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#alexandre bleus
alexandrebleus · 1 month
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L’implacable Réel ! (Alexandre Bleus)
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Chers amis,
Dans la topologie élaborée par Jacques Lacan, nous vîmes que le Réel ne saurait être appréhendé isolément mais plutôt qu’ il s’inscrit dans une relation dialectique avec les deux autres registres de l’expérience humaine : le Symbolique et l’Imaginaire. Ces trois ordres, inextricablement liés, constituent la structure même de la subjectivité et déterminent les modalités d’interaction du sujet avec le monde et avec lui-même.
Pour faire bref, on peut dire que le Symbolique, pour Lacan, est le domaine du langage, de la loi, de la culture. Il est l’ordre de la signification, là où les mots et les symboles organisent notre expérience et lui donnent un sens. C’est par l’entrée dans le langage que l’enfant accède à la dimension symbolique et devient sujet. Le Symbolique est aussi l’ordre de l’interdit, de la castration, qui limite le désir et le soumet à la loi du père.
L’Imaginaire, quant à lui, est le domaine de l’image, de la représentation, de l’identification. C’est l’ordre du moi, où le sujet se construit une image de lui-même à travers le regard de l’autre. L’Imaginaire est aussi l’ordre du fantasme où le sujet tente de combler le manque et de retrouver une unité perdue.
Face à ces deux ordres, le Réel se présente comme ce qui résiste à la symbolisation et à l’imaginaire. Il est l’impossible à dire, l’irreprésentable, l’irréductible à toute forme de maîtrise. Le Réel est le lieu du trauma, de la perte, de la castration. Il est ce qui fait retour dans notre vie sous la forme du symptôme, de l’angoisse, de la répétition.
Ces trois ordres (Réel, Symbolique et Imaginaire, le fameux trio RSI) ne sont pas séparés mais s’interpénètrent et se conditionnent mutuellement. Le Symbolique structure l’Imaginaire et tente de maîtriser le Réel. L’Imaginaire donne une forme au Réel et cherche à le combler. Le Réel, quant à lui, fait irruption dans le Symbolique et l’Imaginaire, les déstabilisant et les mettant en crise. Cette dialectique des trois ordres est au cœur de la formation du sujet et de sa relation au monde. Le sujet est pris dans un jeu constant entre ces trois ordres, cherchant à trouver un équilibre précaire entre le désir et la loi, entre l’illusion de la maîtrise et la confrontation avec l’impossible.
Le Réel, en tant qu’impossible à symboliser et à imaginer, constitue un point de butée pour le sujet. Il est ce qui résiste à toute tentative de totalisation, de clôture, de maîtrise. Le Réel est ce qui nous rappelle notre finitude, notre incomplétude, notre contingence. Si la réalité, comme le dit Lacan, n’ est qu’ un fantasme, le Réel en est le bord irréfragable !
C’est dans cette confrontation avec le Réel que le sujet peut accéder à une véritable subjectivation. En acceptant l’impossible, en reconnaissant la limite, le sujet peut se dégager des illusions de l’Imaginaire et des aliénations du Symbolique. Il peut alors accéder à une forme de liberté, une capacité à inventer sa propre réponse face à l’incontournable réalité du Réel. Toute pathologie trouve sa genèse dans un dérangement du sujet relativement au Réel, à cette limite qui signe, en fait, la contingence de l’ existant qu’ est l’ humain. L’ humain est malade de sa finitude et le Réel, dans son inflexible logique, vient lui rappeler qu’ il n’ est qu’ un être contingent.
Le Réel, s’il est un point de butée, est aussi une source de création. C’est dans la confrontation avec l’impossible que le sujet peut inventer de nouvelles formes de symbolisation, de nouvelles modalités d’existence. Le Réel est ce qui pousse le sujet à se dépasser, à créer, à innover. Et c’est dans cette perspective que Lacan parle de la sublimation comme une manière de transformer la jouissance du Réel en une création artistique, intellectuelle, ou sociale. La sublimation est une façon de répondre au Réel, non pas en le niant ou en le fuyant, mais en le mettant au travail et en le faisant servir à une production qui enrichit le sujet et le monde. Le Réel est donc bien ici la cause efficiente de plusieurs symptômes : de la psychose causée par la forclusion, de la névrose causée par un désir irrationnel de maîtrise totale, enfin, de la sublimation menant à la création.
Il me semble que l’ humain n’ est finalement toujours malade que d’ un défaut de logique. En effet, si le Réel est la logique (au sens hégélien du terme), tout ce qui s’ en distancie (le symbolique et l’ Imaginaire) en violant ses règles implacables est d’ ores et déjà pathos.
(https://www.alexandre-bleus.org/limplacable-reel/)
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alexandreloye · 1 year
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huile sur papier, 93x73, 2023
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alainaf · 2 years
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L’angelot bleu | Doisaken S13 Cri | Alain A Fo
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guycourtheoux · 4 months
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Le Tigre Bleu de l'Euphrate à La Colline
Alexandre le Grand est un personnage historique et mythique, le texte poétique de Laurent Gaudé nous permet d’applaudir un comédien exceptionnel : Emmanuel Schwartz La chambre est blanche. Du sol au plafond, tout est Blanc. Le lit qui est au centre de cette pièce, est recouvert de draps immaculés et froissés. Un homme nous parle d’une voix caverneuse. Il est emmailloté dans un drap, ou est-ce un…
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olympic-paris · 16 days
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saga: Soumission & Domination 261
Kamal veut devenir Escort
Maintenant que son niveau scolaire est revenu plus que correct, et qu'Eric lui défonce le cul à chaque leçon de pilotage, il veut que je l'embauche comme Escort.
