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#topologie
53v3nfrn5 · 4 months
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Maya Lin: ‘Rock Field’ from the ‘Topologies’ exhibit at Grey Art Gallery, New York University (1997)
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foxyou-too · 6 months
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Topologie
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zapatotenis · 2 years
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TOPOLOGIE x CAMILLA DE FEO | 2023 eu.topologie.com/fr 
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alexandrebleus · 1 month
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L’implacable Réel ! (Alexandre Bleus)
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Chers amis,
Dans la topologie élaborée par Jacques Lacan, nous vîmes que le Réel ne saurait être appréhendé isolément mais plutôt qu’ il s’inscrit dans une relation dialectique avec les deux autres registres de l’expérience humaine : le Symbolique et l’Imaginaire. Ces trois ordres, inextricablement liés, constituent la structure même de la subjectivité et déterminent les modalités d’interaction du sujet avec le monde et avec lui-même.
Pour faire bref, on peut dire que le Symbolique, pour Lacan, est le domaine du langage, de la loi, de la culture. Il est l’ordre de la signification, là où les mots et les symboles organisent notre expérience et lui donnent un sens. C’est par l’entrée dans le langage que l’enfant accède à la dimension symbolique et devient sujet. Le Symbolique est aussi l’ordre de l’interdit, de la castration, qui limite le désir et le soumet à la loi du père.
L’Imaginaire, quant à lui, est le domaine de l’image, de la représentation, de l’identification. C’est l’ordre du moi, où le sujet se construit une image de lui-même à travers le regard de l’autre. L’Imaginaire est aussi l’ordre du fantasme où le sujet tente de combler le manque et de retrouver une unité perdue.
Face à ces deux ordres, le Réel se présente comme ce qui résiste à la symbolisation et à l’imaginaire. Il est l’impossible à dire, l’irreprésentable, l’irréductible à toute forme de maîtrise. Le Réel est le lieu du trauma, de la perte, de la castration. Il est ce qui fait retour dans notre vie sous la forme du symptôme, de l’angoisse, de la répétition.
Ces trois ordres (Réel, Symbolique et Imaginaire, le fameux trio RSI) ne sont pas séparés mais s’interpénètrent et se conditionnent mutuellement. Le Symbolique structure l’Imaginaire et tente de maîtriser le Réel. L’Imaginaire donne une forme au Réel et cherche à le combler. Le Réel, quant à lui, fait irruption dans le Symbolique et l’Imaginaire, les déstabilisant et les mettant en crise. Cette dialectique des trois ordres est au cœur de la formation du sujet et de sa relation au monde. Le sujet est pris dans un jeu constant entre ces trois ordres, cherchant à trouver un équilibre précaire entre le désir et la loi, entre l’illusion de la maîtrise et la confrontation avec l’impossible.
Le Réel, en tant qu’impossible à symboliser et à imaginer, constitue un point de butée pour le sujet. Il est ce qui résiste à toute tentative de totalisation, de clôture, de maîtrise. Le Réel est ce qui nous rappelle notre finitude, notre incomplétude, notre contingence. Si la réalité, comme le dit Lacan, n’ est qu’ un fantasme, le Réel en est le bord irréfragable !
C’est dans cette confrontation avec le Réel que le sujet peut accéder à une véritable subjectivation. En acceptant l’impossible, en reconnaissant la limite, le sujet peut se dégager des illusions de l’Imaginaire et des aliénations du Symbolique. Il peut alors accéder à une forme de liberté, une capacité à inventer sa propre réponse face à l’incontournable réalité du Réel. Toute pathologie trouve sa genèse dans un dérangement du sujet relativement au Réel, à cette limite qui signe, en fait, la contingence de l’ existant qu’ est l’ humain. L’ humain est malade de sa finitude et le Réel, dans son inflexible logique, vient lui rappeler qu’ il n’ est qu’ un être contingent.
