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#Maladies thromboemboliques
claudehenrion · 4 years
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''La liberté devient la règle, MAIS...''
  Conférence de presse du premier sinistre (car comment éviter ce mauvais jeu de mot ?) : l'homme suinte l'ennui. Sa fausse modestie est une fatuité sans limite. Si on va au fond des choses, elle est à l'image de notre administration –dont il est un mannequin ! Exigeant pour les autres, méprisant pour ses semblables, sûr de son bon droit, de sa supériorité, du bien-fondé de chacun des mots qui tombent de sa bouche et ne peuvent (il le sent, ça se sent !) que susciter l'admiration des foules !
  Le rituel est immuable, et le plan du ''numéro de déséquilibriste'' connu d'avance : reprendre tout l'historique à chaque fois, surtout si ça n'apporte rien : il est fondamental, voyez-vous, de faire croire qu'il y a cohérence, vision, homogénéité et persistance... au point que même le hasard devient la traduction dans les faits d'un plan organisé. C'est pitoyable, une telle puérilité à ce niveau de responsabilités ! Immédiatement après, c’est le chapitre ''remerciements'' : tout est bon pour tenter de reconquérir des électeurs, maintenant que la date des élections a été refixée ! C'est interminable, et chaque ministre va ajouter les siens...  C’est à mourir d'ennui. Vient enfin ce pour quoi on s'était massé devant nos postes : les nouvelles. Ah ! Comme c'est difficile de donner une bonne nouvelle ! On sent que ça lui fait mal, qu'on lui arrache une partie du pouvoir gigantesque et immérité qu'il s'est arrogé...  
  Le commun des mortels, vous et moi, ne réalisons pas à quel point le scandale du sang contaminé a pu créer de ravages dans la classe politique. Nous avons devant nous un homme littéralement terrorisé qu'on puisse un jour lui reprocher d'avoir pris une décision ! Il est l’illustration-même de ce que peut donner l’absurde principe de précaution poussé à la caricature. Il passe son temps à rappeler que toutes les décisions ont été prises par Pierre, Jacques, ou Sébastien, par ''Monsieur le ministre des solidarités et de la santé'', par ''Monsieur le ministre de l'Education nationale'', par le professeur Delfraissy bla bla bla... (moi, je ne me vanterais pas d'une référence aussi peu reluisante, mais au fond, chacun fait comme il veut.).
  A sa décharge, il faut reconnaître qu'il n'est pas facile de dire, devant la foule immense des téléspectateurs : ''On a eu tout faux. On a paniqué. Notre manque de ''vista'' était responsable de tout... alors on a fait n'importe quoi. On a compris que tous nos discours étaient biaisés et toutes nos mesures surdimensionnées, souvent inutiles, parfois contre-productives ! Mais tout ce cirque est fini. On vous demande pardon de vous avoir confinés pour rien et d'avoir foutu par terre toute notre économie... On va essayer de gérer un peu moins mal la vraie crise, celle qui vient, financière et économique, celle qui va nous exploser à la gueule vers la fin de l'été (NDLR - six mois après le pic, disent tous les auteurs), et qui est due, celle-là, aux conséquences de notre nullité à gérer la précédente... qui, en fait, n'en était pas une. Il n'y a jamais eu de risque de ''deuxième vague'', et vous êtes donc libres, sans bémols, sans réserve, sans ''mais..'' Et... encore une fois :  ''Pardon'' !
  Le monde était entré dans une période de grands vents et de menaces sérieuses. Tous les leaders ont cru voir là une chance unique que tout le monde se mette à regarder ailleurs... en croisant les doigts pour que, après cette tempête, les difficultés politiques et économiques se soient calmées. Ils ont tenté, tous autant qu'ils sont, de nous faire croire que ce coronavirus était comparable à la grande peste de 1538, à la grippe espagnole de 1916-1919, ou au choléra de 1830. Perdu : c'était plus proche d'une bonne grippe annuelle (plus de décès qu'en mai 2019, mais moins qu'en mai 2018, par exemple)  Regardons les chiffres, comme nous le recommandons ici depuis fin février : 350 à 400 000 morts dans le monde entier... 30 000 en France... Tous ces drames, individuellement insupportables, sont statistiquement à peine visibles, sur les courbes donnant les décès annuels.
