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#affamés
flight-128 · 2 years
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Les Affamés / Ravenous (2017) Robin Aubert
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art-vortex · 3 months
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(via Coussin avec l'œuvre « "Fureur du Loup Sauvage" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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arthur-lesters-balls · 8 months
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great movie for anyone who likes practical effects (the blood was amazing) and old lesbians using color-coordinated outfits in the apocalypse. not so great for anyone who likes a clear narrative and exploration of themes and characters.
i dont really understand the message of this movie. not because its a some complex or even overcomplicated narrative, but because it doesnt say much at all. i see a lot of concepts, mainly in the characters, but i dont see an execution. this is a work that would benefit a lot from having fewer characters. or at least not try to give an arc to every single one of them.
im particularly fond of the woman in the suit, who carried the machete. not only because the visual suit + blood is cool, or because she was really pretty covered in blood, but also because the themes that were hinted around her were very interesting. i think she could've flourished into an amazing work if given the right attention.
since i dont like to just say negative things, im gonna talk about my two favorite details:
1 the play with zombies not being zombies at all.
i loved how they were hard to identify most of the time, just looking like any random human beings. the best part, at least for me, was their screams. most of the movie was silent, but whenever a zombie was hurt, or killed, they yelled in pain. they were even more expressive than some of the non-contaminated human characters, and that was very interesting to watch.
2 the cinematography.
i dont really understand much about this topic, but some of the shots, especially those that were standing still or working with zooming, reminded me of the 70's horror movies i watched, which built a very cool vibe.
and, yeah, thats it.
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iweb-rdc001 · 1 year
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La RDC, le pays le pays le plus affamé de la planète, selon PAM
Pourtant un scandale géologique, la République démocratique du Congo reste hantée par son vieux démon d’un État extrêmement riche avec une des populations les plus pauvres du monde. Félix Tshisekedi sur qui reposaient tous les espoirs n’est malheureusement pas parvenu à changer la donne. Bien au contraire. Le programme alimentaire mondial (PAM) note que le Congo-Kinshasa est le pays qui note la…
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monempathieetmoi · 1 year
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J'aime ma caméra de surveillance ! Je viens de découvrir pourquoi je retrouve du pain sur ma terrasse. Et c'est une histoire à moustaches 😸
Mon chat déteste tellement ses croquettes speciales diabète qu'il a perdu du poids. Genre vraiment beaucoup (il refuse presque de manger).
A priori ça inquiète beaucoup son pote chat qui vit pas loin et qui lui dépose à manger la nuit 😅
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helene-tolden · 2 years
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Café Gaudi. Jour 12. Affamé
Quand Gaudi a un petit creux, Gaudi aime manger un éclair au café avec sa tasse de café.
Esp : Hambriento. Cuando a Gaudí le da un poco de hambre, a Gaudí le gusta comer un pastel con sabor a café con una taza de café.
Eng : Hungry. When Gaudi get a little peckish, Gaudi like to eat a coffee-flavored pastry with their cup of coffee.
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iranondeaira · 4 months
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Oui, tu leur diras
Oui, tu leur diras que l’amour existe et qu’il a toujours un après
Il faut s’aimer très fort et ça ne s’apprend pas.
On a vingt ans, trente ans et puis un jour soixante
Et pour s’aimer toujours, toi tu leur diras
Ça ne s’apprend pas
Ça ne s’apprend pas
Il y a d’abord l’aube dans le lointain des jours
Des corps qui se désirent comme de jeunes loups
Affamés et rompus au rythme de l’amour
Puis les serments du temps qui au fil des jours
S’effritent comme le mur que lézarde le temps
Des temps qui se retrouvent, des temps qui s’effilochent
On a peur, on se traque et pourtant…
Toi, tu leur diras que l’amour existe
Et qu’il y a toujours un après
Un temps où l’on se voit comme on est
Un temps où l’on se reconnaît
Et où l’on se rend grâces d’avoir survécu au naufrage du temps
À la grâce de Dieu qui nous a donné la vue
L’amour aveugle que d’autres ont ignoré
Toi, tu leur diras que l’on peut aimer
Que si le corps se lasse il y a d’autres vertus
Pour un prince des ténèbres qui a pu nous tenter
Combien de tendresse, combien de déchirements
Mais pour aimer, il faut être un enfant
Il faut tant de candeur, tant d’étonnement
Oui, tu leur diras que le bateau appartient à l’écume
Et l’écume au port
Où l’on revient toujours…
Jacques Brel
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olympic-paris · 3 days
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saga: Soumission & Domination 276
Espagne 4 les Plongeurs (2013)
Une des relations commerciales d'Ernesto l'appelle pour un plan très particulier. Il aurait besoin de 3 mecs recto verso pour " détendre " une équipe nationale de plongeon. Ernesto essaye d'en savoir plus, notamment la nationalité de l'équipe, pour qu'on puisse voir quels seraient nos clients, mais son contact refuse. Il nous dit juste que notre prix sera le leur. Il connait déjà le sérieux de notre société et compte sur notre discrétion.
Quand Ernesto nous en parle je lui dis qu'il n'a pas besoin de tergiverser. C'est bien sur, oui et qu'en plus ce sont les " patrons " qui s'y colleront en l'occurrence, lui-même, PH et moi. Pas question de laisser passer l'aubaine. Quelque soit l'équipe en question, ils sont tous plus canons les uns que les autres.
Ernesto rappelle son contact. L'accord se conclu sur une nuit à Barcelone dans le penthouse du mec, après que nous lui ayons envoyé nos tofs à PH et moi. Coté financier, la filiale espagnole va enregistrer une rentrée exceptionnelle !