Le Réel, s’il est un point de butée, est aussi une source de création. C’est dans la confrontation avec l’impossible que le sujet peut inventer de nouvelles formes de symbolisation, de nouvelles modalités d’existence. Le Réel est ce qui pousse le sujet à se dépasser, à créer, à innover. Et c’est dans cette perspective que Lacan parle de la sublimation comme une manière de transformer la jouissance du Réel en une création artistique, intellectuelle, ou sociale. La sublimation est une façon de répondre au Réel, non pas en le niant ou en le fuyant, mais en le mettant au travail et en le faisant servir à une production qui enrichit le sujet et le monde. Le Réel est donc bien ici la cause efficiente de plusieurs symptômes : de la psychose causée par la forclusion, de la névrose causée par un désir irrationnel de maîtrise totale, enfin, de la sublimation menant à la création.
Il me semble que l’ humain n’ est finalement toujours malade que d’ un défaut de logique. En effet, si le Réel est la logique (au sens hégélien du terme), tout ce qui s’ en distancie (le symbolique et l’ Imaginaire) en violant ses règles implacables est d’ ores et déjà pathos.
(https://www.alexandre-bleus.org/limplacable-reel/)
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nihmue · 6 months
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Lacan et les anneaux topologiques
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"[Q]uand nous voulons atteindre dans le sujet ce qui était avant les jeux sériels de la parole, et ce qui est primordial à la naissance des symboles, nous le trouvons dans la mort, d'où son existence prend tout ce qu'elle a de sens. C'est comme désir de mort en effet qu'il s'affirme pour les autres ; s'il s'identifie à l'autre, c'est en le figeant en la métamorphose de son image essentielle, et tout être par lui n'est jamais évoqué que parmi les ombres de la mort.
Dire que ce sens mortel révèle dans la parole un centre extérieur au langage, est plus qu'une métaphore et manifeste une structure. Cette structure est différente de la spatialisation de la circonférence ou de la sphère oil l'on se plaît à schématiser les limites du vivant et de son milieu : elle répond plutôt à ce groupe relationnel que la logique symbolique désigne topologiquement comme un anneau. A vouloir en donner une représentation intuitive, il semble que plutôt qu'à la superficialité d'une zone, c'est à la forme tridimensionnelle d'un tore qu'il faudrait recourir, pour autant que son extériorité périphérique et son extériorité centrale ne constituent qu'une seule région."
Lacan, Fonction et champ de la parole et du langage (Ecrits)
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sigalrm · 1 year
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Königlich-Sächsische Triangulirung by Pascal Volk Via Flickr: Station 2. Ordnung, Nummer 44. Insgesamt umfasste das Triangulationsnetz 158 Stationen erster und zweiter Ordnung. Damit war es seinerzeit eines der engmaschigsten und fortschrittlichsten in Europa. Mehr dazu auf de.wikipedia.org/wiki/K%C3%B6niglich-S%C3%A4chsische_Tria...
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mijnniemandsland · 1 year
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Möbius.
De fundamentele aard van meten is lineair, voornamelijk beperkt door de lengte van het meetinstrument. Van linialen tot rolmaten, hun eindige lengte begrenst hun meetcapaciteit. Een voorstel dat deze limieten zou kunnen overwinnen, is het gebruik van een Möbiusband als meetinstrument. De Möbiusband, vernoemd naar de Duitse wiskundige August Ferdinand Möbius, heeft slechts één zijde en één rand,…
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loeilafaim · 2 years
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Exploration des bords : approches littorales de Dâh
Exploration des bords : approches littorales de Dâh
dans cette nouvelle séquence 60 C’est ICI
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jeandaviot · 2 years
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Participe à l’exposition « La topologie mise en cage du réel » vernissage le 9 décembre de 18 h à 22 h au 7 rue Elzévir à Paris #nom #topology #topologie #lacan #jacqueslacan #jeandaviot #contemporaryart https://www.instagram.com/p/Cl1WUqXIpoS/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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art-vortex · 6 months
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(via Coussin avec l'œuvre �� "Éclat de lumière néon, topologie tracée, scarabée crânien" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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catherinelwriter · 2 years