  On nous a menacés (et on continue de le faire !) d'une ''seconde vague'' dont personne n'a jamais trouvé la trace. On nous a menti sur à peu près tous les sujets, à coup d'arguments soi-disant scientifiques ''sortis'' d'autorités qui n'avaient aucune compétence en dehors de leur spécialité (et encore ! Le rescapé que je suis de 2 cancers, de plusieurs accidents et de nombreux autres énormes pépins de santé dont chacun m'a mis face à face avec ma propre mort... sait ce que vaut réellement la majorité de ces ''pontes''. J'ai autant de récits précis et circonstanciés que vous voulez, avec références, dates, noms. Et aussi -j'y tiens- quelques cas qui ont forcé mon admiration et ma reconnaissance : j’ai vu aussi de vrais grands hommes !)
  Mais personne ne nous a dit que les pathologistes italiens (pas moins bons que nos ''experts'', mais ayant une ''longueur d'avance''), sont arrivés, après l'autopsie de 50 morts par coronavirus, à la conclusion que le covid-19 est ''victime'' d'une grave erreur de diagnostic physiopathologique : ce n'est pas une ''pneumonie" mais une maladie du sang, et tous les systèmes d'assistance respiratoire sont donc inutiles, puisque le virus non seulement tue les pneumocytes de ce type, mais il utilise la tempête inflammatoire pour créer une thrombose vasculaire endothéliale (les médecins parlent d'une coagulation intravasculaire disséminée).(NDLR - J'ai découvert hier cette information récente, dans l'AFP (in ''Fact finding AFP''). '
  ‘’Comme dans la coagulation intravasculaire disséminée, continue le communiqué, le poumon est le plus touché car il est le plus enflammé, mais il y a aussi une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral et de nombreuses autres maladies thromboemboliques''. Dans l'urgence, les protocoles se sont concentrés sur les thérapies anti-inflammatoires et anti-coagulantes, et ont laissé les thérapies antivirales, pour eux inutiles... ce qui explique le faible taux de mortalité du Maroc (moins de 200 morts pour une population égale à la moitié de la population française) qui avait choisi dès ''J zéro'' les protocoles du Pr Raoult, aujourd'hui interdits... puisqu'il semblerait de plus en plus qu'ils étaient les seuls efficaces. A vérifier, bien entendu. Mais sachant cela, même si ça n'est pas encore passé par les fourches caudines des ''Experts'' qui bloquent tout ce qui ne vient pas d’eux, le discours d'aujourd'hui m'a paru complètement surréaliste. Nous en reparlons... après le pont de la Pentecôte : espérons que l'Esprit Saint nous éclairera !
H-Cl.
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Rabat abrite le 2è Congrès international sur la médecine d'urgence
Rabat abrite le 2è Congrès international sur la médecine d’urgence
La Société marocaine de Médecine d’urgence (SMMU) organise les 19 et 20 octobre à Rabat son 2è Congrès international sous le thème « les essentiels en médecine d’urgence ». (more…)
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laboratoriessalem · 4 years
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La drépanocytose est une maladie génétique héréditaire (de transmission autosomique récessive). En claire, la maladie est transmise par les deux parents, elle n'est bien entendu pas contagieuse. Pour être malade, il faut que l'enfant reçoive de chacun de ces deux parents un allèle muté du gène régissant la structure de l'hémoglobine, la protéine qui assure le transport de l'oxygène dans le sang. S'il n'en reçoit qu'un, il ne développera pas la maladie, mais pourra la transmettre s'il a un enfant avec une personne dans le même cas que lui. Deux "porteurs sains" ont alors une chance sur quatre d'avoir ensemble un enfant malade. Il s'agit d'une maladie du sang, et plus particulièrement de l'hémoglobine. Les globules rouges sont déformés et ont du mal à circuler dans le sang et peuvent parfois se bloquer dans les vaisseaux sanguins. La forme de la maladie se manifeste avant l'âge de deux ans, entre 12 et 18 mois et se caractérise par : ▪️Un ictère (ou jaunisse) ; ▪️Un teint pâle ; ▪️Des douleurs abdominales ; ▪️Une anémie ; ▪️Une sensibilité aux infections. Des crises douloureuses abdominales et des douleurs des membres sont caractéristiques. L'enfant atteint d'un syndrome drépanocytaire majeur est très exposé aux infections banales ou sévères : pneumopathies, méningites, septicémies, ostéomyélites etc. Ces infections sont sévères notamment chez les enfants drépanocytaires de moins de 5 ans. Elles provoquent également des complications propres à la drépanocytose : ▪️Aggravation de l'anémie (pâleur, asthénie, gêne respiratoire, ictère) ; ▪️Accident vasculaire thromboembolique (hémiplégie, infarctus pulmonaire…) ; ▪️Crises brutales de déglobulisation (aplasie médullaire transitoire) ; ▪️Crises douloureuses... 