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#Nou Nazareth
12endigital · 2 months
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Sant Joan abre la rotonda de Nou Nazareth que conecta con Alicante
a está abierta al tráfico la rotonda que conecta los términos municipales de Sant Joan d’Alacant y Alicante dentro del sector urbanístico de Nou Nazareth. Dicha glorieta se encuentra en la conexión de la avenida Músico Maestro Antonio Climent, dentro del término de Sant Joan, con la avenida Conrado Albaladejo, situada en el término de Alicante. La glorieta, situada entre las avenidas Maestro…
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christophe76460 · 5 hours
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NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST, LE TOUT PUISSANT 🔥, AVEC LUI QUI CRAIGNONS-NOUS ?
Si vous êtes en Christ , ne craignez rien !
Matthieu 28 ( 18- 20)
Jésus s'approcha et leur parla ainsi :
Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre .
Allez et faites de toutes les nations des disciples, baptisez-les au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, ❤️✝️🔥
Et enseignez-leur à garder tout ce que je vous ai prescrit.
Et voici , je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde .
Jean 14 ( 19 -21 )
Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus, mais vous , vous ne me verrez parce que je vis, et que, vous aussi, vous vivrez .
En ce jour là, vous connaîtrez que Moi, je suis en mon Père, vous en Moi, et Moi en vous .
Celui qui a mes commandements et qui les garde , c'est celui qui m'aime .
Celui qui m'aime sera aimé de mon Père, Moi aussi je l'aimerai et je me manifesterai à lui .
Celui qui aime son Dieu n'est jamais déçu, car s'il l'appelle et le cherche , il le trouve et le Seigneur lui parle d'une manière ou d'une autre ...
Soyez attentifs, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas votre cœur ❤️.
Soyez bénis mes Biens-aimés Amis, frères et sœurs dans le Nom précieux et parfait de Jésus Christ de Nazareth notre Sauveur et Roi ❤️🔥✝️ Amen 🙏🙏
Ghislaine Wackenier
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whencyclopedfr · 20 days
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La Vie de Jésus de Nazareth dans les Évangiles
Les seules sources concernant la vie de Jésus de Nazareth sont les évangiles canoniques (ceux inclus dans la version autorisée du Nouveau Testament). Nous ne disposons d'aucun témoignage contemporain de l'époque où Jésus vivait et prêchait en Israël. L'évangile le plus ancien, Marc, fut écrit approximativement en 65 ou 70 ap. J.-C., suivi de Matthieu, Luc et Jean. Les lettres de Paul, premières traces du mouvement chrétien, furent écrites dans les années 50 et 60 ap. J.-C., mais contiennent très peu d'informations sur le Jésus historique. Voici un résumé des événements rapportés dans les quatre évangiles:
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basilepessoart · 25 days
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Discussion théologique interminable de 100 pages entre branle-nouilles (sauf 4 ou 5) sur un autre Fb, sur le "judéo-christianisme" qui serait un terme idoine, et si tu dis que non, tu es, bien évidemment, antisémite. Résumons pour ces intellocrates.
1. Oui, Jésus eu'd Nazareth était juif
2. Oui, ses apôtres itou
3. Oui, il a créé un schisme contre le judaïsme : eu'l christianisme.
4. Oui, cette religion a repris des éléments de son prédécesseur, mais a expurgé ceux qui ne lui convenaient pas, telle une violence bien trop présente
Exiger que nous acceptions ce terme judéo-chrétien sous menace d'"excommunication" par le nouveau Grand Sanhédrin, c'est comme imposer à une femme ou un homme divorcé(e) de garder le nom de son ex alors qu'il ou elle peut plus le blairer. Basile Pesso, Land of Somewhere, 26 août 2 024 (Fb) Cracker, Useless Stuff
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yes-bernie-stuff · 27 days
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Dimanche 25 août 2024
[Jésus] descendit avec [ses parents] et vint à Nazareth ; et il leur était soumis.
Luc 2. 51
Soyez donc soumis à toute autorité instituée parmi les hommes, à cause du Seigneur.
1 Pierre 2. 13
Soumission
Lecture proposée : Luc 2. 41-52
La Parole de Dieu nous rapporte un seul épisode de l’enfance de Jésus. Il se trouve dans l’évangile de Luc. Jésus a 12 ans, il accompagne ses parents à Jérusalem, pour célébrer la fête de la Pâque. Alors que Joseph et Marie retournent chez eux avec la foule des voyageurs, Jésus reste à Jérusalem. Lorsqu’ils s’aperçoivent qu’il n’est pas avec eux, ses parents retournent en hâte à Jérusalem, et le cherchent pendant trois jours. Ils le trouvent enfin dans le temple, tout entier absorbé par “les affaires de son Père”, écoutant et interrogeant les spécialistes religieux. Ses parents lui font des reproches. Jésus leur explique paisiblement la raison de son attitude. Puis il repart avec eux, soumis à ses parents, comme il convient à un enfant de douze ans…
La soumission est une chose essentielle aux yeux de Dieu. Aujourd’hui, elle est souvent mal comprise et mal acceptée. On estime que celui qui est soumis est inférieur à celui auquel il se soumet. Or la soumission, telle que Dieu l’enseigne, n’a rien à voir avec notre valeur personnelle. C’est une question de situations différentes de l’un et de l’autre, selon un ordre voulu par Dieu, dans sa sagesse.
