Tumgik
#Yoga Du Rire
e642 · 4 months
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Je suis super fatiguée je sais que mon discernement est altéré mais j'ai plein d'envies.. j'ai envie de supprimer tous mes réseaux, j'ai envie de partir à l'autre bout du monde faire du yoga et me faire oublier, envie d'arrêter la fac, j'ai aussi envie de larguer mon mec, j'ai envie de me préparer et aller pécho 15 mecs en une soirée, j'ai envie de dormir 4j, j'ai envie qu'on me dise que je suis incroyable, j'ai envie d'allumer une clope qui ne s'arrête jamais, j'ai envie de me réveiller avec une peau sublime, j'ai envie de plus jamais remettre les pieds chez moi, j'ai envie d'éclater mon téléphone par terre, j'ai envie d'aller me baigner à la mer, j'ai envie de bronzer seins nus, j'ai aussi envie de plonger et ramasser des coquillages, j'ai envie d'aller boire un verre avec mon ex, j'ai envie qu'on s'occupe de moi comme si j'étais précieuse, j'ai tellement envie de partir d'ici pour aller voir ailleurs, j'ai envie d'avaler cette boule d'angoisse qui m'écorche la trachée, j'ai envie qu'on m'intéresse, j'ai envie d'avoir le permis et conduire 15h sans m'arrêter, j'ai envie d'aller dans un putain de spa et me faire masser, j'ai envie qu'on me fasse éclater de rire, j'ai envie de plus, de mieux, j'ai envie d'acheter de nouveaux habits genre plein vraiment, j'ai envie d'aller dans une rage room, j'ai envie de pleurer en énorme quantité, j'ai aussi envie d'aller crier un bon coup je sais pas où, j'ai envie d'avoir un chat et rester avec lui toute ma vie, j'ai envie d'envoyer un message à tous les gens inutiles qui traînent dans mes dm pour plus jamais avoir à lire leur insipide et imbuvable vie, j'ai envie d'aller au cinéma, j'ai envie d'avoir une passion. Mais comme j'ai rien de ça, bah j'ai envie de rien du coup.
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leseffrontesfr · 1 year
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C’est un mec qui m’a tout fait comprendre. Julien... Non, Adrien. C’était à la soirée chez Lucie. On parlait de l’emprise patriarcale sur notre corps, l’obligation d’être belle, le maillot de l’année dernière de plus en plus échancré sur mes fesses alors que c’est censé être du stretch, tout ça… Lucie commençait un super régime à base de yaourt au lait de soja suggéré par son prof de yoga ayurvédique. Moi, j’étais dans un terrible régime hypoglycémique sans sel contre les peaux d’orange, mais je n’en pouvais plus. J’étais au bord des larmes dès que je passais devant un kebab, alors que je n’en mange jamais ! Adrien revenait de la cuisine avec une bière et des chips au vinaigre. Adrien… Ou Lucien ? Je crois que c’était Lucien. Et alors, Lucien, qui était déjà bien bourré, éclate de rire et nous dit : « Les meufs ! LES MEUFS ! Nan mais sérieux… Les meufs, là. Vous me faites trop marrer. Toujours pareil. Et le régime de Marie Claire, et le régime de Elle, et le régime de Closer ou de Gala, et le régime de ceci, de cela… Toujours pareil. Et ça rentre pas dans son froc, et ça rentre plus dans sa robe, et ça fait craquer son string... » À ce moment il a repris une pleine poignée de chips croustillantes et dorées à souhait… Je voulais le mordre ! « Les meufs… Quoi ? Faut arrêter de vous prendre la tête pour votre boule. Regarde, tu tournes les pages, c’est que de la pub ! De la pub, de la pub, de la pub… Les filles qui posent, là, elles ont dix-huit ans max. Et elles ont été choisie pour avoir l’air de ce que la plupart des meufs ne sont pas. Meufs, vos magazines, là… C’est fait pour vous faire acheter des trucs. Des fringues trop moulantes, des régimes à la con, des bouquins à la con sur des régimes à la con, des kilos de maquillage, tout ça... même de la chirurgie ou je ne sais pas quoi. Et vous, vous achetez, comme des connes. Et vous vous privez. Et après c’est : “Ouin, ouin, le regard-des-zommes”, “Ouin, ouin, l’oppression des injonctions du truc patriarcal, là”. Mais qu’est-ce qu’on s’en fout ? » (Il a ponctué d’un petit rot.) « Laissez tomber, quoi. Lais-sez tom-ber. » Je n’écoutais déjà plus Aurélien. Je m’étais ruée sur la pizza que Caro avait sorti du four pour la distribuer. J’ai pris trois parts, j’ai tout goinfré en quelques secondes.
