#Miroslaw Baszak

[scenesandscreens]

The Strain, Season Four (2017)

Directed by J. Miles Dale, Kevin Dowling, Norberto Barba, Thomas Carter, Paco Cabezas & Jennifer Lynch

[nofatclips]

Rapture (Blondie cover) by Soldier Boy, “live” on Solid Gold

[saturdaynightmatinee]

CALIFICACIÓN PERSONAL: 7 / 10

Título Original: George A. Romero's Land of the Dead

Año: 2005

Duración: 93 min

País: Estados Unidos

Dirección: George A. Romero

Guion: George A. Romero

Música: Reinhold Heil, Johnny Klimek

Fotografía: Miroslaw Baszak

Reparto: Simon Baker, John Leguizamo, Dennis Hopper, Asia Argento, Robert Joy

Productora: Universal Pictures, Atmosphere Entertainment MM, Romero-Grunwald Productions, Wild Bunch, Rangerkim, Ontario Media Development Corporation, Wild Bunch. Distribuidora: Universal Pictures, Universal Pictures

Género: Horror; Thriller;Sci-Fi

TRAILER:

[boardchairman-blog]

**Shots of the Episode**

The Boys (2019)

Season 3, Episode 3: “Barbary Coast” (2022) Director: Julian Holmes Cinematographer: Miroslaw Baszak

[sesiondemadrugada]

Roadkill (Bruce McDonald, 1989).

[katnisshawkeye]

House at the End of the Street

Scheda informativa

Regia: Mark Tonderai

Cast: Jennifer Lawrence (Elissa Cassidy), Max Thierot e Bobby Osborne (Ryan Jacobson), Elizabeth Shue (Sarah Cassidy), Eva Link e Grace Tucker-Duguay (Carrie-Ann Jacobson), Gil Bellows (Bill Weaver, Danny Peters), Nolan Gerard Funk (Tyler Reynolds), Nolan Gerard Funk (Ben Reinolds), Jonathan Malen (Ray), Allie MacDonald (Jillian), Jon McLaren (Zak), Jordan Hayes (Peggy Jones), Krista Bridges (Mary Jacobson), John Healy (John Jacobson)

Produzione: FilmNation Entertainment, Relativity Media, A Bigger Boat

Fotografia: Miroslaw Baszak

Musiche: Theo Green

Sceneggiatura: Lisa Soper

Costumi: Jennifer Stroud

Uscita: 21 settembre 2012 (Stati Uniti)

Durata: 101 minuti

Trama

John e Mary Jacobson vengono uccisi dalla propria figlia, Carrie-Anne. Quattro anni dopo Sarah Cassidy e sua figlia Elissa si trasferiscono nella casa accanto, rimasta abitata solo più dal primogenito Jacobson, dopo il divorzio con il marito e padre di Elissa.

Recensione

La trama è molto semplice, e seppure è catalogato come “horror” direi che è più un thriller psicologico. È un po’ scontato, anche se ti rimangono fino alla fine - e anche dopo - i dubbi sulla verità: è proprio questo il motivo per cui ti tiene attaccato allo schermo. Con questo film, Jennifer Lawrence si cimenta per la prima volta nella recitazione di un horror/thriller, venendo sostenuta da una Elizabet Shue che è proprio una madre: sempre preoccupata per la figlia, con il sesto senso per i problemi, desiderosa di non far compiere gli stessi errori da lei commessi anche a sua figlia. Compare come “co-protagonista” Max Thierot, che seppure non è ai livelli recitativi di Jennifer Lawrence, è credibile nel suo ruolo: il figlio abbandonato da tutti dopo che la sorella minore ha ucciso i propri genitori, il ragazzo della casa in fondo alla strada di cui tutti sparlano; nessuno si aspetterebbe mai che è lui il colpevole, e neanche che dietro ai suoi comportamenti c’è una storia psicologica dettata dal comportamento dei suoi genitori stessi. Risulta essere il perfetto bilanciamento tra l’amico e l’antagonista (di cui, per altro, nessuno sospetta). Produzione e post-produzione sono state azzeccate, sia per quanto riguarda le inquadrature e le sequenze sia per quanto riguarda la musica: l’equilibrio tra piani sequenza dal punto di vista della protagonista è ben bilanciato dagli stacchi improvvisi che lasciano la scena in suspense.

