Tumgik
#Tous nos livres
emiliemaria · 4 months
Text
.
#faut que je parle d'un truc que je trouve ouf là mais ptdrr💀 littéralement je sais pas à qui en parler#mais c'est une partie du lore du fandom de str*y k*ds qui s'écrit sous nos yeux#y'a une autrice qui écrit du rpf sur ao3 qui a écrit une fic sur le ship le + populaire du fandom#et sa fic a un peu blow up genre elle a fait des stats de malade#à tel point que j'ai vu plein de fanart inspirés de la fic etc bref#y'a qques semaines je vois passer un tweet de l'autrice qui ditqu'elle va sortir l'histoire en livre. carrément elle a sorti des préco#SAUF que la go elle a commissioné un-e artiste pour la couverture#et malgré le fait qu'elle disait qu'elle avait changé le titre et les prénoms des persos pour éviter tt pb ensuite#sur la couv du livre c'est LITTÉRALEMENT eux genre. du coup les gens lui ont attrapé la veste en disant qu'elle devrait take down les préco#tant qu'elle avait pas modifié completement la couverture. elle a fait un loooong poste en mode ~apologies~ en disant que bien que#l'histoire est la mm que sa fic elle va bloquer l'acces à la fic et sortir une autre couv et aussi changer la nationalité des persos#et là retournement de situation je vois quoi aujourd'hui ? un de ses tweets passer où elle est en mode 'voilà la nouvelle couverture les-#les personnages n'ont plus rien à voir avec machin et machin. + l'histoire que je vais publier n'a absolument rien à voir avec la fic.'#alors que. de base. elle a market son truc en mode 'sortie de ma fic en physique qui sera intitulée autrement pour éviter les pb'#à côté de ça elle a aussi supprimer tous ses autres tweet mentionnant la fuc en question et là elle est dans les mentions des gens en mode#'c'est faux c'est pas du tout ma fuc c'est une autre histoire' je vous jure je crois le mieux c'est qu'elle publie pas du tout ptdrr elle#est trop chelou💀💀💀#je pense elle a vraiiiment pas prit en compte toutes les 'retombées' suite à la publication de sa fic en physique#genre elle a mentionné d'autres exemples de rpf publiées en fic ensuite pour se défendre un peu#mais idk là c'est différent elle s'y prend trop mal malheureusement :/#genre jsais pas au pire elle aurait pu proposer des versions physiques mais 'homemade' au lieu de littéralement trouver un éditeur#et de se lancer dans l'aventure à l'aveuglette😭#genre jsais pas j'ai l'impression qu'elle a vraiiiment pas réfléchi#bref olalah désolée mais cette histoire m'obsède#publiées en LIVRE* vs avez capté
2 notes · View notes
valentine1994 · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Une semaine après le déménagement : d’un coup, comme ça, je vis avec lui. On a emménagé dans un appartement à l’aveugle, sans en avoir vu de photos avant, et maintenant on dort dans un petit lit tous les soirs, tous les deux, et le matin on se réveille dans une cuisine ensoleillée, on boit notre petit café, on déjeune, de façon pas très coordonnée, chacun de notre côté la plupart du temps, encore sous l’emprise de nos habitudes de vie tous seuls. On révise aussi chacun de notre côté, on part au travail de notre côté, notre quotidien a pas trop changé au final. Quand on a le temps, on vide les cartons, il classe nos livres, minutieusement et par ordre alphabétique. Je le vois s’impliquer à 200% dans le classement des livres, et je comprends qu’il aime travailler comme bibliothécaire. Hier, il est venu vers moi avec Le Petit Prince dans la main, l’air embêté. Il m’a demandé comment on faisait en France : c’est « D » comme De Saint-Exupéry ou « S » comme « Saint-Exupéry » ? Cet après-midi, je suis rentrée des cours et il avait fait la vaisselle, monté un meuble IKEA et m’avait fait un petit Tupperware pour le travail ce soir :o
99 notes · View notes
merecot · 2 months
Note
Tu penses quoi des manifs d'hier et de leurs revendications ? Personnellement je suis d'accord avec un certain nombre de truc mais...
1) manifester parce que deux meufs (qui ne sont pas au pouvoir et aux dernières nouvelles ne comptent pas l'être) ont écrit un bouquin je trouve ça un peu gros, surtout vu le nombre d'auteurs♂️ qui sortent des livres anti wokisme tous les mois ce qui fait pas vraiment réagir grand grand monde. (Je précise que j'ai pas acheté le livre et je je compte pas le faire)
2) manifester parce que ya des projets de loi pour que les chirurgies de réasignement et les hormones ne soient pas accessibles aux mineurs... C'est un peu toujours pareil, c'est pas le truc dont ils disent que ça n'arrive jamais de toute façon ? Je sais pas pour les autres, mais dans ma ville la plus grosse revendication c'était ça. C'était très "vive les bloqueurs de puberté et les hormones"
Je dois t’avouer que je n’ai pas trop fait attention à ce sujet ces derniers jours et je savais juste qu’il y avait une énième manifs des TRAs. J’ai donc fait pas mal de recherches pour te répondre et j’ai lu la proposition de loi qui a enclenché tout ça et la tribune résultante donc voilà ce que j’en ai compris et ce que j’en pense.
Du coup, la vague de manifestations a été lancée suite à une tribune de Politis en réponse avant tout à la proposition de loi des sénateurs du LR visant à "encadrer les pratiques médicales mises en œuvre dans la prise en charge des mineurs en questionnement de genre".
Alors d’abord quelles sont les propositions du LR ? La plupart de leurs préconisations sont médicales, faisant suite à l’audition de 67 experts français. Ces propositions semblent très honnêtement tout à fait légitimes, en passant par :
“l’évaluation et le diagnostic de la transidentité des mineurs par des équipes pédopsychiatriques de proximité”
la mise en place de prise en charge psychiatrique en première intention (parce que oui, rappelons-le, la dysphorie de genre si elle est réellement présente chez l’enfant est avant tout un problème psychologique)
l’interdiction de la prescription ou l’administration de bloqueurs de puberté ou d’hormones aux mineurs pour traiter la dysphorie sans cependant interrompre les traitements de ceux l’ayant déjà commencé si tel est leur souhait
l’interdiction de la chirurgie dite de réassignation sexuelle aux mineurs voire aux moins de 25 ans (car le cerveau n’a pas fini d’évoluer jusqu’à cet âge là)
mais aussi la création de soins spécifiques pour quiconque voudrait détransitionner.
( Source : https://lesrepublicains-senat.fr/la-transidentification-des-mineurs/)
Donc en somme, rien de choquant, au contraire ! Pour moi cela semble un programme solide qui voudrait accompagner ceux et celles qui souhaiteraient détransitionner et surtout interdire la transition de mineurs pour les protéger d’un processus médical lourd dont il est difficile de revenir en arrière et qui aura un impact sur leur corps et leur état mental tout le reste de leur vie.