L’attitude de Jésus à l’âge de douze ans nous aide à le comprendre. Jésus enfant est soumis à ses parents, lui le Fils de Dieu ! Ses parents lui sont-ils supérieurs ? Évidemment non ! Mais Dieu a établi un ordre dans la famille et dans la société, pour le bien et l’harmonie des humains, et Jésus s’y est conformé, lui le Créateur !
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blogdimanche · 1 month
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Évangile de Jésus-Christ selon Saint Jean 6,51-58
 
« En ce temps-là, Jésus disait à la foule :
51 « Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. »
52 Les Juifs se querellaient entre eux : « Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger ? »
53 Jésus leur dit alors : « Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous.
54 Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
55 En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
56 Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui.
57 De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi.
58 Tel est le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. »
Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Jn 6,51
« Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie. » (Jn 6,51) Il n’est pas question ici d’anthropophagie, tout le monde l’a bien compris. Et les auditeurs de Jésus ne l’ont évidemment pas soupçonné d’une telle barbarie. Nous avons vu, déjà, que le monde juif avait une grande habitude d’employer la métaphore de la nourriture et de la boisson. Et l’on savait bien qu’il est des faims plus urgentes et tenaces que celles de l’estomac. Tout comme un homme au ventre bien nourri peut cependant mourir d’inanition affective, notre cœur tenu loin du Seigneur finit par mourir d’inanition spirituelle. Dans ce sens, le Livre des Proverbes présentait la Sagesse de Dieu comme une maîtresse de maison invitant largement : « Mangez de mon pain, buvez de mon vin… Celui qui me trouve a trouvé la vie. » (Pr 9,5 ; 8,35). C’est bien pour cela que les auditeurs de Jésus étaient choqués par ses propos : pour qui se prenait-il ? Il se prenait pour l’Envoyé de Dieu, c’était évident, mais justement, c’était inacceptable. Nous sommes au chapitre 6 de l’évangile de Jean ; déjà dans les chapitres précédents, l’évangile nous rapporte comment à plusieurs reprises, Jésus s’est révélé comme l’envoyé de Dieu qui donne la vie au monde ; à chaque fois, il a affronté l’incompréhension, voire même le refus de certains : dès les premières lignes de son Évangile, ce que l’on appelle le « Prologue », Jean médite, avec étonnement peut-être, le refus que Jésus a essuyé de la part de bon nombre de ses contemporains : « Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu. » (Jn 1,11). Seuls, quelques-uns entraient peu à peu dans le mystère : ceux qui, tout simplement, je devrais dire humblement, acceptaient de l’écouter et de se laisser enseigner par lui au lieu de commencer par raisonner. Pourtant, Jésus, de Nazareth en Galilée, Juif parmi les Juifs, parlait avec les mots, les raisonnements, les images de son temps : ses auditeurs pouvaient donc le comprendre au moins au niveau du vocabulaire ; mais la majorité ne pouvait pas se décider à le suivre. Il faut dire que le sujet est particulièrement difficile. Nous sommes toujours dans la synagogue de Capharnaüm, au moment où Jésus a prononcé son grand discours sur le pain de vie. Quand Jean écrit son évangile, il y a déjà plusieurs dizaines d’années que les premiers Chrétiens se nourrissent du corps et du sang du Christ chaque semaine et méditent ce grand mystère ; à notre tour, quand nous disons « Il est grand le mystère de la foi » en plein cœur de la célébration eucharistique, justement, nous essayons de déchiffrer cette réalité incroyable : « De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même aussi celui qui me mangera vivra par moi. » Voilà le cadeau que Dieu nous propose : vivre de sa propre vie. Nouveau pas dans la Révélation, Jésus va dire maintenant comment il nourrit le monde : une parole, on la lit, on essaie de la comprendre, voire d’y conformer sa vie. Mais Jésus va plus loin : il parle de chair à manger, de nourriture, c’est-à-dire d’assimilation profonde. Il évoque ici, très certainement, la Passion et la Croix. Bien, sûr, là encore, nous butons sur le mystère, et ses auditeurs n’y ont pas manqué, mais on ne peut nier que tout le Nouveau Testament a compris que c’est dans la Passion et la Croix du Christ que le monde a retrouvé la vie. Faut-il s’étonner de ne pas comprendre ? Comment la raison raisonnante, notre pesante raison humaine atteindrait-elle le mystère du Père ? Nous n’avons qu’une seule chose à faire, nous laisser attirer par Dieu ; il suffit de se laisser attirer, de se laisser instruire. Pour le dire autrement, ne cherchons pas à comprendre le mystère, cherchons simplement à nous laisser entraîner par celui seul qui peut nous y faire pénétrer. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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ondessiderales · 3 months
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Bouc émissaire
« Un bouc émissaire est un individu, un groupe, une organisation, etc., choisi pour endosser une responsabilité ou expier une faute pour laquelle il est, totalement ou partiellement, innocent. Le phénomène du bouc émissaire peut émaner de motivations multiples, délibérées (telles que l'évasion de responsabilité) ou inconscientes (telles que des mécanismes de défense internes). Par ailleurs, le processus peut se mettre en place entre deux personnes (par ex., un employé et son subalterne), entre des membres d'une même famille (par ex., un enfant pris pour bouc émissaire), entre les membres d'une organisation (par ex., les responsables d'une entreprise) ou à l'intérieur de tout autre groupe constitué. Outre cet aspect intra-groupal, le phénomène peut également être inter-groupal et s'observer alors entre des groupes différents (au sein d'un pays ou d'une société).