Marc et Henri sont morts de rire quand nous les mettons au courant. Ils nous disent que c'est du flan et que nous allons nous retrouver avec un groupe de vieux à sucer jusqu'au matin. Juan, lui, nous accompagnerait bien.
Le jour dit, nous rejoignons l'appart d'Ernesto pour nous préparer. Epilations et rasages, séance de muscu pour bien faire ressortir nos muscles puis, douches et huilages réciproques. Pas question de passer pour du second choix.
Le client nous ayant demandé d'être ponctuels, nous débarquons chez lui à 21h30. Le mec a 50ans passé et a de beaux restes (pas de ventre et peau encore tendue). Il nous rassure en disant qu'il ne fait que nous héberger. Il nous dit de nous mettre à l'aise. Ernesto lui rappel que c'est un contrat que nous honorons. Il comprend le sous entendu et lui apporte l'enveloppe. Il ne se vexe pas que ce dernier recompte la somme. Les bons comptes font les bons amis !
Devant lui nous nous déshabillons. C'est vite fait, les tennis quittent nos pieds nus et les shorts et marcels les rejoignent au sol. Il nous arrête et nous gardons nos maillots. Nous attendons nos clients autour d'un verre de Coca. Il apprécie le fait que nous ayons refusé l'alcool qu'il nous proposait. Je lui dis qu'il a affaire à des professionnels. Il nous répond que c'est pour cela qu'il avait appelé notre société.
A 22h30 coup de sonnette, et cachés derrière un mec large d'épaule nous arrive trois beaux plongeurs en survêtements. J'en reconnais deux qui étaient parmi les plus canons du plateau de compétiteurs, le troisième n'a rien à leur envier.
Sans parler, le balaise les pousse jusqu'à la chambre et de retour nous dit d'aller les rejoindre. Quand nous arrivons, ils sont en train de quitter leurs survets. Ernesto leur dit d'arrêter et de faire leur premier choix. Cela fait nous nous chargeons de les mettre à poil. Ils sont bien musclés, épilés et bronzé sauf ce qui était protégé par leurs petits maillots. Leurs bites sont dans la normales, la " mienne " est circoncise avec un gland plutôt rond, les deux autres sont entières. Alors que nous n'avons pas encore été plus loin, ils bandent ferme ! À notre tour nous quittons nos maillots et Ernesto attire tous les regards avec ses 24cm !
D'un doigt sur la joue de mon plongeur, je tourne son visage vers moi et lui roule un patin où je mets toute ma science. J'ai le plaisir de voir que cela me détourne des autres. Il prend ma tête entre ses mains pour m'empêcher de me décoller de lui. Je le laisse mener. Il m'a l'air bien affamé et me mange la langue un bon moment. Quand il se décolle enfin je lui en fais la remarque en anglais. Il me dit qu'ils ont terminé la compétition et qu'ils n'avaient pas baisé depuis le début du championnat. Il me reprend la bouche tout en se collant à moi. Nos bites se touchent, se pressent l'une contre l'autre et mon gland pressé entre nos plaquettes d'abdos m'envoi plein de signaux sympas.
Mes mains descendent sur son dos et se posent sur ses fesses. Elles les contiennent sans mal vu leur taille modeste. Le mec est très étroit de bassin et son cul est petit et rond. Il ne réagit pas négativement quand j'écarte ses fesses et que je glisse mes doigts jusqu'à sa rondelle. J'ai même droit à un soupir de bien aise quand je passe mon index dessus. Je crois bien que c'est moi qui serai actif le premier. Je me dégage de ses mains et glisse doucement sur les genoux. Au passage je fais un arrêt tétons. Après les avoir suçotés et faits durcir, je sens que je peux y aller avec les dents. Ses gémissements me prouvent que j'avais raison et ils gonflent encore plus alors que je les mordille. Je descends plus bas et bute sur son gland plus tôt que je ne pensais. En fait s'il n'est pas très épais, il est relativement long et son gland remonte au dessus de son nombril, environ 21 bons cm. Je l'avale en entier. Il est surpris, c'est limite qu'il m'aurait direct juté si je n'avais fortement enserré ses couilles et la base de son pénis, façon cockring avec mes doigts.
Il se calme et lentement je le pipe en gorge profonde. Il me dit que c'est la première fois qu'un mec lui fait ça. Entre deux plongeons sur son intimité, je lui demande alors si une meuf le lui avait fait. Il me dit que de ce coté là il était vierge. Un vrai Pd, ça change de tous ceux qui se disent bi ! Du coup j'y mets encore plus de coeur. Quand il me dit d'arrêter sinon il allait vraiment juter, je le retourne et attaque sa rondelle. Ses deux petites fesses blanches cachaient un anneau rose vif, encore très rond et bien plissé. J'y pose ma langue et le sens frémir. Quand je lui fais la remarque que sa rondelle n'a pas l'air d'avoir beaucoup servie, il me dit entre deux halètement que seulement 3 fois jusqu'à ce soir. Avant de replonger le nez entre ses fesses, je l'assure que s'il aime ça, il va minimum doubler ce chiffre avant demain matin.
J'ai plaisir à le préparer. Je fais appel aux souvenirs des pratiques de Trader sur ma propre rondelle pour sortir le grand jeu. Il aime suffisamment ça pour me demander de l'enculer. Je le mets en levrette, me kpote, graisse ma bite et sa rondelle (pas de poppers, c'est dans le contrat (ils sont susceptible d'être contrôlés à tout moment).
