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#La BD à tous les étages
downthetubes · 7 months
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Centre Pompidou in Paris celebrates “The Ninth Art” this summer
This summer, the Centre Pompidou in Paris is to present "La BD à tous les étages" ("Comics on All Levels"), a landmark programme of exhibitions and events celebrating the comics art form, aka “The Ninth Art”
This summer, the Centre Pompidou in Paris is to present “La BD à tous les étages” (“Comics on All Levels”), a landmark programme of exhibitions and events celebrating the comics art form, aka “The Ninth Art”. Organised in all the Centre Pompidou spaces in partnership with the Hélène & Édouard Leclerc Fund, “La BD à tous les étages” is described as an exceptional celebration of the Ninth Art that…
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SAMEDI 3 AOÛT 2024 (Billet 3/3)
Nous attendions les nouvelles sorties cinéma mercredi… mais « nothing », « nada », « niente », « nichts », « niets », « ничего »… RIEN en français !!!
Vu les chaleurs tropicales qui sévissaient ce jour-là à Paris, ne voulant pas marcher trop longtemps, seules nos salles du Pathé Beaugrenelle nous intéressaient et voilà ce qui s’y donnait :  « MaXXXine, un film d’épouvante ; « Garfield », un dessin animé ; « Deadpool & Vilverine », un film Marvel pour ado ou adulte attardé ; « Twisters », déjà vu ; « Moi, Moche et Méchant 4 », un dessin animé ; « To the Moon », déjà vu ; « Le » comte de Monte-Cristo », déjà vu ; « Vice-Versa 2 », un dessin animé, déjà vu… et « Largo Wintch : Le prix de l’argent ».
Ce dernier, un film d’action franco-belge qui aurait pu s’appeler « Largo Winch 3 », faute de grives, était susceptible d’intéresser JM même s’il n’avait pas vu les 2 premiers. De fait, il a d’abord réservé sa place sur l’application Pathé puis, un peu plus tard, ayant découvert les mauvaises critiques de la Presse et des Spectateurs sur le Site « Allo Ciné », il a annulé. Après le déjeuner, n’ayant rien à faire de son après-midi, il est retourné sur « Allo Ciné » et a remarqué que certains grands journaux, comme Le Figaro, s’ils ne l’ont pas encensé, ont quand même relevé 2 ou 3 petites choses qui faisaient qu’on pourrait peut-être aller voir ce film.
C’est ce qu’il a fait. Au bout de 8-10 minutes de projection, il a failli se lever pour partir mais, comme il faisait bon frais dans la salle et n’ayant pas envie de retrouver la chaleur du dehors, il est resté jusqu’à la fin. Peut-être s’est-il endormi 1 ou deux fois… ce qui, pour un film d’action, avouez-le, est quand même un comble !!!
Vous trouverez ci-dessous l’avis d’un critique qui dit tout le mal qu’il en a pensé et résume bien celui de JM.
Il lui donne ❤️ sur 5. « 1 cœur » uniquement pour les beaux plans filmés en Thaïlande et dédie ce Billet à Pierre (L.) venu lundi dîner à la maison avec sa compagne, notre amie Diane (H. de S.). Ils en avaient parlé, il avait entièrement raison !
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« LARGO WINCH : LE PRIX DE L’ARGENT » (1h40)
Un film d’Olivier Masset-Depasse, avec Tomer Sisley, James Franco, Clotilde Hesme, Élise Tilloloy…
Treize ans après le deuxième épisode – et un beau bide, à peine 600 000 entrées – voici donc le troisième volet du justicier milliardaire. Sous-titrée avec inspiration Le Prix de l’argent, on ne peut pas dire que cette suite n’annonce pas la couleur : il s’agit avant tout de faire tourner la machine à cash. Et de relancer un acteur qui n’a jamais rien fait d’autre que cette adaptation encore plus plate que les planches de la BD…
Tomer Sisley, 49 ans et des heures interminables passées en salle de muscu, n’a strictement rien à jouer dans Largo Winch, et il le fait très bien ! Comme les pompes devant les gratte-ciels de Bangkok. En bon yesman, le nouveau réalisateur belge Olivier Masset-Depasse l’a bien compris : il exhibe son torse nu galbé dès le premier plan. Et comme il y a une tradition de bogosse dans « Largo Winch », c’est James Franco – qui manifestement lui non plus ne savait plus quoi faire au cinéma – qui va jouer le méchant.
On a dû mettre du collyre dans les yeux de Tomer Sisley : il a les yeux embués dès qu’il parle de son fils, kidnappé dans la jungle thaïlandaise. Pour le reste, on se marre doucement quand on voit James Franco sous sa capuche essayer d’effrayer avec son tue-moustique. Il pourrait concourir au rôle de méchant le moins méchant de l’histoire du cinéma. Et on se pince quand on voit Clotilde Hesme, comédienne militante quand il s’agit de jouer récemment Hamlet en femme au théâtre, venir cachetonner dans le plus ringard des divertissements « à la papa ».
« Largo Winch, Le Prix de l’argent », le nanar de l’été !
La critique du capitalisme financier dans un film qui pue le fric à tous les étages n’est pas plus crédible que le switch final (pitié pas de suite !). Et la pauvre Élise Tilloloy sert de caution-potiche en influenceuse écolo aux 10 millions de followers, qui fait la leçon à la terre entière avec un accent québécois à couper au couteau. Y parviendra-t-elle ? Ne vous inquiétez pas, rien n’est crédible dans cette franchise à bout de course, résumée dans un final lénifiant par ces mots : « Tout était un accident ». Visiblement, même le film.
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nunc2020 · 2 months
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afnews7 · 4 months
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Corto Maltese ospite d’onore al Centre Pompidou di Parigi!
c.s.: Una grandissima mostra dedicata alla storia del fumetto  dal 1964 a oggi allestita su tutti i piani del museo.  Ci siamo: un intero museo completamente occupato dai fumetti. I 6 piani del Centre  Pompidou di Parigi celebrano i 60 anni della “band dessinée” dal 1964 al 2024.  Con la mostra “La BD à tous les Étages” (“I fumetti su tutti i piani”) dal 29 maggio al 4  novembre viene aperta…
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hameaudelagrange · 2 years
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Gazette de Décembre 2022
Gazette de Décembre 2022
Bonjour à tous, Nous voilà arrivé à la fin de l’année. Il faut donc penser dès à présent à l’assemblée générale de 2023. Assemblée Générale : Celle-ci aura lieu le 10 mars 2023 à 19 heures au même endroit que d’habitude (Bd DUCHER – 1er étage). La présentation des comptes se fera le vendredi 03 février 2023 entre 18 et 19 heures au LCR. N’oubliez pas de déposer vos demandes de travaux dès à…
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tayebot · 4 years
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10 ans - Le Nuevo Che
Cette histoire de Corona Virus aura d'abord repoussé la rédaction de ce billet avant de me fournir de manière un peu inattendue de nouvelles plages de temps libre, imprévisibles, brèves, et appréciables.
Tu vis cette histoire de confinement avec circonspection, conscient que nous sommes mieux lotis que tes cousins en France, que tout cela est nécessaire mais quand même un peu chiant. Parce que tu dis des gros mots, maintenant que tu as un âge à deux chiffres, passage d'un cap dont tu te rengorges. Je me doute bien que tu en proférais déjà, je ne suis pas dupe, mais il y a une nouvelle assurance en toi dans tes franchissements de ligne rouge. Tu testes l'avenue vers l'adolescence, tu as des impatiences de grandir qui m'affligent. Je voudrais te figer à cet âge.
Nous jouons à Spiderman sur la PS4 que tu voulais pour cet anniversaire. Tu m'apprends les combos, tu m'expliques le scénario, les rebondissements. Tu m'as convaincu de créer une chaîne YouTube pour ta soeur et toi, encore en mode privé, parce que "c'est de ton âge, être Youtubeur". Tu veux toujours être footballeur professionnel mais tu ne vas plus aux entraînements du samedi matin parce que le coach est trop sévère. Ton ballon d'or, il n'est pas gagné, fiston.
Impossible de savoir si tu taquines davantage ta sœur ou si elle te persécute. La position d'aîné te saoule parfois, tu recherches davantage la solitude qu'elle et ce n'est guère évident dans notre maison de ville verticale. Pour des raisons logistiques, tes vêtements sont stockés dans sa chambre – tu tombes un soir sur deux dans une embuscade hurlante et les panonceaux t'interdisant tout accès à son domaine se multiplient sur sa porte.
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Elle pousse le vice jusqu'à venir t'emprunter le scotch pour bien sécuriser le septième en date. N'empêche que tu lui proposes toujours de dormir dans ta chambre et qu'elle accepte un soir sur deux.
Tu es très à cheval sur les règles et sur la justice. Mes montées de lait soudaines t'exaspèrent parce que ne s'appuyant sur aucun cadre juridique agréé à l'avance par les parties. La Cour de Justice européenne ne tardera pas à être débordée par tes requêtes en nullité de punitions et je prendrai cher, je le lis dans tes yeux. Tu maugrées, tu boudes, tu fais des bruits bizarres avec ta bouche quand je t'oblige à travailler le journal de la quarantaine, le Grand Œuvre de l'Ere Covid 19 que tous les instits du monde ont imposé aux moins de douze ans de cet hémisphère.