Une des origines de ce concept peut être trouvée dans la Grèce antique où le pharmakos (en grec ancien : φαρμακός, celui qu'on immole en expiation des fautes d'un autre) désigne la victime expiatoire dans un rite de purification largement utilisé dans les sociétés primitives. Le mot a fini par prendre en grec, à l'époque classique, la signification de malfaiteur. Afin de combattre une calamité ou de chasser une force menaçante, une personne, parfois revêtue de vêtements sacrés, ou un animal était choisi et traîné hors de la cité, où il était mis à mort ou abandonné à lui-même. Cette victime sacrificielle, innocente en elle-même, était censée, comme le bouc émissaire hébreu, se charger de tous les maux de la cité. Le philosophe français René Girard en a fait l'un des fondements de sa théorie du bouc émissaire dans La violence et le sacré. »
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« L'innocence du bouc émissaire, que nous connaissons bien aujourd'hui, est révélée par les textes bibliques et tout particulièrement par la Crucifixion de Jésus-Christ, d'ailleurs parfois appelé « l'Agneau de Dieu » en référence au bouc émissaire. C'est bien la foule, et à travers elle, toute l'humanité, qui rejette ses fautes, culpabilités et péchés sur Jésus. Il est devenu impensable aujourd'hui de se représenter un ordre social antérieur à la révélation évangélique. Avec l'avancée de la révélation évangélique et l'évangélisation du monde au sens fort du terme (en plus du sens exclusivement religieux), le monde, privé de sa solution préférée, le mécanisme émissaire, devient de plus en plus violent, quoique les formes de civilisations ne cessent d'évoluer pour contenir, dans les deux sens du terme, cette violence dite « apocalyptique ».
« Ecce homo est une expression latine signifiant « voici l'homme ». Il s'agit de l'expression prêtée à Ponce Pilate, gouverneur romain de Judée, dans la traduction de la Vulgate de l'Évangile selon Jean (19:5) lorsqu'à Jérusalem, il présente à la foule Jésus de Nazareth sortant du prétoire, après la flagellation. La phrase correspondante en grec ancien est Ἰδού ὁ ἄνθρωπος / Idoύ ho anthrôpos.
Un Ecce Homo sur le plan artistique est une représentation de Jésus de Nazareth debout, couronné d'épines et revêtu d'une cape, les deux mains entravées par une corde, tenant un sceptre de roseau. Cette représentation peut comporter des variantes selon les œuvres. »
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« La Violence et le Sacré (écrit alors que René Girard enseigne la littérature à la State University of New York) est le résultat d'une décennie de recherches; il représente la première étape importante dans l'exploration des ramifications de sa théorie du désir mimétique en relation avec l'anthropologie, la tragédie grecque et la mythologie.
L'ouvrage est empreint de l'influence de Georges Bataille.
L'ouvrage avance une série d'hypothèses au sujet de la génération et de la stabilisation d'un ordre culturel dans les sociétés primitives et la communauté en général. Il défend l'idée que le désir mimétique conduit souvent fatalement à la naissance de rivalités et au conflit, et que l'origine de l'ordre social et de sa stabilité réside dans des actes répétés de violence collective envers une victime solitaire ou un groupe de victimes, le bouc émissaire. Girard émet l'hypothèse d'un mécanisme morphogénétique intervenant dans l'émergence d'un ordre culturel et social : le mécanisme de la victime sacrificielle. Girard envisage la religion comme un moyen de régulation de la violence sociale, ainsi que de création de cohésion sociale. Il affirme qu'à travers le sacrifice, la violence qui menace la communauté est rituellement chassée, retournée vers l'extérieur plutôt que vers l'intérieur de la communauté et vers ses membres. Girard, qui envisage la société explicitement comme une affaire d'hommes, met en relation le sacrifice et la religion : la fonction de la religion réside selon lui dans le maintien de la violence en dehors de la communauté, par les moyens du mécanisme du bouc émissaire ou de ses rituels de substitution. René Girard se démarque de la pensée de son temps à propos de l'œuvre de Freud, à une époque où, comme il le dit : « la critique contemporaine est à peu près unanime sur le compte des thèses développées dans Totem et Tabou », alors jugées « inacceptables » : selon lui, le concept freudien de meurtre collectif se rapproche des thèmes de son propre travail de recherches. »
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the0phani3 · 3 months
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Sur la Messe en latin
C'est dimanche ! Quel meilleur jour pour aborder le sujet de l'emploi du latin pour célébrer le saint sacrifice de la messe ? Exactement ! C'est le meilleur !
Le rite de la Messe
Le rite romain / tridentin (du Concile de Trente) / Saint Pie V (du pape qui a achevé de le codifier) est exprimé en latin.
Le saint sacrifice de la Messe est celui de NS Jésus-Christ qui vient s'immoler sur l'autel, renouvelant de manière non-sanglante le Sacrifice du Calvaire. Il s'offre en hostie à son Père pour racheter nos fautes ; et en communiant, nous recevons véritablement notre Seigneur.
2. L'usage du latin comme langue sacrée
Si l'on comprend la grandeur de ce qui s'opère sous nos yeux, sur l'autel, on entend qu'un tel sacrifice nécessite une langue sacrée (retirée de l'usage quotidien, en opposition à une langue profane).
Tout d'abord, les prières ne sont pas adressées au fidèles mais au Bon Dieu. D'où aussi la posture du prêtre tournée vers l'autel, dos aux assistants, et les prières prononcées à voix basses (secreto). En théorie, les fidèles "n'ont même pas à comprendre", mais c'est en vérité permis et rendu aisé par l'usage de missels bilingues.
Paul VI a reconnu lui-même, en supprimant le latin de la liturgie, qu'il s'agissait de la langue sacrée de l'Église.
