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#XIXè
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Expo : Photographier en Normandie
Petite visite de l'exposition Photographier en Normandie (1840-1890) au Musée d'Art Moderne André Malraux (MuMa) dans le cadre de Normandie Impressionnisme
(1840-1890) Témoignage de l’évolution artistique et sociale À visiter cette exposition Photographier en Normandie, le public perçoit la témérité des artistes impressionnistes à représenter le réel. Et, l’acharnement d’un Claude Monet à “aspirer” la lumière et ses variations et à établir un lien avec le développement de la photographie. Le courant impressionniste apparaît en 1860 et la…
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japonesices · 1 year
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Bijou chinois (musée des arts décoratifs, Paris)
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Epingle à cheveux
Chine
XIXè siècle
bronze doré et turquoises
achat Siegfried Bing, 1893
S. Bing est le grand marchand d'art qui a fait découvrir l'art de l'extrême-Orient en France et qui a exposé les grands artistes de l'art nouveau
Bijou présenté dans la vitrine sur la Chine de la galerie des bijoux
Musée des arts décoratifs, Paris
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simena · 2 years
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ÉCOLE FRANCAISE du XIXè - Allégorie de l’été
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claudehenrion · 2 years
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Face à face mortel...
  J'ai passé une bonne partie des dernières vacances de Noël à approfondir mes connaissances (superficielles) sur l'intelligence artificielle (ou ''IA'', pour gagner du temps). C'est, pour moi, une nouvelle avenue (une ''terra un peu incognita'', si j'ose ce clin d’œil gallo-romain) que des chercheurs commencent à exploiter ''pour de vrai''. Tout n'est pas clair, il s'en faut de beaucoup, et nous en reparlerons bientôt, sous un angle plus général, voire philosophique –ou ce que ce mot peut signifier pour mon inculture illimitée. Mais si j’ai conclu mon ''édito'' d'hier sur la possibilité d'un ''changement de logiciel'', ce n'était bien sûr pas sans lien avec ce qui suit...
La raison de cette focalisation sur un ''outil'' très récent mais très spectaculaire (que nous décrirons plus bas), c'est que la puissance de cette nouveauté paraît être concomitante et parallèle à un effondrement cognitif, à tous les niveaux de notre savoir, de notre culture et, par conséquence indirecte, de notre jeunesse : tout semble se passer comme si chacun des ‘’pas en avant’’ des progrès disponibles entraînait un plus grand pas en arrière du niveau moyen de notre intelligence, ce ''savoir lire entre les lignes'' au sens étymologique du mot  --du latin ''intellĕgĕre'' (= discerner, comprendre), composé de inter- (= entre) et de lĕgĕre (= lire, choisir).
J'avais l'intention de vous parler d'Intelligence artificielle dans trois ''éditos'' qui ont été écrits pendant ces vacances de Noël (et qui, du coup, ne paraîtront que dans quelques jours, pour vous éviter une indigestion). Mais je suis tombé, pratiquement à la même seconde, (1)- sur la découverte –fantastique, pour moi-- du ''machin'' dont nous allons parler plus bas, et (2)- sur un sondage des Fondations Reboot et Jean-Jaurès qui fiche littéralement la panique en ce qui concerne le devenir des plus jeunes d'entre nous, et en tout cas de la ''génération Tik-Tok'', les ''18--24 ans'' actuels. Cette concomitance inquiétante a précipité le mouvement, d'où ces lignes .
Commençons par le le sondage : on y découvre avec incrédulité que deux ''18 / 24 ans'' sur trois (66%) estiment que ''la science fait plus de mal que de bien'' (NDLR : pour le covid, ils ont eu raison !) et que 17 % pensent qu'elle est néfaste pour l'humanité (le score précédent était stable à 6 %). Plus inquiétant encore, 16 % sont convaincus que la Terre est plate, autant que ceux qui sont persuadés que les Pyramides ont été bâties par des extra-terrestres, et que ceux qui ''savent'' que ''les américains ne sont jamais allés sur la Lune'' (16 % aussi).  ''L'astrologie est une science'' pour 49 % des sondés, et 59 % des jeunes interrogés sont adeptes d'une superstition occulte (extralucides, voyants, marabouts, fantômes, chiromancie, tables tournantes, ''convocation des esprits'', etc...) --contre, et c'est énorme aussi, 21 % des plus âgés. Et encore : 41 % des jeunes estiment qu'un influenceur /-euse qui a beaucoup de ''followers'' (= d'abonnés) est une source d'information fiable pour et hors de son domaine... Il y a de quoi s'inquiéter, d'autant plus que...
Au même moment, l'Humanité est en train d'entrer dans le second millénaire --avec quelque retard, mais c'est très souvent le cas (par exemple, on dit souvent que le XIXè siècle a commencé en 1815, et le XXè en 1914)-- mais en tout cas dans un âge nouveau où la seule vérité restante sera... artificielle ! Elon Musk –qui est, qu'on l'aime ou non, un géant de la pensée-- vient de mettre sur le marché l'outil dont nous allons parler, encore inconnu de la vaste majorité de nos contemporains, difficilement descriptible --et gratuit-- dont le pouvoir de transformation du monde va être, pour longtemps, un point d'interrogation pour les hommes de bonne volonté.
Le processus d'acquisition est simple : on tape ''OpenAI'' (NB : AI pour Artificial Intelligence) sur son navigateur... et le tour est joué ! S'ouvrent alors devant vous plusieurs ''applis'' –une pour les textes, (ChatGPT), une pour les dessins (Dall-E 2), etc. Dès ce pas franchi, on peut questionner ''ChatGPT'' sur n'importe quel sujet, de n'importe quelle manière... et il vous fournira dans la seconde une réponse circonstanciée qui apparaîtra sur votre écran à la vitesse de la lecture. C'est une aubaine absolue pour les élèves et les étudiants, un cauchemar ''Grand C'' pour les profs, et sans doute un point de bascule, à terme, pour l'humanité... Comme j'étais invité, avant-hier soir, à un cocktail pour fêter les 100 ans d'un ami, j'ai demandé à ChatGPT de composer pour lui un ''Poème pour un centenaire'', et voilà le Sonnet que j'ai obtenu, en moins de temps qu'il m'aurait fallu pour... trouver quoi dire :
''Cent ans, cent ans déjà ! Que le temps passe vite ! On se rappelle encore vos jeunes années, Et vous voici centenaire, déjà...                                                         Vous avez vécu tant d'événements, Vu tant de choses changer, Et pourtant, vous êtes toujours debout, Fier et fort, malgré les ans qui vous pèsent.                         Vous avez connu la guerre et la paix, La misère et l'abondance, Et avez vu vos enfants et petits-enfants Grandir et vivre leur propre existence.                             Nous vous admirons pour votre courage, Et pour la sagesse que vous avez acquise, Et nous vous souhaitons encore de longues années                                 Pour continuer à nous émerveiller de votre vie.  Joyeux centenaire, cher ami, Et que cette nouvelle année vous soit douce,                                                              Avec tout notre respect et notre affection, Nous vous souhaitons une vie encore plus heureuse’’.