L'arrivée du chien a nourri ta maturité. Tu t'es positionné comme le premier défenseur de l'espace vital du chat (à savoir le premier étage) et comme le garant de la charte du chien que nous avons tous signée. Tu le promènes dans le parc en face mais tu refuses qu'on le détache - et tu n'as pas tort parce que ce chiot n'a pas encore exactement démontré son intelligence. Tu as tenté de l'éduquer et à force de s'entendre dire "Non" elle croit que c'est son nom. Elle ne vient pas quand on l'appelle. Toi non plus, d'ailleurs, et je m'époumone à te faire descendre pour les repas.
Il y a du bon dans ce confinement : nous passons davantage de temps ensemble, et même parfois sans avoir ta soeur aux basques. Nous nous baladons rien que tous les deux en vélo, nous jouons au Risk édition Games of Throne ou à Ganymede, nous regardons des films qui font un peu peur. Je vous scolarise à domicile, et je suis loin d'être la bonne personne pour cela. Cela me permet quand même de découvrir une facette de ta personnalité dont j'ignorais tout : ton côté cossard, partisan du moindre effort et de la procrastination nonchalante. L'effort intellectuel, ce n'est pas ton truc. Voilà à quoi mène cette école de hippies (dont les instructions officielles pour cette période de confinement sont: observez le printemps, dessinez les arbres, constituez un herbier et plantez des graines – tout ça entre deux visio-conférences et trois fils de discussions sur WhatsApp et Messenger, bien entendu).
Le groupe WhatsApp des parents des élèves de ta classe, c'est le pire. Une espèce de concours de la parentalité parfaite se déroule à grand renfort de photos d'œuvres d'art en rouleaux de papier toilette (voilà donc où ils sont passés), d'affirmations positives et d'exagérations imprécatoires. A la fin de cette deuxième semaine de quarantaine, je peux te l'affirmer : ce confinement est à deux vitesses. C'est un confinement de classes et nous ne sommes tous pas égaux face au huis-clos. Je ne supporte plus d'entendre les radios nous recommander des livres, des séries sur Netflix ou des abonnements à l'excellent site de la Cinetek. Je n'ai le temps pour rien et je maugrée sans cesse contre les abus d'autorité dont s'enivrent les gardiens de square du parc Guy George, en face. Tu m'entends recommander à tous de relire l'Enfance d'un chef, de Sartre, plutôt que la Peste, de Camus – ce qui est un comble tant je préfère Albert à Jean-Paul.
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Tu n'aimes pas particulièrement lire. De temps à autre, je parviens à t'intéresser à une BD, mais ça ne dure pas. Nous t'avons interdit de Fortnite. Tu as aimé La Chèvre et tu voudrais voir d'autres comédies françaises. C'est pas de bol : l'Apple TV est en rade. Tu as plein de copains et ils te manquent, malgré les Facetime, les Skype et les Zoom. Tu as dix ans et c'est le plus bel âge de ta vie.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, neuf ans (mais je n’ai rien posté).
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans (mais je n’ai rien posté), sept ans.
Le FILF a eu quarante-cinq ans.
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lisartemis · 5 years
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Culture, élitisme et manque de temps
samedi 23 novembre : journal de bord #4
Je réalise que ma vie n’est pas bien passionnante, et ce précisément à cause du motif de ce blog : l’hypokhâgne. Je n’ai pas le temps, de rien, c’est assez terrifiant. 
À l’heure où j’écris ces mots, je sors de cinq heures de DS d’histoire, je suis épuisée mais je commence à m’habituer à ce rythme infernal des DS du samedi. Je suis dans le train pour rentrer chez moi (étonnement, il grince), et je maudis ce temps perdu à ne pas pouvoir travailler. J’ai une khôlle de latin lundi, un contrôle de latin vendredi, un « mini-mémoire » à rendre en histoire, les Méditations métaphysiques de Descartes à lire, sans compter les contrôles hebdomadaires d’anglais et d’espagnol. Est-ce que la prépa va me donner une mentalité capitaliste, en recherche insatiable de temps et d’efficacité ? 
Je n’aime pas ça du tout. Je suis venue parce que j’aime lire et écrire, résultat : je n’ai plus le temps de faire ni l’un ni l’autre. Quelle vie. 
Il va falloir que je me force à prendre du temps pour moi, à côté de la prépa. J’ai le sentiment que je n’ai le temps de rien, et pourtant il faut bien continuer à vivre à côté. Pour me forcer à sortir, j’ai commander une dizaine de livres et de bande-dessinées féministes. Ça m’a fait un bien fou, d’acheter des livres tout en sachant qu’ils n’étaient pas pour la prépa. Pardon Descartes, tout ce que tu racontes est brillant, mais il faut avouer que la lecture de traités philosophiques n’est pas la chose la plus passionnante du monde. Honnêtement, je ne sais pas si j’aurai le temps de lire tout ce que j’ai acheté, mais ça me rend heureuse d’avoir de nouvelles bandes-dessinées. C’est peut-être un vague acte de  rébellion : on nous recommande tout un tas de classiques, d’essais d’histoire et de philosophie, et moi, je me dirige vers les ouvrages avec les images. Je suis certaine que mon prof de lettres (génial, au demeurant) verrait ça comme une perte de temps incommensurable. Si un livre n’est pas écrit en police 9 avec des phrases plus longues qu’un rayon d’archive, est-ce un vrai livre ? (j’exagère : bien que méprisant, il est trop intelligent pour avoir un avis si grossier)
J’ai parfois un peu du mal avec la mentalité élitiste de l’hypokhâgne, alors que je peux moi-même me comporter comme la pire des poseuses, à lire Racine sur la plage en jugeant ceux qui s’en tiennent à Musso. À coté, Harry Potter est encore ma saga préférée et je lis toujours des livres pour enfants - j’aime être paradoxale. 
Je me souviens d’une fille qui, en parlant de ce genre de “littérature de bas-étage”, avait déclaré “vous dites lire pour vous vider la tête, mais il faudrait déjà qu’il y ait quelque chose à vider”. J’ai trouvé ça d’une violence incroyable. N’ai-ce pas déjà formidable, que des gens, sans forcément avoir une culture littéraire, lisent ? Bien sûr, je méprise moi-même les romans de type After ou Fifty Shades of Grey, pour autant, je ne méprise pas les gens qui les lisent. Après tout, j’ai moi-même une culture très approximative : le dernier film que j’ai vu au cinéma c’était Joker (ne croyez pas tous ces gens qui vous le vendent comme une oeuvre d’une profondeur incroyable, c’est pas mal mais ça ne casse pas trois pattes à un canard), je regarde actuellement Friends et je viens d’acheter un énorme tas de BD. Je suis d’avis que la culture, aussi enrichissante et passionnante qu’elle peut être, peut aussi, parfois, se contenter d’être divertissante. 
Ce billet est un peu confus, il faudra que j’en refasse un au sujet de l’élitisme littéraire, bien construit et argumenté cette fois. C’est un sujet passionnant, ça me désole de simplement balancer mes idées en vrac. Mais je n’ai pas le temps - la boucle est bouclée, on en revient au début de cet article, merci l’hypokhâgne.
Sur ce, je retourne lire les Méditations métaphysiques et réviser mon latin 
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lalignedujour · 5 years
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Il lit les BD comme il lit un roman. Sans les images.
Je lis les roman comme je lis les BD. Avec des images. Une par phrase. Des points de fuite dans tous les sens. Des traits qui sortent un peu de la case, que je décide souvent de ne pas suivre.
On persiste à se recommander mutuellement des livres et des BD. Il lit les miens en un après-midi. Les siens font la queue sur un étage dédié de ma bibliothèque.
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📙 📺 A Discovery Of Witches, Episode 7 📺 📚
Un avis parmi tant d'autres...
Je n’arrive pas à croire que nous arrivons déjà à l’avant-dernier épisode… Et il reste tant à explorer ! Quelle idée d’avoir un format aussi court… Une chose est sûre, nous n’allons pas nous ennuyer dans cet épisode en terme d’actions ou de rebondissements !
This house has seen worse.
Les séparations sont particulièrement touchantes, encore une fois plus par les petits gestes que par les dialogues qui sont très informatifs (le combat de Baldwin, la pression des échéances …). On avait déjà vu la tendresse très convaincante entre Matthew et Ysabeau qui se renforce encore ici. Diana, quant à elle, a grandi sans mère et l’on sait dans le livre son besoin d’avoir une figure maternelle que ses tantes n’ont pas pu lui fournir. En l’acceptant dans sa famille, Ysabeau devient aussi sa mère et va s’employer à jouer parfaitement ce rôle. L’effleurement de la joue de Diana, les sourires rassurants et les regards plein de sens traduisent cette nouvelle complicité et l’affection naissante entre les deux femmes. Pendant que Ysabeau et Matthew s’entretiennent, on voit également en second plan les tendres embrassades entre Marthe et Diana. La série n’avait malheureusement pas le temps de s’attarder sur le personnage de Marthe mais je suis heureuse que par ce plan, on sous-entend l’existence de leur relation.
J’aime aussi le long regard scrutateur de Marthe vers Ysabeau lorsque l’hélicoptère s’envole. Que peut-elle bien penser ?