Dans un premier temps, je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'il s'est remis à niveau qu'il doit penser qu'il est arrivé. Mais il réussit à circonvenir Alexandre qui lui me persuade que c'est la meilleure solution pour encadrer ses envies d'expériences. Ça plus l'intégrer à nos touzes devrait, d'après lui, assouvir ses envies d'explorations sexuelles. Il ajoute même qu'il bossera à l'oeil s'il le faut. Connaissant mes clients, un jeune mec de tout juste 18ans, ça va leur faire ouvrir le porte feuille encore plus que pour mes Espagnols.
Je briefe quand même ce petit con. S'il veut entrer dans mon écurie il faut qu'il sache se tenir. Je lui apprends les principes de ma société de service. Il ne faudrait pas que ses désirs passent devant ceux des clients. Comme ce sera temporaire, je ne le fais pas percer.
Pour mettre la pression, la mise aux enchères de sa première soirée et nuit ne durera que 2h. Comme prévu mes clients sont tous présents (internet) et dès l'ouverture, les chiffres s'envolent. Les photos de Kamal en boxer court y sont pour beaucoup. De plus, avec Jimmy, c'est mon seul beur et son physique finement musclé... La brosse noire qui couvre sa tête est assortie à la couleur de ses yeux mais l'absence de toute autre pilosité le fait paraitre plus jeune encore.
Je démarre au double du tarif de base et les laisse se battre. C'est le boss/amant de Kev qui remporte l'enchère en tuant le suspense après une demi heure seulement et en me proposant le tarif x 6.  Il m'appelle dans les minutes qui suivent et me dit que c'est Kev qui l'avait convaincu de mettre autant. Il me demande s'il les vaut bien. Je le rassure en lui demandant s'il n'avait jamais eu à se plaindre des prestations de mes Escorts. J'ajoute qu'il était jeune mais très volontaire et avide de tester autre chose que la monogamie.
Il me demande de lui envoyer Kamal le WE d'après. Kev l'attendra à la gare de Montparnasse le samedi suivant en début d'après midi.
Récit de Kamal :
Sasha m'a payé un billet de première. C'est la première fois que je voyage comme ça. Les sièges sont larges et la population autour de moi est classe, nous sommes trois, moi et deux quadra en costard. Ma tenue branchée tranche un peu sur leurs tenues ou même les jeans bleus foncés des plus jeunes qui occupent ces wagons.
Je me fais mater grave par un des quadra assis en face de moi. Je devine même la forme de son gland qui repousse le tissu de son pantalon pourtant large. Sasha ma dit de me tenir correctement et c'est ce que je fais, même si je me serais bien laissé aller à le sucer au moins. Quand j'ouvre le TETU que j'ai acheté avant de monter dans le train, le mec me fait un grand sourire et, discrètement, après avoir vérifié que notre voisin est hypnotisé par l'écran de son portable, il appui sur son pantalon pour mouler sa bite. C'est un beau morceau. Mais je dois me montrer respectueux de mon engagement auprès de Sasha. Ne me voyant pas réagir, il allonge la jambe et vient toucher la mienne avec son pied. Il se lève et part dans le couloir vers le bout du wagon. J'hésite, attends un peu et vais le rejoindre pour lui dire de ne rien attendre de moi. Je le retrouve devant le casier à valise. Il me salut et profite que je lui donne la main pour me plaquer contre lui histoire que je sois bien au courant de son envie. Je le remercie de l'intérêt qu'il me porte (Sasha m'a dit d'être toujours bien poli) mais que je ne peux m'occuper de lui étant déjà sous contrat. Il sort alors de sa poche un billet de 100. Je refuse à nouveau. Il ne se démonte pas et replonge sa main dans sa poche et sort un porte billet bien rempli duquel il tire deux autres billets en ajoutant " juste pour une pipe ". Je secoue la tête, pourtant intéressé par l'expérience.  Il finit par me les proposer pour une branlette. Là je me laisse persuader. Je prends les trois billets de sa main et on entre dans les toilettes. Même en première elles sont exigües. Il se penche pour me rouler un patin, je tourne la tête en lui rappelant que c'est juste une branlette qu'il a payé. Il défait sa ceinture, ouvre son pantalon et le baisse avec son caleçon flottant. Effectivement j'avais bien deviné, sa bite doit bien faire dans les 19cm et circoncise avec un gros gland. Je la prends en main et effectue les vas et viens qu'il attend de moi. Pas de chance pour lui, il jute dans la cuvette en moins de 5 mn. Je me lave les mains pendant qu'il referme sa braguette. Quand je me glisse dehors, je dis au mec qui attend que c'est encore occupé et, salope, passe ma langue sur mes lèvres.  Alors que mon quadra sort, j'entends le mec lui demander si ça valait le coup. Ce qui m'étonne c'est que le quadra ne se démonte pas et lui répond que c'était un peu cher mais bien fait. Là, je vois le mec entrer rapidement dans les WC. Quand il rejoint sa place, j'ai quand même droit à un beau sourire.