Pourtant, les TRAs qui soit disant n’ont aucune intention de transitionner des mineurs mal informés, ne prennent absolument pas ces idées de régulation comme une bonne nouvelle, au contraire.Leurs arguments sont nombreux et tous sans fondements, basés sur une sorte de paranoïa générale mais celui qui m’a fait le plus tiquer est celui-ci :
“Elles [les propositions de loi] s’inscrivent dans une offensive internationale coordonnée de la droite et de l’extrême droite contre le droit à disposer de son corps, visant de façon conjointe les droits reproductifs et les droits des personnes trans, en réponse aux quelques maigres droits trans conquis au début du siècle dans certains pays et à la nouvelle vague féministe. […] La question des droits reproductifs (avortement, contraception, PMA) et des droits liés à la transition sont indissociables puisqu’ils relèvent de la revendication historique de nos mouvements sur le droit à disposer librement de son corps : ils doivent être défendus de façon conjointe”.
(Source de la tribune : https://www.politis.fr/articles/2024/04/attaques-contre-les-droits-trans-et-reproductifs-nattendons-plus-faisons-front/)
L’argument du “mon corps, mon choix” est utilisé absolument de partout en une espèce de réappropriation du mouvement féministe pro-avortement. Ce lien fait très à la légère est tout à fait malhonnête selon moi et montre une incompréhension totale de la revendication au droit à disposer de son corps comme l’entendent les féministes.
Quelles sont donc les revendications de Politis et de ses signataires principaux, dont la CGT, Collages Féminicides Paris, Nous Toutes, le Planning familial, la France insoumise, Les Écologistes – EELV et le NPA (existe-t-il encore un parti de gauche ou une grande asso féministe qui n’essaye pas de nous jeter sous le bus ?) ? La principale est la suivante :
“[…] exige, a contrario, une transition dépsychiatrisée, déjudiciarisée, libre et gratuite pour les personnes majeures et mineures en ouvrant la possibilité de changement de la mention légale de son sexe à l’état civil par autodétermination de son identité de genre”.
(Source venant de la CGT : https://www.cgt.fr/comm-de-presse/mobilisation-du-5-mai-2024-droits-des-personnes-trans-vers-le-droit-lauto-determination-pour-toustes)
Comme tu peux t’en douter j’ai un problème avec à peu près chaque mot de cette exigence de leur part. Mais le fond de ma pensée est qu’il est tout simplement criminel de vouloir que chacun puisse transitionner médicalement et légalement sans aucun test psychiatrique, simplement en les prenant au mot.
Donc en gros je ne suis d’accord avec aucune de leurs revendications, que je trouve malhonnêtes au possible et franchement très dangereuses pour l’avenir de tous les mineurs mals dans leur peau, atteints de troubles psychologiques ou tout simplement homos. (Et en ce qui concerne Transmania de ce que j’ai vu c’était juste une petite note en bas de page dans leurs revendications mais c’est complétement ridicule. Les autrices n’ont aucune ambition politique et malgré leurs récentes incursions à droite elles n’ont aucun réel impact sur la politique de ce pays. En revanche, tu savais qu’il y a un an Zemmour a publié un nouveau livre ? C’est drôle mais je n’ai vu aucune manifestation à ce sujet…)
Merci pour ta question en tout cas ! Et désolée pour la dissertation que je t'ai fait en réponse mdrr.
22 notes · View notes
rizwans · 1 year
Text
ia et rpg.
je suis ébahie de voir les gens qui créditent chatgpt dans le disclaimer de leurs forums. c’est un peu comme si vous passiez des avatars de votre créateur.ice préférée à la moulinette de midjourney (sans son consentement, évidemment) pour obtenir des avatars du même style et que vous créditiez l’algorithme. si vous utilisez chatgpt dans un contexte d’écriture créative, soit, c’est votre choix (but why... où le plaisir d’écrire là-dedans ?). mais s’il vous plaît, ne confondez pas crédits et disclaimer. vous devez prévenir vos utilisateurs du fait que le contenu a été rédigé par une IA, pas remercier chatgpt que vous venez de nourrir avec votre propre imagination et qui ne fait que régurgiter que la tambouille que vous lui avez servie. je n’écris pas ce message pour créer du drama, absolument pas ! je peux comprendre l’attrait d’un robot capable de rédiger le règlement du forum en genre 5 secondes (vraiment). mais dans un contexte où les artistes et les créateur.ices se font voler leurs créations sans leur consentement, où les scénaristes d’hollywood sont en grève pour obtenir des conditions de travail décentes, où marvel, une entreprise qui brassent des milliards de dollars, refuse de payer des artistes et assume complètement le fait d’outsourcer l’outro de secret invasion à une IA sous couvert du fait que ça “collait” au thème (il a bon dos, le thème), où des entreprises commencent à développer leur midjourney local pour se débarrasser des concept artists plutôt que d’améliorer les conditions de travail et payer des salaires décents à des gens qui ont des années d’expérience et de pratique derrière elleux, réfléchissons cinq secondes au véritable but des entreprises derrière ces IA : amasser le plus de data possible gratuitement pour ensuite revendre leurs services à des entreprises. pensez à tous ces personnes qui écrivent vos livres favoris, dessinent vos mangas préférés, produisent vos jeux vidéo cultes, remplacés par un bouton et un prompt de quelques mots. travaillant dans le jeu vidéo, je peux vous dire que c’est extrêmement réel. la place des créatifs.ves dans ce milieu a toujours été précaire, et elle vient de le devenir encore plus.  vous vous demandez sans doute en quoi ça concerne notre hobby ultra-niche et je ne suis peut-être qu’une vieille conne qui refuse d’entrer dans la modernité (mais je vais me donner le bénéfice du doute !). le rpg écrit est une expression artistique comme une autre. chaque rpgiste derrière son écran a son style et cherche à exprimer ou à explorer quelque chose avec ses personnages (un autre débat, sur lequel d’autres se sont exprimés ou s’exprimeront plus éloquemment que moi). pourquoi confier cette expression à une IA ? avons-nous si peu confiance en nos talents respectifs ? personnellement, je connais des plumes exceptionnelles. hilarantes. émouvantes. originales. fluides. brutales. parfois tout ça en même temps. des plumes qu’un tas de tech bros seraient ravis de pouvoir revendre et exploiter, sans payer un centime ni créditer une seule seconde. des plumes qui appartiennent à de vrais humains et qui devraient le rester, des plumes qui sont le témoignage, qu’importe l’échelle qui peut sembler dérisoire, de vos pensées, votre style, votre intelligence. trust your goddamn self. et personnellement, si c’est le fait d’écrire un règlement pour la 36ème fois qui fait chier (ce que je comprends tout à fait), je propose de contre-attaquer et de faire appel au pire cauchemar des capitalistes : l’open source décentralisé. je rédige le squelette d’un règlement, limite texte à trous, je le poste ici et vous pouvez le c/c à foison en y rajoutant ce que vous avez envie d’y rajouter. pareil pour ces textes génériques et chiants de demande de DC, de réservation, etc etc... si on s’y met tous.tes, on pourrait se créer une banque de documents où chacun.e peut piocher à son gré. c’est une oeuvre collective, commune et volontairement libre-service. on part du principe qu’on travaille tous.tes main dans la main pour se rendre un service commun, et on n’en parle plus, pas besoin de crédits.  ne sous-traitons pas notre imagination à des machines. nous méritons tous.tes mieux ! (ps. et je sais que ça peut sembler hypocrite de parler de vol quand le monde du rpg repose un entre-deux gris en ce qui concerne le droit à l’image. mais entre david et goliath...)