Cette langue est une par lesquelles Dieu a communiqué avec les hommes avec l'hébreu et le grec : on peut citer
scripsit autem et titulum Pilatus et posuit super crucem erat autem scriptum Iesus Nazarenus rex Iudaeorum hunc ergo titulum multi legerunt Iudaeorum quia prope civitatem erat locus ubi crucifixus est Iesus et erat scriptum hebraice graece et latine
Pilate fit une inscription, qu'il plaça sur la croix, et qui était ainsi conçue: Jésus de Nazareth, roi des Juifs. Beaucoup de Juifs lurent cette inscription, parce que le lieu où Jésus fut crucifié était près de la ville: elle était en hébreu, en grec et en latin.
Évangile de Saint Jean 19, 19-22
3. L'usage du latin comme langue universelle
"Catholique" signifie "universel", le latin vient comme langue universelle unir les fidèles (la division des langues étant une conséquence de l'orgueil humain).
C'est aussi une langue intemporelle et peu soumise à des évolutions. Elle garantit donc une unité dans l'Église.
4. Pourquoi la traduction pose problème
Traduire, c'est trahir le texte. Pour la messe de Paul VI (de Vatican II), il ne s'agit pas d'une traduction mais d'une modification : certains passages sont changés dans leur sens (par exemple le Confiteor simplifié).
Les sacrements de l'Église sont constitués d'une matière et d'une forme pour être efficients. Par exemple, pour le Baptême, la matière est l'eau bénite et la forme la formule "Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit".
Ainsi, par exemple, dans le cas de la messe en français, le pro multis de la formule de Consécration du Pain et du Vin (soit durant la Transsubtantiation, le coeur de la Messe) devient "pour tous". On peut donc s'interroger sur la présence réelle de Jésus sur l'autel.
5. Pourquoi, au fond, ça pose problème ?
La vraie problématique de la langue n'est pas dans la questionde comprendre / ne pas comprendre la messe (question réglée par de la bonne volonté et l'usage de missels bilingues qui permettent de participer au saint sacrifice). Le problème réside dans la conception de la messe.
La messe consiste essentiellement dans le saint sacrifice opéré par NS à travers le prêtre et offert au Bon Dieu. Même si elle peut être instructive (sermons en langue vernaculaire), ça n'est pas son principal objectif. Ainsi, les fidèles n'ont pas à tout entendre et comprendre (et ils le peuvent s'ils le souhaitent en lisant les prières).
Bon et Saint dimanche !
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claudehenrion · 4 months
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Le christianisme à ses sources...
C'est souvent que nous faisons, dans ce blog, référence au christianisme, et –mais moins souvent-- à la personne de Jésus : je n'ai pas mémoire d'avoir consacré un seul éditorial à ce personnage, ce qui est pour le moins étrange... Homme, Dieu, Homme-Dieu ou Dieu fait Homme Fils de Dieu ou Dieu-le-fils'. qui était, qui est Jésus ? Un retour aux sources du christianisme n'est sans doute pas un luxe, en ces jours de décadence où l'Homme perd, consciemment, toutes les caractéristiques qui faisaient de lui... un Homme, justement.
Certains prétendent que l’église a ”inventé” la déité de Jésus en réécrivant le récit des évangiles, et un des livres de fiction les plus vendus, Le Code Da Vinci, a ''tiré'' à plus de 40 millions d'exemplaires sur ce seul argument. Le livre a bien enrichi son auteur, Dan Brown, mais son conte-fiction fut jugé comme une mauvaise histoire (ce qu'il est !) par tous les historiens sérieux, alors que la très vaste majorité de ces derniers voit aujourd'hui dans le Nouveau Testament ”le plus fiable de tous les documents anciens“, et cette tendance tend à se renforcer au fur et à mesure que les recherches bibliques progressent et rendent justice à cette source (Nous en avons parlé dans ce blog à de nombreuses reprises).
Il faut se rendre compte de la violence de ''l'irruption'' du Christ dans un monde juif qui n'était pas prêt à quelque innovation que ce soit : tout d’un coup, un fils de charpentier non-conformiste et totalement inconnu ''débarque'', sans aucune réputation en matière religieuse, et prétend avoir existé de toute éternité. En outre, il a le culot de dire ''JE SUIS'', ce qui est un privilège de Dieu ! Pour ces religieux, qui ''vivaient'' des Écritures de l’Ancien Testament, seul Yahvé était Dieu, et ils savaient que ”C’est moi qui suis l’Éternel, et hors moi il n’y a point de sauveur.” (Isaïe 43,11)
L'historien Clive Staples Lewis, professeur à Cambridge et ancien sceptique converti, a expliqué la fureur des docteurs de la loi : ''La scène est surréaliste : un inconnu de passage, venant des terres basses de Galilée, déclare tout d’un coup à quelques Pharisiens férus de citations religieuses qu’il est la lumière du monde, et il dit…''Je suis né du seul Dieu. Et avant Abraham, j’existe''. Or aucun être humain n’avait le droit, sous peine de mort, de dire ''je suis'', un nom de Dieu ! Convaincus que seul ''YHWH'' (Yahweh) est la lumière du monde, ils rétorquent avec indignation :”Tu rends témoignage de toi-même ; ton témoignage n’est pas vrai.” (Jn 8,13). ''Alors vient le vrai choc, écrit Lewis : cet homme dit qu’Il a toujours existé et qu’Il va venir juger le monde à la fin des temps,Il se met à parler comme s’Il était Dieu et, plus grave encore, Il prétend pardonner les péchés !
