non. Je.. Juste... »
Elle inspira profondément, cherchant à ignorer le contact physique entre leur main. Ses efforts furent en vain. Il lui était impossible de passer outre son eau de cologne et de la chaleur provenant de sa main déposée sur la sienne. C'était bien trop divin. Ses pupilles perdues dans ses yeux, leur corps si proche, la sirène n'était pas en position de feindre l'indifférence.
« Je sais que c'est contre l'organisation, je sais que mes sentiments ne sont peut-être pas réciproques. Oh, il est tout autant possible que mon aveux causera ma perte, mais je mourrais sans regret. »
La sirène sandwicha la main du noiraud entre les siennes et l'apporta entre ses seins. Sa peau humide contrastait avec la sienne sèche. Elle était rugueuse et puissante, tout le contraire de la sienne. Ses doigts fins et délicats s'entremêlèrent aux siens. La sirène tentait le tout pour le tout, persuadée qu'après cet acte suicidaire, Crocodile ne lui offrirait pas une seconde fois la même opportunité.
« Mon cœur bat pour vous, monsieur. »
Crocodile grogna contre son cigare. De sa main libre, il le saisit et expira un nuage de fumée entre leur visage.
« Je doute que ce soit de l'amour. »
« Oh ? »
Face à l'air consterné de la sirène, il retroussa son nez et mordit l'extrémité de son cigare, le fourrant de nouveau entre ses dents.
« Tu es juste effrayée. » observa-t-il. « Tu confonds ces battements paniqués par de l'amour, mais, en vérité, tu me crains. »
Vigoureusement, la sirène contesta.
« Je sais faire la différence. » elle affirma.
« Peux-tu ? »
« Ne ressentez-vous donc pas la même chose ? Lorsque je vous aperçois, c'est un sentiment bien plus agréable que la terreur qui m'emporte. J'aime être auprès de vous. Je ferai n'importe quoi pour vous satisfaire. »
Sur ce point là, Crocodile fut incapable de la contredire.
Depuis qu'il l'avait recrutée, la sirène s'était montrée irréprochable. Elle n'avait pas hésité à trahir ses compagnons, punir les traîtres et les peureux qui, au bout de quelques jours, avaient cherché à fuir l'organisation. Elle exécutait ses missions avec un professionnalisme déconcertant, comme si sa propre vie en dépendait. Et peut-être que c'était le cas. Pas une seule fois ne l'avait-elle déçu ou avait-elle osé lui manquer de respect. Même en cet instant, alors qu'elle le contemplait avec amour et admiration, Crocodile se sentait incapable de trouver quoique ce soit à redire. Elle était d'ailleurs bien trop divine pour cela soit le cas. Un couteau à la main, tachée de sang, il l'aurait sûrement tout autant défendue. L'éclat pétillant dans son regard suffisait à l'innocenter, que ce soit auprès des autorités que de lui.
Crocodile reprit ses esprits en sentant la sirène presser sa main un peu plus profondément dans sa poitrine. Ce geste désespéré fut accompagnée par son expression du visage tiraillé par l'appréhension.
« Vous ai-je contrarié ? » elle chuchota.
Crocodile secoua la tête.
« Qu'est-ce que tu trouves de si intéressant dans un coucher de soleil ? » il marmonna, les sourcils froncés.
« Oh ! »
Presque immédiatement, son dos se redressa et son regard se mit à briller.
« Tout ! Absolument tout ! » s'exclama-t-elle. « Depuis que je suis enfant, ma mère m'a toujours interdit d'aller à la surface pour l'admirer. Elle me disait que de méchants humains risquaient de m'enlever et de me vendre. Alors, j'ai obéi et je suis restée cachée en bas, loin de votre monde. »
Plus elle parlait, et plus sa prise sur sa main se raffermit. Crocodile ne l'entendait pas que dans le ton de sa voix, mais aussi dans ses yeux, ce grain et éclat d'excitation lui faisaient beaucoup d'effet. Crocodile se sentait submergé par un flot de sentiments inconnus, une agréable chaleur s'empara de son organe vital, il ne put y échapper.
« Je l'ai déjà vu une centaine de fois. » avoua-t-elle. « Je ne m'en lasse jamais. »
« Alors pourquoi me demander de t'accompagner ? C'est une perte de temps. »
« Parce que... »
Elle se racla la gorge. La demoiselle détourna un petit instant le regard, fébrile et perplexe. Elle se reprit en sentant les doigts de Crocodile se crisper. Ils bougèrent finement, cela suffit à attirer son attention et à la faire le regarder de nouveau.
« Parce que j'aimerais passer ce moment à vos côtés. »
Son aveux fut accompagné par les battements affolés de son cœur. Sa peau en palpitait presque, notamment l'endroit où sa jugulaire se trouvait.
« Je suis consciente que c'est déplacé, mais⸺ Je... Je le veux. Du plus profond de mon cœur. »
Crocodile ne répondit point. Il retira sa main de son emprise et se redressa tranquillement. La sirène le dévisagea avec angoisse. Elle pressa ses mains contre sa poitrine et déglutit. Le pirate agissait avec une désinvolture terrifiante. Il semblait indifférent à sa confession, comme habitué. Comme si le fait qu'une femme se jette à ses pieds n'était pas nouveau. Cette pensée chagrina immensément la jolie créature.
« Monsieur..? »
Crocodile marcha en direction des deux grandes portes de la pièce. Dos à la sirène, il ne se retourna point.
La demoiselle baissa alors la tête.
Son cœur se brisa en mille morceaux, les éclats tombèrent dans son bas ventre, blessant les papillons qui s'y étaient précédemment tenus. Elle passa ses bras autour de son estomac, les yeux larmoyants, sa lèvre inférieure avait commencé à trembler. La sirène se laissa glisser dans le bassin, ravagée par un sentiment d'embarras profond qu'elle chercha désespérément à fuir à travers la noyade. Elle y tomba de manière à avoir la moitié de son corps englouti, jusqu'à son décolleté. Ses mains saisirent le panier à algues que l'ont lui avait servi, elle l'emporta avec elle le regard fuyant, incapable de regarder son employeur plus longtemps. Toutefois, lorsque celui-ci reprit la parole, toujours dos à elle, sa tête fit volte-face dans sa direction.
« Reviens me voir une fois ta mission terminée. »
Crocodile poussa les deux portes. Il les ouvrit avec nonchalance.
« Je connais un endroit où tu pourras admirer un lever de soleil qui en vaut la peine. »
La sirène hoqueta.