111 notes · View notes
ekman · 2 months
Text
Tumblr media
Les mots sont-ils encore des armes dans un fantôme de société où l’écrit a été supplanté, depuis longtemps maintenant, par le pouvoir de l’image et même au-delà, par le pouvoir du seul écran. Que sont les mots aujourd’hui ? Qui peut encore les lire ? Je veux dire : les comprendre et les lire, avant de les lire puis de les comprendre ? Tout est là. Aller vers eux, ouvrir un livre, prendre sa plume, écrire, écrire et lire, lire puis écrire. Si l’écran est un moyen de jouir, une stratégie de cloporte, une dynamique de glande, les mots restent le seul moyen d’exprimer son désir d’être.  Mais l’époque, toute entière absorbée par le tourbillon de la décadence, est bien cuelle. Au temps d’Hanouna, la réflexion a-t-elle seulement un sens ? Car après tout, chez nos contemporains, l’envie d’avoir raison est plus forte que tout. Elle a la puissance d’un shoot de sucre ou d’une dose de gras. J’ai raison parce que je suis d’accord avec le mec qui a dit ça, et le mec qui a dit ça, visiblement, a eu raison de le dire – les applaudissements programmés sur le plateau d’Hanouna l’attestent. Et s’il a raison (la mimique d’Hanouna est sans équivoque sur ce point), alors j’ai raison avec lui, et dans ce jeu de dupes, ma voix compte enfin, fut-ce par la lointaine et illusoire procuration de l’écran. Les mots, disais-je, dotent la pensée de pertinence et de poids. Ils sont faits de tous les bois et permettent à l’intelligence de crépiter de mille façons, illuminant l’esprit de leur chaleur profonde. Ils forment le discernement, ils organisent la discrimination. Ils orientent le jugement à la lumière de faits tangibles, de vérités accessibles, établies et reconnues. Ils forment le bon sens. Ils relaient l’expérience, ils défient l’avenir. Ils sont le moteur et la transmission du savoir ; ils sont la garantie de la continuité et la condition de l’élévation. Ils sont d’aujourd’hui, d’hier et de demain, forcément, et cela est merveilleux parce que cela s’appelle la liberté. Rejoignez-les !
J.-M. M.
16 notes · View notes
Text
Tumblr media
Nous sommes tous notre propre livre. 📚
Exister signifie faire partie d'une toile magique où nous nous transformons en auteurs d'un fil argumentaire qui se déroule et s'écrit chaque jour.
Nous avons la faculté de nous réécrire, de prendre conscience de nos équivoques, d'effacer nos masques et ambiguïtés, de souligner notre identité et même d'arracher ces pages qui ne nous servent plus et qui donnent un poids inutile au roman de notre vie.
Souvenons-nous qu'il faut aussi laisser des pages blanches à la fin, là où se trouve toujours la possibilité de nouveaux chapitres : de nouveaux départs, de nouvelles expériences, de nouveaux amis, de nouveaux projets, de nouveaux endroits, de nouveaux chemins...
Au fur et à mesure que nous vieillissons et que nous mûrissons, nous nous rendons compte d'une chose très importante : les nouveaux départs sont une façon de nous maintenir à la vie, et surtout, de goûter à un bonheur plus réel, plus tangible et plus adapté à nos besoins.
Rassemblons donc tout notre courage pour écrire le livre que nous voulons, celui auquel nous nous identifions en quête d'émerveillement et d'authenticité.
A chacun(e) d'écrire le livre de sa vie.
Valéria Sabater
22 notes · View notes
aurevoirmonty · 2 months
Text
Tumblr media
On regarde les informations et c'est systématiquement la quatrième dimension.
Dans la même séquence, vous avez :
Le résident américain d'origine africaine Omar Sy qui revient sur les plateaux pour dénoncer sempiternellement l'extrême-droite, le dentiste marseillais Salim Laïbi qui appelle les Musulmans à quitter la France pour se mettre à l'abri du racisme des Français (??), le maire de Grenoble Éric Piolle qui réclame la dépénalisation du cannabis, Macron qui veut partager la dissuasion nucléaire française avec le reste de l'Europe, le maire de Tilloy-lez-Marchiennes dans le Nord qui, toujours déguisé en femme, accuse Dorat Moutot d'être nazie parce qu'elle a co-écrit un livre pour dénoncer le transactivisme, les islamo-gauchistes de Sciences-Po qui décrochent le drapeau français de la façade de l'établissement pour lui substituer un drapeau palestinien…
… et au milieu de tout ça, au milieu de cet immense épisode de South Park devenu réalité, vous avez Mathis, adolescent français de 15 ans, notre petit frère, notre gamin à tous, poignardé à mort pour un téléphone par un migrant afghan à Châteauroux.
Un de plus, un mort de plus, encore un des nôtres qu'il va falloir enterrer dans l'indifférence d'une classe médiatico-politique encore occupée à palabrer sur le cannabis, sur le racisme et la transphobie des Français et sur la pluie qui tombe un mois d'avril.
Comment ne pas les détester de toutes nos forces ?
Repose en paix Mathis. Là-haut, bon gamin, dis à Lola, à Thomas et à tous les autres qu'on ne les oublie pas.
Jonathan Sturel
15 notes · View notes
jamie-007 · 4 months
Text
Tumblr media
On devrait se dépouiller de tout, presque tout.
Se suffire d'une valise, d'un lit, d'un manteau, d'un dessin d'enfant sur le mur.