Ce type m’avait fait prendre conscience de mon conditionnement : si je m’étais tant privée chaque année pour être sexy, ce n’était pas seulement à cause du poids du regard lubrique des machos phallocrates sur mes rondeurs de femme forcément belle — car toutes les femmes sont belles — non, il y avait un autre ennemi qui complotait contre l’émancipation de notre féminité naturelle pour faire du profit : les fabricants de maillots de bain. C’est à cause d’eux, à cause de leurs tissus trop serrés, trop moulants (surtout quand ils sont mouillés), que nous souffrons toutes de la faim, en 2023, alors que pendant ce temps des enfants meurent de faim aussi mais ailleurs. Alors j’ai décidé que cette année je ne ferai plus de régime et je ne mettrai plus de maillot. J’ai déjà posé mes réservations dans des camping naturistes. L’été sera libéré et je ne manquerai plus le buffet. Je serai belle et à poil au soleil ! En attendant, il faut vraiment que j’arrive à mettre le ventre dans l’eau, ça retend les bourrelets (je l’ai lu sur Doctissimo). Brrr ! C’est glaciaaaaal ! https://leseffrontes.fr/index.php/2023/04/30/leffrontee-du-mois-davril-2023-helene/
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ernestinee · 2 years
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Aujourd'hui c'était top au cirque ! La semaine dernière c'était nul parce que je n'y étais plus allée depuis un mois à cause des congés et de ma coupure au doigt, et j'ai eu l'impression que j'avais tout perdu, que j'étais archi nulle, que tout le monde évoluait et pas moi, et j'avais même abandonné une figure de trapèze parce que je n'étais pas sûre que mon bras allait me porter (la figure du drapeau), bref grosse déprime, tout le monde en a entendu parler autour de moi et je me suis raccrochée à fond à ce que mon ado de coach me disait, que ça l'inspirait que je n'abandonne pas (et c'est assez fou parce que c'est surtout lui qui m'inspire à ne pas abandonner, quand je vois comme il bosse sa jonglerie dès qu'il a 5 minutes)
Aujourd'hui NON SEULEMENT j'ai réussi les deux figures du jour et elles faisaient si mal omg j'ai les chevilles, les cuisses et les pieds en lambeaux parce que ce sont des figures où on enroule les cordes autour des jambes avant de soit se laisser tomber en arrière ou en avant, soit gainer pour être horizontal, MAIS EN PLUS j'ai tenté la figure "pour les plus téméraires" (et la prof ne s'adressait pas à moi pour celle-là parce que je suis là dernière arrivée dans le groupe, j'ai vachement moins d'expérience que les autres). Il s'agit de se pendre par les genoux au trapèze, jusque là rien de compliqué, c'est la figure de base, mais ensuite, on tend les jambes et en même temps on les écarte et en même temps on fléchit les chevilles, et on est censés être pendu par les pieds aux extrémités de la barre du trapèze, je sais pas si j'explique bien, fin bon c'est impressionnant à voir et à faire et .... tadaaaaam... J'ai réussi !
ET EN PLUS, j'ai tenu à réessayer la figure du drapeau parce que je l'avais en travers de la gorge depuis une semaine et devinez quoi j'ai réussi aussi, comme quoi la visualisation ça fonctionne. Et aussi les abdos et les pompages et le yoga.
Par contre, je ne vais pas participer au spectacle cette année. Je fais du trapèze malgré que j'ai le vertige (fort, mais je prends sur moi malgré la sensation que le sol bouge et que mes muscles vont lâcher), je participe à un cours collectif alors que je suis +- allergique aux gens, surtout que là c'est assez tactile au secours, je suis non seulement la plus âgée (berk) mais aussi la moins expérimentée (re-berk) et j'estime que ma zone de confort est suffisamment explosée comme ça pour encore y ajouter un spectacle. Du coup voilà, pas cette année.
Par contre j'ai répété un numéro de jonglerie/clownerie avec l'ado après l'école et on était hilarants ! On était morts de rire tous les deux. Peut-être qu'un jour j'aurai une fraction de son courage pour faire pareil sur scène.
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baby-lalune · 1 year
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j’ai plus vraiment l’envie de sortir, du moins je crois que je n’ai envie de voir qu’une poignée de personnes. celles qui me connaissent tellement par cœur que l’on pourrait rester en silence. celles qui me connaissent depuis tellement longtemps maintenant, que je n’ai pas à expliquer certaines choses.
je prends aussi ce temps pour faire du yoga, pour respirer, pour lire, pour jouer. je prends plaisir à flâner, à écouter des podcasts qui me font rire, ou qui me prennent la tête avec des mots que je comprends mal.
je recommence à écrire. la poésie c’est moins mon truc, j’crois bien que je suis sortie de cette phase romantique.. enfin non, j’y suis toujours mais j’ai plus envie de l’écrire. j’ai toujours envie d’embrasser la Lune, de coucher avec le soleil, de boire l’eau des rivières ; je suis toujours absorbée par les sourires, les regards et les peaux mouillées (d’ailleurs écrire sur les corps et les fantasmes recommence à me passionner), mais je n’ai plus envie de faire valser les mots. j’écris sur wordpress a propos des films, séries et animations de ma vie : j’y dresse un message qui me semble fort, j’ai une problématique qui me permet d’avoir un tracé de paragraphes et ça me fait plaisir.
même si évidemment, l’écriture est dure à faire accrocher. parce que qui a encore le temps de lire aujourd’hui ? qui a le temps de se poser pour lire des mots ? les humains, et moi aussi, semblent absorbés par ce nouveau type de format que sont les « réels ». on en regarde peut-être 100 dans une journée et on reçoit 50 de la part de celleux qui nous aiment.
je crois que ça me manque de recevoir un poème, le nom d’un livre ou un album récemment sorti. fin’, ça j’ai encore 2/3 personnes qui le font mais sinon, tout est devenu irréel justement ; tout est devenu renfermé dans 20 malheureuses secondes, rythmées pour l’audience, avec des musiques qui ne sortent plus de mes oreilles — parce que moi aussi je suis devenue accro, j’aime bien aussi critiquer ce que je fais —, et les minutes qui passent sans qu’on s’en rende compte.
mais finalement, je finis par m’en foutre un peu au bout de 3 jours parce que je sais que j’écris surtout pour moi. enfin, qu’est-ce que je raconte? si j’écrivais pour moi, je le garderais dans un brouillon, un journal intime, non? si je le publie, c’est que j’écris peut-être même plus pour les autres que pour moi? ce sont des questions intéressantes auxquelles je n’ai même pas la force de réfléchir.
