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#Thémistocle
whencyclopedfr · 2 months
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Artaxerxès Ier
Artaxerxès Ier (r. de 465 à 424 av. J.-C.) fut le sixième monarque de l'Empire perse achéménide. Il était le fils de Xerxès Ier (r. de 486 à 465 av. J.-C.) et de sa principale épouse Amestris (+ 424 av. J.-C.) et le petit-fils de Darius Ier (le Grand, r. de 522 à 486 av. J.-C.). Il poursuivit les guerres perses contre la Grèce entamées par ses deux prédécesseurs, mais préférait la discrétion et la corruption à la guerre ouverte, mettant finalement fin à la lutte avec la paix de Callias vers 449 avant notre ère.
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lounesdarbois · 1 year
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Lépante, fille de Salamine.
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filmes-online-facil · 2 years
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Assistir Filme Tintim e o Mistério do Tosão de Ouro Online fácil
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Tintim e o Mistério do Tosão de Ouro - Filmes Online Fácil
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Após a morte do Capitão Thémistocle Paparanic, velho amigo do Capitão Haddock, ele herda um navio chamado «Tosão de Ouro». Chegados a Istambul, onde o navio está ancorado, Tintin e o capitão encontram-se com o Sr. Karabine, um homem de negócios que teima em comprá-lo apesar da sua condição dilapidada.
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luciochaves · 2 years
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GIMS - THÉMISTOCLE (Clip Officiel)
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dixvinsblog · 4 months
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Almanach Vermot 1938 - Les calculateurs prodiges
Les acrobates de l’arithmétique sont des phénomènes qui ont toujours intrigué vivement le public. Jules César Jules César, dit-on, était capable de dicter trois lettres en même temps, tout en en écrivant lui-même une quatrième. De Napoléon 1ér on raconte aussi des tours de force analogues. Thémistocle passe pour avoir eu une mémoire infaillible : il connaissait parfaitement, dit-on, le nom de…
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mikaelphilo · 9 months
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[Franck Ferrand raconte...] Thémistocle, héros d'Athènes #franckFerrandRaconte
https://podcastaddict.com/franck-ferrand-raconte/episode/169060317 via @PodcastAddict
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yes-bernie-stuff · 9 months
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Thémistocle lui dit : « Pour ma part, je donnerai ma fille à un homme sans fortune plutôt qu’à une fortune sans homme ». Ce propos nous renvoie à cette déclaration du prophète Ézéchiel : « Je cherche parmi eux un homme… mais je n’en trouve pas » (Ézéchiel 22:30) ! Des hommes responsables sont essentiels pour construire une famille stable. J’aime la poésie de Rudyard Kipling : « Tu seras un homme mon fils » dont voici quelques extraits :
Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie, Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir… Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d'entendre tes paroles Travesties par des gueux, pour exciter des sots, Et d'entendre mentir sur toi leur bouche folle, Sans mentir toi-même d'un seul mot… Si tu peux rester digne en étant populaire… Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître… Si tu sais être bon, si tu sais être sage… Alors… Tu seras un Homme, mon fils. Aujourd'hui plus que jamais, la cellule familiale est en souffrance. Les statistiques nous le rappellent cruellement. L’autorité parentale est mise à mal avec des parents absents ou démissionnaires. Les Églises ne sont pas épargnées.
« Seigneur, nous te prions pour que chaque père de famille puisse assumer pleinement son rôle d’homme, responsable, comme la Bible le rappelle. Nous te demandons que chaque père de famille assume ses responsabilités avec constance, vis-à-vis de ses enfants et de son épouse. Que ceux qui ont démissionné, reprennent l’engagement d’être présents, autant que possible, pour assurer l’éducation de leurs enfants ! Que les hommes chrétiens se lèvent, avec courage et amour, pour être des hommes qui assument leurs responsabilités ! Au nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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christophe76460 · 1 year
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Et voici que surgit une deuxième bête, ressemblant à un ours : elle était dressée sur un côté et tenait dans sa gueule trois côtes entre les dents. J’entendis qu’on lui disait : « Debout, mange beaucoup de chair ! » (Daniel 7:5).
L’ours est un animal très puissant à cause de sa taille (1Samuel 17:34), mais aussi très lent comparé à un lion avec des ailes. Il représente l’Empire des Mèdes et des Perses qui devint plus étendu que celui de Babylone mais son armée innombrable était bien moins agile que celle des Chaldéens.