On devrait s'alléger chaque jour de tous nos poids accumulés : mauvaise mémoire, faux amis, bibelots inutiles, vestiges de vies éculées, d'espoirs anéantis encore si blessants…
On devrait revenir à l'essentiel, juste ça, rien que ça. Une table, quelques livres …
Faire toute la place à ce qui vient, à ceux qui arriveront, qui arrivent, afin qu'ils ne se sentent cernés d'aucune foule : vieux démons, anciens fantômes, trésors finalement hostiles entassés sur des étagères…
Foules si étrangères à ce présent qui s'invente.
Il faudrait se dépouiller de tout, ne garder au beau milieu de soi qu'une furieuse envie d'espace, de vrais désirs, de souvenirs à venir, de luminosité, de plumes et de bras ouverts.
- jacques dor
16 notes · View notes
alexar60 · 10 months
Text
Camille
Tumblr media
Mes grands-parents avaient acheté une résidence de vacances du côté de Vannes. Pour la crémaillère, ils avaient invité toute la famille à passer quelques jours. Je devais avoir cinq ans et découvris des cousins que je ne connaissais pas. En fait, il s’agissait surtout des enfants des  cousins de ma m��re.
Lorsque nous arrivâmes devant la maison, nous vîmes un terrain immense sur lequel se promenaient de nombreuses personnes. On était plus proche du repas de mariage que d’un simple weekend à la campagne. Avec ma sœur, nous nous retrouvâmes au milieu d’une farandole de personnes que nous ne connaissions pas. J’eus le droit à des surprises, des bonjours d’étonnements, des bisous baveux de vieux adultes, des « mais qu’est-ce qu’il a grandi, il n’était pas plus haut que trois pommes la dernière fois qu’on l’a vu ! ». Bref, je n’étais pas à mon aise. Alors, je m’éloignais et pendant que ma sœur était prise en charge par mes cousines, je regardais les cousins jouer ou discuter. Tous étaient plus vieux que moi d’au moins cinq ans. Comme je me sentis exclu, je visitais ce grand terrain. Il y avait des fleurs alignées en cercle ou en carré, des tulipes, des hortensias, des roses et j’en passe. Il y avait des arbres mais aucune branche ne me permettait de grimper dessus. Je marchai lentement sans savoir quoi faire. Je voyais toujours les adultes discuter et les entendais rire. En fait, j’étais le seul à ne pas être réellement ravi d’être en cet endroit.
Avant de faire demi-tour, je vis une petite fille. En apparence, elle était plus vieille de deux ans, peut-être trois. Ses longs cheveux blonds semblaient briller avec un reflet de soleil. Elle lisait assise au milieu d’un cercle de livres ouverts. Elle me sourit avant de dire bonjour. Dès lors, j’approchais tout en rendant son sourire.
Comment t-appelles-tu ? demanda-t-elle.
Alexandre.
Enchantée, moi c’est Camille. Que fais-tu ici ? Tu n’es pas avec les autres en train de jouer ?
Non.
J’étais timide. Même avec une cousine, je restais timide. J’observais les livres. Ils n’avaient aucune image, ne comportant que des textes. J’approchai la tête pour les regarder de plus près lorsqu’elle demanda :
Sais-tu lire ?
Je hochai négativement de la tête. Dès lors, elle me proposa d’approcher et de jouer à la maitresse d’école. Je m’assis à côté d’elle et l’écoutais attentivement cherchant à comprendre le sens des lettres, les mots qu’elle prononçait. Ce n’était pas un exercice facile car je n’arrivai pas à lire parfaitement les lignes qu’elle montrait du doigt. Toutefois, je réussis à retenir quelques mots.
La matinée se passait à écouter Camille faire sa leçon de lecture. Soudain, un appel annonça le repas du midi. Je me levai immédiatement et rejoignis la famille sans m’occuper de Camille. Je n’entendis pas cette dernière courir avec moi. A l’instar des repas de famille, celui-ci fut long et pénible. Je regardai les plats se suivre, j’attendais le suivant. Je restais à la table des enfants écoutant les grands cousins déblatérer des idioties pour se la péter, et les cousines dont les plus petites  somnolaient à moitié. Après avoir fait tour visuel du groupe, je ne remarquais pas Camille. Je demandai à Carole, ma cousine la plus proche si elle savait où elle se trouvait. Mais, Carole ne put répondre car elle ne la connaissait pas. Cependant, en sortant de table, elle m’aida à chercher Camille, en vain. Elle questionna les adultes.
Camille ? Chérie, on a une Camille parmi nos petits-enfants ? interrogea mon grand-père.
Non, répondit ma grand-mère. Et dans les petits-neveux non plus.
J’expliquai où je l’avais rencontrée. Ma grand-mère caressa mes cheveux recoiffant la raie au passage. Puis, elle expliqua que des enfants du hameau venaient parfois dans le bois car il n’était pas clôturé. Déçu, je passai le reste du weekend à m’ennuyer.
Durant les vacances suivantes, je revis Camille. Elle était au même endroit à lire. Elle n’avait pas changé et portait une couronne de fleurs sur la tête. Elle me reconnut, me sourit et proposa de me faire une leçon de lecture. Je l’écoutai lire un passage des trois mousquetaires d’Alexandre Dumas. Je ne comprenais rien mais restais captivé par sa façon de parler. Je sentais une douceur enivrante m’envahir, je sentais des papillons chatouiller mon ventre. Il faisait beau et j’étais heureux de la revoir, heureux qu’elle ne m’oublie pas. Je montrais mes prouesses en lecture et regrettais de ne pas avoir de crayon pour montrer que je savais aussi écrire.
Je passais l’après-midi avec Camille, oubliant ma famille, mes parents qui partageaient leur temps avec mes grands-parents. J’oubliais ma sœur qui préférait jouer à la poupée sur la terrasse. Quand ma mère m’appela pour le goûter, je proposai à Camille de venir. Elle refusa préférant se nourrir de connaissances. Je partis lui promettant de revenir avec un morceau de chocolat dans du pain. A mon retour, Camille et ses livres avaient disparu.
Toutefois, elle était présente le lendemain puis le surlendemain. Nous jouions à lire et à écrire car cette fois-ci, j’avais pris du papier. Elle lisait énormément et j’écoutais. Parfois, elle me faisait lire corrigeant quelques mots ou la ponctuation. Elle avait pris une pièce de théâtre. Je ne comprenais rien mais c’était drôle de lire chacun son tour. On se donnait des personnages. Parfois, elle prenait une grosse voix pour parler à la place d’un homme. Le soir, je repartais rejoindre la famille.
Par la suite, je la questionnai sur ses parents, où elle habitait exactement. Elle restait évasive me signalant que sa demeure était complètement noire et humide. Son père était ingénieur. Quant à sa mère, elle ne travaillait pas. Pourtant, elle aurait dû être médecin.