Jésus fait exploser les chefs religieux lorsqu'Il pardonne ses péchés à un paralytique, sous leurs yeux : ”Comment cet homme parle-t-il ainsi ? Il blasphème. Qui peut pardonner les péchés, si ce n’est Dieu seul ?” (Marc 2, 7). Dans l'optique du temps, leur rage peut presque se comprendre : ''Ce que cet homme disait était la chose la plus choquante qui ait jamais été proférée !''. Et comme pour tout compliquer Jésus a souvent utilisé ”JE SUIS” pour parler de Lui (citons, dans St Jean seulement : ”Je suis la lumière du monde”, ”Je suis le chemin, la vérité, et la vie”, ”Je suis la résurrection et la vie”, ”Je suis le bon berger”,  ''Je suis le pain vivant”, ”Je suis l’alpha et l’oméga”), ce qu'aucun de ses contradicteurs n'était en position de comprendre.
Il peut arriver, très rarement, que l'on ait l'impression de croiser la route d'un homme ou d'une femme qui attire tous les regards : des caractéristiques mystérieuses, indéfinissables le distinguent des autres. On peut penser que Jésus de Nazareth a été perçu ainsi, il y a deux mille ans : Il était différent, alors que sa seule et unique originalité, c’était Lui ! Il attirait des foules émerveillées par ses paroles inouïes et ses actes étonnants : Il était évidemment ''à part'' pour tous ceux qui l’ont vu et entendu, alors qu'Il ne s'est jamais écarté de son village natal de plus de 160 kilomètres.
Mais tandis que la plupart des grands hommes s’effacent et ne survivent plus que dans les livres d’histoire, Jésus reste un objet d'intérêt permanent pour l'humanité entière et le sujet de centaines d'ouvrages, année après année. L'historien juif Yosef Klausner, Professeur à l'Université hébraïque de Jérusalem et rédacteur en chef de l’Encyclopedia Hebraica, écrit : ''Il est universellement reconnu… que Christ énonça les lois éthiques les plus sublimes… qui font pâlir les préceptes moraux et les maximes des hommes les plus sages de l’antiquité. Jésus, qui fut un ''enseignant'' à nul autre pareil, est toujours le thème fondamental de milliers de livres, et de controverses publiques sans pareilles. ''.
 Deux exemples : (1)- Le ''Sermon sur la Montagne'' est considéré comme la parole superlative jamais exprimée sur les principes de morale ou d’éthique, et la plus grande partie de notre ''égalité des droits'' découle de cet enseignement de Jésus. (2)- La Déclaration d’Indépendance des USA, un texte d'importance planétaire, puise sa source dans l’enseignement christique : chaque individu a une importance égale et immense aux yeux de Dieu, indépendamment de son sexe, de sa race ou de son état social. ''Nous tenons ces vérités comme allant d’elles-mêmes : tous les hommes sont créés égaux et ils sont dotés par le Créateur de certains droits inaliénables''… 
Mais sous un autre angle de vue, et très étonnamment, Jésus ne s’est jamais présenté en chef religieux, ne s’est jamais mêlé des politiques religieuses et n’a jamais préconisé quelqu'ambitieux programme. Son ministère a été presque complètement en dehors de toute structure religieuse organisée et on chercherait en vain des attaques directes contre les religions alors pratiquées. Son message était simplement : Venez à moi , Suivez-moi, ou Suivez le Père, et Il a constamment répété que sa première mission était de pardonner les péchés, privilège de Dieu seul, ce qui nous ramène aux paragraphes précédents... et à ses rapports avec son temps.
La suite de ''l'aventure'', c'est-à-dire l'Histoire des Hommes depuis l'Ascension jusqu'à la fin des temps... ou en tout cas ''à l'étape du jour'', est encore plus étrange : selon toute logique, ce qui a été appelé beaucoup plus tard ''le christianisme'' aurait dû disparaître après le drame de la Croix, lorsque les disciples s’enfuirent pour sauver leur vie.... Les historiens restent, aujourd'hui encore, étonnés qu’un ”mouvement minuscule et insignifiant ait été capable de prévaloir contre la norme étroite de l’établissement juif, ainsi que sur la puissance de Rome”.  En l’espace de vingt ans, la revendication de ces paysans et pêcheurs galiléens avait bouleversé l’église juive, et en moins de cinquante ans, elle menaçait la paix de l’Empire romain.
CS Lewis –déjà cité-- écrit : ”Pensez à l’absurdité psychologique d’imaginer une petite bande de vaincus, se cachant dans une salle, un jour, et étant transformés, quelques jours plus tard, en une force qu’aucune persécution ne parvenait à faire taire.…Cela n’a simplement aucun sens”... sauf si, en ces jours de l'Octave de Pentecôte, on veut voir là l'action du Saint Esprit. Mais nous entrons là dans un autre sujet. Le nôtre, aujourd'hui, a été résumé par Will Durant, en une phrase lapidaire : ”César et Christ se sont rencontrés dans l’arène, et c'est le Christ qui a gagné”.
Autre sujet d'étonnement : Jésus n'a jamais dit clairement ''Je suis Dieu'', pas plus qu'Il n'a dit ''Je suis un homme''  ou  ''Je suis un prophète''). D'un côté, Sa nature humaine ne fait pas de doute, et ses fidèles le voyaient comme un prophète, comme Moïse ou Elie, mais on ne peut pas dire qu’il n’était ni l'un, ni l'autre sous le seul prétexte qu’il n’a pas prononcé ces mots. Pourtant, on ne peut pas non plus éliminer la divinité de Jésus, comme les paragraphes précédents l'ont montré.