En l’an 480 av. J.-C., dix ans après la défaite de Darius contre les Grecs à Marathon, le roi perse Xerxès 1er (486-465) veut laver l’affront qu’a subi son prédécesseur. Il attaque la Grèce avec plusieurs centaines de milliers d’hommes et une armada de navires (400). Il réussit à grand-peine et grâce à une trahison à vaincre les Grecs sur terre (à Thermopyles) et il incendie Athènes, mais plus de la moitié de sa flotte est détruite (à Salamine par Thémistocle ; 481). Et l’année suivante, il est battu par les Grecs (par Pausanias près de Platée). Ce n’était pas encore la fin du grand Empire perse, mais un observateur attentif aurait déjà pu discerner des signes avant-coureurs qui désignaient le prochain empire.
L’ours est l’équivalent de la poitrine et des bras en argent de la statue du rêve de Nabuchodonosor. Il apparaît dressé sur un côté ce qui signifie que l’un des deux alliés aura la prépondérance sur l’autre.
Depuis le fondateur de la dynastie mède (Déjocès), ses rois (jusqu’à Astyage) régnaient d’abord sur les Mèdes puis sur les Perses. Mais après la venue de Cyrus, cet équilibre fut inversé et la Perse domina les Mèdes ce qui apparaît dans la vision de Daniel avec l’ours plus élevé d’un côté.
Le livre de Daniel fait une distinction entre les rois Darius et Cyrus mais il considère que Babylone fut sous la tutelle d’une seule monarchie, celle jointe des Mèdes et des Perses (comparez Daniel 5:28; 11:1-2). D’ailleurs plus loin ces deux peuples sont représentés par un seul animal, le bélier à deux cornes (Daniel 8:20).
Tout ça pour dire qu’il n’est pas possible de scinder les Mèdes et les Perses comme le font certains commentateurs d’obédience libérale et de les considérer à part dans la prophétie de Daniel. Que ce soit la poitrine et les bras en argent de la statue de Nabuchodonosor, ou l’ours dans la vision de Daniel, ces deux images représentent les Mèdes et les Perses ensemble. Ces observations sont un peu barbantes mais elles permettent aussi d’interpréter correctement les Écritures.
Les trois côtes dans la gueule de l’ours sont une image des vastes conquêtes de l’Empire médo-perse dans trois directions : l’ouest, le nord et le sud (comparez Daniel 8:4). L’ordre qui est donné à l’animal de se lever ne veut pas dire qu’il était couché puisqu’il vient tout juste de sortir de la mer. Cette apostrophe veut dire : Vas-y, en avant ! Et Mange beaucoup de chair exprime l’avidité avec laquelle cet empire s’est emparé des richesses des peuples conquis. L’ordre signifie donc : Accomplis ton rôle dans l’histoire et que rien ne t’arrête !
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Après cela, je continuai à regarder et je vis un autre animal qui ressemblait à un léopard, avec quatre ailes d’oiseaux sur le dos et quatre têtes. Le pouvoir lui fut donné (Daniel 7:6).
Ce fauve correspond à la partie de la statue de Nabuchodonosor qui est le ventre et les hanches en bronze, et représente la Grèce. Le léopard est un animal particulièrement agile (comparez Habakuk 1:8) qui peut faire soudainement de très grands bonds. Si en plus on lui ajoute quatre ailes, ce monstre va se déplacer à une vitesse vertigineuse sans toucher terre.
Et effectivement, en l’espace de quatre ans environ (334-330), Alexandre le Grand (356-323) a conquis la totalité de l’Empire perse dont Babylone et l’Égypte où il fonde Alexandrie. Ensuite il alla jusqu’aux Indes, mais l’épuisement de ses troupes l’a obligé à revenir en Perse. En l’espace de huit ans, son armée aura parcouru 18 000 km. Alexandre le Grand échange alors son rôle de conquérant pour celui d’administrateur et tente d’imposer son hégémonie. Il réorganise son empire et accorde les mêmes droits aux Perses qu’aux Macédoniens, sa patrie. Il crée une monnaie unique et impose le grec comme langue internationale. Mais il décède subitement à Babylone à l’âge de 33 ans à la veille de nouvelles conquêtes. Les 70 villes qu’il aura fondées pendant son règne répandront la culture grecque en Méditerranée orientale et en Perse.
Alexandre avait instauré un culte impérial qui servira plus tard de modèle aux Césars romains. Après sa mort, ses quatre généraux (les diadoques) se partagent le gâteau, c’est-à-dire son empire, prennent le titre de roi, et établissent quatre royaumes (la Thrace et l’Asie Mineure ; la Macédoine et la Grèce ; la Syrie, la Babylonie et la Perse ; l’Égypte, la Palestine et l’Arabie) qui sont représentés par les quatre têtes du léopard. Deux d’entre eux, l’Égypte et la Syrie, seront constamment en guerre, chacun cherchant à annexer l’autre et à contrôler la Palestine.