Bishop House
Ça y est, il en est fini de l’introduction de Matthew. ! Comme si en approchant de la fin, le nouveau commencement était déjà à l’œuvre et l’action suffisamment avancée pour que l’on n’est plus besoin de ce contexte ! (Personnellement, j’y aurai mis fin dès l’épisode 4, une fois que Diana avait quitté Oxford et que la phase d’exposition de l’intrigue était achevée).
Nous changeons donc de continent pour arriver à Madison. On sent Diana sereine, presque nostalgique de retrouver la maison de son enfance. On pourrait même interpréter son sourire comme l’excitation d’introduire Matthew dans son propre univers. C’est assez différent du livre car la Diana du livre étant plus réticente sur sa nature de sorcière et en conflit ouvert avec la magie. Elle ne s’est jamais sentie à l’aise à Madison. Elle a d’ailleurs fui cette maison dans laquelle elle étouffe et n’y est pas très attachée puisqu’elle ne s’en sent pas particulièrement l’héritière, la considérant comme celle de Sarah. La Diana de la série est plus en harmonie avec sa nature de sorcière et même ses racines, ce qui explique son enthousiasme à retourner à Madison.
Extérieurement la maison est splendide. Les couleurs, le rendu visuel sont dignes d’une peinture et plante bien l’atmosphère formidable de l’endroit.
La série essaye de personnifier la maison à la hauteur de ce qu’elle est dans le livre. Je suis reconnaissante de tous les efforts qui y sont fait, en brossant par petites touches pour créer une atmosphère globale, notamment avec l’évocation de l’anecdote du 2d étage. J’admire tout le travail de décoration et de détails faits par les équipes (les accessoires, les photos personnelles de l’enfance de Teresa Palmer). Même l’animosité entre Diana et Tabitha est reproduite ! Toutefois, encore une fois, faute de temps, il me manque quelque chose. Je ne sais pas si c’est la faute aux Harry Potter mais la personnification des lieux y est tellement bien réalisée que j’avais imaginé quelque chose d’équivalent, avec des interactions allant au-delà de la porte qui tremble. Et surtout ce qui me manque encore une fois, c’est l’absence des fantômes. Ils sont très importants et présents dans tous les livres, aussi ne jamais les voir ou « sentir » leur présence dénature la maison et son impact. J’imagine qu’un budget serré vient s’ajouter à la contrainte du timing.
Et ce choix va durement impacter la série dans la suite de l’épisode, notamment pour l’introduction de la déesse. Mais nous y reviendrons plus tard.
A Venise, tous les efforts finissent par payer
Au travers de cette brève séquence, on comprend pourquoi les scénaristes se sont donnés autant de mal à développer les personnages secondaires et leur histoire. Autour de ce rassemblement, on comprend qu’un point de tension réel s’installe et que chacun des personnages présents (enfin chacun de ceux que l’on a développé) a un agenda qui lui est propre et des motivations à défendre. Une intrigue parallèle est en cours !
The house likes him fine.
Tout d’abord je dois dire que j’adore le sens des détails dans cette réunion familiale. Si la voiture des tantes n’est pas violette, elle porte tous les signes distinctifs que l’on aime dans le livre. Il y a fort à parier que les stickers connaîtront bientôt un certain succès commercial lors du lancement des goodies. Tout comme le magnifique bonnet que seule Sarah peut se porter sans paraître ridicule.
Puis, Diana sort en trombe de la maison et si nous étions dans une BD, je pense que l’on verrait la fumée sortir de ses oreilles tant sa colère est évidente. C’est un sentiment un peu surprenant que je n’avais pas vu arriver. Tout comme la froideur de son embrassade avec Em.
Le génie de cette scène est de brosser à la perfection en 2 répliques les relations de chacune des tantes avec Diana. Em est la figure maternelle, compréhensive, positive, apaisante, conciliante et tactile. Sarah arrive comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, disant tout haut ce qu’elle pense tout bas (je me demande d’ailleurs si Sarah n’a jamais tu aucune de ses opinions,). Sans bonjour, elle affiche ses préjugés attaquant directement Matthew. Elle ne fait aucun effort alors qu’Em se donne beaucoup de mal pour arrondir les angles.
Puis la scène prend une tournure intéressante. J’apprécie beaucoup le recul que prend Matthew dans la scène. Lui qui contrôle d’ordinaire tout, il a l’intelligence de laisser Diana gérer la situation comme bon l’entend. Il est là, en renfort mais ne prend nullement partie. On voit bien qu’il observe la scène avec intérêt, reniflant les variations d’adrénalines et écoutant les réactions des 3 femmes pour se faire une opinion sur chacune d’elle et sur la situation en cours.
On comprend très vite qu’Em est la gardienne d’un lourd secret puisqu’elle a dû cacher la vérité à la fois à Diana mais aussi à Sarah qui est profondément choquée par la scène et énonce le premier « What ? » d’une longue série dans l’épisode (si vous cherchez un jeu à boire pour pimenter le visionnage de l’épisode, en voici un tout trouvé pour l’épisode 7 !)
La scène est vraiment émouvante car on voit bien la colère mêlée aux larmes de Diana, la détresse impuissante de Em et l’incompréhension irritée de Sarah. Toutes trois jouent merveilleusement. L’indignation de Sarah lorsque Matthew montre son côté protecteur-prédateur est formidable.
Puis la maison se met à parler. Ce n’est pas complètement évident au départ car on ne sait pas s’il s’agit d’un flashback, d’une apparition ou d’autre chose. Toute la séquence qui suit est absolument inédite et est sûrement l’ajout le plus réussi de toute la série par rapport aux livres. Voir Rebecca et Steven vivants, interagir, nous montrer leurs actions et réactions plutôt que nous expliquer par de longues tirades… Ces scènes sont puissantes, émouvantes. On ne peut pas juger leurs actes, on ne peut qu’observer. La scène où Rebecca dit aurevoir à Diana est à fendre le cœur. La douleur, le sens du sacrifice sont clairement visibles pour le spectateur. En tant que parents, on ne peut que se demander ce que l’on aurait pu faire, face à ce choix impossible… Et l’on se dit que, finalement, ce n’est pas un tel avantage que de connaître l’avenir et tout ce qui va arriver de terrible.
J’accorde une mention toute spéciale aux looks années 80 très bien travaillés de Sarah, Em et Peter. Je gage à parier qu’ils ont du beaucoup rire en s’habillant !
Réconforts
Dans une réaction tout à fait logique, Diana s’enfuit pour s’isoler des réactions envahissantes de ses tantes. Matthew la suit à distance et lorsqu’elle en a besoin (son rythme cardiaque ? son adrénaline ?) il vient la réconforter. Il répond à la question qui l’inquiète le plus « What’s wrong with me ? » et la rassure. Toute la séquence est autour de cette connexion, de ce soutien de l’un pour l’autre. Bien qu’ébranlée émotionnellement, Diana voit le lien inextricable entre lui et elle. Ce qui va suivre est éminemment romantique : la déclaration d’amour, le baiser, l’apparition de Rebecca qui vient bénir leur union… C’est très beau… mais ça n’a pas forcément sa place ici.
Diana est sous le choc. Elle vient de voir ses parents, de découvrir pourquoi ils l’avaient ensorcelée, revécu des moments enfouis et difficiles… Elle a le droit d’être faible, elle a le droit d’avoir besoin de réconfort et de tendresse pour verser ses larmes puis les sécher. Le romantisme n’avait pas vraiment sa place ici. Je sais que nous sommes pressés par le temps et qu’il est obligatoire de faire des raccourcis. Mais Diana, même si elle est moins vulnérable dans la série que dans le livre, méritait ce moment d’émotion, de détente et de connexion avec Matthew, au-delà du romantisme des amants.
Et c’est exactement ce qui se passe en même temps dans la maison. Sarah s’effondre, Em la réconforte et s’effondre également. Elles échangent, se reconnectent et se retrouvent. C’est exactement ce qu’il aurait fallu pour Diana. Quoiqu’il en soit la scène entre les deux tantes est magnifique de justesse, de précisions dans le jeu et s’il a fallu faire ici aussi des raccourcis et des résumés, les choix sont les bons et de qualité.
Où Peter est dévoilé
La maison nous l’avait suggéré, Satu nous sort les aveux de Knox. Au-delà de l’aspect très utile de cette conversation qui fourmille de renseignements pour l’intrigue, il est intéressant de voir Satu à la fois dominante de la situation mais vulnérable par son absence de pouvoirs se connecter avec Knox pour établir une stratégie commune. Décidément, le jeu de Satu n’est pas facile à percer et je m’interroge vraiment sur ses motivations profondes. Au début, avec son accession à la Congrégation je la pensais ambitieuse, puis avec Meridiana je l’ai pris pour une féministe voulant se défaire de la domination des hommes et une sorcière persuadée de la supériorité de son espèce sur les autres. Mais ici… je ne sais trop que penser et j’espère que la saison 2 nourrira ce suspens.
La sorcellerie accélérée
S’il y a une chose pour laquelle les scénaristes n’ont pas fait l’économie, c’est l’animosité entre Matthew et Sarah. Comme souve
pànt quand on aime quelqu’un, on veut l’aider à sa manière, chacun étant persuadé d’avoir raison, sans concessions et bien souvent sans prendre la peine de s’assurer si c’est que veut vraiment l’autre. J’aime beaucoup que Diana prenne le dessus de leur querelle et le contrôle de son apprentissage.