Dans la foulée, j'ai ensuite demandé à ChatGPT d'écrire pour moi une ''Lettre d'amour au chocolat'' (parce que... ''Il le vaut bien''). Le résultat est ''tombé'' dans la seconde sur mon écran : Mon cher et délicieux chocolat, Tu es la tentation qui me fait perdre la raison, la gourmandise qui me fait craquer à chaque fois. Ta douceur enveloppe mes papilles et me transporte dans un monde de délices.Tu es mon réconfort dans les moments tristes, ma récompense après une longue journée. Tu es mon addiction, ma passion. Je ne peux pas imaginer ma vie sans toi. Chaque bouchée de toi est un véritable plaisir. Ton goût unique et délicieux me fait oublier tous mes soucis. Tu es mon amour sucré, ma raison de vivre. Je t'aime, chocolat. Sincèrement, [Sign your name]. Et voilà ! Ce n’est pas plus compliqué que ‘’ça’’ !
Un autre ''Edito'' à venir vous parlera d'autres demandes faites : ''Qu'est-ce que le ''Woke''... ''Où va l'Ukraine ?''... ''Le moi peut-il se fondre dans le nous ?''. Mais d'ores et déjà, la remarque s'impose que, sans être absolument géniales (encore que la trouvaille ''Chocolat, mon amour sucré'' soit une pépite), les réponses sont bonnes, sensées, ''se tiennent'', sont en excellent français (comme elles seraient en parfais anglais, chinois, arabe, thaï, grec, ou ce que vous voulez : j'ai testé l'Appli dans les sept langues que je pratique : c'est incroyable !), sans une faute de syntaxe ou d'orthographe, avec un vocabulaire riche, et elles ne contiennent pas d'erreur (même si une lourde influence ''made in USA'' les rend très énervantes, par exemple à propos du Woke ou de l'Ukraine !). Mais pour faire de telles réponses, un humain devrait avoir un bon niveau intellectuel, une bonne culture, le sens de la synthèse, et il écrirait mieux que 99,9 % des actuels candidats à tous les examens possibles (NB : combien pourraient soumettre de tels textes ? 5 %, ? Moins ?).
Une fois l'admiration pour l'exploit exprimée, je confesse un certain effroi : l'Homme risque de se trouver en voie d'extermination par redondance. A la fin du cycle d'un progrès incontrôlé, plutôt orienté vers le Progrès lui-même que pour l'humanité, l'Homme va bientôt ne plus servir à rien, ou peu s'en faut...  Au delà de l'attraction-répulsion qu'entraîne d’habitude le progrès, --comme une valse-hésitation sur le thème ''Je t'aime... moi non plus''-- il faut ajouter une dimension nouvelle, le vertige, car Elon Musk, après les fusées récupérables, la colonisation de la Lune qui devient un objectif, après des voitures Tesla, pleines de ‘’choses en plus'' et l'arrêt en cours de l'affreux ''politiquement correct'' sur les réseaux sociaux, propose une rupture technologique qui est un immense bouleversement civilisationnel.
ChatGPT est capable d'écrire un texte ''parfait'' (dans des limites larges), sur n'importe quel sujet, dans une langue châtiée à défaut d'être encore élégante, sans proférer d'énormités, au contraire. Personne ne peut imaginer la suite !
La ridicule rengaine des journalistes ''Plus rien ne sera comme avant'' trouve  ici son sens, enfin : demain, la machine va concurrencer l'homme dans des activités intellectuelles et ''simili-créatives'' jusque là épargnées : non seulement elle calcule et écrit... mais elle analyse, elle compare, elle synthétise, elle soupèse, elle choisit, elle rapproche et elle le raconte ! Et nous ne sommes qu'au début d'une vague qui va prendre des forces en déferlant, pendant que nous sombrons dans de stupides croyances et des superstition. ‘’’La messe serait elle dite’’, déjà, et le sort, jeté ?
H-Cl.
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ÉCONOM@ture & all!éNATION
Si Carey n’avait pas toutes les données disponibles à l’historien d’aujourd’hui, ces dernières ne font que renforcer la validité de son analyse démontrant que la catastrophe irlandaise n’était pas le fait d’une crise malthusienne de subsistance ni même d’une simple catastrophe naturelle, mais celle du libre-échange asymétrique par domination coloniale malthusienne.
Pour comprendre la réaction des élites britanniques et de ses économistes libéraux quant à la situation irlandaise – et subséquemment en Inde, il est important ici de faire un détour sur un autre aspect important de l’économie politique libérale anglaise au XIXè siècle : le malthusianisme. Cette doctrine servit à expliquer les malheurs de l’Irlande par une soi-disant « surpopulation » de l’île…
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coinstree · 1 month
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thomtmexploration · 2 months
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Je visite un Moulin à eau l’Abbé a la Mothe Saint Héray
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La description 👇
Je visite un moulin à eau l’Abbé a la Mothe Saint-Héray (79800).
Moulin à eau créé dès le début du XIè s. en bordure de Sèvre niortaise par l’abbaye de St-Maixent. Moulin à tan au XVIIè s. (usage de poudre d’écorce pour rendre les peaux imputrescibles), il est transformé en moulin à blé vers 1700 et modifié durant le 2è quart du XIXè s. En 1920, le meunier y adjoint une minoterie à reprise dont le mécanisme est inscrit en 1991 à la liste supplémentaire des Monuments historiques (en parfait état de fonctionnement de nos jours). La cessation d’activité remonte aux années 1960. Sa fille célibataire, Madeleine Gélin, le donne en viager à la commune de la Mothe-St-Héray en 1988. Tout est pratiquement à l’abandon. Depuis 1991, l’établissement est aménagé à des fins touristiques. Il accueille, en plus de la minoterie, une exposition permanente sur le thème de la géologie et le musée de la Rosière.
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latribune · 8 months
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vagabondageautourdesoi · 10 months
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Van Gogh à Auvers S/ Oise
Les derniers mois – Musée d’Orsay Rarement, autant de monde à Orsay ! Pourquoi Van Gogh plaît-il autant ? Une telle fascination étonne. Néanmoins, lorsqu’à notre tour, la confrontation avec sa peinture s’opère, l’émerveillement arrive… Et, il est fortement conseillé de réserver ! En deux mois, le peintre a produit 74 tableaux et 33 dessins, parmi lesquels ses œuvres iconiques. L’exposition…
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yes-bernie-stuff · 11 months
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Porter Le Deuil 02/11/2023
Je changerai leur deuil en allégresse, et je les consolerai ; je leur donnerai de la joie après leurs chagrins. Jérémie 31.13
Il est de coutume encore de nos jours de « porter le deuil ». Ainsi, lors des enterrements, nous nous habillons en noir. Au XIXè siècle, les femmes qui venaient de perdre leur époux portaient une robe noire et un voile noir. Elles restaient vêtues ainsi pendant deux ans. Dans le cas du mari qui avait perdu son épouse, le deuil se portait une année seulement.
Quelle période longue et douloureuse cela devait être pour ces personnes endeuillées ! En plus de souffrir moralement, le fait de porter un vêtement noir au quotidien ne faisait qu’amplifier leur douleur.