Dans le chapitre suivant, il sera question d’un autre monstre, un bouc (Daniel 8:8) avec une corne qui se brise et qui est remplacée par quatre autres qui représentent aussi les quatre généraux d’Alexandre le Grand, lui-même étant la première corne, celle qui se brise.
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lukanionso · 2 years
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🇨🇩🇨🇩💪 BRAVO MUANA MBOKA✨✨L'ambassadeur Gims a expliqué haut et fort sur cette rimée #Kagame #Croix_Gamée sur sa Chanson : THÉMISTOCLE
🇨🇩🇨🇩💪 BRAVO MUANA MBOKA✨✨L’ambassadeur Gims a expliqué haut et fort sur cette rimée #Kagame #Croix_Gamée sur sa Chanson : THÉMISTOCLE
Suivez l’intégralité sur Lukanionso Tv 🗣 ” Oui j’en parle ! C’est assez Brutal c’est assez violent. J’ai trouvé que c’était la meilleure façon d’attirer l’attention sur ce qui se passe au Congo (RDC 🇨🇩) maintenant depuis plus de 30 ans notamment à l’est dans le kivu “🗣 ” On parle de plusieurs millions de mort… Le Rwanda a une grande part de responsabilité … Donc j’ai voulu attirer l’attention…
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frenchbulletin · 2 years
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La "bataille" des responsables politiques sur la surveillance est en séance plénière
La “bataille” des responsables politiques sur la surveillance est en séance plénière
Les responsables politiques se réunissent aujourd’hui, vendredi, en plénière suite à la demande du président de SYRIZA, Alexis Tsipras, pour une discussion préprogrammée sur le thème de “la surveillance par l’EYP du Premier ministre, les opposants politiques et les journalistes”. Alexis Tsipras a déposé une demande de discussion des dirigeants politiques, après les révélations selon lesquelles le…
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whencyclopedfr · 2 months
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Thémistocle
Thémistocle (c. 524-c. 460 av. J.-C.) était un homme d'État et un général (strategos) athénien qui, en mettant l'accent sur la puissance navale et les compétences militaires, joua un rôle déterminant pendant les guerres perses en menant la Grèce à la victoire, ce qui lui permit de survivre à la plus grande menace qu'elle ait jamais connue. Comme le déclara si bien l'historien Thucydide dans sa Guerre du Péloponnèse, "Car Thémistocle, qui avait montré toute la puissance de ses dons naturels, provoquait particulièrement sur ce point l'admiration". (1.138.3). Brillant stratège et habile politicien, il était peut-être un peu trop assoiffé de gloire et de pouvoir pour son propre bien, mais Thémistocle était sans aucun doute l'une des figures les plus importantes et les plus hautes en couleurs de l'Athènes classique.
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claudehenrion · 3 years
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Athènes, Rome, Jérusalem...
  Hier, à propos de ''La fin du christianisme'' de Chantal Delsol , nous avions évoqué ''notre civilisation, fille d'Athènes, Rome et Jérusalem''. Or, par un heureux hasard, Michel de Jaeghere, ''journaliste, écrivain, juriste et historien'' (n'en jetez plus !), vient de publier, la semaine dernière, ''Le Cabinet des Antiques'' (Ed. Les belles Lettres) dont chaque ligne mérite qu'on s'y arrête. (NDLR : le foisonnement de parutions dignes d'intérêt est surprenant, ces temps derniers. Rarement ai-je été tenté par autant de lectures en même temps : il est des jours où je ne sais plus où donner de la tête --qui, en plus, atteint très/trop vite les limites de ses capacités !).
Athènes, Rome, Jérusalem sont les trois Cités (ou les trois mythes) qui ont exercé l’influence la plus grande dans l’imaginaire culturel de l’Occident, et ce n’est sans doute pas simplement parce que  l’hébreu (langue de la Bible et de la Sagesse), le grec (langue de la philosophie et du savoir scientifique), et le latin (le langage de l’Église et du Droit), ont joui d’un immense prestige dans notre Histoire (NB : que ces trois langues soient ou non connues, pratiquées, et dominées, d'ailleurs : c'est leur présence dans tous les mots, qui est un fait culturel). Mais ces trois noms de villes (en réalité de bien plus que cela !)-- ont un symbolisme extra-ordinaire, qui est, paradoxalement, à la fois commun et propre à chacune... Plonger dans les va-et-vient si complexes de leur histoire permet de découvrir que les contradictions et les ambiguïtés de la culture occidentale peuvent, pratiquement toutes, s'expliquer à partir de notre filiation à l'une ou à l'autre de ces trois cités-cultures-civilisations.