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kiara-on-the-shore · 2 months
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Juillet
Les deux frères bipèdes , le chien, les deux soeurs chats quatre pattes.
Un recueil de nouvelles inspiré de Bukowski et de Californication.
La audi sport du daron rien de pour nous, la route, les villes, les playlists.
Les blagues douteuses.
Dobby qui colle sa langue sur la fenêtre de la caisse et qui me colle ses pattes sur les cuisses sur le siège avant.
Les chattes qui jouent ensemble et qui nous suivent partout dans la maison et sur le domaine.
Le jeu d’enquête criminelle , avec la participation active d’inspecteur blabla et inspecteur doudou pour m’épauler.
Les ballades à cheval, Alan qui sort à l'improviste toute les phrases de red dead redemption avec le ton d'une voix off d'une traduction américaine en vf de mauvaise qualité.
Axel qui raconte sa vie a son cheval qui, comme lui, ne pense qu'a manger et qui n'avance pas sans cravache.
Sa cicatrice à la cuisse, celle que je garde au cœur.
Ma première expérience en tant que prof de yoga. Fou rires.
Les glaces Nuii.
Les pots de bonbons. Alan qui a trop mangé de bonbons.
Des ananas. Beaucoup d'ananas.
Les têtes de taureau en osier et les croix camarguaises.
Le salon avec les assiettes de Cocteau, les vases de Picasso, la bibliothèque.
Le voyage de Chihiro sur la grande tv et le canapé blanc en L.
Lunettes de soleil.
La piscine de sel, les oliviers, les pins et le citronnier.
Le romarin, la citronelle, le thym.
Le pendentif de chaumet avec le cœur tout en or et diamants que m’a offert ma mère.
La bague en or avec une émeraude qu’Axel m’a offerte.
La montre tank cartier en or jaune et blanc que mon père m’a offert.
Mon cadenas que je n’ai jamais retiré depuis trois ans.
Mon père qui fume en cachette.
Ma mère qui fait semblant de ne pas le voir.
Ma dernière cigarette a beaucaire au début du mois.
L'arrêt définitif de la cigarette depuis.
Le sentiment qu’il manque quelqu’un.
Son souvenir qui ne s’efface pas.
Sans que je ne sache plus vraiment pourquoi.
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lysdalhia · 3 months
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Kerala signifie le pays des cocotiers en malayalam, la langue du kerala. Ici on ne parle pas l’Indi. 
C’est un pays d’abondance. En regardant ce matin du roof-top où nous pratiquons le yoga, le jardin délaissé et négligé, je me disais quel jardin d’Eden cela pourrait être ! 
Incontestablement le Kerala a quelque chose du paradis, par la végétation certes mais aussi les fruits de sa terre: pastèques, bananes, grenades, papayes, légumes de toutes sortes, sans oublier le thé et bien sûr les épices. 
Les portugais sont d’ailleurs venus ici et on changé les épices en or. 
Une bonne partie de nos palais viennent d’ici. 
Je n’ai pas avec moi le livre de Stephan Zweig, Magellan, mais il ne dit pas autre chose. 
J’attends avec impatience de visiter Fort kochi, un des quartiers de kochi où on trouve encore la trace de la présence portugaise. 
Le paradis par son environnement, mais aussi par les Keralaises et Keralais. Toutes ces personnes à la cure, qui ont voyagé en Inde le disent, c’est au Kerala qu’ils sont les plus gentils, les plus doux, les plus souriants et les plus ouverts. 
Tous les enfants ou presque que j’ai croisé ici m’ont spontanément fait un signe de la main. 
Le Tamul Nadi qui est la région juste à côté, le vécu n’est pas du tout le même, sans pour autant être agressif mais plus distant. L’indien reste plutôt curieux de l’étranger « Where do you from my friend » est une des premières phrases que l’on va entendre en Inde. 
Mais au kerala il y a le sourire en plus, le pays du sourire, nom que l’on donne au pays. 
Les français ne s’y sont pas trompés, ils sont en nombre ici, notamment dans notre centre de cure.
Même les masseuses-guérisseuses ont appris quelques mots de français. 
Un Exemple: Assis ! 
Elles ne savent pas qu’en France « assis » c’est quand on s’adresse à un chien. Ça nous fait rire. 
Encore une caractéristique, je ne pense pas spécifique du Kerala mais de l’Inde. 
Quand je parle à une indienne, elle m‘écoute en dodelinant de la tête. Certes certaines plus que d’autres mais c’est assez général. 
Je me demande ce qui se passe en elles avec ce mouvement de la tête. 
On dirait qu’elles cherchent à évaluer la situation pour trouver la bonne réaction. C'est chez la masseuse en chef que je l'ai pour la première fois observé.
Shingu, qui règne en maitresse-femme dans sa salle de massage, elle donne le la avec bonhomie et assurance.
La salle est vétuste, elle date, peut-être faire peur, vous aurez l’impression du pas propre. En fait non c’est vieux et spartiate, mais c’est très propre. Certains massages ont lieu au sol, d'autres sur une table, elle est une des plus agréable que j’ai connue, elle est dans un bois sombre qui supporte l’eau puisque c’est là que se fait le massage à l’eau. Elle est très ancienne. Dans le musée, il y avait une pièce identique. 
Si je vous parle de la salle, je dois citer aussi le petit autel avec la vierge Marie et ce qui est ici une bougie, la coupelle d’huile. 
Car l’ayurveda est une médecine spirituelle. 