« Mon⸺ Monsieur ? »
Son cœur se gonfla d'amour. Ses yeux s'étaient ouvert en grand, et ses lèvres s'étaient séparées dans une grimace. La sirène ne sut trouver une réponse suffisamment convaincante à lui donner, elle était bien trop surprise par ses paroles. Le ton de sa voix grave paraissait toujours aussi lasse et détachée, mais ses propos l'avaient touché en pleine poitrine. C'était comme si une flèche l'avait transpercée. Elle en avait mal. Elle souffrait monstrueusement, ce nouveau sentiment logé au centre de son être l'avait propulsée haut dans les nuages, et à présent, elle se sentait incapable d'en redescendre. Elle ne le voulait pas.
Crocodile la rappela à l'ordre en prononçant son nom de code.
« Je me suis fais comprendre ? »
Immédiatement, la sirène plaqua sa main contre son front, à l'instar d'un salut militaire, et s'exclama :
« Oui, monsieur. Je ne vous décevrai pas ! »
Le pirate esquissa un sourire satisfait avant de quitter la pièce. Il ne dit rien de plus, laissant les portes se refermer derrière lui et ainsi plonger la pièce dans un lourd silence pesant. La sirène attendit une poignée de secondes. Elle eût serré le panier si fort contre sa poitrine qu'il s'était plié en d'eux, à peine sur le point de se briser, elle le lança dans les airs et plongea dans le bassin. Elle rejoignit l'immense aquarium du Rain Dinners, à la recherche de Banana-crocos.
« Herbert ! Mon Dieu, Herbert, tu ne vas jamais croire ce qu'il vient de se passer ! »
La demoiselle laissa le panier tomber à l'eau et sombrer dans les tréfonds de l'endroit. Elle ne lui jeta pas même un seul regard coupable. Celui-ci fut rapidement avalé par un banana-croco flottant aux alentours, les algues furent incapables de fuir, tout comme le petit morceau de papier avec. Toute trace de la culpabilité de la jeune femme disparut avec. Celle-ci n'était, en cet instant, pas un membre précieux de l'organisation de Baroque Works, mais plutôt une simple créature maritime amoureuse. Follement éprise d'un homme à l'allure bienveillante.
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De Magnus à Alec
Mon cher délicieux muffin d’amour,
J’espère que tu te portes à merveille au moment de recevoir cette lettre parfumée, et que toi et R et M passez un très bon moment pendant votre voyage en… euh, je crois que le mot que tu as utilisé est « Nord ». J’ai entendu des légendes sur ce Nord[1], mais jamais n’aurais-je pensé que ma famille verrait de ses propres yeux ses montagnes, ses marchés fermiers kitchs, son Onde de l’Hudson.
Mais plus sérieusement, j’espère que les enfants apprécient leur séjour chez Grand-mère, et j’espère bien que tu appelles Maryse « Grand-mère » aussi souvent que possible parce que j’adore la tête qu’elle fait quand elle nous entend dire ça. Sur un sujet moins plaisant mais plus pressant, j’espère que tu as eu l’occasion de discuter avec Luke de ce qu’il se passe avec la Cohorte et Idris.
Mais ne fatigue pas tes magnifiques mains à m’écrire une réponse. Je viendrai moi-même te rejoindre dans le « Nord » plus tard dans l’après-midi, puisque, je te l’annonce avec joie, l’affaire de la maison maudite des petits Blackthorn est plus ou moins résolue. Bien que ce fût une rude épreuve, crois-moi.
Je ne crois pas t’avoir montré la note que Jem m’avait envoyée, qui disait : « Emma et Julian essayent de ne pas t’embêter davantage avec leur maison, et c’est très gentil de leur part, mais contrairement à eux, je n’ai pas le moindre scrupule à t’embêter, alors c’est moi, maintenant, par cette note, qui t’embête. Nous avons besoin d’un sorcier et tu es le meilleur que je connaisse pour faire face à notre problème. Nous apprécierions tous grandement ton aide. »
Comme c’est souvent le cas, j’étais à la fois légèrement agacé et légèrement impressionné par Jem, qui avait réussi à être très gentil tout en me rappelant que, lorsque lui et Tessa sont concernés, je suis une vraie dupe qui volera à leur secours dès que possible. Parce que je suis une véritable dupe lorsque lui et Tessa sont concernés, j’avais tout de suite répondu que je viendrais.
Je sais ce que tu penses. « Pourquoi Tessa aurait-elle besoin d’un sorcier alors qu’elle est elle-même une sorcière ? » Différents sorciers ont différents domaines de connaissance, comme tu le sais, et même si Jem me flattait en disant que j’étais le meilleur choix, la vérité est que j’ai bien eu à gérer beaucoup plus de malédictions que Tessa. C’est ce qui arrive quand on a passé les dernières décennies à vendre ses services à n’importe quel mécréant que l’on croise, au lieu d’agir intelligemment et de mener une paisible vie de chercheuse en magie dans le Labyrinthe en Spirale. Tessa a toujours été la plus maligne de nous tous.
Quoi qu’il en soit, je dois accorder du mérite à Emma et Julian. Je m’attendais à les trouver en train de cogner les objets maudits les uns contre les autres ou quelque chose de cet ordre, mais ils avaient mis en place un cercle de protection plutôt convenable et avaient même trouvé un sort. C’était un vieux sort très général qui, d’après mon expérience, n’a souvent aucun effet sur les vraies malédictions à notre époque, mais tout de même.
Assez bêtement, j’ai établi le cercle dont je me sers habituellement pour rompre les malédictions, pour essayer. « Bêtement », parce que j’avais oublié qui avait créé la malédiction à l’origine. Ton pire ancêtre, Benedict Lightwood, passionné de démons en tous genres et amateur de nécromancie. A quel point Benedict était-il passionné par les démons ? Il est littéralement mort de la vérole démoniaque qui, si tu ne le sais pas, parce que tu es admirablement pur, mon Alec, est une maladie démoniaque sexuellement transmissible.
Mais j’avais oublié ça sur le moment, alors j’ai été étonné quand la malédiction a résisté avec force. Elle se tordait, se débattait, donnait des coups, comme Max quand on le plonge dans son bain. Une espèce de lueur vert fluo rayonnait aux points d’attache entre les objets maudits et la malédiction. J’ai finalement compris que je devrais précautionneusement détacher chaque objet de la malédiction un à un.
Je m’en suis sorti avec la flasque, la dague, et l’un des bougeoirs (ne me demande pas d’expliquer comment j’ai réalisé cet exploit), mais après ça, j’étais coincé.
Ce n’est pas terrible quand un sorcier prend une remarquable pose magique et qu’il ne se passe rien ensuite. Je suis certain que j’avais l’air ridicule, comme un magicien terrestre qui ne comprend pas pourquoi le lapin ne sort pas du chapeau. Julian et Emma, toujours très polis, ont patiemment attendu mais je me sentais fort idiot.