Sur le quai de la gare, je reconnais Kev que Sasha m'avait montré sur les montages projeté chez lui. Il est encore mieux en vrai. Il me capte quand je me dirige sur lui.
On prend un taxi pour rentrer chez lui. Dans l'ascenseur qui nous monte chez lui, je me rapproche de lui. Il me laisse me coller mais ajoute que c'est pas lui le client principal mais son mec, même si lui-même compte bien profiter de moi.
Quand j'entre chez eux, c'est limite comme dans un musée, des tableaux partout. Le mec qui nous attend au salon c'est celui qui m'a gagné aux enchères. Il est pas mal, même s'il est dans la 50aine.  Je lui dis bonjour, il me demande si je porte le boxer de la photo. Sasha avait prévu le coup et me l'avait fait mettre. Je dis oui et comprends qu'il veut me voir avec lui seulement sur moi. Je suis un peu maladroit mais arrive à me dépoiler sans tomber par terre. Je vois dans ses yeux qu'il ne regrette pas son achat ! Je m'assois à coté de lui et me penche pour défaire sa ceinture. J'ouvre son pantalon et découvre sa bite raide. Je m'incline un peu plus et embouche le morceau. Sans difficulté je lui fais une gorge profonde (qui ne l'est presque pas). Quand je me relève, kev s'est mis nu et est venu nous rejoindre. Lui est mieux monté, dans les dimensions d'Alexandre.
Je me suis retrouver à sucer deux bites. Je fais bien attention à les satisfaire. Sasha m'a bien fait la leçon et je ne souhaite pas lui porter préjudice. Les deux mecs sont quand même pas mal et je n'ai pas de difficultés à m'exciter de la chose et à bander. Bientôt je suis a 4 patte entre les genoux d'Hervé pour le pomper alors que Kev me mange la rondelle pour la préparer à la sodo. Sa main, entre mes cuisses, tire ma bite vers l'arrière et me branle en même temps. C'est Kev qui décide que je suis prêt à me faire sodomiser et il prévient son mec. Je me tourne et vient m'assoir sur sa queue emballé d'une kpote. Il m'avait bien lubrifié puisque la bite glisse toute seul dans ma rondelle et mes fesses se posent sur lui. Il attrape ma taille et me fait sauter sur ses cuisses. C'est pas mauvais mais j'ai connu plus gros ! Après quelques minutes, il me pousse en avant sans déculer. Je m'accroche à la table basse et Kev met sa bite devant ma bouche. Je comprends que je dois le sucer. Je m'exécute. J'aime bien sa queue. Elle glisse dans ma gorge sans me faire vomir. Il me pilonne la gorge alors que son mec fait de même avec mon cul. Je prends du plaisir alors que j'ai toujours en tête l'aspect satisfaction du client. Kev le ressent et me dit de me laisser aller. Il se penche sur mon dos et glisse sa main sous moi pour me branler. Hervé lui dit de continuer car ça resserre mon anneau. J'ai du mal a tenir, le cul excité, la bite " traite " avec expertise et la bouche remplie. Alors que j'allais craquer, Kev serre ma bite derrière les couilles alors qu'Hervé éjacule. Kev me tient jusqu'à ce qu'il sorte de mon cul. Il m'attrape alors par la taille et me jette dos sur le canapé d'en face. Il tire mes jambes vers le haut et les écartant et enfonce sa bite dans mon cul. Bien que chauffée par son mec, ma rondelle doit s'écarter plus pour le laisser pénétrer. C'est bon ! Il bloque mes chevilles sur ses épaules et ses bras autour de mes épaules, il me soulève tout en s'enfonçant encore plus dans mon cul. On se déplace et il me dépose en travers des cuisses d'Hervé qui vient me rouler une pelle.
Je ne sais combien de temps cela dure mais il me baise super bien et je n'arrête pas de bander. Quand Hervé s'occupe de mes tétons, alternance de pincements et mordillements, il me fait rapidement exploser et se redresse juste à temps pour que mon sperme tombe sur mon visage et mon torse. Kev me lime encore quelques coups supplémentaires avant de sortir vite et, kpote retiré, me jute dessus. J'en ai plein partout !
C'est amusant mais c'est Kev qui me conduit à la salle de bain. On prend notre douche ensemble et il me savonne pour faire disparaitre les trace de sperme. Un de ses doigts s'égare dans mon anus et s'enfonce dedans sans difficulté. Il me dit alors de serrer mon cul. J'emprisonne son doigt et il me dit de serrer encore pour l'empêcher de sortir. Je m'exécute. Il est content du résultat. Je le libère et il nous rince. Il enfile un peignoir et m'en tend un autre. Je n'ai jamais vu une telle qualité de tissu éponge. Il tombe sur mes chevilles et j'ai l'impression d'être un nain ! Quand nous revenons au salon, Hervé est en costume et ses cheveux mouillés m'indique qu'il a du se laver dans une autre salle de bain. Il m'annonce qu'il ne sera pas là du reste du WE et qu'il me laisse entre les mains de Kev pour le reste du WE.
Surpris, je lui demande si Sasha est au courant. Il me montre le téléphone et me dit que je peux l'appeler si je veux. Je lui demande d'excuser ma surprise et me retient d'appeler.