L'affirmation devenue quasi-rituelle de notre filiation avec ces trois symboles oublie les distorsions, les révolutions, et les changements qui ont secoué leur histoire à chacune. Lorsque nous disons ''Rome'', par exemple, faisons-nous référence à la Rome républicaine, à la Rome impériale, à la Rome chrétienne et papale, alors que ces trois ''Rome'', différentes à en être opposées, n’ont pas les mêmes connotations pour chacun de ceux qui les évoque ? De même, ''Jérusalem'', capitale historique du peuple juif, n’est pas (osera-t-on dire : ''n'a rien à voir avec...'' ?) la Jérusalem ''annexe de Bethléem'' revendiquée par les Chrétiens, ou, plus éloignée encore, avec la “Jérusalem céleste”... même si cette Cité du Ciel ne peut se comprendre que par référence à la signification spirituelle de son modèle terrestre. Quant à ''Athènes'', est-elle l’Athènes de Thémistocle, victorieuse des “barbares” perses, l’Athènes démocratique de Périclès qui règne sur la mer mais aussi sur les arts et la philosophie (face à ce contre-modèle de civilisation, grecque aussi, qu’a été Sparte), ou encore ''l’Athènes de la Terreur'' qui, écrivait Renan ''condamna Socrate à mort, mais donna naissance au miracle de la culture athénienne, puis à cet autre “miracle grec” que fut la découverte de la raison ?'' (dans ''L’Avenir de la Science -Pensées de 1848''). La réponse est : toutes, sans doute, mais aucune, sûrement !
Dieu merci, il existe encore de vrais historiens, les seuls qu'il faut lire et écouter... donc ceux que l'on n'entend jamais, frappés qu'ils sont par le même ostracisme qui frappe tous nos vrais savants, ceux qui ne jouent pas à Lyssenko... la télévision en plus. En revanche, les pseudo-historiens qui, avec le soutien des gaucho-bobos, mènent les chaînes officielles (et nous) vers la catastrophe, sont hantés par la crainte de ne pas avoir l'air d'être ''plus progressistes que le progressisme''. Ils sont terrifiés à l'idée qu'on puisse les accuser de ''isme'' (colonialisme, conformisme, fascisme, racisme, droitisme ou complotisme, etc..), et ils ne pensent donc qu'à ''en rajouter'' dans la déconstruction et le révisionnisme ! Leur ambition lamentable est de réécrire une Histoire réinventée avec les lunettes rose-rougeâtre des ennemis de toute ''blanchité''. Tout ce qui évoque l'Antiquité est coupable à leurs yeux, sans procès, de ''rétrécissement identitaire'' (ça ne veut rien dire, donc ils s'en gargarisent !) et d'être un ennemi de l'humanité-en-marche (vers sa mort certaine, si on continue un tant soit peu dans le sens qui est le leur !).
Je n'ai pas entendu un seul de ces faux ''beaux esprits'' englués dans leur anti-morale à deux balles et leur faux optimisme-en-mission et en compromission, rappeler que tout ce qui est bien vu en haut lieu est à des années-lumière de la regrettée ''volonté générale"" théorisée par Rousseau et souhaitée par ses amis, et très loin, aussi, du constructivisme du ''Contrat social'', ce ''fruit d'un acquiescement analogue à celui de la polis (= la ville) grecque'', ''famille des familles'' cimentée par des rites communs, partagés, venant eux-mêmes d'une sédimentation historique. Le mortifère ''vivre ensemble'' à la mode ne peut conduire qu'à ce terrible ''face-à-face'' (en vue) qu'annonçait un ancien ministre de l'intérieur. Il se voudrait utopiste mais n'est que dystopique : il est à l'opposé complet du ''plébiscite de tous les jours qu'est une Nation'' (c'est de Renan, aussi). Thucydide aurait écrit --disent les spécialistes-- que ''Il ne peut exister entre individus aucune amitié solide, s'il n'y a pas identité de mœurs'', ce que confirmait le proverbe ''Marie-toi dans ton village''... ''Identité de mœurs'', dites-vous ? Que  la merveilleuse sagesse antique, qui avait inventé l'assimilation et savait déjà que le multiculturalisme ne peut  conduire qu'à l'échec... manque cruellement au monde moderne !