Et puis je me suis complétement déconcentré pendant un moment parce que la porte s’est ouverte et Kit est entré. Il a rapidement observé la scène avant de déclarer :
- Le Professeur Violet dans la bibliothèque avec le bougeoir, à ce que je vois.
- Le violet est toujours une couleur appropriée pour un sorcier, ai-je rétorqué. C’est la couleur ornementale de la magie.
- Ta magie est bleue, est intervenue Emma, évidemment, Madame-je-sais-tout.
- Peut-être qu’il parlait de moi, a dit Julian. Je porte un sweat à capuche violet. Et c’est aussi la couleur ornementale de la magie, a-t-il ajouté avec un hochement de tête à mon attention, ce que j’ai apprécié.
- Vous pourriez peut-être mettre les objets sur une nappe violette au lieu d’une blanche, a suggéré Kit.
Tout en parlant, il s’est rapproché pour jeter un œil.
Et dès qu’il a été près du cercle, Alec, j’ai ressenti une sensation des plus étranges. Une sensation de… pouvoir, je suppose, qui résonnait en Kit. Tu vois la façon dont le corps vibre d’une manière particulière quand il y a des bruits vraiment très graves ? Cette sorte de grondement ? C’était comme ça, mais silencieux. Je n’avais jamais ressenti ça de toutes les fois où j’avais vu Kit. Je voyais aussi que Kit ne ressentait rien d’anormal. Et si c’était le cas, il était étonnement imperturbable.
Alors je lui ai proposé de nous rejoindre autour du cercle pour qu’il se concentre également sur la magie.
- D’autant plus que Jem et Tessa ont préféré aller se cacher quelque part plutôt que de nous aider avec ça.
- Ils sont dans le jardin avec Mina, a répliqué Kit, un peu sur la défensive.
J’ai redirigé l’attention de tout le monde sur les objets et concocté une version plus puissante de mon habituel sort anti-malédiction. J’ai pris l’autre bougeoir et BOUM ! Plus aucune résistance ! Il y a eu un grand éclat de lumière bleue et tous les nœuds magiques qui attachaient les objets à la malédiction se sont désintégrés.
Nous n’en croyions pas nos yeux. J’ai fini par prononcer quelque chose comme :
- Eh bien, c’était plus que ce à quoi je m’attendais. Peut-être que la présence de quatre personnes a fait la différence.
J’ai vérifié. La malédiction semblait… avoir disparu. Honnêtement, j’étais un peu secoué. Je n’en ai pas parlé à Tessa ni à Jem, parce que je ne veux pas en faire tout un plat, mais je pense que ça a fonctionné grâce à Kit. Pas parce que nous avions besoin d’une quatrième personne. Il se passe clairement quelque chose avec lui, une sorte de magie dont il ignore tout. Je suppose que c’est lié au fait qu’il est un descendant de la Première Héritière, mais je n’ai jamais été un expert en ce qui concerne ce genre de magie elfique. (Et brûle cette lettre après l’avoir reçue – nous sommes peu nombreux à savoir que Kit est le Premier Héritier, et il vaut mieux que ça reste comme ça.)
Cette idée m’attriste. Kit est un bon garçon qui mérite une vie agréable et ordinaire. Je sais que c’est ce que Jem et Tessa veulent pour lui, plus que tout, après le chaos qu’a été son enfance. Mais je ne suis pas sûr qu’il aura son mot à dire. Les fées ne lui laisseront peut-être pas le choix.
Julian a tendu la main pour prendre la flasque. Il l’a tenue pendant un certain temps en fronçant les sourcils.
- Qu’y a-t-il ? a demandé Emma.
- Rien, a répondu Julian.
Puis il a levé les yeux vers moi :
- C’est tout ? Plus de malédiction ?
- Plus de malédiction, lui ai-je assuré. J’espère.
Et puis est descendu du plafond Rupert le Fantôme. Je n’ai jamais rencontré Rupert quand il était vivant. Je ne sais pas quoi penser de lui. D’un côté, il semble avoir été un innocent qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, un esprit enfermé dans une maison où il n’a jamais vécu à cause d’un mal dont il ne connaissait rien de son vivant. D’un autre côté, en rencontrant Tatiana Lightwood, il s’est dit « Cette demoiselle semble être un bon parti », alors il devait y avoir quelque chose de pas net chez lui.
Rupert était juste au-dessus de la table et est descendu jusqu’à la toucher. Il fixait un objet dessus.
- Qu’y a-t-il, Rupert ? l’a interrogé Emma. Que regardes-tu ?
Kit a suivi son regard et a commencé à mettre les objets sur le côté.
- C’est la bague, a-t-il annoncé.
- Quelle bague ? s’est étonnée Emma.
En effet, quelle bague ? Il n’y avait pas de bague parmi les objets maudits. Mais il y avait une bague sur la table maintenant. Kit l’a prise. C’était une bague sertie d’une pierre noire et gravée d’un motif d’épines.
- La bague de la famille Blackthorn ? s’est demandé Kit.
- La plupart des bagues de famille ne ressemblent pas à ça, a remarqué Emma.
- Peut-être une alliance ?
- Les Chasseurs d’Ombres n’utilisent pas d’alliances.
Mais Julian affichait son habituelle expression pensive.
- Je suis lié à ce lieu par un anneau en argent, a-t-il dit doucement.
- Les Chasseurs d’Ombres peuvent échanger des alliances, ai-je indiqué. Ils n’y sont pas obligés. Mais ils peuvent s’ils le veulent.
Quoi que ce soit, ça appartenait à Rupert. Il avait suivi du regard la main de Kit qui avait pris la bague, et à ce moment il en approchait son fin bras fantomatique. Il a enveloppé la bague de sa main, ce qui n’a eu aucun effet puisqu’il est un fantôme… Kit se contentait de la lui tenir. Puis il a fermé les yeux (je parle de Rupert) et son visage a affiché une expression de soulagement, de gratitude, de paix, et il s’est… évaporé, juste là. Il s’est lentement effacé puis a disparu. Plus de Rupert. Parti pour, je l’espère, ne pas retrouver sa femme, puisqu’elle était aussi sa geôlière pendant plus de cent ans.
- Il n’a même pas dit au revoir, a murmuré Emma.
- C’est mieux, ai-je affirmé. Il n’a jamais été censé être ici.
- Eh bien, Rupert, si tu m’entends, a lancé Emma, c’était sympa d’être hantés par toi.
- Cinq étoiles, a dit Kit sur un ton solennel en reposant la bague sur la table. Ça me plairait d’être hanté à nouveau.
Et toutes les bougies de la pièce se sont éteintes d’un coup. Ce qui était aimable de la part de Rupert, si c’était lui. Ça aurait très bien pu être un simple courant d’air.