Quand il part nous sortons aussi. Kev m'emmène dans son propre appart quelques mètres plus loin. Je préfère la déco du nouvel appartement, plus moderne. La porte d'entrée refermée, il me demande de me déshabiller. Je le fais alors que lui reste en boxer. Il passe quelques coups de fils et je crois comprendre qu'il propose à un de ses amis de venir nous rejoindre.
Il nous sert à boire une bière. Nous ne l'avons pas terminée que ça sonne à l'interphone. Le mec qui arrive est super balaise ! Kev me présente un de ses potes de sa salle de sport. Ce n'était pas la peine de me le dire ! Le mec a des bras plus gros que mes cuisses et ses pecs moulent un t-shirt qui semble être du 12 ans, tellement il est rempli ! Quand il enlève ses vêtements, il est impressionnant, tous ses muscles (sans exceptions et celui difficilement caché derrière les mailles d'un jock aussi) semblent hypertrophiés (encore plus qu'Eric qui est déjà très costaud). Kev ajoute qu'ils allaient me baiser jusqu'au départ de mon train, moi ça me va !
Je n'attends pas les ordres et m'agenouille devant le nouveau venu. Kev lui dit de laisser faire. Je commence par sucer son gland par-dessus le jock. Les mailles écartées par sa bite en cours de bandaison, laissent ma langue toucher sa peau. Il n'est pas encore dur que déjà sa bite est plus grosse que celle de Kev. Ça promet ! elle sera peut être aussi grosse que celle d'Eric ?  Je m'accroche à ses cuisses pour me stabiliser. Il parle à Kev comme si je n'étais pas là. Ça me fait sentir très salope. Je redouble d'attention. Le tissu se déforme et j'arrive à prendre son gland en bouche avec lui et tète. Je sens enfin une réaction. Il pose sa main derrière ma tête et la pousse vers lui. Comme le jock gène la progression, il me repousse, glisse sa bite sur le coté et m'empale la gorge sur sa bite. Il m'étouffe et est encore souple ! Je dégluti ce qui le fait rugir de plaisir. Il me repousse puis se met à me limer la gorge avec régularité. Plus ça va et plus sa queue durcit. Je n'arrive plus à le prendre en gorge tellement il est raide. Heureusement, Eric m'a appris comment faire. Je me couche sur le canapé, la tête rejeté en arrière de l'assise et ouvre la bouche en grand. Le mec comprend tout de suite et s'approche. Il plie un peu les genoux et replace sa bite dans ma bouche puis dans ma gorge. Il s'appui sur le dossier et se remet à me limer les amygdales avec son gros gland. Je les entends discuter des capacités de ma bouche de salope. Kev lui dit de faire attention à ne pas me juter dedans, que ce n'était pas dans le contrat. Quand son pote s'en étonne, Kev ajoute qu'il ne m'a loué que pour le WE. Il demande la place et les voila qui alternent en moi.
Je ne vois pas le temps passé et c'est l'allumage des lampes qui m'indique que cela doit bien faire 1h qu'ils se relaient pour me limer la gorge. J'en ai mal à la mâchoire !  Ils cessent avant de jouir. Pause où ils boivent une bière et Kev me propose un Coca que j'accepte d'une voix plutôt grave qui nous fait rire.
Son pote est curieux de savoir depuis quand je fais la pute. Je le corrige en précisant que je suis Escort et que c'est mon premier contrat. Il s'étonne que je sois aussi " souple ". J'ajoute que c'est mon premier contrat mais pas ma première expérience sexuelle !
L'excitation est toujours là et personne ne débande. Kev prévient son ami qu'il passera le premier dans mon cul, la dilatation par sa bite risquerait de prendre du temps pour venir resserrer la sienne. Il joint l'action aux dires et s'enveloppe d'une kpote avant de me poser en levrette sur sa table basse et de m'enculer. Je m'étais refermé depuis la fois précédente et j'ai bien apprécié le nouveau déplissage de mon anneau.  Il me lime avec rythme jusqu'à ce que je sente 1 puis 2 de ses doigts se glisser le long de sa bite. Je tortille du cul mais il me dit que j'ai intérêt à le laisser faire pour me préparer à son pote. Je le rassure et lui dis que je prends des cours de pilotage moto. Il comprend le sous entendu car il connait Eric.
Il continu à me labourer le trou pendant que je maintiens son pote bien raide à coup de langue et de déglutition. Quand il sort de moi, je suis bien assoupli par ses coups de rein. Alors qu'il kpote son pote, je sniffe le poppers mis à ma disposition. Quand son pote m'enfile enfin, je suis bien prêt et même s'il rentre assez facilement, je sens son gros diamètre élargir encore plus ma rondelle. J'ai l'impression de me faire démonter par Eric. Il s'enfonce doucement pour que je sente bien chaque mm de sa queue. Lui non plus n'est pas un novice de l'enculage ! Je me concentre et serre doucement mon anneau pour qu'il colle au plus près de la hampe. Je sens l'augmentation du diamètre alors qu'il pousse les derniers cm (les plus épais) en moi. Le passage de son gland contre ma prostate ma donner un spasme limite à juter.
Il reste quelques minutes bien calé tout au fond de moi. Comme il est épilé total, je ne sens que sa peau contre la mienne. Kev, qui le regarde faire, lui dit d'y aller franchement puisqu'il m'a préparé. Je me sens pris aux épaules et, avant qu'il ne sorte une première fois, il me tire vers lui. Alors que je le croyais planté au plus profond de moi, je sens mes fesses s'écarter et sa bite progresser encore un peu. Trop bon !