Valutazione

★★★★☆ 4.5/5

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[olivierdemangeon]

    À la recherche d’une femme disparue dans le Dakota du Nord, un agent du FBI et un shérif se concentrent sur son mari, religieux zélé, mais découvrent quelque chose de bien plus étrange…

    Origine du film : Canada, États-Unis Réalisateur : Clay Staub Scénaristes : Peter Aperlo, Clay Staub Acteurs : Amanda Schull, Shawn Ashmore, Milo Ventimiglia, Bridget Regan, Jonathan Frakes, Sarah Constible, Beverly Ndukwu, Jan Skene, Adam Hurtig Musique : Keefus Ciancia Genre : Horreur, Science-fiction, Thriller Durée : 94 minutes Date de sortie : 5 janvier 2018 (États-Unis) Année de production : 2017 Sociétés de production : Caramel Film, Mednick Productions Distribué par : IFC Midnight, ACE Entertainment, Netflix Titre français : Enlèvement Notre note : ★★☆☆☆

    “Devil’s Gate”, ou “Enlevement” pour la distribution française, un thriller d’horreur teinté de science-fiction d’origine américano-canadienne. Un métrage datant de 2017, co-écrit et réalisé par Clay Staub, qui signe là son premier long-métrage, après avoir été directeur de la seconde unité sur des métrages comme “300” (2006) ou “Justice League” (2017). Les acteurs principaux sont Amanda Schull, qu’on a pu voir dans “The Revenge” (2016), Shawn Ashmore, qu’on a pu voir dans “Acts of Violence” (2018), et Milo Ventimiglia, qu’on a pu voir dans “Killing Season” (2013).

L’histoire proposée par “Devil’s Gate” nous invite à suivre Daria Francis (Amanda Schull), une agente du FBI, chargée d’enquêter sur la disparition mystérieuse d’une femme et de son enfant. Accompagné dans ses investigations de Conrad Salter (Shawn Ashmore) alias Colt, l’un des adjoints du shérif, c’est tout naturellement qu’ils se présentent au domicile du mari de la disparue, Jackson Pritchard (Milo Ventimiglia). La maison isolée n’est guère accueillante et l’homme est agressif à tel point que les deux représentants de la loi doivent user de la force pour empêcher ce dernier d’user de la violence. Alors qu’ils perquisitionnent la maison, ils découvrent dans la cave un être dont ils n’arrivent pas à déterminer l’origine. Dès lors les conditions météorologiques se déchaînent contre eux, les confinant dans la lugubre demeure, qui semble cacher bien des secrets…

Les prémisses de “Devil’s Gate” sont vraiment excellentes. Le métrage débute avec la mort violente d’un premier individu qui finalement s’avère être un dommage collatéral des événements. Les débuts de l’enquête sont très captivants et on accroche aisément au récit. Mais brusquement tout tombe à plat dès que la première révélation se fait jour, soit à peine après une vingtaine de minutes. Alors qu’on s’orientait vers le concept d’une présence démoniaque, ce qui correspondait d’ailleurs avec le titre original, l’introduction de l’approche science-fiction avec la présence d’extraterrestres fait chuter le métrage dans le ridicule.