Il y eu une nuit étrange. Je dormais dans la même chambre que ma sœur. Nous avions chacun notre lit. Je fus réveillé par un son bizarre. Je compris qu’il s’agissait du grincement de la porte, à cause d’un courant d’air. Le drap de mon lit se leva et ma sœur  s’allongea à côté de moi. Cela arrivait qu’elle fasse des cauchemars. Alors, elle préférait me rejoindre plutôt que de rester seule dans son lit. Enfin, je crus que c’était ma sœur parce que cette nuit, je reconnus le visage de Camille. Elle parla doucement.
Ça ne te dérange pas que je dorme avec toi ? J’ai froid et j’ai peur. Il fait tout noir.
Je laissai mon amie se blottir contre moi. Son corps, ses mains étaient gelées. Je ne l’interrogeais pas sur sa présence dans la maison. Nous dormîmes. Au matin, elle avait disparu. Je me levai seul. Ma sœur était déjà debout. Je descendis à la cuisine et demandai si quelqu’un avait vu Camille partir. On me dévisagea. Mes parents pensèrent que j’avais une copine invisible. Je compris que j’avais rêvé.
Durant l’après-midi, lorsque je revis Camille, toujours au même endroit, je parlais de ce rêve. Elle sourit et baissa la tête. Elle choisit un livre : Alice au pays des merveilles. Dès lors, je restai obnubilé par cette histoire fantastique. J’écoutais la petite fille lire avec passion. Et pour la première fois, je comprenais l’humour dans un récit.
Camille n’était pas là pendant les vacances suivantes. J’avais sept ans. Je passais souvent dans le bois au fond du jardin en espérant la voir, mais je ne voyais que de l’herbe et des arbres. De temps en temps, je m’asseyais ou m’endormais en attendant son retour. Elle n’est jamais revenue. Les années passèrent sans que je n’oublie la petite fille rencontrée au fond du jardin de mes grands-parents. Ce même jardin rétrécissait en vieillissant. Le bois ne semblait pas si grand. Mais le regard de l’adolescent n’est pas celui de l’enfant.  De temps en temps, je retournais dans cette petite forêt à me souvenir que j’y avais vécu de très beaux moments. J’imaginai un livre oublié posé sur l’herbe par Camille. Cependant, il n’en fut rien.
Cela faisait vingt ans que je n’avais plus entendu parler de Camille. J’écoutais un documentaire télé sur des enquêtes non résolus. Quelle fut ma surprise que de voir le portrait de Camille entre celui de ses parents. Sa famille était portée disparue dix ans avant notre rencontre. Aussitôt, je suivais l’affaire avec attention. La famille de Camille passait des vacances dans le même hameau où se trouvait la maison secondaire de mes grands-parents. Il y avait bien quelques suspects, seulement personne n’avoua quoi que ce soit. Après une nuit de réflexion à  chercher à comprendre pourquoi je l’avais rencontrée, pourquoi je lui avais parlé et pourquoi, elle n’avait pas changé, c‘était surtout ce lieu noir, humide et froid qui m’intriguait. J’appelai dès le matin mon grand-père. Nous discutâmes de cette affaire.
Au fait Papy, tu as déjà pensé à faire sonder le jardin ?
Pourquoi faire ? répondit-il avec une voix étonnée.
C’est presqu’une ferme. Et je me disais qu’il devait peut-être y avoir un puits caché ou quelque-chose comme ça. Une cave ?
 Tu sais que ça pourrait être une bonne idée. Un puits m’aiderait pour arroser les fleurs.
Deux mois plus tard, ma mère appela. Elle m’annonça qu’on avait trouvé des corps dans un puits fermé chez ses parents. La maison faisait la une des journaux télé. Effectivement, je reconnus la maison. De nombreux gendarmes encerclaient la demeure. Néanmoins, on pouvait remarquer un groupe de personnes en combinaison blanche en train de marcher vers un trou entre les arbres. Et le lieu du trou était la position exacte où Camille lisait.
Quelque-jours plus tard, je passais voir mes grands-parents. Ils racontèrent la découverte du puits et celle de Camille et de ses parents. Mon patriarche gardait le journal qui expliquait les causes de la mort. Ils avaient été exécutés d’une balle en pleine tête. L’enquête aboutit que c’était en pleine nuit et qu’ils dormaient au moment des faits.
J’accompagnais ensuite mes grands-parents vers le puits.  Nous regardâmes pendant un long silence ce trou ouvert. L’atmosphère était remplie à la fois d’émotion et de libération. Un vent frôla mon visage. Je levai les yeux et crus apercevoir la silhouette d’une petite fille qui s’effaçait doucement.
C’était juste bouché par une dalle en béton et recouvert d’un tapis de verdure, annonça papy. Le puits ne contient plus d’eau.
C’est grâce à ça que les ouvriers ont vu les ossements, ajouta mamy.
Mon grand-père me regarda avec son air perplexe. Il posa sa main sur mon épaule puis hocha la tête en souriant.
Je me souviens que c’était à cet endroit que tu jouais tout seul quand vous veniez. Tu prenais toujours du papier et des crayons et tu jouais ici…Elle s’appelait comment déjà ton amie imaginaire ? Camille ?
Je répondis d’un geste de la tête.
Comme la petite qui était dans le trou, murmura-t-il.
Il ne posa pas d’autres questions. Nous rentrâmes et je passais la nuit chez eux.
Lorsque ma première fille est née, nous l’avons appelée Camille par hommage. Et elle a adoré apprendre à lire.
Alex@r60 – août 2023
41 notes · View notes
nayelleya · 1 month
Text
14 et 15 mai 2024
Je venais de quitter ma mère au téléphone lui disant que j'allais certainement rentrer à l'auberge ou bien me faire un trajet de métro et rentrer à pieds (j'adore me faire des tours de métro sachez-le).
Dans la station, je remarque un garçon qui m'a interpellé : son charme, ses nombreux tatouages et ce qu'il dégageait. J'écris directement à une amie "Je viens de trouver l'amour de ma vie, il est juste à coter de moi". Le métro arrive, peu de place on se serre tous, lui et moi comprit. Deux stations plus loin le métro se vide un peu, je savais que j'avais beaucoup de temps devant moi avant le terminus alors je décide de sortir mon livre "Rêveries du promeneur solitaire" de Rousseau. Je le vois se pencher, tentant de lire le titre. Alors, tout naturellement je lui montre ce que je lis. Puis il me dit "Tu lis ça pour la fac ou pour les cours" EN FRANÇAIS ? Je lui réponds que c'est pour le plaisir, lui me dit que personne ne lit du Rousseau pour le plaisir, que ce n'est pas possible.