Nous sommes tous sortis de la pièce en silence.
- C’est différent, a remarqué Julian en regardant dans le couloir. Je le sens déjà.
Je le sentais moi aussi. Il y avait une légèreté nouvelle. Une sorte de domesticité chaleureuse qu’on ressent dans une maison accueillante, et qui avait toujours manqué à Chiswick House depuis que je la connaissais. C’est difficile à décrire, mais tout d’un coup c’était la maison de Julian et Emma, telle qu’elle ne l’avait jamais été avant. Je l’ai toujours vue comme un endroit hostile, puis comme une monstrueuse ruine. Pour la première fois je me suis dit que c’était un endroit que les Blackthorn pourraient remplir de bonheur.
Et je suis certain qu’ils le feront.
A très bientôt, mon amour. Je t’embrasserai jusqu’à ce qu’un bambin nous force à nous séparer et réclame toute notre attention. Prévois donc un baiser d’environ trente à soixante secondes, d’après les expériences passées. Mais j’aimerais, comme toujours, que ça dure infiniment.
Je t’aime,
Magnus.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/693937002091053056/magnus-to-alec
[1] Blague de new-yorkais. Les habitants de la ville de New-York désignent l’intégralité de l’état de New-York, sauf la ville, comme étant « upstate » (« le nord de l’état »). Aller « upstate » (généralement juste au nord de la ville, dans la Vallée de l’Hudson) est souvent vu comme un voyage considérable même si c’est tout près.
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suburbangothic-rp · 1 month
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Les lieux privés
Ces lieux sont dissimulés au regard de tous et toutes. Pour pouvoir y entrer, il faudra payer le prix ou réunir les conditions ; il est aussi possible que l’accès à l’un de ces lieux soit offert en récompense lors d’évènements. Le country club et le bar underground servent à créer des communautés dans la communauté, ou contre la communauté. Ils rassemblent des personnages proches, qui se distinguent du reste des habitants, et qui peuvent alors sociabiliser entre eux. Les mines sont surtout là pour celles et ceux qui ont envie de se créer des frayeurs. Chaque lieu secret aura un sous-forum de flood dans lequel les membres pourront sociabiliser, discuter de sujets éventuels, de liens, etc. Les membres ayant accès à ces lieux pourront aussi choisir d’y tenir des mini-évènements pour se rassembler. Ces lieux ne sont pas inamovibles. Si l’un d’eux n’intéresse personne, il sera tout simplement débloqué et converti en forum standard. Un lieu pourra aussi être fermé définitivement ou temporairement à la suite d’un évènement qui se produit in-game (un incendie par exemple). Et bien sûr, d’autres pourront être ajoutés en fonction de la demande des membres. (note : je réfléchis à ajouter 1 ou 2 autres lieux parce que je me demande si ces trois-là sont suffisants. Je n’ai pas encore fait de choix ; s’il vous vient une idée ou une envie, n’hésitez pas à m’en faire part, et pensez à me communiquer un nom ou pseudo que je puisse ajouter aux crédits.)
Le country club L’entre-soi est nécessaire, parce que l’enfer c’est les autres. Nécessaire à la survie de la caste des notables. Elle se terre dans des lotissements clos et se réunit loin des regards. Leur terrain de jeu favori : le Catasauqua Country Club, rebaptisé mesquinement le Catastrophe Cuntry Club par ses indésirables. Là, on se retrouve entre gens bien. On se régale de mets délicats dans une ambiance feutrée avant une partie de golf. L’été on profite de la piscine. Les frais d’adhésion sont exorbitants, c’est le prix de la tranquillité, de l’exclusivité. N’entre pas ici qui veut parce qu’il faut préserver le statut, et les secrets qui viennent avec. Ce qui s’y passe, ce qui s’y dit, ne quitte jamais les murs de l’établissement. Les employés du lieu sont à la fois complices et victimes de leurs bourreaux, terrifiés par la perspective de perdre leur gagne-pain. La direction joue le jeu, trop contente de glaner chèques et secrets pour se priver d’une telle manne.
Note de jeu : l’accès au CCC est débloqué en dépensant des points seulement s‘il est cohérent que votre personnage y soit accepté. Le staff du CCC et la direction n’auront pas besoin de débourser des points pour accéder au lieu. Il est possible qu’un évènement public ait lieu au CCC, auquel cas tous les membres pourront y accéder de manière temporaire.
Les mines Les longs tunnels désertés des anciennes mines de fer plongent dans le flanc de la montagne. De tous les lieux du coin, c’est l’un des plus maudits. Le traumatisme de la fermeture brutale de l’industrie sidérurgique dans les années 80 survit encore comme un cancer en ville. Les symptômes de cette maladie sont nombreux. Des légendes. Des mineurs disparus s’y trouveraient encore, guettant l’arrivée d’intrus qu’ils attaqueraient violemment. On y trouverait des fantômes et des démons. Certains disent même qu’en s’enfonçant trop loin dans les mines, on finirait sa route en enfer.
Note de jeu : l’accès aux mines est débloqué en dépensant des points. Y poster un sujet comporte des risques car chaque sujet sera visité une fois par le maitre du jeu qui y postera un effet aléatoire. En raison des risques, poster un sujet dans les mines rapportera 2x plus de points qu’ailleurs.
Le bar underground Ici, on vient parce qu’on n’a nulle part où aller. On rejoint les rangs grandissants des alternatifs en tout genre, celles et ceux qui n’ont pas voulu ou réussi à se tailler une existence selon le code de conduite calibré de la vie en banlieue. Le volume de la musique est trop élevé, la bière y est bon marché mais fade, les standards d’hygiène n’y sont qu’occasionnellement respectés. Pour son public, le Fat Felix est un lieu de villégiature nocturne où on peut laisser tomber le fardeau du regard des autres le temps d’une nuit. Mais certain.es le sentent : la pollution a gagné l’écosystème. Les prédateurs ont flairé l’opportunité, car dans ce lieu de liberté relative, on peut se fondre dans la masse avec aisance.
Note de jeu : on peut débloquer l’accès au Fat Felix en dépensant des points de rp ou sur invitation d’un.e autre membre y ayant déjà accès (qui devra alors dépenser ses propres points). Le maitre du jeu pourra aussi offrir l’accès au lieu à des personnages qui pourraient y trouver leur bonheur.
Un dernier mot pour la suite Bravo à vous, vous n’avez fait que des bons choix. J’espère que vous serez un peu moins perspicaces avec les intrigues… Le reste du contenu reste caché pour le moment 😉 Je posterai un autre messages pour la fin de semaine avec quelques questions pour vous, notamment concernant une éventuelle date d’ouverture.