Même s’il n’en est plus ainsi au XXIè siècle, il n’en reste pas moins que la phase de deuil est toujours douloureuse, voire même très difficile à vivre pour certaines personnes.
En tant que croyants, nous avons l’assurance que nous retrouverons au Ciel ceux qui nous ont précédés. Ce verset de la Bible illustre bien cela : Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts.¹
Que notre cœur soit rempli d’espérance ; apportons à Dieu notre tristesse, car en lui se trouve toute consolation !
Sandra Lascombe
¹ 1 Thessaloniciens 4.14
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 14, versets 1 à 6.
La maison du Père 1 Que votre cœur ne se trouble point ; croyez en Dieu, croyez aussi en moi. 2 Dans la maison de mon Père, il y a plusieurs demeures ; si cela n’était pas, je vous l’aurais dit ; car je vais vous préparer une place. 3 Et quand je serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai à moi, afin que là où je suis, vous y soyez aussi. 4 Et vous savez où je vais, et vous en savez le chemin.
5 Thomas lui dit : Seigneur, nous ne savons où tu vas ; comment en saurions-nous le chemin ? 6 Jésus lui dit : C’est moi qui suis le chemin et la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi. 7 Si vous m’aviez connu, vous connaîtriez aussi mon Père ; et dès à présent vous le connaissez et vous l’avez vu.
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Qu'est-ce que l'histoire de l'art?
Qu'est-ce que l'histoire de l'art? Ce n'est pas l'histoire des arts telle qu'enseignée au lycée, agrégeant musique et littérature aux arts visuels.
Ce n'est pas non plus une matière pour laquelle il n'est pas nécessaire d'avoir une formation particulière, telle que promue par l'Education nationale. Démonstration.
Remarque (authentique) d'un prof pour préparer l'épreuve : "Pour "tenir" (!) 5 mn, choisissez une peinture plutôt que la Tour Eiffel. Vous pourrez parler ligne, couleurs, pour la Tour Eiffel, la couleur...". Ah bon? Pas de couleur, la Tour Eiffel? D'abord, il y a la couleur de la peinture appliquée pour la protéger, qui renvoie à sa structure, et à l'essor des structures métalliques dans les constructions, donc à la modernité du XIXè s. #tourEiffelencouleur http://www.dhistoire-et-dart.com/GranetAIlluminationTourEiffel.jpg
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Ensuite, aujourd'hui comme par le passé, la couleur peut passer par des illuminations, qui soulignent son caractère monumental autour que le réseau de lignes qui la tissent, bref son impact visuel impressionnant. La tour est, de fait, le support de célébrations qui scandent son histoire, des différentes expositions internationales jusqu'aux dates particulières du calendrier. (@ suivre...)
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christophe76460 · 2 years
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QUESTION DU JOUR
Pasteur, Prophète, Évangeliste, Doctor dans la foi et les autres leaders dans la foi soyons hospitalier mais hospitalier d'une hospitalité équitable. Que votre hospitalité envers Monsieur A soit les mêmes envers Monsieur B, que votre hospitalité envers Mme X soit le même envers Mme( votre femme mérite la grande hospitalité), que l'hospitalité entre vous et les gens de la classe de la bourgeoisie, les gens aisé, les riches soit les mêmes hospitalité entre vous et le prolétaire, le pauvre car en faisant, la désunion, les disputes, les divisions sur ce point est éliminé et lorsque vous faites la parole de Dieu nous dit que votre lumière poindra comme l'aurore et la guérison dans votre vie, votre ministère, votre famille et partout germira promptement dans le nom de JESUS-CHRIST.
Souvenez vous, encore de plus, soyez hospitalier d'une hospitalité équitable, merveilleuse envers tous. Si vous considérer les pauvres et vous échangez correctement ensemble ainsi qu'avec les riches ça ne change rien en vous, votre onction est toujours là, votre foi est toujours là, rien ne change en vous, pourvu qu'ils soient des chrétiens sauvé par la grâce de Dieu et ensuite tout vas bien, soyez accessible à tout le monde mais vigilants, méfiant.
Le ciel est ouvert à tout le monde, soyez ouvert dans la sainteté totale à tout le monde, plus discrimination, je veux dire plus de chaises pour les pauvres a part où souvent on met des chaises du XIXè siècle pour eux et les chaises des riches où on met des chaises de divan, pour eux, non arrêtez ça, plus de salle des pauvres à part et la salle des riche a part et autre chose de plus arrêtez ça. Nous sommes tous frères et sœurs dans la maison de l'Éternel, nous sommes les mêmes alors je vous en prie, il faut que cela s'arrête, car le Seigneur ne prend point à ça.
Est-ce que vous avez compris et retenue quelque chose de ceci ?
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elwenn-dreaming · 2 years
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J'ai vu tes tags sur "la petite mort", et pareil, j'ai seulement entendu des anglophones l'utiliser. À tous les coups ça doit être une vieille expression du XIXè ou d'encore avant qui est passé dans le langage anglais mais qui est sorti du nôtre. Genre comme "connoisseur", plus personne n'utilise cette orthographe en France de nos jours, pourtant c'est toujours utilisé en anglais. Ou encore, "sacrebleu"
Ça doit être ça ! Encore que j'ai entendu sacrebleu utilisé, même si c'est plus volontairement usagé que réellement usité. Tout comme jarnicoton et l'imparfait du subjonctif.
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annesowine · 2 years
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Château Pédesclaux à Pauillac: une architecture unique !
Château Pédesclaux à Pauillac: une architecture unique !
J’ai profité de mon été 2022 pour visiter cette propriété du Médoc et j’ai été impressionnée à la fois par la beauté du lieu, sa modernité et sa technologie de pointe. Je ne peux que vous recommander de vous rendre à Pauillac pour en prendre plein les yeux et plein les papilles ! 1. Histoire Le domaine a été crée au début du XIXè siècle par Pierre-Urbain Pédesclaux, courtier en vins au quai des…
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ÉCONOM@ture & all!éNATION
Les problèmes que soulèvent Carey entre la quantité de monnaie, les taux d’intérêt et la croissance furent traités à l’époque présmithienne, négligés par les classiques anglais et repris ensuite par Keynes, mais personne ne mentionne les travaux de Carey et de ses collègues protectionnistes américains, qui sans être originaux, rappellent que ces questions ne furent pas négligées au XIXè siècle comme l'affirment des historiens
Comme nous l’avons vu au premier chapitre, Adam Smith avait identifié, de manière erronée, la préoccupation de la balance commerciale positive avec l’erreur prétendue de confondre la richesse avec l’or. De plus, Hume, dans sa théorie du « price specie flow mechanism » stipulait qu’il n’y avait aucun problème à ce qu’il y ait plus d’or ou moins dans le pays, car les prix sont totalement dépendants…
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verdi-alain · 2 years
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L'Unité des pays européens : l’exemple italien, vraiment hors-normes ?