En fait, il est très difficile, sur les bases des Evangiles, sources essentielles de nos connaissances sur Jésus, d'opérer une distinction entre le Jésus de l'Histoire et le Christ de la Foi. Les Evangiles sont inséparablement récit et confession alors que le monde moderne les voudrait ''histoire contre théologie''. Moralité (si j'ose) : on a beau ajouter des pages aux pages, la seule question qui reste durablement sans réponse est ''Mais qui donc était vraiment Jésus-Christ ?''. Et ce qui est certain, c'est que ce n'est pas moi qui vais défaire cet éternel nœud gordien...
H-Cl.
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christicacademy · 4 months
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Découvrez Le Véritable Christ: Les Prophéties Accomplies
Philippe déclare à Nathanael, “Nous avons trouvé celui dont Moïse a écrit, celui dont les prophètes ont parlé, Jésus-Christ de Nazareth, fils de Joseph.” Lumineux et précis. Découvrez les paroles du véritable Christ sur ce sujet. #ProphétiesBibliques #JésusChrist #DécouverteSpirituelle #CheminDeLaFoi #ÉcrituresSaintes #HéritageBiblique #ProphètesDivins #RévélationSpirituelle #VieÉternelle…
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mysteriis-moon666 · 5 months
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SIX FEET UNDER - Killing for Revenge
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Six Feet Under a été initialement formé en 1995 comme un projet parallèle pour Chris Barnes (Torture Killer) co-fondateur de Cannibal Corpse.
SFU c'est le thrash de Dark Angel/Kreator dans la tenaille acide des bourreaux du death metal tel que Possessed/Morbid Angel/Death et quelques grumeaux d’Obituary. « Killing for Revenge » le 14e album studio des killers death metal de Tampa s’avère brutal, viscéral et musicalement éblouissant. C’est une bête noueuse qui propose des images cauchemardesques via la voix gutturale de Chris Barnes avec Jack Owen (ex-Cannibal Corpse) pour leur deuxième album en alliance, afin d’édifier descente d’organe deathalique, poussée de fièvre cataclysmique, breakdowns chroniques, strangulation spectrale pour une torgnole irréversible. A noter la cover du "Hair of the Dog" de Nazareth dnas la suite des Graveyard Classics interprété par SFU.
« J'ai choisi le titre ‘’Killing for Revenge’’ après avoir terminé l'écriture et j'ai remarqué que toutes les paroles et tous les scénarios avaient un thème commun, la vengeance. Vengeance humaine ou vengeance naturelle – ou les deux dans la chanson « Bestial Savagery », qui décrit les chemins destructeurs des tempêtes provoquées par l'homme. Le titre de l'album décrit parfaitement le déroulement des histoires dans les paroles. » Dixit Barnes
En poussant les terminaisons nerveuses d’une musique aussi bestiale que frontalement brutale, pour expulser des organes soniques de death éparpillées sur le sol putride du metAl noir saillant, Six Feet Under enchaîne et déchaîne sa détermination, formant une unité dévastatrice autour de Chris Barnes, avec des vocalises poussant toutes ses tripes sous les trombes riffiques des guitaristes Owen et Ray Suhy, du bassiste Jeff Hughell et le plomb en acier du batteur Marco Pitruzzella.
Pour faire simple avec les paroles, « Compulsive » raconte l'histoire d'un individu perturbé dans une cellule capitonnée, se mangeant vivant. "Jack a écrit 90 pour cent des paroles de cet album, et c'est celui dont il a imaginé le scénario », explique Barnes. « La manière dont vous voulez l’interpréter dépend de vous. Vous pouvez trouver une signification plus profonde, des métaphores ou des symbolismes. Mais je dirais qu’une bonne interprétation est quelqu’un qui souffre et se dévore. Vous pourriez approfondir la question car il s’agit de dépendance.
Owen a également produit ''Killing for Revenge'' avec Barnes comme assistant de production. « Nous avons bien travaillé ensemble sur Cannibal Corpse. Il était probablement ma personne préférée à l’époque dans ce groupe. Je l'ai aimé à mort en tant qu'ami et musicien, donc je suis vraiment à l'aise de lui confier les rênes parce que j'ai tellement de respect pour lui en tant qu'artiste. J'ai demandé à Jack de définir les parties des chansons pour lesquelles il voulait des paroles, et il a simplement commencé à écrire des paroles et m'a donné une piste vocale de démonstration pour presque toutes les chansons. J'ai pensé que c'était génial. C'est ainsi que la musique et les paroles voulaient apparaître cette fois-ci, alors j'ai simplement laissé les choses se dérouler de cette façon et j'ai travaillé avec lui de manière collaborative. Comme nous le faisions autrefois, comme sur la chanson « Shredded Humans ».
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12endigital · 7 months
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El Ayuntamiento de Sant Joan ingresará más de tres millones de euros con la venta de una parcela para la construcción de VPO
El alcalde de Sant Joan d’Alacant, Santiago Román anunció en el último pleno municipal, celebrado el 29 de febrero, la puesta a disposición de una parcela de Vivienda de Protección Oficial (VPO), propiedad del Ayuntamiento para su subasta, lo que generará unos ingresos mínimos para las arcas municipales de 3.022.165,89 euros. El anuncio del primer edil vino en respuesta a una pregunta del Grupo…
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christophe76460 · 1 day
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Les intempéries en Autriche mais aussi en Roumanie, Serbie , Tchéquie, toute l'Europe centrale dévastée par des pluies torrentielles et dévastatrices arrachant , gonflant les cours d'eau en ras de marée mortels.