Je pose mon gland sur son petit trou et lui dis de reculer à son rythme pour qu'il me fasse entrer. Il essaye mais se crispe un peu trop. Je reprends les choses en main. Je pose mes mains à sa taille et le tire un coup sec vers moi. Mon gland entre en force. Ça lui arrache un petit cri, vite réprimé. Je lui dis que maintenant il peut reculer à son rythme. Il y va doucement mais à chaque va et vient s'enfonce un bon cm de plus de ma bite dans son trou. Il est étonné quand son dernier coup de rein fait rentrer en contact ses fesses et mon bassin. Je me penche alors sur son dos et lui tourne la tête pour lui rouler une pelle. Nous nous mangeons nos langues jusqu'à ce que je sente sa rondelle se détendre un peu. Je commence alors un limage de compétition, destiné à lui faire comprendre que c'est trop bon pour ne pas recommencer plus tard. Tout en lui labourant le cul, je pense à l'effet que lui fera la bite d'Ernesto.
Je vérifie qu'il bande toujours. Dans ma main je sens la peau de son gourdin tendu sous l'afflux de sang. Il me dit de ne pas le branler, trop proche de l'explosion finale.
Nous changeons plusieurs fois de position. De face, ses chevilles sur mes épaules, il me tire vers lui pour qu'on se refasse une bataille de langues. Je m'enfonce tout au fond de lui et pousse sa tête vers mon téton libre. Il comprend et me tète le pec. Ça m'excite au plus haut point et je ne tarde pas à remplir ma kpote à grands coups de rein qui défoncent à chaque passage sa prostate. J'ai le plaisir de sentir couler entre nos abdos ses jets de sperme. Bloqué tout au fond de lui, je lui roule un patin alors qu'il continu à se vider. J'ai beau savoir que le sperme ne se stocke pas pendant des semaines, c'est pourtant l'impression qu'il me donne. Quelques minutes pour reprendre nos esprits et nous regardons autour de nous. Ernesto se fait enculer par son plongeur (le plus grand des trois). Il a l'air de bien apprécier tout comme PH qui est dans la même situation. Nous les regardons se finir. Les deux sportifs explosent dans leurs kpotes alors que mes " collègues " se retiennent.
Fin du premier round. Passage dans la salle de bain pour tout les 6 puis nous déboulons dans le salon où le balaize discutait avec l'organisateur. Il a l'air un peu gêné de nous voir tous à poils et fait la remarque à ses ouailles qu'ils auraient pu mettre un slip. Je rattrape le miens qui se tournait pour rentrer dans la chambre et, avant qu'un des trois ne réponde, je lui dis que ce n'était pas la peine puisque nous avions loin d'avoir fini. Nous venions juste nous désaltérer et grignoter un peu avant de remettre ça. J'ai le plaisir de voir le mec rougir. L'organisateur lui dis de se calmer que les rideaux sont tirés et que de plus l'appartement n'a pas de vis-à-vis, qu'il n'y a pas de risque de paparazzi. Il est déjà 2h du matin !
Nous retournons dans la chambre chargés d'un plateau recouvert de canettes et de bouffe. Nous discutons un peu et ils se lâchent. Ils sont coaché un maximum et n'ont pas beaucoup de liberté. C'est parce qu'ils avaient eu de très bons résultats qu'on leur avait accordé cette soirée. Je prends le plongeur d'Ernesto pour recommencer la baise. C'est le mieux membré et j'ai préférer ses coups de rein à celui de PH. PH s'occupe du mien et Ernesto s'occupe d'élargir le trou de celui de PH. Il vaut mieux que mon " presque vierge " passe par la sodo de PH avant de se prendre les 24 x 6 d'Ernesto ! Et puis l'apothéose c'est toujours en final.
Nos corps font connaissance. Il est aussi grand que moi et notre 69 est confortable. Quand j'enfonce son gland de l'autre coté de ma luette, il en fait de même avec le mien. Il me semble plus expérimenté que mon premier. Il est plus " mâle " dans son comportement mais il ne pourra m'empêcher de l'enculer quand même ! Coté poils, il est complètement rasé, c'est pas moche. Le premier ma langue dépasse ses couilles et va titiller sa rondelle. Il me rend la pareille et nous nous bouffons un bon moment nos rondelles. J'applique les mêmes principes que pour son pote et ça l'air d'y faire puisque, fréquemment, sa langue quitte mon cul pour soupirer de plaisir. Sous ma langue je le sens se détendre et j'arrive à la faire entrer sur le premier cm. De mon coté je le laisse pénétrer le plus loin qu'il puisse, environ 2cm d'après les sensations qui m'arrivent de ce coté là.
