Tumgik
#SAUF QUE LE BOUG IL FAIS TROP DE CONTACT
superiorkenshi · 1 year
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Y a le nouveau chef de rayon il était pas la quand j'ai fais ma colo vue que c'est un alternant et la il ma vue et le boug ma toucher les cheveux??? En disant que c'est jolie (certes il a raison) mais esh qui t'as cru être pour me toucher?? IL MA PAT PAT! J'ai envie de vomir-
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marie-bradshaw · 3 years
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“Berce-moi encore de ta douce illusion”
20h45: la nuit noire enveloppe de son manteau epais les ailes de l’avion aux couleurs orangées qui me ramenent à la maison.
A la maison.
J’ai du mal avec ce concept.
Peut-etre du au fait que je campe toujours dans mon nouvel appartement toulousain, faute d’avoir reçu mon lit, “égaré” comme tant d’autres choses par la societe de transport.
Et pour egarer un lit King Size, il faut le vouloir (tout de même).
J’ai encore du mal à realiser que je l’ai fait, apres des mois de galere, de travaux, et un demenagement rocambolesque…
Quitter la capitale pour ma ville de coeur, Toulouse.
Je ne regrette rien, mais pourtant, je me sens comme detachée de tout en ce moment.
Le boulot, et pas grand chose d’autre…
Ca me donne toujours l’illusion de combler un vide, de me battre et de livrer des batailles.
Mais tous les guerriers ont besoin d’un temps de repos, et je ne fais pas exception.
Il faut dire qu’entre l’organisation d’un shooting, la restructuration de la boite de mon client et mon demenagement j’ai pas vraiment eu le temps de souffler.
Pas vraiment eu le time, et y’avait ce mec, aussi.
Le genre sur lequel je ne me serais jamais retournée, en temps normal.
Sauf que le “normal” ne fait plus tout à fait partie de mon vocabulaire depuis un moment.
Mis en contact par un ami pour un projet, on a tout de suite accroché.
Apres une heure passée au telephone à rigoler, je me dis “c’est cool”, et il commence à nous faire gentiment basculer dans la seduction.
Il est subtile, charmant, et je fais mine de ne pas trop comprendre pour garder mes distances.
Dans ma tête c’etait le genre de mecs à profiter de sa notoriete pour sauter sur tout ce qui bouge, et ça, j’ai deja donné.
Mais voilà, le coeur a ses raisons que la raison ignore, et sans vouloir rebalancer le cliché, j’ai toujours été une aventuriere des sentiments plutot qu‘une prudente de la raison et c’est ce qui me rend si vivante.
Ok soit.
La discussion s’accelere, il me fait comprendre que je lui plais, de moins en moins subtilement mais toujours avec beaucoup d’elegance.
On se parle toute la soiree, et c’est le premier à m’ecrire le lendemain matin.
Ses “bonne nuit 😘” et “bonjooour, bien dormi?” me donnent le smile toute la journée.
Je me sens en vie.
Les journees s’enchainent, et nos conversations se font de plus en plus frequentes, on se parle de nos passés, de nos ex, d’amour, et de debilite aussi.
“Toi et moi ça glisse plus qu’un sexshop de la rue St Denis” me punchline-t-il
Je me laisse bercer par ses mots, par nos rires, par cette envie de le laisser m’enlacer, toucher la fragilité que je m’evertue à cacher aux yeux de tous.
Il a ce “truc”, qui m’intrigue fortement il faut bien le reconnaitre.
Ce grain de folie, cette ardeur, cette passion.
On parle le même language de “crazy kids”, deux adultes en quête de liberté et d’air frais qui ont faim de verite et de decouverte, ou du moins c’est l’impression que j’en ai à ce moment precis.
“Elle a tout compris” me repete-t-il quand je lui parle de ma vision du couple. Deux individus independants qui s’aident à devenir de meilleures versions d’elles-mêmes, qui se completent, s’entre-aident, se soutiennent, se prêtent de la force, et deviennent indestructibles.
Mais j’ai peur qu’il me brise le coeur et je lui explique rapidement que ce n’est pas une bonne idee de tout melanger, et il me repond que ce qui doit arriver arrivera.
Qu’il est serieux, que je peux lui faire confiance. La vente de rêve “c’est pas son truc”.
J’aurais essayé.
J’aurais aussi voulu qu’il me dise que ce que nous pouvions avoir personnellement depassait le professionnel.
Dans ma tête, ca aurait en tout cas eu plus de valeur.
Il m’aurait plaqué au mur lors de notre premiere rencontre, fait sauvagememt l’amour, et on serait parti à l’aventure du Monde tous les deux en equipe.
C’est fou ce que je peux être conne.
Bref- il devient rapidement mon roc, mon confident, et moi sa conseillere.
Un jour on se dit “no way” et sans s’en rendre compte quelques semaines plus tard la même personne peut prendre une importance dingue dans votre vie.
Comme par magie. Un tour digne de David Coppefield. En son et lumière.
Alors à notre premiere rencontre “physique”, mon coeur s’accelere. Il bat carrement la chamade en fait.
Je le vois pousser la porte de ce restaurant parisien du 2eme dans lequel j’avais installé un bureau provisoire pour rencontrer des candidats toute la journee, parée d’un blazer Balmain rose, j’irradie d’enfin mettre un visage sur une infinite de rires et d’angoisses telephoniques reconfortées.
Premiere douche froide.
Il semble de marbre, ne me parle que de son projet, et je me plie au jeu, un peu surprise.
Je cherche desesperement cette alchimie qui m’avait si justement envoûtée.
Rien.
Ok. Passons.
Vient alors notre deuxieme rencontre, un etat de nerfs presque palpable, et un lourd brasier de flirt de son côté sur lequel je m’empresse d’ajouter de l’essence pour finir d’enflammer le tout.
Ni une ni deux, quand nous nous retrouvons enfin seuls sur un faux pretexte il se decide à m’embrasser.
Maladroitement.
Qu’importe, je crois toujours à ce que j’ai vu en lui, et je collecte chaque vague de douceur qu’il me donne dans ses baisers.
Je passe ma main dans ses cheveux, ils sont incroyablement doux, pour un mec qui passe sa vie en exterieur et ca m’etonne.
Ses levres parcourent mon corps et deambulent sur ses courbes comme pour en memoriser chaque ligne.
Sa main entrelace la mienne, et dans ce moment “d’union”, de cet autre être, à qui j’ai partagé mon intimité de plus d’une maniere, je vois presque de la poesie.
On a beau dire, mais toucher quelqu’un à qui l’on fait confiance, de qui on se sent proche, pour qui on a baissé la garde, duquel on se sent connecté par un etrange lien, profond, ça n’a plus rien à voir avec une autre etreinte, quelconque.
Tout est decuplé.
Et quand il me dit froidememt, une fois lovée dans ses bras apres l’action, “tu peux te doucher ici si tu veux”: je comprends qu’il n’en pensait rien.
La fatigue, la douche froide, justement, je fonds en larmes dans ma chambre et reste à terre une dizaine de minutes dans mon paignoire.
En un instant, le sentiment de plenitude a laissé place à un profond dégoût. De moi-même surtout.
Je me sens utilisée, balladée, et ça me secoue un peu.
“Cherche pas, ce mec se sert de toi” me balance ma meilleure amie au telephone.
“Il n’en vaut pas la peine” me dit à son tour mon meilleur pote.
Ok les gars, je ne comprends clairement pas ce qu’il se passe.
Sans parler de couple ni de mariage, j’ai l’impression d’avoir rêvé ce lien, cette intimité, et ça ça me fait vraiment mal.
Je ne sais plus comment lui parler, je pars au quart de tour, puis je finis par exploser et lui dire ses quatre verités.
“Mais je me fous de tes prouesses sportives moi, c’est pas pour ça que je t’ai laissé rentrer dans ma vie comme ça, c’etait pour ce que je pensais avoir vu en toi, tout au fond, et je me suis royalement plantée faut bien l’avouer”
Ma voix tremble d’emotion en lui laissant ce vocal.
J’ai les larmes aux yeux.
Mon amie Marie me sert dans ses bras et peste contre lui tout du long.
“Tu sais tous tes trucs là, tes story de ta tenue du jour, c’est pas mes valeurs, moi je pars en pleine Nature avec un sac à dos” enchaine-t-il
“Ah et donc pour avoir des valeurs faut tenir 6h de ride en becanne sans s’arreter c’est ça? Donc concretement tu te penses mieux que moi ou je rêve?” je monte d’un ton.
“Pas du tout, mais quand tu me dis que tu te fous de mes prouesses tu te rends pas compte du taf et des annees derriere” me repond-il
“Ah si, je me rends tres bien compte. T’es mignon mais la moitie de mes potes sont dans ce milieu. Et si tu penses que je peux me moquer des efforts que quelqu’un a deployé pour atteindre son rêve, quel qu’il soit, c’est vraiment que tu ne me connais pas, du tout”
Silence.
J’hallucine encore un peu de la dissonance cognitive qu’il y’a pu y avoir entre un instant T où je nous voyais avancer côte à côte en partenaires et maintenant.
Je ne le reconnais pas, et en même temps on ne se connait que peu.
Mais comment j’ai pu me planter à ce point?
Je le voyais bienveillant, genereux, drôle, charismatique, un peu dingue aussi… protecteur envers moi.
J’aurais du ecouter la petite voix qui me disait “oula danger” et pourtant je ne regrette rien.
Ce n’est pas mon coeur qu’il a brisé, mais l’espoir qu’une autre âme ait touché la mienne.
Qu’on se soit vus sans faux semblants, appris à s’apprivoiser…
J’ai choisi de voir de la beauté là où il n’y en avait pas vraiment, fidele à ma ligne de conduite, et j’aime cette capacité à la decrypter encore dans des details qui pourraient paraitre insignifiants à un oeil non averti.
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Photo
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Shelby Lee Adams - Sel et Vérité Conversation avec Catherine Edelman Catherine Edelman :  J'ai d'abord montré votre travail il y a 20 ans. Depuis lors, vos photographies ont été récompensées par la critique, ce qui a donné lieu à quatre livres et à des œuvres dans les principaux musées et collections privées du monde entier.  Pouvez-vous me dire comment vous pensez avoir changé en tant que personne et en tant que photographe en raison de cet étonnant succès? Shelby Lee Adams :  J'ai toujours travaillé de manière singulière et autodirigée, me disant à plusieurs reprises que je suis aussi bon que ma prochaine photo. Arrêter et regarder l'aperçu de 36 ans de travail maintenant est un peu déconcertant.  J'ai changé drastiquement au cours des années, en découvrant que la seule personne de notre vie que nous pouvons vraiment changer profondément est nous-mêmes et à travers cette réalisation difficile de voir et de se sentir plus interconnecté à mes amis, sujets et audience, essayant à plusieurs reprises de lier et comprend ce lieu appelé maison. Catherine Edelman :  Home est un concept très important dans votre travail. Pouvez-vous expliquer ce que cela signifie pour vous? Shelby Lee Adams :  quand je grandissais comme un enfant unique, j'ai été élevé par mes parents qui se déplaçaient dans le pays avec le travail de mon père, en haut et en bas de la côte est. Il a travaillé dans la conversion du gaz naturel et était en constante évolution.Lors de l'école élémentaire, je suis allé à huit écoles différentes, mais j'ai toujours terminé l'année scolaire à l'école rurale locale du Kentucky. La seule constante de ma vie était alors les visites et les temps passés avec mes grands-parents dans leurs fermes. Cela a établi en moi un modèle de comportement pour continuer à retourner dans l'est du Kentucky, le seul lieu où je connaissais.  Les gens là-bas, ils n'ont jamais voyagé et étaient toujours à la maison, sympathiques et acceptant de moi. Cela m'a beaucoup rapproché d'eux. Leurs maisons étaient toujours accueillantes. Catherine Edelman :  Pouvez-vous expliquer une visite typique / une séance photo avec l'une des familles? Shelby Lee Adams : La zone rurale dont je viens a été très fortement exposées aux médias, aux journalistes, aux photographes et aux cinéastes.  Ma règle standard pour moi-même a toujours été de faire des Polaroïs à chaque domicile lors de la visite, du partage et de laisser des images avec la famille.  Quand je me rendais à la prochaine visite, même si c'était un an plus tard, je distribuais des photographies faites pour la famille lors de la visite précédente.  S'il y a une photo que je souhaite utiliser dans mon travail, je demandais une version modèle pour que l'image soit signée, en partageant et en donnant à la famille une copie de mon dernier livre, afin qu'ils comprennent le contexte de l'utilisation de l'image, puis la distribution d'autres photos à la famille.  Ma réputation me dépasse beaucoup et tout le monde me connaît comme «l'Homme de la photo». En échange, je demande à la famille de nouvelles introductions auprès d'autres personnes. Avec les vieux amis établis que j'ai revisité souvent au cours des années, les visites sont nombreuses ou l'on parle où l'on rattrape les affaires familiales,où j' écoute la communauté, nous partageons des images, nous regardons les images des nouveaux bébés ou lisons les nécrologies des personnes décédées récemment .  La visite peut inclure le caressage de l'ancien chien de chasse et la visite de l'endroit pour voir les nouveaux animaux, voir comment le jardin grandit, sentir la graisse des lapins, tirer un nouveau fusil .22, regarder la nouvelle robe de bal de la fille ou admirer La nouvelle tête de chevreuil du père montée dans le salon.  Finalement, nous nous contentons de rester pour déjeuner ou souper et de faire de nouvelles photographies.  Dans l'ensemble, c'est une longue journée. Au plus, je peux faire trois visites par jour, et je fais habituellement des photos dans quelques maisons. Catherine Edelman :  J'ai entendu dire des gens que personne ne sourit dans vos photos. Pouvez-vous commenter cela et expliquer les types de conversations que vous avez avec les gens lors de la création d'une image? Shelby Lee Adams : Lorsque quelqu'un se sent ou se tient debout devant une caméra 4x5, il faut un engagement plus conscient. Votre sujet doit rester relativement silencieux et ne pas se déplacer. J'entends souvent les gens en conversation avant de faire des photographies, en nous assurant qu'elles soient confortables et détendues en elles-mêmes, et nous ne parlons d'aucun sujet spécifique. Je demande aux gens de me raconter leurs histoires et ils le font. Ce que le téléspectateur ne voit pas, c'est le test que les Polaroïstes ont d'abord fait pour vérifier l'exposition, l'attention et les problèmes techniques. Je vais faire environ trois Polaroïds et les développer, en les partageant avec mes sujets. Cela prend généralement plusieurs minutes. Si l'on est particulièrement bien, je demande à mon sujet s'il veut que je fasse un Polaroid juste pour qu'ils le gardent. Habituellement, les gens veulent plus d'un. Nous étudions les milieux, les compositions, les yeux, l'éclairage, etc. et discutons de la direction à regarder, presque toujours dans le centre de la lentille. Après avoir fait quelques images, les gens s'installent et deviennent plus sérieux, même les enfants. Je dis aux gens qu'ils sont naturels, cherchent leur propre réflexion dans la lentille et maintiennent la stabilité, dis-je rarement,ne faites pas ceci ou cela , seulement lorsque quelqu'un est rigide ou trop rigide, je peux dire et lui conseilller de prendre une profonde inspiration et se détendre détendre . Au moment où je suis prêt à exposer le film, mes sujets ont surmonté leurs propres personnages artificiels, souriants et veulent une photo plus sérieuse. Ensuite, je vais exposer trois plaques de film 4x5. Je travaille de cette façon avec qui je photographie, dans différentes cultures et environnements, même une photo commerciale ne serait pas différente. Je m'intéresse à l'intemporalité du portrait, à la réalisation de photographies qui dureront. Je pense que je me considère comme une personne sérieuse et je suis certain que cela se reflète dans beaucoup de mes photos. Mais j'ai aussi fait des photographies souriantes et riantes. Par exemple, dans notre récente exposition , Dan Slone se réjouit chaleureusement dans la photo,Driving Straight to Hell . Catherine Edelman :  Votre engagement à photographier les gens et la région de l'est du Kentucky avec une caméra de vision 4x5 a dépassé trente ans, ce qui me paraît unique parmi les photographes travaillant aujourd'hui. Avec de plus en plus d'artistes qui se tournent vers les appareils photo numériques, qui offrent des résultats rapides et instantanés, vous avez collé avec l'analogique. Pouvez-vous vous prévoir de passer au numérique dans un proche avenir et, dans l'affirmative, pensez-vous que le travail changera de façon intrinsèque? Shelby Lee Adams : Le changement est généralement une bonne chose. Mais travailler de manière plus formelle, relativement centrée devant les gens, lentement et méthodiquement, a toujours profité à mes portraits.C'est pourquoi j'ai changé de 35 mm à 4x5 en 1974. Le monde que je photographie apprécie l'approche plus étudiée. Mes sujets voient où la grande caméra est en tout temps, montée sur un trépied qui ne bouge pas facilement, ce qui ajoute à leur niveau de confort. C'est important pour eux. Nous avons tous expérimenté l'approche rapide et rapide des photojournalistes. Après mes 10 premières années de photographie avec la caméra de vision avec beaucoup de frustrations, j'ai acquis un viseur à angle droit pour l'arrière de la caméra de visionnement et j'ai commencé à travailler avec un éclairage artificiel.  Ce dispositif de visualisation a éliminé ma nécessité de regarder et de me concentrer sous un tissu de focalisation noir, caché temporairement dans mon sujet, et l'outil fonctionne parfaitement en plein jour. Vous pouvez engager et voir votre sujet tout le temps. Le contact avec le visage - que je pense important de maintenir avec le travail de portrait - ne doit pas être interrompu. Vous voyez ce que votre caméra et votre film enregistrent avec un oeil tout en vous focalisant et simultanément en engageant votre sujet avec l'autre œil, ne jamais avoir votre visage recouvert ou masqué par le chiffon noir enfoncé de la caméra pendant tout le temps. Je me suis entraîné pour travailler de cette façon depuis 1985. Ma première caméra était une Exacta allemande avec des lentilles différentes que mon père m'a achetées en Europe. La plupart de ma photographie d'école d'art de premier cycle a été faite avec cette caméra. J'ai toujours utilisé une caméra de 35 mm pour faire des instantanés, pour enregistrer des événements comme un touriste, surtout lorsque vous voyagez à l'international. Au Kentucky, j'ai trouvé certaines situations qui devaient être photographiées en couleur, comme les courtepointes maison ou une collection de poupées. J'ai photographié pour mes amis et sujets en couleur et j'aurais des tirages de drogue de couleur peu coûteux faits à distribuer. En 2005, j'ai acheté ma première caméra numérique de 35 mm pour remplacer ma caméra traditionnelle de film de 35 mm, que j'utilise comme un carnet de croquis. J'ai grandi à apprécier la facilité des performances et de la qualité de l'appareil photo numérique. Mon travail sérieux avec le numérique a évolué en mon maintenant en utilisant l'appareil photo numérique à 35 mm de cadre complet, mais en maintenant une approche similaire à celle du format traditionnel 4x5. Je préfère prévisualiser mes images et mes compositions et passer du temps à établir des relations avec mes sujets. Certains autres photographes aiment tirer beaucoup et éditer plus tard pour trouver leurs meilleures photographies. Avec les appareils photo numériques - sauf si vous utilisez un trépied - vous devez tenir la caméra directement devant votre visage, ce qui bloque la reconnaissance visuelle et faciale et le contact comme avec la caméra de visionnement plus ancienne et le tissu de focalisation. Pour remédier à ce problème, je place l'appareil photo numérique sur un trépied et utilise une libération de câble et un viseur à angle droit afin que je puisse voir et emballer mes sujets tout en faisant des expositions. Donc, en substance, je fais maintenant des Polaroids avec le nouveau film Fuji Instant 4x5 dans ma caméra 4x5 et expose le film et les Polaroïds. J'ai deux caméras montées sur un déclenchement rapide et je peux glisser de l'appareil photo vers l'appareil photo sur le même trépied en utilisant les deux formats. Je pense qu'il est important de donner à mes sujets un imprimé au moment de la fabrication, sur le terrain, et la caméra 4x5 garantit que cela se limite à cela. Pour montrer à quelqu'un un affichage numérique, isn ' J'ai travaillé de cette façon pendant les 5 à 7 dernières années. L'éclairage que j'ai toujours utilisé est nécessaire pour la caméra de vision, ce qui donne un meilleur degré de netteté aux fichiers numériques. Je peux également capturer plus de mouvement et de diversité d'expressions qu'auparavant. Mais pour photographier les enfants qui sautent, tirer des ballons de basketball - ce qui est commun en Appalachie - ne m'intéresse pas.Le calme est plus révélateur. Ce qui est plus intéressant pour moi maintenant, c'est quand je reviens dans le studio; parfois, je sélectionne le fichier de couleur numérique sur le négatif en noir et blanc 4x5 et vice versa. Chacun donne un sentiment et une expression différents et je suis ouvert à la sélection des deux formats maintenant. J'ai exposé des Kodachromes de couleur depuis les années 1970, mais je n'ai jamais pu me permettre de réaliser des impressions de couleur de qualité à l'époque. L'impression numérique est plus simple et moins coûteuse J'ai donc balayé et imprimé un grand nombre de travaux de couleur à partir de cette époque jusqu'à mes dernières photographies numériques. Peut-être qu'un livre de couleurs émerge-t-il mais je ne peux pas me voir abandonner mon travail de caméra de vision noir et blanc. Je continuerai à faire des photos comme cela tant que le film est disponible et j'ai un grand congélateur de stockage dans mon sous-sol au cas où. Catherine Edelman :  Merci beaucoup pour votre franchise. En l'honneur d'un de mes interviewers préférés, James Lipton, quelques questions finales.  Quel est votre mot préféré ? Shelby Lee Adams : Majestic Catherine Edelman: Quel est votre mot le moins recommandé? Shelby Lee Adams: Impossible Catherine Edelman : Qu'est-ce qui vous stimule créativement, spirituellement ou émotionnellement ? Shelby Lee Adams : l' ouverture, l'honnêteté, la vulnérabilité, le chaos, le toucher, la gentillesse, l'espoir, le don, le soin, l'amour et l'omnipotence. Catherine Edelman: Qu'est-ce qui vous détourne de manière créative, spirituelle ou émotionnelle? Shelby Lee Adams :  Définissez les règles et les limites, l'ordre, l'ignorance, l'arrogance et la fanatisme. Catherine Edelman: Quel son aimez-vous? Shelby Lee Adams :  Le silence de la nature, qui peut être symphonique. Catherine Edelman : Quel son ou bruit détestez-vous? Shelby Lee Adams:  Jackhammers Catherine Edelman:  Quel est votre mot curé préféré? Shelby Lee Adams: "F - k This." Catherine Edelman : Quelle profession autre que la vôtre voudriez-vous tenter? Shelby Lee Adams : musique classique Catherine Edelman :  Quelle profession aimeriez-vous faire? Shelby Lee Adams : comptable Catherine Edelman : If Heaven exists, what would you like to hear God say when you arrive at the Pearly Gates? Shelby Lee Adams : Thank You. La photographie de Shelby Lee Adams a été publiée dans trois monographies précédentes - Appalachian Portraits(1993), Appalachian Legacy (1998) et Appalachian Lives(2003) - et a reçu de nombreuses subventions et récompenses. Sa photographie est également représentée dans plus de soixante collections permanentes, y compris l'Art Institute de Chicago, Chicago, Illinois; Musée d'art moderne, New York, New York; Musée Victorial et Albert, Londres, Angleterre;Whitney Museum of American Art, New York, New York.Plus récemment, Adams a reçu une bourse Guggenheim en 2010. Son dernier ouvrage, Salt & Truth , sera exposé au Ogden Museum of Southern Art en octobre 2012.
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santiagotrip · 5 years
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Étape 39 : Le Barp
Vendredi 31 mai
Comme prévu, mon beau-frère m’emmène en voiture à Gradignan, et me pose devant l’église.
Il est à peu près 8h quand nous arrivons. Personne à l’église, personne au presbytère ... Je tente la Mairie. Et d’une, elle est juste en face du Auchan, et de deux, c’est la seule mairie de France qui ouvre à 8 heures (non, je rigole, il y en a sûrement une ou deux autres ...)
Ca, c’est la Mairie de Gradignan. Ca le fait, non ?
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La dame tamponne ma Crédentiale (ça y est, c’est décidé, Crédentiale sera désormais au féminin), me fait un peu de pub pour le gîte de Gradignan, mais bon, je n’en ai pas besoin.
J’achète ce qu’il faut pour le repas de midi et celui du soir, je me mets dehors pour ranger tout ça correctement, je me tartine de crème solaire (vu l’étape à venir, j’ai drôlement bien fait. D’autant qu’à la météo hier soir, ils annonçaient 32° l’après-midi).
Et je pars. Mon chapeau sur la tête (ben oui, il manquerait plus que je chope une insolation !), mes lunettes de soleil, le GPS en main. Il fait un temps magnifique, j’ai presque trop chaud. Il n’est pourtant que 9 heures du matin ...
Cette étape est vraiment particulière (enfin, comparée à ce que j’ai vu jusqu’à présent). D’abord, elle est un peu longue. Au total, j’ai marché 30,6 kms.
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Sur les 30,6 kms, sous un ciel bleu immaculé mais un soleil de plomb, il y en a 25 au moins sur un chemin goudronné, ou ce qu’ils appellent une « piste blanche ». En fait, c’est presque comme une route, mais au lieu d’être bitumé, c’est couvert de cailloux concassés. On marche, on marche sans voir le bout. La route est droite à perte de vue. À droite des pins dans les fougères. À gauche, les fougères parmi les pins ...
Quelques photos pour vous donner une idée :
Ca commence plutôt bien. Ceux qui trouvent que c’est juste une « maison » et pas une « demeure » sont soit très très riches, soit de mauvaise foi, soit déficients visuels :
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Le chemin, quand il n’est pas encore trop rectiligne
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Alors, je raconte des histoires ?
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À perte de vue, je vous dis !
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Parfois, à la place des fougères, il y a ce genre de fouillis ...
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Sur le chemin, je croise un « Adrien », 25 ans environ, barbu, il a l’air plutôt sympa. Il marche vite, mais il a dû couler une bielle, il avait un bon quart d’heure d’avance sur moi et je l’ai dépassé, il était en train de faire des « étirements ». J’en fais pas, moi, des étirements. C’est casse-pieds, on a l’air ridicule, ça prend du temps et ça sert à rien. Des étirements, j’en fais 6 heures par jour? Alors à l’arrivée, les étirements, c’est sur le lit !
Je croise aussi un certain « Benoît le Lillois ». La cinquantaine, chauve, plutôt rond, grosses bacchantes ... Plusieurs pélerins m’avaient parlé de lui, mais je ne l’avais jamais rencontré. Là, il râle parce qu’il trouve le gîte trop cher. C’est vrai que pour cinq, il est un peu exigu. Benoît est accompagné d’une dame, prénommée Caroline, je crois, mais je ne suis pas sûr, la cinquantaine aussi, jolie, et tout sourire. Je pensais qu’ils étaient en couple, mais en fait, pas du tout, ils se sont rencontrés sur le chemin et marchent un peu ensemble.
Les échanges sont courtois, mais rapides. C’est vrai que j’aime tellement marcher seul que je réduis les contacts au maximum, dans les limites de la courtoisie.
J’arrive au gîte vers 15h30. C’est un ancien centre équestre. Il y a la maison de la propriétaire, Elisabeth, et une petite maison en retrait comprenant deux chambres, une salle de bains, des toilettes. Pas de frigo, pas de micro-ondes, et quatre couchages pour deux pièces minuscules. Je choisis un lit, je fais les gestes rituels et je vais au village. J’ai sonorisé l’église du Barp, dans une autre vie. Ca me fait un peu drôle d’y revenir dans des conditions différentes ! J’y entre, petit arrêt prière, j’allume un cierge en pensant à vous tous. Je passe à la pharmacie, et en revenant, je vois attablés à la terrasse d’un bistrot, tous les gens que j’ai croisés et Valentino. Le fameux Valentino qui m’a accompagné quelques jours. Il prend le même chemin que nous encore pendant quatre étapes, puis il oblique vers le chemin du Nord.
On se demande comment on va faire tenir cinq personnes dans ce gîte, mais tout compte fait, on y est arrivés.
Elisabeth signe nos Crédentiales, nous lui donnons les sous et elle me fait chauffer mon plat préparé (c’est génial, en passant, ces trucs-là !). Sauf qu’il est 19 heures, et après, elle pourra plus me prêter sa cuisinière. A 19 heures, j’ai pas tellement faim, mais bon, je m’entraîne pour la maison de retraite ...Les autres n’ont rien prévu, ils sont allés à la pizzeria. Moi, radin comme je suis, je préfère rester au gîte et taper le billet.
Voilà notre gîte. Moi, je dors tout au fond, dans la petite chambre avec Valentino. Vous vous en foutez, je sais, mais on est toujours trop avare de détails :
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J’ai causé cinq minutes avec Elisabeth. C’est une vieille dame, d’environ 80 ans, qui ne bouge plus trop (j’ai cru comprendre qu’elle vient de se casser la jambe. Décidément, les marchands de béquilles font fortune, en ce moment !), les cheveux encore noirs et une mèche blanche. Elle a clairement le look et l’allure pied-noir. Elle est très dynamique malgré son infirmité (je l’ai vu marcher avec un déambulateur), elle parle fort et clair. En deux mots, elle envoie personne dire ce qu’elle a à dire. Mais quand on a compris son fonctionnement, on peut la chambrer un peu.
Sur je coup, j’ai cru qu’elle était juive. Ca l’a fait marrer. Elle a passé toute sa jeunesse en Algérie (J’étais quand même pas loin !), et en 62, elle est rentrée en France avec le forfait « la valise ou le cercueil », emportant juste un sac de voyage et ses souvenirs. Toute sa vie est restée là-bas. On sent chez elle comme chez tous ces gens qui habitaient l’Algérie et qui se sont fait virer, un vrai ressentiment qu’il faudrait être stupide pour ne pas comprendre. Je voudrais bien parler un peu de ces gens-là mais ça nous emmènerait trop loin. Surtout que le sujet est sensible, et le choix des mots est important pour ne pas passer pour un crétin ou un facho. Je peux quand même vous dire qu’Elisabeth, elle vote pas De Gaulle !
Je rentre dans la chambre, et, le billet achevé, je me mets au lit. Ils rentrent tous les quatre du kebab (la pizzeria était fermée) et traversent la chambre un par un pour aller aux toilettes, puis dans la salle de bains. Je vous disais que le confort était minimal !
J’aurais aimé vous faire rigoler avec un autre truc agaçant, mais j’ai la flemme. Ce sera donc pour demain.
Bonsoir à tout le monde
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bulbivy · 7 years
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chapitre 5 " On va te démouler petit a petit Emma courage." Effectivement je sens que l’on m arrose, on démoule mes bras,mes mains et mon torse. J ai les muscles tout en endoloris, je m assoie sur un chaise. Je grelotte, Eva me tend un peignoir. "Alors tu veux te voir en statue de liberté ? Tu étais canon. Ajoute-elle Je vois les photos, c'est vraiment incroyable on aurait dit une vraie statue. Des employés arrivent, j'ai à peine le temps de souffler. Les filles me réservent encore une surprise, un gage de soumission.  On range mon sexe dans une culotte je sens quelque chose pendouiller dernière moi. Mes mains sont rangées dans des moufles et lassé de manière très serrées. Je sens un de multiple lanières serrer mes cuisses . On m”enfile des bottes a lacets.
Un corset vient de nouveau comprimer ma taille.
je Je jette un rapide coup d’œil a ma tenue,je porte des moufles noir assortie a mes bottes a talons et mon corset , la chose qui pendouillé derrière moi est un queue de chat noir également.
 Eva ferme la fermeture éclair dans mon dos. Elle accrocha un petit cadenas qui joint la fermeture à la base du cou.
 « Tu connais le petplay ? Qu'est ce que c'est amusant ! » s'exclame Eva.  " pas du tout explique moi " " c'est comme le cosplay mais version animal de compagnie, par exemplela tu vas être ma chatte, regarde ton costume." je porte des mitaines sur mes mains. Elles sont serrées et m'oblige à bouger tout mes doigt comme un seul de façon à se que je ne puisse pas vraiment attraper quoi que ce soit.
 Deux petits cadenas les sécurisent en place. « Comment tu te sens ? » dit Chloé
  « C'est vraiment serré. »
« Tu aimes cette tenue ? lance IsaBelle >« c’est Eva qui a eu l’idée ajoute Chloé » >Eva poursuit ma transformation  avec le maquillage, pendant se temps Belle et Barbie me frise les cheveux.  Eva m’applique beaucoup de fond de teint , puis de la poudre compact. Elle dessine mes yeux au crayon noir en exagérant bien. De très long faux cils viennent se coller sur mes grands extensions déja bien fournie et sont immédiatement recouverts de plusieurs couches de mascara.  
" très félin ce regard" déclare Eva en rebouchant le mascara. Puis elle coloris le bout de mon nez en noir et repasse la lèvre supérieure en noir. Un peu de fard à paupière nacré et pailleté. Puis elle porte un flacon rouge. "C'est un rouge à lèvre longue tenu donc ne bouge pas " Eva vient remplir ma lèvre inférieure, elle clips un anneau sous mes narines qui laisse échapper de chaque côté  des moustaches de chat.Eva me dépose 2 lentilles de couleur vertes le même modèle que celui de mon costume de cat woman le premier jour  puis me passe un collier avec une clochette autour du cou, il est très serré et écrase littéralement ma pomme d’Adam.Un serre tête avec des oreilles de chat noir vient coiffer mes cheveux fraichement frisés.
« Regarde nous lance Eva »
« Quand pensez-vous les filles ? elle est parfaite » Les filles acquiescent toutes, Eva vient accrocher une laisse a mon collier.
Tu es Kitty ma chatte maintenant tu vas jouer le jeu, tu ne parle plus tu miaule maintenant . Je la suis en miaulant doucement.
«  très bien tu es trop mignonne » dit elle me caressant la joue.
 Eva décide de s’installer sur le canapé,j’attends a côté d’elle sagement. « Mince je ne t’ai pas donné a manger mon pauvre petit chat » Elle tire la laisse d’un coup sec et je la suis dans la cuisine. Eva remplit un bol de lait et le depose par terre, je me baisse et commence a laper le lait avec ma langue. « bravo lance- t-elle toute excité » >Elle décide de se faire un café, je me mets a miauler.
« oui mon chaton j’arrive je suis trop fière de toi, tu fais trop bien le chat »
Elle remplit de nouveau le bol. Je me frotte gentiment contre sa jambe comme le font les chats contents et je pars boire mon lait.Elle vieille a ce que je termine tout mon bol.J’ai faim surtout, je miaule encore plus. Eva comprend que j’ai faim et pars dans le frigo. Elle revient avec du jambon qu’elle a coupé dans un petit bol. Je peine mangé étant donner que je ne peux pas me servir de mes mains. L’après midi ce passe tranquillement, je fais des siestes et je me laisse caressé par les filles. Je joue plutôt bien le chat, c'est assez tranquille la vie de chat. J'ai envie de aller au toilette, j annonce la couleur en miaulant devant la porte des WC. Eva m invite à la suivre dans la cuisine, une litière à était installée pour moi. C'est une blague. " ce costume n est pas pratique pour faire dans la litière, vient avec moi" En effet la difficulté majeur c’est pour aller au toilette. Elle ouvre un carton  et sors une tenue blanche en latex avec un drole de doublage a l’intérieur. Elle pose la tenue sur le canapé.  “Comme tu es parfait en chatte tu mérite un costume plus réaliste” déclare Eva le sourire au lèvre.
  Quelle sensation désagréable, je me demande ce qu’elle me prépare.  Elle introduit quelque chose dans mon anus , elle force pour le faire entrer. J’échappe un cri de ma bouche pour manifester ma douleur. « Attention Kitty »me dit sèchement Eva Elle réussit a placer cette chose dans mes fesse, Eva en profite pour resserrer mon corset. Je fais bonne figure malgré l’étreinte qui se resserre sur moi et la gêne dans mon anus. Eva ferme la doublure puis remonte la combinaison. Elle m’aide a passer mes mains dans des gants sans doigt, mes poings restent donc en position fermé. Les filles aident Eva  a remonté péniblement la combinaison très moulante sur le haut de mon corps. Cette dernière comprime ma poitrine et mes fesses fortement.  J’entends le zip de la fermeture remonter dans mon dos. Je regarde mes gants, ils sont équipés de petits coussinets comme ceux des chats sur le dessous. La combinaison est renforcée et doublé aux niveaux des genoux. C'est incroyable. Eva prend une cagoule du même coloris que la combinaison et me l’enfile par la tête. La cagoule est équipé de  clips permettant de l’accrocher a la combinaison, elle recouvre mon visage et mes cheveux, seul 4 ouvertures permettent a  ma bouche, mon nez et mes yeux de ne pas être recouverts.Eva tire bien sur la cagoule qui comprime mon visage, les trous laisse seulement dépasser mes lèvres et les yeux, aucune autre ouverture ne laisse entrevoir la couleur de ma peau. Je suis entièrement recouvert. Eva me contemple et sourit, elle semble ravie du résultat, les filles aussi. Elle part chercher deux petites boites, La première contient des fausses canines de taille plus importante que celles de mon costume de cat-woman. J’ouvre difficilement la bouche a cause de la pression de la cagoule. Eva m’applique 4 canines 2 en hauts et deux en bas.
. Eva retire mes lentilles de contact pour en mettre des nouvelles plus grosses. Je recule lègérement a l’approche de son doigt.« Ne t’inquiète elles vont recouvrir tes yeux complètement tu auras un vrai regarde de chat.  De plus elles sont fluorescente vivement ce soir » déclare Eva
Eva me remet le collier qui me serre plus que tout a l’heure. « allez Kitty a quatre pattes maintenant » Je m’exécute, je sens l’objet coincé dans les fesses il me gène fortement je me demande toujours a quoi il sert.Je suis a quatre patte complétement prisonnier de ma combinaison. Les filles sont ravie, je marche tant bien que mal vers elles. «tu es la plus belle Kitty , allez viens boire du lait »
Eva tire la laisse et marches doucement. Eva remplit un bol, je le bois en lapant le lait . « Allez bois tout Kitty c’est ce que tu vas boire dans les prochaines heures, un petit régime te fera pas de mal » me dit Eva C’est très difficile en plus je ne peux plus utiliser mes mains. Après plusieurs minutes je termine enfin mon bol, Eva me remplit encore une fois ce dernier. Je n’en peux plus de ce lait. Je me forcea le finir. Nous partons finalement en direction du salon, je me couche sur le tapis et Eva allume la tv. Je commence à avoir envie d’aller au toilette, je miaule pour montrer mon envie. Les filles me regarde en souriant. « Tu veux aller au toilette parfait viens avec moi, tu as une litière tu sais » dit Isabelle Elle tire sur la laisse d’un grand coup et me traine a la cuisine, j’aperçois un bac avec de la litière. Elles me font signe d’aller dedans. 
« Tout est prévu, ta combinaison est équipé de 2 tuyaux pour évacuer tes besoins un dans tes fesses et l’autre qui gaine ton sexe. Ajoute IsaBelle Je rentre tristement dans le bac et commence a me mettre en position assise. Je suis super gèné mais je me force a uriner. J'entend mon pipi  sortir par un mini tube au niveau de mon sexe. Je suis stupéfait.
“Elle a coûté super cher cette combinaison mais je ne regrette pas. ” me dit IsaBelle. Les filles applaudissent mon action .“Maintenant que tu es habitué a ta tenue je vais d’équiper completement car une chatte se doit être douce” ajoute Eva en souriant Elle tire la laisse et je suis obligé de la suivre. Elle prend dans le carton une combinaison recouverte de poil. J’ignore la couleur car je percois tout en vert a cause de mes lentilles. Eva m’enfile cette combinaison par dessus celle en latex c’est exactement la meme que celle que je porte sauf que celle ci est recouverte de poil. Je suis completement serré dans cette tenue et la sur-épaisseur n’arrange rien.J’entend le zip de la fermeture et les clic des clips pour la cagoule, je suis recouvert maintenant totalement de poil. Chloé ajuste la combinaison au niveau de  mon sexe et de me fesse pour bien dégager les orifices me permettant de faire mes besoins. Barbara ajuste la cagoule. >“Ne bouge pas Kitty j’ai une idée” dit Eva avant de disparaître. Elle arrive avec plusieurs chose dans ses mains. J’aperçois une trousse et un corset. Eva ouvre la trousse qui contient du maquillage, elle prend un crayon noir et souligne mon regard. Beaucoup de mascara vient alourdir mes cils.
Eva remplie mes lèvres avec un rouge a lèvre longue tenu et termine par du gloss. Babara arrive avec un Corset. Elle me le  passe l et commence a le lasser fortement, j’en suis a 2 corset plus 2 combinaisons je suis vraiment serré, j’étouffe totalement. Je sens la tension des lacets et l’etreinte qui se serre sur ma taille. Je décide de miauler pour montrer ma gène.   “Courage Kitty tu vas etre la plus belle et sexy des chattes” rigole Eva “J’ai terminé lance Barbara, voyons le résultat” Je suis coincé dans ce corset, je transpire énormément a cause des 2 combinaisons, mes mains sont totalement engourdies et inutilisable a cause des gants que je porte, mon regard est lourd a cause des nombreuses couches de mascara et mes extensions, je ne distingue plus les couleurs a cause des énormes lentilles que je porte,
 Bref je suis méconnaissable et totalement prisonnier. Les filles partent mangé dans la cuisine, je les suis en restant par terre.
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iiimmx · 7 years
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Sous le soleil qui décline doucement pour rejoindre le dernier quart de sa course, j’avance, ma main dans celle de Julien, le sourire sur les lèvres. L’appeler « sire » ? Si il veut. Au fond, cela m’importe peu comment lui veut que je l’appelle. Je lui préfère son prénom, entre mes lèvres, éventuellement accompagné d’un adjectif possessif. C’est peut-être la seule marque de possession réelle que j’ai à son égard, et ça me pousse à serrer un peu plus mes doigts sur les siens. 
 Le chemin que l’on suit est différent, mais, ce qui finit par attraper mes yeux, plus loin, c’est l’objectif. C’est joli, et grand. On est terriblement loin des tentes autour, alors, très certainement que l’occupant de ce lieu est encore un cran au dessus ; et je me demande comment cela peut être possible. Ça a presque des allures des Versailles, version arabe. 
C’est la voix de l’Ombre qui me tire de ma contemplation des lieux pour reposer mes yeux sur Julien, toujours là, au bout de ma main. Et, le silence, d’habitude clair et limpide entre nous est perturbé par des sons qui me sont bien trop familiers ; forçant mes sourcils à se hausser de surprise mais aussi certainement d’anticipation. Non, tu as raison, ne me dis pas ce qui est évident, d’ailleurs, je suis persuadée que le regard désabusé que je te lance est on ne peut plus clair. Je ne bouge pas, et pourtant, j’ai envie de partir explorer les lieux, et très certainement les trésors au sens propre et figuré qu’on peut trouver ici. D’ailleurs, mes yeux qui se perdent partout ne trompent certainement personne. Mais, ils se refixent bien rapidement sur lui, alors que les premiers mots sortent de sa bouche. 
L’histoire est fascinante, et j’essaye d’imaginer Julien plus jeune, face à quelqu’un qui osait lui dire non. Face à un défi à la hauteur de son envergure. Ombrageux. Le mot a tellement de définitions possibles. J’ai du mal à voir Julien dans la définition qui ferrait de lui quelqu’un d’apeuré facilement. Le caractère défiant et jaloux par contre… Mais, surtout, farouche. 
 Il semblerait que je-ne-sais-pas-qui soit là, à en croire la main de Julien qui se serre brièvement sur la mienne, et le changement soudain d’expression sur son visage quand apparaît le favori noir. Julien passe devant, et je préfère lui lâcher la main pour le laisser libre quand l’objet de son attention est si proche qu’il pourrait l’effleurer. 
 Mon attention est déjà fixée sur le phénomène devant moi. Le cheval. Julien. Julien et son cheval. L’image a un goût de déjà vu, surtout quand on y appose l’histoire de Julien. Il n’y a pas de comparaison à faire entre l’un et l’autre, ils sont égaux ; le reflet l’un de l’autre, à la différence que l’humain est certainement plus abîmé que l’étalon si on connaît l’histoire. Julien lui parle dans un langage qui semble tout droit sorti de l’imagination d’un créateur de série épique, mais ce qui m’importe, ce sont ses yeux. Correction : leurs yeux. Je m’attends presque à l’entendre l’appeler Bucéphale lors de ce qui ressemble à nos présentations officielles ; mais, pas de déception, il a un nom à la mesure de son propriétaire. 
 Je pourrais passer un moment à détailler la perfection incarnée sous mes yeux. J’ai les doigts qui s’agitent de façon presque imperceptible. Tout comme j’ai voulu toucher Julien hier, j’ai envie de poser mes doigts sur sa robe couleur de la nuit. Mais, ma main encore chaude du contact avec Julien s’enfouit dans la poche de sa veste. La patience. L’autre, elle est rapidement manipulée par Julien ; et j’ai tout juste le temps de voir ce que mes doigts renferment qu’il baptise l’objet. Une relique. Encore une fois, le choix des mots… Presque gênant quand on sait que les reliques ne sont que le témoignage du passé. N’étions-nous pas en train de vivre notre futur ? 
 Il entame une autre histoire, celle de l’Ombre. Elle est toujours là, presque invisible tellement elle est silencieuse et bien cachée. Il prend une autre dimension maintenant que je le regarde du coin de l’œil ; et le coup d’œil qui lui m’avait jeté un peu plus tôt. Julien en arrive à parler de lui, et je lui accorde l’attention qu’il mérite. Surtout sur les mots qu’il me consacre. 
 Et, bien que je n’en ai probablement pas le droit, je fais le parallèle entre la créature qu’il tient du cuir entre ses doigts, et moi. « Peu de gens savent ce qui m’anime… » Est-ce que c’est le défi, le goût de l’impossible qui le motive ? La question s’installe dans mon esprit pour la seconde fois aujourd’hui. Je devrais m’en inquiéter. Pourtant, le simple fait qu’il garde son secret aussi loin, dans un écrin si joli et protégé me pousse à me dire que non, je ne suis pas qu’une nouvelle opportunité pour lui de se prouver qu’il est exceptionnel et que sa destinée est de repousser toujours plus loin des limites imaginaires. 
 Les différences entre l’animal et moi se multiplient soudain, et le constat final est violent. On est tous les deux venus nous chercher de notre havre de paix pour nous confier à d’autres mains plus importantes, refilant la marchandise au plus offrant. Encore que, le cheval, lui, s’en tirait avec le plus méritant. Il n’était même pas qu’une vulgaire marchandise échangée contre son pesant d’or et de joyaux. Le but ultime est de dompter le sauvage. Lui, ne se soumet qu’à Julien, sans limites. Pour le plaisir de Julien, mais sans l’ombre d’un doute pour faire ressortir sa majesté . Moi, je suis soumise à tous, sauf lui. Pour le plaisir de tous, mais certainement pas du mien. 
 Peut-être, finalement, que je suis bien plus cassée que je ne le pensais. 
 Je lève les yeux sur Julien, rangeant ma main et le trésor dans l’autre poche de sa veste. J’ai été absente seulement quelques secondes, pourtant, ça me paraît une éternité. Finalement, il est temps de mettre un peu de distance, que je l’observe, plus loin, pour ne pas être parasitée par son aura ; que je le regarde être, comme je ne l’ai jamais vu. Encore une fois. Je lui lance un sourire léger, mais sincère alors que je marche déjà à reculons. Il ne s’est pas sapé comme ça en espérant apparaître dans le top dressed de la Fashion Police, bien sûr que non.
 « Je pense que vous avez besoin d’un moment. »
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marie-bradshaw · 3 years
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20h45: la nuit noire enveloppe de son manteau epais les ailes de l’avion aux couleurs orangées qui me ramenent à la maison.
A la maison.
J’ai du mal avec ce concept.
Peut-etre du au fait que je campe toujours dans mon nouvel appartement toulousain, faute d’avoir reçu mon lit, “égaré” comme tant d’autres choses par la societe de transport.
Et pour egarer un lit King Size, il faut le vouloir (tout de même).
J’ai encore du mal à realiser que je l’ai fait, apres des mois de galere, de travaux, et un demenagement rocambolesque…
Quitter la capitale pour ma ville de coeur, Toulouse.
Je ne regrette rien, mais pourtant, je me sens comme detachée de tout en ce moment.
Le boulot, et pas grand chose d’autre…
Ca me donne toujours l’illusion de combler un vide, de me battre et de livrer des batailles.
Mais tous les guerriers ont besoin d’un temps de repos, et je ne fais pas exception.
Il faut dire qu’entre l’organisation d’un shooting, la restructuration de la boite de mon client et mon demenagement j’ai pas vraiment eu le temps de souffler.
Pas vraiment eu le time, et y’avait ce mec, aussi.
Le genre sur lequel je ne me serais jamais retournée, en temps normal.
Sauf que le “normal” ne fait plus tout à fait partie de mon vocabulaire depuis un moment.
Mis en contact par un ami pour un projet, on a tout de suite accroché.
Apres une heure passée au telephone à rigoler, je me dis “c’est cool”, et il commence à nous faire gentiment basculer dans la seduction.
Il est subtile, charmant, et je fais mine de ne pas trop comprendre pour garder mes distances.
Dans ma tête c’etait le genre de mecs à profiter de sa notoriete pour sauter sur tout ce qui bouge, et ça, j’ai deja donné.
Mais voilà, le coeur a ses raisons que la raison ignore, et sans vouloir rebalancer le cliché, j’ai toujours suivi mon coeur plutot que ma raison et c’est ce qui me rend si vivante.
Ok soit.
La discussion s’accelere, il me fait comprendre que je lui plais, de moins en moins subtilement mais toujours avec beaucoup d’elegance.
On se parle toute la soiree, et c’est le premier à m’ecrire le lendemain matin.
Les journees s’enchainent, et nos conversations se font de plus en plus frequentes, on se parle de nos passés, de nos ex, d’amour, et de debilite aussi.
“Toi et moi ça glisse plus qu’un sexshop de la rue St Denis” me punchline-t-il
Il a ce “truc”, qui m’intrigue fortement il faut bien le reconnaitre.
Ce grain de folie, cette ardeur, cette passion.
On parle le même language de “crazy kids”, deux adultes en quête de liberté et d’air frais qui ont faim de verite et de decouverte, ou du moins c’est l’impression que j’en ai à ce moment precis.
“Elle a tout compris” me repete-t-il quand je lui parle de ma vision du couple. Deux individus independants qui s’aident à devenir de meilleures versions d’elles-mêmes, qui se completent, s’entre-aident, se soutiennent, se prêtent de la force, et deviennent indestructibles.
Mais j’ai peur qu’il me brise le coeur et je lui explique rapidement que ce n’est pas une bonne idee de tout melanger, et il me repond que ce qui doit arriver arrivera.
Qu’il est serieux, que je peux lui faire confiance. La vente de rêve “c’est pas son truc”.
J’aurais essayé.
J’aurais aussi voulu qu’il me dise que ce que nous pouvions avoir personnellement depassait le professionnel.
Dans ma tête, ca aurait en tout cas eu plus de valeur.
Il m’aurait plaqué au mur lors de notre premiere rencontre, fait sauvagememt l’amour, et on serait parti à l’aventure du Monde tous les deux en equipe.
C’est fou ce que je peux être conne.
Bref- devient rapidement mon roc, mon confident, et moi sa conseillere.
Un jour on se dit “no way” et sans s’en rendre compte quelques semaines plus tard la même personne peut prendre une importance dingue dans votre vie.
Alors à notre premiere rencontre “physique”, mon coeur s’accelere. Il bat carrement la chamade en fait.
Je le vois pousser la porte de ce restaurant parisien du 2eme dans lequel j’avais eli domicile pour rencontrer des candidats toute la journee, parée d’un blazer Balmain rose, j’irradie d’enfin mettre un visage sur infinite de rires et d’angoisses telephoniques.
Premiere douche froide.
Il semble de marbre, ne me parle que de son projet, et je me plie au jeu.
Je cherche desesperement cette alchimie qui m’avait si justement envoûtée.
Rien.
Ok. Passons.
Vient alors notre deuxieme rencontre, un etat de nerfs presque palpable, et un lourd brasier de flirt de son côté sur leauel je m’empresse d’ajouter de l’essence.
Ni une ni deux, quand nous nous retrouvons enfin seuls sur un faux pretexte il se decide à m’embrasser.
Maladroitement.
Qu’importe, je crois toujours à ce que j’ai vu en lui, et je collecte chaque vague de douceur qu’il me donne dans ses baisers.
Je passe ma main dans ses cheveux, ils sont incroyablement doux, pour un mec qui passe sa vie en exterieur et ca m’etonne.
Ses levres parcourent mon corps et deambulent sur ses courbes comme pour en memoriser chaque ligne.
Sa main entrelace la mienne, et dans ce moment “d’union”, de cet autre être, à qui j’ai partagé mon intimité de plus d’une maniere, je vois presque de la poesie.
On a beau dire, mais toucher quelqu’un à qui l’on fait confiance, de qui on se sent proche, pour qui on a baissé la garde, duquel on se sent connecté par un etrange lien, profond, ça n’a rien à voir avec une autre etreinte.
Tout est decuplé.
Et quand il me dit froidememt, une fois lovée dans ses bras, “tu peux te doucher ici si tu veux”: je comprends qu’il n’en pensait rien.
La fatigue, la douche froide, je fonds en larmes dans ma chambre et reste à terre une dizaine de minutes dans mon paignoire.
En un instant, le sentiment de plenitude a laissé place à un profond dégoût. De moi-même surtout.
Je me sens utilisée, balladée, et ça me secoue un peu.
“Cherche pas, ce mec se sert de toi” me balance ma meilleure amie au telephone.
“Il n’en vaut pas la peine” me dit à son tour mon meilleur pote.
Ok les gars, je ne comprends clairement pas ce qu’il se passe.
Sans parler de couple ni de mariage, j’ai l’impression d’avoir rêvé ce lien, cette intimité, et ça ça me fait vraiment mal.
Je ne sais plus comment lui parler, je pars au quart de tour, puis je finis par exploser et lui dire ses quatre verités.
“Mais je me fous de tes prouesses sportives moi, c’est pas pour ça que je t’ai laissé rentrer dans ma vie comme ça, c’etait pour ce que je pensais avoir vu en toi, tout au fond, et je me suis royalement plantée”
Ma voix tremble d’emotion en lui laissant ce vocal.
J’ai les larmes aux yeux.
Mon amie Marie me sert dans ses bras et peste contre lui tout du long.
“Tu sais tous tes trucs là, tes story de ta tenue du jour, c’est pas mes valeurs, moi je pars en pleine Nature avec un sac à dos” enchaine-t-il
“Ah et donc pour avoir des valeurs faut tenir 6h de ride en becanne sans s’arreter c’est ça? Donc concretement tu te penses mieux que moi ou je rêve?”
“Pas du tout mais quand tu me dis que tu te fous de mes prouesses tu te rends pas compte du taf et des annees derriere” me repond-il
“Ah si, je me rends tres bien compte. T’es mignon mais la moitie de mes potes sont dans ce milieu. Et si tu penses que je peux me moquer des efforts que quelqu’un a deployé pour atteindre son rêve, c’est vraiment que tu ne me connais pas, du tout”
Silence.
J’hallucine encore un peu de la dissonance cognitive qu’il y’a pu y avoir entre un instant T où je nous voyais avancer côte à côte en partenaires et maintenant.
Je ne le reconnais pas, et en même temps on ne se connait que peu. Mais comment j’ai pu me planter à ce point?
Je le voyais bienveillant, genereux, drôle, charismatique, un peu dingue aussi… protecteur envers moi.
J’aurais du ecouter ma raison, et pourtant je ne regrette rien.
Ce n’est pas mon coeur qu’il a brisé, mais l’espoir qu’une autre âme ait touché la mienne.
Qu’on se soit vus sans faux semblants, appris à s’apprivoiser…
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