Elle se pratique sous la protection de Dieu. Dans ce centre, on est chrétien et donc nous avons la Vierge et Jésus mais ailleurs ce seront des divinités hindouistes ou bouddhistes. 
On m’a raconté que dans certains centres tout massage commence par une prière. 
Le mot ayurveda signifie science de la vie. Une médecine millénaire, ça remonte à plus 5000 ans et est reconnu comme un système de santé traditionnel par l’OMS. 
Je vous partage une anecdote :
Hier une belle blonde montre à une petite troupe de femmes, l’irruption cutanée qu’elle a depuis le début de la journée sur ses longues jambes et son visage. 
Chacune y va alors de son commentaire et de ses recommandations pour aider à la disparition des dits boutons. 
Ce midi à table j’entends : "eh oui quand on prend du Ghee, une préparation ayurvedique, (que l’on prend avec un régime alimentation strict basé sur riz uniquement) il ne faut pas manger de crevettes" c’est ce que lui a dit Joy ( c’est le grand docteur ici) quand il l’a vue arriver avec ses boutons rouges.
Aujourd’hui je découvre un nouveau massage le Sirodhara, un fin filet d'huile chaude s'écoule lentement entre les deux sourcils, la place du troisème oeil. Une expérience inédite, comme une alliance corps et esprit, une forme de méditation.
Et depuis quelques jours, j’ai ma moustiquaire autour de mon lit, un vrai lit de princesse, princesse qui ne sera plus piquée par les vilains moustiques la nuit. 
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elisabeth--bernardo · 5 months
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Le yoga du rire en Entreprise
Yoga du Rire Paris IDF Yoga du Rire à Paris et en IDF: Une Pratique Bienfaisante pour Entreprises et Institutions Découvrez les bienfaits du yoga du rire pour votre entreprise, hôpital, institut ou école. Cette pratique ludique et joyeuse favorise le bien-être mental et physique des participants, tout en renforçant la cohésion et la productivité. Basée à Paris, je propose des ateliers sur…
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bonjourindiatravel · 1 year
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French Tourists in India enjoying hasya yoga in Bus trip to Jaisalmer
Voyager avec Bonjour India Travel est certainement l'occasion d'explorer toutes les facettes de l'Inde. Une séance de Hasya yoga initiée par Madan. L’émulsion du groupe entraîne chacun des passagers dans un tourbillon de fou rire. Le rire se propage comme une traînée de poudre dans le bus à destination de Jaisalmer.
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catherine-geoffray · 1 year
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25–04–23 La BD que je suis en train de lire met en scène de tout petits personnages qui me font penser à ceux de Sempé. Les planches s’enchaînent sur des séances d’entraînements sportifs. La séquence yoga est virtuose : la multiplicité des poses prises par une armée de yogi dessinées avec une économie de moyens me fascine. Je me dis qu’il faut absolument que je montre cette BD à ma professeur de yoga. La planche suivante illustre un entraînement à la piscine. Les nageurs sous les injonctions de l’entraîneur rampent en nageant le crawl sur la margelle carrelée du bassin. Pour le retour ils empruntent l’échelle pour descendre dans la piscine et marcher sur l’eau en file indienne. C’est le monde à l’envers… Ça me fait rire.  Une petite fille se réveille à côté de moi. Elle tient serré contre elle, un pull en laine roulé sur lui-même dont les boutons émergent comme une paire d’yeux. En enfonçant mon index dans le creux formé par la laine, je déclenche un enregistrement sonore. On entend des bruits de la ville, puis des cris d’animaux dans une forêt africaine. J’appuie à nouveau pour éteindre mais la petite fille veut que ça continue. Elle aime être enveloppée de ces bruits qui l’environnaient avant que ses parents décident de quitter le Gabon pour rentrer en France. Son nez est glacé. Mais tu as froid ! dis-je en remontant la couverture sur elle.
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castelneuviens · 2 years
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Journée du être bien, 11 et 12 mars 2023
Journée du être bien, 11 et 12 mars 2023 #ateliers, #expérimenter, #découvrir, #révéler, #Chagnon, #massage, #yogadurire, #omchantineg, #sophrologie, #biodanza, #sonothérapie, #lectureAMES, #réflexologie, #hypno-antalgie, #ANphotothérapie, #cercledefemmes
Les ateliers pour Expérimenter, Découvrir, Révéler auront lieu à Chagnon (42) de 10h à 18h. Les participants auront l’occasion de découvrir une variété d’ateliers Massage, Yoga du rire, OM Chantineg, Sophrologie, Biodanza, Sono-thérapie, ù Lecture A.M.E.S.S, Réflexologie, Hypno-antalgie, AN Photo-thérapie, Cercle de femmes, Huiles essentielles, Féminin sacré, Atelier d’écriture, Fleurs de Bach,…
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williamgunst · 2 years
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Par Charles LatterradePublié le 11/10/2022 à 11:12L’Asept Sud Aquitaine (Association d’éducation à la santé et de prévention santé des territoires) organisera prochainement deux ateliers de yoga du rire dans les communes de Renung et Bahus-Soubiran. L’atelier est organisé en huit séances d’une heure et quart et est ouvert aux seniors de 55 ans et plus ; c’est totalement gratuit.Au cours de chaque…
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beatlesonline-blog · 2 years
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lemaupertus · 5 years
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https://e3o.org/e3o/ouzouer-le-marche-a-accueilli-le-2e-forum-du-bien-vieillir/
Ouzouer-le-Marché a accueilli le 2e Forum du bien vieillir
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Information de page à renseigner <!– –> Publié le 10/06/2019 à 02:55 | Mis à jour le 10/06/2019 à 02:55 <!– –> Illustration Principale <!––> <!– –> Illustration Principale <!––> <rubedo-custom-template template=" Vendredi 7 juin, l’Ehpad d’Ouzouer-le-Marché et le conseil départemental ont organisé le 2e Forum du bien vieillir dans la salle des fêtes d’Ouzouer-le-Marché, avec … Plus… Articles proches Atelier Yoga du Rire et sophrologie du 04/06/2019 au 16/07/2019 à St-Donat-sur-l’Herbasse Un salon du zen à Charleville Un premier salon Biocréatif ce dimanche Un forum à la découverte du bien-être à Bazeilles ce samedi Sidi Bou Saïd : Un portail au service du tourisme de ressourcement
#Agenda, #Sophrologie, #Yoga, #YogaDuRire
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Un texte de Jean-Pierre Luminet
Je souhaite faire une longue mise au point à propos de mon billet du 11 août concernant mon opposition radicale au pass sanitaire, et qui a récolté le plus grand nombre de commentaires que j’aie jamais eus. Je remercie en premier lieu les personnes qui ont approuvé ma prise de position - la grande majorité, mais je sais bien qu’il y a un fort biais de sélection, venant du choix que je fais dans l’acceptation ou pas des nombreuses « demandes d’amitié » que je reçois sur FB.