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reportsofawartime · 2 months
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ラカンが導入した身体はフロイトが固着と呼んだものによって徴付けられる。リビドーの固着あるいは欲動の固着である。最終的に、固着が身体の物質性としての享楽の実体のなかに穴を為す。固着が無意識のリアルな穴を身体に穿つ。このリアルな穴は閉じられることはない。ラカンは結び目のトポロジーにてそれを示すことになる。要するに、無意識は治療されない。
le corps que Lacan introduit est…un corps marqué par ce que Freud appelait la fixation, fixation de la libido ou fixation de la pulsion. Une fixation qui finalement fait trou dans la substance jouissance qu'est le corps matériel, qui y creuse le trou réel de l'inconscient, celui qui ne se referme pas et que Lacan montrera avec sa topologie des nœuds. En bref, de l'inconscient on ne guérit pas. En bref, de l'inconscient on ne guérit pas
(ピエール=ジル・ゲガーン Pierre-Gilles Guéguen, ON NE GUÉRIT PAS DE L'INCONSCIENT, 2015)
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zapatotenis · 2 years
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TOPOLOGIE x CAMILLA DE FEO | 2023 eu.topologie.com/fr 
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alexandrebleus · 1 month
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Si pour Lacan le Réel est la logique, ne peut-on y voir une conception hegelienne introduite dans le corpus analytique ? (Alexandre Bleus)
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Mes chers lecteurs,
Continuons nos pérégrination dans la majestueuse forêt des concepts lacaniens et allons aux sources de ses concepts afin de mieux comprendre la construction du noeud borroméen. Comprendre cette construction topologique toute particulière ne peut se faire que si l’ on s’ interroge sur la question du Réel chez Lacan ainsi que sur l’ inspiration hégelienne qui participe de celle-ci.
La question de l’influence de Hegel sur Lacan, en particulier concernant la conception du Réel comme logique, est une interrogation absolument légitime qui, selon moi, mérite d’ être posée afin de mieux appréhender les outils conceptuels qui permirent à Lacan de façonner sa théorie. En tant que lecteur attentif du corpus lacanien, je m’attacherai ici à examiner cette hypothèse, en m’appuyant sur les écrits de Lacan et de Hegel, ainsi que sur les interprétations proposées par d’autres chercheurs.
Pour commencer, il est essentiel de rappeler que le concept de “Réel” chez Lacan est complexe et polysémique. Il ne s’agit pas d’une simple réalité objective, mais plutôt d’une dimension de l’expérience humaine qui échappe à la symbolisation et à l’imaginaire. Le Réel est ce qui résiste à toute tentative de représentation, ce qui est impossible à intégrer dans le langage et dans les images. Il est l’indicible, l’insaisissable, l’impossible à nommer. Rappelons que dans ses Ecrits datés de 1966, Lacan affirme cependant que “La structure, c’est le réel.” Cette déclaration suggère que le Réel est structuré comme un langage et qu’il est donc régi par une logique propre. Il ne faut point voir ici de contradiction chez Lacan mais plutôt une subtile distinction car le Réel est conçu comme structuré, il n’ est pas affirmé qu’ il est un langage. Il est aussi affirmé que cette structure est la logique. La structure du Réel est donc logique ou est donc la logique elle-même. Lacan affirme ainsi à plusieurs reprises que le Réel est structuré comme un langage, qu’il est régi par une logique propre. Cette affirmation semble faire écho à la philosophie de Hegel, pour qui la réalité est le déploiement d’un Logos, d’une Raison universelle qui se manifeste à travers l’histoire et la pensée. Pour Hegel, la logique n’est pas seulement un outil de la pensée, mais la structure même du réel. Ainsi le philosophe affirme t’ il clairement en 1821 que “Le réel est rationnel, et le rationnel est réel.” (Principes de la philosophie du droit, § 1) Cette citation illustre la conception hégélienne de la réalité comme étant intrinsèquement logique et rationnelle.
On pourrait ainsi voir dans le Réel lacanien une sorte de Logos hégélien, une logique immanente à la réalité qui échappe à notre saisie symbolique et imaginaire. Tout comme le Logos hégélien, le Réel lacanien est ce qui structure le monde, ce qui donne sens à notre expérience. Cependant, il est important de noter que Lacan ne se contente pas de reprendre la conception hégélienne de la logique. Il va plus loin en affirmant que le Réel est une logique paradoxale, une logique qui se dérobe à notre entendement. Le Réel est une logique de l’impossible, de l’incomplétude, de la contradiction.