On commence désormais à faire connaissance, me demandant qu'est-ce que je fais dans un métro à Vienne et à cette heure-ci (il devait être 21h30). On discute pendant deux trois arrêts jusqu'à que le chauffeur annonce que le métro a un soucis et que nous sommes tous obligés de descendre à la prochaine station. On se dit que c'est le destin, qu'on doit continuer cette conversation. Alors, on marche, on parle de nos vies, de nos auteurs préférés, de nos lectures.
On tombe sur un bar, par chance il fermait dans 30 min mais on a pu quand même commander. Heureusement, cet inconnu parle français car sa mère est née en France, qu'il a été au lycée français à Vienne et qu'il avait fait deux ans de prépa à Paris. Mais ce qui voulait dire qu'il était bilingue allemand (merci la vie j'en pouvais plus de commander et de commander en anglais surtout). Dès qu'on s'assoit, il sort son carnet et écrit directement la date du jour, mon prénom, la ligne de métro où on s'est rencontrés et écrit "couleur de cheveux inconnu" (nous n'avions pas réussit à déterminer si j'étais rousse ou si j'avais les cheveux rouges).
Je passe les détails sinon ce post ferait 10000 lignes. On finit par partir du bar, on marchait et il me lance un "Mais en fait on est dans Before Sunrise, on vit un rêve Leyan, je suis sûr que demain quand on va se lever rien de tout ça n'aura exister". Je lui avoue que je n'ai jamais vu ce film, film qui raconte l'histoire de deux inconnus qui se rencontrent dans le train et l'américain demande à la française si elle veut rester avec lui à Vienne le temps d'une nuit. C'était totalement nous, sauf que nous, l'amour était platonique. Comme il m'a dit "C'est la rencontre de nos deux âmes, pas de nos deux corps". Et, je pense que c'est la chose la plus merveilleuse que nos corps ne se soit pas rencontrés. De toute façon, on ne c'est pas parler pour se draguer. C'était spéciale.
Finalement, on se décide d'aller regarder le film dans le hall de mon auberge. Trop de bruits. Il réserve une chambre privative juste pour qu'on regarde le film. On a parler durant tout le film, on coupait le film pour se dire que par moment c'était vraiment nous. Après l'avoir vu, on s'est demandés "Et qu'est-ce qu'on fait quand le soleil va se lever ?". On a beaucoup réfléchit, on s'est dit que le meilleur moyen de continuer ce rêve ce n'était pas de prendre nos contacts. Juste un rendez-vous après ses examens de médecine. Il m'a écrit un poème de Pablo Neruda en espagnol, pour me montrer que je n'ai pas rêver de cette rencontre juste spectaculaire. Personnellement, je lui ai laissé une petite lettre, le remerciant d'avoir une âme aussi pure et saine. On avait l'impression de se connaître depuis toujours et en même temps pas du tout c'était très étrange. Je l'ai laissé dormir, je suis partie au lever du soleil. J'espère qu'il a prit mon message, qu'il a prit cette lettre. J'espère qu'il va venir au rendez-vous. Si un de nous deux ne peut pas finalement, on s'est dit qu'on allait se recroiser un jour de façon anodine, c'était sûr et certain. J'ai quand même mit à la fin de ma lettre "Et si on ne se revoit pas, souviens toi que tu as un visage pour être aimé". Car, c'est totalement vrai. Cet inconnu à un visage pour être aimé (et puis aussi lui rappeler qu'il doit lire du Paul Eluard).
13 notes · View notes
wolfsnape · 1 month
Text
Au collège, tous les vendredis, on fait un "Vendredi Glycémie", où on ramène des gâteaux et je suis en train de faire un petit livre de nos meilleures recettes, pour l'imprimer pour les collègues, j'aime trop hihi
12 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 150
Le samedi prévu pour le double Gang Bang est arrivé. La veille je suis allé chercher les clefs du gite et j'ai mis le chauffage (pour tenir à poil vaut mieux 23/24° que 10/12° !). Jimmy m'aide à mettre tout en place. J'avais demandé un deuxième table basse au loueur et je la trouve en arrivant. Même modèle en chêne massif. Elles tiendront le choc. Le traiteur livre vers 16h le buffet que j'ai commandé et nous rangeons tout cela au frigo prêt à être sorti.
La salle est dégagé de tout ce qui encombre, tapis, chaises, bibelots, tableaux... nous ne laissons que les supports horizontaux, les deux tables basses, la table de salle à manger et un buffet. Les deux canapés sont poussés contre les murs. Nous réquisitionnons une des chambres pour les besoins du " personnel " les autres serviront aux clients.
17h arrivée de Ric et de Jean. Ils sont contents de travailler ensemble. J'explique en gros comment va se passer la soirée et ils partent se préparer. Tout étant en place, Jimmy et moi allons les aider. Après leurs douches, nous les massons avec une huile qui rend leurs peaux satinées. Puis préparation de leurs rondelles, même si elles sont habituées aux gros calibres, ce soir il y aura de l'exceptionnel avec une bonne demi douzaine de blacks montés plus de 26 x 6 dont Eric. Nous travaillons surtout la profondeur. Lavements, graissage en profondeur puis vérification par godage. Jimmy et moi nous sortons de la préparation, bandants comme des fous ! C'est aussi le cas de nos deux acolytes. Tout le monde se calme.
Vers 20h les clients commencent à arriver et il sera 21h quand le dernier de mes deux " flics " fermera la porte. L'heure d'attente est passée par les premiers, un verre à la main, à mater et tâter Ric et Jean encore vêtus (petitement : shorts de sport ultra courts et marcels deux tailles trop petites). Pour Jimmy j'ai mis les choses au clair, il n'est là que pour le service classique (kpote, gel...) pas de cul avec lui. La déception de certain s'efface dès que les deux proies (volontaires) sont à poil (enfin façon de dire vue l'état glabre de leurs corps).
Les caresses et autres pincements sur la " marchandise " reprennent. Ric et Jean passent de l'un à l'autre. Je suis bientôt le seul avec Jimmy encore habillé. Les quelques blacks qui se demandaient les raisons de la présence de blancs, ont vite compris quand les slips ont volés. Ce n'était pas les plus petitement montés des participants (le père de Ric ou même Xavier sont montés plus gros que pas mal de blacks !). A partir de là, les choses sérieuses ont commencées. J'ai été bien content d'avoir emmené Jimmy pour me seconder car sinon je n'aurais pas pu tout surveiller. Comme d'habitude deux-trois ont fait des difficultés pour se kpoter, mais Eric et d'autres participants ont vite mis les choses au point sans que j'ai à intervenir.
Pendant plus de 3 h, Ric et Jean se sont fait pénétrer par les deux bouts. Dans un premier temps, deux groupes se sont formés, chacun entourant un de mes " employé ". Là nous avons assisté à deux gangs bang en parallèle, même si les " mâles " changeaient de groupe assez souvent. Puis les deux tables basses ont été collées et les deux centres d'attention réunis. Quelques clients leur ont demandé de faire un 69. Une fois en position, ils ont été pris chacun par tous les participants. Décollés, cote à cote, ils ont subi en parallèle l'assaut de leurs bouches et culs.