Aviez-vous noté la petite phrase innocente de Sarah qui dit à Matthew que les sorts de défenses du grimoire n’ont pas fonctionné depuis plusieurs générations ? J’ai beaucoup aimé cette petite graine semée par les scénaristes pour la saison 2. Mais je ne vais pas spoiler ceux qui n’ont pas lu le livre…
Faute de temps, on voit peu Diana s’exercer à la magie et même si l’on sait que sa relation avec Sarah est particulièrement difficile, on ne peut que regretter que le manque de temps la fasse passer pour une enfant impatiente de ne pas réussir du premier coup à maîtriser des sorts qu’elle n’avait jamais essayés. Mais la scène est efficace : on la voit essayer, échouer, s’énerver … pour préparer la scène suivante !
Où Matthew fait du charme
C’est ce qu’on appelle apprivoiser sa futur belle-mère ! L’échange entre Em et Matthew est incroyable de spontanéité, d’entente et de douceur, ce qui contraste complètement avec ce qui se passe dans la pièce d’à côté. Quand on sait qu’il y a quelques semaines l’un et l’autre se méfiaient des autres créatures, on ne peut qu’apprécier l’ouverture d’esprit dont ils font preuves. Cette scène inédite est particulièrement astucieuse car, en plus de permettre aux personnages de se découvrir, elle permet « accidentellement » de nous apprendre que Steven voyageait dans le temps (c’est pour ça qu’on l’a vu au premier épisode !), qu’il est allé au XVième sièce (spoiler !) et qu’il est très facile de le faire quand on a le pouvoir (on a même la recette). Ce que j’aime aussi, c’est que ce soit Em qui enseigne toutes ces choses à Matthew. Pour une fois, le professeur est l’élève car il ne maîtrise pas le domaine. C’est appréciable de voir que même lui a des limites !
Domenico persifle
Il est très clair dans cette séquence que Domenico et Juliette ont une histoire, un passé commun. Domenico est un personnage très calculateur, qui n’a pas pour l’instant montré son jeu et il est fascinant pour cela. Contrairement à Gerbert qui ment comme un arracheur de dents, Domenico ne ment pas. Il omet seulement de dire les choses à ceux qui ne l’intéressent pas et dit exactement aux gens ce qu’ils ont besoin d’entendre. Lorsqu’il explique que Venise est sa maison et qu’il cherche à la défendre, je le crois car c’était déjà sa motivation lors des guerres l’opposant aux De Clermont. Si l’avis qu’il donne à Juliette sert ses intérêts, ils sont aussi sincères quant à la situation malsaine dans laquelle elle évolue. Quoiqu’il en soit, ce que Domenico a semé chez Juliette est mûr, il va bientôt pouvoir en récolter les fruits.
Argh…. What ?
Quand Sarah devient trop exaspérante et que Diana perd le contrôle… Diana voyage dans le temps ! La scène était largement préparée par les deux précédentes mais la réalisation est bonne et rend les choses plausibles. J’aime aussi que l’on ait une petite démonstration de la connexion sensorielle qui existe entre Diana et Matthew. Il la sent, entend son cœur battre et perçoit sa présence à chaque instant. Belle connexion !
(et normalement dans cette scène, vous devez boire !)
Quand Hamish est la clef
J’aime beaucoup le personnage d’Hamish et dans le livre j’étais beaucoup frustrée de voir ce brillant personnage cantonné à des rôles de clerc et de second violon pour Matthew. Dans la série, on a déjà vu l’influence majeure qu’il a sur Matthew en tant que Jiminy Cricket. Il était temps de découvrir son réel pouvoir dans le monde et celui des créatures. En un plan sur le Gherkin, on comprend qu’il est associé aux puissantes plate-formes de la finance. En un second plan, on voit son immense bureau et l’on comprend qu’il en est l’un des leaders. Dans le livre, les démons ne communiquent pas ou peu. Ici je trouve formidable que l’on voit Agatha venir consulter et chercher de l’aide auprès d’Hamish. C’est tellement logique ! Si l’on connaissait l’agenda d’Agatha vis-à-vis de la protection de sa famille, il est intéressant de voir que sa vision sur le statut des démons converge avec celui exposé par Hamish dans l’épisode 2. Une nouvelle graine est ici semée pour la saison 2 par les scénaristes avec une exposition un peu plus importante sur l’impact des familles inter-espèces et ce qu’elles peuvent représenter pour la Congrégation.
Juliette se libère
Je sais que Juliette fait partie des méchants mais j’étais tellement heureuse de cette scène ! La composition est formidable, notamment l’entrée solennelle et hypocrite dans l’église de Gerbert avec Juliette à son bras, absolument soumise et sublime dans sa robe Roland Mouret et sa capeline en fourrure (tenue complètement outrancière pour un office ordinaire). On voit Baldwin arriver et l’on s’attend à un coup d’éclat entre les deux hommes. Finalement, il n’est là que pour faire déborder le vase trop plein de Juliette qui réalise enfin qu’elle n’est que l’instrument dévalorisé de Gerbert. « No. I don’t ». Ces mots sont libératoires et lui permettent une sortie magistrale devant un Gerbert soufflé et un Baldwin narquois. Lorsqu’elle se drape en sortant de l’église, j’ai eu en tête la chanson de Tom Jones « She’s a lady ». Je sais que c’est inapproprié mais c’est ce que j’ai pensé en la voyant (enfin !) prendre son envol !
A chat
La scène expose tout d’abord quelque chose de très important pour le spectateur : comprendre la magie de Diana. Les choses vont tellement vite dans le show qu’il est bon d’avoir utilisé la séance d’entraînement pour que Matthew nous rappelle que la base de la magie de Diana est instinctive et ne fonctionne que lorsqu’elle a besoin de quelque chose ou plus exactement, lorsqu’elle en ressent le besoin.
Lors de l’essai, Diana se blesse légèrement et si j’aime beaucoup la façon dont elle prend la main sur la scène, je n’aime pas le geste qu’elle a de coller sa main ensanglantée sous le nez de Matthew. Le couple fonctionne sur la connexion de l’un à l’autre, sur l’empathie et le respect des différences de chacun. Lorsque Matthew réalise qu’elle saigne, il dit automatiquement son mantra « I won’t harm you ». C’est un moyen pour lui de garder son sang-froid et de ne pas se laisser dominer par sa soif de sang. Que Diana augmente son inconfort en ne respectant pas son besoin de distance n’est pas représentatif de leur couple et des personnages et c’est dommage. Par contre, j’aime la suite où elle invite chacun à se laisser aller à ses instincts pour se dépasser. Le tout dans une atmosphère séduisante et sensuelle…
La scène où le bundling n’est plus de rigueur
La scène a fait débat dans la fanzone.
Je sais très bien que dans le livre, Matthew et Diana attendent le second tome pour consommer leur mariage pour de très nombreuses raisons plus ou moins obscures. Dans la série, on ne sait même pas qu’ils sont mariés et là, on suggère très clairement qu’ils ont fait l’amour. Finalement cela ne me gêne pas. Les personnages sont un peu différents et l’histoire aussi. C’est une adaptation. Elle va plus vite, moins dans le détail et voir les scénaristes simplifier certains aspects de leur relation n’est peut-être pas plus mal. J’attends de voir ce qu’ils vont en faire dans la saison 2.
Je dis « suggère » la relation car la scène est finalement assez pudique. On y voit peu mais on sous-entend beaucoup. Comme pour le bundling, on plonge dans une vraie intimité de couple qui n’est ni dénuée de passion ni de communication. On les voit se déshabiller avec impatience, Diana grimpant même sur Matthew dans les escaliers comme un singe à son arbre. Matthew la jette totalement sur le lit entre deux baisers enflammés et là ils s’arrêtent. On voit qu’ils savourent l’instant, le moment de cette intimité. Une nouvelle fois, c’est le plaisir de Diana qui est mis à l’honneur et l’habileté de Matthew… Et on les retrouve tous deux juste après, nus, repus et visiblement heureux.
Je ne peux manquer ici d’indiquer deux anecdotes qui m’ont beaucoup fait rire. Tout d’abord, la théorie des sous-vêtements coordonnés. Connaissant le personnage de Diana qui n’est pas très coquet, il y a fort à parier qu’elle ne s’embarrasse pas à coordonner l’ensemble de sa lingerie. Le fait qu’elle porte un parfait petit ensemble montre bien qu’elle avait bon espoir de montrer ses jolis dessous à Matthew. La seconde anecdote concerne encore le coordonné. Vous souvenez-vous qui avait emballé les bagages de Diana lors de l’épisode 3 ? C’est bien Matthew qui est en charge du choix de la lingerie emmenée par Diana dans leur périple. Monsieur a du goût… (et des idées derrière la tête)
Puis, c’est le moment des confidences sur l’oreiller. J’aime que Matthew se livre (ce qui est contraire au livre mais une des bonnes améliorations de son personnage) et parle d’Eleonor et de Cécilia. Mais ce que j’aime le plus c’est que Diana le rassure, cherche à lui donner confiance en lui et en leur couple.
Hey Mum I’m home !
J’aurais tellement aimé entendre Marcus faire cette réplique en arrivant ! Malgré tout, l’arrivée de Miriam et Marcus à Madison reste réussie. Miriam est plus énervée que jamais (elle grogne sur Tabitha !) et Marcus essaye de faire bonne figure pour deux. Ils sont en quelque sorte le pendant de Sarah et Em, tels un effet miroir lorsqu’elles ouvrent la porte. L’antagonisme apparent entre les personnages est formidable !