Comme je n’écris pas ici pour recueillir des suffrages dont je n’ai nul besoin, j’ai été davantage attentif aux arguments des personnes qui me désapprouvent tout en restant polies (j’ignore celles qui se répandent en insultes), et c’est pour elles que je tiens à préciser mes positions, si elles acceptent honnêtement de me suivre dans un texte assez développé (sans doute trop pour FB, peu de lectures iront au bout).
Ma formulation initiale, de par sa concision, était forcément abrupte et a été très largement mal interprétée. Primo, un certain nombre de mes contradicteurs ne savent pas (ou ne veulent pas) lire correctement : mon billet d’humeur et d’indignation portait clairement contre le pass sanitaire, pas contre la vaccination.
• Certains pro-pass « raisonnent » de la façon suivante : « le vaccin implique le pass, être contre le pass implique donc être contre le vaccin ». Un sacré syllogisme, qui viole le B-A-BA de la logique. Ce sont deux sujets différents, certes en partie liés mais que les autorités politico-sanitaires se plaisent perfidement à identifier pour mieux brouiller les pistes. Certains de mes lecteurs attentifs ont bien tenté de le rappeler, mais autant chanter pour des sourds. D’autres ont à juste titre rappelé que de nombreuses personnes vaccinées manifestaient contre le pass et, bien qu’en étant munies, refusaient de s’en servir pour leurs activités non vitales (bars, restaurants, salles de spectacles), en attendant que l’apartheid actuellement instauré meure dans son propre étouffement morbide.
• En aucune façon je ne me glorifie de mon opposition au pass ni ne me pose en « héros résistant ». Ce serait complètement bouffon et stupide : j’ai parfaitement conscience que, de par mes activités et mon parcours, je suis archi-privilégié car je peux me permettre de boycotter les activités non vitales (qui représentent cependant beaucoup dans ma culture : concerts, cinémas, expositions, musées, gastronomie). Donc, annuler une conférence exigeant le pass, ou bien en assurer d’autres en faisant des heures de voiture plutôt que de prendre, masqué et QR-codé, le TGV ou l’avion, ne fait pas de moi quelqu’un de courageux: juste une personne cohérente.
Je constate d’ailleurs un certain manque de cohérence chez certaines personnes farouchement anti-pass, mais qui, au lieu de boycotter les lieux non vitaux qui l’exigent, acceptent de subir un test PCR pour pouvoir assister à un concert ou un spectacle. C’est, d’une certaine manière, aussi céder au chantage gouvernemental. D’autres se contentent de « liker » les « posts » des « anti-pass » les plus actifs des réseaux sociaux (dont certains sont utiles en indiquant des liens instructifs) sans s’engager davantage, alors que par exemple elles pourraient adhérer à des associations comme Reaction19 (moyennant petite cotisation), qui fournissent d’utiles documents à caractère juridique permettant de contrer l’illégalité croissante des injonctions gouvernementales, envoyer une requête à la Commission Européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg permettant, sinon de bloquer, du moins de retarder le processus administratif de validation des mesures liberticides (le formulaire juridique se trouve facilement sur internet, ça coûte deux timbres pour l’envoi), etc.
• Je n’aurais jamais l’outrecuidance de critiquer les personnes pour qui le pass sanitaire est vital pour simplement pouvoir travailler. Il faut être fondamentaliste anti-vax pour leur dénier ce droit évident de choisir la survie professionnelle et financière, certains le faisant malgré eux et parfaitement conscients que cette politique d’apartheid et d’exclusion est particulièrement perverse, ne reposant en outre sur aucune vérification scientifique.
Je ne jetterai même pas la pierre aux personnes qui utilisent le pass pour pouvoir continuer à vivre à peu près « normalement » et confortablement (en admettant que ce soit normal de montrer un QR code pour boire un coup et confortable de se faire contrôler toutes les dix minutes pendant que vous sirotez un café), prendre des vacances en Grèce ou ailleurs, etc.. Je regrette simplement que, pour nombre d’entre elles, la conscience politique et l’idéal de liberté passent après leur petit intérêt personnel. Mais je pense aux jeunes, pour qui, après des mois extrêmement difficiles d’isolement dus au confinement, aux cours à distance, etc., ont impérativement besoin, pour leur équilibre mental, d’avoir une vie sociale et de fréquenter les établissements de socialisation exigeant le pass. Un de mes grands enfants, étudiante, est dans ce cas, et quoique dubitative sur l’efficacité du vaccin, elle y est passée pour obtenir son autorisation, et je l’ai approuvée.