Je pivote, équipe ma bite de son costume en plastique et le tourne sur le dos tout en relevant ses jambes. Il m'aide en posant ses mains sous ses genoux et les tirants vers lui, relève son cul à la bonne hauteur. Je m'empresse de le pénétrer. Ma queue glisse sans grande résistance jusqu'à l'os. Je me penche alors et passant mon corps entre ses cuisses, pose mes lèvres sur les siennes. C'est notre premier baiser. Plus brute que son pote, il m'aspire/tète ma langue. Ma tête fixée à la sienne, je commence à faire bouger mon bassin. Lentement d'abord, j'accélère pour bien le chauffer. Je le baise ainsi un moment avant qu'il ne me demande de me coucher sur le dos. Je me dis que ça va être mon tour mais non, il s'assoit sur ma bite, dirigeant le rythme. Ses mains en appuis sur mes pecs, il joue des cuisses pour s'enfoncer plus ou moins vite et plus ou moins profondément mes 20cm. Sa belle bite bande sans discontinuer depuis que nous avons commencé à jouer. Il se relève complètement et me demande de me placer à genoux. Je m'exécute et cambre bien mes reins. J'entends un " bitch " qui me flatte. Aussitôt après son gland perfore mon intimité. Je le laisse pénétrer jusqu'aux couilles et là, serre mon sphincter. Alors qu'il s'apprêtait à ressortir, il se trouve bloqué. Il est impressionné et me demande comment je fais ça, que ça pourrait lui servir des fois. Je ne le questionne pas sur ce qu'il entend par là et en deux trois phrases, lui explique mes exercices de contractions anales. En attendant je l'ai " libéré " et il me lime sur la longueur totale de sa queue. J'aime effectivement sa façon d'enculer. Il sait faire profiter de son gland débordant et joue souvent sur les 10/15 premiers cm de pénétration, se retirant sèchement dès qu'il sent que ce dernier vient de dépasser ma prostate.  C'est très efficace et plusieurs fois je me serre les couilles pour ne pas partir trop vite. J'explose quand il me prend la main m'empêchant de réfréner mon éjaculation. Tout en jutant, je n'oublie pas de serrer mon anneau et j'ai le plaisir de le sentir venir aussitôt. Il remplit sa kpote alors que je n'ai pas fini de juter.
Quand nous regardons autour de nous, il ne reste que PH en train de labourer le cul de mon petit plongeur avec les conseils d'Ernesto. Je note qu'Ernesto bande encore alors que je suis sur les genoux tout comme les deux autres plongeurs. Ces derniers demandent à Ernesto d'enculer leur copain. Ils ajoutent qu'il est grand temps qu'il se fasse défoncer par du XXL. PH, bien qu'il n'ait pas encore fini cède sa place et se place devant pour se faire sucer. Sa bite bâillonne le petit mec et c'est aussi bien car quand Ernesto le pénètre, il ne peut retenir un râle puissant.
Ernesto fait attention. Il sait bien que sa queue peut être parfois délicate à recevoir. Les deux autres plongeurs encouragent leur copain et lui expliquent de bien se détendre. Ernesto ajoute du gel et il réussit enfin à s'enfoncer jusqu'au bout. PH, déjà bien excité par son passage de l'autre coté, s'achève sur la tête de l'enculé. Nous voyons ses jets de sperme s'enfoncer dans les cheveux courts du plongeur. Une fois ses couilles taries, il nous rejoint au spectacle.
Ernesto dispose maintenant seul du corps de l'athlète. Il nous gratifie d'un véritable spectacle érotique. Il joue du jeune plongeur comme un véritable musicien. Utilisant son corps comme d'un violon, sa bite lui sert archet. Sous ses coups appuyés, le sportif se tord, ondule et en réclame toujours plus. Ses collègues nous disent qu'en une soirée, il aura rattrapé son retard d'expérience. Ils nous disent qu'il n'aura plus aucune difficulté à être régulièrement sélectionné dans l'équipe nationale. Quand nous essayons d'en savoir plus, ils nous demandent d'oublier leur dernière remarque.
De voir ces deux corps prendre du plaisir, nous excite et nous bandons tous à nouveau. Echanges de main, pas question de perdre de vue nos deux baiseurs !
Ils finissent quand même par exploser tous les deux. Le plongeur sous les coups de bite répétés d'Ernesto éjacule sans avoir eu besoin de se branler. Notre ami rempli sa kpote avec de grands coups de rein qui propulsent à chaque fois le ptit mec d'un bon mètre avant qu'il ne le ramène vers lui par les hanches. Nous les rejoignons et, debout, nous jutons les uns après les autres sur leurs corps encore emmêlés. Douches pour tous. Dernières caresses sur leurs peaux douces et imberbes puis nous nous rhabillons. Dans le salon, l'organisateur et le coach nous attendaient. Il demande à ses sportifs s'ils sont contents. Nous avons le plaisir de les entendre dire qu'ils avaient passé une superbe nuit et avant de partir, ils reviennent vers nous pour nous rouler à chacun une pelle.
Nous quittons notre hôte, ravis de la superbe nuit que nous avons passés chez lui.
Jardinier
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Everything at Once part 2
Dieter Hellstrom x Orignal Fem Character
Hiiiii. Thank you so much for the support for the first part! Here is part 2. Part 3 should be up in a few days! 😘😘😘😘
Warnings: cursing, N*zis, angst, discrimination, Dieter is kind of a dick, soon to be smut (still in the works you horndogs) violence maybe in the future. Still working out the kinks 😉😘 I do not support N*zis in any shape or form WWII should not be glamorized into thinking what N*zis did was okay. This is just for fun, for the Inglourious Basterds fandom, especially Hans Landa, Dieter Hellstrom and Landstrom ship.
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"Why are you so incompetent, Hellstrom!? No wonder you'll never be promoted!" Hans scolded his inferior while cutting his strudel into a small bite. "I dont give a single fuck if your stressed out. You know your place."
Dieter rolled his eyes again when Hans wasn't looking. Why does he care? She is just a stupid waitress. He played with the strudel with his fork and glanced at the girl.
Her long curly blonde hair whipped around softly as she was scurrying around the kitchen making more pastries. Her hair was half kept up in the center back of her head with a golden jewel clip. She was short for her age, and very thin perhaps due to little rations of food she could find or made. The Germans took nearly everything.