Si je n’ai pas eu ma réplique, j’ai tout de même eu l’évocation de la connexion entre Marcus et la Sarah Bishop de la guerre d’indépendance. C’était déjà super de pouvoir prendre le temps d’y faire allusion dans un timing très serré car il ne reste que 5 minutes !
With respect Sarah !
Malgré les efforts de Em et Marcus pour détendre l’atmosphère, la cocotte-minute de Sarah explose et la maison n’aime pas ça du tout. L’attitude provocante et amusée de Matthew me fascine sur cette séquence car je n’arrive pas à l’analyser ni à comprendre ce qu’il cherche à obtenir de la situation.
Quoiqu’il en soit, la maison a décidé de cracher le parchemin, aussi tout s’arrête. Je ne sais pas trop à quoi je m’attendais en terme d’effet visuel pour l’apparition du parchemin mais pas à ça. Peut-être est-ce lié à l’absence des fantômes ?
Le parchemin par contre est magnifique. C’est clairement une réinterprétation du mariage alchimique du Splendeur Solis et il est bien plus beau que celui présenté dans The World of All Souls. Evidemment Miriam et Sarah se battent pour l’avoir, science et magique s’affrontant une fois de plus.
Je trouve adorable que Matthew soit le seul à intervenir et à demander à Diana si elle a besoin d’un moment seule. Cette scène finit de mettre toutes les pièces de l’intrigue en place et nous rappelle que Ashmole 782 est tout de même l’élément central de notre histoire.
Quelques instants plus tard, enfin seuls, on retrouve notre couple partager un grand moment de complicité. La façon avec laquelle leurs mains sont posées, s’effleurent, montrent à quel point ils sont désormais à l’aise l’un avec l’autre, avec leur intimité. Et tout cela pendant qu’ils apprécient mutuellement leur formidable intellect et dénouent ensemble les nœuds de l’intrigue.
Où Domenico détient toutes les pièces
Après avoir mis la main sur Satu (et je n’aimerais pas savoir dans quelles conditions elle est détenue), Domenico se montre une nouvelle fois inscrutable. Baldwin sent clairement la menace mais ne voit pas (encore) d’où le coup va partir. Et je trouve cette intrigue parallèle plutôt intrigante.
A vampiric presence
Nous revoilà en séance d’entraînement dans un cadre familier. La grange et la forêt ont été des lieux de réconforts ou de complicité, on se sent donc en sécurité. Diana avance, joueuse et nous dit sentir une présence vampirique. Le spectateur voyant Matthew sourire et se cacher se dit que Diana ne maîtrise pas encore pleinement ses pouvoirs….pour se laisser surprendre comme Matthew par Juliette, qui n’est plus du tout glamour mais totalement létale.
Et comme pour chaque épisode, nous le clôturons avec le regard terrifié de Diana.
Comment ça il ne reste que 43 minutes pour boucler les très nombreux chapitres restants et des intrigues secondaires ? Mais c’est impossible !
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break-the-soul · 4 years
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CHAPITRE 11
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«_ Seokjin-Hyung ! »
Je cligne plusieurs fois les yeux afin de m'assurer que je n'ai pas d'hallucination, mais non, ce que j'ai sous les yeux est bel et bien réel. Taehyung se tient debout devant moi, le visage illuminé d'un immense sourire. Je n'ai pas vraiment le temps de comprendre ce qu'il m'arrive que le jeune homme se jette en ma direction, me sautant dans les bras avant de me serrer tellement fort contre lui que mon souffle se coupe et que je suis sur d'entendre certains os de mon corps craquer sous la pression.
Je crois que je commence à manquer d'air sérieusement car j'entends Hoseok arriver en riant aux éclats, demandant à Taehyung de me lâcher car il allait finir par m'étouffer à me serrer ainsi. Quel bonheur quand je sens enfin l'air regagner mes poumons. Taehyung rit en s'excusant, sautillant comme une sauterelle avant d'aller saluer Namjoon qui riait un peu derrière moi.
« _ Hyung ! Je suis tellement heureux de te voir ! Ça fait tellement longtemps ! Je pensais que tu nous avais abandonné à jamais... »
Taehyung me fait sa moue la plus boudeuse. Un vrai comédien celui là, mais on l'aime tout pas. Je ris doucement avant de dire à Hoseok qu'on va diner ici. La joie dans ses yeux est indescriptible, c'est comme si je venais de lui révéler la recette du bonheur. Taehyung nous attrape Namjoon et moi par le bras en nous invitant à se joindre à la table qu'il a.
«_ Installez vous Namjoon Seokjin, je vous apporte des couverts immédiatement »
Je souris à Hoseok avant de me laisser tirer avec Namjoon jusqu'à la table qu'occupait Taehyung depuis à peine quelques minutes avant qu'on arrive. Il n'a même pas eu le temps de commander. Taehyung me fait m'asseoir sur la banquette à coté de lui, Namjoon prend place sur la chaise en face en riant. Taehyung s'accroche presque à moi, me fixant de ses yeux de brebis.
« _ Hyung...dis moi...pourquoi tu es parti comme ca ?
_ Tae...C'est compliqué...Mon père avait décidé d'agrandir sa boite sur Busan, il partait là bas...je n'ai pas eu d'autres choix que de le suivre...Je n'ai pas eu la force de vous le dire...J'ai préféré partir comme çà...c'était moins douloureux pour moi que de faire de grands adieux sans être certain de l'avenir... »
Mes yeux se tournent doucement vers Namjoon, je pense qu'il comprend ce que j'ai pu ressentir, lui aussi est parti du jour au lendemain, sans dire un mot. Namjoon ne me regarde pas vraiment, il check le menu à la recherche de ce qu'il va se mettre dans le ventre, après tout, c'est moi qui paie. Taehyung est tout d'un coup silencieux, mais j'entends le léger raclement de sa gorge, comme de malaise. Je tourne les yeux doucement vers lui, il se mord la lèvre. Puis vers Namjoon, je vois qu'il regarde l'heure sur son téléphone. Ce n'est qu'en voyant les numéros affichés sur son écran que je suis pris d'un élan de panique. MERDE ! Jungkook !
Il est 20h50, je n'aurai jamais le temps d'aller jusqu'au lycée, même à pleine vitesse. Je dois me calmer, sinon ils vont se douter de quelque chose. Je respire silencieusement, je calme les battements de mon cœur et comme si de rien était, je lance le sujet.
«_ Hm...L'un de vous à des nouvelles de Jungkook... ? Je suis sur que l'avoir vu ce matin...
_ Jungkook ? La dernière fois que je l'ai vu, ça semblait aller...il est en dernière année de lycée encore, on lui manque beaucoup...Il se sent très seul maintenant qu'on est tous diplômé et pas lui... dit timidement Taehyung en se grattant l'arrière de la tête un peu gêné.
_ Appelle le ! Il pourrait se joindre à nous pour le diner...
_ Seokjin Hyung... commence Taehyung un peu boudeur
_ Je ne l'ai pas revu non plus depuis mon retour... je dois reconnaitre vouloir très fort le revoir...
_ Namjoon, donne-moi ton téléphone ! »
Namjoon déverrouille son téléphone et tape le numéro de Jungkook. Je suppose qu'il a dû le supprimer en partant...tout comme j'ai supprimé toute trace des garçons dans mon téléphone, gardant dans un dossier profond tous nos souvenirs sur mon ancien pc. Mais Namjoon semble le connaitre encore par cœur. Il me tend le téléphone et je l'approche de mon oreille, tapotant le bout de mes doigts presque angoissé sur la table.
« _Hyung... ? »
Sa voix est faible et enroué, comme s'il avait la gorge serrée et qu'il se retenait de pleurer. Jungkook...que t'arrive-t-il ? Je racle discrètement ma gorge et me lance, avec une certaine joie naturelle.
« _ Jungkook-ah ! C'est Seokjin, désolé j'ai utilisé le téléphone de Namjoon, le mien n'a plus de batterie...Hm...
_ Seo...Seokjin-Hyung... ? Commence à bredouiller Jungkook.
_ Oui Jungkook...hm...je suis au restaurant d'Hoseok...
_ Je suis là moi aussi Gukkie, avec Namjoon-hyung. Lance Taehyung avec joie et impatience. Viens nous rejoindre !
_ Nam...Namjoon-hyung est là... ? Bredouille de nouveau le plus jeune.
_ Aller viens Jungkook, on t'invite ! Moi aussi j'ai envie de te revoir ! lance Hoseok avec entrain.
_ Je...je ne sais pas...
_ Jungkook-ie...Viens s'il te plait...J'ai envie de te voir... dit Namjoon d'une voix douce et mélancolique, presque triste. »
Un long silence flotte dans la conversation avant qu'un murmure ne se fasse entendre. « D'accord ». Jungkook avait murmuré d'accord avant de raccrocher après nous avoir dit qu'il arrivait.
20min plus tard, la porte du restaurant s'ouvre sur un Jungkook essoufflé, la respiration très saccadée, et surtout le visage légèrement amoché comme s'il s'était prit un coup. Malgré tout, dès qu'il nous voit, un immense sourire vient sur ses lèvres, je crois même qu'il a les yeux qui se remplissent de larmes. On se lève tous en souriant de le voir ici. Il a surement dû courir vu dans l'état qu'il est, et il a dû battre un record de vitesse.