Au 19è siècle l’Allemagne et l’Italie deviennent des États unifiés. Seule la péninsule héritera de mafias. Motif : « une étatisation manquée ». Ces organisations criminelles sont en « symbiose » avec une partie de la société. Des élites politiques et économiques forment un triangle avec la criminalité. On les retrouve au sein de loges maçonniques « dévoyées », dans une clandestinité… apparente
Alain VERDI le 23 Octobre 2022
Des unités politiques variées
En Europe, essentiellement en Italie, l’apparition d’organisations criminelles nommées mafias commence à être observée dans la seconde moitié du 19ème siècle. Au cours de ce siècle et bien avant, le banditisme était particulièrement développé dans la totalité du continent européen, avec des intensités différentes selon les pays. Par « pays », il faut entendre une multitude d’États, sous des formes variées : royaumes, petits et grands, principautés, villes-États, duchés, États nations... Cette dernière forme, telle qu’elle est connue aujourd’hui, n’était pas uniformément répandue. Au 19ème siècle, une partie des États actuels étaient en voie de formation. C’était le cas de deux grandes entités contemporaines, l’Italie et l’Allemagne. Ces deux pays ont connu le banditisme, à des degrés divers. Seule l’Italie a vue une partie de ce banditisme se transformer en mafias. L’unité de l’Italie et de l’Allemagne s’achèvent à la même période. Pourtant le banditisme allemand restera « ordinaire », ce n’est pas le cas de l’italien. Pourquoi cette divergence, dans deux pays qui affichent une unité politique, presque en même temps ? La réponse doit être cherchée dans l’organisation politique de cette unité. Nous regarderons (rapidement) le cas de la France et de la Russie, pour constater que le banditisme russe  -ancien, mais atténué et/ou masqué, sous le régime soviétique- a produit des systèmes mafieux à la suite de la dislocation de l’URSS. La faiblesse des États contemporains, à un moment M, semble transformer la criminalité « ordinaire » en mafia. En France l’existence d’un État fort  et ancien paraît avoir contenu le banditisme sous un seuil relativement « acceptable ». Seule la Corse  semble faire exception. Elle demeure le fil rouge de la longue série d’articles publiés sur ce blog.
 Faiblesse des États, puissance des « Princes »
Je mets des guillemets au mot « Princes » pour que l’on comprenne qu’il s’agit d’un mode de pouvoir particulier  -généralement autocratique et violent- et non pas d’un titre nobiliaire, dans une simple principauté.
L’historien français Fernand Braudel, spécialiste de la Méditerranée, nous rappelle qu’au XVIè siècle, le banditisme est « niché dans des zones de faiblesse des États ». Faiblesse des États, mais puissance des « Princes ».
Au XIXè siècle, la « mafiosisation » est en cours de formation en Italie. L’exemple italien est frappant. On y trouve des bandits au service des différents « Princes ». Le pays est encore divisé en plusieurs entités. En ne réussissant pas entièrement son unification, l’État italien unifié se retrouve face à des contre pouvoirs au service des nouveaux « Princes » qui contrôlent les zones méridionales. Avec le passage d’une myriade de structures politiques, à un grand État, les anciennes bandes de bandits se transforment en mafias contemporaines. Oui mais, peut-on rétorquer, les autres États qui se sont formés à partir de leur anciennes structures n’ont pas vu leurs bandes devenir mafias. A l’exemple de l’Espagne (décrite par F. Braudel), la réponse paraît simple : ces États ont mieux aggloméré (par un mélange de violence et de récupération) les « Princes » et leurs « supplétifs », les bandits. 
La forme politique de l’État n’intervient pas dans la formation  -ou non- des mafias. Les mafias italiennes se forment sous une royauté et poursuivent leur existence sous la République.
 En Russie le banditisme, contenu par le régime soviétique de l’URSS (1922-1991), a laissé place à un certain nombre d’organisations criminelles, qualifiées de « mafias ». Confer Isabelle Sommier (Les mafias).  
Dans les exemples italiens et russes, nous voyons que la formation de ces mafias correspond bien à des faiblesses des États :
En formation pour l’Italie.
En restructuration pour la Russie.
En Russie, le vide laissé par la disparition de l’ancien régime est immédiatement comblé. Une partie importante des anciens dirigeants régionaux (15 Républiques « autonomes ») ont conservé le Pouvoir, par la force (qu’ils possédaient déjà sous l’URSS)  et par la corruption (qui n’était pas absente sous l’ancien régime). Ces formes régionales puissantes s’intègrent, à leur manière (violence, corruption…) au nouvel État,  la Fédération de Russie (Communauté des États Indépendants).
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La CEI comprend 9 des anciennes Républiques soviétiques. En fait, la Russie actuelle est constituée d’une dizaine d’entités de formes variées : Républiques, Oblast, Districts etc. Dans la situation actuelle (tension en Europe),  il serait intéressant d’étudier en détail les rapports de Pouvoir entre l’État central et ces entités. Avis aux chercheurs.
Pour l’Italie,la continuité mafieuse est mieux documentée. Des principautés aux royaumes, puis à la République (1946), en passant par la parenthèse fasciste (1924-1943), l’activité des mafias s’est poursuivie. Non seulement elle n’a pas disparu ,mais la plupart des observateurs estiment que ce système prend de plus en plus d’importance. Nous pouvons constater qu’une certaine faiblesse de l’État italien demeure, depuis sa création (1866) à nos jours.
 Le jeu politique ambigu joué par la plus grande part des partis politiques italiens, face au phénomène mafieux, n’aide pas à la résolution du problème. Au contraire il l’alimente.
L’on peut rétorquer que ces deux exemples (Russie et Italie) sont hors normes. Pourtant, force est de constater que ces mafias étendent leurs activités et surtout que la « mafiosisation » semble devenir une règle dans le monde. Il faut entendre par « mafiosisation » une interpénétration entre la criminalité organisée et les pouvoirs politiques et économiques.
Comme dans les exemples russes et italiens, c’est bien le rôle des États qui représente l’enjeu principal.
 La France, une place à part ?
Quelle est la place de la France dans cette problématique ? Sans refaire ici l’Histoire de France, nous pouvons retenir que l’État français est ancien. Sous la royauté, il s’est constitué contre les Barons. La République s’est construite, en partie, contre les Pouvoirs régionaux (Jacobins contre Girondins). La République française a renforcé la constitution d’une administration cohérente du pays, avec des nuances en Corse. De son côté, le Pouvoir unificateur italien a dû consentir à des concessions aux notabilités méridionales.  C’est la thèse de l’Étatisation manquée.
La faiblesse de l’unité administrative est l’une des portes d’entrée des mafias. Pressés par le temps, les unificateurs italiens n’ont pas achevé le travail. En 1861, Massimo d’Azeglio (penseur du Risorgimento) avait raison : «  Fatta l’Italia, bisogna fare gli italiani » (L’Italie est faite, il reste à faire les Italiens). Plus de 160 ans après, la mission n’est pas entièrement accomplie.
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Une unité récente et trop rapide (1859-1871) peut expliquer, en partie, les limites de la construction de l’État italien.