Dans une description méticuleuse (mais tellement cruelle !), Michel de Jaeghere rappelle pourquoi le Droit du sol est resté si longtemps, en France, une exception. Personne ne peut sérieusement expliquer pourquoi, dans les années 1970 / 1980, cette sagesse (à retrouver, toutes affaires cessantes) a volé en éclats jusqu'à nous faire croire, mensongèrement, que c'est le ''droit du sol'' qui était dans la tradition française (nos cuistres disent ''républicaine'' : ils n'ont aucune idée de ce que veut dire ''la France''!). Résultat de cette faute aux conséquences de crime : la ''polis'', cette communauté de citoyens libres et autonomes, corps social expression de la conscience collective, n’est plus. La nationalité est bradée et l'abandon de toute assimilation, cet ultime rempart à la folie des idéologues, entraîne, explique l'auteur, ''ce coup d'Etat démographique qu'est une immigration incontrôlée''.
Mais, conclut-il de très belle manière : ''Clio n'est pas Cassandre'', et il faut donc espérer avec lui que les gifles que nous recevons sans cesse démontrent et soulignent l'insanité, la perversité et la fausseté (dans cet ordre ou dans un autre) de toutes les idées qui ont pourri la France et qui pourrissent le monde, et ne peuvent, dans tous les cas de figure, que conduire à des enchaînements de catastrophes sans fin... Elles devraient nous servir de leçon, de réveil, et de guide vers un retour à des pratiques plus conformes avec les besoins réels de toute l'humanité --tant ''la nôtre'', celle qui a longtemps cru triompher dans ses idées, que ''la leur'', qui a décidé la nocivité intrinsèque de tout ce qui n'est pas ''elle'', et qui finira par mourir de ses propres échecs :  ''le pire n'est jamais la seule solution''...
H-Cl.
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''En fin de compte, pour Socrate, pas forcément pour Platon, si Thémistocle et Périclès ont été de grands hommes, c'est qu'ils étaient bons psychanalystes.
Ils ont trouvé dans leur registre ce que veut dire l'opinion vraie.
Ils sont au cœur de ce concret de l'histoire où un dialogue est engagé, alors qu'aucune espèce de vérité n'y est repérable sous la forme d'un savoir généralisable et toujours vrai.
Répondre ce qu'il faut à un événement en tant qu'il est significatif, qu'il est fonction d'un échange symbolique entre les êtres humains — ce peut être l'ordre donné à la flotte de sortir du Pirée —, c'est faire la bonne interprétation.
Et faire la bonne interprétation au moment où il faut, c'est être bon psychanalyste.
Je ne veux pas dire que le politique, c'est le psychanalyste.
Platon précisément, avec le Politique, commence à donner une science de la politique, et Dieu sait où ça nous a menés depuis.
Mais pour Socrate, le bon politique c'est le psychanalyste.''
Jacques Lacan (Le moi dans la théorie de Freud)
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dixvinsblog · 9 months
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Almanach Vermot 1938 - Les calculateurs prodiges
Les acrobates de l’arithmétique sont des phénomènes qui ont toujours intrigué vivement le public. Jules César, dit-on, était capable de dicter trois lettres en même temps, tout en en écrivant lui-même une quatrième. De Napoléon 1ér on raconte aussi des tours de force analogues. Thémistocle passe pour avoir eu une mémoire infaillible : il connaissait parfaitement, dit-on, le nom de tous les…
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furiefrancaise · 5 years
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🇮🇹Carlo Alfredo Panzarasa🏴‍☠️
né à Paris le 4 mai 1926 de parents immigrés italiens, il fréquenta le Francisme de Marcel Bucard et le mouvement de la jeunesse fasciste à l’étranger. En 1943, à 17 ans, il est engagé volontaire dans le bataillon Longobardo puis incorporé en juillet 1944 dans la prestigieuse Decima MAS (X-MAS). Commandée par le prince Borghese, cette unité de la marine de guerre italienne ralliée à la RSI.
Tout commence pour Carlo Alfredo Panzarasa le 8 septembre 1943, jour où un régime de trahison et de forfaiture issu du coup d’Etat du 25 juillet 1943 capitule face à l’ultimatum des Anglo-Américains et au mépris de la parole donnée à l’allié germanique. C’est la stupeur et la consternation chez de nombreux immigrés italiens résidant à Paris, dont les plus jeunes se retrouvent chaque jour au Centre culturel italien de Paris, rue Sédillot, dans l’idée encore confuse de servir la patrie. Parmi ces jeunes franco-italiens, trois mousquetaires, Lino Ventura, Serge Reggiani, Ivo Livi (Yves Montand) et… Carlo Alfredo Panzarasa ! Les trois mousquetaires étaient bien quatre mais nos trois velléitaires devenus célèbres après-coup se défilèrent sans tambour ni trompette, ayant sans doute pris la mesure des risques à s’engager les armes à la main pour défendre l’honneur de l’Italie.