Mission accomplie. Du moins pour l'instant, Namjoon n'est pas en prison et Jungkook est en vie, et même en bonne compagnie. Nous nous asseyons à nouveau à notre table et nous commandons enfin à manger. Jungkook est assis à coté de Namjoon, comme il l'a toujours fait depuis ce fameux jour de retenue. Je ne peux que sourire, le cœur à présent léger. Nous mangeons avec entrain et joie. C'est si agréable de revoir leur sourire rayonnant. Mais je ne dois pas baisser ma vigilance : Jimin est encore porté disparu, Hoseok n'a pas encore eu son accident, Taehyung n'a pas encore commis l'irréparable et enfin Yoongi...
Je n'ai pas le temps de finir le fil de ma pensée que la vieille gérante du restaurant allume la télévision en disant qu'il y a une véritable catastrophe à quelques kilomètres d'ici. Comme bien des clients, nous abandonnons notre table pour nous approcher de l'écran. Un vieil immeuble a pris feu il y a environ une heure, aux alentours de 21h15. C'est la voix de Taehyung qui me sort de mes profondes pensées.
«_ C'est...c'est l'immeuble de Yoongi-hyung...C'est l'immeuble de Yoongi-Hyung... panique Taehyung en se tournant vers nous les yeux tremblant. »
La journaliste présente sur les lieux fait le résumé de la situation. Il semblerait qu'il y ait eu une fuite de gaz qui à fait s'embraser l'immeuble en quelques secondes à la première étincelle. Elle annonce aussi que les résidents ont pu être tous évacués. Mais elle n'a pas le temps de finir sa phrase qu'on peut entendre un pompier crier qu'ils ont trouvé une victime. Un jeune homme de 21ans, qui vivait au 7 e étage.
Taehyung s'effondre. C'est Yoongi. Tous les gars présent restent muets face à la situation. Namjoon plaque sa main à sa bouche alors que les larmes lui montent aux yeux. Hoseok est obligé de s'asseoir sous le choc. Jungkook retient ses larmes en essayant d'aider Taehyung recroquevillé sur le carrelage du restaurant en pleurant son ami. Quant à moi, le monde autour de moi s'est subitement arrêté de tourner et...
« CRACK... »
Un nouvel échec.
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Yoongi, 20 Novembre. Année 19.
Je devais me dépêcher, avant que le gardien ne fasse sa ronde. J'étais entrain de sécher l'heure de Mathématiques. J'ai traversé le couloir avec la plus grande prudence avant d'enfin atteindre la poignée usée de la salle de stockage, elle était déverrouillée, quelqu'un était dedans. J'imaginais que Taehyung était là en train de lire l'une de ses BDs ou encore Hoseok qui dansait dans un recoin vide de la salle, ou encore Jimin qui dessinait en vidant notre cachette secrète de snack et de boissons.
Mais lorsque j'ai franchi la porte, je me suis retrouvé face à un professeur, les bras croisés. Ce dernier se redresse pour se planter devant moi, alors que j'ai blêmi.
« Quelle surprise monsieur Min. Il me semble que vous êtes censé être en mathématiques ! Absentéisme récurrent, retardataire en chef mais pour couronner le tout, dégradation des biens appartenant à l'établissement. Vous avez eu la belle vie assez longtemps monsieur Min ! Je vais vous faire renvoyer, vous et toute votre clique d'incapables... »
Une chose entrainant une autre, le professeur commença à être faire provoquant, cherchant à me faire perdre mon sang froid. Comme s'il cherchait à me pousser à la faute. Je l'ignorais, me mutant dans le silence le plus profond jusqu'à entendre la porte s'ouvrir. Taehyung.
Le professeur a foncé sur lui, l'attrapant par le poignet qu'il serra si fort que la gourmette de Taehyung commença à lui rentrer dans la peau du poignet. Taehyung commença à geindre que le professeur lui faisait mal. Mais pris de colère, le professeur leva la main en direction de l'adolescent, prêt à lui assimiler une gifle monumentale. Mon sang ne fit qu'un tour et sans contrôler quoi que ce soit, mon poing se ferma avant de venir rencontrer avec violence la mâchoire du professeur. Un coup, deux coups, trois coups avant que Taehyung n'arrive à m'attraper et à me faire reculer en tenant fermement contre lui, me suppliant d'arrêter. Le professeur cracha un peu de sang avant de promettre mon renvoi. Par colère, je l'ai mis au défi.
Le soir même, j'avais en main ma lettre d'exclusion dans les mains. J'étais renvoyé du lycée. J'ai déchiré le papier avant de jeter aux ordures mon uniforme de lycéen, me promettant de ne plus jamais remettre les pieds dans un lycée. Je n'ai pas besoin de diplôme inutile. Je gagnerai ma vie tout seul, comme un grand. Au diable les études.
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MARDI 16 JUILLET 2024 (Billet 2 / 3)
« L’ALLÈGEMENT DES VERNIS »
Samedi nous étions chez des cousins (Catherine et Jean-François) qui habitent un superbe appartement avec terrasse au 14e et dernier étage d’un immeuble à Courbevoie.
Comme chaque année, le 13 juillet au soir, nous nous retrouvons environ une vingtaine, parfois plus, invités à un apéritif dînatoire pour assister aux feux d’artifice tirés tout autour de chez eux. Le spectacle sur presque 360 degrés, même un peu lointain, est impressionnant !
Évidemment, c’est aussi une occasion de retrouver des membres de la famille, des amis du couple (peu de turn-over, beaucoup de fidèles…) et d’engager (ou de reprendre) avec les uns et les autres des discussions, souvent très intéressantes.
Catherine a une amie, Henriette Walter, une célèbre linguiste et écrivaine qui vient toujours avec sa fille. Ce sont elles qui ont offert à Catherine le livre dont il est question ici.
A un moment, les 4 ou 5 personnes qui étaient assises autour de la table basse du salon où le livre était posé ont commencé à parler de lui. N’ayant jamais entendu parler ni de l’auteur ni de ce livre, mais le sujet nous intéressant, curieux, nous avons tendu l’oreille.
Le lendemain, achevés d’être convaincus après une petite enquête sur les Sites « Babelio » et « Culture-Tops », c’est sûrement un livre que nous achèterons bientôt.
Vous trouverez ci-dessous l’avis - toujours très « avisé » - du critique de « Culture-Tops » (*).
Nous partageons très souvent le point de vue des critiques de ce Site. Nous aimons bien la forme qu’ils leur donnent, ils ont l’avantage d’être concis et précis.
(*) Qui sont-ils ? (Renseignements trouvés sur le Site)
« Culture-Tops » a pour but de faciliter votre choix parmi l'abondante production culturelle proposée en France.
Site internet et association de chroniqueurs bénévoles, « Culture-Tops » présente chaque jour en ligne des chroniques couvrant l'ensemble de l'activité culturelle : livres (romans, essais, BD, livres audio), cinéma, expositions, théâtre, one man shows, opéra, ballets, spectacles divers, séries Télé.
« Culture-Tops » garantit sur Internet une voix originale, libre, indépendante de tous médias, producteurs ou éditeurs, et de toute obédience politique ou religieuse.
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« L’ALLÈGEMENT DES VERNIS » (Paul Saint Bris)
Faut-il rajeunir Mona Lisa ? Un roman captivant récompensé par le Prix Orange 2023.
349 pages - 22€
Notre recommandation :
❤️❤️❤️❤️ sur 5
THÈME
Aurélien est conservateur, directeur du département des peintures du musée du Louvre. Une nouvelle présidente veut stimuler les entrées du musée et décide qu’il faut pour cela restaurer La Joconde en la débarrassant de ces vernis qui lui donnent un ton verdâtre. Aurélien est chargé de trouver celui parmi les restaurateurs connus capable de rendre sa splendeur originelle à Mona Lisa. Il part pour l’Italie et revient avec Gaetano, seul capable d’envisager un tel défi. Bien sûr, tout va se passer sous les yeux des mondes politique, artistique et des médias.
POINTS FORTS
La découverte de la vie d’un grand musée et de ses travailleurs, des conservateurs jusqu’aux personnes chargées de la sécurité ou du nettoyage.
Un hymne aux peintres italiens et particulièrement Léonard de Vinci.
Une documentation passionnante sur les restaurateurs et leurs techniques depuis le XVIIIème siècle. Ceux-ci se proclamaient artisans ou artistes. Ils sont maintenant remplacés par des scientifiques, chimistes, mathématiciens.
Le décalage de notre époque où la recherche du profit supplante la recherche du Beau.
QUELQUES RÉSERVES
Je n’en vois pas tant ce roman est captivant.
ENCORE UN MOT...
En effet, tout dans ce livre est intéressant, les personnages, l’humour, la satire de nos contemporains, et même le dénouement inattendu qui montre en définitive qui sont les vrais amoureux de la Joconde.