👨‍⚕️ #LaboSalem #Drepanocytose #Sante #Anémie #maladiegenetique #maladiehereditaire #ictère #hemiplegie #asthénie #generespiratoire #infections #pneumonies #méningites #septicémies #ostéomyélite #jaunisse #algérie #algiers #algeria #oran #annaba #constantine #setif #infarctuspulmonaire #santenews #infoante #instalikes #instacomment #ppharma #medecine (à Algeria) https://www.instagram.com/p/B_CrN-1o4TP/?igshid=1n4athqprrhny
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mediamed · 5 years
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Les varices sont une anomalie fréquente et leur caractère bénin demeure incertain.
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Corréler varices et maladie thromboembolique veineuse
Les varices sont habituellement opposées à la maladie thrombo-embolique veineuse (embolie pulmonaire et thromboses veineuses profondes), qui est, en revanche, une cause de morbi-mortalité attestée.[...]
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Paul Desforges 28 10 2018
Source
Shyue-Luen Chang, MD, and al, Association of Varicose Veins With Incident Venous Thromboembolism and Peripheral Artery Disease, JAMA. 2018;319(8):807-817. 
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azveille · 6 years
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Actelion : demande auprès de l’EMA pour élargir l’indication d’OPSUMIT®
Actelion, qui fait partie des sociétés pharmaceutiques Janssen du groupe Johnson & Johnson, a annoncé avoir déposé un dossier d’une variation de type II auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA) dans le but d’élargir l’indication de l’OPSUMIT® (macitentan) pour inclure le traitement des patients adultes atteints d’hypertension pulmonaire thromboembolique chronique (HPTC) inopérable de classe fonctionnelle OMS (CF) II et III afin d’améliorer la capacité d’exercice. La HPTC est une forme rare d’hypertension pulmonaire (HP) et une complication potentiellement mortelle de l’embolie pulmonaire, avec la formation de tissus de types cicatriciels autour des caillots sanguins non éliminés dans les poumons, qui bloquent ou rétrécissent les artères. Sans intervention ou traitement, la maladie continue de progresser, et finit par causer une insuffisance ventriculaire droite (insuffisance cardiaque), puis le décès1. Une intervention chirurgicale éliminant les obstructions dans les poumons est l’option thérapeutique privilégiée pour la HPTC et présente un potentiel curatif2,3. Toutefois, une proportion substantielle (jusqu’à 50%) de patients atteints de HPTC est considérée comme inopérable4 et les options actuelles de traitement pharmacologique pour ces patients se limitent à une seule thérapie homologuée5,6. En cas d’approbation, l’OPSUMIT serait la première thérapie de sa catégorie (antagonistes des récepteurs de l’endothéline, ou ARE) disponible dans l’UE pour le traitement de la HPTC inopérable. « MERIT-1 fournit les premières données d’essai randomisé contrôlé sur des patients suivant une monothérapie ou une thérapie combinée, répondant ainsi à un besoin insatisfait clef en matière de HPTC », déclare Martin Fitchet, D.M., responsable international de la R&S chez Actelion, Janssen Research & Development, LLC. « En cas d’approbation, l’OPSUMIT a le potentiel de devenir une précieuse option thérapeutique pour les cas de HPTC inopérable. S’appuyant sur 20 ans d’expérience d’innovations inégalées dans le domaine de l’hypertension pulmonaire, Actelion s’engage à répondre aux besoins insatisfaits persistants pour cette maladie grave