Cette dimension paradoxale du Réel est absente de la philosophie de Hegel. Pour Hegel, la logique est certes complexe, mais elle est toujours rationnelle et compréhensible. Elle est le déploiement d’une Raison universelle qui se manifeste dans le monde. Ainsi, si l’on peut voir dans le Réel lacanien une certaine filiation avec la logique hégélienne, il faut également souligner les différences importantes qui les séparent. Le Réel lacanien est plus qu’une simple logique, il est une logique paradoxale qui échappe à notre compréhension. Il le dit lui-même dans son deuxième Séminaire : “Le réel, c’est l’impossible.”
Il est nécessaire de souligner que Lacan introduit la dimension de la jouissance dans sa conception du Réel. La jouissance est cet excès qui échappe à la symbolisation, cet impossible à dire qui pourtant se fait sentir dans le corps et dans la parole. Cette dimension de la jouissance est absente de la philosophie hégélienne, qui se concentre sur la raison et la logique. Voilà une seconde distinction entre les deux penseurs.
La conception lacanienne du Réel comme logique est bien influencée par la philosophie de Hegel à ceci près (et ce n’ est pas rien) que Lacan va plus loin que Hegel en affirmant que le Réel est une logique paradoxale soit une logique de l’impossible. De plus, comme nous l’ avons vu, Lacan introduit la dimension de la jouissance dans sa conception du Réel, une dimension absente de la philosophie hégélienne. Mais, au fait, pourquoi Lacan introduit-il la Jouissance comme partie essentielle de son Réel ? Ne faut-il point y voir une volonté de décrire un symptôme dont la cause efficiente serait de l’ ordre de l’ indicible ? Le Réel serait donc une faille au sein de la réalité mais une faille symptomatique.
(https://www.alexandre-bleus.org/si-pour-lacan-le-reel-est-la-logique-ne-peut-on-y-voir-une-conception-hegelienne-introduite-dans-le-corpus-analytique/)
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fundgruber · 6 months
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Dietmar Dath - Neptunation.
Die Oktopoden werden uns verbinden, wenn wir es nach oben schaffen
Die Mission ist die Verbindung
Connection, Funktoren zwischen Kategorien von Kategorien, zwischen höheren Topoi
Bei Dietmar Dath ist Mathematik zur sozialen Bewegung, zum Implex geworden, eine Diktatur der Programmierer*innen und der Wissenschaft, in der Topos-Coding der Skill ist mit dem Aufhebung funktioniert, mit dem der Formwechsel der Materie gesteuert wird und die gesellschaftliche Reproduktion. In der Gegenwart codiert er selber seine Science Fiction so, mit dem Aufhebungsfunktor. Da wird dann ein Weltraumsozialismus mit transhumanistischem Gesicht (Neukörper) entworfen, in dem eine neue Politik entsteht, neue Kriege, teilweise als Wiederholungen historischer Tragödien. Die Programmierer*innen und die Wissenschaftler*innen spielen darin so eine große Rolle, weil sie im direkten Kontakt sind mit dem Management und der Spekulation. Sie haben Zugriff auf hochwertige Produktionsmittel und Gelder. Und dann im passenden Moment weichen sie ab aus den Kreisläufen des Kapitals, wie in "Menschen wie Gras", wenn die Gentechnik verfrüht freigelassen wird. Daths Faszination für China würde demnach auch nicht bedeuten das was dort passiert zu idealisieren, sondern es ist einfach ein Staat in dem diese Entwicklungen ein Stück brisanter ablaufen, wo eine KP versucht das Ganze zu steuern.