There was small freckles around her face dusting above a pink blush.
Just a stupid waitress...
Her skin looked soft and well kept, perhaps the French did bathe. He looked down her body and her waist. There was a distinct cinch in her blue dress that made his mind wonder.
Stupid...
He found himself thinking of undoing her apron. The ties where so loose, her hair became looser as she moved.
Dieter hasn't been with many women due to his busy schedule and little interaction makes me nervous when one is near. He found his face getting warm.
Camille brushed away a stray hair accidentally getting flour on her head. Dieter snorted softly. Stupid.
"My my Dieter..." Hans began. "You smitten little fox you..." Dieter choked on a breath and looked at his superior in shock.
"WHAT?" He shouted accidentally. Camille looked over startled.
He glared at the girl. "What are you looking at?" He coldly asked her. Her face got extremely hot, she shook her head and went back to what she was doing.
"Dont act like you dont know Hellstrom. You clearly like her." Hans whispered smugly. "Do you know why little boys pull little girls' pigtails on playgrounds?" Dieter sighed. What a stupid metaphor...
"I dont like her, Landa."
"Oh please." Hans chuckled, knowing the truth.
"I dont. And that's final, Hans." Dieter warned. I'm not in the mood for your little mind games, Landa he thought.
After a few more minutes the men got up to leave. Normally the Nazis would just leave and not pay. Hans set down a few bank notes for the girl and smiled when her face lit up.
"Oh merci beaucoup, Monsieur! Merci!" Camille beamed and took the money holding her heart in disbelief. She makes almost no money after years owning the cafe and years of being the single employee.
(Thank you so much, sir. Thank you!)
Hans walked out first. Camille's gaze fell upon Dieter. Her smile slowly faded, scared if he'd snap at her again. His heart sunk.
"Je suis désolé, mademoiselle. Tu peux prendre le strudel, tu as l'air affamé." He said quietly and handed the dish back to her. She softly smiled and looked up at him. He had more emotions in his eyes now...
(I am sorry, miss. You have the strudel, you look hungry)
"Merci, monsieur..." she replied quietly.
When she took the dish from the man's hand, their fingers slightly brushed over eachother.
Camille gasped quietly and Dieter's heart rate skyrocketed.
They looked up at eachother.
Dieter coughed slightly and handed her a few banknotes of his own. Camille looked at him in disbelief... he nodded to assure her.
"Au revoir." He said plainly, tapped his boots together and tipped his hat at her.
She genuinely smiled at him as he left the cafe to join his superior.
"What a strange man..." Camille thought a loud. She watched the men talk and smoke cigarettes outside, respecting the No Smoking sign inside the cafe. Sure, she'll let Nazis come in but they shall not smoke as the smell and literally everything else about cigarettes destroy her pastries. Maybe very un-French of her.
All of a sudden, another German man in uniform went up to the gentleman and saluted. Ugh...another Nazi? Camille thought.
This man was average height, a little mousey. Perhaps in his twenties, not much a rank shown. He wore a proud, patriotic smile as he chatted with the men. The other two talked with him, looking a little irritated.
Maybe the mousey man was a just a Private? Camille thought and she rolled out some more dough. Papa always said the younger soldiers were the most irritating. They think they know everything
After a few seconds, the bells to the cafe door rung again and Camille looked up and saw the mousey soldier. His face lit up in more joy, if that was possible.
"Bonjour Mademoiselle..." the mousey soldier said looking Camille up and down. She didnt smile back. (Hello miss...)
"Bonjour, soldat." She replied simply, barely making any eye contact. (Hello soldier).
"Je suis plus qu'un simple soldat" he said. (I'm more than a soldier) he kept eyeing her like a prize. Camille did found him quite handsome but there was something off about him. He seemed familiar and strange. Her friend would tell these stories of a Nazi baby solider following her around like a lost puppy, never giving her a moment's peace.
As the two started simply talking about unfortunately the mousey man's involvement in the German Army, her mind went to a paler...suspicious...taller...black leather clad man...
As this was happening, Dieter, smoking still waiting for the driver to come back around the block, looked in the window nonchalantly.
Frederick...
His knuckles went white as he clenched his fists. He cleared his throat, trying not to just rage. Fuck that shrimp of a boy. He thinks because he is a war hero, he gets whatever he wants. Dieter thought angrily.
Hans noticed his angry subordinate. "I told you, idiot."
Dieter rolled his eyes the millionth time. "Shut up."he said behind his breathe.
"Never doubt me, Major." Hans said as their car pulled up.
To be continued...
@whore4waltz @rurivu @xoxocillian @fridaycanbesadsometimes @racheljo47 @whitechoc135 @officerh4t @blueberrypancakesworld @hanslandasstrudel
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lisaalmeida · 7 months
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La perfection me rend malade, me dégoûte. Toutes ces femmes et ces hommes qui cherchent la perfection dans les stéréotypes créés par la société me filent le vomi.
Putains de mannequins de viande, sans personnalité ou de l'amour pour eux-mêmes.
Mêmes vêtements, même musique, les mêmes expressions, mêmes aliments, mêmes défoncées, les mêmes voitures, mêmes vies... et à la fin ? Mêmes suicides neuronaux de masse.
Pourquoi vivre comme un automate est sans l'ombre d'un doute ?... un suicide. Quand on est tous "égaux", On est tous ces personnes.
La perfection est un oiseau en cage qui vit, mange, chie et meurt dans le seul but d'être admiré.
Je veux vivre libre, gelé, affamé mais libre.