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angelitam · 10 months
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Partageons mon rendez-vous lectures #34-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. La part du démon de Mathieu Lecerf La part du démon de Mathieu Lecerf – Editions Robert Laffont Inferno de Dan Brown Inferno de Dan Brown – Editions JC Lattès Sur tes traces d’Harlan Coben, en lecture Sur tes traces d’Harlan Coben – Editions Belfond Présentation de l’éditeur : Où trouver la force de se battre quand on a tout…
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kilfeur · 10 months
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J'avoue que le cliché du papa trop protecteur envers sa fille et n'aime pas son petit ami devient extrêmement vieux. On sait qu'il est très attachée à sa fille et je peux comprendre pourquoi il a l'impression de se sentir délaissé. Bref quand il la voit avec Iruma. Il commence à douter ce dernier est humain ! Et je trouvais ça assez bas de sa part, car c'est juste un prétexte pour qu'il se débarrasse d'Iruma loin de sa fille. Surtout qu'en plus c'est lui qui avait prévenu Iruma qu'il n'était pas le premier humain à venir dans le monde des démons. Sauf que là on touche à quelque chose d'intéressant, on voit une jeune femme qu'il semble connaître. Et vu la forme des oreilles de cette dernière. Y a des chances que celle ci soit humaine. Et peut être meme que c'est la mère d'Ameri, ce qui ferait d'elle, une sang mêlé. Ok, ça c'est intéressant ! Maintenant Henri est motivé à comprendre Iruma selon d'autres raisons et ça c'est bien.
I have to admit that the cliché of the over-protective dad who doesn't like her boyfriend is getting very old. We know he's very attached to his daughter and I can understand why he feels left out. Anyway, when he sees her with Iruma. He starts to doubt that Iruma is human! And I thought that was pretty low on his part, because it's just an excuse for him to get rid of Iruma away from his daughter. Especially since he was the one who warned Iruma that he wasn't the first human to come to the demon world. But here we touch on something interesting: we see a young woman he seems to know. And given the shape of her ears. Chances are she's human. And maybe even Ameri's mother, which would make her a half-blood. Okay, that's interesting! Now Henri is motivated to understand Iruma for other reasons, and that's good!
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kitty-systeme · 2 months
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Le TDI c’est quoi ?
C’est un trouble d’origine traumatique qui se développe dans l’enfance, à cause de traumatismes vécu graves et/ ou répétés et qui empêche le bon développement d'une étape cruciale durant l'enfance.
Il se caractérise par la présence de plusieurs identités / alters dans un corps.
Il y a d’autres symptômes comme la dissociation, la reviviscence de traumatismes, les flashback, des pensées suicidaires ou d'automutilation, une sensation de perte de contrôle, et beaucoup de symptômes comorbides à la dépression et à l'anxiété.
Pourquoi et comment le tdi ce crée :
Le TDI se développe suite à des traumatismes graves et/ou répétés dans l’enfance avant 7/9 ans.
Vers l’âge de 9 ans, chez une personne « normale » le cerveau intègre les différentes parties de la personnalité de l’enfant.
Mais chez une personne comme nous, vers l’âge de 9 ans les différentes parties ne s’assemblent pas et grandissent chacun de leurs côtés.
Et ils deviennent des alters (États Alternatifs de Conscience)
Les alters :
Les alters sont plusieurs personnes différentes, avec leurs propres goûts, souvenirs, émotions, capacités, perception du monde...
Et d'ailleurs, l'ensemble des alters d'un corps s'appelle un Système.
⚠️ On dit identité et non personnalité, nous sommes des identités à part entière⚠️
Notre système :
Nous sommes actuellement 62 alters conscientisés.
Le corps a 19 ans et l’hôte a 20 ans (Louane)
Il y a 9 Littles (enfants), 40 femmes (environ), 11 hommes (environ), 15 alters Introjects, 10 alters non- humains (ils peuvent être démons, animaux, Lune (par exemple))
Si vous avez des questions n’hésitez pas 🥰
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jfcapricorne · 6 months
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L’histoire de mes Ocs:
Jimmy Doug est un musicien plutôt connu dans son quartier. Comme à son habitude, il emprunte la même ruelle sombre pour se rendre à sa répétition, mais ce jour-là un groupe d’individu bloque son chemin.
En face de lui, des chasseurs de démons sont en train d’exorciser un démon nommé Andras.
Jimmy se retrouve alors au mauvais endroit au mauvais moment et l’âme du démon se divise en deux : une partie restée dans son corps originel, l’autre s’abritant dans le corps de Jimmy. Andras, ne possédant plus qu’une moitié de son âme est alors affaibli, Jimmy lui doit faire face à cette nouvelle partie de lui. Les deux doivent apprendre à se connaître, pour réussir à reprendre leurs formes originelles.
English: The story of my Ocs:
Jimmy Doug is a rather well-known musician in his neighborhood. As usual, he takes the same dark alley to go to his rehearsal, but that day a group of individuals blocks his way.
In front of him, demon hunters are exorcising a demon named Andras.
Jimmy then finds himself in the wrong place at the wrong time and the demon’s soul is divided into two: one part remained in his original body, the other entèrent in Jimmy’s body. Andras, having only half of his soul, is then weakened, Jimmy has to face this new part of him. Both must get to know each other, to succeed in regaining their original forms.
I think I’m going to redo their chara one day or another. I’m not yet satisfied with their design but it’s a beginning
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lecameleontv · 3 months
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En tant que psychiatre, Sydney étudie les comportements humains, et s'est spécialisé dans celle : - des jumeaux; ... - du caméléon Jarod.
Sydney : “Avez-vous pris en compte les conséquences psychologiques ?” (Téléfilm n°2.)
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La génétique (du grec genno γεννώ = donner naissance) est la science qui étudie l'hérédité et les gènes. Une de ses branches, la génétique formelle ou mendélienne, s'intéresse à la transmission des caractères héréditaires entre des géniteurs et leur descendance.
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Les jumeaux dizygotes sont dit « faux jumeaux » dans le sens où ils n'ont pas la même apparence. Les monozygotes sont dits "vrais jumeaux" dans le sens où ils la même apparence. Les jumeaux sesquizygotes est un état intermédiaire entre des jumeaux issus d’un même œuf (monozygotes) et des jumeaux provenant de la formation de deux œufs différents (dizygotes) : ils ne se ressemblent pas et l'ADN paternel a une double origine (deux spermatozoïdes du même père). Ils sont dits semi-identiques.
La gémellité triangulaire est une psychopathologie du lien gémellaire. Les études psychanalytiques sur la gémellité s’accordent en effet pour évoquer/illustrer les risques intrinsèques à cette situation spécifique. Ceux-ci se cristallisent autour de l’indifférenciation du Moi de chaque jumeau, l’identification étant réciproque et aboutissant à des limites du Moi aux contours imprécis. Cela accentue la difficulté du travail d’individuation et de séparation entre la mère et le jumeau, et dans cette perspective, la capacité d’évolution.