Je comprends fort bien que 95% desdits établissements obéissent à la loi, fût-elle parfaitement inique, pour simplement continuer à fonctionner. Mais j’admire particulièrement les 5% restants qui s’opposent clairement au rôle de flicage et de contrôle qu’on veut leur imposer et qui n’est pas le leur, quitte à payer une amende (de toute façon illégale ; il y a d’excellents sites d’avocats fournissant les formulaires de contestation fondés sur des articles précis de la constitution). J’aurais simplement aimé que les gérants de lieux publics (bars, restaurants, cinémas, salles de spectacles, musées, etc.) qui se plient à l’injonction gouvernementale – laquelle les conduit inexorablement à la faillite- comprennent que l’union fait la force, et que si une proportion plus importante (disons 30%) d’établissements refusait d’obtempérer, le système s’effondrerait de lui-même.
• En revanche j’avoue m’agacer contre toute une catégorie de personnes pro-pass qui justifient cette intenable position en reprenant à leur compte les slogans du prêt-à-penser préparés d’avance par les merdias et autres réseaux sociaux, tous complices de l’hystérie. Exemple : « avant la résistance c’était mettre sa vie en jeu pour la liberté des autres, aujourd’hui c’est mettre en jeu la vie des autres pour sa propre liberté », ce qui est complètement bidon, ne serait-ce que, primo, parce que refuser le pass c’est s’ôter à soi-même la plupart des libertés, secundo, parce que quand la pandémie laisse 99,97% de la population mondiale parfaitement sauve (chiffre officiel), on met statistiquement moins en danger la vie d’autrui que lorsqu’on prend le volant de sa voiture après avoir bu un verre de trop. Et qui d'entre vous ne l’a pas fait ?
Avant, en pleine période de confinement, on avait eu pire comme slogan débile : « Je reste chez moi, je sauve des vies ».
Encore plus ridicule est l’image véhiculée par ceux qui s’offusquent que l’on puisse utiliser le terme de dictature sanitaire (dictature disons « douce » pour commencer, puisque je puis encore m’exprimer ici, mais des centaines d’autres récalcitrants ont déjà eu leur parole bloquée, et vous verrez, bonne gens, cela ne fait que commencer). Image donc où l’on voit le dirigeant dingue de la Corée du Nord ou encore un taliban barbu d’Afghanistan s’esclaffer en offrant l’asile politique aux français qui veulent fuir la dictature. S’il y a en effet toujours pire ailleurs, est-ce une raison pour accepter toutes les dégradations de sa propre condition ? A tout relativiser on stagne dans l’acceptation de tout et la passivité la plus totale. C’est aussi le cas pour les comparaisons stupides du genre « je m’arrête bien aux feux rouges et je mets ma ceinture ». J’ai du mal à comprendre pareil dysfonctionnement des neurones.
Passons à une autre catégorie qui m’amuse assez : celle des scientistes purs et durs formatés par la « méthode », qui ne comprennent pas qu’un esprit « jadis brillant » (ce n’est pas moi qui le dis, c’est eux) puisse se fourvoyer à ce point, être « dans un brouillard mental », carrément « tombé en déchéance ». L’un d’eux m’a particulièrement fait rire en parlant du « spectacle attristant d’un savant qui ne colle pas à la science ! » Le verbe « coller » parle de lui-même. Est-ce que les Copernic, Kepler, Galilée, Darwin et autres Einstein collaient à la science de leur temps ? (je ne me compare aucunement à ces grands esprits, c’est juste un petit rappel sur la façon dont la science progresse : jamais en « collant » !).
Trois explications seulement leur viennent à l’esprit, sous forme de mantras qu’ils doivent se répètent intérieurement à chaque fois qu’ils lisent quelque chose qui les dérange : la sénilité, le complotisme ou le charlatanisme. Pour la sénilité, un de mes « défenseurs » a fait remarquer que pour quelqu’un qui venait d’obtenir la seule année 2021 trois prix scientifiques internationaux il y avait pire comme déchéance… Je le remercie de s’être correctement renseigné à mon sujet. Pour le complotisme, on sait bien que c’est devenu le mot magique servant à exclure d’office toute parole contradictoire. Quant au charlatanisme, il est amusant de voir que ce sont toujours les mêmes qui s’en prennent pêle-mêle à la médecine naturelle, à l’homéopathie, à ceux qui se méfient des pesticides et des OGM, maintenant le yoga considéré comme une dérive sectaire, bref le grand sac de tout ce qui n’est pas conforme à la vision occidentalo-capitalistique.
• Il est clair que les journalistes des chaînes télé et radio d’état (c’est-à-dire détenues par des proches du pouvoir), qui ne savent plus faire de l'investigation et sont devenus des serpillières de l'état, mentant et manipulant des masses trop peu pensantes, sont en grande partie responsable de cet abrutissement (la palme revient peut-être à France Info : la veulerie mégalomane de leurs chroniqueurs dépasse l’entendement). Parmi eux, les plus actifs donneurs de leçons sont ceux étiquetés « scientifiques » (la majorité; mais la minorité qui tente encore de faire son travail d’investigation n’a quasiment plus droit à l’antenne). A propos d’un de mes billets antérieurs, l’un d’eux m’avait par exemple « morigéné » (j’adore ce verbe rappelant l’époque révolue où l’écolier garnement pouvait encore être grondé par le maître), en m’écrivant : « vous devriez avoir honte » !