Charles Hank Bukowski
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elodiecsu · 7 months
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Ce matin nous déjeunons après avoir déposer les enfants.
Puis canapé ou je m’allonge en mettant mes pieds sur tes jambes, tu es assis .
Tu masse pieds , jambes, cuisses, mes seins.
Te voilà sur moi , entre mes cuisses, ta bouche sur mon cou , une protubérance presse mon entrejambe.
Tu enlèves ton sweat-shirt, sors mes seins de mon soutif et les lèches.
Tes fesses sont précieuses dans mes mains et mon bassin gigote contre ton pantalon.
Tu sors ta verge par ta braguette, je n’ai pas le temp de la saisir que tu ecarte mon body et remonte ma robe .
Un missionnaire de père et mère s’en suit puis affaler , jambe sur tes épaules, ta verge est maintenant une queue large qui me fait couiner comme une amante .
Cette queue devient une bite affamée qui s’engouffre dans mon petit trou en me rappelant que tu dois te vider, telle est ton devoir de féconder.
Tu m’embrasse, referme ta braguette , ta verge et toi doivent aller en ville .
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art-vortex · 1 year
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(via Tablierundefined avec l'œuvre « "Féroce Appétit : Festin Carnassier" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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iweb-rdc001 · 1 year
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La RDC, le pays le pays le plus affamé de la planète, selon PAM
Pourtant un scandale géologique, la République démocratique du Congo reste hantée par son vieux démon d’un État extrêmement riche avec une des populations les plus pauvres du monde. Félix Tshisekedi sur qui reposaient tous les espoirs n’est malheureusement pas parvenu à changer la donne. Bien au contraire. Le programme alimentaire mondial (PAM) note que le Congo-Kinshasa est le pays qui note la…
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beyescollector · 3 days
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Hands all over my body like a pack of hungry hyaenas.
Des mains sur tout mon corps comme une meute de hyènes affamées.
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prosedumonde · 8 days
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Déjà je me vois oublié comme ces vieilles ancres.  Les quais sont plus tristes quand le soir jette les amarres.  Ma vie inutilement affamée se fatigue. J’aime ce que je n’ai pas. 
Pablo Neruda, Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée
VO : 
Ya me veo olvidado como estas viejas anclas. 
Son más tristes los muelles cuando atraca la tarde. 
Se fatiga mi vida inútilmente hambrienta. 
Amo lo que no tengo. 
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olympic-paris · 1 day
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saga: Soumission & Domination 277
Espagne 5 fin et retour (2013), Août, Emma, trader, Jona et François
Nous avons du raconter par le menu notre nuit à nos comparses. Juan est jaloux et aurait bien aimé profiter aussi des sportifs de passage. Paco, ironique, le remercie et lui rappelle qu'il avait quand même asséché leurs trois paires de couilles pendant ce temps là et que cela n'avait pas eu l'air de lui déplaire. Nous sommes curieux et c'est leur tour de nous raconter leur soirée.
De dépit (de n'avoir pu nous accompagner), Juan n'ait eu de cesse de chauffer son mec et les deux nôtres l'un après l'autre et même les trois en même temps, jusqu'à ce qu'ils lui fassent sa fête. L'apothéose étant réalisée avec une double sodo par Marc et Hervé alors qu'il se faisait défoncer la gorge par son Paco.
Quand nous entendons ça, nous l'attrapons et avec des chatouillis qui le font se tordre comme un vers, nous le balançons dans l'eau de la piscine avant d'y sauter à notre tour.
Le reste du séjour en Espagne se passe plus " normalement ", si on peut dire ça, entre siestes au soleil, baises, bouffes et muscu.
Au retour, Marc a remplacé Ernesto au volant de ma SLS, (Ernesto et Hervé restent 3 semaines de plus à Barcelone). Avant de partir j'avais joint au téléphone nos nouveaux amis motards (ceux de la gendarmerie) pour savoir où ils seraient affectés lors de notre trajet de retour. Nous fixons un rendez vous sur une aire de repos pas loin de Bordeaux. Quand nous les présentons à Marc, il comprend aussitôt ce qui nous avait attiré chez eux. Jeunes, beaux mecs épaules larges avec des muscles qui tendent leurs uniformes, plus des paquets proéminents et prometteurs et culs pareils. Ils ne peuvent nous escorter que sur les 100 km qui viennent. Nous en profitons pour les suivre à pleine vitesse. Une toute, toute petite demi heure plus tard, nous nous séparons non sans avoir pris rendez vous chez nous pour leur prochain WE de récupération.
L'arrivée chez Marc (à la campagne) est une fête. Bien que nous ayons plus de 1000 Km dans les bras, nos beurs ont préparés une petite réception.
Nous retrouvons Franck dont nous hébergeons les amours avec son " p'tit " Louis qui travail pour son oncle au bar du village dans la journée. Ils sont sur le départ, le grand père de Franck les ayant invités 15 jours à l'ermitage à La Baule.
Avec PH, nous tombons vite dans les bras de Morphée ! Ce n'est que 14 h plus tard que nous émergeons affamés, d'un sommeil réparateur.
Je me laisse une journée avant de reprendre la main sur mes affaires. Farnienté, piscine pour détendre nos muscles martyrisés par la position en Z maintenue la veille sur nos motos.
Je fais le point sur mes " employés ". Une tonne de mail remplit ma boite. De chacun j'ai reçu régulièrement un point sur leurs vacances organisées. Aucun n'a eu de problème (sinon je l'aurai su aussitôt, ils ont mon n° de portable).