Les relations précoces mère-enfants sont marquées par la désaide de chaque enfant confronté au renforcement de l’écart entre ses désirs et la réponse maternelle. Or, pour chacun des jumeaux, sa place est déjà prise, et le sentiment d’abandon et d’impuissance sont décrits comme des parts essentielles du vécu gémellaire. L’angoisse de perte et de séparation (avec la mère Objet) paraissent donc surdéterminés par la présence du double haï (par narcissisme), empêchant d’être tout à fait unique, ajoutant une blessure narcissique supplémentaire (Jacob/Rebecca/Essaü). C’est en même temps cette situation de détresse initiale et d’omniprésence du jumeau qui les pousse l’un vers l’autre. Dans la gémellité, la présence du double incarné intrique la violence à l’envie et tend vers l’indifférenciation psychique.
Ainsi, en même tant qu’il constitue la cause de la souffrance, le jumeau devient celui qui peut empêcher la confrontation à l’absence de la mère-objet, et devenir ainsi, en couple, une source de satisfaction de désirs dans la complémentarité. La présence de l’autre avec lequel un échange permanent est possible évite l’épreuve de la frustration telle qu’elle est vécue par l’enfant unique.
Broots : “[…] retrouver ses origines relevait de l'obsession.” (Téléfilm n°2.)
La relation gémellaire devient alors un refuge aliénant.
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Le mythe maya fondateur
Selon la légende “Popol Vuh" traduit par les ‘jumeaux héros’, deux frères descendent dans le monde souterrain pour venger la mort de leur père.
Mlle Parker : “Elle ne cherchait qu'à protéger son père de ses démons… en sachant que son acte lui couterait la vie.” (TVfilm n°2)
Les premiers fils de Uno Hunahpu, les jumeaux Uno Mono et Uno Artesano, sont devenus les mécènes de tous les arts, y compris l’écriture... Clin d'oeil aux scénaristes Javier Grillo-Marxuach et Juan Carlos Coto , ainsi qu'aux autres créateurs artistiques de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender) ?
Quelque temps plus tard, Un et son frère Sept Hunahpu, ont procréé ensemble une autre paire de jumeaux appelée Hunahpú et Xbalanqué, dont la mère était Xkik’, fille du Seigneur des Enfers.
Téléfilm n°2 : L'Antre du Diable / Island of the Haunted (2001)
Leurs aventures se racontent selon 2 scénarios (simulations ?) :
La surface de la terre ;
Les enfers : le Xibalba.
Les héros passent de la surface de la terre aux enfers et vice-versa. Ces mouvements, avec ceux des autres participants aux histoires, préfigurent les mouvements du Soleil, de la Lune, des planètes et des étoiles.
A la fin de la saga, Hunahpú se lève pour devenir le Soleil et est suivi par Xbalanqué, qui joue le rôle de la pleine Lune.
La première rédaction de ce mythe date de 1550 avant J.-C environ et constitue le livre sacré autochtone de la civilisation Maya, apparue 3000 av. J.-C. Les Mayas ont utilisé l’art hiéroglyphique sur de longs rouleaux d’écorce d'Amate, un arbre sacré des Mayas, très semblable au papyrus égyptien. Ces rouleaux mesuraient environ 7 mètres par 20 centimètres, reliés par des cordes. Les glyphes ont été complètement détruits par les colons, qui ont évincé les scribes mayas et procédés à des autodafé automatiques, et n'ont été redécouverts qu'au 19ème siècle.
Sydney : "Je crois qu'il cherche à me transmettre un message, et ce livre contient la solution." (Ep. 1.04)
" Voici les Rouleaux... Ils ont été volés !" (Téléfilm 2 - L'Antre du Diable).
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La légende “Popol Vuh" aborde également la façon dont la connaissance a été transmise aux humains, en utilisant la métaphore de la flamme, comme dans la mythologie grecque avec Prométhée (Le Centre ?) et la flamme (Jarod ?) donnant le feu (simulations de Jarod ?) à l’humanité.
D'autres similitudes existent avec des mythes Sumériens, Celtes et Égyptiens.
La mythologie grecque
Les légendes grecques recèlent de nombreux jumeaux, y compris allégoriques (= frères d'armes/de périples).
Le Dieu Zeus et Antiopé, femme du roi Lycos, donnent naissance aux jumeaux Amphion et Zéthos. Furieux, le roi Lycos ordonne qu'on abandonne les nouveaux-nés dans les montagnes du Cithéron pour qu’ils y périssent, puis répudie et emprisonne Antiopé.
Ils sont cependant sauvés par des bergers. En grandissant, Zéthos développer des qualités pour le sport, alors que son jumeau Amphion développe une passion pour la musique, au point d'être remarqués par Apollon ou par Hermès. Ce dernier lui offre une lyre, dont le son couplé à ses paroles harmonieuses, font mouvoir les pierres et les mener là où il le veut.
"Il existe des êtres doués d'une intelligence supra-normale ..." (générique)
En apprenant leur ascendance divine, les jumeaux délivrent leur mère, et tuent le roi Lycos et sa nouvelle épouse.
Quant au dieu Poséidon, il donne naissance aux jumeaux Nélée et Pélias de ses amours avec une mortelle, Tyro, qui les abandonnera.
Les jumeaux Acrisios et Proétos sont pour leur part les fils d’Abas, le douzième roi d’Argos. Ils se disputent dès leur gestation dans le ventre de leur mère, jusqu'à la succession de leur père sur le trône d’Argos. Acrisios l’emportera. Son jumeau, Proétos, vaincu et chassé d’Argos, s’en ira régner sur Tirynthe.
Egalement, les jumeaux Eurysthénès et Proclès, sont en compétition pour la royauté à Sparte.
Léda (Hélène de Troie) accouche de deux paires de jumeaux, les garçons Castor et Pollux, et les filles , Hélène et Clytemmestre, de deux pères différents : Zeus, déguisé en cygne, puis son époux humain Tyndare, la même nuit. Dès le 8ème siècle av. J.-C, les grecs en avait le culte. A la mort de l'humain Castor, Zeus permet à Pollux, son fils immortel, de rejoindre pendant 6 mois son jumeau, puis inversement, pour partager ensemble la gloire olympique des Dieux.
Héraclès (Hercules) et Iphiclès sont jumeaux, nés d'Alcmène et du Dieu Zeus déguisé en Amphitryon, le mari d'Aldmène.... Ils ont partagés ensemble beaucoup d'aventures et leurs dons étaient complémentaires. Entre autres, Héraclès est le père des jumeaux Alexiarès et Anicétos.