Engagés volontaires, deux cents de ces lycéens furent regroupés en mars 1944 quai de Bacalan, à la base océanique des sous-marins italiens de Bordeaux. (Betasom). Les jeunes franco-italiens furent incorporés dans le bataillon Longobardo, commandé par Giuseppe Parello, un officier vétéran du front de l’Est. Les « Volontari di Francia » reçurent une formation d’infanterie de marine similaire à celle du bataillon San Marco, la première unité de fusiliers marins de la Decima MAS.
Suite au débarquement des Alliés en Normandie le 6 juin 1944, une partie du bataillon Longobardo quitta Bordeaux fin juin 1944 pour se rendre en Italie par chemin de fer.  Après six jours d’un voyage mouvementé en wagon de marchandise, 150 fusiliers-marins arrivèrent à Venise, leur nouveau lieu de cantonnement. Sur place, une mission bien particulière attendait certains d’entre eux : infiltrer les réseaux de la Résistance ! Seul résultat de cette mission périlleuse, voire insensée : la capture et la mort sous la torture pour quatre jeunes Volontaires de France. Carlo Afredo Panzarasa s’en sort par miracle et se pose encore aujourd’hui des questions sur les véritables motivations qui poussèrent le chef de cette mission à envoyer à la mort de jeunes engagés volontaires nullement formés pour cette singulière besogne, certains d’entre eux s’exprimant en italien avec l’accent français !
Fin juillet 1944, le bataillon Longobardo prend le nom de bataillon Fulmine au moment de son intégration à la Decima MAS. Les Volontaires de France sont alors confrontés à la guerre des partisans, une dure épreuve pour laquelle les jeunes fusiliers-marins ne sont pas vraiment préparés. Entre la fin de l’été et le début de l’automne 1944, les ratissages se succèdent dans les conditions éprouvantes de la guerre civile qui déchire l’Italie du Nord.
Le 10 octobre 1944, Carlo Alfredo Panzarasa reçoit la Croix de guerre pour la valeur militaire en vertu de sa bravoure au combat.
Le 9 janvier 1945, le bataillon Fulmine occupe Tarnova, un village situé à quelques kilomètres de Gorizia : la position verrouille et contrôle les accès de Gorizia et de Trieste. La mission du bataillon Fulmine est de gagner du temps en attendant des renforts. A Tarnova, 214 fusiliers-marins équipés d’armes légères font face à plus de deux mille partisans lourdement armés. Le 19 janvier 1945, les Titistes déclenchent l’assaut : la bataille de Tarnova va durer presque une semaine, quand bien même les fusiliers-marins, à un contre dix, ne disposent que de deux jours de vivres et de munitions. Toutes les tentatives menées par la Decima MAS en vue de rompre l’encerclement sont repoussées par les Titistes rameutés par milliers de toute la région. De même, une autre contre-attaque conduite par trois blindés allemands venus en renfort échoue, les partisans ayant minés tous les accès de Tarnova.
Le 24 janvier 1945, faute de munitions et de ravitaillement, les fusiliers-marins du bataillon Fulmine reçoivent enfin l’ordre de décrocher. Un Volontaire de France, Thémistocle Cotini, détruit à la grenade un blockhaus ennemi pour permettre aux survivants de rejoindre les positions italiennes. Sur les 214 fusiliers-marins du bataillon Fulmine engagés à Tarnova, dont 89 Volontaires de France, 86 seront tués au combat et 56 blessés. Ils étaient 150 en arrivant au port… Quelques-uns d’entre eux, prisonniers des Titistes, seront torturés avant d’être décapités. Les partisans titistes se vengeront en exterminant, notamment en Istrie, des dizaines de milliers de civils italiens précipités vivants dans les innombrables gouffres de cette région karstique. Grâce au sacrifice des Volontaires de France et de leurs camarades de la Decima MAS, l’offensive des hordes titistes fut brisée, empêchant ainsi l’occupation par la Yougoslavie de Gorizia et de Trieste, qui resteront dès lors définitivement italiennes, malgré un épisode tragique : 40 jours d’atrocités titistes entre mai et juin 1945 dont fut victime la population italienne de Trieste et des environs. Les troupes d’occupation néo-zélandaises y mirent fin en chassant les Titistes.