Die Grundlagen für die Freiheit zum Implex hatte eine Partei im Untergrund gelegt, sie hießen die "Gruppe Pfadintegral" (Gippies), dann die "Internationale" (eigentlich die 'Partei', aber er entschied sich dann doch für die Internationale), in unserer Welt sind das Grillabende von Wissenschaftler*innen und Radikalen, wie Barbara Kirchner irgendwo sagt, oder auch Dath immer wieder anklingen lässt. Dath ist das Aushängeschild dieser imaginären Partei (manchmal sieht man sein Formel-Tattoo auf dem Unterarm) im Hier und Jetzt, in den Büchern ist es Cordula Späth oder andere Heldinnen aus Wissenschaft und Musik. Durch seine Doppelrolle beliebter Feuilletonist bei der FAZ und Genosse der DKP zu sein streut er seinen High-Tech Marxismus in beiden Bereichen, und in Zeitschriften wie der Konkret (gerade zum Beispiel ein Text über eine Museumsausstellung über den Faschismus des 21. Jahrhunderts, genannt der "Wechselbalg", in einer zukünftigen Gesellschaft) oder bei Linken.
Die Topos-Codierung kommt auch aus der Musik, kommt auch aus der bildenden Kunst, nur haben die Gesellschaften, die Dath beschreibt das in ihre Raumgestaltung, ihre Körpergestaltung, die Gestaltung ihrer Beziehungen gelegt. Genauso wie das Gärtnern (in den Rechnergärten) oder das Kochen (deswegen auch die Bedeutung der von Dath beworbenen Bücher der Mathematikerin und Musikerin Eugenia Cheng "How to Bake Pi", und "x + y. A Mathematician’s Manifesto for Rethinking Gender", die in diesem Sinne so viel mehr sind als Einführungen). Darin liegt die verführerische Methodik der Kategorientheorie und der Topologie, Erkenntnis und Transformation auf unterschiedlichen Ebenen durchführen zu können. Und das dann wiederum mit Aufhebung zu verkabeln, mit den Klassikern:
"In early 1985, while I was studying the foundations of homotopy theory, it occurred to me that the explicit use of a certain simple categorical structure might serve as a link between mathematics and philosophy. The dialectical philosophy, developed 150 years ago by Hegel, Schleiermacher, Grassmann, Marx, and others, may provide significant insights to guide the learning and development of mathematics, while categorical precision may dispel some of the mystery in that philosophy." F. William Lawvere, Unity and Identity of Opposites in Calculus and Physics. Applied Categorical Structures 4: 167-174, 1996
Hegelianisch-Marxistische abstrakte Algebra befindet sich dann mutmaßlich im Wettstreit mit anderen diagrammatischen Methoden, wie der Lattice Theorie (vgl. Rudolf Wille, “Restructuring lattice theory: An approach based on hierarchies of concepts” 1982). Wenn seit Emmy Noether die Kartierungen Teil der mathematischen Forschung sind (vgl. Lee, C. (2013) Emmy Noether, Maria Goeppert Mayer, and their Cyborgian Counter-parts: Triangulating Mathematical-Theoretical Physics, Feminist Science Studies, and Feminist Science Fiction), bis hin zu Maryam Mirzakhani (in der Nachruferzählung und in der Raumerzählung "Du bist mir gleich" wird das was diese Mathematik mit dem Denken macht in seiner Tragik und transformativen Kraft spürbar), dann ist das was die Netzwerk-Coder (z.B. Fan/Gao/Luo (2007) "Hierarchical classication for automatic image annotation", Eler/Nakazaki/Paulovich/Santos/Andery/Oliveira/Neto/Minghim (2009) "Visual analysis of image collections") und Google Arts & Culture in die digitale Kunstwissenschaft eingeführt haben, man kann es nicht anders sagen, das Gegenteil von all dem. Unhinterfragte Kategorien und unhinterfragte konzeptuelle Graphen (also sowohl Lattice Theorie, als auch Topologie ignorierend), werden ohne Binaritäten oder Äquivalente einfach als gerichtete Graphen, entweder strukturiert von den alten Ordnungen, oder, das soll dann das neue sein, als Mapping von visueller Ähnlichkeit gezeigt (vgl. die Umap Projekte von Google oder das was die Staatlichen Museen als Visualisierungs-Baustein in der neuen Version ihrer online Sammlung veröffentlicht haben). Wenn dann das Met Museum mit Microsoft und Wikimedia kooperiert, um die Kontexte durch ein Bündnis von menschlicher und künstlicher Intelligenz zu erweitern - nämlich Crowdsourcing im Tagging, und algorithmisches Automatisieren der Anwendung der Tags, dann fehlen einfach die radikalen Mathematiker*innen, die diese Technologien mit dem Implex der Museumskritik verbinden können, um ein Topos-Coding durchzuführen, das die Kraft hätte den Raum des Sammelns zu transformieren, so das nichts mehr das Gleiche bliebe. Während die heutigen Code-Künstler*innen großteils im Rausch der KI-Industrie baden, bleiben es einzelne, wie Nora Al-Badri ("any form of (techno)heritage is (data) fiction"), die zum Beispiel in Allianz mit einer marxistischen Kunsthistorikerin die Lektüre des Latent Space gegen das Sammeln wenden (Nora Al-Badri, Wendy M. K. Shaw: Babylonian Vision), und so Institutional Critique digitalisieren.