Après c'est un déchainement de sensations. Je me fait labourer, ballotter en tout sens (mes quelques 10aines de kg semblant une plume entre les mains de cet adepte de la muscu). Je pense qu'il m'a enculé plus de temps sans que je touche le sol qu'en levrette. C'est impressionnant de se retrouver plié contre des pecs, planté sur une bite et soulevé régulièrement comme si je n'étais qu'une simple barre d'exercice ! Ma propre bite, coincée contre ses abdos, me fait mal à force de bander. Alors que je suis toujours en suspension dans les bras du musclor, je sens Kev se coller contre mon dos et ses lèvres courir sur mon cou et mes épaules. Je sens aussi son gland buter contre la queue de son pote et ma rondelle. A ce moment là je n'ai qu'une peur c'est qu'il essaye de m'enculer en double ! Heureusement il n'insiste pas et alors que son pote me plante à fond une dernière fois pour s'immobiliser afin de remplir sa kpote, j'explose à mon tour quand je sens le jus de Kev me couvrir le dos. Musclor tombe sur le canapé, m'entrainant avec lui. Je le sens encore raide en moi.
Je me décolle de lui, mon sperme poisse entre nos deux corps. Je veux me relever mais mes jambes ont du mal à me soutenir et Kev me rattrape avant que je tombe par terre.
Le reste de la soirée se passe plus " calmement " même si Musclor reste avec nous.
Jardinier
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Alexandre Fassianos (Greek, 1935-2022) - Profil bleu
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On a toujours associé la campagne  à l'amour et l'on a bien fait : rien n'encadre la femme que l'on aime  comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude  resplendissante des champs ou des bois.
- Alexandre Dumas Fils
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abdou-lorenzo · 10 months
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Rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante, des champs ou des bois..........💞✨✨✨
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Alexandre Dumas Fils
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" On a toujours associé la campagne à l'amour et l'on a bien fait : rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois."
Alexandre Dumas fils
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pwlanier · 1 year
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ALEXANDRE ISTRATI
(Romanian, 1915-1991)
CONTREPOINT BLEU VERT
1989
oil on canvas
Alon Zakaim
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chicinsilk · 1 year
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Chanel Spring/Summer 1975 Haute Couture Collection. Photo Rodolphe Haussaire. Extremely refined, a cocktail dress in navy blue muslin with stitched sunray pleats. Hairdresser Alexandre de Paris.
Chanel Collection Haute Couture Printemps/Été 1975. Photo Rodolphe Haussaire. D'un raffinement extrême, une robe de cocktail en mousseline bleu marine à plis soleil piqués. Coiffure Alexandre de Paris.
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alexandrebleus · 1 month
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Si pour Lacan le Réel est la logique, ne peut-on y voir une conception hegelienne introduite dans le corpus analytique ? (Alexandre Bleus)
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Mes chers lecteurs,
Continuons nos pérégrination dans la majestueuse forêt des concepts lacaniens et allons aux sources de ses concepts afin de mieux comprendre la construction du noeud borroméen. Comprendre cette construction topologique toute particulière ne peut se faire que si l’ on s’ interroge sur la question du Réel chez Lacan ainsi que sur l’ inspiration hégelienne qui participe de celle-ci.
La question de l’influence de Hegel sur Lacan, en particulier concernant la conception du Réel comme logique, est une interrogation absolument légitime qui, selon moi, mérite d’ être posée afin de mieux appréhender les outils conceptuels qui permirent à Lacan de façonner sa théorie. En tant que lecteur attentif du corpus lacanien, je m’attacherai ici à examiner cette hypothèse, en m’appuyant sur les écrits de Lacan et de Hegel, ainsi que sur les interprétations proposées par d’autres chercheurs.
Pour commencer, il est essentiel de rappeler que le concept de “Réel” chez Lacan est complexe et polysémique. Il ne s’agit pas d’une simple réalité objective, mais plutôt d’une dimension de l’expérience humaine qui échappe à la symbolisation et à l’imaginaire. Le Réel est ce qui résiste à toute tentative de représentation, ce qui est impossible à intégrer dans le langage et dans les images. Il est l’indicible, l’insaisissable, l’impossible à nommer. Rappelons que dans ses Ecrits datés de 1966, Lacan affirme cependant que “La structure, c’est le réel.” Cette déclaration suggère que le Réel est structuré comme un langage et qu’il est donc régi par une logique propre. Il ne faut point voir ici de contradiction chez Lacan mais plutôt une subtile distinction car le Réel est conçu comme structuré, il n’ est pas affirmé qu’ il est un langage. Il est aussi affirmé que cette structure est la logique. La structure du Réel est donc logique ou est donc la logique elle-même. Lacan affirme ainsi à plusieurs reprises que le Réel est structuré comme un langage, qu’il est régi par une logique propre. Cette affirmation semble faire écho à la philosophie de Hegel, pour qui la réalité est le déploiement d’un Logos, d’une Raison universelle qui se manifeste à travers l’histoire et la pensée. Pour Hegel, la logique n’est pas seulement un outil de la pensée, mais la structure même du réel. Ainsi le philosophe affirme t’ il clairement en 1821 que “Le réel est rationnel, et le rationnel est réel.” (Principes de la philosophie du droit, § 1) Cette citation illustre la conception hégélienne de la réalité comme étant intrinsèquement logique et rationnelle.