Le bataillon Fulmine est démobilisé le 30 avril 1945 à Schio, mais une poignée d’irréductibles « marò » veut encore croire qu’il n’est pas interdit d’espérer... Carlo Alfredo Panzarasa en fait partie : il joue sa vie sur les routes du Nord de l’Italie, à la merci des barrages de partisans et des patrouilles qui exécutent sans jugement les derniers « fascistes » en fuite. La chance l’accompagne et il finit par trouver refuge et réconfort auprès de sa parenté restée en Lombardie.
Un petit appareil de photo ne le quitta jamais tout au long de cette épopée : son fidèle Leica, avec lequel Carlo Alfredo Panzarasa engrangea des centaines de clichés témoignant de la vie et des combats de ses camarades, les Volontaires de France. Ayant à cœur de perpétuer et d’honorer la mémoire de ses camarades, Carlo Alfredo Panzarasa rassembla au fil du temps une riche documentation sur ces années terribles où se joua, pour un tour de roue, le destin de la Grande Europe des patries charnelles. En 1992, les dépouilles mortelles de six Volontaires de France, torturés et décapités par les Titistes, furent restituées par la Slovénie à l’Italie. Elles reposent depuis 1993 dans le cimetière militaire de Gorizia, après avoir reçu les honneurs militaires au Sanctuaire de l’Armée de Redipuglia : tombés à la bataille de Tarnova, ces six Volontaires de France ont ainsi obtenu la reconnaissance officielle qu’ils avaient combattus, eux et leurs camarades, pour l’honneur de l’Italie.
René-Louis BERCLAZ
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« Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. »
Bonne lecture !
Léonidas et les spartiates à la bataille des Thermopyles (18–20 août 480 av. JC)
Contexte et personnage
Au Ve siècle avant Jésus-Christ, le monde grec étend son influence à travers toute la Méditerranée grâce à ses 1500 cités-États et aux colonies qu’elles implantent en bord de mer. Deux cités prédominent : Athènes et Sparte. Pour Athènes, le siècle de Périclès va bientôt s’ouvrir. Cette cité décide de soutenir les Etats grecs de la côte ouest de l’Asie, en lutte avec le très puissant empire perse, doté d’un réservoir humain gigantesque et disposant de ressources financières et matérielles à la mesure de sa dimension — un territoire vingt fois plus grand que celui de la Grèce ! Après la répression des cités ioniennes et la défaite de l’Erétrie, principale alliée d’Athènes, le roi perse Darius décide de punir Athènes pour le soutien que cette cité a apporté à ses ennemis. Il envoie donc une expédition attaquer les Grecs en débarquant à Marathon où l’armée perse connaît néanmoins, en 490 av JC, une cuisante défaite sans parvenir à inquiéter la cité athénienne. Une décennie plus tard, Xerxès, deuxième fils de Darius, décide d’une nouvelle expédition pour laquelle il mobilise les gigantesques moyens de son empire. C’est ainsi qu’après quatre ans de préparation, une armée estimée à 210 000 hommes, accompagnée de 1200 navires de guerre, traverse l’Hellespont (détroit des Dardanelles) en mai 480 av. JC pour entamer l’une des plus grandes invasions qu’ait connues l’Europe. Traversant la Grèce du nord au sud, l’impressionnante armée perse avance en direction d’Athènes et de Sparte. Grâce à l’action diplomatique de Thémistocle, chef militaire et homme politique athénien influent, la plupart des cités qui composent alors la Grèce, acceptent de faire front commun au sein de la Ligue de Corinthe pour défendre ce qu’ils ont en commun : « une race, une langue et une religion ». Une fois fixée sur les cités ralliées à la résistance et après les atermoiements de ses membres quant à la définition de la meilleure stratégie à adopter, la ligue décide d’envoyer sa flotte remonter la côte à hauteur d’une ligne reliant le défilé des Thermopyles au détroit de l’Artémision.
C’est alors que Léonidas, roi de Sparte, accepte la lourde charge de mener une troupe de quelques milliers d’hommes dont 300 guerriers issus du corps d’élite des hoplites, afin de retarder la gigantesque armée Perse au fameux défilé des Thermopyles. Cette décision devait avoir la double vertu de faire gagner du temps à l’armée grecque et d’encourager les dernières cités hésitantes du Sud à rallier la ligue de Corinthe.