Les Mycéniens décident, sur les conseils de l’oracle de Delphes, de remettre le pouvoir à l’un des deux fils de Pélops : des jumeaux, depuis longtemps réfugiés dans la fabuleuse cité "riche en or", Atrée et Thyeste. L'ainé, Atrée, possède un mystérieux agneau à la toison d’or, considérée comme l’emblème de la monarchie, et est l'époux d’Aéropé, petite-fille de Minos, fondateur de la royauté crétoise. Thyeste, le cadet, est le voleur de cette même toison et l’amant d’Aéropé. Le peuple choisit d’abord Thyeste qui brandit le trophée symbolique dérobé avec l’aide de sa maîtresse. Mais Zeus lui-même accomplit un prodige en faveur d’Atrée : le soleil et les astres reculent dans leur course pour se coucher à l’est. Thyeste abdique et s’exile, Atrée devient roi. Cependant sa démesure compromet rapidement sa légitimité. Thyeste, rappelé à Mycènes sous prétexte de partager le pouvoir, se voit alors offrir en ragoût ses trois fils massacrés par Atrée, alors même qu’ils avaient tenté de trouver refuge auprès de l’autel de Zeus.
Mlle Parker : “comment peut-on tuer toute sa famille pour l'appât du gain et le pouvoir ?”
Jarod : “Pose plutôt la question à ton père.” (Téléfilm n°2)
Lorsque Thyeste comprend quelle nourriture monstrueuse il a avalée en découvrant les têtes coupées de ses enfants, il accable son frère de malédictions et s’enfuit.
Sydney : “Terribilis est locus iste. […] Des atrocités ont eu lieu ici.” (Téléfilm n°2)
Calaïs ("celui qui souffle doucement") et Zétès ("celui qui souffle fort"), dits les "Boréades" sont les géants jumeaux de Borée (= le vent du Nord) et d'Orithye (=Chioné), la fille du roi d'Athènes Erechthée. Inséparables, à l'adolescence, des ailes rougeoyantes et sonores poussent sur leurs tempes et leurs pieds, ou dans leur dos. Ils participent à l'expédition des Argonautes, menée par Jason, sur le navire Argo qui fait une halte sur les côtes de Mysie. Hylas, l'un des matelots, descendu à terre pour puiser de l'eau, s'égare. Héraclès, qui l'aime beaucoup, part immédiatement à sa recherche. Le temps passe et les matelots, restés à bord, perdent patience. Les Boréades sont de ceux qui jugent préférable de repartir sans Héraclès. Après l'expédition, ils payent de leur vie cette décision. Le héros les tue à Ténos, entasse ensuite de la terre sur leurs cadavres, puis édifie sur le tertre deux colonnes dont l'une vibre au souffle du vent.
Mlle Parker : “Ce sont des esprits supérieurs mais tôt ou tard ils font des erreurs bêtes.” (Ep. 1.02)
Acrisios et Proétos, Autolycos et Philammon, Télédamos et Pélops II, Pélias et Nélée, Éole et Boéotos, Agénor et Bélos, Lycastos et Parrhasios, Pégase et Chrysaor, Eurysthénès et Proclès,
Les jumeaux Eurytos et Ctéatos (les Molionides),
Les jumeaux Otos et Éphialte (les Aloades ou Aloïdes, nés de Poséidon et d’Iphimédée) sont 2 géants qui décident de prouver leur supériorité sur les Dieux.
Le mythe de la Fondation de Rome
Les jumeaux Romulus et Rémus sont nés d'un amour interdit entre le Dieu Mars et Rhéa Silvia, condamnée au célibat et à la chasteté en entrant dans l’ordre des Vestales (Téléfilm n°2 - L'Antre du Diable) devenant ainsi prêtresse de Vesta, sur ordre de son oncle, Amulius, qui voulait punir son frère, Numitor, dans un conflit de succession.
Amulus décide alors de jeter les jumeaux nés dans les eaux du Tibre en crue. Le flot dépose leur berceau en osier, au pied du mont Palatin, et leurs cris attirent une Louve qui décident de les allaiter, leur sauvant ainsi la vie. Plus tard, les jumeaux sont adoptés par un couple de bergers. 
Après avoir vengé leur grand-père en le remettant sur le trône, à l'adolescence, Romulus est désigné par le Ciel pour fonder une ville là où avec son frère ils ont été miraculeusement sauvés. Mais ce dernier est jaloux de ne pas avoir été désigné le Roi et fondateur de la ville, et Romulus doit le tuer pour que les règles soient respectées. Ainsi née Rome (Le Centre ?), futur Empire en Méditerranée.
Les problèmes d’origine et de fondation étaient centraux dans la pensée grecque.
Broots : “[…] retrouver ses origines relevait de l'obsession.” (Téléfilm n°2 - L'Antre du Diable)
Dans le ciel, Castor et Pollux (Grece) et Romulus et Rémus (Romains) sont représentés par la constellation du zodiaque des Gémeaux (Gemini), traversée par le Soleil du 22 juin au 20 juillet, dont le signe astrologique est ♊︎.
En Sicile, les Paliques (="qui reviennent à la lumière") sont de très anciennes divinités jumelles, chtoniens, liés au volcanisme.
« Ils reviennent des ténèbres à la lumière du jour. » - Etna, d'Eschyle.
Le mythe pré-chrétien slave et balte
Les Dieva dēi sont des jumeaux célestes et les enfants du dieu suprême Dievs.
Les Alcis (en grec Raos et Raptos) sont deux divinités jumelles vénérées par les Naharvales, peuple germains (Goths) faisant partie de la population balte des Lygiens.
chez les Ossètes, Æxsært et Æxsærtstæg ;
Le mythe chrétien : l'Apôtre Thomas
Fête de la St Thomas : 03 juillet Signe particulier : son incrédulité
L'Apôtre Thomas est appelé Didyme, soit le Jumeau... le jumeau du Sauveur car parfait (il est le 1er en Jésus « son Seigneur et son Dieu »), et la perfection est le jumeau du Sauveur, tel que c'est expliqué dans le 'Livre de Thomas'.
Il a cet échange avec Jésus lors du dernier repas : - Thomas : "Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment saurions-nous le chemin?" - Jésus : "Je suis le chemin, la vérité et la vie."
Le proverbe populaire dit "Je suis comme St Thomas, je ne crois que ce que je vois" : l'Apôtre pose beaucoup de questions et a ses doutes.
 Son tombeau se trouverait dans la basilique de Saint-Thomas de Chennai, en Inde, car il aurait évangélisé l'Inde du Sud en fondant l'Eglise Indienne.