On pourrait ainsi voir dans le Réel lacanien une sorte de Logos hégélien, une logique immanente à la réalité qui échappe à notre saisie symbolique et imaginaire. Tout comme le Logos hégélien, le Réel lacanien est ce qui structure le monde, ce qui donne sens à notre expérience. Cependant, il est important de noter que Lacan ne se contente pas de reprendre la conception hégélienne de la logique. Il va plus loin en affirmant que le Réel est une logique paradoxale, une logique qui se dérobe à notre entendement. Le Réel est une logique de l’impossible, de l’incomplétude, de la contradiction.
Cette dimension paradoxale du Réel est absente de la philosophie de Hegel. Pour Hegel, la logique est certes complexe, mais elle est toujours rationnelle et compréhensible. Elle est le déploiement d’une Raison universelle qui se manifeste dans le monde. Ainsi, si l’on peut voir dans le Réel lacanien une certaine filiation avec la logique hégélienne, il faut également souligner les différences importantes qui les séparent. Le Réel lacanien est plus qu’une simple logique, il est une logique paradoxale qui échappe à notre compréhension. Il le dit lui-même dans son deuxième Séminaire : “Le réel, c’est l’impossible.”
Il est nécessaire de souligner que Lacan introduit la dimension de la jouissance dans sa conception du Réel. La jouissance est cet excès qui échappe à la symbolisation, cet impossible à dire qui pourtant se fait sentir dans le corps et dans la parole. Cette dimension de la jouissance est absente de la philosophie hégélienne, qui se concentre sur la raison et la logique. Voilà une seconde distinction entre les deux penseurs.
La conception lacanienne du Réel comme logique est bien influencée par la philosophie de Hegel à ceci près (et ce n’ est pas rien) que Lacan va plus loin que Hegel en affirmant que le Réel est une logique paradoxale soit une logique de l’impossible. De plus, comme nous l’ avons vu, Lacan introduit la dimension de la jouissance dans sa conception du Réel, une dimension absente de la philosophie hégélienne. Mais, au fait, pourquoi Lacan introduit-il la Jouissance comme partie essentielle de son Réel ? Ne faut-il point y voir une volonté de décrire un symptôme dont la cause efficiente serait de l’ ordre de l’ indicible ? Le Réel serait donc une faille au sein de la réalité mais une faille symptomatique.
(https://www.alexandre-bleus.org/si-pour-lacan-le-reel-est-la-logique-ne-peut-on-y-voir-une-conception-hegelienne-introduite-dans-le-corpus-analytique/)
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alexandreloye · 2 years
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Main, huile sur toile, 38x46, 2022
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jloisse · 2 years
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"Nous avons beaucoup ri d'eux. Sur Biden, qui a perdu la raison, sur le toxicomane Zelensky, mais l'Occident nous attaque très durement, et parfois efficacement et douloureusement.
Un toxicomane et un vieil homme bleu-vert qui communique avec les esprits est une façade. Derrière cela, il y a la puissance de fer de la civilisation anglo-saxonne et de l'OTAN, l'Occident, le libéralisme, le mondialisme. C'est le résultat des 500 dernières années de leur histoire.
Ils défendent leur idée, une idée absolument fausse et absolument inhumaine, mais surtout, dans leur monde, nous n'avons aucune place. Nous devons prendre conscience que nous sommes condamnés et nous ne pouvons parvenir à aucun compromis avec cette force terrible, sombre et cruelle."
— Alexandre Douguine
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amberfaber40 · 2 years
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Gigi Hadid flaunts her endless pins in a slinky gown during PFW
The model, 24, showcased her endless pins in a slinky gown as she walked the runway for the Jacquemus Menswear Fall/Winter 2020-2021 show in Paris, France on Saturday.
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Mugler Spring 1998 Couture Collection
Mugler Spring 1998 Couture collection, runway looks, beauty, models, and reviews.
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The Blog — Rachel Ran Noh
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A model walks the runway during the Alexandre Vauthier Spring Summer...
A model walks the runway during the Alexandre Vauthier Spring Summer 2019 show as part of Paris Fashion Week on January 22, 2019 in Paris, France.
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Fendi kicks off Milan Fashion Week with a physical show
From the biggest trends to the most covetable collections, we round up the new season
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Gigi Hadid, Bella and chic Kaia Gerber at Versace SS18 MFW show
The 22-year-old supermodel showcased her lean limbs in a thigh-grazing minidress boasting ornate gold embroidery.
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All the Best Runway Looks from Milan Fashion Week Spring 2020
Tracking all the standout looks from this season's top collections.
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Iris van Herpen Fall 2022 Couture Collection
Iris van Herpen Fall 2022 Couture collection, runway looks, beauty, models, and reviews.
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New York Fashion Week
Tracking the standout runway looks from the week's top collections.
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A model walks the runway during the Ashi Studio Spring Summer 2019...
A model walks the runway during the Ashi Studio Spring Summer 2019 show as part of Paris Fashion Week on January 23, 2019 in Paris, France.
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Dua Lipa and Gigi Hadid Just Walked Versace
Plus see more from Milan Fashion Week's full spectrum of style.