A cette époque, Léonidas règne déjà à Sparte depuis dix ans. Il a démarré sa carrière militaire à 20 ans comme tous ses compatriotes. En tant que chef de guerre, il dirige la redoutée phalange hoplitique, infanterie d’élite de l’armée grecque, à laquelle n’accèdent que certains citoyens en fonction de leur classe sociale et de leur âge. Pratiquant une existence très austère (nourriture simple, vie familiale réduite, interdiction d’exercer leurs droits politiques, entrainement militaire constant), les guerriers à la célèbre cape rouge étaient réputés dans toute la Grèce pour leur valeur guerrière et surtout pour leur courage. Incitant à s’inspirer de leur exemple, Maurice Bardèche écrit, dans son livre « Sparte et les Sudistes » (1969) : « [A Sparte] le précepte de courage était clair et résolvait toutes les difficultés. Le courage donnait accès à l’aristocratie et l’on était exclu de l’aristocratie si l’on manquait de courage… L’éducation n’avait pas d’autre but que d’exalter le courage et l’énergie. » L’auteur nous rappelle aussi que, loin d’une littérature qui, majoritairement, réduit Sparte à une caricature de société militarisée, Sparte doit en réalité d’abord être vue comme une idée basée sur le fait qu’un homme ne vaut que par le destin qu’il se donne et que son statut tient bien plus à ses actes qu’aux richesses qu’il possède. Pour Bardèche, Sparte incarne aussi une certaine idée de la liberté : c’est la cité où la liberté consiste justement à faire le choix de renoncer à une part de sa liberté individuelle pour consacrer celle-ci à la protection du groupe, de ses mœurs et de ses lois.
La bataille
Les combats se déroulent du 18 au 20 août de l’an 480 av JC, ce qui donne déjà une idée de la résistance des Spartiates qui retiennent durant 3 jours une armée dont la dimension était sans comparaison possible avec celle des Grecs. Toutefois, la supériorité numérique des Perses est rendue inopérante par la configuration des lieux. L’étroitesse du passage des Thermopyles contraint les fantassins perses à se jeter sur les larges boucliers et les armures de bronze des hoplites et à s’empaler sur leurs longues lances. Durant les journées des 18 et 19 août 480, de plus en plus éreintés mais gardant, grâce à leur discipline et leur endurance, une combativité inébranlable, les combattants de la phalange grecque repoussent tous les contingents envoyés contre elle, y compris les troupes d’élite de Xerxès, les fameux Immortels. Mais la trahison d’un Grec, Ephialte, permet à Xerxès de prendre connaissance d’un sentier montagneux qui peut lui permettre de contourner la position défendue par Léonidas et de faire prendre à revers sa troupe, pendant que l’armée perse continue à mettre la pression sur le mur de défense des Lacédémoniens. Il est dit alors que Léonidas, se sachant condamné, préféra préserver une grande partie de son armée en lui ordonnant la retraite tandis qu’avec un bataillon de 300 de ses hoplites et quelques autres braves, il choisit de se sacrifier non seulement pour donner le temps à ses soldats d’exécuter leur retraite, mais aussi pour que son sacrifice, véritable acte de devotio avant l’heure, serve d’électrochoc capable d’emporter le ralliement des cités réticentes à rejoindre la ligue de Corinthe.
Après un solide déjeuner et la promesse que Léonidas leur avait faite « qu’ils souperaient le soir même dans l’Hadès », les Spartiates se mettent pour la dernière fois sur le pied de guerre, attendant silencieusement le choc des lignes perses. Mais afin de rendre leur défaite aussi coûteuse que possible pour Xerxès et de ne pas attendre les volées de flèches des troupes chargées de les prendre à revers, Léonidas fait charger ses hommes droit sur l’ennemi. Même après la mort de leur roi, les Spartiates se battent jusqu’à la fin, avec toutes les armes qu’il leur reste et jusqu’au dernier.
Demeuré comme l’un des exemples les plus illustres du dévouement à la patrie, ce combat, bien qu’étant une défaite tactique qui n’empêcha pas l’armée perse de reprendre sa progression, fut une victoire stratégique puisqu’elle provoqua une sorte de sursaut qui conduisit aux victoires grecques décisives de Salamine (480) et de Platées (479).
Ce qu’il faut retenir
Le sacrifice de Léonidas et des Spartiates aux Thermopyles est l’exemple même de l’engagement pour la défense de sa terre, le choix entre « vivre libre ou mourir ».
Mais il est aussi une illustration de la capacité à privilégier l’intérêt commun. En effet, Léonidas ne se faisait sans doute aucune illusion sur sa capacité à stopper l’armée achéménide mais il savait que son geste offrirait non seulement du temps mais surtout un exemple à suivre pour les Spartiates et plus largement pour tous les Grecs.
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