"Was Künstlerinnen und Künstler seit Erfindung der »Institutional ­Critique«, deren früher erster Blüte auch einige der besten Arbeiten von ­Broodthaers angehörten, an Interventionen in die besagten Räume getragen und dort gezündet haben, von neomarxistischer, feministischer, postkolonialer, medienkritischer, ­queerer Seite und aus unzähligen anderen Affekten und Gedanken, die sich eben nicht allesamt auf eine Adorno’sche »Allergie« wider das Gegebene reduzieren lassen, sondern oft auch aus einer ­Faszination durch dieses, einer Verstrickung in sein Wesen und Wirken geprägt war, liegt in Archiven bereit, die ausgedehnter und zugänglicher sind als je zuvor in der Bildgeschichte. Den Tauschwert dieser Spuren bestimmen allerorten die Lichtmächte. Ihr Gebrauchswert ist weithin unbestimmt. Man sollte anfangen, das zu ändern." Dietmar Dath Sturz durch das Prisma. In: Lichtmächte. Kino – Museum – Galerie – Öffentlichkeit, 2013. S. 45 – 70
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Le Séminaire où Lacan trace pour la première fois au tableau noir les mathèmes du Discours du Maître, du Discours l’Hystérique, du Discours Universitaire et du Discours de l’Analyste ne s’intitule pas "Les quatre discours" mais "L’envers de la psychanalyse".
Ce qui dans la terminologie lacanienne s’appelle "discours" constitue toujours, a priori et à l’insu du sujet, les conditions d’apparition sa "réalité" par une surdétermination des conditions de la parole…
Ce qui a été noué par la parole ne peut être dénoué que par la parole.
La psychanalyse est donc cette pratique où un analysant aura trouvé un analyste pour tenter de s’orienter dans ce qui le plus souvent se propose à lui comme "quelque chose" qu’il n’arrive pas à régler par d’autres moyens et qui insiste: symptômes, situations récurrentes, rêves, inhibitions, phobies, angoisses, questions qui le taraudent, impasses… – et que l’analyse se propose de résoudre par le seul moyen de …la parole.
Il est dès lors question d’apprendre à déchiffrer ce qui dans l’appareil psychique semble agir "à la place du sujet", et que Freud a nommé l’inconscient…
À partir du moment où Lacan annonce que l’inconscient est structuré comme un langage, va logiquement se substituer à la notion d’"humain" celle de "parlêtre" qui spécifie plus précisément cet "animal qui parle", et qui parlant, s’efforce de soutenir son être, tentant par là de l’atteindre, de le rejoindre, à tout le moins de le poursuivre…
Il n’y a sur cette Terre que l’espèce des trumains qui passe la plupart de son temps à se débattre en parlant dans une langue articulable…
Ainsi s’approche la "réalité humaine" de celui, qui se trouvant dans "la réalité qui nous entoure", se trouve surdéterminé par une "réalité langagière" qui apparaît à Lacan comme structurée sur une base de discours, au nombre de quatre, composés eux-mêmes de quatre mathèmes, se combinant autour de deux barres horizontales qui délimitent deux espaces distincts: au dessus de la barre, et au dessous de la barre. Nous sommes déjà dans une topologie, puisqu’il s’agit de se repérer, de s’orienter, de s’acheminer…
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