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Dolce & Gabbana Spring 2023 Ready-to-Wear Collection
Dolce & Gabbana Spring 2023 Ready-to-Wear collection, runway looks, beauty, models, and reviews.
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Tempo di shopping per Lvmh. Dopo l’annuncio del ritorno dell’ex Celine Phoebe Philo con il suo brand, che avrà proprio una partecipazione nel gruppo di Bernard Arnault, il colosso del lusso torna sotto i riflettori per le sue ultime acquisizioni. A partire da Off-White, il marchio di Virgil Abloh, l’eccentrico stilista alla guida della collezione uomo di Louis Vuitton. Ma anche di Etro, il brand italiano ora nell’orbita del fondo L Catterton, partecipato dal magnate francese.Leggi anche› L’eredità e il ritorno di Phoebe PhiloL’acquisizione di Off-WhiteOff-White, che ha presentato la collezione autunno inverno 2021/2022 Laboratory of Fun il 4 luglio con una sfilata-concerto aperta da Bella Hadid in mini abito di velluto blu elettrico, oggi finisce nella galassia del gruppo d’Oltralpe. Una cessione di maggioranza, al 60%, della Off-White LLC, la società proprietaria del marchio omonimo fondato nel 2013 e diretto da Virgil Abloh, guida artistica della collezione uomo di Louis Vuitton dal 2018 – nonché lo stilista più seguito del momento. L’operazione, soggetta alle approvazioni di legge, dovrebbe essere completata in 60 giorni. Bella Hadid alla sfilata Off-White AI21/22.Leggi anche› Virgil Abloh è il nuovo direttore creativo della linea maschile di Louis VuittonUn’intesa promettente per ambo le parti: la partnership infatti prevede di sfruttare le competenze del designer al fine di collaborare con altre realtà di Lvmh, anche al di fuori dell’ambito moda. «Per quasi un decennio, abbiamo costruito Off-White come marchio generazionale, in grado di sfidare lo status quo. Ora potrà evolvere grazie alla potenza di Lvmh» ha dichiarato Abloh. «Non vediamo l’ora di supportare il team nel guidare la crescita di Off-White e di lavorare insieme per portare la sensibilità unica di Virgil a una gamma più ampia di categorie di lusso» ha detto invece Arnault. Una decisione storica, considerato che Abloh si appresta così a diventare il primo uomo di colore nelle fila di un grande conglomerato luxury. Leggi anche› Com’è andata la Paris Fashion Week maschile primavera estate 2022L’investimento in EtroLvmh, che controlla quasi un sesto del lusso mondiale e ha in portafoglio marchi che vanno da Bulgari a Dior a Fendi, continua quindi la sua strategia di ampliamento del portfolio. É notizia recentissima l’acquisizione, attraverso il fondo L Catterton Europe, della casa di moda italiana Etro. La società di private equity globale, partecipata dalla Financière Agache di Arnault, prenderà una partecipazione di maggioranza al 60% nella Maison, lasciando il restante 40% alla famiglia Etro.Una finalizzazione delle trattative iniziate nella primavera 2021: «dopo quasi 55 anni alla guida del marchio, crediamo che la collaborazione con L Catterton avvierà una nuova fase di crescita e di consolidamento del ruolo di Etro tra i fashion brands più longevi e prestigiosi» ha dichiarato il fondatore, Gerolamo “Gimmo” Etro (che assumerà l’incarico di presidente della società).Operazione “svecchiamento” per il lussoConsiderato anche l’ultimo acquisto in termini di tempo di L Catterton, il marchio di sandali Birkenstock, la strategia di Lvmh è chiara: puntare sui brand più innovativi amati dai giovani da un lato, investire sul prestigio tramite l’acquisizione di marchi classici, come Etro, dall’altro. Lo scopo? Svecchiare il mondo del lusso e renderlo più appetibile che mai, soprattutto per le nuove generazioni.Leggi anche› Il gruppo LVMH ha comprato Tiffany & CoUn’operazione già in atto, confermata anche dagli ultimi movimenti in atto negli altri grandi gruppi del lusso: la quotazione in Borsa di Ermenegildo Zegna, ad esempio. L’operazione avverrà attraverso la fusione con la spac Investindustrial acquisition Corp, una società-veicolo varata a fine 2020 per portare aziende italiane negli Usa. Zegna avrà un valore iniziale atteso di 3,2 miliardi di dollari, con una capitalizzazione di mercato prevista di 2,5 miliardi: ovvero, tanti soldi da investire in nuovi progetti.Ricevi news e aggiornamenti sulle ultime tendenze beauty direttamente nella tua postaIscriviti alla newsletterLeggi anche› Buon compleanno Re Giorgio. La sua carriera in 20 look memorabiliContinua inoltre a fare notizia il piano di John Elkann per costruire un potenziale conglomerato di lusso attorno a Ferrari, a partire dall’investimento in Giorgio Armani. Secondo rumors il rampollo della famiglia Agnelli si sarebbe offerto di acquisire una quota di minoranza nella casa di moda, anche se la proposta di alleanza per ora sarebbe stata respinta da re Giorgio, saldo alla guida e forte dei suoi appena compiuti 87 anni.iO Donna ©RIPRODUZIONE RISERVATA
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histoireettralala · 2 years
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In Memoriam
First there were the sparkle of a new century; the splendour of the Universal Expositions; the race to progress; the series of calm, serene Sundays; the swaying gait of the Apaches and of the hips of dactylos on a spree in the guinguettes of the banks of the Seine or the Marne. Trips to the mountains or to spa towns, for a sunny Sunday. The trend of sea baths; again and forever, a time of long dresses, hat pins, hat veils and sunshades to protect oneself from the sun; the first fevers of the metropolitan; the magic of tramways. A smell of rail and electricity.