Jona et François sont rentrés avec Emma et sont partis à leurs " stages ". Eux ne m'ont envoyé qu'un seul message où ils me remercient encore de la confiance que je leur avais témoigné en leur confiant la sécurité d'Emma. Ils me disent qu'ils auront quelques jours de libre mi août après leur initiation au parachutisme et avant d'attaquer une autre matière ! Après avoir téléphoné à Emma, je leur réponds qu'ils devront atterrir chez elle où je les rencontrerai.
En effet ma " mère " s'est attaché à leur duo/couple et à sa capacité à lui donner du plaisir. Sachant Ernesto en Espagne jusqu'à la fin du mois, elle me dit qu'elle profitera de ce WE pour faire l'amour avec nous 4 (eux plus PH et moi). Je la taquine en lui disant qu'elle s'est encore plus dévergondée pendant ces vacances en Grèce. Elle me dit que c'est de ma faute puisque j'avais insisté pour qu'elle les emmène dans ses bagages !
EMMA Avec PH nous passons la voir deux jours plus tard. Elle est toute bronzée et, PH comme moi, nous la trouvions plus " tonique " qu'avant son départ.
Elle nous dit qu'en plus de l'avoir régulièrement approvisionné en beaux jeunes mecs, Jona et François avaient continué à l'entrainer au Krav Maga. Ça, plus les bains de mer et les parties de jambes en l'air, avait développé chez elle une musculature fine, harmonieuse et bien présente. J'en fais les frais alors que nous luttons ensemble et que j'y vais mollement pour ne pas l'abimer. Je me retrouve le cul par terre, immobilisé entre ses jambes. Elle me libère et je la prends plus au sérieux. Après une bonne heure à jouter sous les yeux de PH, j'admets qu'elle a sacrément progressée et qu'elle est à même de maitriser la plus part des mecs susceptible de l'embêter.
Nous passons le reste de l'après midi dans sa chambre à nous rappeler les zones érogènes de nos corps respectifs.
Sa chatte est encore plus douce, l'épilation totale et permanente, ça a du bon. Sous ma langue ses grandes et petites lèvres s'écartent pour me laisser lui lécher le bord interne. J'alterne avec son clito. PH s'occupe de l'autre entrée et c'est à cheval sur nos deux bouches qu'elle prend son premier plaisir. Aussitôt calmée, nous la faisons glisser entre nous et nos bites viennent naturellement remplir ses deux orifices bien lubrifiés par nos salives. Je sens son vagin compresser ma queue. Ses contractions volontaires m'enserrent presque autant qu'un sphincter anal. PH de son coté nous dit apprécier le fourreau dans lequel il s'est enfoncé. Nous la labourons avec fougue histoire de lui faire un peu oublier les éphèbes grecs qu'elle avait chevauchés. Ce que j'aime par dessus tout c'est sentir la bite de mon amour frotter contre la mienne à travers les parois interne d'Emma. Nous synchronisons une pénétration en décalage complet. Cela multiplie les frottements de nos glands entre eux et donne un effet de pompe qui rend Emma folle. Comme je suis en face d'elle, je me penche et ma bouche lui ventouse un de ses tétons. Sous ma langue je le sens gonfler et se raidir. Quand je le mordille, elle laisse échapper des soupirs proches de l'extase. Je retire ma tête, faudrait pas qu'elle parte trop vite. Je dis à PH de venir me rejoindre dans le même trou. Il file à la salle de bain nettoyer sa bite et nous rejoint en moins d'une minute. Pendant ce temps là nous avons changés de position. Je gis sur le dos, Emma est venu se planter ma bite dans le vagin dos à moi. Quand PH arrive elle écarte les cuisses et se renverse sur mon torse pour lui dégager le passage. Je sens PH s'installer à genoux entre mes cuisses et bientôt son gland vient rejoindre le mien au fond d'Emma. Sans aucune parois entre nous deux, c'est encore meilleur. Emma semble aussi de cet avis et d'elle-même bouge pour se frotter à nous.
Nous sommes si bien serrés tous les deux ensemble que nous n'avons même pas besoin de l'enculer pour jouir nous aussi. Ça nous a fait plaisir de reprendre nos "habitudes " avec ma mère. Mais nous sommes impatients d'arriver à la mi-août et de nous la faire avec Jona et François.
TRADER Le Trader m'appelle de Londres, il aimerait disposer de deux Escorts pour le WE à venir. Je vérifie vite qui est libre. Entre ceux qui sont encore en " vacances ", ceux qui sont vraiment en vacances et ceux qui sont en stage, il ne me reste plus grand monde.
Clem(ent) et Ben(oît) sont ravi de partir un WE en Angleterre. C'est la première fois qu'ils voyageront en première classe. Je leur donne les indications concernant le client, ses spécificités, notamment son addiction à la cocaïne et du coup ses capacités sexuelles hors norme. Ils m'assurent qu'ils seront sérieux coté " poudre " et qu'avec l'expérience acquise auprès de mes clients TTBM, ils assureront sans problèmes. J'ai toute confiance en eux, ils sont sérieux et professionnels.
A leur retour ils me font leur rapport. Ils ont été ravis de leurs deux jours. Par contre ils me préviennent que le client avait invité deux amis à lui et qu'ils s'étaient fait enculer par les trois. Je leur demande pour la cocaïne. Ils me disent qu'ils n'en ont pas été témoins. Par contre ils en ont bien senti les effets sur les grosses bites qui les ont enculés sans relâche. Je les engueule un peu car ce genre de problème doit m'être aussitôt remonté. Je leur rappelle que s'ils ont mon n° de portable c'est pour des cas pareils.