C'est très esthétique à voir que la pénétration de corps blancs par de monstrueuses bites noires. On distingue bien l'écartement auquel est soumis l'anus perforé pour accepter l'intromission. Que ce soit le corps musclé de Ric ou celui plus frêle de Jean, le contraste des couleurs ajoute à l'excitation générale, même si les 4 bites blanches présentes exigent autant de souplesse anale.
Plusieurs fois au cours de la soirée, certain de mes " clients " sont venus me remercier pour ce plan (sachant qu'ils ont payé le prix fort, c'est gratifiant). Ils (les clients) se sont entraidés pour réussir quelques positions plutôt instables. Certaines (positions) ont amené à de grand fous rires. Mais personne n'a débandé pour autant et les trous de mes deux acolytes ont été bouchés à plus de 80% du temps ! Jimmy qui assistait pour la première fois à ce genre d'activité, n'en a pas perdu une miette. Je pense que cela lui aura donné des idées et je suis sûr que le prochain gang bang que j'organiserais sera pour lui. Je vois que par moment ça le démange de participer.
Jean a été le premier à lâcher question physique. Ses deniers utilisateurs ont été obligés de tout faire et l'apothéose d'une éjaculation simultanée s'est faite sur son corps exténué. Mais aucun participant ne lui en a fait grief, il faut dire que tous étaient déjà passés au moins une fois sinon deux dans sa bouche et son cul. Ric, lui, avec sa forme physique a assuré comme un pro. Volontaire sur les pipes, se faisant saillir par les étalons comme une jument en manque, exigeant pas ses coups de reins, des enculages virils, il s'est éclaté à la fin, couvert de sperme, sous les mains de son père et de DGSE réunies à travailler ses tétons.
Pendant la séance, avec Jimmy j'avais assuré l'approvisionnement en boissons et victuailles, même si c'est plutôt une fois tous vidés pour la au moins deuxième fois que mes clients en ont plus profité. Ric et Jean en ont profité pour aller se laver. Les clients sont partis certains directement d'autres après avoir profité des salle de bains à leur disposition. Le dernier à partir fut " DGSE " qui m'a dit avoir pris toutes les plaques minéralogiques et qu'il me ferait un topo de chaque participant. Je le remerciais et lui dit que pour la moto, je connaissais déjà tout. Nous nous sommes retrouvés tous les 4 seuls dans le grand gite. La fatigue était telle qu'il était hors de question de rentrer et nous sommes restés jusqu'au lendemain matin.
Nous avons tous dormis dans le même lit, serrés les uns contre les autres. Avant de nous endormir, Ric et Jean nous ont sucés vu que nous n'avions pas participés aux activités du soir. Jimmy et moi avons déversé au moins un litre de foutre chacun !
Réveils dépareillés. Avec Jimmy je suis le premier à me réveiller. Nous nous levons discrètement et nous nous douchons ensemble puis rangeons le gîte. Quand Ric et Jean se lèvent à leu tour, tout le gite est redevenu normal. Nous leur préparons un petit déjeuner assemblé des restes de la veille, à part le café, c'est plutôt charcuterie et petits fours.
Avant de nous séparer, je les appelle tous pour la distribution de leur salaire. Ric et Jean se récrient estimant que je leur avais rendu service puisqu'ils étaient autant demandeurs que les mecs qui les ont sauté. Je remballe mon carnet de chèques, pour Jimmy, c'est différent, il émarge au service de la maison.
Tous comptes fait, frais déduits, c'est une bonne soirée question rapport financier. Mais comme la majorité est en liquide, cela nécessite un peu de gymnastique monétaire (à 2 ;000 € le ticket d'entrée par personne !).
Retour à la maison. Juste le temps pour Jimmy de se préparer pour son client de l'après midi. Maintenant qu'il a son permis et que j'ai acheté une petite voiture, il se débrouille pour y aller seul les 3/4 du temps. Mes clients sont sérieux et ils respectent nos engagements " rubis sur l'ongle ".
Je profite de mon après midi libre pour passer voir Emma. Nous ne sommes pas jeudi mais maintenant son personnel sait pour nous et reste dans ses quartiers quand nous nous isolons.
A l'arrivée je croise le majordome. Il me demande si je suis content de ma nouvelle voiture. C'est un ancien fou de mécanique qui s'ennui à mourir de conduire la grosse Mercedes de madame. Comme je sais que je vais rester au moins deux bonnes heures, je lui donne mes clefs et lui dit d'aller faire un tour. Si avant cela il m'aimait bien, maintenant je pourrais lui demander la lune ! Quand je rejoins Emma je lui dis ce que je venais de faire. Elle savait pour son chauffeur, son mari l'avait engagé lorsque ça craignait pour les grands patrons (risque d'enlèvement) et qu'il savait piloter façon urgence et protection, la Mercedes ayant reçu un blindage.
Ces considérations domestiques passées, je passe à la phase " inceste " de notre relation. Roulage de patin, montée graduelle de nos excitations mutuelles. Je la laisse prendre l'initiative. C'est à elle de commencer à nous dénuder. Mes mains pressent ses seins au travers du chemisier, ma jambe droite s'insinue entre ses cuisses et vient comprimer son pubis. Là, enfin, elle se lâche. Mon sweet vole en travers de la pièce suivi de près par mon polo, je fais alors tomber sa veste de tailleur et son chemisier. Quand elle s'attaque à mes Jeans, je dégrafe sa jupe qui lui tombe à ses pieds. Je suis en shorty devant elle qui porte encore bas culotte et soutient gorge. Eminemment sexy le tableau !
Quand je détache le soutient gorge, ses seins descendent d'à peine 2cm, sans avoir été opérés, ils sont encore très beaux et bien ronds. Je fais tomber ses bas et sa culotte alors qu'elle me retire mon shorty. Nus l'un contre l'autre, nous reprenons notre baiser. Ma bite raide creuse son ventre. Elle glisse contre moi et à genoux commence une fellation dans les règles. Elle est devenue super bonne su le sujet. Pendant tout un moment elle ne s'occupe que de mon gland, le léchant, l'englobant dans sa bouche, passant sa langue sous la couronne, agaçant le frein et pointant le trou duquel sort mon jus qu'elle aime tant. Quand ce dernier est plus que rouge de ses attentions, elle me prend graduellement de plus en plus profondément jusqu'à poser son front sur mes abdos, mon gland emprisonné dans sa gorge. C'est vraiment devenu une suceuse de première ! Je dois penser à autre chose pour m'éviter de jouir trop vite ! C'est quand je n'en peu plus qu'à mon tour je l'emmène à l'orgasme. Contrairement à nous, les femmes peuvent on plus de capacité à en avoir plusieurs très rapprochés, du coup je ne me retiens pas.