et limitant l’espérance de vie. Notre objectif final est de faire de l’hypertension pulmonaire une condition chronique gérable. » Le dossier se base sur les données de l’essai clinique randomisé, MERIT-1, qui a fait état d’améliorations significatives au niveau du critère principal et du critère secondaire de résistance vasculaire pulmonaire (RVP) et du test de marche de six minutes, respectivement, pour les patients traités au macitentan, en comparaison avec le placebo7. Les avantages du macitentan ont été observés indépendamment du fait que certains patients avaient reçu un traitement avec d’autres thérapies anti-HAP au niveau de base (majoritairement des inhibiteurs de phosphodiestérase de type 5 [PDE5])7. Le macitentan a été bien toléré chez cette population de patients, et l’innocuité a été en général cohérente avec le profil d’innocuité observé pour le macitentan lors de précédentes études cliniques sur la HAP7. Les résultats de l’étude ont été présentés en 2017 lors des sommets de l’American Thoracic Society (ATS) et de la European Respiratory Society (ERS), et publiés dans The Lancet Respiratory Medicine. L’OPSUMIT est un ARE actif par voie orale actuellement approuvé dans l’UE comme monothérapie ou comme thérapie combinée pour le traitement à long terme de l’hypertension artérielle pulmonaire (HAP) chez les patients adultes de CF OMS II et III8. Au mois de juillet de l’année dernière, l’administration américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) a accepté l’évaluation de la demande de nouveau médicament supplémentaire d’Actelion pour l’OPSUMIT pour le traitement d’adultes atteints de HPTC inopérable pour améliorer la capacité d’exercice et la résistance vasculaire pulmonaire (RVP). 1. Medrek S and Safdar Z. Methodist Debakey Cardiovasc J 2016; 12:195-8. 2. Galie N, et al. Eur Respir J 2015; 46:903-75. 3. Madani M, et al. Ann Am Thorac Soc 2016; 13 Suppl 3:S240-7. 4. Madani M, et al. Eur Respir Rev 2017; 26:170105. 5. Kim NH, et al. Heart 2017; 103:599-606. 6. Ghofrani HA, et al. N Engl J Med 2013; 369:319-29. 7. Ghofrani HA, et al. Lancet Respir Med 2017; 5:785-94. 8. Résumé des caractéristiques produit de l’OPSUMIT (macitentan). Actelion Pharmaceuticals Ltd. 9. Gall H, et al. Eur Respir Rev 2017; 26:160121. 10. Informations de prescription complètes de l’OPSUMIT (macitentan). Actelion Pharmaceuticals US, Inc.
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rbdum · 7 years
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Patients hospitalisés pour maladie veineuse thromboembolique (MVTE)
En 2014, 128 237 personnes ont été hospitalisées au moins une fois avec une MVTE en diagnostic principal ou associé, dont 60 440 pour EP. Près de 35 % de ces patients sont âgés de moins de 65 ans et près de 53 % sont des femmes. Les taux bruts de patients hospitalisés pour MVTE et pour EP augmentent de manière exponentielle avec l’âge ; passant, pour la MVTE, de 12,3/100 000 chez les moins de 25 ans à plus de 1 200/100 000 chez les plus de 85 ans. Le taux standardisé de personnes hospitalisées est respectivement de 198,6 pour 100 000 habitants pour la MVTE et de 93,5/100 000 pour l’EP. Ce taux est supérieur chez les hommes par rapport aux femmes (215,6 versus 182,6 pour la MVTE et 100,2 versus. 86,9 pour l’EP). Pendant la grossesse et le post-partum, l’incidence annuelle est de 180/100000 pour la MVTE et de 50/100 000 pour l’EP chez les femmes de 15 à 44 ans. Ainsi, les femmes enceintes et en post-partum sont exposées à un risque de MVTE environ 4 fois plus élevé que les femmes non enceintes de la même tranche d’âge. L’incidence de la MVTE et de l’EP hospitalisée n’est pas constante au cours de la grossesse et du post-partum. Une augmentation au cours des trois trimestres est observée, l’incidence atteignant un maximum dans la semaine suivant l’accouchement (2 414/100 000 pour la MVTE et 310/100 000 pour l’EP). Celle-ci diminue ensuite progressivement pour retrouver un niveau équivalent à celui des femmes non enceintes de cette tranche d’âge autour de la 12e semaine de post-partum. Entre 2002 et 2014, le taux standardisé de personnes hospitalisées pour EP est globalement resté