A la même époque se réalise l’unité de l’Allemagne. Son projet politique s’appuie sur, au moins, deux piliers : la langue et l’existence antérieure d’un Saint Empire Germanique (de l’An mille à 1806). Cet empire était, en réalité, un conglomérat d’entités disparates (villes, principautés, duchés…).La langue principale n’était pas l’allemand. L’unification de l’Allemagne (1871) se fera sous l’égide de la langue allemande. Pour comprendre l’esprit du nationalisme allemand contemporain, on peut lire Retour à Berlin de Brigitte Sauzay. Plus important que le territoire, le droit du sang l’emporte sur le droit du sol.
Allemagne et Italie sont considérées comme unifiées en 1871. Dans ces deux pays, une langue domine, même si l’on y pratique des langues régionales et/ou minoritaires.
Il faut donc aller chercher ailleurs les causes de la faiblesse administrative et son corollaire, les mafias.
Ce qui créait la division, en Italie, c’est bien la situation économique et sociale. Le contenu du débat politique sur les causes de cet écart Nord-Sud ne participe pas, avec succès, à une meilleure unité des Italiens. Pour s’en convaincre, nous pouvons écouter le podcast « Aux origines de la fracture Nord-Sud » sur France Culture, dans l’émission « Entendez-vous l’éco », 30 Mars 2021.
Le bilan économique est réalisé, il reste à analyser les causes politiques.
L’Allemagne a su surmonter ses divisions historiques et passer outre ce que l’on avait l’habitude d’appeler « des querelles d’Allemands ». Le pays était divisé, jusqu’au milieu du 19ème siècle, en plusieurs États, principautés, ville-États… Les Allemands ont eu leur unificateur, Otto Von Bismarck et leur État développé, la Prusse. Cette dernière a joué le rôle moteur dans la construction d’une Allemagne unifiée.
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L’Italie a eu son unificateur, Cavour (Camille Benso, comte de Cavour) et sa région développée, le Nord. La comparaison s’arrête là. Les mœurs et traditions politiques étaient différentes. Bien que possédant des niveaux de développement différents, les nombreuses entités constitutives de l’Allemagne se sont retrouvées autour d’un socle minimum. La puissante Prusse a réussi à ne pas donner l’impression d’écraser et de mépriser les entités les moins développées. Une chose est intéressante à observer, c’est sous le régime d’un État providence autoritaire que sera institué un système de Sécurité Sociale pour tous. A l’interne, l’autoritarisme germanique était tendu vers une efficacité économique, aidée par un calcul social. Rien de tel en Italie, où l’autorité du jeune royaume parlementaire, d’essence libérale, s’est heurtée à des résistances de nature féodale (propriété foncière, gestion violente des rapports sociaux…), dans le Mezzogiorno. Il ne s’agit pas de dire, ici, que le Nord était un modèle de socialisme. Simplement l’opposition politique Nord-Sud n’a pas été levée, au détriment des habitants.
Les compromis concédés pour arriver à l’unité (Risorgimento) n’ont finalement pas débouché sur une harmonisation économique et sociale et donc politique. Que ce déséquilibre soit l’Alpha et l’Oméga de l’existence des mafias, me paraît indéniable.  Le système mafieux s’est d’abord consacré au contrôle du territoire où vivent ses clans, en accumulant du capital social (et aussi des biens matériels). Aujourd’hui, il s’agit de contrôler les ressorts de l’économie et donc une partie du capital financier, en maintenant le contrôle territorial. Clotilde Champeyrache parle de « (…) positionnement à cheval sur la sphère légale et la sphère illégale » In L’infiltration mafieuse dans l’économie légale.
 Mafias et Politique, qui commande qui ?
La relation entre criminalité organisée et monde entrepreneurial tombe sous le sens. Pas d’affaires sans entrepreneurs, qu’ils soient contraints ou associés, sans être membre d’un clan.
Ce qui est le plus difficile à démontrer, juridiquement, c’est le rôle du Politique. Ce dernier vote les lois sur tous les domaines qui intéressent la criminalité : l’économie, le social, la Justice…
Dans quel sens fonctionne l’influence ? Est-ce que ce sont les mafias qui contrôlent le Politique ou bien est-ce le contraire ? Les analyses diffèrent.
Le repenti, Antonino Calderone, est affirmatif : « il n’y a personne au dessus de Cosa Nostra (…) qui nous donnerait des ordres. Ce sont les mafieux, tout au plus, qui donnent des ordres aux hommes politiques, même indirectement (…) ». In Les hommes du déshonneur. Une version qui semblait partagée par le Juge Giovanni Falcone : « personne ne donne d’ordre à Cosa Nostra ». De fait, l’enquête et le « maxi procès »  (1986-1987) ne visaient que des boss et des exécutants du versant criminel de l’organisation. Les juges Falcone et  Paolo Borsellino ont laissé transparaitre un motif : « il ne fallait pas se disperser et risquer de diluer les débats ». C’était une occasion rare de juger et condamner des dizaines de mafieux. Mais G. Falcone croyait-il vraiment que le Politique ne donnait pas d’ordres à Cosa Nostra et que c’est la Mafia qui ordonne ? Le juge n’est plus là pour répondre (assassiné en Mai 1992).
Cependant, on peut estimer que cette mise de côté du rôle des politiques n’était qu’une stratégie : d’abord, faire condamner des voyous de haut vol et ainsi s’approcher de la sphère politique. D’une certaine façon, c’est le « repenti » Tommaso Buschetta qui en fera la démonstration. Durant les interrogatoires, menés par G. Falcone, il n’avait pas abordé le rôle du Politique. Il le fera après l’assassinat du juge « par respect pour lui ». T. Buschetta devient «repenti » en 1984, mais n’abordera les liens Mafia-Politique qu’en 1995. Automatiquement, les Pouvoirs cherchent et trouvent des parades pour se protéger. T. Buschetta le dénonce dans un entretien au quotidien La Repubblica. Les auditions de Tommaso Buschetta, devant la commission parlementaire « anti mafia » peuvent être écoutées en ligne, voir lien en fin d’article.
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Dans les années 80, les boss de Cosa Nostra et des Politiques ont dû comprendre la stratégie du magistrat. Son assassinat n’est pas seulement une vengeance pour le verdict du « maxi procès », c’est aussi une précaution pour empêcher la réussite de la « stratégie » de G. Falcone et de P. Borsellino, viser les voyous pour atteindre le Politique.
 Alors, qui commande ? Et si la question était mal posée ? En fait, la structure du système mafieux ressemble à une interaction. Pour schématiser, il faut des hommes politiques pour voter des lois protectrices, afin que les criminels commettent leurs forfaits, en toute impunité. Mais il ne s’agit pas d’une simple bande de malfrats, qui auraient quelques relations politiques. Comme disait A. Calderone « Nous, on est des hommes d’honneur. Et pas seulement parce qu’on a prêté serment, mais parce qu’on est l’élite du crime. On est très supérieur aux délinquants ordinaires. On est les pires de tous » In Les hommes du déshonneur, déjà cité.
Pour boucler la boucle, il faut des entrepreneurs pour faire fonctionner les affaires. Cela débouche sur la création d’une novelle classe, la « bourgeoisie mafieuse ».