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Le mythe oriental ancien / védique
Le symbolisme gémellaire permet d’écrire l’histoire et de l’interpréter, dans ses bibarités, ses doubles réalités, et ce dans un langage élaboré.
Le symbolisme des jumeaux permet de superposer un discours sur « la crise des différences » (cf. R. Girard), donne des pistes à l’homme pour survivre alors qu’il est en danger d’une identification mortelle, (soit avec la divinité soit) avec lui-même. Appliqué à un héros (Jarod), ce symbole traduit son itinéraire d’initiation (les découvertes), par création d’espaces et passage des lieux interdits (hors du Centre).
Les Ashvins/Aśvin ou Nāsatya, dit "Les Cavaliers de l'Aurore", sont la forme ancienne des dieux Jumeaux dont la chevauchée annonce le lever du Jour. Ces jumeaux célestes sont également thaumaturges, c'est-à-dire « médecins des hommes et des dieux », et « maîtres en savoir », principalement dans l'art, la musique, l'agriculture et l'élevage de chevaux.
Nakula et Sahadeva sont les enfants jumeaux de Madri, la seconde épouse de Pandu. A cause d''une malédiction, Pandu ne pouvait pas avoir d'enfants, donc son épouse Madri a partagé un mantra offert par le Sage Durvasa pour être mère tout en restant vierge, avec les dieux Jumeaux Ashvins/Aśvin. Cela n'empêcha pas Pandu, le père, de succomber à sa malédiction, et Madri, la mère, de se suicider par culpabilité...
Mle Parker : “Une seule chose reste incompréhensible pour moi … pourquoi est-elle allée dans un ascenseur … ? Un ascenseur, ça monte, ça descend… Mais ça ne va nulle part… C'est très petit une balle de 9mm mais celle-là a changé ma vie.” (Ep. 1.02)
Exilés à la fin de leurs vies avec le reste de leur fratrie, ils partirent à la recherche du paradis, mais les jumeaux moururent avant de le trouver, car Nakula était trop vaniteux de sa beauté physique, et Shahadeva, trop fier de sa sagesse.
On retrouve ainsi le thème de la fraternité et de la paternité traité en fil rouge dans la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender). Ainsi que le thème de l'Identité, contextualisé dans son environnement extérieur et intérieure : "Qui êtes-vous ?".
ceux de Tamar et de Judah (Yéhoudah), Perets et Zera’h.
leurs projections épiques du Mahābhārata ; les Aśvin ou Nāsatya védiques, avec leurs projections épiques du Mahābhārata, Nakula et Sahadeva
Le mythe asiatique
A la fin du 17ème siècle en Chine, Kangxi est le quatrième empereur de la dynastie Qing. Les immortels jumeaux « ho-ho » sont alors des statuettes masculines très en vogue : des figurines représentant 2 frères sont ainsi nommées de deux mots dont l’un signifie “concorde” et l’autre “union” ; ils sont les symboles de la bonne entente et de l’harmonie, le porte-bonheur chinois. L’un porte un nénuphar, l’autre une boite ronde. Ils peuvent aussi représenter la divinité de la richesse.
Dans la culture Khmer (Ep.), il existe les tigres jumeaux, soit Suea Koo, symbolisant la combativité et la résistance. Graphiquement, ils sont souvent entourés de phrases en Pali formant une demi-lune, symbolisant la lumière qui guide notre chemin dans l'obscurité.
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Le mythe astral
Shamar, étoile du matin, et Shalim, étoile du soir.
Les jumeaux principaux dans la série : - Zoey; - 'Thomas' - Jacob.
Bernie/le King/convoyeur anonyme; Marylin Monroe/Norma Jean (1.04) la part de l'innée et de l'acquis / le jumeau ( 1.16) : ... 3.06 "Si Dieu est mort, nous l'avons tous tuer" (2.08) : ... clone naturel (3.20) : ...
La symbolique de la Gémellité consiste à voir la victoire du Héros sur lui-même, illustrant l'existence des combats universels, des affrontements (ouvrir/fermer les portes) intérieurs.
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A savoir : le prénom Jarod vient de l’hébreu Yared, qui signifie « Dieu fera descendre ». Dans la Genèse de l’Ancien Testament, Jarod est le sixième patriarche qui succéda à Adam. Il est le père d’Hénoch et le grand-père de Mathusalem. Il aurait vécut jusqu'à 962 ans. La Saint Jarod est célébré le 25 juin.
Quant à Craig Van Sickle, il y a des jumeaux dans sa famille et il a voulu retranscrire cette réalité fictivement dans la série.
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sources : 1001mythes.net, anticstore.com, P.M. Bogaert, cosmovisions.com, courrierinternational.com, experiencesmexique.com, florian Houssier, geo.fr, R. Girard, Jacques Poucet, Raymond Kuntzmann, la-croix.com, larousse.fr, lemonde.fr, matricien.wordpress.com, mythologica.fr, Marc Pomerleau, universalis.fr, vietnamdecouverte.com et science.org
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Le personnage de Sydney dans la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender) est interprété par l’acteur Patrick Bauchau.  
Thème affilié : l'Identité -
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D'autres 'jumeaux' : - The Lying Game; -  Pretty Little Liars.
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aurevoirmonty · 6 months
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Le complexe médiatico-politique français évoque les 87% de Poutine en y voyant la preuve que c'était une élection fantoche et courue d'avance parce que la Russie est un régime verrouillé qui ne laisse pas s'exprimer convenablement les oppositions.
Pauvre Russie qui n'a pas la joie de vivre, comme nous, des élections vraiment saines et démocratiques où les médias se contentent d'informer sans interférer dans le processus de réflexion des électeurs par d'interminables campagnes de dénigrement, sans évoquer trente fois par jour le souvenir pourtant lointain des bottes nazies, sans faire croire aux électeurs qu'en dehors du seul candidat qui vaille l'autre est un démon qu'il faut combattre de toutes nos forces sinon le fascisme va revenir et déferler sur nous.
En somme des élections équilibrées où les candidats sont tous traités équitablement, des élections françaises quoi, où les électeurs ne sont soumis à aucune pression des pouvoirs et s'en vont dans l'isoloir l'esprit léger, sans craindre que leur vote risque de faire revenir Hitler, les camps, Drancy, Oradour et Klaus Barbie.
Des élections où le candidat qui a le plus de chances de l'emporter n'est pas la cible d'une campagne judiciaire et médiatique à quelques semaines du premier tour et condamné pour cela à voir son résultat être divisé par deux, permettant ainsi la victoire d'un minet sorti de nulle part à qui les mêmes milieux médiatiques et judiciaires déroulent depuis son élection un tapis rouge qui lui permet de faire tout ce qu'il veut sans jamais être dérangé y compris par les prétendus contre-pouvoirs.
Jonathan Sturel
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