Prions pour nos frères Autrichiens, Serbes , Roumains ,Tchèques et sans doute d'autres nations afin que notre Seigneur calme les éléments déchaînés et mettent sa MAIN PUISSANTE SUR CES PAYS DÉVASTÉS.
Le Portugal quant à lui est la proie aux flammes qui sévissent depuis plusieurs jours dans les zones boisées de son territoire.
Des maisons sont détruites et des mortes sont aussi à déplorer !
Des canaders français et étrangers sont venus à la rescousse des pompiers portugais mais les feux sont très difficiles à éteindre car le vent souffle fort !
Nous implorons ici , le Nom de notre Seigneur JÉSUS-CHRIST DE NAZARETH, afin qu'Il mette sa main ✋ sur ce pays et permette l'extinction des feux de forêts et le sauvetage des vies humaines.
Merci Seigneur, nous te remettons tout au pied de la croix ✝️🔥❤️
Amen et Gloire à Dieu 🔥✝️❤️🔥
SEIGNEUR NOUS TE REMETTONS LA VIE DE NOS FRÈRES VIVANT EN EUROPE CENTRALE ET AUSSI AU PORTUGAL !
BÉNIS LES SEIGNEUR ! SAUVE LES SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST ! ✝️✝️🔥!
AMEN , HALLELUJAH, HALLELUJAH, HALLELUJAH !
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plusquechampion-blog · 6 months
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Amis internautes, chers frères et sœurs en Christ,
Dans ce monde tumultueux, où de nombreux défis semblent ou demeurent insurmontables et où les épreuves nous assaillent, nous sommes appelés à nous rappeler la véritable source de notre force et de notre victoire. La Parole de Dieu nous révèle dans 1 Jean 5:4 que "la victoire qui triomphe du monde, c'est notre foi en Jésus-Christ".
Cette affirmation transcende les limites du temps et de l'espace. Elle résonne à travers les âges, offrant un espoir inébranlable à tous ceux qui choisissent de placer leur confiance en Jésus-Christ. Dans un monde où la peur et l'incertitude règnent, notre foi en Christ nous élève au-dessus des circonstances, nous permettant de marcher avec assurance et espérance d’un lendemain meilleur.
Mais que signifie vraiment avoir foi en Jésus-Christ ? Cela va au-delà d'une simple croyance intellectuelle. C'est un engagement profond de l'âme, un abandon total à la volonté de Dieu. C'est reconnaître que Jésus-Christ est le seul chemin, la vérité et la vie, et qu'en lui seul nous trouvons le salut et la rédemption.
À travers notre foi en Christ, nous sommes revêtus d'une armure spirituelle invincible. Les tempêtes de la vie peuvent rugir autour de nous, mais nous demeurons fermes, ancrés dans la certitude que rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu en Jésus-Christ notre Seigneur.
Cependant, notre victoire en Christ ne se limite pas à notre propre bien-être. Elle a le pouvoir de toucher et de transformer les vies des autres. En partageant l'évangile avec audace et amour, nous devenons des instruments de la grâce de Dieu, conduisant d'autres âmes à la liberté et à la vie éternelle en Jésus.
Ainsi, chers frères et sœurs, à la faveur de la Pâques, symbole de la Résurrection et de la Vie, que notre foi en Jésus-Christ soit le fondement sur lequel nous construisons nos vies. Allons dire à tous ceux qui ont perdu l’espoir vivifiant : chantons, prions et travaillons à bâtir notre monde, notre société sous l’éclairage de la Parole incarnée en Jésus de Nazareth. Tout est possible à quiconque croit en Jésus le Messie. Que nous nous accrochions fermement à cette vérité divine, sachant que, peu importe les défis que nous rencontrons, la victoire est déjà assurée en lui. Puissions-nous vivre chaque jour dans la lumière de cette promesse, rayonnant de l'espoir et de la certitude que seul Christ peut donner. Rappelons cet encouragement du Christ à notre égard :
« Vous êtes le sel de la terre… Vous êtes la lumière du monde.
Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. » (Matthieu 5 :13 et 14)
Que Dieu vous bénisse abondamment en cette période de vie pascale et au-delà, pendant que nous marchons dans la puissance de notre foi en Jésus-Christ, le Vainqueur suprême du monde.
Au nom de Jésus, le Champion des champions, Amen !
Votre frère dans le Seigneur, Pasteur sénior Armand C. MASSAMBA,
En ce Jeudi Saint, 28 mars 2024.
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davidrmaas · 8 months
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LE SALUT POUR TOUS
Après sa résurrection, Jésus a déclaré: "Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre, allez donc faire des disciples de toutes les nations!"Il envoya ensuite ses disciples annoncer sa Seigneurie et son salut aux “extrémités de la Terre".” L'ère du Salut a commencé avec sa mort et sa résurrection; par conséquent, son message vivifiant doit être annoncé à tous les hommes. Le Fils de Dieu a obtenu le salut pour son peuple!
Dieu a élevé Jésus au Trône messianique comme promis dans les Écritures: “Je te donnerai les nations pour ton héritage” et les extrémités de la terre pour ta possession", et c'est pourquoi il envoie ses émissaires pour annoncer sa souveraineté et son salut sur toute la Terre – (Psaume 2:8).