DEUX PHRASES
« Le tableau peint à taille réelle synthétisait à lui seul les remarquables apports de Vinci à la peinture : douceur du sfumato fondant les contours, liant le sujet et la nature environnante comme un tout, dégradés subtils des carnations obtenus par superposition de multiples et impalpables glacis, perspective atmosphérique pour figurer la distance, effet de profondeur de champ et de flou d’arrière-plan, monumentalité de la composition pyramidale, et ce talent inouï pour figer dans la transition des sentiments l’instant révélateur de la psyché, ici la fugacité d’un sourire, et faire d’un portrait le reflet de l’âme. » Pages 210 et 211
« Il en voulait au monde d’avoir renoncé à la beauté. La beauté qui se patine et qui passe, dont on sait avec certitude qu’elle sera plus belle encore. » Page 320
L'AUTEUR
Paul Saint Bris, né le 4 janvier 1983 à Paris, est photographe et directeur artistique dans la publicité et la mode. Ceci est son premier roman.
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Vous pratiquez déjà « Babelio », allez jeter un œil sur le Site de « Culture-Tops », sa simplicité vous séduira peut-être.
www.culture-tops.fr
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afnews7 · 4 months
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1964-2024 : la Nona Arte... moderna al Centre Pompidou
http://www.afnews.info segnala: L’événement du Centre Pompidou, « La BD à tous les étages » sera n’en pas douter, une date marquante dans la défense et l’illustration du 9e art. Que le temple de l’art moderne à Paris propose, avec plus de 700 originaux, c’est assez vertigineux. Reste à voir quelle histoire nous est racontée… Plus personne ne revient sur le sujet : depuis l’exposition Les Maîtres…
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boss2becosse · 7 years
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ptite mise à jour de novembre
Un déluge de flemme s’est abattu sur boss2becosse ces dernières semaines : je n’ai pas fini le recap (je pense écrire ce que j’avais prévu entre maintenant et la fin du semestre) et je n’ai rien écrit d’autre non plus. Du coup, rattrapage en coup de vent, point par point :
- Giraffage @ Newspeak : Pour replacer ce concert en contexte, je suis un avide fanatique de Giraffage depuis que je suis tombé sur Visible en cliquant sur un lien au hasard sur le sous-forum Culture de Pokémon Trash en 2011. Les bruits de «cowbell », le délire kitsch, les ambiances allant de la joie extatique à la tristesse la plus intense, les sample de R&B et d’obscurs morceaux japonais des années 2000… tout ce tas de petites choses a construit mon attrait pour Charlie Yin (sûrement le seul artiste originaire de Taiwan que je connais btw). Vu qu’il passait à 1h du mat dans le centre-ville, j’ai regardé quelques épisodes de Stranger Things avec mes colocs avant de prendre le bus dans le froid saisissant. Newspeak est un endroit typique de hipster, coincé dans un recoin peu fréquenté entre deux ruelles. La décoration est sobre mais efficace et les gens étaient de bonne humeur. Je suis arrivé un peu en retard, mais j’ai apprécié le fait que Giraffage était tapi dans l’ombre, qu’il restait un peu mystérieux même devant une foule de danseurs désarticulés. Le set m’a un peu déçu dans le sens où il s’est beaucoup écarté de son style habituel – assez pop quoiqu’on en dise – pour lâcher quelques morceaux techno qui m’ont laissé assez insensible. J’ai quand même trouvé les effets visuels sympa et quelques chansons bien retravaillées, mais je m’attendais à mieux. Le set fini, il fallait rentrer pour 4h de sommeil avant de prendre le bus pour Ottawa !
- Ottawa : Le manque de sommeil a été dramatique au début, j’ai dû me lever à 7h30 un samedi (jamais fait depuis au moins 2010) et j’ai dormi comme un bébé pendant tout le trajet aller. J’étais avec pas mal de têtes connues, on a passé une bonne journée en tournant autour des activités principales d’Ottawa (le marché, le canal, le tour du Parlement) et surtout en engloutissant une Queue de Castor. J’ai profité d’être à Ottawa pour rencontrer un poképote qui étudie ici ; vu qu’il parle surtout anglais, j’ai dû me dérouiller (je n’ai pas oublié de b) dans la langue, c’était super sympa en tout cas. Je n’ai pas vraiment découvert la ville puisque j’y étais allé avec la famille il y a seulement 3 mois, mais l’intérêt était surtout de passer de bons moments avec les amis, on a bien rigolé et ça fait de bons souvenirs !
- Les exams de mi-session : Contrairement à la France où les cours magistraux se jouent parfois sur un seul partiel, l’université à la canadienne systématise la pratique (peu scrupuleuse pour certains) des intras, aussi appelés midterms . Même si ça demande beaucoup d’efforts en plein milieu du semestre, j’aime bien le principe puisqu’il nous force à réviser nos cours sous peine d’échouer à la fin de la session. Je pense que c’est appréciable pour les gens qui ont du mal à s’autodiscipliner (dont je suis un fier représentant) mais j’imagine que pour les gens qui s’organisent bien et n’ont que peu ou pas de retard sur leurs lectures, c’est un stress pas forcément bienvenu. Dans tous les cas, ça s’est plutôt bien passé pour moi, je travaille beaucoup beaucoup plus ici qu’à sciences po et ça se ressent dans les notes que j’obtiens.
- Refroidissement climatique : il y a une semaine et un jour, la première neige est tombée dans la nuit à Montréal. S’en est suivi un rafraichissement vif et soudain, franchement je me suis bien gelé en sortant vendredi dernier. Depuis, on reste sur le même registre même si ça se maintient autour de 0 pour l’instant, l’hiver arrive tranquillement…
- Vêtements chauds : avec mon coloc Loïc, on est parti à la conquête de notre équipement d’hiver. J’ai cru assister à une attaque en direct quand j’ai entendu un gros « boum » dans la rue qui a failli me mettre le cul par terre ; en fait on était le 11 novembre et un canon venait juste de tirer pour les célébrations de la guerre… On a trouvé des trucs sympa, j’ai dégoté un ptit bonnet orange fluo que j’ai hâte de mettre sous tempête de neige, fuck le bon goût. Le prix des chaussures d’hiver a fait archi mal mais on aura au moins un des éléments pour réussir notre cosplay de Drake, j’ai nommé les Timberland.
- Sushi : avec les colocs, on parlait de manger japonais depuis un moment, on est donc allé à un sushi auquel j’étais déjà allé l’année dernière (s/o Sandra) vu que la cuisine est mega bonne et que c’est à volonté. J’ai cru assister à un concours de bouffe entre Loic et Thibault comme dans l’épisode 6 de Samurai Champloo : ils ne s’arrêtaient JAMAIS et ont absorbé assez de bouffe pour nourrir leur descendance sur 3 générations. Notre champion du jour Franck s’est fait snober 2 fois par les serveurs (une pensée pour son ventre de saumon qui restera dans l’Histoire pour sa non-arrivée) et tout le monde avait le bide explosé à la fin du repas. C’est tellement bon ici, la viande est incroyable et même les trucs qui ne payent pas de mine au premier abord sont excellents, comme leurs sushis. Dommage que le personnel n’était pas jap, ça aurait ravivé ma flamme de fanboy, mais pour ça il y a…
- La grande bibliothèque ! J’y passe beaucoup de temps en ce moment, j’y étudie les kanji tous les jours et c’est un lieu vraiment très confortable. Il y a plein de BD au premier étage, du coup c’est cool pour faire une pause ou juste pour glander un peu après les cours. Je me suis fixé l’objectif de connaître les 300 kanji de mon livre d’ici le début de la session d’hiver, j’en suis à peu près à 110 à l’heure actuelle. Ça devient un peu comme une drogue, je veux toujours en connaître plus, je ressors de mes heures d’apprentissage complètement claqué tellement mon cerveau doit tourner mais j’aime vraiment ça. C’est tellement fascinant, j’adore le fait que feu d’artifice s’écrive 花火(はなび, hanabi, fleurs de feu) ou qu’animaux s’écrive 動物 (どうぶつ, doubutsu, choses en mouvement), ça a un charme fou, ça rend le langage vivant, presque palpable, y’a de la chaleur dans ces sinogrammes, fin voilà, j’en suis gaga ~
Voilà tout, j’essaierai de reposter dans la semaine :D
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etletangvoyage-blog · 7 years
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10/08/2017
Sleepgrounds : -dans ma chambre, en clin d’oeil à mon coloc lyonnais M., je pourrais dire que c’est une nouvelle grande Bagdad (vue la superficie de la pièce !), le rangement n’est toujours pas dans mon planning journalier !
A retenir : - photo à l’appui par rapport au “pot” (le shit), héhé, ça surprend ce genre de camion :) D’ailleurs, pour tout ce qui est construction écologique, la levée prochaine de l’interdiction de la fumette ravit les écolos car le chanvre avait été interdit aussi (bien que ce ne soit pas la même plante, juste la même famille) car trop ressemblant au cannabis -donc pour les contrôles...-. Le chanvre va donc revenir, matériau génial pour des constructions durables et écolos !
- les jurons quebecois ! On les connait tous, mais savons-nous tous ce qu’ils veulent dire ? “Crisse” vient de Christ, “Tabarnak” vient de tabernacle, un meuble de l’église, “Câlice!” vient de calice, un vase chrétien, etc. (d’où les images dans la BD, merci aux tomes “Paul” d’illustrer parfaitement mes propos !)
- j’ai rencontré au fil de mes rencontres de livraison de repas, une petite mamie trop choupi qui est âgée de....99 ans ! Waouh ! Dingue, toute sa tête, une forme physique impressionnante ! Et elle m’a appris que la reine d’Angleterre envoyait des lettres pour les 100 ans des concitoyens pour les féliciter ! Haha !