Je puis comprendre dans une certaine mesure cette idiosyncrasie journalistique : ne pratiquant pas la science de l’intérieur puisqu’ils ne sont pas chercheurs (ou n’ont pas réussi à le devenir), les journalistes s’en font une idée totalement candide.
Primo, ils ne jurent que par la soi-disant « méthode scientifique », laquelle, au-delà de sa vertu effective de limiter certaines dérives, rencontre vite ses propres limites en bridant la créativité et l’invention, comme le montrent des siècles d’histoire des sciences.
Secundo, ils ne « raisonnent » qu’en termes de statistiques, auxquelles ils ne comprennent rien – tout comme au demeurant bon nombre de scientifiques non mathématiciens–, ou alors qu’ils manipulent comme bon leur semble. Les champions toutes catégories dans le genre sont les « fast checkers » (Le Monde, Libé, CNews, etc., tous les médias ayant désormais leur officine), dont les « productions » sont à mourir de rire.
Tertio, ils utilisent à tout va l’argument d’autorité et ce qu’ils définissent comme étant le « consensus » : selon eux, si 90% (du moins selon leur propre statistique) des scientifiques disent que c’est vrai, hé bien c’est que cela est forcément vrai ! Ils ignorent - ou feignent d’ignorer pour ne pas avoir à perdre leur credo – le niveau de bidonnage, de coups tordus et autres fraudes qui sont la plaie d'une partie de la recherche scientifique. En revanche ils sont les premiers à accuser de fraude et de bidonnage les 10% de chercheurs qui contredisent la doxa. L’un des plus hystériques d’entre eux m’a récemment rétorqué que moi-même je croyais bien aux trous noirs, puisque 90% de mes collègues y croyaient, qu’on avait observé au télescope l’image de l’un d’entre eux et qu’en plus le résultat était conforme à mes propres calculs ! Hé bien ce brave journaliste et astronome amateur n’a visiblement rien compris à ce qu’est la recherche fondamentale : on n’élabore pas des modèles pour prouver qu’ils sont vrais, mais pour montrer qu’ils sont plausibles, éventuellement meilleurs que les explications alternatives. J’ai beau avoir travaillé 45 ans sur mes chers trous noirs, je ne sais fichtrement pas s’ils existent réellement ! Je sais juste qu’il y a des astres qui leur ressemblent comme deux gouttes d’eau et que l’on n’a à ce jour pas de meilleure explication que celle fournie par la relativité générale.
Je suis d’ailleurs assez étonné que ce soit dans le domaine des sciences de l’univers, celui qui à mon avis demande le plus d‘imagination et d’indépendance d’esprit tant le mystère du cosmos est grand et les préjugés de divers ordres sont tenaces, que les certitudes scientistes sont les plus grandes. Des journalistes plus ou moins spécialisés en astronomie s’en prennent à moi de façon assez virulente (ce que j’écris là ne va pas arranger les choses). D’autres, qui ont jadis loué mes travaux, ont fait de votre serviteur de beaux portraits et interviews, voire continuent à le faire de façon pertinente dès lors que je ne sors pas de ce qu’ils considèrent être mon seul champ de compétence, s’inquiètent de ma « déviance ». Je suis personnellement touché de leur sollicitude, et je ne puis que les rassurer sur le fait que je me sens en pleine possession de mes moyens intellectuels, comme pourraient en témoigner ceux qui ont pris la peine de lire mon récent ouvrage sur la gravitation quantique.
Pour en revenir aux peu glorieuses pratiques de la recherche scientifique, si un jour je trouve le temps de rédiger mes mémoires de chercheur, j’en donnerai quelques édifiants exemples. Pourtant, le niveau de truandage dans mon domaine des sciences dites « dures » (celles de la matière et de l’univers) est beaucoup moins élevé que dans les sciences du vivant, ne serait-ce que parce que c’est plus difficile de truander des équations que des données statistiques sur échantillons non significatifs.
Je reçois régulièrement le bulletin d’information sur l’intégrité scientifique issu de l’Institut de Recherche et d’Action sur la Fraude et le Plagiat Académiques (IRAFPA) dirigé par l’excellente chercheuse en sciences sociales Michelle Bergadaa. Les résultats sont effarants. Comme on peut s’en douter, c’est dans les domaines de la recherche où les enjeux financiers et économiques (par le biais de brevets) sont importants que le trucage est massif : la médecine, la pharmacologie et les sciences du vivant sont au premier rang. Il n’y a qu’à voir le scandale de l’an passé sur l’article bidonné publié dans le Lancet, que la gent journalistique a rapidement et pieusement étouffé tant le bidonnage arrangeait leur credo. Car ils Croient, eux : le doute, ils ne connaissent pas ! L’Apologie de Raymond Sebond dans les Essais de Montaigne sur le scepticisme, jamais lu, ni même entendu parler ! Or, un scepticisme de principe, assorti de discussions et échanges dialectiques, est le fondement même de la juste démarche scientifique. Cela ne fait pas forcément de vous un climatosceptique. Mais ce sont désormais les journalistes qui désignent au bon peuple les bons scientifiques (ceux qui « collent ») et les mauvais (ceux qui ne « collent » pas) !
Ceci dit, je ne méprise aucunement ces points de vue différents : je les désapprouve fortement, ce qui est très différent. Je pense en effet qu’ils sont erronés et délétères, soit parce qu’ils sont générés par la mauvaise foi, le parti-pris, ou bien manipulés par la peur, ou encore par manque d’informations objectives, de réflexion personnelle, de lucidité, de conscience sociale et politique, etc.