De plus, en leur accordant le Don de l'Esprit, Jésus habilite ses disciples à proclamer sa Bonne Nouvelle au monde entier, la seule tâche qu'il a assignée à son Église avant son départ et son ascension:
“Vous recevrez une puissance lorsque le Saint-Esprit viendra sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie” et jusqu'aux extrémités de la Terre – - (Actes 1:8).
Ce salut est pour les hommes de chaque génération et de chaque nation sans exception. Jésus est mort et Dieu l'a ressuscité des morts pour qu'ils ne vivent plus pour eux-mêmes mais pour Lui, et en nouveauté de vie.
Dieu a tellement aimé l'humanité qu'Il a "donné son Fils unique né" pour que tous les hommes puissent croire et recevoir “la vie éternelle."De plus, Jésus a légué à chacun de nous le ministère de réconcilier les hommes et les femmes avec Son Père en proclamant son Évangile – (Jean 3: 16, Actes 2:36-38, 2 Corinthiens 5: 17-20).
En raison de sa souffrance “pour nos péchés", Dieu a ressuscité Jésus d'entre les morts et “l'a hautement exalté, lui accordant le nom qui est au – dessus de tout nom”, - JÉSUS-le nom qui signifie “Yahvé sauve.”
En ce même Jésus, le salut promis par le Dieu d'Israël est devenu réalité pour toute l'humanité, et Son Fils est devenu le "Chef des Rois de la Terre" qui "paît les nations" jusqu'au jour où elles se tiendront devant lui et le “Trône” de son Père dans la Nouvelle Création - (Philippiens 2: 6-11, Apocalypse 1:4-6, 7:9-17, 12:5-11).
Tous les peuples et toutes les nations appartiennent à Jésus, qu'ils le sachent ou non. Sa mort sacrificielle a annulé la revendication légale de Satan sur l'humanité, et sa résurrection a brisé la poigne de fer de la Mort qui nous tenait tous, un message radical de libération de la tyrannie du péché, de Satan et de la mort que tous les hommes et toutes les nations doivent entendre – (1 Corinthiens 15: 1-6, Philippiens 2: 6-11, Hébreux 2: 14-15, Révélation 1:6-8,3:21, 5:5-14).
[Phare du Maine-Photo de Osman Rana sur Unsplash]
[Lisez l'article complet sur le site Web du Réseau mondial Disciples au lien ci-dessous]
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yes-bernie-stuff · 1 month
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Qui est Jésus ? 22/08/2024
Personne n’a jamais parlé comme cet homme. Jean 7.46
Depuis toujours, les avis sur Jésus sont très contrastés. Dans les évangiles, on le voit déjà. Les gens s’interrogent : est-il un prophète ou seulement le fils d’un charpentier, charpentier lui-même ? Est-il le Messie, l’envoyé qui était promis par les prophètes depuis des centaines d’années ? On s’étonne qu’il vienne de Nazareth, village méprisé, qu’il fasse tous ces miracles, qu’il connaisse les textes sacrés sans avoir fait d’études spéciales, qu’il en parle avec autorité alors qu’il n’est pas un enseignant officiel.
De nos jours aussi, chacun a son avis : « il n’a jamais existé, c’était un enseignant doué, il a parlé de la part de Dieu, c’était un homme comme nous, quelqu’un de bien, un fou, un exemple… »
Quelle est votre opinion sur Jésus ?
Moi je dis qu’il est Dieu venu sur Terre et qu’il est mon sauveur et mon seigneur. Dans la lecture conseillée, on peut lire aussi le témoignage d’un aveugle guéri par Jésus, interrogé par les religieux de l’époque et rencontré à nouveau par Jésus.
Lisez… et puis décidez !
Sylvie Dugand
__________________ Lecture proposée : Évangile de Jean, chapitre 9, versets 24 à 38.
24 Les pharisiens appelèrent une seconde fois l'homme qui avait été aveugle, et ils lui dirent: Donne gloire à Dieu; nous savons que cet homme est un pécheur.
25 Il répondit: S'il est un pécheur, je ne sais; je sais une chose, c'est que j'étais aveugle et que maintenant je vois.
26 Ils lui dirent: Que t'a-t-il fait? Comment t'a-t-il ouvert les yeux?
27 Il leur répondit: Je vous l'ai déjà dit, et vous n'avez pas écouté; pourquoi voulez-vous l'entendre encore? Voulez-vous aussi devenir ses disciples?
28 Ils l'injurièrent et dirent: C'est toi qui es son disciple; nous, nous sommes disciples de Moïse.
29 Nous savons que Dieu a parlé à Moïse; mais celui-ci, nous ne savons d'où il est.
30 Cet homme leur répondit: Il est étonnant que vous ne sachiez d'où il est; et cependant il m'a ouvert les yeux.
31 Nous savons que Dieu n'exauce point les pécheurs; mais, si quelqu'un l'honore et fait sa volonté, c'est celui là qu'il l'exauce.
32 Jamais on n'a entendu dire que quelqu'un ait ouvert les yeux d'un aveugle-né.
33 Si cet homme ne venait pas de Dieu, il ne pourrait rien faire.
34 Ils lui répondirent: Tu es né tout entier dans le péché, et tu nous enseignes! Et ils le chassèrent.
35 Jésus apprit qu'ils l'avaient chassé; et, l'ayant rencontré, il lui dit: Crois-tu au Fils de Dieu?
36 Il répondit: Et qui est-il, Seigneur, afin que je croie en lui?
37 Tu l'as vu, lui dit Jésus, et celui qui te parle, c'est lui.
38 Et il dit: Je crois, Seigneur. Et il se prosterna devant lui.
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