Criminalité, Politique (y compris les administrations nationales et locales) et entrepreneurs, sont les trois piliers du système mafieux. Réserver le terme Mafia à la criminalité est une erreur. Il faut avoir la discipline intellectuelle d’inclure les deux autres sphères. La Mafia, c’est la connexion de ces trois mondes au sein d’une même organisation. Ce système a besoin, pour se protéger, de laisser croire que seul le bras armé constitue Cosa Nostra. Ce raisonnement est valable pour les autres mafias.
Antonino Calderone et d’autres « repentis » surestimaient, sans doute, la « branche voyous » de Cosa Nostra et/ou voulaient se protéger en minimisant le rôle du Politique, en affichant une autonomie de son organisation « De ça, je suis sûr, Cosa Nostra est autonome ».
A la lecture des déclarations de plusieurs repentis siciliens, le schéma des relations Mafia-entrepreneurs serait le suivant : Cosa Nostra « protège » les gros, prélève sa «dîme » et crée des entreprises, petites ou de taille moyenne. Dans l’ensemble cela donnerait le détail suivant :
De grosses sociétés nationales, ou internationales, acceptent une « protection » (le racket) pour exercer sur le « territoire » d’une famille mafieuse. Ces « gros » gardent leur autonomie sur les marchés extérieurs aux zones mafieuses. Elles conservent également leur autonomie sur leur actionnariat et leur capacité globale de financement. Bien sûr, les mafias peuvent exiger l’embauche de certains de leurs affidés, dans des emplois réels ou fictifs. Grace à leur capacité d’autofinancement (drogue, racket…) les mafias peuvent participer « en direct » au capital de certaines entreprises régionales, mais aussi nationales ou étrangères. C’est une des méthodes de blanchiment de l’argent sale. Les autorités considèrent, aujourd’hui que, dans les grandes « régions mafieuses », la majorité du secteur économique est en grande partie dans les mains des familles mafieuses. « Près de 80% en Calabre ».
Cet énorme contrôle soulève, au moins, deux problèmes : économique et juridique.
-Sur le plan juridique, comment considérer les responsables d’entreprises qui opèrent en « territoire mafieux », grâce à « la protection » contrainte ? Sont-elles victimes ou complices ? Sans doute les deux. Pour essayer, notamment, de faire le tri et d’empêcher des personnes ou des sociétés non mafieuses de s’allier  -même temporairement- à des mafieux, le législateur a adopté le délit ce « concours externe en association mafieuse »(1994) L’idée de cet article de loi est de couper les liens qui peuvent être établis entre les mafias et des participants extérieurs, de façon temporaire ou prolongée. Son application « de jure » rencontre une série de difficultés, comme le détaille le juriste italien Marco Venturoli. Pourtant, arriver à couper ce lien, ce serait amorcer la mort des mafias.
-Sur le plan économique, les conséquences sont nombreuses.
Le marché est faussé, la concurrence est impossible. Des entreprises « saines » sont détruites et leurs dirigeants sont éliminés et disparaissent, ou bien elles sont « absorbées » par une famille mafieuse. 
Globalement cela signifie qu’une partie de certains secteurs économiques est gérée  -« en direct » ou par des sociétés écrans- par des clans mafieux. Dans les zones mafieuses, le secteur financier et l’accès aux crédits (privés et publics) sont sous contrôle. Les entreprises mafieuses s’autofinancent  (argent sale) et/ou contraignent les organismes de crédit à leur accorder des prêts à des conditions avantageuses, tout en refusant des crédits à d’éventuels concurrents (non mafieux, ou membres de clans adverses). Le préfet de Palerme, Carlo Alberto Dalla Chiesa, résume le rôle des banques dans le jeu mafieux : «Les banques savent très bien, depuis des années quels sont leurs clients mafieux » entretien au quotidien La Repubblica (10 août 1982). Ce processus fonctionne, principalement, dans les « régions mafieuses ». Il a pour conséquence de limiter une grande partie de l’activité économique aux entreprises tenues par les clans et de restreindre la diversité des secteurs économiques présents sur le marché.
 La nature des biens et entreprises « mafieuses » saisis nous donne une idée des secteurs économiques où les organisations criminelles investissent. C’est ce que nous montrent les données collectées par l’ANBSC (Agence italienne de recouvrement et de saisie des biens criminels) et mises en forme dans un travail universitaire réalisé à la demande du syndicat CGIL (Confederazione Generale Italiana del Lavoro). Les données portent sur les entreprises confisquées, par secteurs d’activité. Dans les graphismes, ci-dessous, nous pouvons observer les secteurs où sont effectuées les saisies, dans quatre régions italiennes. Trois « régions mafieuses » (Calabre, Sicile, Campanie) et une non mafieuse, l’une des plus riches d’Italie (Lombardie).
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Les graphismes des saisies de biens mafieux montrent les secteurs où les clans investissent leurs gains criminels. Une étude plus poussée, sur l’activité économique globale de ces régions, confirmerait des analyses empiriques : l’économie mafieuse se calque, en grande partie, sur l’économie de ces régions. Avec des nuances, cependant. A la lecture attentive des graphismes ci-dessus, nous constatons que (par exemple) pour les saisies dans le secteur « hôtels-restaurants », le pourcentage n’est pas élevé, dans les trois « régions mafieuses ». C’est simple à comprendre : les propriétaires payent le pizzo (racket) et demeurent… propriétaires. Les mafias gagnent sur deux tableaux : le financier et celui du capital social. En Lombardie, la part plus élevée du même secteur (« hôtels-restaurants ») ne représente que les saisies, mais ne correspond pas au pourcentage du nombre d’entreprises « hôtels-restaurants » de cette région. Dernier point, cette étude doit être nuancée, car les « organisations criminelles », qui se voient saisir des biens, ne sont pas toutes des mafias. Il faut savoir que, dans les trois « régions mafieuses », Le racket reposant sur le principe de la protection extorquée, les mafias ne laissent pas de place aux voyous hors clan. Pour la Lombardie,  où les mafias sont aussi présentes, le terrain du racket est mieux réparti entre clans mafieux et criminalité « ordinaire ».
Une seule certitude se dégage, les clans mafieux italiens investissent l’argent des trafics dans toutes les régions d’Italie et dans plusieurs pays étrangers. Cela ne peut pas être sans conséquences pour l’économie de ces régions et de ces pays.
 Les cavaliers d’industrie
L’expression « cavalier d’industrie » ou « cavalier d’entreprise » revient souvent dans la presse italienne. Elle désigne, le plus souvent, des associations d’entreprises et d’entrepreneurs regroupés pour mieux emporter des appels d’offres et être plus efficaces sur des marchés. Mais certains de ces « cavaliers » ont enfourché un cheval nommé Mafia. L’histoire des relations entre les organisations criminelles et des entreprises dessine une partie du fonctionnement de l’économie italienne.