J'appelle aussitôt Londres et rappelle au client les termes du marché, en l'occurrence que le contrat ne prévoyait qu'un " consommateur " seulement. Il m'explique que ses amis avaient débarqués sans prévenir et qu'ils n'avaient pu se retenir devant les deux Escorts que je lui avais envoyé. Il comprend mon déplaisir et me dit qu'il m'envoie aussitôt un virement pour s'excuser. De peur, je pense, que je le mette sur liste noire, il quadruple carrément le montant initial. Je lui donne mon accord mais le prévient qu'un nouveau coup de ce genre et il en verra plus aucun de mes Escorts aussi bien les Français que ceux de la filiale Espagnole. Il m'assure que cela n'arrivera plus et que par défaut, il ne prendra que le forfait " multi partenaires " maximum. Nous discutons un moment car je lui dis que je ne fais que du sur mesure. Il me demande alors si j'ai déjà " loué " pour des gang bang et pour combien. Je me remémore vite fait à ceux que j'avais organisé pour " calmer " Ric. Je lui annonce un maxi de 10 clients et ajoute que le tarif serait de 100 K par plan. Soit 10 x les 10 K que je lui ai jusque la facturé par Escort. Je le sens hésiter un peu et il accepte. S'il m'a dit vrai sur ses primes annuelles de plus de 5 millions, c'est pas ça qui va le gêner !
 Mi-août
Jona et François débarquent chez Emma le 15 août après avoir passé quelques jours dans leurs familles respectives. La première fois où nous nous revoyons, ils me sautent spontanément tous les deux au cou. Heureusement que je suis un peu plus grand qu'eux, j'ai failli me retrouver par terre. Ils sont superbes. Encore tout bronzés de leurs vacances avec Emma, ils sont dans une forme éclatante. Faut dire que 15 jours de sport intense avec leurs collègues militaires, ça donne la pêche.
Alors qu'ils commencent à nous raconter leur stage, je sens Emma impatiente. Je les coupe et propose de migrer vers la piscine. Nous sommes vite tous les 5 à poil. Je remarque que leurs deux petits culs sont tout bronzés. Comme je m'en étonne, ils me disent en coeur qu'ils avaient quasiment passé toutes leurs vacances à poil (façon de dire vu le peu de toison qu'ils laissent pousser).
Emma plonge la première. Nous la rejoignons et après quelques minutes, nous la coinçons. A 4 nous la sortons de l'eau. Après avoir étalés les matelas de bronzage, nous commençons à nous occuper d'elle. Nous n'avons pas trop de l'après midi pour tester les différentes combinaisons, toutes nous ammenant à remplir les trous de madame. L'apothéose, Emma baisée par François qui se faisait enculer par PH alors que Jona la sodomisait pendant que je l'enculais (Jona). Pas très stable ni très facile à gérer mais hyper bandant.
Lorsque nous la laissons enfin, Emma n'en peut plus. Nous ne sommes en meilleur état ayant tous jutés au moins deux fois sinon trois.
C'est alors que nous sommes encore étalés à reprendre nos souffles que Pablo nous apporte de quoi recharger les batteries. Si Jona et François ont un mouvement de surprise, avec PH je me lève et viens embrasser notre ami. Nous faisons un sort au plateau pourtant bien garni qu'il nous a apporté. Comme Emma s'est installé dans une méridienne, je note que mes deux Escorts sont venus naturellement s'assoir de pars et d'autre, l'encadrant d'une présence protectrice.
Nous discutons enfin de leur stage parachutisme. Ils nous disent que leur arrivée avait détonné à la base. Deux jeunots en voiture de sport (je leur avais laissé leur RCZ), tout bronzés, avait perturbé la routine et ils avaient passés 1/2 heure à prouver leur identité et à faire comprendre la raison de leur présence. C'est leur copain (ex casseur de Pd dont ils avaient cassé le cul) qui est venu les récupérer. Ils nous disent avoir kiffer les sauts, même si l'entrainement au sol les avait barbés. Ils s'étaient aussi bien débrouillés que leurs potes de la formation alors qu'eux sont déjà des militaires. Juste une fois ils se sont fait prendre à parti par une bande de Para imbibés que leur présence énervait. Avec l'aide des autres " recrues " c'est eux qui leur avaient filé la pâté. Jona nous a prévenus qu'à la rentrée, il gérera le physique de mon groupe d'Escort. Aux cours de krav maga et de muscu, il va ajouter un coaching personnalisé (son sujet de stage pour on année de sport étude) et alimentaire. Quand PH lui dit qu'il est en train de nous faire une petite armée, il nous assure que c'est d'abord pour la propre sécurité de chacun qu'il le fera. J'accepte mais uniquement s'il accepte d'être payé pour cela. Brève discussion où je fini par avoir raison (après tout c'est moi son boss non ?!).
Quand nous les quittons, Emma me dit qu'elle les garde pour la fin de semaine qui vient et me dit de lui facturer ce que je veux. Jona et François nous accompagnent à nos motos. Je leur dis juste d'être plus discrets qu'en Grèce, rapport aux voisins (même s'ils sont loin et sans vues directes sur la maison), pour Pablo, par contre c'est sans problème et s'ils ont besoins de quoi que ce soit, qu'ils lui demandent. Quand je leur dis que c'est le frère d'Ernesto qu'ils ont croisé au Blockhaus, ils sont rassurés.
Jardinier
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