- les quebecois sont bien élevés, comme dans beaucoup de pays, même nos voisins européens (UK par exemple...), ils font la queue sur le trottoir en attendant le bus, ils ne grillent pas les feux rouges piétons, etc.
- vélo est le verlan de love ! (Hasard ? je ne crois pas !)
- certaines tours de la banlieue parisienne ont été construites selon des critères très étranges...par exemple, plutôt que de penser confort de vie etc, la largeur de la résidence pouvait dépendre seulement de l’amplitude de transport de ciment de la grue ! Voir le docu “Bidonvilles, architectures du futur” super bien fait, et très éclairant sur le sujet ! Un bidonville est un espace où les services publics (voiries, sanitaires) sont absents... donc c’est bien plus ouvert que ce qu’on croit !
- au début du hockey, on utilisait pour le palet des rondelles de bois, des patates ou des bouses de vaches gelées !
- Montréal a de groooosses avenues (plusieurs voies + pistes cyclables parfois + parking des 2 côtés souvent + ...) mais aussi des ruelles (de la taille d’une bonne rue à sens unique...n’imaginer pas quelque chose d’exigu !) qui sont transformées de nos jours en “ruelles vertes” : piétonnes, avec des jeux pour enfants, des jardins, des composts, etc. Elles permettaient autrefois aux vendeurs ambulants d’accéder à l’arrière des maisons pour livrer le bois, les bouteilles de lait, la glace, etc.
- aucun gratte ciel ne doit dépasser 253m (=52 étages), la taille du Mont Royal ! D’ailleurs, ici je me faisais la réflexion qu’on voit bien plus souvent l’horizon, le soleil, le paysage... c’est que les maisons dépassent rarement 2 étages ! Tout parait assez bas quand on se balade dans les rues !
- le parc du Mont Royal est l’oeuvre de Frederick Law Olmsted, concepteur aussi de Central Park à New York et du parc du Golden Gate à San Francisco !
- et enfin, je vous parlais des toits principalement plats à Montréal, j’ai la réponse ! C’est pour éviter les chutes de neige ou de glace pendant l’hiver... futé ;)
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canadomalienne-blog · 7 years
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Quoi de mieux qu’un week end bien mérité après des mois et des mois d’études et de travail?
C’est ainsi que mes amies et moi sommes convenues d’une date pour aller en week end.
Mais Où ?
Nous voulions juste quitter Montréal. Peu importe le lieu. Après quelques recherches sur internet par rapport aux prix les plus abordables, voilà que l’on décide d’aller à New-York. Transport et logement pris en charge sur Groupon.ca avec la compagnie Sinorama.
Et hop, nous achetons le billet!
C’est donc, nos valisettes en main, un vendredi matin, que nous montons à bord du bus de sinorama afin de nous rendre aux États-Unis. 6 heures de trajet incluant une courte attente à la douane américaine. Heureusement ! Le guide nous a confié que d’habitude cela pouvait durer des heures et des heures. 
 14h24. Heure d’arrivé dans la ville aux fameux gratte-ciel. Nous avons franchi le “Lincoln Tunnel”. Un long tunnel traversé par plus de 100.000 personnes par jour. Il est également le plus grand en amérique (3km) avec seize voies.
 La fatigue est présente mais la curiosité est également aux rendez-vous. Nous nous sommes arrêtés au “rockefeller center” avec les autres participants du voyage. Un complexe commercial construit par la famille Rockefeller planté dans l’arrondissement de Manhattan. Très joli d’ailleurs. On ne peut que tomber amoureux de ce qu’on y voit. Tous les drapeaux du monde y sont.
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photo prise sur pixabay.com
Après cette petite balade, nous nous sommes retrouvées en plein coeur du centre-ville. Quelle surprise de voir tout ce trafic ainsi que le grand monde qui y est. Il est même presque difficile de marcher. Encore pire qu’au grand marché de Bamako et tout le contraire de Montréal.
Presqu’à bout de la fatigue, nous nous sommes assises contemplant tout le monde qui passait devant, à gauche et à droite. 
C’est aux alentours de dix heures du soir que nous nous sommes rendues à l’hôtel qui nous était réservé. Le Quality Inn meadownlands. Un modeste hôtel deux étoiles où y règne le calme. Les chambres sont assez vastes. Nous occupions une chambre pour quatre avec deux lits doubles, télévision, mini frigo et salle de bain. Le décor était assez simple mais charmant et convivial.
Les jours suivants, nous avons visités certains lieux de la ville… 
Le “National September 11 Memorial & Museum”. C’est de surcroît mon endroit préféré. Ne quittez jamais New-York sans y aller. Sur le lieux, j’ai ressenti quelque chose. Quelque chose que je ne pourrais expliquer. Peut être de la tristesse pour les victimes ou de la colère pour ceux qui sont la cause de cet acte ignoble. Des innocents, des enfants y sont passés. J’imagine les mères, les femmes, les enfants. Tout ceux qui ont perdu un être cher ce 11 septembre 2001. Que leurs âmes reposent en paix.
       Nous avons également eu l’occasion de passer devant le “Trump Tower” Du haut de ses 202 mètres elle comprend 58 étages. Sans mentir, c’est un magnifique gratte-ciel. Il appartient bien évidemment au Président américain Donald. Son nom y est inscrit en gros caractère et d’une couleur dorée qui ne passe pas inaperçu.
Je ne voulais pas quitter cette ville sans pour autant visiter et voir l’un des quartiers considérés comme défavorisés, voire pauvre. Les immeubles, les arrêts de bus, les parcs, tous sont différents à des endroits tels que le wall street. Les déchets sont éparpillés partout on aurait dit le quartier Banconi sise à Bamako (Capitale du Mali).  
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Ces genres de quartiers sont laissés à eux même. D’après un ami, la police n’y passe presque pas. Toujours d’après lui, certains citoyen vivant dans des villes comme Manhattan n’ont jamais mis les pieds à New-York, encore moins dans un quartier pauvre.   
Durant tout notre séjour, nous profitions pour manger à peu près tout ce qu’on ne trouve pas à Montréal comme un restaurant-buffet africain (BD Halal Restaurant). Il y avait en ces lieux ce qu’on appelle dibisogo ( viande de bœuf rôti sur un feu de bois). Ayant particulièrement un grand amour pour la bouffe, je remplissais mon plat à emporter que je mangeais toute seule. Au grand étonnement des autres filles. Rire 
Nous avons également fais un tour dans un restaurant sénégalais “Keur Coumba” où nous avons été chaleureusement accueilli par la propriétaire des lieux. Et comme vous pouvez le deviner, nous avons choisi un plat de thiebou djeun avec poisson. Seuls les africains comprendront 😛
New York est de surcroît la plus grosse ville en terme d’habitants. Chapeau aux étudiants qui y vivent. Perso, je ne pourrais pas passer mon année scolaire dans une telle ville.
New York, la ville mondiale. La ville aux fameux grattes-ciels. La ville du Show. La ville qui ne dort jamais.
La ville du tout puissant Donald Trump, à très bientôt
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Le trump building,appartenant également à Donald Trump et construit de 1929 à 1930.
    marché africain
marché africain
harlem
harlem
New-yorkaise d’un week-end Quoi de mieux qu’un week end bien mérité après des mois et des mois d’études et de travail?
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eric-sauvat · 4 years
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Arpète
Lavoûte-Chilhac, Vendredi 11 septembre 2020
Arpète
Populaire et vieux. Apprenti(e), dans la couture en particulier. De l'autre côté de la cage de verre s'agitait un monde lointain, indifférent : une arpette avec un carton de couturier à la main, un ouvrier qui roulait une cigarette, un couple de badauds à une devanture de fleuriste, un livreur dressé sur ses pédales et poussant son triporteur, en zig-zag, dans une rue montante... Druon, Les Grandes familles, 1948
Je me réveille au 3°étage du 13, Bd des Batignolles évacué de l’appartement en feu avec Papy, Mamy, Manou et Donat par une goulotte en toile nous amenant au trampoline tendu par trente pompiers, un au mètre de chute qui amortiront ladite.
Nous nous y élançons en bannière et caleçon pour les hommes, culottes pour les dames, après avoir remis tous nos effets à une arpète amenée à nous par un filin qui les entasse, dentiers compris dans un sac qui les amènera en bas, nous suivons à la lettre ses instructions, et je suis le dernier à sauter.
Empoignés au 3° ou 4° rebond, nous sommes déposés au sol et amenés à une table où nous sont servis un succulent steak haché et un verre de vin vieux pour nous réconforter.
Là nous nous nous rhabillons ahuris, fous de reconnaissance pour nos sauveurs ; nous avons eu chaud au vrai sens du terme.
Magnifiques les méthodes de sauvetage mises en œuvre par les pompiers de Paris ; tout s’est passé sans heurts, panique ou précipitation, on voit qu’ils sont accoutumés à recevoir des pékins tombés du ciel et c’est réconfortant.
Aussi rhabillés nous ne nous remémorons pas avoir tout perdu et nous faisons conduire aux bureaux de l’Avenue de l’Opéra pour nous y mettre au travail, juste un peu plus tôt que d’habitude.
Pas de quoi en faire une histoire.
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