• En revanche je ne trouve aucune excuse à la fraction de personnes que j’estime être de véritables collabos de la répression et du contrôle, et qui utilisent les moyens les plus malhonnêtes - tricheries, falsification des faits (un certain nombre hélas dans le milieu des chercheurs en sciences du vivant compromis dans des conflits d’intérêt et plaçant leur intérêt financier plus haut que la plus élémentaire déontologie médicale), délations et autres perfidies les moins reluisantes de la nature humaine – pour propager leur idéologie mortifère. Il y a toujours eu des salopards dans la tragique histoire de l’humanité et il y en aura toujours. Cela ne les dédouane pas pour autant. Beaucoup sont actuellement au pouvoir ou en sont l’oreille. J’ai une véritable aversion pour l’ensemble de la classe politique dirigeante, clique de paranoïaques pervers. Le plus terrible c’est que je ne vois à l’horizon mai 2022 aucune figure alternative. En tout cas leur temps passera tôt ou tard, et l’Histoire les jugera peut-être à l’aune du mal qu’ils auront fait.
Je m’arrête là. Il est temps diront certains.
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les-portes-du-sud · 3 years
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Retour à la maison...
Point Zéro. Il n'y a rien ici que de la neige et un horizon brumeux. Je trouve les réponses et retourne à moi-même, me souvenant maintenant de ces sentiments, car le retour en ville ne passera pas inaperçu. La société change beaucoup.
Grâce à cela, je ne dépend ni du travail ni d'une personne, ce qui signifie que je peux vivre pleinement ma vie. La seule question est, vais-je prendre le risque. J'ai besoin de changer de lieu, de rejoindre la nature, de me mettre à l'écart de la civilisation, j'y vois le salut.
Mon lit est près d'une grande fenêtre avec une vue imprenable. Le premier matin, il m'a fallu quelques secondes pour reprendre mes esprits et comprendre où j'en suis; dans un conte de fées. Nous avons eu de la chance, nous sommes arrivés un jour où la température montait, alors que la neige étreignait encore les arbres. Cela semblait quelque peu irréel. Le premier jour, nous avons parcouru treize kilomètres, montant de plus en plus haut, sans point précis. Mon ami est un enfant joueur aux cheveux gris. Il grimpe sur n'importe quelle structure qu'il voit, lance des boules de neige, se réjouit follement des chemins impraticables et, bien sûr, s'y promène. Je comprends pourquoi ils l'appellent une légende. Bien qu'il parle de sa personne comme "un homme simple et ordinaire". Et donc, marcher avec lui, rire, pratiquer le yoga à ses côtés est un honneur. Non seulement sur le tapis le matin, mais aussi lors des promenades, des bivouacs autour du feu, en buvant du thé. Le soir de notre première rencontre, après avoir discuté, il a pris sa guitare et a commencé à improviser. Je veux me souvenir de lui pour toujours "Je veux danser, je veux chanter, je veux entendre mon âme". Ensemble nous avons chanté. Quand tout le monde a donné la raison de leur venue ici, ma voix s'est cassée : « En octobre, j'ai pris un nouveau travail. À cause de l'emploi du temps effréné, j'ai cessé de comprendre ce que je faisais, où j'étais et pourquoi.» Cette rupture dans ma voix, complètement inattendue pour moi, a signalé à quel point ce sujet me fait mal, même si je ne l'admet pas pleinement. Je me plains à quel point c'est difficile pour moi, en vouloir beaucoup, mais en revanche, je trouvais de nombreuses raisons de rester. Ici, la réponse n'est pas de "partir", mais de changer d'attitude. Vivre en dehors du travail.
Nous sommes un peu plus d'une dizaine d'étrangers. Par-dessus tout, j'aime la possibilité de la solitude, même lorsque nous marchons ensemble, personne ne me l'impose, seule ma volonté l'exprime. Et en même temps, lorsque j'ai besoin de communiquer, dissiper la solitude, rien de plus que de me fondre dans le groupe. Ici, chacun fait le choix qui lui convient. Je suis venu ici sans connaître personne. Au début, bien sûr, c'était gênant. Puis chaque jour écoulé, les rapports devenaient plus détendus et sympathiques... Des personnes partageant les mêmes idées. Les affinités s'affichaient davantage. C'est tellement étrange d'entendre les autres dire ce que j'ai dans mes pensées propres. Je n'ai pas de billet de retour et je n'ai aucune idée de la façon dont je vais rentrer chez moi, mais pour une raison quelconque, cela m'inquiète en dernier. Dans mon idée de ce week-end, je m'asseyais beaucoup dans ma chambre, écrivant dans un cahier, triant les insatisfactions, déterrant d'anciennes blessures. Mais en fait, nous marchions constamment, nous nous noyions dans la neige et la mangions, nous errions sans repères, admirant inlassablement la beauté.
Cette maison en bois est la grande maison du monde. Je ne sais pas combien de personnes vivaient ici, ni combien de pays représentaient elles mais, une chose certaine, chacune a laissé une trace. Je reviendrai ici.
Les-portes-du-sud
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elisabeth--bernardo · 5 months
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Team Building pour la cohésion d'équipe
PRENDRE RDV PAR TELEPHONE TEAM BUILDING Le bien-être en entreprise Previous image Next image Offrez à votre entreprise une expérience transformative avec nos team buildings axés sur le bien-être, l’inclusion et la diversité. Que ce soit à travers le yoga du rire, la sonothérapie ou la relaxation, nous proposons des activités innovantes pour renforcer la cohésion d’équipe tout en favorisant un…
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