Du coup, plus rien ne fonctionne. Le côté religieux devient grotesque et n’a aucune raison d’être, dans la mesure où l’histoire se transforme en une vulgaire histoire d’enlèvement des humains par des extraterrestres. L’horreur n’est guère au rendez-vous, en dehors d’une ou deux scènes gores, c’est plutôt léger. Il n’y a rien d’effrayant dans “Devil’s Gate”, à moins d’être hyper-sensible. La photographie proposée par Miroslaw Baszak est plutôt asthénique, se limitant dans sa grande majorité à l’intérieur de la maison et de sa cave, ainsi que son extérieur proche. Les effets spéciaux sont propres mais basiques.

L’édition, signée Guillaume Girard et Yvann Thibaudeau, est probablement le point le plus positif, car elle nous évite de nous éterniser avec ce métrage qui ne dure que 94 minutes. La bande musicale orchestrée par Keefus Ciancia est discrète. La distribution offre d’honorables prestations, d’où Amanda Schull s’en sort le mieux. A contrario, Milo Ventimiglia, manque de crédibilité, probablement perdu dans un personnage qui ne sait plus où il en est, entre la religion, l’héritage familial, la disparition de ses proches, et sa propre identité… C’est beaucoup trop brouillon, même pour l’acteur qui semble ne pas savoir sur quel pied danser. Jonathan Frakes, bien que peu présent à l’écran, nous offre un personnage énigmatique, qui semble en savoir plus qu’il ne le laisse entendre. L’acteur donne beaucoup de relief à son personnage dans une proportion harmonieuse pour créer le mystère.

En conclusion, “Devil’s Gate” est un film raté, car le thème est brouillé par une absence d’orientation précise. Horreur, science-fiction, satanisme, enlèvement, surnaturel, extraterrestre, c’est trop désordonné pour qu’on se positionne dans l’histoire. L’histoire est chaotique, l’intrigue et le développement sont médiocres. Le rythme est plutôt soutenu, le récit est cafouilleux et la narration est linéaire. La photographie est simpliste, les effets spéciaux sont présentables mais basiques, la bande originale est sobre et l’édition permet de ne pas souffrir trop longtemps face au manque d’originalité du métrage. La distribution offre d’honorables prestations au service de personnages qui manquent également de fluidité. Un film dont on pourra se dispenser…

    DEVIL’S GATE (2017) ★★☆☆☆ À la recherche d'une femme disparue dans le Dakota du Nord, un agent du FBI et un shérif se concentrent sur son mari, religieux zélé, mais découvrent quelque chose de bien plus étrange...

[vveylandyutani]

Pontypool [2008] dir. Bruce McDonald

DoP: Miroslaw Baszak

[memoriastoica]

Land of the Dead (2005)

[boardchairman-blog]

**Shots of the Episode**

The Boys (2019)

Season 3, Episode 7: “Here Comes a Candle to Light You to Bed” (2022) Director: Sarah Boyd Cinematographer: Miroslaw Baszak

[boardchairman-blog]

**Shots of the Episode**

The Boys (2019)

Season 3, Episode 8: “The Instant White-Hot Wild” (2022) Director: Sarah Boyd Cinematographer: Miroslaw Baszak

[boardchairman-blog]

**Shots of the Episode**

The Boys (2019)

Season 3, Episode 4: “Glorious Five Year Plan” (2022) Director: Julian Holmes Cinematographer: Miroslaw Baszak

[saturdaynightmatinee]

CALIFICACIÓN PERSONAL: 5 / 10

Título Original: The Boondock Saints II: All Saints Day

Año: 2009

Duración: 117 min

País: Estados Unidos

Director: Troy Duffy

Guion: Troy Duffy

Música: Jeff Danna

Fotografía: Miroslaw Baszak

Reparto: Sean Patrick Flanery, Norman Reedus, Billy Connolly, Clifton Collins Jr., Julie Benz, Peter Fonda, Judd Nelson, David Della Rocco, Bob Marley, Brian Mahoney, David Ferry, Gerard Parkes, Richard Fitzpatrick, Zachary Bennett

Productora: Apparition, Stage 6 Films

Género: Action, Crime, Thriller

https://www.imdb.com/title/tt1300851/

TRAILER: