Tumgik
#Steve Bosser
forasecondtherewedwon · 6 months
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Masters of the Air - "Part One"
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mastersoftheair · 8 months
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TWO MORE DAYS!
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oh attend, quand ron finit son discours demandant ce qu'est être un super-héros à l'heure actuelle, si ça vaut même la peine de continuer de l'être et respecter leur engagement envers hero corp, ça focus sur Cécil pendant un moment?
i'm eating this up. bien sûr que le mec qui va tous les trahir et se la jouer super-vilain va avoir le focus sur lui après un discours comme ça.
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lignes2frappe · 2 years
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TRUE RELIGION, LA MARQUE DE JEANS QUE PLUS AUCUN RAPPEUR NE PORTE
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10 mai 2013. True Religion Apparel Inc. confirme officiellement son rachat par la firme d’investissement TowerBrook Capital Partners pour la somme astronomique de 835 millions de dollars !
À titre de comparaison, quand, en 2007, Jay Z a conclu le plus gros deal l’histoire du rap en revendant sa marque de fringues Rocawear, le montant de la transaction n’était « que » de 204 millions de dollars.
Bien connu du milieu de la mode pour avoir par le passé déjà pris le contrôle de Jimmy Choo, Odlo ou Phase Eight, TowerBrook Capital Partners n’a évidemment pas agi sur un coup de tête. À l’instant T, True Religion n’est en effet pas juste une marque de plus en vogue, c’est LA marque en vogue.
Son logo en forme de Bouddha qui joue de la guitare acoustique et ses fers à cheval brodés sur les poches arrière de ses jeans sont depuis quelques saisons omniprésents dans les garde-robes des célébrités, que ce soit chez les habituées des tabloïds (Paris Hilton, Britney Spears, Lindsay Lohan…), les acteurs et les actrices (Gwyneth Paltrow, Bruce Willis, toute la distribution de la série Desperate Housewives…), ainsi que l’entièreté du rap mainstream (Kanye West, Nicki Minaj, Future, Jim Jones et les Black Eyed Peas l’ont citée dans leurs textes, Chief Keef lui a dédié l’hymne True Religion Fein, 2 Chainz a carrément intitulé l’une de ses mixtapes T.R.U. REALigion et a fait de l’ad lib « TRUUU » sa carte de visite…).
Surfant sur cette hype sans précédent, True Religion a triplé son chiffre d’affaires de 2007 à 2012, allant jusqu’à générer 490 millions de dollars par an.
L’avenir s’annonçait donc des plus radieux, la success story semblant même n’en être qu’à ses prémisses.
Ou pour citer Lynne Koplin, fraîchement nommée présidente directrice générale : « Cet investissement de TowerBrook nous permettra de maintenir notre leadership sur le marché sur le long terme. Le prochain chapitre de notre histoire sera, nous n’en doutons pas, des plus fructueux, tant pour nos employés que pour nos clients et nos actionnaires. »
Sauf que bon, la suite ne s’est pas spécialement déroulée comme prévu. Banqueroutes, fermetures, restructurations… ce fut même tout l’inverse qui s’est produit, et ce, en quelques années à peine.
Comment ? Pourquoi ? Pour tout comprendre sur cet incroyable retournement de situation, reprenons tout depuis le début.
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Tomber pour mieux se relever
New York, fin des années 90. Jeffrey Lubell, la quarantaine joyeuse, « mec rock’n’roll » fan des Grateful Dead, des Rolling Stones et de Joni Mitchell, commence à se dire, après avoir passé deux décennies à bosser pour d’autres dans l’industrie de la mode, qu’il serait temps qu’il se mette à son compte.
Il convainc sa femme Kymberly de sauter le pas, et quelques mois plus tard, le couple crée deux marques de jeans, Bella Dahl et Jefri Jeans. Leur relative inexpérience dans l’entreprenariat leur vaut toutefois de connaître de sérieuses difficultés financières, tant et si bien que très vite ils se font racheter par un duo d’investisseurs, Kerry et Steve Jolna.
Pas découragé pour autant, Jeffrey décide de rebondir en 2000 en utilisant une partie des fonds mis à leur disposition pour fonder une nouvelle marque, Hippie Jeans. Les frères Jolna ne l’entendent cependant pas de cette oreille et poursuivent les deux tourtereaux en justice pour rupture de contrat, concurrence illégale et infraction à la propriété intellectuelle.
Kym et Jeffrey contre-attaquent, s’estimant injustement dépossédés de « leurs enfants ». S’ensuivent deux années de procédure judiciaire qui se terminent le 28 janvier 2002 par la victoire des frères Jolna.
Qu’à cela ne tienne, les Lubell en ont encore sous le pied et émigrent en Californie, des rêves plein la tête.
« Avec mes deux précédentes marques, j’ai fait des erreurs » admettra Jeffrey. « En repartant à zéro, je me suis dit que je préférais tout faire moi-même plutôt que de me taper un partenaire qui, parce qu’il a investi de l’argent, se permet d’avoir un avis sur tout. »
Le couple met ainsi sur pied la société de gestion Guru Denim Inc., une structure qui va leur permettre de lancer en décembre 2002 une nouvelle marque qui n’appartient qu’à eux, True Religion.
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La religion du jean
Très vite, les différentes pièces du puzzle se mettent en place.
Jeffrey et Kym Lubell déposent leurs valises dans la petite ville de Manhattan Beach (35 000 habitants), recrutent un designer et un chargé de production, et se mettent sans plus attendre à l’ouvrage.
Leur credo ? Des jeans, encore des jeans, toujours des jeans.
« La seule vraie religion dans le monde, ce sont les gens. Et partout dans le monde, les gens portent des jeans. À nous de nous concentrer sur la coupe, la qualité et le style pour qu’hommes et femmes se sentent le mieux possible dedans. »
Pour atteindre cet objectif, True Religion mise d’entrée de jeu sur le premium avec des jeans coûtant entre 170 et 300 dollars – des prix particulièrement élevés pour l’époque, très éloignés de ceux proposés par la concurrence.
Jeffrey Lubell n’en a cure. Ce qui compte pour lui, c’est d’abord la qualité du produit. Le reste ne vient qu’après.
« Si vous voulez acheter du pas cher, allez chez Wal-Mart ou chez Target » s’agace-t-il.
Outre la qualité du tissu vendu comme supérieur, et de surcroît « made in USA », l’idée est que le consommateur bénéficie d’un produit reconnaissable au premier coup d’œil.
Il y a donc ces coutures très épaisses, les fers à cheval, et bien sûr, le fameux Bouddha « World tour » qui apporte une touche new age à l’ensemble.
L’un dans l’autre, True Religion c’est le textile un peu cool, un peu vintage, un peu cowboy, qui s’adresse à tous les imaginaires.
La formule plaît, et en moins de deux ans, les résultats se font spectaculaires.
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Le monde chico
Après une année 2003 confidentielle (2,4 millions de dollars de ventes assortis d’un léger déficit), True religion éclot réellement en 2004 (27,6 millions de dollars de ventes, 4,2 millions de bénéfices), avant d’exploser en 2005 grâce à une série de deals à l’international. Distribué au Japon, au Canada, en Italie, en Allemagne, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ses ventes dépassent la barre des 100 millions de dollars, tandis que son bénéfice frôle les 20 millions de dollars !
Adoubé dans la presse spé (Vogue, Elle, Harper’s Bazaar…), True Religion débarque dans la cour des grands et commence à vendre ses vêtements dans les chaînes les plus prestigieuses du pays afin de capitaliser sur son côté élitiste (Nordstrom, Saks Fifth Avenue, Bloomingdales…).
Sa progression ne s’arrête toutefois pas là.
Après l’inauguration d’un premier magasin dans son fief de Manhattan Beach en 2005, fort de ses moyens nouveaux, True Religion inaugure une politique d’expansion des plus agressives : quatre ans plus tard, la marque possède plus de 100 points de ventes répartis aux quatre coins du globe.
Mieux, chacun de ces magasins participe à renforcer son identité avec un décor là encore immédiatement reconnaissable : des boiseries partout, du plancher et une ambiance mi-zen, mi-saloon.
Brillant de mille feux au début des années 10, True Religion se permet non seulement de regarder droit dans les yeux tous les gros noms du denim (G-Star, Diesel, Levis Strauss…), mais peut à terme raisonnablement espérer de tous les dépasser.
« Toute personne sur Terre un brin dans le coup est un client potentiel de True Religion » résume Jeffrey Lubell.
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Les premiers nuages, puis la tempête
Si en public l’ambiance est à la fête, en coulisse plusieurs voyants se mettent à clignoter, à commencer par le divorce de Jeffrey et Kym en 2007 après 20 ans de vie commune (le départ de Kym quelques mois plus tard scellera la fin d’une époque), ou en 2009 l’échec de True Religion à pénétrer le marché asiatique malgré des investissements conséquents.
Rien d’extrêmement alarmant en soi, si ce n’est qu’un vent d’inquiétude commence à se faire sentir lorsqu’en 2011, pour la première fois de son histoire, les profits ne progressent pas aussi rapidement que l’année précédente.
Désireux de rester dans une bonne dynamique, investisseurs et actionnaires poussent le président Mike Egeck au départ. C’est malheureusement l’effet inverse qui va se produire.
Résolument opposé à ce licenciement, Jeffrey Lubell rentre en guerre avec ces derniers. Toujours plus branché mode que business, comme avec les frères Jolna, il est défait.
Non reconduit à son poste de directeur de la création en 2012, il quitte la compagnie – en échange cette fois d’un package de six millions de dollars en guise de lot de consolation.
Lynne Koplin est ensuite nommée directrice générale par intérim. Un an plus tard, TowerBrook Capital Partners entre dans la danse.
L’ironie de la chose, et la cause du drame qui s’annonce, c’est qu’en dépit du départ de ses fondateurs et des velléités réformatrices affichées, True Religion s’arrime à la formule qui a fait son succès depuis bientôt une décennie.
Dans un univers de la mode en proie à un changement drastique des tendances et des comportements, cet immobilisme ne pardonne pas.
Concurrencé par le pas cher (la fast fashion) et le confortable (le sportswear), True Religion est en sus attaqué sur son propre terrain, celui des jeans à plusieurs centaines de dollars, par l’avènement des « luxury brands » à la Balenciaga, Fear of God & Co.
Pire, engoncé dans ses veilles pratiques, True Religion néglige complètement le virage du e-commerce avec un site internet et un marketing d’un autre âge – en 2010, les commandes en ligne généraient moins de 3% de son chiffre d’affaires…
Résultat, en quelques années, c’est tout l’édifice qui s’effondre.
Déficitaire à hauteur de 78 millions de dollars rien que sur 2016, True Religion cumule un total de 471 millions de dollars de dettes (!) et n’a d’autre choix que de se déclarer en faillite à l’été 2017.
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Le grand huit
Contre toute attente, le move s’avère particulièrement réussi.
Désireux de sauver le navire, TowerBrook revend la quasi-totalité de ses actions pour injecter un maximum de liquidités dans la machine, tandis qu’un nouveau partenaire entre danse, la banque Citizens, qui investit une centaine de millions de dollars.
Réduite à 120 millions de dollars, la dette est rééchelonnée jusqu’en 2022.
Bien que pas encore sorti d’affaire, True Religion évite de mettre la clef sous la porte.
Pas de chance, l’épidémie de Covid-19 stoppe net cette belle dynamique. Le ralentissement global de l’économie lui vaut d’enregistrer 50 nouveaux millions de pertes en 2019. Pour la seconde fois, True Religion connaît les affres de la banqueroute en avril 2020.
Ce coup du sort amorce cependant la vraie renaissance de la marque.
Nommé à la tête de la société en octobre 2019 après avoir servi comme cadre entre 2006 et 2010, Michael Buckle opère cette fois un véritable changement de cap. Conscient que jouer la carte de la nostalgie n’est pas suffisant, il opte pour une baisse drastique des prix et un renouveau des designs.
« Il était impératif pour nous d’écouter ce que nos clients avaient à nous dire. Ce qu’ils voulaient, d’où ils venaient, ce qui les intéressaient. À partir de là, il a fallu nous repositionner. Oui, True Religion est vendu moins cher qu’il y a dix ans, mais la marque n’a pas pour autant perdu sa symbolique. »
C’est d’ailleurs dans cette optique de concilier le présent et le passé que True Religion s’est offert en 2021 une collaboration qui a beaucoup fait parler avec Supreme, puis a célébré cette année en grande pompe son vingtième anniversaire en faisant poser Chief Keef dans ses publicités.
Réchappé in extremis du club des ringards à la Juicy Couture et Ed Hardy, True Religion s’enorgueillit désormais d’un chiffre d’affaires qui flirte avec les 200 millions de dollars.
Certes, chacun pensera ce qu’il voudra des récentes collections que beaucoup qualifient de merguez, certes, les chiffres ne sont pas ceux des années fastes, mais Michael Buckle préfère voir le verre à moitié plein.
« Ce que nous voulons, c’est peser 500 millions par an d’ici à quatre ans. Rien ne nous interdira ensuite de devenir une marque qui pèse un milliard. »
Qui sait, rappeurs et célébrités se laisseront peut-être tenter de renfiler les tonnes de jeans qui dorment dans leurs placards depuis dix ans ?
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Publié initialement sur Booska-p.com le 30 décembre 2022.
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petite-madame · 6 years
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Mais J'ADORE ce truc façon tapisserie 😂 Ça donne envie de voir les aventures des Avengers brodées comme une œuvre médiévale. "Alors que Sieur Tony s'approche...". J'en peux plus !! 😂
Bonjour anon!
Bon, pour ceux qui auraient raté la fameuse “réponse tapisserie”. 
Ça donne envie de voir les aventures des Avengers brodées comme une œuvre médiévale.
Oui je pense que ça rendrait très bien car on peut adapter pratiquement n’importe quelle scène du MCU et absolument n’importe comment. Cependant, j’aurais une préférence pour le combat final entre Steve et Tony dans Civil War, surtout le dialogue juste avant l’explosion entre les deux adversaires. ( “I’m sorry Tony, but he’s my friend.” - “So was I” > (“Je suis désolé Tony, c’est mon ami” - “Comme je l’étais”)
Ci-dessous, la fameuse tapisserie Les derniers mots de Sieur Antoine, l’Homme de Métal, à son ancien ami, Sieur Etienne, Chevalier des Amériques (1516)
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Alors oui, à ce moment précis du combat, Sieur James n’avait pas encore eu le bras réduit en bouillie par Sieur Antoine mais le brodeur a pris des libertés, c’était plus esthétique. 
Et me revoilà embarquée dans une manip à la con au lieu de bosser. Et en plus, je suis morte de rire. Pardon Fandom, pardon… Bonne journée anon ♥
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bouxmounir · 2 years
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Il prend le jackpot à l'EuroMillions mais revient bosser chez Lidl !
Il prend le jackpot à l’EuroMillions mais revient bosser chez Lidl !
Le chauffeur du camion discount allemand Lunterl a caché son secret pendant la pandémie de Covid-19, alors que le gouvernement avait besoin d’un soutien. Il a choisi d’attraper Lidl, son entreprise qui avait gagné un million de livres à la loterie nationale. En réalité, tout sera réglé en 2019. Steve Schiltz a remporté son gros lot. Mais la pandémie de Covid-19 a frappé le monde et le…
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tar-one · 3 years
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DISPO SUR TOUTES LES PLATEFRORMES DE STREAMING !!!
Yooow, "Juskomsa and Friends" épisode 3. Qui ou plutôt qu'est-ce qu'un Fabien ? Selon la page FB "Neurchi de flexibilisation du marché du travail - NdFlex" qui, comme son nom ne l'indique pas est très fun, c'est un infâme petit chef souvent extrémiste néo-libéral qui kiffe exploiter jusqu'au bout de leurs limites ses pauvres "Corentins" dans leur Start Up et autres goulags du merveilleux monde de l'entreprise. Je suis tombé un peu par hasard sur cette page et me suis plongé dans cet univers que j'ai toujours eu la chance de connaître de loin. Entre memes cathartiques et témoignages tragi-comiques, j'ai fini par être inspiré. J'ai donc recruté mon super talentueux poto Furio pour joyeusement dézinguer ces petites saloperies que nous avons toujours adoré abhorrer. Le Beat du non moins super talentueux Sauzé est idéal pour une vibe fun et patate, ça donne l'ambiance recherchée, ni trop pouet-pouet ni trop vénère. Nous espérons que vous en ferez votre Banger de choix pour cette fin d'année, on se retrouve le 24/12 pour l'épisode 4 !
Feat : Furio Beat : Sauzé Enregistrement : Deux13 Mix : Taipan Cover : Daex
Tar One :
J’trouve ça bien de ne pas devoir bosser pour un Fabien Parvenu qui veut bloquer tes revenus, y parvient Sale chien qui te gueule dessus « Alors ce graphique ça vient ?! » « Bien sûr, et mes heures sup’ ? », te mate comme un martien Infâme enquiquineur qui se sent big winner À 6h te demande 6 ptites heures, toi t’as juste envie qu’il meurt Ou pire le jeter en pâture à des syndicalistes vindicatifs Le forçant à lire plein d’livres marxistes
Dope quand j’flow, niveau High, pur Emceeing Mais m’parle pas de conf call pré-workshop pour updater ton branding Sale con je veux t’étrangler comme Homer Fuck ton jargon franglais corporate Tes citations inspirantes de Steve Jobs Sur l’open space roitelet tout puissant, ignoble Tu piges que dalle et on s’branle de ton profil Linkedin Ta valeur travail et de quoi tu profites bitch ? Keutchi !
Calcule pas tes heures mais sous-merde porte une Bretling Fabule, grave nerveux et sous C comme une cédille Frimer sans arrêt puis faire genre « ça gère » Mais n’arriverait à rien sans précaires et sans stagiaires Prosélyte capitaliste, s’agite cause de process Amnésique quand il s’agit de ses promesses Nous les branleurs et les envieux, j’nous en veux Sa bête gueule et son corps de lâche faudrait séparer en 2 !
bridge
Furio :
Il est dans mon dos, il m’observe, veut voir bouger mes grosses fesses, mais il n’est pas homo, C’est Fabien, je lui fait la promesse de quelques gros mots, dés que j’aurai mon C4 et lui sa promo Il doit faire du chiffre, pour que ses patrons puisse faire du bif, que les actionnaires puissent faire du ski en Autriche Il a la pression, ne connait que l’agression, pas question Que la hiérarchie se mette en question, 8
Moi j’suis là en intérim, pas pour un mariage avec ta boite, pour rester poli elle est maladroite Avant qu’on me baise je préfère que l’on me doigte, il n’y a rien d’excitant dans le stress et les mains moites Tu ne connais rien, comme John Snow, malmener l’humain pour rouler en Volvo, c’est petit c’est nain, la vie c’est un burger t es à coté comme le coleslow, même pour ton boss tu n’es rien t’es un John Doe, 16
Là où je ne te pardonne pas, c’est pour les collègues qui n’ont pas d’autre choix, cumule garde des gosses et frais d’avocats Tu les traques, tu les presses, tu les vampirises, tu les stresses pour te sentir vivre ? J’ai rêvé d’une fin sur les chiottes à la Travolta, t’es qu’un Fabien d’plus, tu mérites une Marsellus Continue le harcèlement, j’appelle mes trafiquants pas le syndicat, un peu d’moyen âge dans ton châtiment
https://www.youtube.com/watch?v=4m0-RB8mFKg&ab_channel=TarOne-Topic
https://bfan.link/fabien?fbclid=IwAR0nohAM01KCph8OT30FkpPbQjOuZtl5Go2-3Nk-SVjRNmXmE1-h8Oizg6s (il est aussi sur les plateformes non référencées dans le fanlink)
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telicoffeenstuff · 6 years
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“Et ta putain de bière McCree, tu la veux avec ou sans élan ?”
Jesse leva les yeux de sous son chapeau pour regarder Gabriel d’un air circonspect, attendant devant sa table, son plateau chargé de la Bud qu’il avait commandé quelques minutes plus tôt.
“sur la table, avec toute la délicatesse dont ta connerie pourra faire preuve Reyes.”
“Vire ton bordel de là ou je pose ton verre sur tes CV.”
“Les CV a la limite j’men tape, pourri pas mes partoches par contre... c’est lui ton nouveau barman ?
Gabriel jeta un oeil vers le zinc, derrière se trouvait le grand blond qu’Ana avait embauché pour la saison.
“ouais, James... John...... HEY STEVE !”
“c’est Jack !”
“Steve Rogers ça ira bien. Non mais regarde le, on dirait Captain America mais version Jet set. je suis sûr qu’il pourrait m’inventer un cocktail qu’on appellerai Democratie.”
“et ça va tu penses qu’il va faire l’affaire ?”
“Ca percute, mais ça pense que ça va faire la fete tous les soirs pour rentrer avec une cliente différente, ou continuer a aller a la salle de sport 3h par jour. crois moi je vais tellement te le faire galoper, que la salle, il en aura plus besoin, choupinet. Sur quoi tu planches à part tenter pour une fois de gagner ta vie en interim ?” “deux trois idées de chansons... il nous faudrait un autre guitariste Reyes.”
“jveux pas d’un autre guitariste. on est bien comme on est”
“on stagne, mec, on peu pas dire que les concerts rameutent vraiment du peuple, le hard metal trans speed greuh, ça attire qu’un public de niche, ou alors faudrait coller au train des tres tres grands.”
Reyes haussa les épaules, faisant tourner son plateau d’un air distrait sur son majeur comme un ballon de basket.
“hey moi je connais un guitariste si vous voulez !”
Gabriel et Jesse se retournèrent vers le barman.
“toi ? mais t’écoute pas que du David Guetta ?”
“Non, j’ai aussi joué du Oasis pour pécho sur la plage. pas concluant je te l’accorde, mais j’écoute pas QUE de l’electro.”.
“ouais bah un jour quand tu sauras gérer ton bordel, tu te permettras de me faire des propos. t’es là depuis 24h, fanfaronne pas et fait ta cave.”
Levant les yeux au ciel il se retourna vers Jesse.
“Soit pas trop dur avec lui, tu traumatises les saisonniers chaque année, ça serait ptet bien qu’il yen aie un qui reste ?”
“que dalle, jvais en faire un sandwich de Captain America. il va pleurer maman à la  fin du mois. ou alors il me demandera en mariage. allez, jvais faire semblant de bosser.”
BON. j’ai voulu balancer un truc comme ça, voir ce que ça donnerai. je suis pas hyper satisfaite de l’illu, la position est louche. (le thème est complétement inspiré par 12 ans de service en restau). je sais pas encore si ça part sur une histoire d’amour ou d’amitié, à vrai dire les deux me vont.
le tshirt, emblème de nos services en France, est trouvable ici : https://shop.spreadshirt.fr/LeBarmanVousDeteste/
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INTERVIEW PIMP MY QUEER NIGHTS #8 - TOM LLINARES / LE COXX
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Huitième portrait de la série dédiée aux activistes Queer….  ⚡
Nous avons eu le plaisir d’interviewer Tom ! 
Présentes-nous ton parcours et tes activités.
Je m’appelle Tom Llinares, j’ai travaillé 25 en tant que réalisateur de journaux à la radio et assistant de direction dans la régie publicitaire pour le groupe Lagardère. En 2015, il y a eu pas mal de changements et j’ai pris le parti de quitter le groupe pour me lancer dans une aventure humaine : le COXX. 
J’ai toujours été quelqu’un de très sociable, j’aime être entouré de monde. Je suis né à Montpellier, ou j’ai toujours vécu. J’aime ma ville et la métropole en perpétuelle évolution quelle est devenue, du coup je souhaitais y avoir un établissement mettant en avant convivialité et communautarisme.
La plus  belle réussite de ma vie ce sont mes deux enfants Morgan, 27ans et Wilfried, 24ans.
Tu gères le Coxx, un des (trop  rares) établissements Gay de Montpellier, depuis combien de temps, qu'est ce qui t'a motivé ?
En 2015, on m’a proposé un plan social avec départ volontaire. J’ai saisi cette opportunité et j’ai donc quitté mon poste. En parallèle de mon emploi chez Lagardère, j’ai travaillé en restauration. Fort de mes compétences dans ce domaine et avec une envie de partage je me suis mis à la recherche d’un bar sur Montpellier. J’ai visité LE COXX, qui avait ouvert en 2014 ; je connaissais le lieu en tant que client et j’ai eu un coup de cœur pour la pierre blanche et pour sa localisation. 
Le 9 juin 2016, j’ai donc rouvert le COXX avec un changement complet d’identité, je souhaitais complètement supprimer l’image CRUISING de l’ancien lieu, cela ne me correspondait pas. La première année a été un peu difficile, j’étais resté sur une image simpliste du bar, sans prendre conscience qu’un bar gay c’est aussi une ambiance. On m’a proposé d’accueillir le before d’une FLAWLESS, j’ai fait la rencontre de Quentin Bjorn, on a accroché et il a commencé à venir de façon récurrente au bar. Voyant que la présence d’un Dj donnait une autre dimension aux soirées, on a commencé à tenir un agenda, puis a être plus présent sur les réseaux sociaux. Cela représente énormément de travail, entre les stocks, les achats, la compta donc j’ai proposé à Quentin de prendre la direction artistique du lieu. L’un comme l’autre nous adorons bosser ensemble, nous avons une vision commune très inclusive, festive et avec une réelle volonté de montrer nos couleurs. A ce moment le Coxx commence à se forger un nom. Nous sommes très actifs sur Facebook, Instagram, et nous avons des évènements tous les weekends, une charte graphique et nous commençons à toucher une population plus large. 
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Mais revenons sur la partie bar ou j’ai eu aussi la chance de rencontrer Marco : les gens l’adorent, c’est quelqu’un d’humain, d’accessible, de drôle, … C’est mon responsable de bar. Marco, Quentin et moi sommes vraiment le noyau dur pour l’ensemble des décisions du bar où l’on vote de façon équitable, mais bon comme la reine Elisabeth j’ai mon droit de veto. Ensuite dans le STAFF nous avons Sebby, Gary, et Fabien en fonction des dispos de chacun.
Tes line-up sont 100% LGBT ? Quels sont les artistes et performers qui participent à tes soirées ?
Non, je reformulerais en disant que mes Line-up sont à 100% “Friendly”. Nous ne voulons pas d’exclusion au COXX. Nous bossons de façon égale avec  femme, trans, homme, gay, bi, hetero, lesbienne, blanc, noir, beur, asiatique, Queer, efféminé, masculin, barbu, imberbe, …  
Tous les membres de la communauté sont bienvenus au Coxx. 
Au niveau de la programmation artistique, nous avons nos résidents en Dj set, nous avons pour la partie Girly les « Who Run the World ? », les Superstrars mettant en avant la culture cabaret, les scènes ouvertes Queer en partenariat avec Support Your Local Girl Gang, les HAppy Bear, les dépistages / séances sexo psy avec Enipse, des expositions d’artistes en partenariat avec Pride Off... On veut vraiment que le COXX soit le lieu de référence pour la communauté. 
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Après on a de façon plus ponctuelle le Noël du Refuge, nous avons accueilli un artiste international TThiago de Oliveira, le Bingo animé par Julien de Bomerani, La Glamazon de Othman de Poltorasky, qui fut incroyable, des artistes de théâtre qui ont présenté en avant première leur pièce, cracheurs de feu, fête de la musique avec échassier, barbe à papa… Bref, on met un joyeux bordel dans la rue Jules Latreilhe.
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Quelles sont tes influences et comment sélectionnes-tu tes bookings ?
Pour cette partie la je reconnais que je délègue énormément, je sors peu, du moins en dehors de Montpellier, je fais pas mal confiance à Quentin et Marco, qui apportent beaucoup d’idées. Néanmoins j’ai des influences très pops, j’aime les shows colorés, happy, avec de la couleur ; je n’aime pas quand il y a une connotation trop sexuelle, car une certaine partie de la communauté se sentira forcément exclue. Quentin a le même point de vue, d’ou les visuels toujours très pop ; on ne bosse pour cette partie-là qu’avec Kii Wiit : c’est une perle. 
Pour la partie musicale, Montpellier est une ville de musique électronique, donc afin de cibler plus large nous avons principalement de la Circuit House, beaucoup de remixs afin que les gens aimant la pop se reconnaissent ainsi que ceux aimant les basses. 
Pour les shows, l’approche est un peu la même, quand j’ai lancé les Superstar avec Miss Lavanée, je voulais remettre au goût du jour les artistes de cabaret et ainsi séduire une clientèle plus quadra. Finalement, jeunes, daddys, tout le monde a adoré. Quand Quentin a repris la programmation de ces évènements il a apporté sa touche de modernisme avec des artistes de partout en France, qui nous ont fait Lolo Ferrai, Kylie, Lady Gaga… C’est un concept que j’affectionne particulièrement. Pour le reste nous travaillons avec beaucoup d’artistes de la scène LGBT locale et particulièrement avec l’Agence Hot Events.
Comment arrive-t-on, en tant que gérant d'établissement, à faire vivre des concepts de soirée dans une ville comme Montpellier ?
D’abord, en ayant un état d’esprit de veille ; il faut regarder ce qui se passe ailleurs, et suivre le mouvement. Il faut être force de proposition, se renouveler, et, surtout, être sincère. Encore une fois, grâce à mon équipe, Quentin sur ses différentes prestas et par ses déplacements, voit beaucoup de choses il s’aide aussi beaucoup des réseaux sociaux pour la partie artistique. 
Pour faire vivre le bar, Marco y est pour beaucoup. Il sait être le pote, le confident, il sait déconner et avoir un petit mot pour chacun. Il est LA force du bar ! Il a un relationnel de malade, crée une bonne ambiance dans son équipe et les gens sont très réceptifs. Ils sentent que la Coxx Family n’est pas marketing, mais bien sincère.
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C'est quoi les prochaines étapes ?
Alors en exclu pour SYLGG, de gros changements sont prévus...
Dans un premier temps notre identité visuelle : j’avais conservé le logo de l’ancien concept mais il n’est plus en accord avec nos valeurs. Nous allons donc passer de « COXX – Bar Gay-Terasse » à « COXX (sans le symbole masculin dans le O) Bar  LGBT+ ». 
Encore une fois, il me tient à cœur de renforcer le fait que le Coxx est une Safe Place, j’y mets un point d’honneur. Ensuite on va refaire beaucoup de choses, Quentin va me ruiner : bar, plafond système son, light déco, on redonne un coup de jeune au lieu. Pour le reste, nous allons renforcer tout ce que l’on a déjà mis en place et surtout nos excellents rapports avec Fierté Montpellier Pride, qui sont primordiaux pour moi.
Ton artiste préférée ?
Madonna, sans hésitation. C’est une femme à part entière, qui a toujours assumé tout ce qu’elle a fait, qui a innové, a su rester sur la scène à 61 ans, et à compter. C’est aussi une femme d’affaire, et une maman. J’ai beaucoup de respect pour celle dont je suis la carrière depuis les débuts.
Une citation ?
“Aides-toi, le ciel t’aidera.”
Sans aucune connotation religieuse, dans la vie rien n’est acquis. Il faut donner pour recevoir et surtout travailler, rien ne tombe du ciel.
Des endroits que tu recommanderais pour faire la fête à Montpellier ?
Pas mal en fait, nous travaillons avec l’ensemble des établissements de nuits accueillant des évènements LGBT, donc je dirais le Moom où l’on se sent comme à la maison avec Momo, le PZ City Club pour une ambiance plus techno, où Sasha nous accueille très bien, l’Antirouille pour les Croque-Monsieur, le QG, le Dieze…
Quel est ton spot à l’apéro à Montpellier ?
J’aime grignoter quelques tapas a la Robe Rouge, place Saint Ravy, avec un petit verre de vin rouge. Moussa, Steve et son staff sont au top, les produits sont très frais, délicieux et il y a un bon rapport qualité prix. J’aime beaucoup la place Saint Ravy, on se sent enclavé au milieu de ces bâtiments historiques, au calme avec la fontaine. Sinon j’aime bien rester au Coxx même quand je n’y travaille pas je m’assieds avec les clients, on discute, on écoute, pour moi c’est ça mon plus, ma proximité avec mes clients.
Que penses-tu de Support your Local Girl Gang ?
Dans un premier temps, j’aime beaucoup la vision que vous apportez aux médias Montpelliérains ; on travaille ensemble sur les scènes ouvertes Queer et je trouve ça vraiment top. 
Vous apportez une sensibilisation sur des sujets qui, de mon époque, n’en étaient pas. L’appropriation culturelle, le racisme, le féminisme, au final on prend conscience de comportements qui pour moi étaient « normaux », mais en recoupant avec un point de vue extérieur, étaient en fait déplacés. Je trouve ça intéressant, ça nous remet en question. Je reconnais avoir été dans un premier temps choqué par l’utilisation du terme “gay blanc”. Je ne me reconnaissais pas dans ce stigmate de l’homme blanc certes gay, mais oppresseur pour le reste de la communauté; après échanges j’ai compris qu’il ne fallait pas le prendre personnellement et garder en tête que le racisme anti-blanc n’existait pas. 
Donc SYLGG apporte sa pierre à l’édifice de la communauté Montpelliéraine.
LE COXX DANS TES  RESEAUX : FACEBOOK  - INSTAGRAM
Emeraldia Ayakashi - Support Your Local Girl Gang
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strangears · 6 years
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Rétrospective Synthpop : Propaganda - A Secret Wish
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          En 1983, l'équipe créative derrière le succès du Lexicon of Love d'ABC, et plus précisément Trevor Horn, sa femme Jill Sinclair et le journaliste Paul Morley décident d'ouvrir leur propre label ZTT Records, histoire d'offrir à la face du monde leur vision de la production musicale. Et de l'offrir aussi à des groupes qui, sans eux, soyons honnêtes, n'auraient sûrement pas connu le succès qui s'en est suivi. C'est le cas de leur première grosse signature et premier gros tube ; Frankie Goes to Hollywood et leur « Relax ». Les allemands de Propaganda quant à eux, ont été signés à la même période, en parallèle de ce premier succès.
     Je découvre ces albums en 2007, à mes 17 ans, alors que mes parents ont ENFIN décidé d'acquérir un abonnement à Internet. Un de mes premiers crushs discographique 80's ayant pour nom « The Age of Plastic » des Buggles, il était logique que ma mélomanie naissante se connecte à la carrière de producteur de Trevor Horn. Et à chacun des albums signés de son nom, même si tout les titres n'étaient pas des tubes, j'en retirais tout de même beaucoup de plaisir, du à une prod' impec'. C'est donc le cas de ce « Secret Wish », duquel j'avais surtout retenu « Dr. Mabuse », flattant ma culture cinématographique (naissante aussi, je commençais alors une Fac de Cinéma) par une folie et un imaginaire typique de ce qui me plaisait chez les Buggles.
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     Et quoi !? J'apprends aujourd'hui en me renseignant que ce titre est le seul de l'album produit par Trevor Horn ?! Trop occupé à prolonger le succès de « Relax », il travaille essentiellement durant cette période sur « Welcome to the Pleasuredome », confiant alors A Secret Wish à son ingénieur du son, également producteur, Steve Lipson. On passe donc du Fairlight au Synclavier. De plus, le reste du groupe ne pouvant se déplacer constamment de Düsseldorf à Londres, seule la chanteuse Claudia Brücken représentera Propaganda durant une majorité des sessions, s'étant acoquinée de Paul Morley. On ne va pas forcément s'en plaindre à l'écoute du résultat...
     Si les premières démos de ces « Black ABBA » dévoilent un son assez pauvre et approximatif, du à matériel rudimentaire et basique, Steve Lipson va directement les projeter du noir et blanc à la couleur haute définition. Très cinématographique, on traverse le désert sur l'ouverture « Dream Within a Dream », de Lawrence d'Arabie à Bagdad Café, sur un texte d'Edgar Allan Poe. Le voyage imaginaire continue avec ces bains de foules sur « Frozen Faces » qui finissent en flûte de pan sur un gimmick synthétique hypnotique dont il sera difficile de se débarrasser. Un orchestre vient encore plus élargir la palette sonore de temps en temps et des guest de qualité viennent poser de leurs instruments fétiches : Steve Howe de Yes, Derek Forbes de Simples Minds, Stewart Copeland de Police : un album de luxe !
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     Les tubes ne sont pas en reste. « Duel » restera sans doute une des plus belles productions des années 80 malgré qu'elle ne soit jamais montée très haut dans les charts. Elle est précédée d'une version plus punk, « Jewel », sans doute à l'image de ce que devaient être les premières versions. Mi-dansants, mi-contemplatifs, « P-Machinery » et ses cuivres tapageurs, « The Murder of Love » et ses cris d'une autre dimension montrent aussi une totale maîtrise en matière d'arrangements Pop. Bien sur, tout n'est pas parfait sur A Secret Wish, les dernières pistes sont moins marquantes, la reprise « Sorry For Laughing » fait d'ailleurs partie des regrets du groupe.
     Malgré cela, il reste propre et de qualité de bout en bout, au point où Mr Quincy Jones, impressionné, contactera Steve Lipson pour bosser avec lui sur ce qui deviendra rien d'autre que le « Bad » de Michael Jackson. Pas un grand succès commercial (position pas plus élevée que 16ème en Angleterre) comparé à celui de Frankie Goes to Hollywood, l'album finira par être réévalué avec le temps et je le considère maintenant moi-même supérieur à « Welcome to the Pleasuredome ». Une de ces merveilles qui montrait que la Synthpop durant les 80's n'avaient pas de frontières et de limites dans l'imaginaire (et dans la thune dépensée dans le projet).
Recommandation : ****/5
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mastersoftheair · 3 years
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and another another one
fionn o’shea as staff sergeant steve bosser
ben radcliffe as captain john d. brady
charlie rix as lieutenant glen s. van noy
gabriel scott as staff sergeant donald b. garrison
jon-paul bell as technical sergeant john w. burgin
in addition to the guys above, there’s also alfie field as an rcaf officer and adam young as a sergeant miller (but given that there were over 20 sgt millers in the 100th bomb group, i wouldn’t know which exactly. that said, i’m leaning towards it being staff sergeant lewis d. miller, but i could be wrong)
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ok donc je m'amuse à créer des timelines, et maintenant j'ai très envie d'écrire l'histoire d'Allen et Steve basée dessus
1956 : Naissance
1961 : 5 ans. Les deux voient leur pouvoir se manifester cette année ; Allen bat Steve d’un mois
1972 : 16 ans. Allen et Steve deviennent sidekicks de deux super-héros différents, mais amis. Leur rivalité commence alors ; si tous les deux ont le même âge, ont manifesté leur pouvoir la même année au même âge, et commencent à bosser pour des super-héros en même temps au même âge, alors ils ont toutes les clés nécessaires pour prouver si le feu ou la glace est meilleur
1975 : 19 ans. Allen devient officiellement un super-héro, battant Steve
1976 : 20 ans. Steve devient officiellement un super-héro, et arrête enfin d’ignorer Allen après que ce dernier l’ait félicité (en secret)
1983 : 27 ans. Steve rejoint Hero Corp à sa fondation
1984 : 28 ans. Bien qu’Allen voulait de base rester un super-héro solo, n’aimant pas trop le côté fonctionnaire d’Hero Corp, Steve le convainc. Ils ont des supers bénéfices ! En plus, lui et Steve peuvent se voir plus facilement comme ça
1988 : 32 ans. Durant une attaque de The Lord, Steve sauve la vie d’Allen. Le compteur de quel pouvoir est le meilleur est remit à zéro
2002 : 46 ans. Les pouvoirs commencent à s’affaiblir, et Steve et Allen décident de prendre leur retraite. Discrètement, pour ne pas laisser l’autre gagner. Ils se retrouvent au village, et ils n’ont jamais révélés quand exactement ils ont décidé de prendre leur retraite, au cas où l’autre le batte
2011 : 55 ans. Mort d’Allen
2014 : 58 ans.
(du coup Steve a battu Allen en terme d'années vivant haha) (Leurs mentors c'est Aero qui contrôle l'air et Captain Water (CW, ou WC pour les intimes) qui contrôlent l'eau. Aero s'appelle Didier et CW s'appele Walter. Oui Walter a choisi ce prénom exprès) (ah oui au fait je sais que dans les comics Hero Corp est censée être fondée en 1985 mais j'ai dit fuck that car John est censé être né la même année selon les comics et si John est né en 1985 il est juste trop jeune pour ce qu'on sait de lui dans la série. Aussi j'ai vite fait bossé une timeline de la série et est décidé de la faire aller de 2011 à 2014)
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lignes2frappe · 5 years
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« DETOX » : L’HISTOIRE DU PLUS GRAND ALBUM DE RAP JAMAIS SORTI
Ou comment Dr. Dre a fait saliver les foules pendant près de quinze ans...
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L’album Helter Skelter prévu avec son compère Ice Cube ; l’album Make Up To Break Up qui devait marquer ses retrouvailles avec Snoop Dogg ; l’album Oh My God qu’il devait composer pour le roi du flow Rakim ; l’album Not Those Niggaz Again qui devait signer le retour des N.W.A. ; l’album Chairmen of the Boards qui devait le voir se mesurer à Timbaland ; l’album de Hittman… depuis trois décennies c’est peu dire que Dr. Dre collectionne les annonces d’albums toutes plus excitantes les unes que les autres sans que jamais rien ne sorte à l’arrivée.
Parmi elles, Detox est celle qui haut la main a le plus déchaîné les passions.
Successeur des vénérés The Chronic et 2001 qui, chacun dans leur genre ont révolutionné le rap, ce troisième solo était attendu comme le messie tant le bon docteur Young était au début du siècle au sommet de son art.
Pas encore semi-retraité du game reconverti dans la vente de casques audio, outre son succès artistique et commercial sans pareil, il pouvait se targuer d'avoir donné naissance à deux des plus grosses stars de la musique mondiale : Eminem et 50 Cent.
Acclamé de toutes parts pour son génie, il ne lui restait plus donc qu’à boucler la boucle avec un ultime disque avant de rentrer définitivement dans la légende. Un ultime disque sur lequel au fil des années absolument tous les cadors du rap US ont un jour vu leur nom associé – de Busta Rhymes à Kendrick Lamar, en passant par Eve, Nas, Jay Z, T.I. ou encore Lil Wayne, Rick Ross, et même Drake.
Sauf que non. Parce que pas le temps, parce que pas l’envie, parce que trop de perfectionnisme, Detox n’a jamais vu le jour.
Retour étape par étape sur l’arlésienne la plus célèbre du rap US.
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2003-2005 : « Be quiet, look out for Detox »
Rappelez-vous c’était au mois de janvier 2005 : Dr. Dre exhortait d’une ligne les foules à faire preuve d’un peu patience sur le Higher de The Game.
Il faut dire qu’à l’époque cela faisait déjà presque trois ans jour pour jour qu’il avait déclaré commencer à travailler sur son prochain album.
Non seulement, il avait alors dévoilé le titre, mais il avait également révélé qu’il s’agirait d’une sorte d’album concept inspiré du film Training Day (dans lequel il jouait) où un tueur à gage occuperait le premier rôle et où tous les feats interpréteraient un personnage. Certaines rumeurs rapportaient d’ailleurs que Denzel Washington narrerait les interludes.
Prévu initialement pour l’été 2003, Detox va néanmoins être reporté une première fois pour cause de changement de direction artistique (assez rapidement l’idée d’en faire une « comédie musicale hip hop » est abandonnée), puis une seconde fois pour cause de changement de priorité (bon nombre des meilleures instrus sont réaffectées au Get Rich Or Die Tryin’ de Fiddy et au Cheers d’Obie Trice).
Rien de grave cependant puisque quand cette même année feu Steve jobs lui passe un coup de téléphone en direct d’une de ses conférences (?), Dre lui confirme tout sourire continuer de bosser sur Detox tandis que le « piano man » Scott Storch promet dans la foulée que « niveau son et paroles, il s’agira de l’album de rap les plus avancé jamais entendu ».
Motivé comme jamais, le Doc’ confirme peu de temps après la chose en affirmant que la tracklist contiendra pas moins de « 12 ou 13 singles ».
Et tant pis si chemin faisant, il s’en va prendre une pause pour aller produire pour les albums de Truth Hurts, Rakim et Shaunta (qui ça ?), en novembre 2004 Eminem rassure tout le monde dans Encore en clamant « And don’t worry ‘bout that Detox album. It’s coming. We’re gonna make Dre do it ».
Pas de chance, entre la sortie de The Documentary de The Game et celle du second album de 50 The Massacre, Dre semble une nouvelle fois avoir perdu le focus.
Mais bon comme il le dit lui-même, « soyons sages et attendons ».
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2006-2009 : Démocratie chinoise
Deux ans vont ensuite s’écouler sans que rien de ne se passe vraiment, à l’exception de la couverture du défunt magazine Scratch à l’automne 2006.
Interrogés sur l’avancement du projet, ses collaborateurs Bernard ‘Focus’ Edwards Jr. et Imsomie ‘Mahogany’ Leeper révèlent que les sessions studios sonnent « très rock psychédélique des années 60 » et que le maître des lieux serait apparemment revenu à l’idée d’un album concept, cette fois-ci inspiré du film de 1998 Very Bad Things (une histoire d’enterrement de vie garçon qui vire à la boucherie avec Cameron Diaz et Christian Slater).
En 2007, Dr. Dre refait surface en se prêtant au jeu de l’interview, tout d’abord avec le L.A. Times (« J’espérais vraiment sortir Detox cette année, mais je vais devoir repousser à cause d’autres projets »), puis au micro de la radio Power 106 où il confie que son nouveau protégé Bishop Lamont tiendra le rôle d’invité de luxe/ghostwritteur tenu précédemment par Snoop sur Chronic et Hittman sur 2001.
Et en parlant de Snoop, en juin 2008 le Grand Chien fait du bien lorsqu’il déclare l’album « terminé ».
« Moi-même je commençais à douter de son existence, mais quand j’ai demandé à Dre ce qu’il en était, il m’a fait écouter tellement de sons que ma tête a failli exploser. »
Encore mieux, le mois suivant, le Christ confirme en personne la bonne nouvelle (« Dans un monde parfait, je pense le sortir en novembre ou en décembre »), non sans ajouter que Nas, Jay-Z et Lil Wayne seront de la partie.
Sept ans après 2001, c’est toutefois un autre album attendu depuis des lustres qui arrive dans les bacs un peu à la surprise générale : Chinese Democracy des Guns N' Roses d’Axl Rose.
Oui parce que pour « le Chinese Democracy du rap » il va falloir encore poireauter : nouveau BFF de Dre (et accessoirement patron du mastodonte Interscope), Jimmy Iovine annonce que le producteur a mis Detox en pause pour aller assister Eminem sur Relapse – il sera au final crédité sur 18 des 19 titres de l’opus.
Qu’à cela ne tienne, pour la première fois des morceaux supposément extraits du projet fuitent : I Am Hip-Hop (feat T.I.), Topless (feat T.I. et Nas), Shit Popped Off (feat T.I., le mec était à son apogée à cette période) et It Could Have Been You (feat Nas & R. Kelly).
Plus officiellement, à l’occasion d’une publicité pour Dr. Pepper, Dr. Dre en profite pour faire la promotion de Popped Off, un inédit aux faux airs de banger.
Autre bonne nouvelle, quand 50 Cent sort Before I Self Destruct fin 2009 il se vante d’avoir pu écouter 8 des 20 titres que comportera l’album et ajoute qu’après Relapse et avant Detox, son album est le second volet d’une trilogie savamment planifiée.
Bon on y croit moyen, mais on y croit quand même puisque désormais en promo permanente pour Beats by Dre l’ancien NWA concède qu’après avoir taffé « dix ans » sur le projet, il est temps pour lui de proposer une sortie en bonne et due forme.
(Et qu’importe si Bishop Lamont a entretemps quitté le bateau Aftermath)
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2010-2014 : un duo de singles et puis plus rien
En juin 2010, Under Pressure featuring Jay Z leak sur la toile dans une version incomplète. Annoncé plusieurs semaines en amont par Dre et Iovine comme le premier extrait de Detox, il est aussitôt éjecté de la tracklist – aucune version officielle n’est à ce jour connue.
N’en déplaise aux rieurs qui pensent le docteur retourné illico pousser de la fonte et gober des protéines, au mois de novembre un tout nouveau single assorti d’un clip débarque en playlist : Kush avec Snoop et Akon.
Teasé quelque temps auparavant dans une publicité Beats tournée en compagnie de Lebron James, bien qu’efficace cette ode à la fumette co-produite par DJ Khalil ne convainc pourtant pas complètement – la faute au refrain d’Akon qui fait un peu tâche et à cette imitation un peu cheap de Nate Dogg par Timbaland par un certain Sly Pyper.
Qu’à cela ne tienne, afin de battre le fer tant qu’il est encore chaud une campagne d’affichage est lancée dans les rues de Los Angeles.
Et une fois les fêtes de fin d’année passées, un second single est présenté : I Need a Doctor featuring Eminem et la chanteuse Skylar Grey.
Si à cet instant Detox n’a jamais été aussi proche de se matérialiser, un léger doute traverse alors les esprits quant à la pertinence du produit.
Certes en décrochant une double certification platine I Need a Doctor est devenu l’un des plus gros hits de la carrière de Dre, mais pour les fans de ses travaux précédents impossible de ne pas se sentir mal à l’aise tant le morceau joue à fond la carte du racolage.
Toujours est-il que la promotion de Detox s’arrête ici sans aucune explication, si ce n’est que Snoop jette un pavé dans la mare en mai.
« Dr. Dre a une très bonne éthique de travail, mais je pense qu’il est très mal entouré. Quand il a fait ses disques qui étaient des hits dans le passé, il y avait D.O.C, Snoop Dogg, RBX, Kurupt… Ce sont des artistes indispensables qui ne sont pourtant plus là et qui devraient l’être. Tout ce que je dis, c’est que D.O.C et Snoop Dogg sont la colonne vertébrale. Quand ces deux-là ne sont pas dans l’équation, ça ne peut pas fonctionner. Tu dois les remettre dans le truc et les laisser diriger le projet comme nous l’avions fait sur Chronic et 2001. »
Ce silence radio n’empêche cependant en rien moult titres de fuiter (Chillin' avec Swizz Beatz, Syllables avec Eminem, Jay Z, 50 et Stat Quo, Mr. Prescription avec Sly, Nikki Grier et Slim Da Mobster…), ni les rumeurs de continuer de circuler (une sortie inopinée le 4/20 est évoquée avant qu’Insterscope ne démente, le morceau Die Hard avec Eminem entendu dans l’émission de télé Fight Camp est annoncé comme un potentiel troisième single…).
Et puis en novembre, c’est le coup de massue : Dre fait se décrète en stand-by.
« Je vais m’octroyer une pause. Cela ne veut pas dire que j’arrête la musique, pour moi c’est comme respirer, mais je vais prendre un peu de recul. J’ai envie de profiter de ma famille jusqu’à ça me démange de revenir en studio. »
À partir de là, le pessimisme est de mise. Ou comme le résume DJ Quik la question n’est plus de savoir quand Detox va sortir, mais si Detox va sortir.
Du coup balec qu’en avril 2012 Kendrick Lamar invite Dre sur The Recipe ou que son compère ScHollboy Q rappe « Word to Dr. Dre, Detox is like a mix away » sur THere He Go.
(Pas cool donc, et ce d’autant plus que les amateurs de soul ont pour leur part droit après 14 ans d'absence au retour de D’Angelo avec Black Messiah…)
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2015 : l’épilogue Compton
En avril l’un des tous derniers rappeurs du game à ne pas avoir fait savoir qu’il a collaboré à un moment ou à un autre sur Detox se manifeste : Big Pooh des Little Brother raconte qu’il a été engagé plus tôt comme plume au service du Doc.
Dans le même temps, ce dernier évoque son implication sur la bande originale du biopic à venir sur son feu groupe, NWA.
Au mois de juillet, le mystère s’épaissit quand Ice Cube déclare la sortie prochaine du troisième album de son compère, tout en précisant que cet album ne serait pas Detox…
Et c’est ainsi que le 7 août 2015 Compton arrive dans les bacs. Inspiré par Straight Outta Compton, cet opus conçu en quelques semaines qui enrobe 30 ans de rap (Ice Cube, Snoop, Lamar, Cold 187um, DJ Premier…) d’un son puissant et saturé séduit globalement la critique sans nécessairement marquer plus que ça les esprits.
De son côté, Dre lève définitivement l’hypothèse Detox dans Rolling Stone en déclarant le projet « mort ». Motif : l’insatisfaction.
« J'avais entre 20 et 40 chansons, mais je sentais que quelque chose clochait. D'habitude, en cours d'enregistrement, j'arrive à deviner comment vont s'agencer les morceaux. Là, tout était flou. Mes tripes me disaient que ça n'allait pas. »
Voilà qui est clair pour tout le monde, même si à vrai dire comment en aurait-il pu être autrement ? Comment en effet décemment imaginer tous les noms cités précédemment partager l’affiche alors même qu’ils sont venus enregistrer à des périodes si différentes ?
Sans parler du fait que devant tant d’espérances, il était tout bonnement impensable pour Dre de prendre le risque de faire passer par-dessus bord une légende personnelle méticuleusement construite depuis le départ (d'où l'habile dégagement en touche Compton).
Ne reste donc pour ceux qui veulent toujours y croire quelques signes d’espoir de çà et là (Scott Storch qui feint de croire en 2018 que le projet va ressusciter, Flying Lotus qui récemment affirmait avoir pu l’écouter en entier lors d’une session studio…), et pour les plus pragmatiques la possibilité de se bâtir leur propre Detox en playlist en compilant tout ce que la toile compte de morceaux étiquetés à tort ou à raison du sceau de cet album mythique.
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reseau-actu · 6 years
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La question du coût du transport, criante pour les travailleurs pauvres et la classe moyenne en milieu rural, nourrit la fronde des « gilets jaunes ». Dans l’Orne, en Normandie, le mécontentement est protéiforme, et dépasse de loin la simple taxe sur les carburants.
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Alençon et La Ferté-Macé (Orne), de notre envoyée spéciale. - Soulevez le couvercle de la marmite, la colère y couve à gros bouillons. Autour de trois tables accolées les unes aux autres, dans ce bar désert d’Alençon, une dizaine de personnes tentent d’organiser le mouvement iconoclaste du 17 novembre, initialement contre la hausse de la taxe sur le diesel, devenu cri de colère pour le pouvoir d’achat. Il y a quelques jours encore, chacun vivait dans son coin.
Ils se sont rencontrés, reconnus sur Facebook, lorsque le gouvernement a annoncé l’augmentation continue de la fiscalité sur l’essence et le diesel, jusqu’en 2022. Parmi les membres du groupe présents ce soir-là, personne n’est un habitué des manifestations, membre d’un syndicat ou d’un quelconque parti politique. « Quand j’ai un problème au boulot, je suis du genre à le régler avec le patron directement, c’est ma philosophie », explique un jeune salarié. La retraitée du groupe lâche cependant à la faveur de la discussion avoir participé à « tous les rassemblements contre le mariage pour tous », sans que cela ne suscite une discussion particulière.
À la gare d'Alençon, en pleins travaux. Aucune ligne directe vers Paris pour cette préfecture, il faut passer par Caen ou par Le Mans. © MG
Un jeune père, intermittent du spectacle, explique également s’être rendu, en curieux, à la manifestation syndicale du 17 octobre dernier, à Alençon : « Mais c’est la préfecture qui décide, le parcours, l’horaire, tout ! Vous allez par là, vous tournez ici… Franchement, ça dérange qui ? Ça sert à quoi ? » Sur le fond, ils insistent d’une même voix : le mouvement est « apolitique », « citoyen », du genre à renverser des sacs, vieux meubles et palettes sur les ronds-points, près des péages, à l’entrée des villes, sans drapeau ni couleur.
Aucun d’entre eux ne veut donner son nom, par crainte de représailles administratives ou policières. « Appelez les femmes Brigitte, et les hommes Emmanuel », pouffe cette mère de famille, comme un écho lointain aux multiples « Camille » poussés sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Ici aussi, on est soucieux de son anonymat et de se protéger « des renseignements généraux ».
« Ils nous mettent la pression, on s’est fait contrôler par les gendarmes parce qu’on distribuait des tracts la semaine dernière », raconte l’une des plus mobilisées en prévision du 17 novembre. Le groupe Facebook est passé de “fermé” à “secret”, par peur des « mouchards ». Les consignes sont martelées, par ceux qui ont des contacts au sein des collectifs montés à travers la France, visibles sur les réseaux sociaux : « On ne donne pas son identité, jamais, et tout ira bien. »
« J’ai peur, moi, confesse la retraitée, je joue à la belote avec les gendarmes, ils vont me reconnaître ! » « Il faudra être solidaires », répondent ses compagnons d’un soir, la plupart motivés à « bloquer » bien au-delà du samedi 17 novembre, sans trop savoir encore comment s’y prendre ni qui franchira réellement l’écran pour mener bataille. Ils espèrent le renfort des ambulanciers, des routiers, de certains commerçants qui ont promis de baisser le rideau, samedi. On envisage une chaîne humaine, ou de brûler sa carte électorale le jour J. « Je ne sais même pas où elle est, moi, ma carte, je ne vote plus », avoue l’un des participants.
L’essence n’est que la face émergée de l’iceberg, et la réunion prend rapidement des allures de cahiers de doléances sur le pouvoir d’achat et les difficultés du quotidien en général : « La liberté, on l’a encore un peu, mais l’égalité, elle est où ? », s’interroge une jeune femme, qui a fait ses comptes : près de 1 200 euros de charges fixes par mois, pour une famille de quatre, sur deux paies avoisinant le Smic. Comme un écho aux chiffres implacables sur la hausse de l’inflation, le coût grandissant de l’énergie, des « dépenses contraintes » sur les ménages les plus modestes.
En face, sa voisine s’emporte devant son diabolo menthe : « Destitution du gouvernement ! On ira jusqu’au bout, ras-le-bol de se faire tondre », souligné d’un vigoureux bras d’honneur. La retraitée du groupe a consigné la liste, sur un bout de papier, de « tout ce qui a augmenté », du prix des timbres à celui du péage, en passant par le beurre ou la CSG.
Il y a aussi ce jeune motard, en CDD dans le coin, qui pense à son père, chauffeur routier, qui « galère tous les jours à se lever à 5 heures du matin », et sa mère, aide à domicile, qui est loin de rentrer dans ses frais, payée 10 euros de l’heure, surtout quand l’essence est chère… Ces patrons d’une petite entreprise de manutention dans l’agroalimentaire, qui ont failli mettre la clé sous la porte, en 2012, et regrettent presque d’avoir tenu bon : « On a des camionnettes pour ramasser nos salariés, qui sont nombreux à ne pas avoir le permis. On a calculé, la hausse du carburant, ça va nous coûter 6 000 euros de plus ! »
Ils ne peuvent s’exonérer de la taxe, leurs véhicules n’étant pas considérés comme des voitures de « travail », à l’instar des livreurs ou des chauffeurs routiers. L’une de leurs salariés, présente ce soir-là, dans un mouvement qui, à l’instar des bonnets rouges, mêle employeurs et employés, travaille effectivement à temps partiel : « Comment faire plus ? Qui garderait mes enfants ? »
« Je vais covoiturer avec qui, un chevreuil ? »
Le sentiment aigu d’appartenir à une classe moyenne laborieuse, oubliée, contre « les très riches » ou les « très pauvres », semble un ciment puissant, tout comme « l’injustice » d’une énième taxe qui épargne les plus gros – « Le mec, avec son hélico ou son yacht, il peut la payer plus cher lui son essence ! » –, ou les intérêts particuliers : « Pourquoi ne pas avoir augmenté les taxes sur le kérosène, les avions, les gros bateaux, qui polluent cent fois plus que nous ? Nous, on s’en fout de l’aéroport de Roissy, on ne prend jamais l’avion ! »
Les élus, de tout poil, ont raison d’être inquiets des « gilets jaunes ». Ce sont les premiers à faire les frais de cette colère, alimentée par les vraies polémiques comme les fausses nouvelles. La retraite des députés, alors qu’ils « ronflent à l’assemblée », les prétendus millions cachés de Macron, la « vaisselle de Brigitte à l’Élysée » ou la piscine « pour ses petits-enfants » au fort de Brégançon. Quand on parle CRS, ils répondent Benalla, comme un éternel retour de bâton dans la figure du président.
Dans le PMU de La Ferté-Macé, des appels à manifester à Vire. © MG
L’argument écologique, qui justifie de taxer les énergies fossiles, ne passe pas davantage. Même s’« ils ont raison sur le fond, on le sait que la planète est détruite peu à peu », explique une participante, qui pense « à ses enfants ». Mais le gouvernement est accusé « de prendre la campagne en otage ».
L’hypothèse de l’achat d’un véhicule neuf, moins polluant, fait rire jaune : « J’ai encore, à quarante ans, un crédit sur ma voiture, je ne vais sûrement pas acheter demain une voiture électrique… » Surtout, les gens réunis ce soir-là, à Alençon, veulent savoir : « La taxe sur l’essence, elle ira où ? La taxe sur les clopes, elle va où ? », s’énerve la patronne de PME, en jetant avec rage son paquet de cigarettes sur la table.
Si l’essence a fait pousser ces barricades, pour l’heure toutes virtuelles, c’est que la voiture est reliée à tout ce qui fait, dans une large partie du pays, le quotidien. Dans l’Orne, traversée par une forêt de carte postale grâce à l’automne, chaque poumon d’activité est distant d’une bonne quarantaine de kilomètres. Les lignes de train intermédiaires sont rares, ou mal cadencées, alors on prend « la bagnole » pour aller à l’école, au boulot, à l’hôpital. Tous les jours, tout le temps.
Steve sera l’un des « gilets jaunes » de samedi, l’un des premiers à avoir imaginé se mobiliser à Alençon. Il vit à Essay, petite commune de quelque 500 habitants, qui conserve bravement son boulanger, un point poste, un café qui fait un peu d’épicerie. Professeur dans deux écoles privées, l’une dans l’Orne, l’autre dans le Perche, il roule 25 000 kilomètres par an. « Changer de voiture, ça veut dire 15 ou 16 000 euros pour un truc plus écolo et c’est ce que je gagne en un an », explique l’enseignant.
Pour trouver un peu d’air financièrement, Steve loue son logement sur la plateforme Airbnb, ce qui lui rapporte environ 2 000 euros par an. Vivant seul, avec un chat et un chien, passionné de reconstitution médiévale, Steve trie et composte ses déchets, tente de jeter le moins possible. « Sur l’écologie, nous sommes tous d’accord pour faire des efforts, mais les discours qu’on nous sert sont déconnectés de la réalité : j’habite dans un hameau, je vais bosser en ville, je vais covoiturer avec qui, un chevreuil ? »
La voiture, pour Sadia, c’est l’angoisse du contrôle technique, en janvier prochain, après dix-sept ans de bons et loyaux services : « Je ne pourrais pas en acheter une neuve », prévient cette retraitée, qui a perdu son mari l’an dernier. Nous la rencontrons à La Ferté-Macé, dans le pays du bocage ornais, petite ville dans l’orbite lointaine de Flers, Argentan, Vire, ou Caen. « Pour certaines personnes ici, c’est prendre la voiture ou manger », confie un bénévole d’une structure associative.
Le parc naturel de l'Orne, une immense forêt. © MG
Benoît Hottin connaît ces douloureux arbitrages, il a enduré de longs mois de chômage, expliqués par ses conseillers Pôle emploi par une absence de diplôme ou d’expérience. « Mais pour avoir de l’expérience, faut bien commencer quelque part ! » Après une difficile année en intérim dans le gros abattoir de volailles du département, Benoît Hottin n’a pas été gardé en CDI. Il est désormais employé aux espaces verts à La Ferté, en contrat aidé. Dans quelques mois, c’est à nouveau le chômage qui l’attend.
« Quand je mets 20 euros d’essence, j’ai 13 litres dans mon réservoir, c’est horrible », explique Benoît, qui gagne moins de 1 000 euros mensuellement, avec à charge sa femme, une petite fille de 16 mois et un fils en garde partagée. Pas de gras, une vie sous contrainte. Cet été, il s’est accordé un tout petit bol d’air, quatre jours chez un oncle, à Nantes.
« Je viens prendre un colis aux Restos du cœur, j’ai pas honte de le dire, et je viens au secours populaire, ça dépanne aussi, on trouve des vêtements pour les petits. Mais je suis écœuré de vivre ça. » Benoît Hottin envisage sérieusement d’aller voir du côté des « gilets jaunes », samedi.
« On a eu beaucoup d’efforts demandés d’un côté, et quasiment rien de l’autre »
L’emploi s’apparente à un nœud coulant sur toute politique de transport un tant soit peu ambitieuse, surtout dans un pays qui a fait de l’étalement urbain une spécialité nationale. À Alençon, la fermeture coup sur coup dans les années 2000 des sites historiques Moulinex et Carrier a laissé la ville exsangue, malgré un petit tissu industriel, format PME, qui résiste encore un peu.
Autour de La Ferté-Macé, les gros employeurs sont l’abattoir de volailles, très gourmand en intérimaires, l’usine de chimie PCAS et la fromagerie Gillot. La base Intermarché, installée en périphérie à Magny-le-Désert et qui a employé jusqu’à 200 personnes, ferme ses portes ce mois-ci. Près de la commune, des entreprises moyennes forment un chapelet disparate, cohabitant avec des commerces de plus en plus rabougris : au centre-ville, nombreuses sont les vitrines des boutiques barbouillées de blanc, en attente d’un repreneur.
La fin des grandes usines à forte main-d’œuvre a également mis à mal les déplacements pendulaires. Comme ailleurs, l’emploi à temps partiel fleurit, tout comme les horaires atypiques, les départs qui s’échelonnent le matin et s’achèvent tard le soir. La limitation à 80 km/h sur les routes nationales cet été a déjà fait grincer des dents, comme en témoignent des radars barbouillés de rouge sur la N12, entre La Ferté et Alençon. La taxe sur les carburants achève d’attiser les clivages entre une France rurale, semi-rurale, périphérique, et tout ce qui ressemble de près ou de loin à un « Parisien ».
Le centre ville de La Ferté-Macé. © MG
Le maire de La Ferté-Macé, Jacques Dalmont, divers gauche, a rencontré ses homologues, à Flers, pour évoquer la mobilisation des gilets jaunes. « On n’a pas beaucoup d’éléments, ils parlent de bloquer la rocade à Flers, on ne sait pas ce qui va se passer », confesse l’élu. Il confirme l’aigreur qui monte au sein de ses concitoyens, la faute à « un modèle » qu’on n’a pas changé depuis des décennies et la faiblesse d’une fiscalité réellement « incitative » pour passer au vert : « Sous Hollande, on a mis un coup de peinture rose mais la logique est restée la même : la recherche de croissance et de consommation. »
Jacques Dalmont, partisan d’un libéralisme étroitement régulé par la puissance publique, fait volontiers le parallèle avec le mouvement contre l’écotaxe, sous le quinquennat socialiste. « À un moment, il faut être cohérent sur l’urgence écologique, et y aller, mais le sentiment d’injustice et d’inégalité existe dans la population, et je le partage. Depuis deux ans, on a eu beaucoup d’efforts demandés d’un côté, et quasiment rien de l’autre. »
L’agglomération de Flers, englobant La Ferté-Macé, et dont Jacques Dalmont est le vice-président, n’est pas restée les bras ballants, face à ce problème aigu du transport en milieu rural. Outre le transport scolaire, la communauté de communes lance ce mois de novembre une application pour appareiller des covoiturés potentiels et des covoitureurs, sur laquelle elle compte beaucoup pour diminuer l’obligation de la voiture individuelle.
Il existe aussi depuis quelques années un service de « transport à la demande », qui ramasse aux arrêts de bus scolaires des voyageurs ayant réservé un trajet. Des vélos électriques sont disponibles en location dans le département… Aucune solution n'est miracle : « Il faut quand même comprendre que, dès que nous sommes ne serait-ce qu’en banlieue d’une grande ville, le transport collectif n’est pas à même de combler tous les besoins », met en garde Jacques Dalmont.
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L’association des familles, à La Ferté-Macé, propose également depuis 2012 du « transport solidaire », réservé aux habitants non imposables. Des retraités, le plus souvent, mais aussi quelques familles, trop justes financièrement pour avoir une voiture ou momentanément privées de véhicule, peuvent contre une petite poignée d’euros, faire appel à des conducteurs bénévoles pour les courses, aller chez le médecin, ou rendre visite à un proche.
Annie touche environ 1 000 euros de retraite par mois. Travaillant en région parisienne, elle n’a jamais passé le permis. Arrivée dans l’Orne pour suivre son compagnon aujourd’hui décédé, elle utilise ce service de l’association presque chaque semaine pour « faire le plein de courses chez Leclerc », parce que le petit Carrefour du centre est trop cher, aller voir des spécialistes dans les villes mieux pourvues d’à côté. Elle consomme au minimum, n'a pas de connexion internet, ne part jamais en vacances, surveille « de près » sa facture de chauffage.
Depuis début janvier, La Ferté-Macé ne compte plus que deux médecins généralistes, pour une commune de 6 000 habitants. Dans ce qu’il reste de l’hôpital, ce sont des retraités qui assurent la permanence des soins, faute de professionnels disponibles et il n’y a bien sûr plus de maternité depuis un bail. « Plus de médecins, presque plus d’hôpital, des écoles qui ferment, bien sûr que les gens s’inquiètent », assure Rémi, chauffeur bénévole de l’association des familles.
Désormais retraité, Rémi a travaillé toute sa carrière dans la métallurgie, connu cinq licenciements économiques, ne veut pas qu’on le plaigne mais en a quand même gros sur le cœur : « Faut faire quelque chose pour la planète, c’est sûr, mais nous avons des dirigeants qui vivent dans une bulle en verre, quelle que soit leur couleur politique… »
Le terme d’écologie hérisse le retraité, qui n’en a pas moins troqué récemment ses deux voitures contre une seule et deux vélos électriques, grâce à des aides fiscales. Sa femme jardine le potager – « ce qu’on économise avec trois poireaux, c’est déjà ça de pris » –, et lui bataille contre le gaspillage : « Depuis qu’on est petits, on le sait, c’est du bon sens ! Le moindre petit morceau de cuivre, ou de ferraille, ça se jette pas, on s’en ressert ! » Son engagement associatif est fait du même bois : « Nous vivons dans une région où le pouvoir d’achat est très bas, ça paraît logique d’apporter à ceux qui sont en difficulté un petit quelque chose. »
Solution alternative aux problèmes de transport, soutenue par la mairie, l’association des familles à La Ferté-Macé n’en est pas moins menacée. Avec la diminution de moitié des contrats aidés, décidée par Emmanuel Macron dès le début de son quinquennat, la structure a perdu sa capacité d'embauche pour le secrétariat et la coordination des allers-retours en voiture. L’association ne peut assurer, désormais, qu’une permanence de deux heures par jour, faute de financement.
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78682homes · 8 years
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Steve Nash adore bosser avec Kevin Durant 78682 homes
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Steve Nash adore bosser avec Kevin Durant
Régulièrement, des images de sessions d’entraînement entre Kevin Durant et Steve Nash fuitent sur la toile. Depuis sa retraite, ce dernier est consultant chez les Warriors et la décision de… Lire la suite »
homms2013
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