Je la relève et à mon tour descend le long de son corps. Son cou m'amène à ses seins dont je tète chaque bout jusqu'à ce qu'il soit gonflé et raide. Je les abandonne alors pour glisser jusqu'à ses lèvres du bas. Je commence par un roulage de pelle (non réciproque faute de langue !) et suce chaque lèvre pour les rendre hypersensibles et gonflées. Seulement alors je m'attaque à son clitoris. Même traitement. Le rendre si sensible que chaque attouchement provoque un effet tel qu'Emma arrive difficilement à savoir si c'est du plaisir ou de la douleur. J'obtiens alors de sa part un premier orgasme qui m'oblige à me redresser pour la tenir dans mes bras sinon elle chuterait au sol. Quand je lui fais cela couché sur un lit, ses cuisses m'écrasent les oreilles ! Sa faiblesse est passagère et ce premier orgasme lui a ouvert l'appétit. Elle s'accroche à mes épaules et lève un jambe pour faire passe ma queue sous elle. Comme je bande comme un malade (et que ma bite cherche à se coller à mes abdos), quelques mouvements suffisent pour faire entrer mon gland dans sa chatte.
Elle est brûlante et mouillée. Je la pénètre jusqu'aux couilles. Elle fatigue sur la pointe de son pied. Je la soulève et la pousse sur la première surface horizontale que je trouve. Je peux alors la labourer comme il faut. Elle contractes ses muscles et je me sens bien pris par son vagin. Elle arriverait presque à me faire jouir dedans ! Mais comme je préfère son cul, je ne m'y attarde pas plus que nécessaire. Ma queue bien lubrifiée de sa mouille je change de trou et enfonce avec délice sa porte arrière. ;J'apprécie la fermeté de son anus. Elle même aime de plus en plus cette pratique qui l'amène aussi à l'orgasme. Il faut dire que pendant l'enculage, je m'occupe aussi de sa chatte, son clito et ses seins. Je suis sûr qu'elle prendrait un pied pas possible si je lui faisais l'amour avec un autre mec. Vu comme elle réagit à la pénétration simultanée avec un gode, je pense qu'elle décollerait pas possible avec deux vraies queues en elle. Mais ça, ce sera à elle de le demander. En attendant nous baisons comme des forcenés et j'arrive à lui juter dans le cul juste au moment où elle jouit elle même. Ses contraction me bloquent et ajoute à mon plaisir. Une fois les corps détendus nous ramassons nos vêtements épars et filons dans sa chambre. Douche ensemble où nous nous câlinons un peu, puis nous nous mettons présentable. Je reste en shorty seulement. Le chauffage de la maison à 22° me permet cette fantaisie (mon coté exhibitionniste qui ressort, même quand il n'y a pas grand monde pour regarder !).
Quand nous émergeons de nos quartiers, le majordome est là à me tendre mes clefs en me remerciant. Je lui demande si il y a pris du plaisir et sa réponse est très positive, je suis content pour lui.
JARDINIER
Tumblr media
faire un film est bien plus de travail que vous ne pensez
Tumblr media
+
Tumblr media
14 notes · View notes
lesdamesmures · 3 months
Text
Tumblr media
Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
10 notes · View notes
delta-rpg · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Plutôt qu'un contexte que plus grand monde ne lit maintenant, on a préféré faire avec ce sujet quelque chose de plus simple, plus accessible. On peut retrouver dans les inspirations principales de Delta la série de livres/série tv Percy Jackson & les Olympiens et plus généralement l'Antiquité grecque, mais aussi les livres et films Hunger Games. L'intrigue de Delta se passe de nos jours, en 2024, principalement aux Etats-Unis - même si le jeu sera tout à fait possible ailleurs. Alors que la société sorcière américaine s'ouvre de plus en plus au monde humain depuis quelques années, après des siècles d'interdiction totale de contact avec eux par les Lazos, ancienne famille royale, une nouvelle présidente sorcière est élue, Elvira Alcocer. Contrairement à la famille Bylilly qui présidait le peuple sorcier depuis la fin de la royauté et avait à coeur leur épanouissement et l'ouverture au monde extérieur pour leur bien, la famille Alcocer, que tout le monde pense être les nouveaux Bylilly, a des intentions bien plus égoïstes et une soif de pouvoir dont peu de personnes ont conscience pour le moment. Avec ce forum, nous voulons vous inviter à découvrir un univers nouveau, mêlant sorcellerie et intrigues politiques. Un espace que nous voulons le plus safe et accueillant possible, où vous pourrez jouer ce que vous souhaitez, des situations légères aux moments plus dramatiques, selon vos préférences. Nul besoin de suivre les intrigues que nous vous proposerons, d'être présent tous les jours et de rp toutes les semaines. Nous espérons pouvoir vous offrir avec Delta un endroit où vous pourrez simplement écrire si l'envie est là, développer des liens avec d'autres personnes et passer de bons moments autour d'une même passion.
11 notes · View notes
auboutdespages · 4 months
Text
Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
Tumblr media
12 notes · View notes
Text
Tumblr media
Pause philosophie....
Selon Marc Aurèle (Voir Livre 11, paragraphe 18), voici les 9 points capitaux qu'il est essentiel de mémoriser pour entamer immédiatement une vie pleinement humaine :
1. Nous sommes nés pour être ensemble et avons des rôles différents dans la vie, où certains sont destinés à guider et d'autres à suivre ;
2. Nous devrions examiner comment les autres se comportent et quelles valeurs ils tiennent pour acquises, privilégiant ainsi la compréhension plutôt que la condamnation ;
3. Il faut reconnaître ses propres erreurs et ne pas s'indigner des fautes d'autrui en gardant à l'esprit que si les autres agissent mal, ce n'est probablement pas de manière intentionnelle et cela ne devrait pas nous affliger ;
4. Nous sommes tous susceptibles de commettre des erreurs, donc nous devrions être tolérants envers les autres ;
5. Nous ne pouvons pas être sûrs que les actions des autres sont mauvaises, car nous ne pouvons pas connaître toutes les circonstances ;
6. La vie est courte, donc nous ne devrions pas nous préoccuper de choses insignifiantes ;
7. Les actions des autres ne nous affectent pas directement, mais notre jugement sur ces actions peut nous troubler ;
8. Nos émotions négatives face à une situation sont souvent plus douloureuses que la situation elle-même ;
9. La bienveillance est la meilleure façon de traiter les autres, même ceux qui nous traitent mal.
12 notes · View notes