L’entreprise Costanzo, comme une parabole
La société bâtie à Catane (Sicile) par la famille Costanzo est fondée en 1877. Elle va se développer dans plusieurs domaines, notamment, le bâtiment, l’agriculture et l’industrie. L’entreprise diversifie ses activités après la 2ème guerre mondiale, sous l’égide de deux petits fils du fondateur et entrera dans le « Top 10 » des sociétés italiennes de construction. Ses chantiers s’étendent au Nord du pays et à l’étranger. Cela pourrait ressembler à une réussite entrepreneuriale, courante lors des années du « Miracle économique Italien » (1958-1963). Seulement voilà l’histoire se passe à Catane. L’entreprise obtient un gros marché à Palerme. Ce qui met la puce à l’oreille des autorités judiciaires.
 Selon « le repenti » Antonino Calderone, la société Costanzo était « protégée » par le clan mafieux dirigé par son frère Giuseppe Calderone. A. Calderone déclare dans ses « confessions », avoir rencontré un des deux frères Costanzo dans leur entreprise « pour encaisser une facture » et s’être entendu dire (Mai 1982) « l’arrivée de Dalla Chiesa est un vrai malheur » et que « (…) ce général était un type extrêmement dangereux ». In Les hommes du déshonneur, déjà cité. Effectivement, dès sa prise de fonction (Mai 1982), le préfet demande des informations sur plusieurs entreprises de Catane, dont celle des frères Costanzo. La dernière interview accordée par le préfet est recueillie par le journaliste de La Repubblica, Giorgo Bocca,  un mois avant l’assassinat. On peut y lire cette phrase du préfet, facile à décoder : « Avec le consentement de la mafia palermitaine (la plus puissante NDLR) les quatre plus grandes entreprises de Catane travaillent à Palerme ».
Le général sera assassiné en Septembre 1982.
Ces « quatre entreprises » seront surnommées « les quatre chevaliers de l’apocalypse mafieux » expression employée par un journaliste sicilien, Giuseppe Fava, dans sa publication I Siciliani (Jan. 1983). Il sera assassiné par Cosa Nostra en 1984.
Qui contrôlait qui ? D’après les déclarations d’A. Calderone, les bénéfices retirés par son clan, auprès de l’entreprise, étaient minimes. Mais le « repenti n’a pas peur de se contredire, d’une certaine façon : « Cette fréquentation étroite (avec les frères Costanzo NDLR) (…) il était inévitable que l’un d’entre nous, de loin en loin, ne caresse l’idée de devenir aussi riches qu’eux et les remplacer ».  Et de poursuivre : « (…) d’ailleurs, grâce à qui ils ont gagné tout ce fric (…) grâce à nous ». A. Calderone semble minimiser l’importance du poids de son clan dans sa relation avec l’entreprise, tout en admettant qu’il la protégeait. Poursuivi, avec d’autres « cavaliers » pour évasion fiscale et « association délinquante », un délit non mafieux, les « cavaliers » Costanzo, échapperont aux foudres de la Justice (non lieu). Une justice dévitalisée par la nomination d’un concurrent « douteux » au poste convoité par G. Falcone au Syndicat Supérieur de la Magistrature (très puissant en Italie). Le nouveau nommé défera le pool anti mafia co-organisé par G. Falcone. Les révélations d’A. Calderone sur les liens Costanzo-Cosa Nostra seront minimisées. Bilan : la Justice plie, les politiques se taisent et l’entrepreneur passe à travers les gouttes. Etait-il complice ou victime ? En tout cas la « protection » de Cosa Nostra a participé à la richesse de son groupe. Cet exemple est symptomatique des relations entre les mafias et les grosses entreprises. En 2013, la Justice soupçonnera Silvio Berlusconi d’avoir « signé » un pacte avec la Cosa Nostra. Cette dernière aurait « protégé » la croissance des entreprises du groupe Berlusconi (1974-1992).  Poursuivi dans de nombreuses affaires (faux bilans, corruption, faux témoignage, pots de vin…) il sera absous plusieurs fois (acquittement, non lieu, amnistie…) et ne sera condamné qu’une seule fois (1995), à 3 ans de prison et une forte amende, pour corruption. Il est dispensé de peine (prescription). A quelques années d’écart, les deux affaires (Costanzo et Berlusconi) se ressemblent sur la forme. Le surnom de S. Berlusconi est « il cavaliere », le cavalier…
Maçonnerie « déviante », les liens « invisibles »
Pour que toutes ces strates de la société soient reliées entre elles par un système de Pouvoir, il faut une organisation. Elle doit être efficace et  très discrète, presque secrète. Les cérémonies d’intronisations des mafias italiennes ressemblent à un mélange de croyances chrétiennes et d’ésotérisme. En résumé, l’ésotérisme consiste à garder ses objectifs et les méthodes pour les atteindre, inconnus des « profanes ». Seuls certains individus sont « initiés ».  C’est ce même ésotérisme qui prévaut dans les loges maçonniques, à  ceci près que les objectifs affichés de la Maçonnerie ne sont pas les mêmes que ceux des mafias. Qu’à cela ne tienne, les objectifs d’une loge maçonnique peuvent être détournés, dans la clandestinité.
« Massoneria deviata » (maçonnerie détournée ou déviante) c’est l’expression employée en Italie pour désigner un système ésotérique ancien (la franc- maçonnerie) détourné de ses buts, pour des visées criminelles et politiquement réactionnaires.
Les liens entre Mafia, extrême droite et loge maçonnique ont été connus du grand public avec l’affaire de la « loge P2 » (Propaganda due). Cette loge ancienne (1877) a été récupérée et détournée par un système de Pouvoir alliant les parties les plus violentes de la société italienne : d’anciens membres du Parti National Fasciste, un banquier véreux,  des responsables des services secrets, des alliés de Cosa Nostra….  De discrète (logique en maçonnerie « normale ») la P2 est devenue clandestine, au début des années 70. Il ne s’agit pas, ici, de refaire l’histoire de cette loge, mais de signaler qu’elle comprenait une liste impressionnante de notables civils et militaires qui œuvraient à « un changement de la démocratie italienne ». Dans une partie de la liste des membres, dévoilée en 1981, l’on trouve le nom de Silvio Berlusconi.
 L’affaire de la loge P2 n’est pas un cas unique. Dans le dernier quart du 20ème siècle, des chefs de clans de la « ‘Ndrangheta »auraient décidé d’investir des loges maçonniques, en Calabre et ailleurs. C’est la thèse que présente, notamment,  Jacques de Saint-Victor. L’on retrouve, dans ces loges « détournées » les mêmes catégories de notables qui composaient la P2. La thèse d’un détournement récent de certaines loges doit être comprise comme l’une des formes qui unissent le Politique et la criminalité organisée en Calabre.  Maintenant, on se doit de poser la question : comment et pourquoi autant de notables ont-ils adhéré à cette démarche ? La réponse paraît évidente : il existe des conjonctions d’intérêts entre eux et les organisations criminelles. Il n’est donc pas certain que ce soient des chefs de la ‘Ndrangheta qui aient amorcé, seuls, cette « fusion ». Il faut, sans doute, parler de convergences.