There were the shapes of the Art Nouveau, the fashion of stem-like women with vegetal curves, who were starting to escape and free themselves from their corsets. Parisian ladies had large hats and tiny feet. Men were smoking their first Gauloises. There were of course, riots and strikes: electricians, civil servants, site workers, postmen, bar waiters, taxi drivers. Men wanted to build and shape their destiny. They wanted a better share of the riches of the world.
There was the Montmartre of the painters and the Bateau-Lavoir; the first aerial meetings; the Paris flooding; the comet of Halley passing by; the appearance of the first tangos; the first music halls; the inauguration of the Vél'd'Hiv and the Gaumont Palace; the theft of the Mona Lisa; the end of the Bande à Bonnot; the publication of La Guerre des Boutons; the meeting between Yvonne de Quiévrecourt and Alain-Fournier under the trees of the Cours La Reine, which so narrowly missed the Goncourt prize; the first phone cabins; the electrification of the railway; the first Michelin maps; the fashion of caps et boaters; the invention of esperanto.
It was peace. The promise of a new dawn, the carefree spirit of summer, the peace of fields spattered with cornflowers and poppies which were waiting the sickle of the harvester or the knife of the thrasher.
They were seventeen, twenty-five, or thirty. Many wore their hair short, and moustaches. Many had the rough neck and hands of the worker, a laborer's worn fingers, a turner's or mechanic's broken nails. There were grooms, land surveyors, bakers, butlers, office boys, clerk notaries, butchers, schoolteachers, peddlers, copywriters, cow keepers, porters, shepherds, priests, grinders, cooks, toolmakers, clerks, chauffeurs, footmen, tinsmiths, deliverers, boilermakers, newsboys, barbers, railway workers, waiters, postmen, intellectuals, factory workers, bourgeois, aristocrats and saddlers.
Suddenly there were civilians, career soldiers, conscripts, reservists, artillery men, navy men, infantry men, zouaves, aviators, pioneers, stretcher-bearers, liaison officers, telegraphers, non-commissioned officers, submariners, cooks, adjudtants, generals, lieutenants, chaplains, canteen-workers, cavalry men, bleus, rappelés, permissionnaires, etc… Suddenly, were the Poilus.
Their handwriting was round or sharp; it had the delicacy of the quill or the thick stroke of the ink pen. Their names were Gaston, Jean, Auguste, Marcel, Louis, Alexandre, Edmond, Martin, Antoine, Etienne, Maurice, Albert, Henri, Roger, René… Their wives or their mothers were named Félicie, Léontine, Hortense, Louise, Honorine, Clémence, Marguerite, Berthe, Germaine, Yvonne, Marthe…
All of them travellers without baggage who had to leave their families, their fiancees, their wives, their children. Leave there their office, their lathe, their kneader, their workshop or their stable. Don the poorly cut uniform, the garance trousers, the bumpy képi. Take on the too heavy barda and put on the cleated shoes.
They knew very soon that this war was senseless. From false hopes to false hopes, from last battles to last battles, they ended up unable to project the end of the war whose actors they were, and whose usefulness wasn't so obvious anymore to them.
Out of eight million mobilised between 1914 and 1918, over two million young men never saw again the belltower of their village. Their names are carved in the cold stone of the monuments of our cities and towns. And when the church goes quiet, when the school is closed, when the train station is shut down, when silence reigns over these places that became hamlets, remain these lists of words, these lists of names and surnames keeping the memory of a France whose countryside was so populated.
Over four million men survived only after they suffered grievous wounds, their body broken, amputated, marked, bitten, their flesh torn, when they weren't seriously mutilated. Others got out apparently intact: they still lived with the memory of the horror they had lived for over fifty months, the memory of blood, of the stench of rotting corpses, of the bursting of shells, of stinking mud, of vermin, the memory of the obscene smirk of Death. They had for them the systematic and reoccuring lash of nightmares for the rest of their days and with it the anguished, unanswered cry, the cry for their mothers. They lived with the words reminding them of sights whose horror they would never forget: Galipoli, Verdun, the Chemin des Dames, Arlon-Vitron, the mill of Laffaux, the Somme, Ypres, Péronne, Montmirail, Douaumont, the Fort of Vaux…
Over eight thousand people answered the call of Radio France: eight thousand letters, meaning that many families searching, into a coffer in the attic, between the yellowed pages of family photo albums, for the memory of their fathers', grandfathers', ancestors' lives.
These words written in the mud aren't eighty, or eighty-five years old; they are one day old. They have the whole strength of a life all the more intense since it was so close to the abyss, since it was looking at death every second.
We do not claim to do a historian's work by gathering in a few weeks so many powerful and intense documents: our purpose is before all humanist and literary. We simply meant to let these cries of the soul, entrusted to quill and crayon, be heard, like so many bottles thrown to the sea, which should stimulate for future generations the duty of memory, the duty of vigilance, the duty of humanity.
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Jean-Pierre Guéno- Paroles de Poilus- Lettres et carnets du front 1914-1918
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