stable. Cependant, cette stabilité masque des tendances opposées chez les plus de 65 ans et les moins de 65 ans. En effet, le taux a diminué chez les patients de plus de 65 ans (- 8 % chez les hommes et - 13 % chez les femmes), alors qu’il a augmenté chez les moins de 65 ans (48 % chez les hommes et 9 % chez les femmes). Des hausses importantes de l’incidence de l’EP ont également été mises en évidence dans d’autres pays. Une des hypothèses proposées est un surdiagnostic de l’EP lié à l’introduction, au début des années 2000, de nouveaux moyens diagnostics plus sensibles permettant de détecter des EP qui n’auraient pas toujours de pertinence clinique démontrée. D’autres hypothèses, comme l’augmentation de la prévalence de certains facteurs de risque comme l’obésité ou la sédentarité, ainsi qu’une meilleure survie des polytraumatisés et des patients atteints de cancers, pourraient également expliquer les évolutions défavorables observées avant 65 ans. D’autres pistes doivent être explorées pour comprendre les évolutions différentielles entre les hommes et les femmes jeunes. En 2014, le taux standardisé de patients hospitalisés pour EP varie d’une région à l’autre. Les taux les plus élevés sont observés dans un grand quart Nord-Est avec des taux supérieurs à 100/100 000. La région Bourgogne - FrancheComté est la région avec le taux d’hospitalisation le plus élevé (115/100 000), de plus de 20 % supérieur au taux national. En revanche, les taux sont inférieurs de 10 à 20 % par rapport au taux national en Bretagne, Pays de la Loire, NouvelleAquitaine, Corse et à La Réunion avec des taux standardisés d’EP inférieurs à 80/100 000. Le taux de patients hospitalisés pour EP ne varie pas en fonction du quintile de désavantage social de la commune de résidence. En revanche, un gradient est observé en fonction du quintile de désavantage social lorsqu’on limite l’analyse aux moins de 65 ans, avec des taux d’hospitalisation pour EP plus élevés dans le quintile de population résidant dans les communes les plus défavorisées socio-économiquement (ratio Q5/Q1 = 1,29).
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dorothydeaton62 · 7 years
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Association européenne d’hématologie : les hémorragies et la coagulation chez les patients âgés souffrant de la maladie thromboembolique veineuse associée au cancer : qu’est-ce qui est pire ?
MADRID, June 24, 2017 /PRNewswire/ — Le risque de caillots de sang dans les veines des jambes ou les poumons, connu comme thrombose veineuse (VTE) est plus élevé chez les patients souffrant de cancer, ainsi que le risque d’hémorragies. Tandis que le traitement aux anticoagulants…
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dorothydeaton62 · 7 years
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Association européenne d’hématologie : les hémorragies et la coagulation chez les patients âgés souffrant de la maladie thromboembolique veineuse associée au cancer : qu’est-ce qui est pire ?
MADRID, June 24, 2017 /PRNewswire/ — Le risque de caillots de sang dans les veines des jambes ou les poumons, connu comme thrombose veineuse (VTE) est plus élevé chez les patients souffrant de cancer, ainsi que le risque d’hémorragies. Tandis que le traitement aux anticoagulants…
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dorothydeaton62 · 7 years
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MADRID, June 24, 2017 /PRNewswire/ – Le risque de caillots de sang dans les veines des jambes ou les poumons, connu comme thrombose veineuse (VTE) est plus élevé chez les patients souffrant de cancer, ainsi que le risque d'hémorragies. Tandis que le traitement aux anticoagulants…
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dorothydeaton62 · 7 years
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MADRID, June 24, 2017 /PRNewswire/ -- Le risque de caillots de sang dans les veines des jambes ou les poumons, connu comme thrombose veineuse (VTE) est plus élevé chez les patients souffrant de cancer, ainsi que le risque d'hémorragies. Tandis que le traitement aux anticoagulants...
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