Cette convergence, « ce réseau invisible » sont décrits par le procureur anti-mafia de Calabre et le chercheur Antonio Nicaso : « Je m’en occupe personnellement ». C’est une des phrases les plus utilisées dans les conversations interceptées par les enquêteurs, qui fait référence à ce « monde du milieu » dans lequel les mafias s’entremêlent avec la franc-maçonnerie et les grandes entreprises, jusqu’à ce qu’elles ne fassent qu’une seule et même chose ». In La rete dei invisibili.
Ces convergences ont débouché sur une formule : Massomafia.
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Cette convergence est ancienne, comme le dit la Commission parlementaire d’enquête « sur le phénomène des mafias » (Sénat-chambre des députés) : «(…) depuis des temps immémoriaux, la question de l'infiltration mafieuse en franc-maçonnerie a fait l'objet de poursuites pénales et de rapports de commissions parlementaires précédentes (…) ». Rapport de la Commission (Février 2018) page 248.
Convergence banques-Mafia, un exemple parmi d’autres
En 2015, une enquête fait état de liens entre un gros entrepreneur sicilien accusé d’être en « odeur de mafia » et des dirigeants de la grande banque italienne UniCredit. Deux de ces banquiers seront poursuivis, dont le vice-président. Le versant bancaire de l’enquête ne semble déboucher sur rien, à ma connaissance. Aucune complicité n’est attribuée aux deux dirigeants, mais cette affaire montre une chose : les responsables d’une des plus grandes banques d’Italie savaient… comme pour les banques anglo-saxonne touchées par des affaires de blanchiment d’argent des narcotrafiquants. Vous avez dit convergences...  
Une actualité… convergente
Nous avons pu observer que l’unité « réussie » de l’Allemagne n’a pas produit de Mafias allemandes et que l’unité italienne s’est faite sur la base d’une « étatisation manquée ». Ce travail, inachevé, a donné des mafias, en Italie.
L’on peut rétorquer que l’Allemagne a produit Hitler et les abominations du régime nazi. L’on peut noter, également, que l’Italie a s’est donnée, avant l’Allemagne, un régime fasciste, avec son cortège de violations des libertés publiques. Enfin, nous retiendrons que ce régime ne s’est attaqué qu’à « l’aile militaire » des mafias, se gardant bien de toucher à  « l’humus mafieux », c'est-à-dire ce qui produit un « besoin de mafia » (de Saint-Victor).
Aujourd’hui, alors que l’Europe réentend  le bruit de bottes et le son du canon, des mouvements politiques d’extrême-droite ont le vent en poupe sur ce continent. L’Italie, décidément « laboratoire politique européen », s’est dotée d’un gouvernement dirigé par une Présidente du Conseil (Première Ministre) issue d’un parti héritier du fascisme. Ironie (amère) de l’Histoire, Georgia Meloni est désignée à ce poste, un siècle après la marche sur Rome, qui allait déboucher sur plus de vingt ans de régime dictatorial. Est-ce que l’Histoire bégaie ? Parallèlement à la situation italienne, nous observons une Allemagne démocratique qui réarme, même chose pour le Japon démocratique.
En tout cas, force est de constater que les systèmes mafieux « à l’italienne » se sont étendus en Europe. A travers les époques, les mafias se sont adaptées à tous les régimes politiques. C’est « normal », puisqu’elles ne sont pas des « nouveaux États » mais des parasites. La période actuelle s’annonce agitée, ces mafias auront certainement leur fonction : parasiter les États et accompagner les Pouvoirs les plus conservateurs.
Il faut rappeler que l’idée de base de ce blog, est de poser la question : Corse : Mafia or not Mafia ? La méthode : décortiquer les systèmes mafieux, là où ils sont le mieux documentés   -Italie, Japon-  pour essayer de voir s’il existe des éléments de comparaison pertinents. Le lecteur peut faire le tri.
Les prochains articles seront recentrés sur la Corse. Nous verrons, d’abord, que les liens entre les bandits, le Politique et des entrepreneurs n’est pas nouveau. Nous regarderons, ensuite,  la genèse et l’évolution du système clientélaire et nous essayerons de voir s’il est le ferment d’un système mafieux.
Alain VERDI le 23 Octobre 2022
Bibliographie 
Les bandits. Hobsbawm. Ed.  La Découverte
Les mafias. Isabelle Sommier. Ed. Monchrestien 
Les hommes du déshonneur. Les stupéfiantes confessions du repenti Antonio Calderone. Pino Arlaccchi. Ed. Albin Michel
La rete dei invisibili. Nicola Gratteri-Antonio Nicaso. Mondadori Ed.
Les dernières années de la Mafia. Marcelle Padovani. Ed. Gallimard
L'infiltration mafieuse dans l'économie légale. Clotilde Champeyrache. Ed. L’Harmattan
Retour à Berlin. Journal d’Allemagne 1997. Brigitte Sauzay. Ed. Plon
L’empire allemand (1871-1918). Jean-Marie Flonneau. In Le Reich allemand De Bismarck à Hitler ((1848-1945. Armand Colin
Articles, rapports et revues en ligne
Site Kertable.fr. « La France et la construction de nouveaux États : les unités italiennes et allemandes entre 1852 et 1871
Le scandale de Sotchi (1979)
Concurrence et confusion des discours sur le crime organisé en Russie. Gilles Favarel-Garrigues. In revue Cultures et conflits 2001/2 (n°42)
La Sicile en 1876. Rapport de  Leopoldo Franchetti et Sidney Sonnino
La sicilia nel 1876.Rapporto di Leopoldo Franchetti et Sidney Sonnino « Progetto Manuzio »
  L'Etat libéral et la "question sicilienne" (1861-1876). Réflexions sur l'historiographie de la formation de l'Etat unitaire en Italie. Jean-Louis Briquet. In revue Le mouvement social 1999/2 (n°187)
  L'économie mafieuse : entre principe de territorialité et extraterritorialité. Clotilde Champeyrache. In revue Hérodote 2013/4 (n°151)
  Mezzogiorno autonome et Mezzogiorno dépendant : parcours de développement dans le sud de l'Italie. Natalia Faraoni. In revue Pôle Sud. 2013/1 (n°38)
Ordres juridiques ordres mafieux. Deborah Puccio. In Droit et société 2019/3 (N°103)
Au-delà de la participation à l'association de type mafieux : le concours externe. Marco Venturoli. In Revue de science criminelle et de droit pénal comparé-2017/1 (N°1)
Entretien avec Tommaso Buschetta. La Repubbica, dans Courrier International (17 Mars 2005)
Audition Tommaso Buschetta, devant la Commission parlementaire « Anti Mafia ». (audio) Novembre 1992
 Misère et banditisme au  XVIème siècle.Fernand Braudel. Annales 1947
Franc-maçonnerie et mafia : le cas de la Calabre à la fin du XXe siècle. Jacques de Saint-Victor. In La chaîne d’union 2016/4 (n°78)
“Criminalità organizzata e politica in Calabria fra XIX e XX secolo”. Università degli Studi di Roma “La Sapienza”
Rapport commission parlementaire bicamérale « sur le phénomène des mafias » (2018)
Rapport DIA (Janvier-Juin 2020)
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